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[RP] Église Saint-Michel du Mans

Nash
Nash c'était enfui de la taverne supportant mal les disputes elle venait se recueillir avant la messe

seigneur pourquoi deux personne travaillant a la même cause ne peuvent s'entendre ?
Pourquoi les mots doivent ils toujours faire mal?

Si j'avais une prière ce jour elle serait que la comtesse et notre bon évêque unissent leurs forces pour le bien de la ville en arrivant a discuter sans se disputer


Nash ferma les yeux laissant le calme de l'église entrer en elle en attendant la messe
Irella, incarné par Anorion2
Posté par LJD Anorion à la demande de LJD Irella suite à des problèmes techniques


Le Mans...
La route avait été calme depuis Montmirail et c'est par ce petit matin pluvieux qu'Irella retrouvait la capitale. Elle avait fait une halte à l'auberge qu'occupait Anorion. Heureux de se retrouver pour quelques jours.
Pourtant, la diaconesse ne resta que peu de temps auprès de son époux. Elle devait retrouver Honoré pour célébrer les funérailles de leur frère Bakuto, disparu soudainement.
Irella retrouva sans difficulté la ruelle qui devait la mener à la petite église Saint-Michel et une fois devant l'édifice, se signa et entra.
Le silence régnait... La porte se referma sur elle, emportant son grincement dans les hauteurs de la nef.

La jeune femme fit une brève prière et portant son regard alentour, vit que tout était prêt pour la cérémonie. Honoré avait du passer plus tôt, et peut être même était il non loin de là à se préparer.

Irella s'approcha des cordes qui lui permettrait de sonner le glas... sinistre envolée qui alerteraient les manceaux.


DONG... DONG... DONG...
Simeon.got
Honoré était occupé à se préparer dans la sacristie quand il entendit du bruit, sans doute était-ce Irella, elle lui avait promis de faire sonner le glas parce que ces derniers jours ses douleurs dorsales s'étaient réveillées, alors, soit le temps était à la pluie, soit le prélat était trop accaparé par les soucis, heureusement, un bonne nouvelle venait de lui parvenir, Passion avait racheté son champ.

Honoré s'était promis de ne pas quitter le maine sans rendre hommage au frère Bakuto disparu depuis quelques semaines déjà. Il n'avait pas officié de funérailles à proprement parler parce que sa veuve n'en avait pas émis le souhait, selon ce qu'il savait, elle avait quitté le Mans pour quelques temps, le poids de la tristesse avait dû l'inciter à prendre cette décision, le changement d'air était souvent bénéfique, en tous les cas, une messe en souvenir de Bakuto aiderait tout autant le défunt à trouver la paix et le chemin de la lumière solaire.

Honoré était prêt, il sortit de la sacristie et se dirigea directement derrière l'autel ; sa fille allait sans doute apparaître et de fait, ce fut le cas, pendant qu'elle remontait la nef, la lumière qui traversait les vitraux la nimbait d'une telle façon qu'Honoré aurait cru être face à un ange, il ressentit un pincement au coeur, les clercs du Mans lui manqueraient à coup sûr et sa fille encore plus, ne voulant pas laisser paraître sa peine, l'évêque accueillit son enfant par ces quelques mots:

- Ma fille, quel bonheur de vous retrouver au Mans, venez mon enfant, nous allons attendre un peu que les fidèles arrivent et puis nous débuterons l'office!
_________________
Anorion2
Anorion savait avec une parfaite certitude que son épouse adorée était à sa place, dans cette belle église. Il s'était arrangé pour pouvoir quitter temporairement toutes ses charges et venir la soutenir dans ces moments pénibles, bien qu'il ne soit pas certain de qui d'eux soutiendrait l'autre.

Il entra donc dans l'édifice, silencieusement. Se signa. et approcha de l'autel qui, cette fois, servirait au départ d'un mainois vers des lieux sacrés.

Il salua chaleureusement l'évâque, Honoré.


Bonjour Monseigneur ! Heureux de vous revoir, malgré les circonstances.


Puis vint saluer sa bienaimée et l'embrasse tendrement.

Bonjour ma tendre Irella ...


Enfin, il alla prendre place dans les rangs des fidèles.
Simeon.got
Un des premiers qui entra dans l'église, fut le sieur Anorion qu'Honoré n'avait plus vu depuis un bon moment, il le salua avec tout le respect qu'il avait pour ce mainois même s'ils n'étaient pas toujours d'accord sur certains sujets...

- Content de vous revoir sieur Anorion, soyez le bienvenu en cette église Saint-Michel du Mans et quant aux circonstances, elles sont ce qu'elles sont, la vie est indissociable de la mort, c'est ainsi!

Ensuite, Le regard du prélat vira vers Irella:

- Ma chère fille, nous allons débuter l'office, si vous le voulez bien!

L'évêque étendit quelques parchemins sur l'autel et ouvrit le livre des vertus à l'emplacement du signet...

- Mes amis, mes frères, mes sœurs, Si nous sommes réunis en ce mercredi onze août MCDLVIII, c’est parce que nous souhaitons rendre un dernier hommage à feu notre frère et ami Bakuto, je n'ai pas su s'il avait été inhumé pars ses frères templiers, sans doute est-ce le cas, toutefois, deux précautions valent mieux qu'une car je ne souhaiterais pas que son âme lévite entre terre et ciel, il mérite amplement le paradis solaire .

Tournant les pages...

- Avant de vous parler de notre frère, ami et époux, Irella va vous faire réciter la prière du pardon!

Honoré sourit à sa fille...
_________________
Irella
C’est quand il sortit de la sacristie qu’Irella l’aperçut et l’entendit l’accueillir.

C’est un bonheur partagé, père.

Irella voyait arriver à grand pas le moment où leurs chemins se sépareraient, et même si elle savait que les liens qui les unissaient étaient plus forts que l'éloignement, elle appréhendait ce moment. Ils échangèrent quelques nouvelles et ne furent pas longs à voir arriver les premiers fidèles venus rendre un dernier hommage à ce frère qui avait tant donné de sa personne.
Parmi les silhouettes qui se pressaient pour prendre place, l’une attira l’attention d’Irella. Le contre-jour ne lui permettait pas de distinguait ses traits mais elle aurait reconnu entre tous sa démarche, ses gestes. Anorion les rejoint. Quelques mots échangés, quelques baisers aussi, et chacun rejoint sa place, l’office pouvait commencer.

Quand Honoré invita Irella à faire réciter la prière, celle-ci s’avança d’un pas au devant de l’autel.


Mes frères, mes sœurs, pour accompagner l’âme de notre frère, confessons nos péchés pour purifier nos cœurs.



Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour
moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

_________________
Anorion2
Et Anorion de réciter les paroles de la prière :

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Simeon.got
Honoré se mit à réciter la prière du pardon avec sa fille, chaque mot lui était un peu adressé, il s'en voulait de la laisser même s'il savait quel était entre de bonnes mains..Honoré la regardait et lui disait en pensée, oui pardon, pardon mon enfant...

- Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Ensuite, le prélat poursuivit la cérémonie...

- Mes amis, mes frères, mes soeurs, pour celles et ceux qui ne le sauraient pas, notre frère Bakuto était templier, c'est-à-dire qu’il faisait partie d’un Ordre Militaro religieux, il était donc régulièrement appelé en mission, il a notamment combattu les lions de Judas, à Genève et quel plus beau cadeau pouvions-nous lui offrir si ce n’est de vous expliquer la tâche qui lui incombait en tant que militaire religieux, celle qu’il a accompliê durant sa courte vie avec bravoure et dévouement!

En bref, ce qu’implique le fait de guerroyer au nom de la Foy et du dogme aristotélicien, pour cela Irella va vous lire un passage d’un texte qui fait référence à une de nos doctrines aristotéliciennes, il s’agit de « la sainte et justifiée violence » :


- Ma chère Irella, ne nous faites pas languir plus longtemps, votre voix nous enchante à chaque lecture! L'évêque lui fit un clin d'oeil...
_________________
Irella
A l'invitation d'Honoré, Irella sourit. Si le moment n'avait été grave aurait-elle glisser une boutade sur le plaisir à faire languir, mais ce n'était pas de circonstance, si bien qu'elle se contenta de s'approcher du lutrin et d'un geste qui lui était devenu familier, passa sa main sur la page ouverte. Geste apaisant qui la plongeait presque instantanément dans le texte qu'elle avait à faire partager. Elle repéra le passage dont ils avaient convenu et d'une voix claire d'adressa à l'assemblée, levant de temps à autre la tête.

Citation:
Tout d'abord, rappelons-nous que l'hérétique n'est plus un être faisant partie de la communauté humaine, il s'est de lui-même, où parce qu'il a été convaincu, désolidarisé de ses pairs, il s'est ainsi coupé du monde dans lequel il vit. Ensuite, n'oublions pas non plus que le prêche et le fait de porter la parole divine est toujours indispensable, quelque soit l'option qui ait été choisi pour lutter contre l'hérésie. Seules les armées de fidèles appartenant à la Congrégation des Saintes Armées, et ses alliés, se devront d'agir et ce, dans le stricte encadrement d'hommes de foi, vertueux et ayant toujours en point de mire, la résolution du conflit dans les plus brefs délais. il n'est nullement profitable d'envoyer des soldats, aussi fidèles soient-ils, porter la guerre sans avoir de garde fou dogmatique et canonique. Le guide spirituel se transforme alors en sage religieux dont la parole doit apaiser ceux qui vont combattre, les guider et les aider à comprendre leurs gestes, car, après tout, dans cette bataille, fut-elle contre le mal absolu, il n'en reste pas moins qu'un homme peut être amené à en tuer un autre, outrepassant ainsi l'interdit du meurtre, transversal à nos royaumes.

Il est important de considérer que celui qui brandit l'épée n'est que le messager de la parole divine, il est celui qui applique des solutions extrêmes pour éviter au plus grand nombre de subir le courroux Divin, et non, animé d'une volonté de tuer par choix. Ses convictions religieuses doivent être des plus profondes et sa Foi des plus vertueuse car sans cela, le risque est de provoquer la colère du Très haut. Ainsi, il faut observer la plus grande prudence dans le recrutement des soldats de Dieu, s'assurer que l'homme qui porte l'arme au nom de la Foi et de l'Eglise est un modèle pour les autres. La Sainte Eglise ne saurait tolérer qu'un des siens commette quelque exaction que ce soit, au risque de discréditer tout ce en quoi la communauté Aristotélicienne croit, de mettre à mal toutes les valeurs que porte l'institution religieuse et in fine, de corrompre le sens même de la vie. La défense armée de la foi n'est pas affaire de vengeance, de colère, ni même de haine, elle se doit de toujours rester en raison de l'amour que l'on porte aux siens, de l'amitié qui unit les peuples, de l'unité et de l'universalité de la Sainte Eglise.


Quand les derniers mot résonnèrent, Irella se recula d'un pas. Un regard, un sourire au père qui officiait, la parole lui était rendue.
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Simeon.got
Honoré adressa un signe de tête entendu en direction de sa fille...

- Mes amis, mes enfants, mes frères, mes soeurs, aujourd'hui nous sommes donc là pour nous remémorer Bakuto, cet ami, ce frère, cet époux si cher que nous avons perdu il y a peu. Nous nous souviendrons de lui comme quelqu'un de modéré, tous les échanges que j’ai eus avec Bakuto ont toujours été très cordiaux, jamais un mot plus haut que l’autre, cet homme était un modèle d’humilité, ce sont des hommes de sa trempe qui doivent servir les ordes militaro religieux, parce qu'ils savent défendre la Foy avec les armes mais sans colère, sans haine, juste parce que c'est indispensable si l'on veut garder un équilibre, en ça Bakuto était précieux car doué de discernement, ce qui n'est pas donné à tout le monde.

- Mais le Tout Haut a décidé de le rappeler à lui, il ne faut pas oublier, que le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure" mais à présent qu' il est parti, il nous manquera. »


Le prélat invita les personnes présentes à respecter une minute de silence...ensuite, il poursuivit:

- A présent, c'est Irella qui va terminer l'office, ma fille, voulez-vous prendre ma place?
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Irella
Le silence se fit... Il emplit l'église...

Venaient juste le troubler, quelques voix de charretier, et les roucoulades des pigeons qui paradaient sur la fêtière de la sacristie.

... La voix de Batuko lui revint en mémoire quand il entrait dans la salle où se tenaient les réunions des clercs du Maine.
"Bien le bonjour, mes amis, je suis heureux de vous voir..."
Cette voix grave qu'on entendait résonner au plus profond de sa poitrine et qui était en harmonie avec sa carrure robuste. Elle se souvenait de ce frère...


Mes amis, mes enfants... Cette voix-ci la fit sursauter. C'était celle Honoré qui commençait son hommage. Quand il eut terminé, il invita Irella à poursuivre la cérémonie. Elle laissa le clerc se recueillir une nouvelle fois, et s'avança.

Mes frères, mes soeurs, levons-nous pour louer le Très-Haut. Elevons nos voix, élevons nos coeur, élevons nos voix en choeur pour entonner le Credo.



Enfin, Irella s'approcha alors du cierge qui se consumait au pied de la statue de Christos. Elle en alluma un nouveau sur la flamme de l'ancien et le posa à côté.

L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire la route de Bakuto, qu'elle le conduitse maintenant au Royaume du Très-Haut !

Mes frères, mes soeurs,
Allez dans la paix d'Aristote!


La diaconesse se tourna vers Honoré et d'un sourire l'invita à rejoindre ceux et celle qui commençaient à sortir. Elle s'avança au devant d'Anorion qui l'attendait.
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Ricopat
Au petit matin, Rico se présenta devant l'église, la mine fatiguée. La retraite lui avait été benefique mais à peine revenue que les soucis étaient de retour. Elle avait eu une nuit plutôt agitée, un peu préoccupée en ce moment. Enfin bref, c'est pas pour ça qu'elle était là !

Elle avait fait une promesse. Elle poussa donc la lourde porte de l'église et entra pour y faire une priere. Cette priere était pour une personne chere à son coeur qui allait risquer sa vie aujourd'hui et bien qu'elle se voulait rassurante devant elle, elle avait très peur pour sa vie ainsi que celle de son ami. Elle fit donc une priere pour chacun d'eux et alluma un cierge, esperant que tout ira bien pour eux.

Elle resta un bon moment en cet endroit, appréciant le calme de l'endroit, puis pris la direction de la sortie.
Thibaut
Après des jours de marche, il était arrivé au terme de son voyage. Après avoir visiter quelques coins du Mans, il prit le chemin de l'église. S'arrêtant devant les lourdes portes, il prit un temps d'arrêt puis entra discrètement dans les lieux. Il se signa avec sa main droite, alluma un cierge et tomba à genoux devant l'autel, en signe de soumission. Voilà quelques temps qu'il n'était pas venu en un lieu saint et n'avait pu que s'arrêter devant les quelques calvaires bordant les routes et chemins.

Il récita le Crédo à demi-voix et parla directement à Dieu pour le remercier.


Dieu Tout-Puissant, je vous remercie de m'avoir guider et protéger jusqu'à la fin de mon voyage. Guidez ceux qui comme moi en ont besoin. Guidez-moi dans mes choix. Faites que les ténèbres dont mon futur est pour le moment voilé se disperse.

Je me soumets à votre grandeur et à votre jugement car vous seul savez ce qui est bon pour vos enfants.

Amen.


Thibaut resta à genoux continuant de prier tel qu'il le faisait lorsqu'il était plus jeune.
Chapoto
Arrivé depuis quelques jours dans la capitale, Chapoto se rendit à l'Eglise tôt le matin...
Passion
Passion arriva tard à l'église, mais elle commença quand même la messe....


Hector fit tinter les cloches

Mes amis, soyez les bienvenus dans la maison de Dieu.Mais tout d’abord mes chères paroissiennes, mes chers paroissiens, il nous faut nous repentir de nos pêchés. Prions pour la rémission de nos péchés, et faisons que nous devenions meilleurs chaque jour, en prières, en actes et en pensées !

Citation:
Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour
moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
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