---fromFRVlad Darksun
Vlad arriva sur un terrain vide de construction. Idéal pour la construction d'une petite église ici se dit il.
Il écrivit a des amis de partout et recus quelques semaines plus tards des convois complêts de pierres, de bois et d'hommes artisants.
Ils se mirent tous au travail pour construire la plus belle Église qu'une capitale peux avoir. Certe ce n'est pas comparrable a la Cathédrale, mais elle est des plus belles. Les artisants travaillèrent en chantants, sifflottants et même par moment on pouvait entendre certains rirent aux éclats.
Après plusieurs semaines de dur labbeurs, de sueurs. Les hommes artisants avaient accomplits leurs tâchent respectifs. Les boiseries resplendissaient, les pierres était tous allignées comme les pierres des plus grandes constructions de ce monde.
Tout y était, le fer forger, le bois travailer ainsi que certaines pièces de pierres sculpter.
Enfin les citadin et villageois pourront venir écoutés, apprendrent, et même se receuillir dans un endroits qui sera le leurs. L'heure de la bénédiction du lieu est imminants. Il devras demander a Monseigneur Avalon si il accèptra un tel honneur.
Il entra et remarqua que même l'intérieurs na pas été négliger. Tout y était, des banc pour acceuillir les parroissiens, l'Autel, Les statues a l'éfigie de Cristos, d'Aristote, de Saint-Michel, Bougies... Tout y était.
Il apposa une plaque de comémoration pour St-Michel:
Il ne restait plus qu'a écrire a Monseigneur pour qu'il vienne lui même faire la bénédiction des lieux.
Il s'empressa a écrire a Monseigneur Avalon et par la suite comme tout homme il alla se reposer a la sacristie, s'endormit dans ses prières, le livre des vertues a la main.
(hrp on: serais-ce possible aux censeurs de mettre ce sujet en post-it? hrp off)
mit en post-it à la demande de l'auteur
petitefée
Il écrivit a des amis de partout et recus quelques semaines plus tards des convois complêts de pierres, de bois et d'hommes artisants.
Ils se mirent tous au travail pour construire la plus belle Église qu'une capitale peux avoir. Certe ce n'est pas comparrable a la Cathédrale, mais elle est des plus belles. Les artisants travaillèrent en chantants, sifflottants et même par moment on pouvait entendre certains rirent aux éclats.
Après plusieurs semaines de dur labbeurs, de sueurs. Les hommes artisants avaient accomplits leurs tâchent respectifs. Les boiseries resplendissaient, les pierres était tous allignées comme les pierres des plus grandes constructions de ce monde.
Tout y était, le fer forger, le bois travailer ainsi que certaines pièces de pierres sculpter.
Enfin les citadin et villageois pourront venir écoutés, apprendrent, et même se receuillir dans un endroits qui sera le leurs. L'heure de la bénédiction du lieu est imminants. Il devras demander a Monseigneur Avalon si il accèptra un tel honneur.
Il entra et remarqua que même l'intérieurs na pas été négliger. Tout y était, des banc pour acceuillir les parroissiens, l'Autel, Les statues a l'éfigie de Cristos, d'Aristote, de Saint-Michel, Bougies... Tout y était.
Il apposa une plaque de comémoration pour St-Michel:
Citation:
La vie de Michel
Michel grandit donc parmi les pauvres dOanylone en apprenant par son père lart de la chasse et du maniement de la lance. De sa mère il apprit à suivre les indices laissés par les animaux quil chassait. Il appris également à lire les étoiles pour trouver sa route. Vivre avec ses neufs frères et surs lui inculqua le partage et lamour des autres.
A lâge de treize ans Michel avait déjà la carrure et la force dun adulte, aîné des garçons de la famille, cétait souvent lui qui défendait ses frères et soeurs en sinterposant face à ceux qui leurs voulaient des misères. Et bien quil nait jamais blessé personne, il était craint et respecté par ceux des faubourgs. Très vite on lui demandât darbitrer les conflits car on disait de lui quil pouvait lire dans le cur des gens.
Quand il ny avait pas de preuve pour départager deux personnes, il déposait sa lance sur la tête dun des deux, et, si la lance restait en équilibre, cest que la personne disait la vérité, dans le cas contraire il mentait. Mais très vite, il ne devait même plus utiliser sa lance.
Le seul fait dannoncer quon le ferait venir, le coupable renonçait, et les choses se réglaient delle même.
Michel grandit donc parmi les pauvres dOanylone en apprenant par son père lart de la chasse et du maniement de la lance. De sa mère il apprit à suivre les indices laissés par les animaux quil chassait. Il appris également à lire les étoiles pour trouver sa route. Vivre avec ses neufs frères et surs lui inculqua le partage et lamour des autres.
A lâge de treize ans Michel avait déjà la carrure et la force dun adulte, aîné des garçons de la famille, cétait souvent lui qui défendait ses frères et soeurs en sinterposant face à ceux qui leurs voulaient des misères. Et bien quil nait jamais blessé personne, il était craint et respecté par ceux des faubourgs. Très vite on lui demandât darbitrer les conflits car on disait de lui quil pouvait lire dans le cur des gens.
Quand il ny avait pas de preuve pour départager deux personnes, il déposait sa lance sur la tête dun des deux, et, si la lance restait en équilibre, cest que la personne disait la vérité, dans le cas contraire il mentait. Mais très vite, il ne devait même plus utiliser sa lance.
Le seul fait dannoncer quon le ferait venir, le coupable renonçait, et les choses se réglaient delle même.
Il ne restait plus qu'a écrire a Monseigneur pour qu'il vienne lui même faire la bénédiction des lieux.
Il s'empressa a écrire a Monseigneur Avalon et par la suite comme tout homme il alla se reposer a la sacristie, s'endormit dans ses prières, le livre des vertues a la main.
(hrp on: serais-ce possible aux censeurs de mettre ce sujet en post-it? hrp off)
mit en post-it à la demande de l'auteur
petitefée