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[RP] Église Saint-Michel du Mans

Indoche
Indoche souriat au Diacre, entendit le Credo et et laissa place à La Pivoine pour commencer la premiére, ensuite Indoche se leva et récitant à voix haute devant l'assemblé.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Indoche sourie à sa Filleule ainsi qu'au Diacre, et rejoignie le banc.
Amaryllis
Après avoir écouté La Pivoine et sa future marraine, elle récita à son tour le crédo appris il n'y avait que quelques semaines de cela par le diacre, Bradwen, responsable de sa pastorale. Le souvenir de ce moment d'échange, de partage et d'apprentissage lui réchauffa le cœur. Attristée par son absence, mais réconfortée par la présence d'Indoche, elle prononça donc :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen.

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Karyaan
Bigre, le diacre avait juste demandé aux marraines de réciter le Crédo, pas aux futures filleules. Et voilà t'y pas que sa comparse de baptême s'y met. Forcément là, si la Comtesse reste muette, ça ne va pas le faire, mais alors pas du tout.
Elle sourit à Amaryllis et attendit qu'elle finisse pour entamer elle aussi ce qu'on lui demandait. Sauf que là, les paroles lui posaient souci. Au sein de sa croyance à elle, on lui interdisait de mentir. Elle ferma alors les yeux, et les paroles de sa mère lui revinrent. Ces leçons qu'elle lui donnait sur leurs Dieux et tous leurs noms. Sur Elle, leur Mère, Elle qui a tant et tant de patronymes. Elle sourit alors légèrement, et ouvrit de nouveau les yeux. Et c'est avec ferveur qu'elle récita ce Credo qui de base n'était pas le sien mais qui le devenait. Car en pensée, tous les noms qu'elle citait étaient à ses yeux d'autres manière d'appeler ses propres Dieux.
Alors elle ne ment plus, car oui elle croit en Dieu, au Très Haut tout puissant. Oui elle croit en cet Aristote, Nicomaque, Phaetis, Christos et tous les autres. Elle y croit oui, cependant, se sont d'autres figures qui portent ces noms dans son cœur et son âme. Parce qu'elle ne peut renier ce qu'elle est et que pourtant, elle n'a pas le choix d'embrasser le culte de ceux qui l'ont accueilli dans le respect de leur croyance, au détriment de la sienne.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN

_________________

"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
Amaryllis
Voyant une légère gêne de dessiner sur les traits délicats de sa compagne de baptême, Amaryllis se questionna... Se remémorant les paroles du diacre, elle se rendit compte de son erreur. Un voile rouge se peint sur son visage alors que la confusion et la gêne la gagnaient. Elle rendit un sourire un peu maladroit à Karyann.
Elle était si enthousiasmée par cet évènement qu'elle se précipitait.

Ne sachant trop que faire - ce qui était dit était dit - elle regarda le bout de ses chaussures, respira profondément pour faire passer cette chaleur de son visage et écouta Karyaan réciter le crédo. Elle le dit avec tant d'exaltation et de dévotion dans la voix qu'elle fut touchée par la douce jeune femme et finit par en oublier sa gêne.

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Indoche
Indoche regarda les bâptisers et les écouta,
" une erreur cela arrive" ce dit elle, Indoche s'avança vers Ama se met derrière elle et lui chuchota:

Ama ce n'est pas grave rassure toi c'est l'émotion, je suis là respire un bon coup et relève la tête pas grave du tout...

Indoche recula et pour ne pas que sa futur filleule se sente rassurer et moins inquiète resta derrière elle.
Charles.diftain
Maintenant, que les deux futures baptisés s'avancent ici, au baptistère, et récitent leur Serment d'Allégeance à l'Église.


Karyaan
Elle savait que ça ne serait pas une partie de plaisir pour elle, la Sorcière. Alors quand le Diacre lu le serment d'allégeance un nœud violent lui vrilla les entrailles.
Surtout quand il clama de reconnaitre l’Église Aristotélicienne. Prêter allégeance à une église qui a injustement jugé ses parents, sa culture, sa croyance. Une Église qui a encouragé ses fidèles à brûler les siens.
Elle avait le goût de la chair calcinée en bouche, celle de sa mère. Et son visage tordu de douleur sous les caresses incandescentes des flammes de la folie humaine.
Et là, on lui demandait de prêter allégeance à cette Église qui lui a tout enlevé, même le droit d'être elle-même.
Elle jeta un regard à sa marraine. Elle seule pouvait comprendre, elle seule savait ce qu'elle était en train de sacrifier. D'autres comme elle sont passés par là, pour se protéger, et surtout protéger les leurs. Et pour la première fois de sa vie, elle allait devoir mentir à s'en arracher l'âme.
Elle ne pu empêcher les larmes lui monter aux yeux, tendue à l'extrême par cet irrespect dont elle faisait preuve et qui la touchait bien plus qu'elle ne l'avait imaginé.
Inspirant et expirant profondément, elle sourit au Diacre, cherchant à montrer que c'était l'émotion d'un bonheur d'être baptisée qui la rendait si émotive. Puis elle prêta serment, murmurant presque.


Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l’Église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l’Être Divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisée et servante de Dieu tout puissant.

_________________

"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
Amaryllis
Elle accompagna Karyaan jusqu'au baptistère et la laissa réciter le serment d'allégence à l'église aristolécienne. Cette dernière lui parut bouleversée en écoutant la demande de Charles Diftain, malgré son sourire. Seul ses lèvres souriaient, mais ses yeux paraissaient emprunts de tristesse.
Ne sachant d'où venait tant de désarrois, Amaryllis essaya de la réconforter du regard. Son empathie naturelle lui faisait toujours partager les heures heureuses de ceux qui croisaient son chemin, tout comme les heures sombres.

Une fois la jeune brune terminée, elle récita à son tour :



Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l’Église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu,
et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l’Être Divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisée et servante de Dieu tout puissant.

_________________
Charles.diftain
Le jeune Diacre aspergea d'eau les deux femmes, disant à chacune des deux :

Je te baptise, ma fille, au nom de la Très Sainte et Universelle Église Aristotélicienne Romaine, et au nom de Dieu, Très-Haut tout puissant, pour l'amitié de tous les Saints et pour l'Amour du Père de l'Humanité.
Karyaan
Baissant la tête à l'approche du Diacre, elle ferma les yeux quand celui-ci l'aspergea d'eau bénite. Le nœud au creux de son estomac se résorbait doucement.
Voilà... c'était fait... elle se détendait, mais ne se sentait pas pour autant plus à l'aise.
Elle jeta un regard à sa marraine et lui sourit légèrement cherchant cette complicité qui liait les deux femmes.
Cela faisait deux ans qu'elle était devenue sa Dame de Compagnie, plus pour la forme que pour la fonction réelle. Une manière particulière de la prendre sous son aile et de la protéger.
Cela faisait deux ans qu'elle la considérait presque comme sa mère.
Aujourd'hui, elle devenait sa filleule. Jamais elle n'aurait accepté le baptême si elle n'avait pas été sa marraine.

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"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
Charles.diftain
Le diacre tendit aux deux femmes nouvellement baptisés les ''présents'' que chaque nouveau baptisés recevaient et dit ensuite.

Mes soeurs, voici un cierge, que celui-ci puisse vous illuminer et vous guider dans le chemin de la Foy et de la Vertue.



Et ceci est la médaille du Fidèle Aristotélicien, conservez-là toujours avec vous, elle symbolise votre Foy.

Indoche
Indoche toujours prèsente, regarda la fin de la cérémonie, e tobserva le Diacre les asperger d 'eau benite.

elle se souvient de son baptême à Montmirail, les souvenirs sont si fort qu'elle en laissa coula quelques larmes, mais fit un sourire à son amie et filleule Ama, elle lui sourit si longuement émue de pouvoir être si prèsente autant de temps.

Indoche continua de regarder e técouta.
Amaryllis
Tout aussi émue que Indoche, Amaryllis tendit ses mains pour se saisir du cierge et de la médaille. Tout heureuse de son nouveau statut de croyante, elle se tourna vers sa marraine et lui rendit son sourire : un lien plus fort les unissaient à présent.
Son attention revint vers le diacre :


Merci, messire Diftain d'Embussy.


Et de se courber en une dernière révérence.
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Indoche
Indoche, pris Ama dans ses bras, la bizouilla, Indoche en était très émue, et fière d'être marraine, elle lui souriait en lui disant:

voilà Ama ton baptême touche à sa fin, j'ai était très heureuse d'avoir pu être ici en ta compagnie même si l'on se voit très peu, je vais devoir repartir demain ou mardi et tu vas me manquer, mais on restera bien entendu très liai, et de grandes amies, prend bien soin de toi, et fait bien attention, à ne pas prendre de risque.

Indoche en avait les larmes aux yeux de devoir partir mais elle sait qu'elle retrouvera son amie, et d' avoir de ses nouvelles par pigeons, et lui sourit le rebizouilla , fit une révérence au Diacre en lui souriant:

" Merci mon frère pour cette cérémonie, très jolie même si ça était un peu long, mais je ne regrette pas d'avoir pu rester aussi longtemps, au revoir mon frère"

Indoche sourit à tous, et sortie doucement...
Karyaan
Haussant un sourcil, elle prit le cierge qu'on lui tendait et sourit quand se fut la médaille qui atterrit dans sa main.
Dernier regard à Cerridween qui était restée à distance. Nul besoin de mot entre elles, et certainement pas d'embrassades.
Juste un sourire pudique et discret échangé et celle que certains nomment la Pivoine Noire recule dans la pénombre et y disparait.

En silence, ses yeux de brume suivent la silhouette s'en aller.
En silence, elle sait qu'il y a des devoirs qui ne souffrent d'aucun laisser aller.
En silence, elle lui dit encore adieu.
Priant, toujours en silence, tous les Dieux qu'elle vénère pour que rien arrive à celle qui repart à la guerre.

Inspirant profondément, elle reporta son attention sur le Diacre et le salua.


Je vous remercie énormément mon Père
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"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
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