Attila_caligula
Carmody a écrit:
Haussement de sourcil Carmodien et debout de recherche mentale pour remettre ce personnage. Puis a mesure qu'il parlait, l'étincelle fit dans lesprit encombré. Enfin ce fut surtout de le reconnaître celle qu'il connaissait comme la Vicomtesse de Droux a sont coté et d'entendre que le jeune Leu l'appelait mère qui l'aida fortement. Ainsi il réalisa de manière évidente qu'il était face a un Ysengrin. Continuation du haussement de sourcil tout de même car le Carmo n'avait pu oublier la dernière, mais aussi première, fois qu'il avait eu l'honneur d'être invité à La Louvrière, résidence de l'illustre famille.
Brève hésitation sur comment aborder le Noble qui lui faisait la faveur d'une invitation en ces lieux. puis il laissa les mots simplement venir sans chercher a un apporter les nuances sociales si prisée dans ce genre de réunion.
Et bien c'est fort aimable de votre part même si il apparaît aussi qu'on vienne d'ordonner, par l'entremise de ma protectrice du jour, que puisse rester, messire Ysengrin je suppose. Ou tout autres appellation qu'il faille vous donner et sur laquelle vous ne manquerez de m'éclairer, j'en suis sur.
Vous m'excuserez d'être un peu surpris de voir que mon entrée vous ai plu et peut être même amusé, mais j'ai toujours eu l'impression qu'un ..... léger contentieux mobilière avec feu votre demi-frère m'avait poussé loin des bonne grâces de votre famille et comme montrez connaître quelques menu informations sur mon sujet sans que ce ne soit réciproque. L'interrogation de ma part est de rigueur. Ne vous offusquez pas, cela ne changerait l'affaire en rien.
Et je n'ai rien d'un maître, je vous assure. Quant a mes infortunées compagnons de voyage que sont ce garde et le battant de la porte, ma foi, aussi grand soi elle, la Comtesse fera avec eux a sa guise. Bastonnade, latrines, affection a ma garde personnelle ou a la sienne, remise en état pour service futurs, la punition ne me regarde en rien et maintenant qu'ils ne me barre plus la route, je ne vois plus raison d'y porter mon intérêt, Je pense que vous me comprendrez.
Ne décrochant cependant pas un sourire a la fin de ses mots, il reporta a présent son attention sur la mère qui était a pressent partie s'acquitter de son allégeance auprès de al comtesse.
Vous m'excuserez, si il vous plait de le faire, auprès de votre mère pour mon manque civilité a son égard. J'espère que j'aurais un peu plus tard l'occasion de la revoir pour lui exprime le plaisir de la retrouver en des circonstances autre qu'une guerre a mener. Comme toujours avec elle, il en va de soi.
Et là un de ses sourire de renouveau rapide refit son apparition pour repartir dans les limbes de l'inexpression faciale
Je me réjouit de savoir un membre de votre famille de retour sur les terres Limousines. Jai toujours un souvenir particulier envers les Ysengrin que je nai malheureux que trop peu connu a mon goût mais dont la marque restera a jamais.
Brève hésitation sur comment aborder le Noble qui lui faisait la faveur d'une invitation en ces lieux. puis il laissa les mots simplement venir sans chercher a un apporter les nuances sociales si prisée dans ce genre de réunion.
Et bien c'est fort aimable de votre part même si il apparaît aussi qu'on vienne d'ordonner, par l'entremise de ma protectrice du jour, que puisse rester, messire Ysengrin je suppose. Ou tout autres appellation qu'il faille vous donner et sur laquelle vous ne manquerez de m'éclairer, j'en suis sur.
Vous m'excuserez d'être un peu surpris de voir que mon entrée vous ai plu et peut être même amusé, mais j'ai toujours eu l'impression qu'un ..... léger contentieux mobilière avec feu votre demi-frère m'avait poussé loin des bonne grâces de votre famille et comme montrez connaître quelques menu informations sur mon sujet sans que ce ne soit réciproque. L'interrogation de ma part est de rigueur. Ne vous offusquez pas, cela ne changerait l'affaire en rien.
Et je n'ai rien d'un maître, je vous assure. Quant a mes infortunées compagnons de voyage que sont ce garde et le battant de la porte, ma foi, aussi grand soi elle, la Comtesse fera avec eux a sa guise. Bastonnade, latrines, affection a ma garde personnelle ou a la sienne, remise en état pour service futurs, la punition ne me regarde en rien et maintenant qu'ils ne me barre plus la route, je ne vois plus raison d'y porter mon intérêt, Je pense que vous me comprendrez.
Ne décrochant cependant pas un sourire a la fin de ses mots, il reporta a présent son attention sur la mère qui était a pressent partie s'acquitter de son allégeance auprès de al comtesse.
Vous m'excuserez, si il vous plait de le faire, auprès de votre mère pour mon manque civilité a son égard. J'espère que j'aurais un peu plus tard l'occasion de la revoir pour lui exprime le plaisir de la retrouver en des circonstances autre qu'une guerre a mener. Comme toujours avec elle, il en va de soi.
Et là un de ses sourire de renouveau rapide refit son apparition pour repartir dans les limbes de l'inexpression faciale
Je me réjouit de savoir un membre de votre famille de retour sur les terres Limousines. Jai toujours un souvenir particulier envers les Ysengrin que je nai malheureux que trop peu connu a mon goût mais dont la marque restera a jamais.