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[RP] Epistolation angevine

Calyce.
Un de ces courrier qu'a le don de la faire sourire. Sympathique le royaliste éborgné, rassurant aussi, elle n'était pas le pire mannequin du Louvre. Du moins elle fait semblant d'y croire, ça mange pas de pain. Il en venait même à souhaiter du bien à la Vicomtesse de Blou... Le rédacteur en chef serait-il en train de mettre de côté les idées qu'il a au sujet des angevins pour les apprécier enfin à leur juste valeur ? Ah bah non, voilà qu'il remet Dole sur le tapis ! La jeune fille grimace. « Pillards blablabla » tout de suite les grands mots, pis il lui rappelle qu'elle a oublié de lui dire qu'elle en était elle aussi. Elle en a le ventre noué, le rose qui monte aux joues. Honte ? Oui, honte de ne pas avoir assumer de suite. M'enfin, ça faisait longtemps, y a prescription ! -Quoi que si c'était à refaire...-

Bien beau de lire, fallait répondre maintenant.

Citation:

Au conseiller imbougeable

Je sais maintenant à quelle porte venir frapper quand il sera question de tissus et gains. Toujours est-il que vous vous m'étonnez ! J'ai tout de même trouvé le défilé intéressant, m'enfin je n'ai pas votre oeil de connaisseur italien. Puis je m'abstiendrais quand même de poser mes poulaines sur une estrade de ce genre la prochaine fois.

Ne soyez donc pas navré en ce qui concerne ma suzeraine, il semble qu'elle ait trouvé chausse poitevine à ses pieds. Par contre je ne saurais vous dire si c'est mieux que le vicomte de St Pardoux.

Commettre un impair ? M'enfin, je suis certaine que vous avez déjà croisé l'un ou l'une de ce que vous appelez pillards. Je vous le répète, ces gens là n'ont fait que rendre service... Et puis ça fait tellement longtemps maintenant.

Je note que les monastères alençonnais ne sont pas fréquentables, navrée pour votre femme. Du mal à croire que la ville de Verneuil soit devenue telle que vous me la décrivez. Comme quoi, tout peut arriver.

Alors c'était bien vous au sacre ! J'avoue que vous voir en terres bretonnes est déjà très étonnant mais alors vous voir, en plus, assis au milieu des grands bretons... Vous avez eu raison de ne pas bouger de votre place.

L'invitation à venir visiter l'Anjou tient toujours, si un jour vous avez envie de vous défaire des liens politiquo-alençonnais !

A bientôt,

Calyce.


Nouvelle missive... La jarretière a réussi à le perdre...humpf.

Citation:
A Isatan,

Tu te doutes bien que je vais pas te remercier. Trouve le, t'en es responsable !-pense à l'héritage...- J'ai pas besoin d'être sauvée-ou peut-être juste de toi-
Je me balade aussi en compagnie de Felina dans un coin pas charmant pour des raisons pas charmantes du tout aussi. Je te raconterais tout ça.

Nous avons à jussedire, n'oublie pas !

Calyce.



Inquiète, elle griffonne rapidement une dernière lettre.

Citation:
Arnaud,

J'espère que vous vous portez bien. J'ai appris qu'Isatan avait essayé de vous "perdre". Je vous avez prévenu, elle est sadique.

Vous allez bien, hein ?

Calyce.

_________________

Viens chercher bonheur DTC
Arnaud_de_nazdac
S'il allait bien ? Il réfléchit, un instant, jetant un regard circulaire à la taverne sarladaise dans laquelle il s'était paisiblement installé. La bière n'était pas mauvaise, les chaises, presque confortables, la compagnie plus ou moins agréable - bien que les gens du coin avait une tendance à ne pas supporter le blond ou à être naïvement naïf -. Bref, il respirait la joie de vivre depuis qu'il était ENFIN seul, TOUT SEUL, loin de tout angevin. La lettre de la jeune Calyce lui avait néanmoins rappelé que la solitude devenait tout de même un peu pesante - et qu'il avait oublié de répondre à sa précédente lettre, aussi -.

Citation:
Calyce,

J'use de mes dernières forces pour vous écrire, avant de rendre mon dernier souffle...Mon chemin a eu la malchance de croiser celui de vils brigands, après que votre co-vassale se soit lâchement débarrassée de moi. Ma dernière lettre, mon ultime pour vous déclarer à quel point je...

Non, ce n'est que plaisanterie. De mauvais goût, certes. Je vais bien. Mes cheveux, aussi. Même plus que bien, depuis que j'ai échappé à Isatan ou qu'elle m'a perdu. Qu'importe. Plus elle s'éloignera de ma personne, mieux je me porterais.

Notons que vous ne m'avez prévenu de rien, et que vous êtes aveuglé par la confiance que vous portez en votre famille. Mais j'ai eu l'occasion de m'en rendre compte moi-même, vous pensez bien...

Je m'ennuie. Où êtes-vous ? En Anjou ?

Arnaud


Le premier paragraphe de la missive avait été volontairement très mal écrit, pour paraître plus crédible aux yeux de l'angevine. Et il aurait payé cher pour voir le faciès de Calyce à la lecture de sa lettre, juste question de vérifier à quel point elle tenait à lui.
Tiss_
[ Quand la colère vous gagne ]

Un mois qu’elle tourne en rond, entre les " mais je t’assure que ", " j’en veux plus ", mensonges et re mensonges jusqu’au jour ou sur le fait, la main dans le sac… ça aurait pu continuer encore longtemps comme ça ! Saleté d'hommes, ces menteurs ! Un ancien Comte Poitevin ça ment encore plus que les autres. La veille encore ça parle à la Duchesse d’Anjou de mariage !


Citation:

    Au juge d’Anjou,
    A ma chère Trella,
    A ma chère Belle Fille,

    Je t’écris aujourd’hui pour te dire que l’enquête concernant l’histoire de la rose, rondement menée de mains de maîtres est enfin terminée.
    Et je puis t’annoncer que nous avions raison, celle-ci a bien été livrée à la chose rousse puante, cette fille n’a donc aucun honneur… et le pire elle l’arbore fièrement, si elle savait…par Aristote si elle savait qui a financé cet achat ! Crois-tu qu’encore fièrement elle se pavanerait avec la rose dans les cheveux ? Ca doit tout de même faire bizarre d’apprendre que c’est la maitresse qui paie, non ?
    Enfin si celle-ci savait la moitié du quart de tout, elle se cacherait dans un trou de souris, et n’en sortirai plus…
    Je ris presque à penser à toute cette histoire, à tout ce qui a pu se passer, à tous ses actes, à toutes ces nuits…

    Par contre il va falloir annoncer à la Duchesse qu’elle doit arrêter les préparatifs du mariage, oui la semaine dernière, jeudi me semble t-il, il annonçait à Sassa que le mariage aurait lieu au mois de juillet. Tu connais notre Sassa, elle avait déjà prit les choses en main et commençait déjà à chercher les meilleurs troubadours du royaume.
    Je crains déjà la réaction de notre brunette adorée, Sassa est la plus rancunière des personnes que je connaisse lorsqu’il s’agit de trahison ! Sans parler de Brennus, mon cher frère, qui à la rancune toute aussi tenace. Mais la vengeance n’est-elle pas un plat qui se mange froid ?

    Bref je rentre à Saumur et ça va chier !

    Ta belle mère très en colère !


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Aymeric
Obligé de se cacher comme un vulgaire brigand dans une auberge peu fréquentée, fuyant la capitale périgourdine et le comté tout entier, victime de sa naïveté et de ses rêves de grandeur, Aymeric avait étalé son matériel à écrire sur un petit bureau pour rédiger une missive à Isatan la Perfide.

Citation:
Isa,

Je ne vais pas tourner autour du pot, je te déteste. Tu n'es qu'une manipulatrice. Tu m'as utilisé pour tes sombres desseins. Sous prétexte d'aider les peuples en libérant les castels de tyrans, j'étais à tes côtés lorsque tu pillais les honnêtes gens. Donne la rémunération que tu me réservais aux mendiants, eux la méritent plus que toi et tes sbires.

Tu l'auras compris, je m'en vais. Ne me cherche pas dans la ville pour me faire égorger dans mon sommeil, je n'y suis déjà plus. Je ne donnerai même pas ton nom, ce serait trahir, bien que toi tu n'aies pas hésité à le faire. J'espère que tu ne feras pas pareil à Calyce, c'est une jeune femme adorable, je me demande comment elle a pu arriver dans tes griffes.

En espérant que des soldats te raccourcissent le corset,
Aymeric

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Ma bannière ? C'est du made by Aldraien !
Enguerranddevaisneau
[A Bergerac, Périgord, ca mord]

Dans une chambre miteuse, d'une auberge tout aussi pourrie, qui ne correspondait pas du tout, mais pas du tout au blond Vaisneau, et à sa perfection parfaitement parfaite.
Une bougie se meure, et un blond appose sa plume sur le velin, se mordillant au demeurant le pulpe bucolique de sa lèvre inférieur, mise à mal en ces temps troublés.


Citation:
De moi,Enguerrand le Blond parfait que vous n'avez pas pu oublier
A vous,Isatan la brune parfaite que je n'ai pas oublier,

Salut,

Et bien, le temps passe et j'attends vos nouvelles avec espoirs, passant mes journées et mes nuits à guetter le ciel dans l'espoir de voir apparaitre un de vos sublimes pigeon, portant missives de votre griffe. En vain.
Moi qui vous idolâtrais jusqu'alors suis peiné de voir que vous n'accordez pas toute l'attention qui devrait m'être destinée. Mais je le comprend, votre perfection ne vous laissant que de rares instant de répit, votre temps passé certainement à éblouir votre prochain.
C'est pourquoi, je sacrifie quelques minutes de mon précieux temps à moi pour vous tenir au fait de quelques petites choses qui pourraient attirer votre charmante et charmeuse attention.

Je suis à Bergerac,où, j'ai eu l'infime honneur de rencontrer Calyce, jeune demoiselle qui, si je ne m'abuse, fuit pour quelques obscures raisons (certainement quelques folies soufflées par le sans-nom lui même) votre compagnie. Elle part pour la Rochelle, où je dois me rendre également. C'est pour quoi, en l'honneur des magnifiques moments passés en votre compagnie, je m'engage à garder un oeil sur elle, et m'arrangerais pour qu'aucun bouseux, n'ayant pas notre facilités à tout deux à circuler dans se monde, ne pose ses yeux sur elle.
Vous conviendrez que cela me demandera beaucoup de temps, et qu'en contre partie, j'aurais le droit à quelques compensations, d'ordres sonnantes et trébuchantes, vos dernière pérégrinations en Périgord vous rendant certainement plus riche que moi.

Elle rejoint sur place un petit seigneur que vous connaissez, indigne de votre intérêt, que je nommerais Messiah, et j'attends donc votre disposition à me laisser confier la prunelle de vos yeux, j'entends Calyce, à ce sauvage titré.

Ne me remerciez pas, je fais cela par pure bonté d'âme.

Parfaitement votre,

Enguerrand de Vaisneau.


Et un messager qui part rejoindre Isa au pas de course dans le but de délivrer la lettre. Le baron ne souffrirait aucun retard, et pour sûr que pour son intégrité physique, le valet saurait arriver à point.
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Estrella.iona
Longtemps que la brunette et ses encres n'avaient pas eu l'occasion de se mettre à l'oeuvre.

Citation:
Chère Calyce,

J'espère que tu vas bien, que tu t'amuses bien et que tu ne dépéris pas dans la contrée sauvage qu'est le Périgord. Je sais ce que c'est évidemment, mais je sais aussi que l'ont peut avoir de surprenantes surprises en s'y baladant.

En parlant de surprise, tu ne devineras jamais qui m'a fait l'honneur de venir me tenir compagnie... Le beau brun que j'avais piqué dans le Périgord justement à cette saleté de sorcière blonde ! Même qu'on va se marier, surement. Si tu vois cette blonde, il faut absolument que tu la nargues et que tu l'invites au mariage ! Je rêve d'un feu de joie bien crépitant pour l'occasion, et je suis sure qu'elle crépite comme du petit bois.

Sinon, on s'ennuie quand même toujours autant. Je fais du ménage dans ma Chancellerie et je me prépare mentalement à recevoir mon chateau... Ah oui ça y est enfin, je vais l'avoir d'ici peu, ce n'est plus qu'une question de jours ! Tu as intérêt à être revenue à temps, sinon...

Enfin bon. Là je suis à Angers, j'ai emmené Isa faire une petite balade, elle m'a fait porter ses affaires, je crois qu'elle m'a prise pour un mulet... Pis sinon, mon cher mari n'a toujours pas fait surface, et aux dernières nouvelles il n'est pas mort. Du moins je le pense, vu que les moines n'ont pas encore viré sa dépouille de leur charmant établissement. Heureusement que Théo est là pour me divertir, ce bébé a grandi bien trop vite, dis toi qu'il gère le journal de Saumur et qu'il ambassade ! On n'a pas été si précoces nous... Si ?

Je te fais de grosses bises et t'ordonne de rentrer au plus vite, je m'ennuie de ma topine.

Trella.

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Calyce.
Sur les flots, entre deux haut-le-cœur...

Citation:
A Isa de Valmont-Merteuil,

Je sais, ça fait longtemps que je t'ai pas écrit mais c'est pas ma faute, c'est celle des autres. Figure toi que j'ai appris un truc vraiment moche ! Il parait que t'es allé visiter les mainois pis que tu leur a rien pris ?! Tu te ramollie ma presque-mère. T'as eu pitié d'eux ? Ils t'ont fait les yeux de chiens battus ? Tu les as battus au moins ?! C'est une nouvelle tactique c'est ça ? Pour mieux revenir chez eux ? Faut me comprendre, je suis perdue. Tu m'as appris plein de trucs mais jamais à ressortir d'une mairie les mains vides.

Sinon, je suis sur un bateau avec Tiss, Arnaud- il est toujours en vie, oui !- et la petite Iso et le nain de la suz'. La petite tente toujours de nous crever les yeux et le nains veut nous noyer je suis sure, il veut hériter de Tiss. L'a cru qu'il allait me la faire à moi, tssss.
Et toi t'es où là ? Tu vas bien ?

Dans l'attente de recevoir un jour ta jarretière,

Calyce.

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Viens chercher bonheur DTC
Isatan
Un tas de lettres qui se sont entassées, et aucune envie d'y répondre, autre chose à faire, pas envie, pas d'humeur, poney...
S'trouve tout un tas de bonnes excuses, et est bien décidée à s'y accrocher jusqu'à ce qu'elle reçoive cette missive de la jeune Calyce. Le ton est poli mais clairement moqueur, voir pire, condescendant !
C'trop pour la brune là et faut qu'elle réponde.


Citation:




A Calyce de Dénéré-Maline.
A la co-vassale,
A celle qui va se prendre une co-torgnole amicale.

Longtemps ?
Le temps me semble pourtant très court loin de toi !
Loin de ton blond surtout. Alors oui j'ai été visiter les mainois et oui j'ai rien pris dans les caisses. Parce que figure toi madame, que j'ai même pu les faire s'enrichir !
Non il ne s'agit pas d'une nouvelle forme de visite, mais vu que je compte bientôt monter une sorte de spectacle mortuaire, qui risque d'attirer du monde, j'ai préféré mettre mes écus en lieu sûr, et quoi de plus sûr qu'une mairie mainoise ? Après tout ces mairies sont à nous et nous servent de coffre, autant leur donner leur noblesse initiale, et je suis certaine qu'ils sont ravis de détenir en leurs coffres l'argent qui est mien -leur-
Au passage tu es invitée à ces réjouissances, toutes angevines.
Au programme, pendaison, lapidation, écartellement et même décapitation !

Isa.

PS : A peine 50 écus la place pour être au premier rang et avoir le droit de jeter des pierres, choisir la corde ou la robe du futur décapité, c'est une affaire !

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Isatan
Citation:



Isa' !

Mes pattes me démangent. J'vais pas tarder à reprendre la route et devine qui j'ai décidé d'aller emmerder *rature* voir ? TOI ! Veinarde.

T'es en Anjou ? Prépares une chambre pour moi !

Griotte

PS : Ton pote le Vaisneau sera avec moi. Réjouis toi ! Depuis quand t'aimes bien les blonds ?



Citation:



Le bonsoir jeune fille.- sale môme ouais !-
Quelle joie de te savoir venir à ma rencontre. Je vais de ce pas préparer de quoi t'accueillir comme il convient à une noble jeune damoiselle comme toi. - vais planquer tout ce qui a d'la valeur quoi-
Et ma joie ne saurait être plus grande en apprenant que ce petit être -presque- divin t'accompagne.
Vos chambres sont déjà prêtes, tu t'en doutes bien. - vais bien trouver un trou dans la cave, les oubliettes ou un truc du genre-
Dans l'attente de te recevoir. - pis qu'tu t'casses super loin sans avoir piqué un truc-

Isatan.

PS : Je suis dans le Limousin.- Mouahahahahha-
Et j'aime pas les blonds, je trouve juste que celui-là est à tomber !

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Isatan
Petite missive pleine d'amour et de tendresse maternelle, de la mère de la Jarretière.

Citation:



A celle qui me sert de fille
A celle qui me rappelle à quel point j'ai raté ma vie
A Isatan

Où c'est que t'es passée la ribaude ?
Où qu'il est le magot que tu m'as promis ?
J'espère que t'es pas encore en train de me pondre un de ces bâtards qui servent à rien. Je te préviens, j'ai la canne qui me démange et je me ferais un malin plaisir de l'abattre sur ton dos. Ca te rappellera le bon vieux temps.
Stop là les politesses, passons aux choses sérieuses.
Je viens te chercher toi et MES écus.

Mémé.


Réponse tout aussi aimante de la fille.

Citation:



A Danielle Valmont-Merteuil,
A la seule chose qui ne change pas - j'insiste sur le mot chose-
A celle qui ressemble à ce qu'on peut appeler une mère - m'enfin de grave loin la darone quand même-

J'ai reçu avec horreur une lettre émanant de toi.
C'est avec espoir que je pensais à un faire part de décès. Malheureusement, tu sembles bien en vie...
MON argent va bien et je me trouve pour mon plus grand bonheur, fort loin de ta personne et des griffes qui te servent de pattes.
Ne prends donc pas la peine de venir me chercher, à peine saurai-je que tu arrives que déjà je serai loin - mais alors loin d'une force !!!-
Comme tu le sais ta santé m'est fort précieuse, surtout lorsqu'elle est vacillante...
J'espère pouvoir te voir lors de tes funérailles, au pire ne t'inquiètes pas je serai là pour la lecture du testament.
Isatan ta seule et unique fille aimante.

PS : Je ramène avec moi, ma fille aînée, j'ai un peu paumé l'autre...

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Adele_du_niffelheim
C'est que les journées sont longues à Angers. Entre les rouquins qui copulent dans le but de pourrir le royaume avec davantage de rouquins, les armées qui poutrent, et les glandus qui trainent, Adèle en vient presque à envisager la pendaison. Mais alors que parfois le désespoir vous touche au plus profond (violons), des visages vous reviennent à l'esprit et vous tirent des sourires, et même, allez, soyons fous, des espoirs (envolée de harpe).
Faut des projets dans la vie. Sinon on pourrit sur place, on fait de la graisse, on s'encroute, on devient moche, aigri et plein de rancoeurs.
Et ça faut pas.
Alors Angers, Anjou, gens intéressants, on a vite fait le tour, et pour Adèle ça se limite à trois ou quatre personnes. Dont une angevine qui ne l'est plus vraiment si elle a tout capté à ce qu'elle a pu lui raconter. L'est pas sure, mais sa trogne, sa dégaine et sa grande bouche lui inspirent le sourire.
Plutôt que de prendre racine derrière son comptoir elle va lui faire une bafouille. Elles avaient parlé d'un truc ou deux y'a quelques temps, et il serait peut être temps de savoir si ça tient toujours.



Citation:
A la mère admirable,
A la femme tout en délicatesse et en finesse,
A l'incarnation même de la noblesse du Royaume de France,

de

Moi, Adèle du Niffelheim
Incarnation de tout ce qu'il ne faut pas être si on veut espérer s'en sortir un jour.


Meudême,

Il me revient à l'esprit nos rencontres récentes et moins récentes. Il me revient à l'esprit surtout votre chagrin alors que vous aviez perdu votre chère enfant et que je tentais tant bien que mal de vous aider à sécher vos larmes taries depuis bien longtemps. Suis pas dupe, j'ai bien vu que vous n'en aviez rien à cogner de votre gamine. Je ne juge pas, j'aime pas les gosses non plus
Nous avions parlé d'un grand projet. Peut être vous en souvenez vous. Un truc un peu fou qui demandait un peu de jugeote, ce qui vous en conviendrez est difficile à trouver par les temps qui courent. .

Je croupis, après les geoles mainoises, en la capitale angevine. J'en suis à me demander quelle est la peine la plus difficile à supporter. Vous m'accorderez que le maine à certains charmes que n'a pas l'Anjou. La finesse d'esprit de son comte, l'intelligence supérieure à la moyenne, "rature violente à en percer le parchemin du bout de la plume"...
Non en fait je ne vois pas où se trouve la supériorité du peuple mainois tant il m'a déçue en ayant nommé un trou du cul pareil pour le diriger.
Toujours est il que je m'ennuie et que j'ai des envies de grandeur, de belles robes et de château dans lequel j'aimerais me pavaner, alors que la domesticité se courberait devant moi.
La folie me guette chere amie.
Je n'oserai point vous demander de me prêter votre château et vos domestiques en Anjou, puisque j'imagine qu'ils sont tous plus ou moins à la solde de la penthièvrerie et de sa descendance adoptive certainement dégénérée. Notez le jeu de mot. Oh on peut rigoler un peu non ?

Enfin voilà, je voulais savoir si le projet que nous avions de faire découvrir au monde ce qu'est une vraie noblesse d'âme, de coeur et de bourses vous tenait toujours à coeur. De votre réponse dépendra la route que je prendrai après mon immobilisation. Parce que figurez vous que cet abruti de maire de saumur m'a fait découper par un de ses sbires alors que je tentais de rentrer chez moi, un peu plus haut, à laval. Pays d'adoption si cher à mon coeur aujourd'hui.

Je ne sais où vous trouvera ce pigeon, mais on m'a garanti à Angers qu'il saurait vous trouver à l'odeur. Votre parfum laisse parait-il un sillage derrière lui que les volatiles du coin ont été dressés à retrouver où que vous soyez.

Je vous remercie de bien vouloir me répondre assez rapidement. D'une parce que je ne suis pas à votre disposition, et de deux, parce que si vous me répondez, je pourrai à nouveau vous répondre et ainsi faire autre chose que compter les chopines.

Cordialement.

Adèle du Niffelheim.
Aurile.
[Matin de Mai fait ce qu’il te plait … ou pas ]


La petite brunette a revêtu ses vêtements de garçon manqué pour parcourir a nouveau les chemins afin de pousser sa jument vers de nouvelles aventures…Bien sûr, elle qui écrivait rarement pourtant songea qu’il fallait pourtant d’une façon ou d’une autre dire au revoir et pas un adieu bien sur a Aymeric. Le seul à qui elle avait accordé le droit d’être son écuyer, il est possible d’ailleurs qu’elle est remarquée dès le premier regard qu’ils aient des similitudes de caractère… Son autre… ? Bien plus tard, elle avait sue qu’il était lui aussi bâtard d’un noble de Pologne. Ce jour là elle l’avait dégagé de ses charges d’écuyers, elle avait, bien qu’elle soit la plus jeune pousser comme a son habitude Aymeric a aller vers son destin, ils se retrouveraient un jour ils en étaient persuadé, pour le moment il fallait qu’ils suivent les souhaits de son père, comme elle l’avait fait pour ses parent et qu’elle le faisait encore… d’ailleurs lui avait’elle conté la façon dont Isa l’avait élevé a la dure… ?



Assise sur le rebord de la fenêtre, le dos posé sur l’encadrement tandis que le soleil monte de plus en plus haut dans le ciel, elle sort une plume, un encrier et un petit velin qui sent bon la fleur d’oranger, dont elle adore le parfum qu’elle dépose discrètement très souvent sur son corps. Lui dire qu’elle prends la route ce soir de vive voix et il arrivera a la persuader de trouver une raison a donner a sa mère pour ne pas prendre la route et pourtant c’est Aurile qui mènera le convoie… On ne fait pas toujours ce que l’ont veut … Sa mère a des projets a nouveau et le devoir d’Aurile est d’être auprès d’elle afin qu’elle ne soit pas encore gravement blessé ou emprisonner comme auparavant… la petite fleur de la saint valentin qu’il lui a offert sort de l’écrin de son grimoire, jamais elle ne s’en séparera… Jamais elle lui avait dis qu’elle l’aimait parceque ce n’était son genre de dire ses sentiments …Cependant, elle s’éloignait de lui pour qu’ils grandissent tout deux, n’étais ce pas une preuve… ? Elle prend appuie sur celui-ci afin de tracer quelques mots de son écriture légèrement penché…Signe de son élan vers l’avenir… ?





Citation:
A Aymeric de Wroclaw
A mon chevalier de cœur… ?
A mon presque frère certain diront tant nous somme ambiguë
A toi le Filou…de moi la Pestouille

Je sais que tu m’en veux déjà d’avoir glisser ce petit mot dans ta poche plutôt que de te l’avoir dit de vive voix…
Je sais que tu ne voulais que je prenne la route car nos instants… tu aurai voulu les faire durer encore et toujours comme moi…

Tu sais que nos parents nous ont tracé un tout autre destin que nous l’aurions voulu… et que tu n’étais pas destiné a être mon écuyer a vie…que c’étais pour que l’ont se rassure l’un est l’autre de toujours veiller sur nous… alors je prends les devant… Soit toujours fort et fier et courageux, relève toujours ton menton même si ton père est comme ma mère et dur en caractère…Obéie a ta façon comme je t’ai montré que je faisais avec ma mère… soit toujours comme nous nous somme trouvé… Prends énormément soin de toi, J’y tiens…

Je sais que tu sauras faire face… je te promets de t’inviter a mon mariage… sisi… j’aurai bien appuyé en te faisant promettre de ne pas t’y opposer mais je sais que tu trouveras de toute façon une manière de t’y rendre et de faire ce qu’il te plait…Rappel toi juste ce que je dis toujours… Mariage d’amour est un mariage avec la mort…

C’est chouette en fait d’écrire comme ça tu ne peux rien dire en retour a ce sujet là…

Je ne te dis pas où je vais car je préfère que tu aies l’esprit libre pour aller vers ton destin… nous nous reverrons j’en suis sûre…quand nous aurons grandit…

Pour toujours et a jamais dans mon cœur
Je t’A…. t’adore…

A.P


La pestouille ne se relira pas et pliera le velin pour le garder dans le creux de sa main avant de voir Aymeric au détour d’une taverne et de glisser le petit mot dans sa poche alors qu’ils chahutent comme des adolescents de leur âge… Aymeric ne ce doutant probablement pas qu’elle partirai ce jour alors que parfois il aurait pue apercevoir une lueur étrange dans son regard bleuté…comme pour mieux l’ancrer encore dans sa mémoire….
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L'Aurible Pestouille~15 ans~Fibre naturelle d'un kilt et d'une jarretière~~
Aymeric
[D'une main pensive, j'effleure les objets que tu aimais hier... Mon dieu que c'est dur de voir mourir sa vie !]

Dans la chambre de l'auberge limogienne -qui lui coutait 1 écus la nuit, quand même-, Aymeric se préparait à son départ. Lui aussi partait, mais pas loin, juste dans la campagne pour récolter des bourses et en reverser une partie au procureur corrompu qui a été choisi pour épouser sa Victorine. C'est le seul moyen qu'il a d'empêcher ce mariage. Il préparait donc ses affaires, vérifiait que ses quignons de pain n'étaient pas trop durs, tout était prêt. Il regarda un instant par la fenêtre, espérant que la jeune blonde se remettait de son mal qui l'avait obligé à se retirer en retraite spirituelle. Il glissa sa main dans sa poche pour mieux réfléchir, et c'est là qu'il remarqua le morceau de vélin qu'il sortit de sa cachette, surpris, et le lut avec attention.

Lorsqu'il eut fini, les larmes inondées ses yeux -heureusement, le narrateur lui prêta un mouchoir après en avoir été chercher un pour lui-même-. C'était un au revoir déchirant, aussi pénible que leur complicité est grande. Il s'essuya le visage du revers de sa manche à plusieurs reprises, il relut encore la lettre. Que lui répondre après ça ? Aucun mot ne pouvait exprimer la peine qu'il ressentait. Il aurait voulu lui dire au revoir de vive voix, car là au moins, il aurait pu pleurer sur son épaule. Il comprenait mieux pourquoi Socrate n'aimait pas les traces écrites.


Citation:
A Aurile. de Valmont-Merteuil de Penthièvre,
A la Dame de Néoux,
A mon Autre, ma part de moi qui s'en va,

Je t'en veux de ne pas être venue me dire tout ça face à face. Je n'ai pas eu l'occasion de te serrer une dernière fois dans mes bras, comme un frère et une cœur ; et de t'embrasser, comme deux amants éperdument amoureux qui luttent contre leurs conditions respectives. Parce que c'est ce que nous ferons lorsque nous nous reverrons. Le plus tôt sera le mieux.

Tu me manques déjà, mon Aurile. Il existe un proverbe qui dit "loin des yeux, loin du cœur" : tu seras toujours dans le mien, je regrette juste que nous soyons ainsi séparés. Sache que rien ni personne ne comblera le vide que tu laisses dans ma vie...

J'espère bien devenir noble grâce aux arrangements de mon père avec la famille de la fiancée, comme ça, j'aurais des hommes de main pour empêcher ton mariage. Même si je sais que tu n'aimeras pas ton mari, je ne veux pas que tu sois enchainé à un homme. Je veux te savoir libre, car il n'y a qu'ainsi que tu es la plus belle.

N'aies pas peur pour moi, je continuerais de vivre pleinement, même si je n'aurais plus le droit de faire de bêtises. L'avantage, c'est que je dormirai avec une fille qui n'est pas une catin et qui n'a pas de ceinture... J'aimerais que ce soit toi, cette fille, parce que je t'aime. Alors prends soin de toi, car je ne serais pas là pour veiller sur toi. Ne laisse pas Isa te commander, je te fais assez confiance pour mener ta vie comme tu l'entends.

Viens me voir en Bretagne lorsque tu pourras. Une chambre te sera réservée, juste à côté de la mienne.

Nous deux, c'est Ad Eternam
Ton dévoué Aymeric


Quelques larmes mouillèrent le vélin. Elle le rendait si sensible qu'il envoya la lettre à Néoux sans même se relire tant il avait peur que sa lettre ne soit pas à la hauteur de l'amour qu'il lui porte.
Calyce.
"J'rentre à Saumur, avec toi j'm'ennuie !"

Qu'elle avait crié à la suzeraine. La brunette avait quitté Vannes sur un coup de tête. Elle aurait du se les prendre dans la tête les coups plutôt. 'parait qu'on apprend de ses erreurs. Menteries ! Calyce, des erreurs elle en fait tout le temps mais l'a toujours rien appris. C'est aux côtés de la vicomtesse qu'elle devait rester. Valait mieux côtoyer les sales nains artésiens plutôt que le calme saumurois. Y avait bien la baronne rousse pour tenir compagnie, mais l'alcoolique berrichonne s'était fait la malle, prétextant devoir récupérer un héritage en Guyenne.

C'est d'ailleurs à cette rousse là qu'elle écrit.

Citation:

A la Baronne berrichonne,

Le bonjour,

Mais où que c'est que vous êtes ?! Fallait le dire si vous vouliez quitter Saumur définitivement, si vous en aviez ras-le-bol du Penthièvre, je vous aurai comprise !

Je vous prierais de faire demi tour et de rentrer vite fait si vous ne voulez pas que le Tonseigneur Navigius reçoive une longue lettre de ma part. Une lettre ou je vais raconter vos activités nocturnes quand vous avez bu. Vous voyez ce dont je veux parler ?

Bonne route.

Calyce de Dénéré-Malines


Une autre lettre écrite dans la foulée. A une autre disparue de vue.


Citation:
A Isatan de Valmont-Merteuil
A la co-vassale disparute

J'espère que tu te portes bien et que la culpabilité ne t'étouffe pas trop. Abandonneuse sans coeur ! Je suis perdue sans toi, je fais n'importe quoi. Rentre ! Tu dois me sortir d'une mouise interducale.

Besoin d'une escorte pour te ramener de... T'es où déjà ?!

*rature*Tu me manques vachement beaucoup *rature*

Calyce

PS : J'ai vu mémé et Isodel y a pas longtemps. J'ai essayé de récupérer la petite mais la vieille a dit "tu la touches, je te mords". J'ai eu peur. Je sais elle a pas de dents, mais elle a une canne. Faut me comprendre !

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Viens chercher bonheur DTC
Isatan
En route pour... Pour où déjà ? Sait plus trop la brune, croit bien que c'est plus au nord dans une contrée aussi sauvage que peu peuplée... LE MAINE !!!
L'a des trucs à y faire, des trucs que même pas on croit qu'elle l'aurait fait un jour. Et non, elle va pas aller visiter une mairie ou l'château !
L'a d'jà fait ça...
Mais en prenant le temps de simplement suivre son aînée de fille, elle en profite pour tenir à jour la correspondance de son fan club/créanciers/débiteurs/chieurs-euses- et autres...


Citation:



A Adèle du Niffelheim,
A la seule personne douée de bon sens que je connaisse dans le Maine,
A celle qui m'écrit parce que je le vaux bien.

Le bonjour,
que de temps a passé depuis ce jour où moi, épleurée et geignante - gueularde et en rogne- je cherchais la chair de ma chair - c'te mytho que j'suis pas ! -que j'ai d'ailleurs retrouvé en votre estimable présence.
Le peu de ces précieuses heures que j'ai passé en votre compagnie dans ce pittoresque petit village mainois me ravit par delà les saisons qui passent.
J'ai encore en mémoire cette charmante jeune fille blonde qui me fit si bon accueil... -ses insultes me manquent presque-

Me souvenir de ce dont nous avions en projet, mais tout à fait !
Et comme j'ai coutume de dire "A mainois, mainois et demi." ou "Mainois parce qu'il valent rien !"
C'est donc forte de ces dictons populaires et forts connus, que je me dirige vers eux. Bien décidée à élever et et devenir l'image même de ce que chaque mainois rêve secrètement de devenir.
Oui, je me doute que vous vous doutez qu'ils se doutent qu'il est douteux que je me dévoue à celà, mais je suis persuadée que je suis ce qui peut leur arriver de mieux !

Angers dites-vous ? Formidable ! Vous n'êtes donc pas très éloignée de ma future terre d'asile et la votre également si vous vous sentez la noblesse d'âme de remettre dans le droit chemin ces pauvres -ploucs- bougres.
Je cours, je vole, je survole -ouais m'enfin à mon rythme quoi- pour vous y retrouver.
Je vous laisse le soin d'annoncer ma venue afin de revigorer ce peuple avec le style et la classe qui vous caractérise. -au pire on les payera-

Comtessalement,
Isatan Valmont-Merteuil, Dame de Saint-Paul-du-Bois.

PS :Nan mais Saumur faut pas chercher à comprendre, de toute façon l'Anjou n'est plus ce qu'il était.


Comme il est coutume de dire, une de faite... bah une de faite. L'hésite un peu à répondre à la jeune Dégénérée. Répond, répond pas ?
La brune balance une pierre devant elle. Elle touche le sol, elle répond, elle la touche pas, elle répond pas !
Manque de bol pour la Jarretière, les lois de la gravités décident pour elle. Un caillou si tu le lances, il tombe... Foutu caillou !


Citation:



A Calice - ça s'écrit comment déjà ?-
A la jeune fille qui m'a écrit,
A celle qui m'a oublié.

Quelle surprise de recevoir une missive de vous.
Pourriez-vous me rappeler nos liens ? J'avoue que de loin en loin je suis assez perplexe. Aurions-nous été présentées lors d'une visite ? -et vlan dans tes dents !!!-
Si tel est le cas, vous me voyez forte aise de vous inspirer une telle impression que vous preniez de mes nouvelles.
Je vais fort bien, et me rend vers le Maine pour y apporter amour et prosperité .-vais t'les dresser moi ces pecnots ça va pas traîner-
J'aurai d'ailleurs usage d'une personne comme vous -en gros t'y ramènes ton fion aussi et que ça saute-
Dans l'attente de vous revoir.

Isa.

PS : Tain elle est pas morte encore la vieille ? Et la gosse, toujours aussi tarée ?

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