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[IG/RP] Haute trahison du seigneur du tertre: Procés

Ano.jojos
Bien ! Je vous remercie !

Se tournant vers Donotach :

la défense souhaite-t-elle interroger le témoin ?
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Ano Jojos, Porte-Parole de Touraine
Donotach
Le procureur en avait fini pour le moment avec le capitaine. La juge lui donnant la parole pour interrogé le témoin il le fit.

Se levant, jetant un bref coup d'oeil a l'arrière de la salle, le coeur en miette, mais oh combien apaisé que leurs amis était présent, il prendrait soins de sa douce le temps que le procès ce termine.


Oui vostre honneur j'aimerais interrogé le Capitaine des armées de Touraine.

Puis ce tournant vers celui-ci il commença.

Capitaine, vous m'honorée de vostre présence icelieu et je vous remercie pour vostre franchise.

Pour ma part je n'aurais qu'une seule question pour le moment:

Est-il vrai que l'État Major n'était pas au courant de la mission de pourchasser les brigand se transporterait jusqu'au Berry et que cette décision fut prise au conseil sans que les lieutenants et les sergent n'en soit avisé?
Autrement dit seule le conseil et messire Zebra du Val de Loire, Duc des Roches l'Évêque et Baron de Bourgueil, Chambellan du Duché de Touraine et commandant de l'armée "Pacificatoria Legatio" de Touraine était au courant que cette mission était autorisé à franchir les frontière Berrichonne?

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Kref
Il se tourna vers l'accusé pour lui répondre :

La possibilité de poursuivre les brigands au delà de la frontière tourangelle, en territoire berrichon était une option militaire importante. Je rappelle qu'il y a une trentaine de lieux entre Loches et Chateauroux, la frontière se trouvant au milieu. Poursuivre les brigands sur une dizaine de lieux depuis Loches laissait une zone aux mains des brigands entre la frontière et les murailles de Chateauroux. Le ratissage complet de la route entre Loches et Chateauroux était le moyen de s'assurer qu'aucun brigand ne se cachait en rase campagne côté Berry.

Cette possibilité a été discuté au conseil et des contacts diplomatiques ont été pris par le Duc Zebracolor avec les autorités berrichonnes.

A ma connaissance elles n'ont pas abouti et le passage de la frontière n'a pas été décidé.

Donc pour répondre à votre question : Non l'Etat-major n'a pas été mis au courant de la poursuite des brigands en terre Berrichonne et pour cause, puisqu'aucune décision n'a été validée en ce sens et qu'à ma connaissance l'armée menée par le Duc des Roches l'Evèques n'a pas franchi la frontière.


Qui avait bien pu mettre se genre d'idée dans sa tête ? Pourquoi ne s'en était-il pas ouvert avant toute action inconsidérée ? ... que de gachis
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Donotach
Donotach avait écouté les réponses du capitaine.

Je vous remercie capitaine.

Puis il s'approcha du capitaine et lui murmura:
Vous demanderez à Zébra de vous fournir ses déplacement, vous allez estre surpris de ce que vous entendrez mon capitaine.

Je n'ai plus de question vostre honneur.


Retournant à sa place attendre la suite du procès.
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Ano.jojos
Bien ! Merci ! La procure souhaite-t-elle contre-interroger le témoin ?
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Ano Jojos, Porte-Parole de Touraine
Falco.
Hum....Non.
Mais , avec respect et mesure, défaire ses derniéres paroles.
Avec accord du Berry et bien sur de notre Duc Altaiir, l'armée en charge de la Chasse Ducale a pénétrée en Berry .
Elle projetait de le faire, attendant les autorisations diplomatiques.
C'est d'ailleur ce mouvement qui a conduit l'accusé à rompre ses serments.

J'ai estime en notre Capitaine, et tiens à signifier à notre Juge , qui le sait, que notre Capitaine eu des affaires privées au momnet des faits qui peuvent avoir troublé sa mémoire.

Je pense que ni notre Juge, ni l'accusé ne tiendrons rigueur de cela.

Si la Juge le demande, la Procure pourra détailler nos mouvements et leur logique de chasse, tout comme leur conformité avec le soucis de ne pas provoquer le Berry inutilement.

Bref:
Notre armée a pénétrée en Berry.
Elle fit bien.


A vous, chère Juge.
J'ai terminé, à priori.



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Ano.jojos
Bien

Sire du Tertre, vous avez souhaité interroger les témoins avant de plaider, c'est chose faite. Pouvez-vous expliquer votre geste avant que le procureur ne prononce son réquisitoire ?


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Ano Jojos, Porte-Parole de Touraine
Donotach
Le prévenu entendit l'appel, le moment tant attendu mais redouté. Il se leva, se

râtela la gorge et jeta un coup d'oeil furtif sur ses amis et sa douce.


Regardant la juge et le procureur, il commença.

Madame la juge, nous avons tenté de démontrer les événement qui se sont passé durant les quelques jours précédant ce 30 novembres ainsi que la journée proprement dite.

Ceci était important pour moi, car tout cela fut à l'origine de ma démission spontané, mais réfléchit.

Cela faisait un bon moment que je pensais quitter l'armée car à mon humble avis elle n'est plus l'ombre d'elle même. J'avais eu une permission pour me rendre au Tertre et m'occuper de mes affaires. Mais lorsque j'ai entendu l'appel de l'armée pour la chasse j'ai tout de même répondu et ne suis présenté à l'armée de Zebra.

Je tentais de savoir via l'État Major de ce qui se passait mais il n'y avait rien. J'ai même aidé le lieutenant Line de Gerfault à donner les ordres pour que les soldats soit assigner au bon endroit.

La chasse comme vous l'appeler commença donc de cette manière et je ne me doutais pas de ce que je ferais ce 30 novembre.

Cette journée commença donc comme toute les autres pour moi. Tâche quotidienne faite je me rendit à la tante des soldats pour voir les ordres de la journée. J'y vit le commandant Zebracolor du Val de Loire qui parlait d'une incursion en Berry. Je suis donc allé à l'état major, mais aucune information en ce sens et personne de présent non plus. Je suis donc retournée voir le commandant lui affirmant qu'en tant que supérieur hiérarchique et membre de l'État Major je lui refusait cette incursions.

J'ai eu pour toute réponse un sourire en coin qui en disait long sur ce qu'il pensais de mes ordres. Alors je me suis demandé comment je pourrais l'empêcher de faire l'irréparable. Je suis retournée à l'État Major, mais toujours personne. Je réfléchis donc. Plus je pensais et plus je ne voyais qu'une seule façon de tenté d'empêcher ce mouvement. S'il n'accepterais pas mes ordres, peut-estre que si je démissionnais cela attirerait l'attention et que ce départ empêcherais le mouvement au Berry.

Serte il eu un effet, mais pas tout a fait celui escompter. Regardez dans les réponses du capitaine, il ne savait même pas que les mouvements avait été tout de même fait au Berry. Alors finalement l'État Major était plus malade que je pensais. Non seulement plus rien n'y était transmit mais il n'était même pas au courant des mouvement de nos hommes sur le terrain.

Puis le commandant Zebracolor du Val de Loire prenait des décisions en étant au conseil mais ce soldat n'a jamais cru bon informé l'État Major de ce qui ce passait. Il a donc agis seul dans cette affaire en plus de faire un affront au sergent que j'étais a cette époque en refusant un ordre officiel. Alors pardonnez-moi, mais je me demande qui de nous deux est le plus traitre envers l'armée.

Je suis impliqué dans l'armée depuis près de neuf mois maintenant et c'est la première fois que je vois cela. Je ne pouvais donc pas savoir que les décisions ce prenait au conseil et que les dirigeant de l'armée n'en était plus avisé.

Donc oui j'ai déserté l'armée, mais pour protesté contre une incursion en Berry, qui avec les tensions qu'on avait lorsque j'étais capitaine aurais pu faire en sorte de déclarer une guerre ouverte avec eux, ce que je voulais éviter a tout prix. Puis comme le capitaine l'a mentionné, mon départ n'a aucunement mit en péril la sécurité du duché. Puis depuis ce jours je suis en défense civile tout les soires à Loche sur mes propres réserve sans jamais rien demandé en retour. Mes réserves sont au plus bas maintenant l'armée n'ayant pas cru bon payer mon arrérage de salaire, qui se situait dans les 4 chiffres au moment de ma démission.

Tel fut ma décision, tel est mon implication dans cette histoire. Je ne regrette qu'une seule chose, ne pas avoir pensé que l'armée pouvait estre dirigé autrement que par elle même et ses gradés.


Puis il se rassi en attendant la suite.

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Falco.
Il a écouté.
A ruminé en entendant quelques idioties ou paroles allant de ses valeurs personnelles.
Il s'agit à présent d'exprimer le Duché dans sa justice et sa demande de réparation.

Sans envenimer ou déverser du sel sur les plaies.
Alors il parle lentement afin que chacun entende.




La Procure préfére ne pas tenir compte de certaines paroles prononcées ici.
Principalement celles qui vaudraient sévére enquête sur la réelle fidélité de l'Ost envers les Ducs Régnants de Touraine.
Au fil de ce procés sont apparus des anomalies surprenantes, puisse le Duc prochain avoir la volonté de se pencher sur cela.

Bref...

Accusé Donotach, par votre défense vous avez prouvé une chose certaine.
Vous ne faites pas confiance envers votre Chef des Armées, le Duc de Touraine.
Cette absence de fidélité indéfectible vous a conduit à déserter une Armée ducale en pleine opération difficile.
Il ne s'agissait pas de faire garnison au chaud dans une ville, mais de traquer et tuer des ennemis féroces.

Votre desertion est d'autant plus grave que vous êtes Seigneur du Tertre, vassal de Ser P3v3r3t.
Puisse t'il ne voir son honneur point trop souillé par votre acte .

Par contre, nous ,Procureur de Touraine , il est de notre devoir d'obtenir réparation du déshonneur fait à l'Ost et au Duc de Touraine.

Nous demandons donc à ce que l'accusé demande pardon devant Dieu et Touraine en Lice de Loches .En chemise de pénitent et armé de son épée de soldat uniquement.
Nous, Falco de cartel, Procureur de Touraine, seront votre adversaire de cette Ordalie par l'épée, sauf désir différent du Duc Altaiir.

Nous demandons la mise à pied immediate de l'Ost de l'accusé jusqu'à ce que l'accusé de lui même désire le réintégrer comme simple soldat..Sous reserve d'acceptation du Capitaine de Touraine.

Pour frais de justices, nous demandons le bouclier de l'accusé .
Qu'il protége un bras prêt à servir les Ducs de Touraine.

Nous renonçons à porter une plainte à l'Herauderie pour manquement de noblesse. Que le vassal et son suzerain trouvent d'eux même le mieux pour leur honneur réciproque.

Nous n'avons plus de témoins à entendre et nous en remettons au Juge.



Est il trop dur?Il ne le pense pas.
Ce genre d'acte devrait invariablement finir par une mort cruelle.
C'est son avis de Cartel. Mais jusqu'à preuves du contraire,l'opinion de Cartel n'est pas forcement le mieux pour la Touraine dans le cas présent.
Il sourit aux témoins et à l'accusé.
Puis se concentre mentalement trés fort en prévision du verdict.
Car la Juge Ano a un don surnaturel pour le rendre chèvre.

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Ano.jojos
Mise à pied jusqu'à réintégration ? Voilà une belle peine qui ne veut rien dire. Et puis, sauf avis contraire du duc Altaiir, depuis quand c'est le procureur qui fixe les peines en accord avec le duc ? La juge ignore tout cela et se fend juste d'un sourire

Merci Monsieur le Procureur.

Nous laissons comme il est de coutume la parole à l'accusé pour terminer

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Ano Jojos, Porte-Parole de Touraine
Donotach
Dono avait écouter le plaidoyer de l'accusation, réfléchit un moment et répondit à dame la juge.

Dame la Juge, je veux bien comprendre que ce que j'ai fais a ses conséquences, et sachez que j'accepterai vostre jugement sans bronché.

Par contre il y a un fait dans l'énoncé du procureur qui me blesse beaucoup et que j'aimerais rectifier.


Je site le Procureur:
Vous ne faites pas confiance envers votre Chef des Armées, le Duc de Touraine.

J'ai bien des défauts vostre honneur, mais jamais au grand jamais j'ai perdu la confiance en nostre Duc. Je ne sais pas ou il a pu allez chercher cela. Vous savez nostre Duc est le premier gradé de l'armée et nous lui devons tous obéissance lorsqu'il nous donne des ordres, ou que celle-ci nous sont transmisent, ce que j'ai toujours fait en mon humble consience.

Mais bon peut importe, J'ai déjà affiché la bannière de pénitence et j'obtempèrerai a vostre jugement.

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Fiocco45
Fiocco de la Désirade avait entendu dire que le procès de son ancien Capitaine Donatach du Tertre était arrivé à sa fin et elle voulu montrer son affection à sa douce compagne Mayet.
Elle rentra dans la salle et alla s'assoir, sans faire de bruit, parmi les habitants de Loches qui assistaient à ce procès.
Les mots qu'elle entendit prononcer envers son ancien Capitaine lui paressèrent durs, très durs.

Elle pensa que Donotach ne méritait pas ça car elle connaissait son dévouement.
Elle chercha du regard les yeux de Mayet pour lui faire comprendre, d'un geste, qu'elle comprenait sa peine......
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Ano.jojos
Du temps a passé. Après avoir entendu les témoins, l'accusé, la procure, Ano a passé du temps à relire les témoignages copiés par le greffier, pour vraiment comprendre ce qui s'était passé ce jour-là. Peine perdue. Il faut dire que la situation des armées est assez confuse, entre les grades d'honneur et les positions sur le terrain, entre les différents secrets, et que tout cela n'aide pas à rendre un verdict serein. C'est cela qui motive le présent verdict

Bien. Nous sommes le 21 décembre 1458, il est 11h30 et moi, Ano, juge de Touraine par la volonté de Sa Grasce Altaiir, vais enfin clore ce procès pour désertion lors du combat avec les forces ennemies dites du Jargor. Ces faits sont jugés selon le Coutumier en vigueur le jour de la désertion, soit le Foutumier Senctusien, et les codes y afférents.

Un petit mot personnel d'abord : je vous remercie d'être venus aussi nombreux assister à ce procès. Il est plaisant de voir que vous vous intéressez à la justice. Je regrette juste que les soldats des armées de Touraine n'aient pas eu de permission - ou, je n'ose y penser, pas la volonté - de venir assister à ce procès de l'un des leurs.


Une dizaine de secondes de temps de silence total. Puis Ano reprend :

Accusé, levez vous pour l'énoncé de votre verdict.

Tout d'abord un point de forme. L'acte de désertion est requalifiée en trahison. La Haute Trahison étant réservée aux personnes élues d'après notre coutume.

Nous allons résumer toute l'affaire en une phrase : sous les ordres d'un "chef d'armée" autant gradé que vous, vous avez craint qu'il ne fasse une erreur et pénètre en Berry sans autorisation. Vous avez manqué de confiance non pas en le Duc en personne, mais en une personne à qui le Duc a confié la mission de mener une armée ducale, et refusé de suivre cet homme du fait de ce manque de confiance.

Sans vouloir faire le procès des armées, je me permets de m'interroger sur l'existence d'une hiérarchie au sein des armées de Touraine différente de la hiérarchie d'une armée en ordre de marche, qui permet à certaines personnes sous un commandement quel qu'il soit de douter de celui-ci. Doute pas totalement infondé direz vous puisqu'Il semble en effet que la chaîne de commandement ait été outrepassée et que le chef d'armée Zebracolor ait reçu directement un ordre du duc, comme prouve le témoignage du capitaine peu au fait des mouvement des armées.

Mais à la question qui nous intéresse : avez-vous, en refusant d'obéir à un homme qui est votre égal en terme de grade, commis un acte qui a porté atteinte à l'honneur du duché ? Mis en danger le duché ? Il est je pense impossible de répondre à cette question. Laissons le Très Haut décider.

Pour cela, vous vous battrez contre le Duché, représenté par Falco de Cartel, le 26 décembre prochain à midi, en la lice de Loches, armé de votre seule épée et vêtu de votre seule chemise. Les offrandes sont libres. Si Aristote décide de vous accorder la victoire, vous prouverez que vous avez pris la bonne décision et le Duché vous sera reconnaissant. Dans le cas contraire, le sang versé sera votre peine.
[IG: combat en lice proposé par Falco, à accepter. Bouclier à enlever uniquement pour le combat]

Si vous désiriez fuir le combat et prouver par là-même votre culpabilité, je vous propose une peine alternative qui est un service d'une semaine à l'église. Si vous préférez cette peine, vous vous rapprochez du curé de Chinon Père Princedusud qui vous donnera une église d'affectation et la nature du service à effectuer. [IG : une semaine de "travail à l'église" à 5 écus]

Dans tous les cas, vous êtes invité à réintégrer l'armée ou a présenter officiellement votre démission de celle-ci, dès le combat passé ou la peine effectuée.

Sieur Donotach du Tertre ! Quel est votre choix ?

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Ano Jojos, Porte-Parole de Touraine
Donotach
Donotach c'était levé tel que demandé par la juge lorsque celle-ci lui avait demandé.

Il écouta attentivement la sentence, sa sentence. Puis il répondit à la question d'un ton assuré.


Vostre honneur, je laverai mes actes devant le très haut et affronterai messire Falco en lice le 26 décembre à midi en chemise et pour seul arme mon épée.

Que le très haut juge de ma peine.


Puis il baissa la tête et regarde le sol.
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Mayet
Voilà ! la sentance venait d'être prononcée et Mayet sentit les larmes lui monter aux yeux .....ne pas pleurer devant tous ces gens, surtout, ne pas pleurer....puis elle rencontra le regard de Fiocco et lui sourit en faisant un léger signe de tête voulant dire : Merci d'être là, merci pour ton soutien et ton amitié !!!!

Aux derniers mots de Dono, elle baissa les yeux et se mit à trembler de tout son corps. Elle pensa : mon chéri, montre leur que tu n'es pas un traite mais reste en vie mon coeur, s'il te plait !!!!

Puis elle prit la main de Taya qui ne disait rien.... (pour une fois).... la serra un peu dans la sienne, puis elle vit des étoiles tournoyer devant ses yeux, sentit une forte chaleur l'envahir et perdit connaissance.

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