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Sancte Iohannes vs le duché de Guyenne [Jason-Terwagne]

Terwagne_mericourt
NORF !!!!!

Quand le passé berrichon prend le pas sur le reste, par réflexe pur et simple, mais surtout vient à la rescousse de ceux qui ne trouvent pas quoi dire... Si elle avait été angloise, elle aurait crié "Stop", si elle avait été arbitre de soule, elle aurait crié "Temps-mort", mais elle était Française et avait un passé berrichon, n'en déplaise à elle-même bien souvent. Aussi est-ce tout naturellement que le cri qui s'échappa de ses lèvres fut un "Norf!".

Après? Juste après? Rien... Bouche bée, tempes battantes, elle ne trouvait rien à faire ou à dire, tant ce qui venait de se dérouler dans les lieux la laissait ébahie.

Elle mit donc un certain temps à reprendre un visage humain, quoi que livide, mais surtout "vie", et à se précipiter vers l'homme de foi qui se trouvait toujours au sol. Se jetant genoux au sol pour l'aider à se relever, elle ne se méfia pas du risque de morceau de verre qui aurait pu rester par terre suite au bris de sa fiole par l'avocat, et ce qui devait arriver arriva... Elle s'en enfonça un dans la main, et pas qu'un peu.

Paniquée à la vue de son propre sang, elle se releva aussi sec, lança un regard noir à l'avocat, un regard angoissé au Procureur Général, et enfin un regard impérieux aux huissiers, greffiers, et tout le reste.


Relevez-moi l'Archevêque au lieu de...Vous voyez bien qu'il n'y parviendra pas seul!
Et rendez donc ces pièces à leur propriétaire, au passage!

Et puis de quoi arrêter mon sang de couler, aussi!


Rares étaient ceux qui avaient déjà du l'entendre élever la voix, que ça soit ici ou ailleurs, mais le moins qu'on puisse dire c'est qu'à cet instant les murs de la salle d'audience résonnèrent tant sa voix était devenue volumineuse.

Enfin elle se calma, laissant ceux qu'elle venait d'invectiver se charger de prendre soin de l'Archevêque de Rouen, et des pièces. Par contre, aucun ne semblait avoir entendu sa requête concernant des soins à sa main qui continuait à dégouliner de rouge. Evitant de la regarder, elle finit par retourner à sa place, respirer un grand coup à défaut d'en boire un, et reprit presque comme si de rien n'était.


Messire Sancte, si vous avez trop d'écus, je suis certaine que le fonds pour la sauvegarde et la protection des castors en Lyonnais-Dauphiné serait heureux de vous en décharger.

Monseigneur Odoacre, vous sentez-vous en état de rester, ou désirez-vous que nous fassions une brève interruption d'audience?

Et je précise immédiatement que avec ou sans interruption, la prochaine personne à prendre la parole au sujet de l'affaire qui nous occupe sera moi-même, et personne d'autre!!!! J'attends donc uniquement de savoir si tout le monde est prêt à poursuivre.


Sur le sol, à côté de son pied gauche, les gouttes de sang continuaient à tomber.
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[Bannière en chantier & Marionnette Hors Service durant quelques temps]
Nicolas__eymerich
Nicolas resta stoïque quand la juge lui cria dessus. Elle l'avait bien cherchée la juge, à se prosterner devant son maître et à lui lécher les doigts de pied à défaut de pouvoir aller plus loin sous la robe.

Cependant, il fit un effort et alla déposer la flasque d'alcool sur le bureau du juge.

Tenez, c'est pour nettoyer la plaie. Et puis j'aime bien vous entendre crier...

puis, sifflotant tout bas, il repartit à sa place, non sans avoir placé sous ses bottes une pièce d'or qui s'était égarée dans un coin. Il la ramasserait plus tard, quand personne ne le regardera.
Odoacre
Regardant droit dans les yeux la juge qui l'aidait à se relever et intérieurement très satisfait que son théâtre ait été suffisamment crédible pour la magistrate

Ma fille ma fille... vous aviez tout les raisons pour prendre une décision... et maintenant cette agression physique... que vous faut-il de plus pour renvoyer ce avocaillon ?

Et le Primat de France de grimacer avec art d'une feinte douleur...
Sancte
Je suis prêt à poursuivre votre honneur.

Comme étranger à cette scène aussi drolatique qu'ubuesque, le ministre réformé ne s'inquiéta qu'un court instant de la blessure du juge, qu'il estima superficielle, puis se contenta d'afficher un beau sourire canaille à l'adresse de son baveux.



Vrai qu'entendre une femme crier, ça doit pas t'arriver souvent.
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Nicolas__eymerich
Plus souvent que toi mon chou, on connait tes préférences.

Et nicolas de laisser sa main trainer sur l'épaule de son client avec à son tour un sourire canaille.
Sancte
Écarte la main du Spinoziste comme on dégage une vilaine poussière de son veston.

Toujours cette fâcheuse tendance à vous surestimer, Tramecourt. Si seulement vous appliquiez autant d'émulation dans le juste exercice de votre profession.
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Terwagne_mericourt
Ouf! Y en avait au moins un dans le tas qui avait remarqué qu'elle était en train de se vider de son sang (lentement, mais quand même).

Je vous remercie, Maître...

Pas de réponse à sa remarque sur ses cris, même si cela la démangeait bien. Prenant la flasque, elle la déboucha, sortit de son corsage un mouchoir qu'elle y cachait, l'imprégna d'alcool et s'en fit un bandage de fortune. C'était toujours mieux que rien.

Le soucis, c'est que l'odeur de l'alcool avait quelque chose de très très alléchant, surtout que... Mwarf! Après tout, ça l'aiderait à se remettre de ses émotions, non? Sans hésiter plus longtemps, elle porta alors la flasque à ses lèvres et en but une franche rasade, d'un air nonchalant, avant de la rendre à son propriétaire comme si de rien n'était.

Laissant ensuite le requérant et son avocat à leurs échanges, elle s'adressa à l'Archevêque qui venait de lui répondre, par une interrogation, pour ne pas changer.


Monseigneur... Malgré tout le respect que je vous dois, et croyez bien que je ne l'oublie point, vous êtes ici en qualité de témoin, et non de procureur, d'avocat, ou même de juge.

De par ce fait, vous n'entrez pas dans la catégorie des personnes autorisées à interroger les autres comme vous n'avez de cesse de le faire avec le Procureur Général et moi-même depuis un bon moment à présent.

Cependant, afin de clarifier les choses et de répondre à votre questionnement, je vais être claire et nette : Nous sommes ici dans le cadre de la Justice civile, et non de la Justice d'Eglise. Je ne vous apprendrai rien en vous disant que je ne suis en rien habilitée à juger de l'appartenance religieuse des personnes s'exprimant ici.

Ainsi, que cela vous plaise ou non, à partir du moment où un hétérodoxe ou même un hérétique ne tente pas de se servir de son droit de parole dans cette salle pour parler de ses croyances ou tenter de convaincre qui que ce soit du bien fondé de celles-ci, c'est à dire qu'il ne se comporte pas ici comme dans une tribune dont il se servirait pour sa "religion", rien n'interdit sa présence ni même encore qu'il s'exprime.

Ceci étant dit, connaissant moi-même un minimum le droit canon, je me permets de rectifier un des propos de Maître Nicolas__eymerich toute à l'heure : si aux yeux des simples fidèles, comme vous le dites, "tant qu'elle n'est pas dénoncée par la Curie, une excommunication est une excommunication", les choses officielles sont toutes autres. Un Evêque n'excommunie pas, il propose l'excommunication au Consistoire pontifical qui seul peut statuer et déclarer une excommunication. Monseigneur Bardieu a donc pu, tout au plus, proposer son excommunication, si je ne m'abuse.

La question est donc, et je m'adresse à vous, Monseigneur Odoacre, l'a-t-il fait? Et si oui, pouvez-vous nous dire ce que vous savez à ce sujet?

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Jason
Jason suivait avec application ce procès, qui se promettait d'être différent des autres, et s'était replongé dans son dossier, et essayait de voir comment amener l'archevêque a réellement s'exprimer sur le dossier.

Quand un tumulte le dérangea dans ses réflexions, l'avocat bondissait sur l'archevêque, lui prenait sa fiole, l'archevêque criait qu'on l'assassinait, la juge essayant de les séparer et qui ne vit les morceaux de verre s'entaillant et qui pissait le sang.

Jason se leva, et cria


Huissiers, amenez des linges pour madame le Juge, et vite

Madame, j'ose espérer que ce n'est qu'une entaille, les linges vont arriver

Apparemment, la Juge avait retrouvé ses esprits, et calmait tout ce joli monde sérieusement éxité
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Odoacre
Se relevant doucement avec la juge, faisant toujours mine d'avoir les abattis plus douloureux qu'ils ne l'étaient, il écouta. Ferme il répondit

Par justice civile, vous entendez certainement justice royale. Je ne suis plus là en tant que témoin.... croyez-vous qu'un Saint Prélat répondrait à une convocation pour favoriser un hérétique ?

Je suis là comme Primat de France et Inquisiteur de la Foy, et je vous conjure de respecter les serments royaux par lesquels vous êtes liés comme magistrats royaux.

Je suis cependant heureux de voir que vous connaissez le droit canon plus finement que bien des aristotéliciens, pour de pas parler de certains diacres et autres...

Quoiqu'il en soit, j'informe les magistrats royaux que s'ils n'ont pas reçu de consignes spéciales de leurs supérieurs concernant les hérétiques qui souhaiteraient faire appel à vous, je vous informe moi, que vous êtes en état de grave péché et que l'institution elle-même est en péril, en passe d'être corruption.

Vous venez, ma fille, qu'il y a certaines limites à ne pas franchir par un hérétiques... eh bien, quand cet avocaillon spinoziste accuse la Sainte Église de complot, vous estimez qu'il ne dépasse pas la ligne de rouge ?

Quand un avocat agresse physiquement un prélat dans votre tribunal, vous n'estimez pas qu'il dépasse la ligne rouge ?

Prenez votre décision madame la Juge, car vous avez pouvoir ici, mais je vous suffisamment enseigné et expliqué la situation.... et je suis moi tout à fait habilité à vous informer de l'appartenance religieuse de ce quidam et vous êtes tout à fait habilitée, comme magistrat du roi très aristotélicien, à prendre en compte mes admonestation.
Terwagne_mericourt
La prise de parole du Procureur Général, qu'elle entendait également lever la voix pour la première fois, eut pour effet de lui rappeler la douleur de sa blessure. Son visage redevint livide un instant, à peine le temps nécessaire aux huissiers de s'exécuter en lui apportant de quoi se faire une jolie poupée sur la main.

Elle remercia alors le Procureur Général, tout en le rassurant, d'une voix qui n'était pourtant pas assurée.


Merci beaucoup.

Et rassurez-vous, cette audience ne devrait pas être ma dernière... Nous nous inquièterons de cette blessure plus tard, je devrais pouvoir survivre.


Sur l'entrefaite, d'un nouvel entrechat verbal, l'Evêque de Rouen tenta de la faire prendre une décision qu'elle avait déjà prise mais qu'il semblait ignorer, peut-être parce qu'elle ne lui convenait pas.

La Juge Terwagne avait beau être aristotélicienne, avoir même prêcher par le passé en la paroisse de Bourges, il n'en restait pas moins vrai qu'ici elle était au service de la Justice royale et que rien ne la dévierait de cela. Une révision de procès temporel devait avoir lieu, et elle aurait bien lieu de façon temporelle.

D'humeur quelque peu excédée, même si cela n'était pas à proprement parler visible, elle ne tarda pas à récupérer une voix assurée et ferme.


Le terme "civile" était certes mal choisi, je vous le concède, et j'aurais du dire "Justice Temporelle". Car si cela semble échapper à certains dans cette salle, nous sommes ici suite à une demande d'appel concernant un "procès temporel"!

TEM - PO - REL !

En ce qui me concerne, je suis ici en tant que Juge des infractions à la justice temporelle, et à aucune autre forme de justice, pour la simple et bonne raison que je ne suis pas habilitée à le faire. En tant que tel, j'ai donc prêté serment de fidélité au Roy et à cette institution. Je ne bafoue en rien ce serment, voyez-vous...

Quoi qu'il en soit, Monseigneur, les portes de cette salle vous ont été ouvertes en temps que témoin, suite à une convocation à laquelle il aurait sans doute été bien plus simple que vous nous répondiez en nous avertissant de votre décision de ne pas vouloir témoigner, pour les raisons que vous évoquez.

Les choses sont donc à présent très claires, me semble-t-il, vous n'êtes point là comme témoin, vous déclinez l'invitation à endosser ce rôle, et il est donc totalement inutile, voir absurde, de continuer à vous interroger. A moins bien entendu que j'aie mal compris.

Je terminerai, avant de poursuivre cette audience de façon plus calme et ordonnée je l'espère, en vous disant que quand bien même vous ne l'auriez pas compris, ma décision est prise depuis un bon moment déjà : tant que le requérant et son avocat ne se serviront pas de cet endroit comme d'une tribune religieuse, ils auront le droit de parole dans cette salle.

Je n'ai pour l'instant vu et entendu qu'une prise de fiole qui vous a visiblement fait choir sous l'effet de surprise, et croyez bien que votre état de santé m'inquiète depuis, et un soupçon de raison religieuse au procès de prime instance, pas une accusation de complot de la Très Sainte Eglise aristotélicienne. Cependant, j'admets qu'avec tout le remue-ménage qui règne en ces lieux, il est pratiquement impossible de tout voir et tout entendre avec discernement.

En conclusion, et partant du principe que l'appartenance religieuse de chacun doit être tolérée par la Cour d'Appel TEMPORELLE et ne doit pas porter préjudice à la crédibilité de son témoignage, rien ne s'oppose à la poursuite de cette audience.Il me semble par ailleurs, que si on s'en réfère au Concordat de Paris, le spinozisme est considéré comme une religion certes infidèle, mais amie du Royaume et tolérée par l'autorité royale, temps qu'elle reconnait l'Eglise aristotélicienne comme religion d'Etat.

Et puisque vous n'êtes point là pour répondre à une convocation à témoigner, nous pouvons écouter le témoin suivant.

Messire Archybald, la parole est vôtre.


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[Bannière en chantier & Marionnette Hors Service durant quelques temps]
Jason
Jason écouta le discours du Juge et d'un signe de la tête acquiesça
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Odoacre
Plissant à nouveaux les yeux, il répondit à la Juge

Soit, vous vérifier la régularité des procédures ayant mené à la conclusion d'un procès au local, et je ne vous empêcherai pas de le faire.

Cependant, j'estime que lorsque l'avocat spinoziste accuse l'Église de complot, il se sert de ce lieu comme d'une tribune religieuse.


s dirigeant vers son banc

Je vais continuer d'ouïr le déroulé de ce procès, comme Inquisiteur de la Foy, et prendrai les mesures nécessaires si d'aventure les Lois divines continuent d'être bafouées.
Sancte
Poursuivre dans ces conditions en se contentant d'un statu quo bancal n'arrangerait personne. C'est dans cette optique que le requérant se leva en réaction des derniers propos du vieux Grec.

Mademoiselle le Juge, m'autorisez-vous à prendre la parole avant l'audition du témoin suivant ?
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Terwagne_mericourt
Soulagée de voir qu'enfin on semblait revenir à plus de sérénité et de calme, la Juge en profita pour remettre une mèche de cheveux derrière son oreille gauche, mèche qui n'y resta qu'une poignée de secondes puisque rebelle depuis toujours.

Elle attendait la prise de parole du second témoin, qui semblait vouloir se faire attendre, lorsque le requérant se fit entendre.

Le regardant un instant, elle sembla hésiter, ne désirant vraiment pas une nouvelle esclandre, puis finit par lui répondre.


Si cette prise de parole a pour but de nous donner de nouvelles informations, et non de questionner à nouveau Monseigneur qui n'est donc point là pour témoigner, je vous y autorise, brièvement si possible...


[HRP : Je serai absente demain et peut-être vendredi, mes excuses.
De plus, LJD Archybald ne sera visiblement pas disponible pour intervenir avant lui non plus.[/HRP]

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[Bannière en chantier & Marionnette Hors Service durant quelques temps]
Sancte
Aucun souci.


Je vous remercie mademoiselle le juge et en ce cas je vais essayer d'être bref.

Dans un premier temps.
Le règlement de la salle des audiences stipule:




Libre à la Cour de faire preuve de clémence envers un énergumène qui viole son règlement en toute impunité et qui se permet de donner la leçon aux magistrats royaux, laissant planer le soupçon qu'en ces lieux il est des hommes affranchis des obligations de la loi. Néanmoins, la route depuis l'Artois et plus encore depuis la Guyenne est longue et hasardeuse en les temps troublés qui sont les nôtres, et mon avocat ainsi que moi-même ne nous sommes point rendus ici dans l'optique de nous faire insulter de rats, de chiens, de gales puantes, de pauvres merdes, de sombres cons ainsi que de bâtards, avec la tolérance coupable des officiers de sa Majesté. Ce que nous venons d'entendre, aucun Tribunal des Provinces du Royaume ne l'aurait toléré. Permettez-moi donc de vous annoncer que sans excuses sérieuses et formelles de monsieur Odoacre, nous exigeons son expulsion de cette salle. Dans le cas contraire, je vous fais part de ma volonté de ne pas poursuivre la tenue de ce procès dans les conditions présentes, totalement incompatibles avec l'idée que je me fais de la justice de mon Royaume, et par là même, avec celle que je me fais de mon honneur et de ma propre dignité.


Dans un second temps, je tiens à citer le nouveau Président de la Cour d'Appel, Adrienne de Hoegaarden, lorsqu'elle s'adresse aux sujets du Royaume par l'entremise de l'AAP:




Aussi, aimerais-je que soient convoqués ici-lieu et dans les délais les plus brefs, le senher Topheez et la damisela Maylis, respectivement procureur et juge lors du procès de première instance afin qu'ils nous confirment la présence de monsieur Odoacre lors du procès provincial et la validité de ses propos tels qu'ils les ont été retranscrits dans les minutes qui figurent dans le dossier, dans l'objectif que ce triste sire paye le prix de ces choix sinistres lorsqu'il prend le pari hasardeux de considérer cette salle d'audience comme le terrain propice à l'expression de sa bouffonnerie qu'il semble prêt à justifier par sa seule condition d'homme d'Église.

Sur cette conclusion, il jeta un regard plein de morgue au primat de France comme à son avocat, et se rassit avec aplomb. Maintenant que les choses avaient été recadrées, et même si ce n'était qu'une cautère sur une jambe de bois, on pouvait amener le témoin suivant. Qui espérons-le, ne serait pas aussi aventureux que le premier.

J'en ai terminé.
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