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Sancte Iohannes vs le duché de Guyenne [Jason-Terwagne]

Terwagne_mericourt
Maître Eymerich! Etes-vous toujours bien présent d'esprit?

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Terwagne_mericourt
Messire Eymerich ?!?!


Elle commençait à avoir du mal à ne pas suspendre l'audience pour aller de nouveau se dégourdir les jambes, mais surtout respirer un grand bol d'air frais...
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Jason
Jason pianotait sur son pupitre en attendant de l'intervention de l'avocat
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Nicolas__eymerich
pardon pardon pardon, très occupé hrp (rédaction d'un mémoire pour un diplôme...), totalement oublié la cour d'appel.


Nicolas Eymerich se réveilla lorsque la juge l'appela d'une voix légèrement stridente.

Oui votre hauteur ?

Se rendant compte de où il était, il se releva brusquement et se remémora rapidement les évènements.

Messire Topheez, j'ignore totalement qui était le tribun de l'époque, et pour tout vous dire, je m'en fiche éperdument, d'autant que c'est vous le témoin, pas moi.

l'avocat prépara son sourire type mise à mort

Mais vous faites un piètre témoin, puisque, comme je le disais plus tôt, alors que vous étiez l'assistant de kindjal, son successeur désigné, vous ne pouviez même pas vous rappeler qu'elle avait été excommunié, une décision plus tard confirmée par monseigneur Odoacre.

Il inclina la tête en direction du prélat

Bref, je vais donc vous poser quelques questions simples auxquelles j'attends des réponses simples.

fait mine de consulter une liste

Vous prétendez ainsi que dame Kindjal aurait vu elle même mon client en train de couper du bois, pourtant, rien dans le premier procès ne le laisse penser, puisqu'elle n'a jamais déclaré l'avoir vu et qu'elle n'a même pas témoigné, n'agissant qu'en qualité de procureur. Maintenez vous donc votre affirmation selon laquelle dame Kindjal aurait vu mon client en forêt ?

Ensuite, je suis sur que vous êtes un expert dans la coupe du bois. Alors pouvez vous me dire combien il y a de parcelles (abres ig) à Montauban et combien de parcelles un bûcheron peut il parcourir au maximum chaque jour ?

Enfin, pouvez vous nous rappeler la date et la cause du décès de Kindjal


Harassé, soupire et se tourne vers la juge

Voila votr'hauteur
Terwagne_mericourt
Bon courage à vous quand même.


Sursaute en voyant l'avocat enfin sortir de sa léthargie, et manque d'émettre un petit cri de surprise. L'écoute, avec grande attention, avant de prier le témoin de répondre.

Messire Topheez, nous sommes impatients d'entendre vos réponses.
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Topheez
Dommage ... dommage que votre mémoire soit si sélective. Je suis sûr que la cour aurait été intéressée de savoir que Messire Sancte était tribun de Montauban pendant tout l'exercice de Dame Kindjal et qu'elle l'a gardée envers et contre toutes les critiques qui pouvaient lui être faite.

Topheez se réveillait peu à peu de la torpeur qui l'avait envahi durant cette longue attente. Il ne perçut aucunement la jouissance qui semblait envahir le visage de l'avocat à poser ses questions
.

Quelles étaient vos questions déjà ? Ah oui... la coupe de bois. Je confirme bien évidemment l'affirmation que j'ai faite au cours du procès en première instance.

La forêt de Montauban doit compter environ une quarantaine d'arbres soit une dizaine dans chacune des espèces. Un bûcheron pourrait en théorie parcourir la totalité des parcelles pour peu qu'elle soit déjà occupée, mais ne peut en visiter que 3 inoccupées. Dans la pratique, un maire pouvait contrôler sans problème l'intégralité de sa réserve de chêne.

Pour ce qui est de la date de décès de Dame Kindjal, vous ne la trouverez dans aucune de vos archives et pour une bonne raison, c'est qu'il n'y en a aucune preuve. Pour ce qui est de sa disparition, je pense que nous pouvons l'estimer autour du 15 du mois durant lequel j'ai effectué mon mandat municipal
Terwagne_mericourt
Plus concentrée que jamais, malgré la douleur qui continuait à s'emparer de sa main, la Juge écoutait et prenait des notes, semblant réfléchir intensément sur certains mots entendus.

D'autres questions, Maître? Ou bien pouvons-nous rappeler à la barre le témoin suivant?
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Nicolas__eymerich
Nicolas exulta, il avait mené le toto exactement là où il voulait, ne restait qu'à emboiter les pièces du puzzle.

non, je n'ai pas de questions, juste une remarque finale.

Ecoutez bien les réponses de messire Topheez. Nous avons à la fois un maire qui met en procès son tribun, mais le laisse en poste. Qui s'arrange pour le faire condamner mais ne témoigne pas à charge.

Ainsi dame Kindjal est une femme tiraillée entre ses sentiments, d'un côté l'affection pour un ami, de l'autre le devoir et la piété. Elle veut protéger sancte, mais sait qu'elle doit satisfaire aux autorités temporelles et spirituelles en le faisant mettre en procès, quel qu'en soit le motif, quitte à mentir pour ce faire. D'ailleurs, c'est de chagrin qu'elle est morte, peut après le verdict, rongée par la culpabilité.

Mais je n'ai plus de questions sinon.


se rassied près de son client.
Sancte
Pendant qu'Eymerich se livrait en spectacle, le réformé tâcha de faire passer le temps en se rinçant l'œil sur le juge. Pour autant, la prestation de son avocat ne suffit pas réellement à le rassurer. Étant resté jusque là à l'écart des débats de commerçants au détail, il finit néanmoins par se lever.

Si la Cour me le permet, j'aimerais interroger le témoin concernant sa dernière intervention.
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Terwagne_mericourt
Maître... Je ne pense pas qu'il soit utile que vous précisiez qu'il me faille "bien" écouter les réponses des témoins, vous savez... Je n'ai pas l'habitude d'être distraite ou plongée dans mes pensées froufrouteuses durant les témoignages, rassurez-vous.

Se tournant ensuite vers le requérant, elle lui adressa un sourire étrange, avant de lui répondre.

La cour permet... Si d'aventure vous estimez que votre avocat n'a pas interrogé suffisamment le témoin, ce qui est fort regrettable au fond, de ne pas être satisfait du travail d'un homme dans les mains duquel on a placé sa défense.
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Sancte
Iohannes reçut la bénédiction du Juge avec un souris de circonstance.

Et que la Cour sache que je partage ses regrets.

Sisi.

Mais il est de mon devoir, en tant que bon croyant, accusé de longue date et requérant averti en la Cour d'Appel, de tendre la main aux juristes débutants afin qu'ils aient une chance d'exercer leur profession pour mieux se faire connaître. Comme mademoiselle le juge le sait, les temps sont durs pour tous, et la charité Aristotélicienne me pousse naturellement à la magnanimité envers les avocats déshérités par la nature autant que par la divine providence, tels que peuvent l'être le Maître Eymerich dont la biographie accoucherait d'une pathologie si elle venait à être révélée au grand jour. Mais pour préserver la vie privée de mon avocat autant que sa pudeur, je n'en dirais pas plus.

Il se redressa alors et frappa volontairement du plat de la paume dans le petit juif de l'avocat Spinoziste (sans mauvais jeu de mot) pour devenir son propre défenseur. Il se plaça en tête de la barre, l'esprit déjà chargé de prose. Il avait été demandeur d'une révision d'un procès sordide, mais il était en train de se demander si ce fut une si bonne idée que ça, au regard de la tournure tragi-comique qu'elle était en train de prendre. Mais les évènements grotesques étaient si fréquents dans sa vie, que depuis ses premières aventures en appel, il avait appris à se désolidariser de certaines angoisses pour mieux les surmonter.

Maître Eymerich, en tant que Spinoziste, met énormément l'accent sur le climat pesant qu'a fatalement exercé la question religieuse sur les épaules du Maire en place, à savoir damisela Kindjal. Cette pression latente existait et pour en avoir pu en parler avec elle, Kindjal la ressentait. Indubitablement. Chaque témoin de l'époque ayant côtoyé le Maire à ce moment là peut l'accréditer. Néanmoins, ce n'est pas parce qu'une ambiance délétère est susceptible d'influer sur le jugement des protagonistes que l'accusé peut en toute bonne foi se réfugier derrière elle pour se draper dans son innocence. Il faut s'attacher aux faits.

Il se tourna alors vers le senher Topheez.

Messer, en tant que natif Montalbanais, je connaissais bien les liens très forts qui vous unissaient à damisela Kindjal, et il n'est pas un jour, tout comme vous sans doute, que je ne regrette sa subite disparition. Néanmoins, je n'ai jamais eu le sentiment que vous étiez très neutre dans cette affaire. Était-ce une volonté de votre part de me faire condamner à tout prix ? J'en doute. Vous êtes obstiné. Mais vous n'êtes pas de ces prédateurs bornés. Était-ce une volonté pour vous de ménager la damisela Kindjal qui au moment où vous écriviez votre réquisitoire se trouvait déjà fort affaiblie ou encore de protéger aveuglément l'efficacité d'un appareil législatif que vous aviez vous-même monté de votre propre aveu ? C'est déjà plus plausible.

Car étrangement, il est fort curieux de voir damisela Kindjal pointer le nez derrière chaque recoin de cette affaire.

Qui est à la fois témoin et requérant ?

=> Kindjal.


Qui est l'expert qui affirme que le témoignage de l'évêque ne saurait être que sornette et délire de fanatique ?

=> Kindjal.


Qui est à l'origine des archives qui prouveraient la présence du senher Zebu en forêt les 8, 9, et 10 Avril 1458 ?

=> Kindjal.


Ajoutons à cela deux détails frappants.

Le premier étant que le Lieutenant Emi, appelé à titre de témoin, n'est en réalité témoin de rien. En effet, elle affirme n'avoir strictement rien vu, mais s'être contenté d'avoir enregistré une plainte sous la dictée de ...

=> Kindjal !


Quelle surprise. Pourtant, alors que le Lieutenant Emi n'est témoin de rien, il se permet de conclure lorsque l'accusé plaide son innocence que ce dernier est ... d'une mauvaise foi totale. Si d'aucuns ne connaissaient pas le sens de l'expression "être de parti pris" qu'ils en soient rassurés ! Ils se coucheront éclairés.

Le second ... c'est qu'en réalité, il existe un témoin unique.
De qui s'agit-il ?
Vous l'aurez deviné ...


Et le public répéta en choeur après lui: KINDJAL !, ce qui lui fit chaud au sien, de cœur. Précisément.

Hé oui.
Mademoiselle Kindjal.
Pourquoi ?
La réponse est dans le témoignage du messer Zebu, que voici:




Et que nous dit-il ? Dit-il qu'il a vu le senher Sancte en forêt ? Non.
Il nous dit qu'il a vu inscrit sur le registre le nom de Sancte.
Un registre qui bien évidemment, n'étonnera personne si je disais qu'il était tenu par K...


Et coupé par un public affectueux: KINDJAL !

Hem ...
Voilà. Mademoiselle Kindjal.

Il en profita un moment pour relire vaguement ses notes. Puis, il redressa subitement le chef, voyant sans doute que la cour s'impatientait.

Pardonnez-moi, je finis. J'étais précisément en train de compulser le dernier témoignage du juge de l'affaire, à savoir Dona Maylis. Car effectivement, tout ce vaste cirque visant à faire tomber la tête de l'homme injustement méprisé que je suis et faire injure sur mon nom n'aurait jamais pu aboutir sans la légèreté ou pis encore: la complaisance de quelque magistrat.

Or justement mademoiselle le Juge !

Que vient nous dire le juge de première instance Maylis lorsque le procureur Jason lui demande à juste titre si elle n'a pas éconduit ou du moins sous-estimé les arguments de la défense ?




Ahhh, la belle âme ! A l'entendre, n'importe qui ne soupçonnant pas que derrière un visage angélique peut se dissimuler une cruche à la vacuité consternante lui donnerait le bon Dieu sans confession -qui elle, si elle devait advenir, durerait probablement trois jours et trois nuits, effectivement. Mais comme si l'action divine était là pour nous rappeler que toute forfaiture se paie un jour, elle finit par ajouter:



Un témoignage qui hélas, ne peut prouver qu'une seule chose:

Ou bien le juge Maylis ne prend même pas la peine de lire ses dossiers avant de témoigner ou de rendre un jugement, ce qui, par là-même, remet totalement en cause sa déontologie de magistrat alors même qu'elle dépeignait l'image d'un juriste consciencieux -une preuve s'il en était que l'on est jamais mieux servi que par soi-même,
Ou bien elle n'a plus toute sa tête. Tout simplement. Si d'aventure elle l'a déjà eu un jour. Mais cela, hélas, l'expert Kindjal n'est plus là pour nous le certifier.

Car il n'aura échappé à quiconque, ici présent, que c'est le senher Zebu que le Capitaine Archybald affirmait avoir vu dans son établissement, et non ma personne.

Nous passerons également sur ses appréciations subjectives qui tendraient, à l'instar de monsieur Topheez, à faire passer monsieur Zebu pour un homme corpulent au point de ne point souffrir des maux de l'ivresse, tant nous les jugerions ridicules si elles n'étaient fort déplacées pour quelqu'un qui se veut arbitre impartial d'une affaire.


Là, il rabibocha son pourpoint, et posa enfin sa question à monsieur Topheez.

Moi qui ait eu la chance de vous côtoyer de près monsieur Topheez, jusqu'à partager avec vous quelques campagnes politiques, je sais que vous êtes un homme intègre et consciencieux. Pouvez-vous donc me dire comment vous avez pu tomber dans cette machination grossière, et de vous faire sciemment le fervent complice d'une condamnation ubuesque intégralement fondée sur le bon plaisir ou le bon vouloir d'une femme aujourd'hui décédée qui se fait à la fois témoin, plaignant, procureur, expert médical, et comptable sans qu'à AUCUN MOMENT vous n'ayez l'intelligence -ou au moins l'honnêteté- de ne pas prendre une certaine distance avec les arguments de l'accusation ?
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Topheez
A la fin du discours de Sancte, Topheez cligna plusieurs fois des yeux, traduisant une certaine incompréhension.

Une machination ? Pour quoi ? Pour qui ? Quel mobile aurait eu Dame Kindjal de commettre un tel forfait ? Si je peux confirmer les tracas que lui causait votre nomination au poste de tribun, je ne vois aucunement en quoi vous emmener au tribunal sur des faits totalement invisibles aux résidents du duché la dédouanerait de ces pressions.

Par ailleurs, vous sous estimez largement son caractère, car je puis vous assurer que beaucoup de maire aurait cédé face aux demandes conjointes du conseil et du clergé de vous démettre de vos fonctions municipales.

J'assume parfaitement l'argumentaire de l'accusation. J'ai toujours eu accès aux registres de Dame Kindjal qui contenaient d'une part l'économie de notre municipalité mais également tous les contrôles journaliers qu'elle faisait en forêt. Je puis vous assurer que lorsqu'elle posait son scalpel, sa dextérité au boulier valait bien la mienne, vous auriez pu en être surpris vous même...


Topheez se tut. Derrière son visage impassible, les souvenirs de sa compagne de taverne envahissait son esprit le rendant un peu mélancolique.
Terwagne_mericourt
Houlla! Ca se corsait en efforts de concentration pour ne rien perdre du fil tordu que déroulait le requérant et qu'il fallait suivre sans le lâcher d'un pouce! Diantre, c'est qu'il était long son fil! Même la pauvre Ariane en aurait été jalouse!

Quoi qu'il en soit, à défaut de tenir le bon bout, la Juge ne perdit pas le fil.

Quand le témoin toujours à la barre eut répondu, elle s'enquit de savoir si le requérant désirait également interroger l'autre témoin.


Bien, bien, bien!

Messire Sancte, désirez-vous continuer à faire le travail de votre avocat à sa place et interroger Dame Maylis?


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Sancte
Ne feignez donc pas l'incompréhension, senher Topheez, lorsque vous n'ignorez rien du climat de ce procès. Vous êtes un homme averti à laquelle l'ingénuité se prête fort mal. Mais pour vous éclairer en même temps que la cour, voici la synthèse que j'en tire. Au travers de ma simple condamnation, Kindjal escomptait satisfaire toutes les parties en place. Mettons-nous donc un instant à sa place:

- A l'Église, elle offre la condamnation (sous quelque motif que ce soit) que cette dernière réclamait et qui faisait pression tout à la fois sur elle et sur son poste.
- A moi, elle me permettait de conserver malgré tout mon poste de Tribun, même si pour cela, il fallait en payer le prix.
- A elle-même, elle s'offrait le luxe de montrer aux Montalbanais qu'elle ne se laissait pas dicter ses choix concernant le poste de Tribun et en se positionnant juridiquement contre ma personne, elle se soustrayait de facto à la menace de l'excommunication, qui d'ailleurs, n'est apparue qu'une fois sa disparition avérée.


Il se tourna alors vers mademoiselle le Juge, et là, enfin, je vous le donne en mille:

J'en ai terminé votre honneur. Je n'ai pas de questions à poser à Dona Maylis. J'estime que son intervention est déjà assez représentative des capacités qui sont siennes et propres à produire le verdict que l'on connaît.

Si le métier d'acteur ne faisait qu'exceptionnellement partie de son quotidien, il était pourtant une constante du barreau. Une réalité judiciaire forcément coutumière de ces lieux. S'il se désolidarisait pleinement de la politique spectacle, il était parfois contraint de faire entorse à ses principes pour ne pas aller contre son propre intérêt. Certes, on pouvait toujours se demander s'il n'aurait pas mieux valu laisser Eymerich œuvrer jusqu'au bout. Mais non. Plutôt se servir soi-même que d'être demandeur d'un service que l'on est momentanément en mesure d'assumer. Avec le temps, ces ambiances feutrées ne l'effrayaient plus guère, quoiqu'elles ne cessaient à chaque fois de l'étonner tant elles se trouvaient inégalement spectaculaires. Reste qu'avocat était une vocation qui nécessitait une formation qu'il n'avait pas reçue. Et un conseiller tiers n'est jamais superflu, même s'il n'est pas absolument identique au prototype même de la profession. Et en l'occurrence, c'est rien de le dire ...
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Terwagne_mericourt
Je vous remercie...

Nous allons donc pouvoir nous diriger vers le réquisitoire de notre Procureur, si je ne m'abuse.

Je vous laisse à tous deux heures (jours HRP) pour vous exprimer une dernière fois, si vous avez quelque chose à ajouter, et ensuite nous écouterons la plaidoirie de l'avocat du requérant.

Maître, veuillez vous préparer, je vous prie, afin que nous ne perdions guère de temps ensuite.

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