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[RP] Église Saint-Michel du Mans

Minlawa
Bonjour Monseigneur

Minlawa rendait un signe de tête humble, simple mais aussi très souriant

Bonjour ma fille, heureux de vous voir à la messe.

S’en suis une succession de « bonjour/bonjour, vous allez bien ?/bien merci et vous?/bien et vous ?/ Ha ma foi pas si mal/Ha bien bien !

Jusqu’au moment ou un tonnerre s’abattit sur terre par l’intermédiaire de la jeunesse : Marine.

Vin de messe à volonté ! Venez !

Et que dire du frère qui sortait du même tonneau :

Et j'veux mon tonneau d'vin à la fin dis. T'oublies pas hein ?

Le faux sourire de Minlawa, le regard n’étant pas à l’unisson de ce qui s’affiche grâce aux lèvres. Presque comédien.

Position de l’Atémi. La main gauche retenant la main droite au niveau de la tranche externe de la paume. Traduisant une colère non exprimée par Minlawa. La main gauche empêchant la main droite de frapper son interlocuteur.

Minlawa alors tournait les talons vers l’interieur et passa la grande porte, prit une chaise de prieur du dernier rang et l’apportait à l’extérieur, la posa devant le Jeune Marc.

Il fait un sourire amusé, presque condescendant.

Ainsi, vous aussi vous serez assis, comme tout le monde.

La main droite se refugie sous l’épaule gauche, paume plaquée sous l’aisselle gauche. Geste rassurant, paume entrant en contact avec ses battements de cœur. Tant que le cœur bat, tout va. Minlawa avait reprit son optimisme pour ces deux âmes.
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Roberty
le grand avait vu les affiches "Messe aujourd'hui au Mans" il sourit et se dirigea vers la porte qui était entrouverte.

[b]-Bonjour Monseigneur, ce n'est quand même pas le vin qui fait venir tout ce monde, rassurez-moi !![/b]

Il trouva une place au fond, c'est là qu'il se sentait le mieux pour prier, et il en avait besoin
Quelfalas
Il était l'heure de commencer. Elle traversa l’Église et à alla à l'autel.

Bonjour à tous !
Je suis heureuse de vous voir si nombreux aujourd'hui.
Nous sommes le 29 avril. Ce jour peut déjà être considérer comme historique car Marc nous fait presque l'honneur d'etre dans l’Église.


Elle leva la main en souriant et montra la porte qui était ouverte


Pardon, je m'égare. Commençons par demander le pardon de nos pêchés.



Elle attendit que les ouailles présentes reprennent en cœur ce pardon.
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Clergé du Mans.
Schtroumpf
Schtroumpf était entré un peu en retard et se mis vite fait en fond d'église.


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi,mes Amis,
parce que j'ai péché, en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les Saints, et tous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.

Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Accro à la CAM, juge en tandem, en place arrière évidemment (pédale!)
Radagast


Radagast avait reçu un drôle de message qui stipulait à aller à la messe avec de l'alcool, il n'avait pas beaucoup d'argent donc ne pris que quelques choppes de bières, il entra en silence dans l'église et s'asseya sans faire de bruit
Kalie74
Cela faisait longtemps que la sergent d'Armes Templier était rentrée dans une église ...trop de choses affreuses depuis son retour , la-bas au loin , les hérétiques lui en avait fait voir de toutes les couleurs ...comment pouvait -on au Nom d'un Dieu se massacrer ...elle voulait tellement croire que finalement tout cela venait des Hommes , mais elle doutait ...encore .

Elle se plaça , pas très loin de Kroumpf , le salua d'un signe de tête ...elle l'avait très peu croisé ,le gratifia d'un demi-sourire ...rare de rencontrer ses collègues en ce lieu.

Joignant les mains sur sa poitrine , elle croisa les doigts et récita en pensées ...


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant,

à tous les Saints, et à vous aussi,mes Amis,

parce que j'ai péché, en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les Saints, et tous, mes Amis, de prier le

Créateur pour moi.

Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la

rémission de tous nos péchés.
...

Une impression étrange de réciter ces quelques mots ...elle attendait surement une réponse , depuis trop longtemps , hélas !
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Yvondelaroulette
Enora avait regarder l'église se remplir petit à petit, saluant de la tête de temps à autre. Puis elle reporta son attention vers l'autel et récita :

- Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
Et tous mes Amis de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Quelfalas
J'ai aujourd'hui choisit un passage du livre des vertus sur le sens de nos vies. J'ai rencontré des gens qui ne voulait point trouver le leur. Ou qui pensait l'avoir trouver. Il n'en est rien tant que nous n'avons compris que nous vivons pour l'amour. Mais écoutons ce que Oane nous dit à ce sujet


Elle ouvrit le livre des vertus et commença à lire un passage.

Citation:


Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

Et Dieu lui demanda: “Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire!”. Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: “Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste...”. Et Dieu lui ordonna: “Parle et je te le dirai!”.

Alors, Oane répondit: “Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.”

“C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créé alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.


Quelfalas fit une pause, reprenant son souffle pour le sermon.



Les humains croyaient que Dieu ne les aimait point et pensait être dépourvus de talents. Mais Oane, quand Dieu posa sa question pour décider quelles serait les créatures qu’il appellera « Mes enfants », avait la bonne réponse et Dieu le sentit au fond de l’esprit d’Oane. La question était : « Vous vivez grâce à Moi, car Je suis votre créateur. Vous vous nourrissez, vous vous reproduisez, vous élevez votre progéniture. Mais vous ne savez pas pourquoi vous vivez. Selon vous, quel sens ai-Je donné à la vie? » et la réponse : « l’amour ».
Dieu a fait de nous « Ses enfants » parce qu’Oane a bien répondu à la question du Très-Haut, alors nous nous devons comme de l’aimer pour cela et de nous aimer entre nous au lieu de nous faire la guerre ou de nous battre pour des problèmes qui peuvent être résolus d'une autre manière. Plutôt que de nous disputer, aidons-nous les uns les autres à régler ces problèmes.
Il faut donner de l'amour sans attendre en retour qu'on nous en donne. Il faut prendre du temps pour l'autre. Comme je l'ai dit lors de ma précédente messe, vivre comme un ermite sans aimer les Hommes ne sert à rien. Cela n'a pas de sens.
Et pour commencer à aimer les autres, il faut commencer par croire en soi-même. Croyez en vous même, en vos capacités. A ce que vous voulez être, dans la vertu. En vous disant de vous aimer vous même, je ne fais point une fleur au narcissisme. Ce n'est pas le but. Il faut se connaitre, pour savoir qui on est.
Et pour se connaitre, il faut faire la rencontre avec soi-même et apprendre à être tel qu'on est. Et s'aimer. Alors là, vous réussirez à aimer les autres, votre entourage, les gens que vous ne connaissez pas.


Elle ferma le livre. Elle laissa un temps de réflexion et de prière personnel. Il fallait que chacun comprenne les mots, les assimile, les ressentent.

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Clergé du Mans.
Marc
Euh...Non mais merci, ça va aller, je préfère rester debout je pense et...Euh... remarquant le regard plus qu'insistant de l’Évêque, il changea d'avis, pensant que le "non" était finalement une réponse proscrite :
Enfin...Oui, merci pour la chaise.

Il s'y assis donc, mal à l'aise à cause de Min, ignorant les regards étranges que devaient lui donner les passant ainsi que les réflexions du genre " Mais qu'est c'qu'il fout dehors c'bougre d'âne ?"

Mais peu lui importait. Il avait promis alors... Enfin la messe commença. Il rentra sa tête dans ses épaules , gêné, quand il entendit la remarque ironique de la diaconesse à propos de sa présence ici. Puis vint le tour du crédo... Où il se contenta de marmonner entre ses dents des mots indescriptibles. Vu que de toute manière, le crédo, il ne le connaissait pas. Alors autant faire comme si...ça passerait sans doute.

Il n'écouta qu'à moitié le passage extrait du livre des vertus, l'ayant feuilleté une fois et en ayant conclu qu'il était juste bon à lire aux enfants le soir, pour les endormir avec des histoires fantastique plein la tête.
Il plissa légèrement les n'yeux au moment ou Quel commença son sermon, l'écoutant plus par respect que par réel intérêt. Sauf peut-être la parti sur la confiance et l'amour de soi. Il avait rêvé, ou c'était directement pour lui qu'elle parlait de ça dans son sermon ?

Tout le monde avait l'air plongé dans ses pensées soudainement, la diaconesse ayant laisser le silence s'installer. Il fit de même, r'abaissant la tête en se mordant la lèvre.

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--La_mariotte



La roussotte reprit tout doucement le Crédo avec les autres :

- Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
Et tous mes Amis de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Puis elle écouta le passage du Livre des Vertus avant de suivre attentivement le sermon. Elle ne faisait pas partie de ces gents intelligents qui savaient réfléchir sur tout et n'importe quoi, et encore une fois elle s'émerveilla de la facilité avec laquelle les prêtres savaient donner un sens aux écrits saints.





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Quelfalas
Quelfalas se plaça derrière l’autel et se saisit de la coupe qu’il porta à ses lèvres. Puis tout souriant Elle partagea le pain de l’amitié avec les fidèles qui venaient à lui.



Mis à part cela, une petite annonce, je risque de devoir prendre un congé pour quelques temps pour des affaires en champagne. J’espère revenir très rapidement. Vous pourrez toujours m'envoyez l'une ou l'autre missive par pigeon.


Je vous bénis au nom du Très-Haut, d’Aristote et de Christos. Amen.

Allez dans l’Amitié Aristotélicienne !!
!
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Clergé du Mans.
Minlawa
Monseigneur l'évêque du Mans, Minlawa de Montfort, entra tete baissée dans l'église. Il trempa ses doigts dans l'eau bénite comme Il l'avait fait déjà tant de foi et s'installa dans l'église. Assis, seul, Il repensa à ses actions, cherchant à savoir lesquelles étaient vraiment justifiées de celle qu'il n'aurait pas du faire. Puis ne sachant pas trop se décider, Il pria Dieu de l'aider, lui montrer le droit chemin et de pardonner ses fautes, celles dont Il était sûr du moins. Silencieux, Il ferma les yeux, les mains liées.

Puis vint le moment de prier pour une autre âme. Soeur Jeanne, Dict Quelfalas, qui était partie en champagne.


Il récita un extrait d'un champ de prière Teutonique.

Nous sommes Tes humbles serviteurs spirituels.
Nous sommes Ton bras armé et intransigeant.
Ô Toi notre Juge et notre Créateur,
En Toi nous croyons et à Toi nous nous soumettons.

Nous nous en remettons à Ta sainte volonté,
Pour la Paix et la Justice, la Vérité et le Bien,
Pour la Foi et l'Espérance, la Vertu et la Tempérance,
Par le verbe ou par le fer, accorde-nous la victoire!

Déploie Ton bras divin au-dessus de nous,
Rends-nous forts et valeureux d'esprit et de corps,
Permets-nous d'éclairer les ténèbres du Sans-nom,
Sois le témoin de notre loyauté à Ton service.

Pour notre sacrifice accepte-nous en Ton sein,
Ne détournes pas le regard de nos âmes fidèles,
Et le jour venu délivre-nous de nos enveloppes sur Terre
Pour que de là-haut nous T'aidions dans Ta lourde tâche
Ainsi que nous le faisons de notre vivant.

Par Arisote et Par Chistos, Seigneur Très Haut protège tes enfants qui protège la foy et le Maine. Fait que leur sang ne coule pas trop et surtout pas inutilement! Protège les commes nous t'aimons!


Protège aussi Soeur Jeanne, qui est partier avec l'ordre hospitalier, pour nous protèger! Faites que tous rentre pour le souper du soir!

Amen!

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