Snoop71
Snoop ne passait que très rarement par ici, autant il était à son aise sur la place de son village, autant.... la vie du comté, il en était plus éloigné.
Pourtant, il avait un hommage à rendre, et cet hommage, il n'y a qu'en cette place qu'il avait lieu d'être.
Parti de Béziers une carriole bien chargée, il dressa une table avec quelques produits sans prétention, récupérés ça et là sur le marché local.
Juste de quoi manger et boire, et remercier comme il se doit le Coms qui laissait sa place.
Snoop n'aimait pas la politique, et encore moins les politiciens, pourtant il lui fallait se jour tirer son chapeau à un grand bonhomme.
A tous ceux qui comme moi, reconnaissent le travail, et l'évolution qu'a connu notre comté ces 2 mois passés, c'est le moment de dire merci à celui qui a donné de lui pour nous faire avancer.
A la tache sur tous les fronts, il en a donné de son temps et de son énergie, mais malgré ça, il est resté proche des gens, disponible et à l'écoute à chercher des solutions.
Malk, mon ami, j'étais minot quand j't'ai connu, j'ai cru un moment que j't'avais perdu, mais.... force de dire que si y en a un que la politique n'a pas changé c'est toi!!!
Pars pas trop loin, et pas trop longtemps, parce que moi j'crois qu on a besoin de mec comme toi
Snoop était très ému, les larmes lui montaientt, sa voix tremblait, mais comme il espérait que la comtessa passa par là, il reprit son souffle pour terminer.
J'espère que ce que tu as débuté n'est que le début, et que t'auras été suffisamment fort pour donner un nouveau souffle à notre comté.
Tu sais combien j'aime ses terres, j'étais près à les quitter il y a peu, tu m'as donné l'envie d'y croire encore....
A ceux qui arrivent après toi, je souhaite sincèrement que vous respecterez le travail qui a été fait, et que vous continuerez dans cette même voie, parce que moi, c'est ce petit nom de Malkav, tout en bas d'une liste qui m'a dit de vous faire confiance, ne le salissez pas...
Cette fois Snoop ne pouvait plus se retenir, et ses larmes coulaient comme des torrents sur ses joues, vite un truc à boire, tourné le dos au gens qui arrivaient le temps de se reprendre
Pourtant, il avait un hommage à rendre, et cet hommage, il n'y a qu'en cette place qu'il avait lieu d'être.
Parti de Béziers une carriole bien chargée, il dressa une table avec quelques produits sans prétention, récupérés ça et là sur le marché local.
Juste de quoi manger et boire, et remercier comme il se doit le Coms qui laissait sa place.
Snoop n'aimait pas la politique, et encore moins les politiciens, pourtant il lui fallait se jour tirer son chapeau à un grand bonhomme.
A tous ceux qui comme moi, reconnaissent le travail, et l'évolution qu'a connu notre comté ces 2 mois passés, c'est le moment de dire merci à celui qui a donné de lui pour nous faire avancer.
A la tache sur tous les fronts, il en a donné de son temps et de son énergie, mais malgré ça, il est resté proche des gens, disponible et à l'écoute à chercher des solutions.
Malk, mon ami, j'étais minot quand j't'ai connu, j'ai cru un moment que j't'avais perdu, mais.... force de dire que si y en a un que la politique n'a pas changé c'est toi!!!
Pars pas trop loin, et pas trop longtemps, parce que moi j'crois qu on a besoin de mec comme toi
Snoop était très ému, les larmes lui montaientt, sa voix tremblait, mais comme il espérait que la comtessa passa par là, il reprit son souffle pour terminer.
J'espère que ce que tu as débuté n'est que le début, et que t'auras été suffisamment fort pour donner un nouveau souffle à notre comté.
Tu sais combien j'aime ses terres, j'étais près à les quitter il y a peu, tu m'as donné l'envie d'y croire encore....
A ceux qui arrivent après toi, je souhaite sincèrement que vous respecterez le travail qui a été fait, et que vous continuerez dans cette même voie, parce que moi, c'est ce petit nom de Malkav, tout en bas d'une liste qui m'a dit de vous faire confiance, ne le salissez pas...
Cette fois Snoop ne pouvait plus se retenir, et ses larmes coulaient comme des torrents sur ses joues, vite un truc à boire, tourné le dos au gens qui arrivaient le temps de se reprendre