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La Primatiale de Bretagne

Linconnue
Je suis là pour faire mon catéchisme Monseigneur Clodeweck
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Clodeweck
Le primat prend par la main les jeunes gens et les accompagne jusqu'à la porte (premier post de la primatiale, page 1);

- voilà ... Nous sommes devant la porte, elle est belle grande ..Poussez là, derrière vous trouverez tout ce qu'il faut.
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Cardinal inquisiteur, Archevêque de rennes, Primat de Bretagne
Linconnue
Linc entra dans la salle et attendit de faire son catéchisme.
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Clodeweck
GRAND’MESSE du deuxième dimanche en la PRIMATIALE de BRETAGNE

Le cardinal archevêque de Rennes rejoignit dans le chœur les clercs déjà présents. La canne qu’il tenait dans sa main gauche était qu’un accessoire, qu’il gardait, en cas…Les voyages incessants fatiguaient, le vieil homme, Quarante-quatre ans déjà !
Cette messe qu’il dirait en la présence de mgr Kurios évêque de Nantes, et avec le père Arzhel, abbé de l’Abbaye de Ste Boulasse et curé de Saint Brieuc et l’ensemble du clergé Breton qui avait pu faire le voyage était la seule du mois qu’il dirait en ce lieu, il avait été décidé de dire une messe par mois en la primatiale, le deuxième dimanche de chaque mois.
Il monta jusqu’à l’autel puis ayant rendu hommage à la relique, fit une courte prière.
Après une génuflexion difficile il se retourne vers l’assemblée et dit :


In nomine Dominus, Aristote et Christos

l’assemblée répond, en breton, en françois, en latin pour les lettrés mais ils sont peu nombreux…Bref en toute langue ce qui donne un infâme brouhaha

Qu’il en soit ainsi

Bonjour à tous !

Frères et Sœurs, je vous souhaite la bienvenue.

Il m’est donné l’honneur de célébrer devant vous cet office, j’en remercie le Très Haut


Après cette introduction il s'approche de la lice et s'adresse de nouveau aux fidèles présents.

Mais avant de partager ce moment ensembles, il faut nous repentir de nos pêchés.
Oremus :


Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.

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Cardinal inquisiteur, Archevêque de rennes, Primat de Bretagne
Stefanouch
Demat SE Clodeweck,

Merci Clodeweck pour votre persévérance. Cette messe doit continuer à être célébrée.

Bien à vous.
Stefanouch, Curée
Pikachu54
Pika arriva en ce lieu de prière. Elle avait décidé de faire son baptême et en avait fait la demande hier à son Eminensce. Aussi, sa première démarche, ce matin fut-elle de se rendre à la messe afin de se repentir de ses pêchés et de pouvoir entrer dans la grande famille d'Aristote, sans crainte et en toute sereinité.
Elle entra, écouta les paroles de son Eminence.


Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.


A l'écoute de ces paroles, PIka baissa la tête dans un moment de recueillement et attendit que son Eminence reprenne la parole.
Clodeweck
A la fin de la prière le Pére clodeweck, traverse le choeur rend son salut à la mère Stéfanouche , avec le sourie et se dirrige vers le lutrin et dit d’une voix claire

Lecture de la vie d’Aristote

Citation:

Un matin, Aristote avait une mine préoccupée. Son fidèle Sargas, qui fréquentait le lycée depuis des mois, vint à sa rencontre pour s’enquérir de son sort. Le maître lui fit cette réponse…

Aristote : "Cette nuit, mon cher disciple, j’ai fait un rêve."

Sargas : "Ah oui, maître ? Racontez-moi."

Aristote : "Certes oui. J’ai songé qu’en orient existait une cité merveilleuse."

Sargas : "Quel genre de cité ?"

Aristote : "Une cité idéale, parfaite, où tous vivaient en une fabuleuse harmonie. L’équilibre y était si solide que nul n’aurait pu le rompre, pas même la venue d’un étranger comme je l’étais dans mon imaginaire. J’y ai fait intrusion, y ait importé mes mœurs, que je dirais à présent corrompues, mais j’y ai été accueilli comme un frère."

Sargas : "Quels étaient ses principes, maîtres ?"

Aristote : "Cette cité est organisée selon le principe de trois cercles concentriques, ou trois classes de citoyens si tu préfères.

Je commencerai par te décrire ce qui constitue la plus basse de ces classes, à savoir celle des producteurs, la classe d’airain. Ils constituent la majorité, et vivent paisiblement de la culture de leurs champs et de l’élevage de leurs bêtes. Ils prennent ce qui est nécessaire à leur subsistance, et à celle de leurs familles, dans leur propre production, et donnent le reste aux classes supérieures. Si ces hommes constituent la base de la cité, leur sort est cependant enviable. Ils connaissent les joies de la tranquillité, d’une existence simple au service de la collectivité. Ils s’adonnent à l’activité physique qu’exige un travail régulier, et qui maintient leur corps en condition, meublent leur temps libre par la contemplation des choses de la nature, par l’éducation des enfants que ces gens là placent en très haute considération, et par la prière, adressant leurs louanges à Dieu qui leur a donné les plaisirs dont ils sont bénéficiaires.

La seconde classe de citoyens, la classe d’argent, est celle des gardiens et des soldats. Ceux là sont autorisés à l’oisiveté, et profitent, en temps de paix, d’une subsistance gratuite qui leur est fournie par les producteurs. Ils philosophent, admirent eux aussi les bienfaits de la nature, s’instruisent quel que soit leur âge, s’entraînent au maniement des armes. En temps de guerre, ils se font les plus fervents défenseurs de la cité. Leur courage n’a pas d’égal, et ils donneraient leur vie, sans hésitation, pour la conservation de la communauté, ou pour défendre leur foy qu’ils placent en très haute estime. Et au retour des combats, ils sont accueillis comme des héros. On dépose sur leurs têtes des couronnes de lauriers, on les traite comme des princes, et de fabuleux festins sont tenus en leur honneur. Ils sont portés en triomphe par le peuple, et aimés par les femmes.

La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."

Sargas : "Par ma foi, voilà une formidable cité que vous me décrivez."

Aristote : "Certes, c’est vrai. Et j’ai la conviction intime qu’elle doit exister, quelque part."


Il s’adresse ensuite à l’assemblée

Maintenant, Sœurs et frères, je vais vous laisser répéter les paroles du Credo Aristotélicien



Durant la prière, le père Clodeweck ne quitte pas le lutrin. Il fait juste un pas de coté pour étre mieux vu encore, et regarde les fidéles. Des gens du peuple, ou est la belle noblesse Bretonne ?
Certes les clercs sont présents, mais eux ont l'habitude de servir.

Le vieil évêque se prépare à dire son sermon.

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Cardinal inquisiteur, Archevêque de rennes, Primat de Bretagne
Azilliz
Azi pestait, elle s'était placée dérrière un poteau comme une grosse buse et ne voyait rien. Mais !!! Il fallait qu'elle voit !

-Pardon Dame....Messire, excusez moi..

Elle s'arrêta lorsquelle se trouva parfaitement dans l'axe du grand Autel qui leur faisait face et elle récita le crédo avec ferveur, pour s'excuser auprès d'Aristote de sa turbulence, qui, elle le prenait à témoin, n'était pas dans ses habitudes.

-gneugneugn gneugne gneuggneugneugn Amen
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Lusiana
Le couple Walsh de Serrant arriva au moment où la messe commençait, accompagné de deux petits anges blonds qui regardaient tout ça avec leurs grands yeux ronds.

Quand elle entendit le texte choisi par Son Eminence, Lusiana ne put s'empecher de sourire. Tiens tiens, le texte de Sargas et de la cité. Le sermon risquait d'etre fort interessant..

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Pikachu54
Pika releva la tête et écouta la lecture de la vie d'Aristote donnée par son Eminence avec attention.

Elle médita ensuite sur ses paroles et à l'appel de Monseigneur, baissa à nouveau la tête et répéta avec ferveur le credo Aristotélicien.

Elle fut attirée par quelques bruit et reconnu la mairesse de Fougères qui tentait de se trouver une place à sa convenance, elle la salua et se rendit compte que le saint lieu commençait à se remplir.
Bounia
En se dimanche, bounia se leva de fort bonne heure, elle enfila une Houpellande de velous bleu, se releva les cheveux en chigon.Puis se dirigeas vers son fils et lui dit

reveil toi, mon coeur.

Elle lui tendis un habit du dimanche,composer d'un gilet et d'une braie en velours bleu, ainsi qu'une chemise de soie blanche ou on pouvez distinguer la broderie de l'hermine En l'habillant elle lui dit

prend en grand soin mon coeur ceci apparetener a mon pere.

Aprés un savoureux petit dejeuner, il se dirigere vers l'eglise. Elle poussas la lourde porte de chene, et en silence, son fils et elle s'installerent a un banc. Ils ecouterent la ceremonie, puis a l'heure du credo, Bounia fermas les yeux, puis repris le credo dans son fort interieur.le petit Maximus a coter, ecoutas celui-ci, il ne connaissait que des fragement de cette priere.

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[img]http://img68.imageshack.us/my.php?image=banniere5ho0.jpg [\img]
Arzhel
Le Père Arzhel avait fait le déplacement jusque dans la Primatiale. Il avait été convenu que chaque deuxième dimanche du mois serait célébré en ce lieu une grand messe.

Son Éminence semblait épuisé. Père Arzhel sourit. C'était son cas également, comme celui de la plus part des clercs qui se battaient chaque jours pour aider les ouailles et améliorer le sorts de bon nombre de bretons.
Toute fois, pour aujourd'hui, pas de canne pour le Curé de Saint-Brieuc, une marche lente suffirait amplement à maintenir sa triste forme.

La messe débuta à l'heure est le Cardinal avait revêtu sa tenue de cérémonie comme à l'accoutumée pour célébrer les offices.


Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi.


Le curé écouta ensuite la lecture de Père Clodeweck., texte qu'il connaissait déjà, mais qui, à chaque nouvelles lecture, laissait transparaitre un nouvel aspect. Le Curé s'égara dans ses pensées, réfléchissant à maintes et maintes choses.
Il récita ensuite avec le reste des fidèles le crédo.

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Killdragon
Après un voyage particulièrement éprouvant, l'escorte de la Garde Episcopale Bretonne était arrivé à la primatiale de Rennes, afin d'accompagner le cardinal Clodeweck.

Killdragon aurait bien voulu se reposer, mais cela lui était impossible en fonction des circonstances.

Le capitaine de la Garde Bretonne donna des ordres afin que le Primat de Bretagne soit en totale sécurité pour célébrer son sermon en paix.

Puis il vînt se placer à côté de son épouse Gwanelle qui semblait elle aussi fatiguée.

Il pria, répéta le credo Aristotélicien et suivit la messe tout en luttant contre le sommeil...
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Madeline
Il n'existait point de dimanche où Mad et sa tribu boudaient l'église. En ce 14 décembre de l'an de grâce 1456, il était évident qu'ils assistent à l'office puisque c'était le lendemain du 13 et la vieille du 15.

Tout en écoutant, Madeline ne pouvait s'empêcher de compter des lapins. Cela devenait une véritable obsesssion pour elle.

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Evenice06
En ce beau Dimanche maussade à l'extérieur, mais chaleureux dans son coeur, elle avait décidé que pour une fois, elle ne resterait pas en la Chapelle St Patern de Guérande, mais irait à la Primatiale.

Et c'est discrètement qu'elle s'était installée au fond du lieu Saint et qu'elle regardait et écoutait le Primat de Bretagne.

Un peu en avant d'elle, elle aperçut Madeline, sa vassale, perdue dans ses pensées, ferventes certainement, car il n'y avait pas plus croyante et plus pieuse que Madeline, toujours défenseur des faibles et des opprimés et aussi combattante pour la Justice et le bon droit.
Belle Madeline! Pour ce jour Aristotélicien s'il en est, elle était très élégante dans sa robe sobre mais de bon goût, accompagnée d'une superbe toque en fourrure blanche retombant légèrement sur un côté.

Elle se promit de l'attendre à la sortie pour embrasser toute la petite famille et notamment Eve sa filleule chérie, adorable enfant.

Puis, elle se replongea avec ferveur dans ses prières.

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