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[RP]Sauvez Gatou 2 - Un homme au couvent!

Mertin


Résumé de l'épisode précédent :

Par une nuit, une jeune damoiselle dénommée Coyote, s'éloigne du bourg de Saint Bertrand des Comminges et s'aventure au sein de la forêt. Là, elle s'introduit discrètement dans la hutte d'un jeune damoiseau du nom de Mertin.
Ensemble, ils partirent en direction du couvent, avec une mission en tête : sauver Gatou, le chat du couvent...



Il y a des nuits pleines de surprise. On ferme les yeux le soir, en pensant les ouvrir que le lendemain... et pour qui, pour quoi? on sait pas vraiment. Les choses ne se passent pas comme prévu.
Cette nuit, était ce genre de nuit pour Mertin. Comment aurait-il put prévoir, qu'une jeune damoiselle viendrait l'arracher à sa paillasse en pleine nuit pour l'emmener dans une de ses aventures? ...


Sa promesse?...

Bon...d'accord...il aurait put prévoir...

Mais, à sa décharge, il n'avait pas saisi que cette mission devait se faire de nuit. Alors, comme à son habitude, il avait mit une grosse buche sur le feu, s'était déshabillé et s'était laissé aller à un sommeil réparateur. Jusqu'au moment ou elle étais arrivé.
Vous imaginez le réveil?
Non?
Tant mieux pour vous!
Enfin!
Toujours est-il, qu'après être passé par tout un tas d'émotions, il était enfin arrivé au pied du mur - celui du couvent, au cas ou certains n'ont pas suivit -, Coyote à ses côté.

Un vent frais - certains diraient froid- balayait l'espace entre le mur et les premiers arbres. Les cloches qui avaient annoncés les matines s'étaient tues, laissant à mère nature, le soin de combler les silences avec sa musique. Un Mertin complètement désemparé suivait une Coyote décidée. Si, de sa hutte aux murs du couvent, il avait été le guide, manifestement ce n'était plus le cas. Il marchait. Silencieux. Le visage rougis par des émotions qu'il découvrait et ne comprenait pas. Essayant de faire le tri et d'enregistrer les sensations nouvelles, qui ce soir faisaient légions. Le doigt de Coyote sur ses lèvres, annonçant il ne savait quoi. Sa main dans la sienne, le tirant vers l'avant, le guidant dans la nuit, vers où? Il l'ignorait.

Lui, qui, il n'y avait pas si longtemps ne connaissait que le toucher mordant du fouet, apprenais, petit à petit, que d'autres touchers pouvaient être agréable. Le fait de ne pas tout saisir d'une situation était devenu si courant pour le jeune homme, qu'il ne se posait plus vraiment de question. Il se contentait de suivre "celui qui sait". Tout du moins, à partir du moment ou on n'essayait pas de lui l'expliquer. Dans ces cas là, il devenait un puits intarissable de questions.

La marche s'arrêta aussi brusquement qu'elle avait commencé. Il resta là, sans bruit, sans oser bouger. Il regarda la silhouette de la jeune damoiselle qui se découpait dans la nuit. Une foule de question lui vinrent en tête quand il l'a vit se séparer de la couverture qui la recouvrait. Elles persistèrent quand elle se pencha sur elle même pour, sembla-t-il à Mertin, raccourcir une tunique déjà courte pour la saison. Ne sachant que comprendre, ni de ce qu'il voyait, ni de l'accélération des battements de son cœur, il restait comme figé.

Mais si son corps ne bougeait pas, ses yeux eux n'en perdaient pas une miette. Cependant l'obscurité n'aidait pas. Quand elle s'approcha d'un arbre, il ne sut que penser, il lui fallut attendre qu'elle revint vers lui pour comprendre qu'elle avait attaché une corde entre elle et l'arbre. Il ne savait pas encore, qu'il allait découvrir une autre sensation.

Il la vie s'approcher de lui. Il la sentit le pousser, l'air décidée. Il recula d'un pas. Puis, d'un autre. Et encore un autre. Et... il se trouva dos au mur. Il vit Coyote s'approcher encore plus près de lui. Tout semblait aller au ralentit. La main de la petite damoiselle vint sur son épaule. Elle s'approcha encore. Il la sentit prendre appuie sur son genou. Leur visages s'approchèrent l'un de l'autre. Mertin déglutit. Puis, le visage de Coyote dépassa le siens, tandis qu'elle prenait appuie, avec son autre pied sur son autre épaule. Mertin était devenu un escabeau vivant - pratique à déplacer, mais coûte chère en entretien.

Il lui fallut un petit temps, pour comprendre ce qui s'était passé. Décidément, ces nouvelles émotions avait de drôle de conséquences sur lui. Il se sentait encore plus bête que d'habitude. Il fallut qu'il entende Coyote lui chuchoter de l'aider, pour qu'il se reprenne. Il porta ses mains sous le pied libre de Coyote et poussa. Il fut surprit par la légèreté de la jeune fille. Par rapport aux charges dont il avait l'habitude, elle ne pesait rien, ou presque. Il poussa d'ailleurs légèrement trop fort, avant d'adapter la poussée. Il ne tenait pas à la blesser.

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Description RP
Coyote
Aie aie aie...
Ses petits doigts etaient complétement gelé! Pas facile de s'accrocher! La petite demoiselle commençait a glisser serieusement quand soudain Mertin la propulsa vers le haut... Ouaahhhh elle faillit perdre equilibre mais ses mains se raccrocherent d'instinct a la bordure du muret...
Outcchhhh Il allait falloir qu'elle souleve sa carcasse maintenant! Elle commença une traction... Hiiiiiiiiiiiii.... Elle relacha les bras aussi sec... Ses muscles de crevette n'y tenant plus...
Mertin deploya alors ses bras sous elle lui redonnant ainsi juste l'impulsion necessaire pour qu'elle puisse se hisser en haut du mur. Il était temps car le noeud de sa tunique venait a peine de se defaire!!! Un peu plus et il voyait la lune!
Elle s'acroupissa un instant sur le muret et chuchota a son bel ami:

Psssiiiit! Mertin! ... Quand je secouerai la corde. Tu la detache de l'arbre et tu t'en sert pour grimper.

Sans même s'assurer qu'il avait bien entendu-la candide avait confiance aveugle en la debrouillardise et le bon sens de Mertin... Elle detacha la corde de ses hanches puis la tira vers le haut ... de façon a la tendre ... Puis sans trop reflechir comment s'y prendre, elle s'en aida pour descendre de l'autre côté du mur... La descente fut rapide certe.... Mais pas sans douleur!! La miss venait de se cramer les mimines sur la rudesse de la corde de chanvre!

Quand elle mit pied sur le balthazard blanc du couvent elle grimaça...
Déjà car les petits cailloux lui rentrait dans la chaire, mais aussi car tout en ses lieux lui rappellé emprisonnement et chatiments. Mais il n'etait pas l'heure de s'endormir. La messe serait courte. Et il ne serait pas bon qu'on les trouve ici...
Elle se secoua les idées et s'encouragea en silence!

Puis elle chercha du regard quelque chose de lourd pour attacher l'autre extremité de la corde... Elle ne trouva qu'une brouette en bois laissé choire sur le côté. Elle doutait que ça suffise pour faire contrepoid de son compagnon. Mais il le faudrait.
Elle tira la brouette jusqu'au pied du mur, la coucha sur le flanc et y attacha solidement la corde. Puis elle s'asseya sur l'engin... Tachant de mettre tout son poid. Puis enfin... elle secoua la corde. Signe qu'il pouvait la rejoindre.
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Mertin
Mertin avait les yeux perdus dans l’obscurité.
Il regardait le haut de ce mur si sombre, ou s’était évanouie, dans la nuit, la jouvencelle qu’il avait menée vers les cieux.
Il ne restait plus que lui, lui et ses pensées. Des pensées embrouillés ou se mêlaient savoir, sentiments et questions.
Debout près du mur, il attendait.
Elle lui avait chuchoté, juste avant de disparaître, qu’elle lui annoncerait le moment ou il devait la rejoindre. Il devait donc faire preuve de patience et de confiance.

Houuu hou hou

Une chouette hulula dans la nuit.
Il ne lui accorda pas d’importance. Il allait entrer dans ce lieu ou Coyote avait grandit. Qu’est-ce qu’elle lui avait racontée sur ce lieu…

…ah oui !

Il y avait de méchantes femmes qui l’avaient battus.
Pourquoi ?
Il avait pas très bien saisit.
Mais qu’importe, on lui avait fait mal. C’était en ce lieu également qu’on emprisonnait un chat. Décidément, bien qu’il n’ait jamais pénétré un tel endroit, il ne l’aimait pas.

Il vit la corde bouger. Une fois. Puis une deuxième.
Et quand elle fut secouée une troisième fois, il décida que c’était bien le signal. Il s’approcha de l’arbre. Essaya de voir le nœud. Passa les mains dessus pour comprendre comment il avait été fait. Il chercha à le défaire.
D’une manière, puis d’une autre. Il força dessus. Mais rien à faire… Le nœud ne voulait se défaire !

Avec un soupir, il se recula. Que faire ? Coyote l’attendait de l’autre côté du mur. Lui qui n’aimait déjà pas les murs, ne risquait guère de les aimer plus maintenant.
Stop !
Il devait réfléchir. Rien ne servait à ce qu’il panique. Il y avait forcément une solution. C’est alors qu’une idée lui vint.

Il détacha sa cape et la roula. C’est alors qu’il aperçut la couverture que la jeune fille avait laissée. Elle était là, pliée, à même le sol. Il la prit. Avec cette température, elle risquait d’attraper la mort. Elle déroula sa cape, plaça la couverture dedans et roula le tout. Puis, il l’attacha au travers de son torse. Il finit par s’emparer de son bâton. Il le cala entre sa cape et son dos. Ainsi équipé, il s’approcha de la corde.

Il saisi la corde de ses deux mains, tira son corps vers le haut. La corde se détendit quelque peu sous son poids. Il souleva ses jambes et les croisa au dessus de la corde. Puis commença une lente progression vers le haut du mur. Avancer une main. Tirer. Ramener ses jambes. Recommencer avec l’autre main. Les premiers instants furent hésitant, puis petit à petit il accéléra le mouvement. Jusqu’au moment ou…

Il ressentit un choc. Le bâton qui était dans son dos venait de toucher le mur. Il laissa tomber ses jambes. La corde se détendit un peu plus. Puis, mains après mains, effort après effort, il put enfin toucher le mur. Il tira une fois de plus sur ses bras, ses jambes cherchant appuient sur le mur pour se hisser un peu plus haut et pouvoir se glisser sur le faîte du mur.

Mais… il n’était pas encore au bout de ses peines. Décidément, la vie ne lui facilitait pas la tâche, il lui fallait encore descendre. Mais… la corde était proche, très proche du mur, trop proche.
Il y avait peut être une autre solution, mais la damoiselle avait fait comprendre à Mertin qu’elle était pressée. Aussi, n’eut il pas le temps de s’attarder en réflexion. Il enleva le bâton de son dos, pris une profonde respiration et sauta.

La réception fut brutale. Ses bottes embrassèrent le sol, ses jambes plièrent, son corps se pencha vers l’avant, ses mains allèrent dirent bonjours aux graviers et ses poumons de vidèrent sous le choc. Tout du moins, il était vivant…et à peu près intact.

Il mit un petit temps pour se relever. Et lorsqu’il le fit, ce fut pour chuchoter à Coyote :


Je…suis désolé, j’ai pas réussi à défaire le nœud.

Puis, il dénoua sa cape, la déroula, en sorti la couverture et la tendit à la jouvencelle.

Je… tu va avoir froid.
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Description RP
Coyote
Son museau relevé vers le haut de la corde elle était a l'affut du moindre mouvement de la tresse de chanvre qui pourrait l'informer sur l'état d'ascension de son compagnon....
Le temps lui semblait long... Terriblement long!

Le silence avait le tord de ne rien camoufler, même pas ses sauvages battement de coeur... Le silence l'oppressait...Elle était bien loin maintenant des sentiments enchanteurs et colorés qui l'envahissait plus tôt.. La trouille la rongeait!
Là c'était pas seulement sa liberté qu'elle misait , ça à la limite elle se débrouillerait de la reprendre.... Ce qui la préoccupait maintenant c'était le cas de Mertin ...
Que lui feraient elles si elles l'attrapé?
Elles ne le tuerai pas...ça elle en était a peut prés sur...
Mais …Le ferait elle battre? Le jetterai elles a la police pour qu'ils le mettent en cage? Le mettrai elles a la diète? Oooh Coyote trouvait toutes ses idées là terrible! Soudain elle voulut annuler...
C'était trop dangereux... Elle venait de s'apercevoir de la portée de sa bêtise!
Elle se releva paniquée!
Elle ouvrit la bouche s'apprêtant a dire a Mertin de ne pas venir … Que c'était trop dangereux... Qu'il l'attende plutôt.
Mais elle n'en eu pas le temps!

Mertin lui tomba du ciel!

Hiiiii!

Un petit cri de stupeur s'extirpa de ses levres! Mertin était tombé!! Elle se jetta à ses côtés...

Mertin!!! Ohhh dis moi qu'ça va??

Son compagnon releva la tête vers elle et commença a se relever et lui chuchota.

Citation:
Je…suis désolé, j’ai pas réussi à défaire le nœud.


Ohhhh il allait bien!!! Un poid arrêta d'écraser son cœur et une immense joie éclata en elle comme du pop corn cuit. Puis elle le vit dénouer son sac de fortune et en extraire la couverture qu'elle n'avais pas su emporter dans son ascension

Citation:
Je… tu va avoir froid.


Lui dit il..
Ohhh... Quel amour! Elle se serai bien jetter a nouveau dans ses bras pour le remercier... Mais elle n'osa pas. Il allait la trouver collante pensa t'elle... Et s'il la repoussait son petit coeur s'en verrai brisé... Par contre elle lui adressa un grand sourire silencieux et s'empara de sa main avec grand plaisir non dissimulé. Puis elle se remit en mode « rôdeuse ».Courbé , son poid reparti d'une certaine façon pour se faire silencieuse elle l'entraina d'ombres en ombres...
Il y' avais 5 cheminés dans le bâtiment. Le chat serait forcement devant l'une d'elles. En tant ordinnaire elle aurait misé sur celle de la cuisine. Mais il etait tard, les cuisines n'etait pas encore ouverte...
Alors elle l'entraina de couloir en esclalier sombre jusqu'à la cheminé de la bibliotheque... Deuxieme lieu préféré du greffier. Sentant sa main rassurante et chaude lui redonner du courage... Ils y etaient presque!



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--_grosse_bertha__
Soeur Orthance, mère supérieure, masque de nuit autour du coup, c'était levé en sursaut à cause des aboiements incessants du chien. Elle avait toqué à toute les portes pour signaler l'heure de la messe. Toutes les soeurs l'avait suivit jusqu'à l'entrée de la chapelle, ou elles s'installèrent en silence. Soeur Orthance était une vieille bique, pet sec, sans aucunes pitié, méchante. Mais cette dernière a prit pour habitude de piqué dans le garde manger, et d'accuser n'importe qui.
Elle fit signe aux sœurs de se presser d'entrée, quand Grosse Bertha, à peine avoir franchit l'entrée, fit demi tour et bouscula toute les sœurs derrière elle.


Aoouuuiilleoutch!!
! cria-t-elle

Elle regarda Soeur Orthance avec les lunettes de travers, les réajusta aussitôt.
Soeur Orthance lui jeta un regard noir, plus noir que noir!!

Bertha baissa la tête, croisa les bras, laissa entrée les dernières soeurs, et s'apprêta à sortir.

Psshhttt!!! lui fit la Orthance, genre "Où allez vous comme ça?"
Puis elle l'a regarda de plus près et constata qu'elle n'avait pas l'habit qui convenait à la messe. Oui, elle était restée en tenue de nuit.

Bref, elle déguerpis et partit s'habiller.
C'était la soeur brute de brute, grosse par son surnom, lunettes qui ne l'aider pas à mieux voir pour autant.
Elle n'en ratait pas une!!
La voilà qui passe devant les cuisines..., monta à l'étage, tourna à droite au lieu de continuer tout droit. C'est alors qu'elle passa devant la bibliothèque, qui était entre ouverte.

Soudain, elle stopa net. Tourna la tête en direction de l'ouverture. Fit demi tour, poussa la porte.....OUVRE UNE IMMENSE BOUCHE ET MIT SES MAINS DE CHAQUE COTE

HHaannn!!!aaaahhh!!!oohhh!!!! Houuuhouhouuuhouu!


Elle se mit à gesticuler dans tout les sens, des bruits d'animaux, une sorte de pintade se réveillait en elle. Elle venait de voir....un homme, en tout cas, un jeune homme, mais une homme quand même. Elle ne remarqua même pas la présence de Coyote. Elle avait arrêter de gigoter et se trouvait dos à Mertin et Coyote. Elle se reprit, se retourna d'un trait, racla sa gorge puis se senti d'un coup gêné de ne pas être présentable, bien que être présentable pour Bertha, c'est quelque chose qui descendrait de nul part, et sans doute jamais. Elle s'avança en trottinant jusqu'à Mertin, les mains jointent sur le torse, et le dévisagea sous toutes les formes. Elle le toucha du bout des doigts...comme s'il mordait...

Elle gloussait, en le regardant, et son visage s'illuminait de plus en plus. Et elle ne sais pas pourquoi, qu'elle mouche l'a piqué, mais elle se jeta à son coup. Une fraction de seconde, elle le lâcha aussitôt.
C'est alors qu'elle se mit à sourire maintenant. Ralalala!! Les prières portent leur fruit voyez vous.
Puis elle tourna la tête vers Coyote, et s'arrêta de sourire.


Oh, la gredine!!!! La petite peste et de retour!!!!! La fugueuse est là!!!!!


Elle reprit soudain un air angélique en regardant Mertin. Puis prit Coyote par une oreille.


Tu vas suremment avoir une correction pour ce que tu as fait.


Elle lui montra le toit de la bibliothèque, qui avait brulé. En effet, la gamine avait mit le feu, avant de s'enfuir.
Coyote
Quand elle entra elle ne vit que lui!Devant la cheminée...Grosse panse vers le haut... ronron à gogo...
Faut dire qu'il était dur de manquer un tel amas de graisse! Il était là! Ce miracle de fénéantise! Le petit coeur de la jeune fille en fit un triple saut perilleux! Youpiiiii! Elle allait se jetter sur le greffier! Quand soudain elle entendit un pas familier qui approchait dans les escaliers! Elle se mit a trembler comme une feuille. Son reflexe fut stupide... et d'ailleur elle le regretta aussitôt! Elle se planqua derrière Mertin! Mais maintenant? Ou allait il se cacher lui?!
Elle était accroché aux vêtements dans son dos, le museau enfoui dans les vêtements...
Quand soudain elle entendit crier une sorte de … ululement? Braiement?

Citation:
HHaannn!!!aaaahhh!!!oohhh!!!! Houuuhouhouuuhouu!


Elle écarquilla de grand yeux et glissa un oeil sous le bras de Mertin n'arrivant pas a croire que la grosse Bertha... qu'elle avait reconnu a son pas lourd de boeuf charolais et au souffle suant de l'âne epiléptique... Puisse produire de tel sons!
Et pourtant si... cetait bien elle!! Ouaaah! Elle avait vécu toute sa vie avec cette bonne femme! Elle pensait la connaître sous toutes les coutûres! Mais non! Cette aventure lui en apprennait encore!
Autre folie, elle se mit a trottiner droit sur son compagnon! La petite plante tressaillit! Qu'allait elle lui faire!! Paniquée, tremblante, toujours caché derrière lui, elle s'empara du petit couteau caché dans son bustier et le tint caché dans sa manche. Si elle lui faisait le moindre mal, elle lui offrirait une cure d'amaigrissement gratuite- foi de Coyote!!!
Toujours un oeil sur la normande, la gamine la vit avancer une main sur Mertin... Que faisait elle??? Elle ne comprenait pas... ça durait longtemps... La petiote tilta soudain! Heyyyyy!!! Mais elle me le tâte!!! La garce! Une voix au fond d'elle hurlait au desespoir! Arrête!!! C'est à moi! Dégage!

Mais loin d'entendre ses muettes interdictionsla nonne se jetta au cou de Mertin... O_O
Alors là s'en etait trop!! Coyote n'y tenant plus... Déboita du dos de Mertin et fit face a Bertha, sourcils froncés, tête baissé, l'oeil revolver, ça allait saigner!


BAS LES PATTES!!! Aboya t'elle a la grosse dame!


Bertha se tourna face a elle... Coyote pria!
Pourvu qu'elle m'est oublié! Pourvu qu'elle m'est oublié! …

Citation:
Oh, la gredine!!!! La petite peste et de retour!!!!! La fugueuse est là!!!!!


Coyote deglutit... Aie... ça va faire mal. -._-''... C'etait une priére sotte dans le fond, comment était il possible d'oublier cette inventateuse de couillonades en boîtes?
Puis soudain elle vit la soeur faire un sourie qu'elle ne lui avait encore jamais vu... Décidemment! Elle en decouvrait des choses, elle qui pensait connaître la dondon sur le bout des doigts!
Sourire qui la perdit! Car tandit qu'elle le regardait, la troll lui choppa l'oreille!

Aiiiie Aiiiie Aiiie... ça faisait très mal... ça la soulevait presque même!

Citation:
Tu vas suremment avoir une correction pour ce que tu as fait.


C'est avant même que la soeur ne montre la toiture brulé... Que le mioche mentit desesperemment:

C'est pas moi!!!

Coyote couina plaintivement... Aiiiie Aiiie.... ça faisait longtemps qu'on ne lui l avait plus décollé les oreilles... Pourtant ses souvenirs restaient vif-ça faisait toujours aussi mal!!!
La douleur n'etais pas tenable d'ailleur !
Coyote sentit alors la haine lui monté! Elle se servit alors du couteau qu'elle avait planqué et l'envoya tel un coup de griffe sur la main qui lui tennait l'oreille se foutant complétement des eventuelles dommages que ça causerait. Et donna un coup d'epaule a Bertha. Puis, elle hurla a son bel ami:

Fuit Mertin! Fuit!!!

Elle laissa choire le coutelas dans sa course... Attrappa le chat n'importe comment et se mit a courir a la suite de son ami, qui, l'esperait elle... Savait ou il allait! Toujours essayant de maintenir Gatou comme elle le pouvait... La graisse de l'animal debordant tantot de ci... Tantot de là...

pOuf pOuf pouf... Que ce chat etait lourd!!

La bonne nouvelle... C'est que Coyote avait le chat et Mertin... la mauvaise c'est qu'elle portait maintenant un quart de son poid... Et qu'avec le chat dans les bras, la grosse Bertha courrait aussi vite qu'elle!
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