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[Chapitre III] Mariage de Corbeaunoir et Liloïe

Fool.deboishardy
Fool avait pour l'occasion troqué sa vieille tenue militaire de l'ost pour une tenue plus habillée et de circonstance. Il se présenta devant la cathédrale satisfait de voir qu'il n'était pas trop en retard.

Il était ravit de cet heureux jour pour Dona Liloïe Desage, fille de son vieil ami le baron De la Voulte. Il repensa au temps où il avait connu la mariée, fillette orpheline débarquant à peine à Montpellier. Le soldat avait été ému par cette enfant pleine de curiosité et de franchise, comme le sont bien souvent les enfants à cet âge. La fillette était devenu jeune fille et n'avait perdu en rien son allant, sa franchise et sa curiosité. La fillette, comme une perle dans son écrin de nacre avait grandi, gagné en beauté et en valeur. Le sire Corbeaunoir était un heureux chanceux. Le mariage promettait d'être réussit et nombreux étaient ceux venu partager ce moment de bonheur avec les mariés.

Il se mit dans coin de la cathédrale et chercha du regard le père de la mariée qu'il souhaitait saluer.

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Tolanhdruth
[château de Montpellier]



Le jeune connétable travailler dans son bureau a préparer des lettres et des fichiers quand quelqu'un frappa a la porte.


Entré!!!!!!

Une jeune femme qui travailler au château entra avec une lettre


Messire, je travailler a la volière quand un pigeons a lâchés cette lettre devant moi, je vous les apporter pour éviter qu'elle soit perdu.


Puis elle s'inclina

Tol la regarda et soupira


Merci mais je vous les déja dit, vous avez pas a faire des courbettes devant moi

Le blond prit la lettre et une fois qu'il eu finie de la lire sourit,son mentor aller se marier.



[devant la cathédrale]


Tolanhdruth arriva devant l'église,beaucoup de monde était déjà la, Il attacha son cheval et entra dans l'église.Il y avait beaucoup de monde,il alla prend place sur un banc au fond de l'élise
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Actarius
Un mariage. Alors que certains sombres nuages s'amoncellaient dans le coeur du Phénix, c'était bien là une excellente occasion de se distraire un peu l'esprit, de le faire s'éloigner des noirs desseins. Mais il y avait une chose profonde qui liait le Vicomte aux Chapelles, aux Eglises, aux Cathédrales. Tous les lieux saints lui rapellaient irrémédiablement Margot, la Fleur d'Oc.

Sa présence était telle qu'il était rare que le Mendois assista à une cérémonie sans s'échapper vers un ailleurs céleste en pensées. Il le savait, il en avait conscience lorsqu'on l'habilla. Il le savait si bien que le fait de se rendre à cette cérémonie trahissait son désir de s'acquitter quelques instants éphémères de la boule qui rongeait ses entrailles.

Il y avait autre chose pour lequel le puissant feudataire était connu: sa richesse. Mais celle-ci n'apparaissait pas aux premiers abords, elle ne lisait pas d'un coup d'oeil fugace sur sa mise, non bien au contraire. Celle-ci se devinait par la qualité des étoffes qui composaient sa sobre et martiale vesture. Un homme aux goûts simples, au caractère finalement cousu de noir et de blanc. Une grande et solide carcasse, impressionnante sans doute, altière par sa démarche assurée, semblable à celle d'un guerrier marchant vers l'ultime combat sans crainte de sa destinée. Un regard franc, direct, aiguisé, aux teintes rappelant une terre d'ocre brûlée. Une barbe taillée de manière originale, parsemée comme ses temps de fils d'argent.

Voilà en quelques mots la description d'Actarius qui pénétra dans l'enceinte sacrée au bras de sa splendide épouse. Le couple vicomtal était là, bien présent pour une cérémonie qui allait unir deux êtres chers, deux amis.

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Aeris_g.
Aeris et Ben avaient reçu l’invitation au mariage de Corbeau et de Liloïe depuis un bon bout de temps mais avec tous les préparatifs de la naissance, ils étaient un peu submergé par tout ce qui se passait.

Quels jours auparavant, c’est donc Malta qui leur avaient rappelé qu’ils devaient assister à ce mariage à Narbonne. Aeris avait donc compté 2 jours à cheval pour s’y rendre. Ce qu’elle avait oublié dans son super calcul c’est qu’elle était enceinte et presque à terme en plus.

Le jour du départ n’était pas un bon jour pour Aeris la nuit avait été mauvaise et ce qu’elle avait dans le ventre avait décidé de lui faire comprendre que c’était pour bientôt. Mais comme, elle ne faisait rien comme les autres, elle n’y prêta pas attention.

Elle mit le double de temps pour se préparer et partit donc en retard avec la calèche. Son tendre époux était à ses côté mais il ne pouvait rien faire pour l’aider. Il avait juste fait envoyer une missive le jour du départ pour prévenir la futur médecin qu’Aeris trouvait de moins en moins le sommeil et qu’elle avait de plus en plus mal. La missive prit la direction opposée aux amoureux.

La route se passa bien même si Aeris trouvait le temps de plus en plus long et qu’elle préférait faire du cheval plutôt que de rester assise à l’intérieure d’une calèche.

Aeris et Ben arrivèrent à l’Eglise un peu en retard puisque beaucoup de monde était déjà présent. Pour ne pas déranger et au vue de ses douleurs Aeris préféra rester prêt de la porte pour palier à toute éventualité.

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Nanelle
C'est avec l'aide de Constance que Nanelle se prépara pour un évènement auquel elle n'avait pas assister depuis longtemps. Elle revêtit une houppelande offerte par son époux pour l'occasion. L'étoffe était très délicate, finement tissée.

La Vicomtesse était doublement ravie d'assister à ce mariage, oui doublement, c'était toujours un plaisir d'assister à un mariage et de plus elle avait l'occasion de s'y rendre accompagnée de son époux ce qui était de plus en plus chose rare.

C'est donc au bras de son époux qu'elle pénétra dans la cathédrale. Beaucoup de personnes étaient déjà présente, il ne manquait plus que les futurs mariés.

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Aymeric_de_Sauhnac, incarné par Liloie
[Quelques temps plus tôt au Collège Saint-Louis de France]

Adossé contre mon lit, je tente de lire quelques ouvrages imposés pour les prochains cours. Dans le dortoir, c’est le silence absolu. Rien de plus normal puisque j’y suis seul… En tournant les pages sans vraiment porter attention à ce qui y est écrit, je me demande qui peut bien trouver cela intéressant. Enfin, il doit bien y avoir quelques personnes cherchant à lire ce machin si lourd.

Un soupire… la lecture ne sera décidément jamais mon fort. Si seulement Eliandre pouvait être là pour me la faire. Elle, elle aime lire, et moi… j’aime l’écouter. Je donnerais cher pour cela, l’écouter, et la voir.

On frappe à la porte et l’on me tire par la même occasion de mes rêveries. Un coursier me remet un pli, un simple pli présentant un sceau familier. Une lettre, cela n’est pas comme un livre, il est toujours plaisant d’en lire, ou presque…

Liloïe… Cela fait bien longtemps que je ne l’ai vu. Nos jeux à Montpelhier remontent à une éternité. Oui, une éternité, rien que cela. Voilà qu’elle se marie. Je ne peux m’empêcher de sourire en imaginant la Liloïe que j’ai connu rugissante et mordante comme un félin, en robe de mariage.


[Un peu plus tard en Languedoc]

Dommage, le costume de dragon me sied si bien… Enfin, à ce qu’il parait il n’est pas commode de se présenter à un mariage ainsi. Soit, une livrée blanche et rouge devrait alors faire l’affaire. En habillage je n’ai jamais été attiré par ces tenues élégantes. Pour tout dire je n’ai que très peu de livrées différentes, une seule reproduite à l’identique.

C’est donc vêtu de mes couleurs habituelles que je me rends à l’hôtel d’Aristote où la cérémonie devrait se tenir.
Bentich
Ben et Aeris arrivèrent légèrement en retard suite aux petits soucis de sante de la jeune femme, en effet l'accouchement approchait à grande enjambée.

Ils avaient donc du faire le trajet dans une calèche.

Le trajet vers la cathédrale dura une éternité, et au fur et à mesure que le temps passait, Ben commençait à se demander si le cocher avait attaché les chevaux ou si il tirait lui même le véhicule.

Enfin la ville s'approchait et la cathédrale se dessinait de plus en plus. Une foule énorme se massait déjà devant l'édifice religieux.
Une fois arrivé Ben aida sa douce à descendre et ils se rendirent ensemble dans la cathédrale. D'un commun accord ils décidèrent de rester derrière à proximité des portes de la cathédrale, pour disparaitre rapidement si l'enfant se décidait à arriver

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Desiderade
Désidérade commençait à trouver le temps long. Surtout depuis qu'on lui avait apporté discrètement une missive de Monseigneur Pierroléon, qu'elle avait lu avec attention. On la demandait "de toute urgence" à Toulouse. Il fallait qu'elle parte immédiatement... Regardant la foule bavardant, et la cérémonie loin, très loin d'avoir débuté, elle soupira.
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Amie Lescurienne
Archevêque suffragant de Toulouse
Frenny
[Quatre jours plus tôt]
Le soleil se levait timidement sur Alais enneigé..A la lumière d'une chandelle Frenny songeait,sa plume à la main en suspend.Elle était restée
toutes la nuit à la Mairie,une nuit de plus.Depuis ce jour ou sa vie,son coeur
s'étaient arrêtés.
Les jours désormais passaient lentement,sans aucune joie,aucun espoir..
Et pourtant elle était toujours là,la vie continuait son cours,tandis que son
coeur était mort..

Elle se leva et s'approcha de la fenêtre qu'elle ouvrit en grand..le froid la saisit,elle allait tomber malade à rester ainsi,
mais quelle importance désormais..
C'est alors qu'elle vit un pigeon volant haut dans le ciel.C'était un messager,il se posa out prêt d'elle sur le rebord de la fenêtre.
Un message était accroché à sa patte. Frenny prit le pachemin et le déroula..un sourire passa sur son visage..le premier depuis des jours..
L'un de ses plus chers amis se mariait dans quatre jours.
Corbeaunoir..il avait tant fait pour elle..il l'avait toujours soutenu dans les moments difficiles.Surtout ses derniers temps.Dès qu'il avait aprit la
nouvelle qui l'afligeait,il lui avait envoyé moult pigeons et messange..étant toujours là pour la retenir de commettre l'irréparable.

Elle irai à ce mariage,elle serai là pour lui son ami.
Elle se frappa d'un coup le front.Mazette!Dans quatre jours!Mais justement,il y avait au moins quatre jours de cheval!

Vite sceller son destrier,donner les ordres pour la Mairie et prendre la route!


[Le jour du mariage]
Frenny avait galoper bride abattu,ne s'arretant aux auberges que pour se restaurer et reposer son cheval.
Elle entra dans le grand edifice après avoir donner son nom au garde.
Elle fit un tour d'horizon et apercu quelques figures familières et au loin Corbeau et Liloie.
Elle fit un petit signe discret à son ami accompagné d'un sourire.Le deuxième..
Frenny se placa ensuite dicrètement dans un coin et patienta.

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Adriendesage
Un mariage sans attente, c'est comme une tarte au citron sans meringue. Voilà probablement pourquoi la mariée n'était pas encore arrivée dans l'église. Elle n'allait pas tarder, mais avant d'écrire son entrée, il nous faut étudier le chemin qu'elle prit pour y arriver.

Revenons à cette chambre, dans un hotel du port de Narbonne. Le père, tout accomodé venait de terminer sa mise lorsque sa fille entra. Adrien n'était point à l'aise, il faut le dire. Il n'avait jamais aimé les costumes d'apparats et même à son propre mariage il n'avait pas été richement vêtu. Forcément à cette époque, il n'avait que pour seul revenu sa solde de sergent de l'Ost du Languedoc. Pas de quoi jongler avec des ours, quoi qu'en puissent dire d'autres par des temps plus actuels. Il se souvînt néanmoins de ce costume que lui avait cousu Esme à l'époque. Il était chiche, mais il était beau, c'était un costume d'Amour.
Songeur, le baron observa sa fille et la voyant resplendir à son tour, pensa que le temps était bien choisi. Il n'y avait à présent plus d'échappatoire. Mais après tout, qui était le plus à plaindre? Le père qui confiait à un autre sa fille, son sang, son être, ou cet autre, qui vivrait avec la menace éternelle de se faire étriper par ce père au moindre écart envers sa fille?
Adrien sourit.

"Tu es magnifique ma fille et il aurait grand tort et grand peine de te trouver mal mise. Et mordious il lui faudrait dix printemps, pour se remettre de la raclée que lui donnerait ton père!"

Et tendrement, il posa ses deux mains sur les épaules de sa fille et l'attira vers lui, afin de l'embrasser sur le front. Un père a du pouvoir lorsqu'il embrasse son enfant. Il a de l'amour et dispose de cet amour. Il dispense son affection tant qu'il le veut. Il distribue sa tendresse selon son bon-vouloir. Mais il arrive un jour ou cet enfant qu'il avait et qu'il pouvait aimer à son loisir, est devenu un homme ou une femme. Dès lors, ce n'est plus lui qui dispense son affection à loisir. Les rôles s'inversent, souvent et l'oisillon choisit seul de la direction de son vol.
C'était peut-être, l'un des derniers baisers de cette sorte qu'Adrien donnerait à sa fille. De cette inquiétude, il ne dit rien. Le regard suffisait.

Quelques temps après, ils étaient à cheval et arrivaient à la cathédrale de Narbonne. C'était dans cette même cathédrale qu'Adrien avait épousé Esme, quelques seize années plus tôt. L'Hibou aida sa fille à descendre de cheval et, main dans la main, ils entrèrent enfin. L'édifice était déjà bien plein. Il fallait avancer sur la grande allée, saluer tout le monde gracieusement, en espérant pouvoir deviser avec certains après la cérémonie. Bientôt ils furent enfin devant l'autel et ils saluèrent la prêtresse.

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Jorocket
Joro avait enfilé son costume d'apparat, pris son bâton de marche, puis il partit direction Narbonne.
La route était longue, il allait sans doute arriver en retard avec cette neige et cette satanée caillante.
Mais Joro était motivé, il n'aurait jamais refusé l'invitation de son ami Corbeau.
Arrivé devant la Cathédrale, il se dirigea vers l'entrée, un léger signe de tête auprès du garde qui le laisse entrer.
Il s'installa discrètement puis attendit que la cérémonie débute.
Corbeaunoir
Puis il la vit alors entrer. Elle était comme à son habitude, belle, élégante et distinguée. Corbeaunoir n'attendit pas une seconde de plus et se tourna vers Desiderade.

- Je crois que nous pouvons commencer.

Puis il sourit, heureux.
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Bbred
Arrivée à J- 3 sec

Corbeaunoir : - Je crois que nous pouvons commencer.

Et hop le Comte piscenois se glissa à ces quelques mots.
En effet, ni trop en avance, ni trop en retard, le comte arrivait toujours a peut prêt en temps et en heure.
Sauf que cette fois ci, c'était vraiment limite.
Beaucoup de chose l'avait retenu.
Trop ?
certainement, il pourrait toujours trouver 10.000 excuses, mais bon le principal étant d'arriver juste à temps.

Un salut rapidement à Corbeaunoir, et un peu prêt à tout le monde.
Il se place à cotés de Actarius, pour lui glisser un discret et stupide :

Alors ? Ca boum ?
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Saradhinatra
[b][Flashback : Béziers - Jour J-1]

Sara se prélassait dans son bain. Elle soupira d'aise. Après des semaines entières à se laver succinctement avec de l'eau de mer car l'eau douce était rationnée, c'était un pur bonheur que de pouvoir prendre un bain chaud.

La blonde ne consentit à sortir de sa cuve que lorsqu'une servante lui apporta les plats qu'elle avait commandés. Les fumets alléchants qui s'en dégageaient lui avaient ouvert immédiatement l'appétit. Ce n'est qu'une fois bien repue que Sara prit connaissance des différents parchemins que son écuyer avait laissés à son intention. Rien d'urgent apparemment pensa-t-elle en sirotant son vin chaud. Un pli attira son attention, une écriture féminine, pas de scel ... Intriguée, elle en prit connaissance avant de se lever d'un bond. On était le 8, c'était prévu pour le 9 !

Nom d'une moule d'eau douce ! Si elle partait maintenant, elle pourrait être présente à la cérémonie. Aaargh non ... Elle ne pouvait pas prendre son navire pour aller à Narbonne. Il ne sera pas prêt à temps. Qu'à cela tienne, elle ira par les terres. C'est encore jouable, à condition qu'elle voyage de nuit. C'est décidé, elle ira !

C'est ainsi que l'aubergiste vit une tornade blonde descendre 4 à 4 les escaliers de son établissement pour se présenter devant lui, essoufflée, pour lui dire :


Messer, voici une bourse pleine. Pouvez-vous m'envoyer un bon attelage me chercher au port ? Je dois être à Narbonne demain. C'est urgent. Je compte sur vous. termina la bourrasque blonde avant de disparaître par la porte.

[Narbonne - Jour J]

Sara se pencha par la fenêtre et demanda :

C'est encore loin ?

Nous y arrivons, Capitaine, lui répondit son matelot.

Elle soupira. Elle espérait que la halte qu'ils avaient fait dans le dernier relais n'allait pas la mettre en retard. Mais il le fallait bien. Elle ne pouvait pas se présenter dans des habits froissés et couverts de poussière. De plus, les chevaux avaient besoin de se reposer.

Pour calmer son inquietude, elle focalisa son attention sur la boite ouvragée qu'elle tenait entre les mains. Qui l'eu crut qu'elle avait eu du nez en entrant dans cette petite mais charmante petite échoppe vénitienne ? L'objet qu'elle y avait acheté ne pouvait pas mieux convenir pour la circonstance.


Nous arrivons, Cap'taine s'écria soudain son mousse, assis à côté d'elle.

Sara regarda immédiatement par la fenêtre et reconnut les murailles de Narbonne.

L'attelage arriva enfin devant la cathédrale. Sara ne vit pas l'attroupement des notables et seigneurs, invités à l'événement. Elle pinça ses lèvres, contriariée. Quand la voiture s'arrêta, la blonde descendit immédiatement. Elle se tourna vers son mousse et lui confia la boite.


Messer Areca, je compte sur vous pour tenir ceci. Vous ne me lachez pas d'une chausse, compris ?

A vos ordres, Cap'taine ! répondit aussitôt le mousse.

Et tenez vous bien !ajouta-telle en réajustant le col de sa tunique.

Oui, Cap'taine !

Sara hocha la tête, d'un signe approbateur. Relevant le bas de la houppelande qu'elle avait fait confectionnée en Italie, la blonde pénétra dans la cathédrale.
Elle parcourut rapidement des yeux la nef, à la recherche d'une place. Ses émeraudes tombèrent sur une chevelure reconnaissable entre toute : le rouquin ! Et à côté de lui, qui voyait-elle ? Aaah elle avait bien fait de venir finalement. Silencieusement, elle remonta l'allée jusqu'à la hauteur de l'énergumène. Sans prévenir, elle prit place, allant même à pousser le BB des fesses pour s'installer à son aise. Elle lui adressa un énorme sourire en signe d'excuse, avant de murmurer à Actarius et Nanelle :


Adissiatz, heureuse de vous revoir dans ces circonstances.

Elle reporta son attention vers le marié et le salua de la tête, tout en murmurant à BBred :
Tu n'aurais pas pris du poids, ô ta grandeur et futur suzerain à moi ?

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--Actarius
La première surprise vint du Comte de Pézénas qui prit place jute à côté d'Actarius, lançant une aussi amicale qu'étrange salutation. Mais à force de le côtoyer, le Phénix ne s'en étonnait plus, bien au contraire, il s'en amusait. Et cette fois ne fit pas exception. Sourire aux lèvres, le Tournelois offrit un aimable accueil au Piscénois.

Aussi bien que faire se pe...

Il n'avait pas fini sa phrase. Pourquoi ? Car il venait d'apercevoir un visage trop connu pour le laisser indifférent et trop apprécié pour ne pas laisser place à un léger silence, synonyme d'étonnement ou presque de le voir en ces lieux et en ces circonstances.

Le Phénix s'illumina d'un nouvel élan de bonne humeur aux murmures de la blonde dame et ne put contenir une réponse terriblement spontanée et banale.

Le plaisir est partagé, Sara.
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