Natsuteclameque
[Quelques part dans les gorges désertiques]
Le lézard se repose, il absorbe la chaleur du soleil sur les pierres instables de la gorge aride! Le vent reste absent de ce lieu qui respire l'enfer. La chaleur écrasante chasse tout les êtres trop faibles. L'homme par dessus tout évite de s'aventurer dans ses lieux maudits par les dieux. Pas de végétation si ce n'est que des herbes immangeable excepté pour quelques cabris escaladant sans relâchent les rochers instables, narguant sans cesse le roi de ces lieux, le majestueux puma.
Un silence de mort règne actuellement sur la vallée, une odeur étouffante de charogne se répand lentement, effrayant les mammifères soucieux de protéger les leurs. Le lézard ne semble pas sans soucier et reste inerte, bien trop occuper à digérer les insectes imprudent qui se sont portés à sa hauteur. Il ne semble pas s'en souci et pourtant, lorsque une volute d'un aire chargé de crasse et de chaleur viens caresser le flanc des rochers, il disparait sous ceux-ci, échappant ainsi aux gaz mortelles qui l'agresse.
La volute transforme le paysage d'un ocre pâle en une vision bluette lorsqu'elle s'accroche sur le fond de la vallée. Volute trahissant une présence, une âmes égaré perdue ou pourchassée. Tout chasseur, guerrier ou encore femelle et esclave aurait reconnu la nature de se poison envahissant: le feu.
La source de cet événement est a chercher bien au fond de la vallée, près d'une source d'eau dont le débit est pareil au lait d'un Lama nourrissant de son son petit, c'est à dire juste pour ne pas achever la vie en ces lieux. Il vous suffit de marché dans le lit de ce qui fut autrefois la rivière et vous arrivé à une cavité dans la roche d'ou est soufflé la fumée chaude et chargé de vices.
Tout homme pourrait y voir le sang de la terre consumant la roche avant l'annonce des cris cruelles des montagnes versant le liquide d'un rouge veiné de jaune dont le passage modèle la terre à l'image des dieux. Tous aurait pu croire que le sol ouvrait une porte sur son monde inférieure afin de laisser s'échapper ses forces punitives mais le guerrier avisé dont l'ouïe cherche les réponses aura vite reconnu le crépitement des flammes sur un bois sec.
En pénétrant ce lieu, dans une pénombre agité par les ombres projetées sur les paroi, vous y trouvé un mâle. Comment est il? Difficile de le décrire, tout à commencé par sa taille étant accroupi devant se qui sera son repas. La peau caché par la crasse et quelques bandage de fortune s'enfonce sous un simple pagne tombant en loque. Les cheveux hirsutes cache ses yeux, tout en recouvrant ses épaules lui dessinant une apparence démoniaque. Devant lui la carcasse d'une chèvre de montagne enfilé sur une broche de bois dur tourne lentement attisant les flammes lorsque la graisse s'en échappe pour choir dans la braise rougeâtre.
Le mâle semble immuable si l'on ne considère pas le bras qui actionne la broche. Un oeil scrutant la viande, l'autre caché par une forme de bandage mal ajusté qui lui englobe la partie gauche de son visage.
Pourtant, il est à l'a guet , attendant le passage d'un des rare réfugiés des ses terres pour obtenir quelques nouvelles du monde. Trop longtemps qu'il aurait du passer, bien trop longtemps ce qui n'inspire pas le mâle. Bien qu'il n'accorde pas grand cas aux nouvelles, celle-ci l'informe sur la transformation du monde.
L'heure de partir à sonner! L'heure de conquérir ce qui lui est dû, l'heure d'affronter les dieux et sa tragique destinée.
La bête est coupée, emballée proprement pour le voyage alors que le reste est goulument avalé. Il traine un peu dans un coin ou il ramasse ce qui fut un pagne de bonne facture mis la afin de le protéger de l'usure en vue de ce jour.
Il s'en revêtit avant de ranger quelques outils, Cachant bien des souvenir. La tanière lui sera d'un grand secours en cas de fuite nécessaire. Nul ne doit trouver ce lui de paix pour lui, enfer pour les autres.
Il franchi l'entrée escarpée. De la il est possible de le distinguer lorsque l'on s'installe dans le détour du lit de la rivière. De taille moyenne pour un mâle, il n'est point trop grand. Les muscles saillant se dessinent sous la peau abimée par les jours passée dans ces lieux. Le flan gauche ainsi que la tête gauche sont enfoui sous l'amas de bande sale dont la couleur tire doucement sur le noir. Les cheveux mi-long sont tiré vers l'arrière afin de dégager sa vue. Le geste souple il avance vers le sud.
Les pas sont souples et la cadence est relativement rapide. Deux a trois jours de marche maximum pour quitter cette endroit ou le danger est permanent. Le puma ne dors jamais et un homme lui sied assez bien lorsqu'il vient à se le mettre sous la dent. Il est hors de question d'arriver en taxcalla mal en point et donc inutile de s'attarder.
Le vent chaud transporte un doux parfum ainsi qu'une odeur de terreur, présage de son accomplissement future. La tête droite, le cliquetis du bout métallique ornant la bas de sa lance résonnant dans la vallée il avance vers son destin...
Le lézard se repose, il absorbe la chaleur du soleil sur les pierres instables de la gorge aride! Le vent reste absent de ce lieu qui respire l'enfer. La chaleur écrasante chasse tout les êtres trop faibles. L'homme par dessus tout évite de s'aventurer dans ses lieux maudits par les dieux. Pas de végétation si ce n'est que des herbes immangeable excepté pour quelques cabris escaladant sans relâchent les rochers instables, narguant sans cesse le roi de ces lieux, le majestueux puma.
Un silence de mort règne actuellement sur la vallée, une odeur étouffante de charogne se répand lentement, effrayant les mammifères soucieux de protéger les leurs. Le lézard ne semble pas sans soucier et reste inerte, bien trop occuper à digérer les insectes imprudent qui se sont portés à sa hauteur. Il ne semble pas s'en souci et pourtant, lorsque une volute d'un aire chargé de crasse et de chaleur viens caresser le flanc des rochers, il disparait sous ceux-ci, échappant ainsi aux gaz mortelles qui l'agresse.
La volute transforme le paysage d'un ocre pâle en une vision bluette lorsqu'elle s'accroche sur le fond de la vallée. Volute trahissant une présence, une âmes égaré perdue ou pourchassée. Tout chasseur, guerrier ou encore femelle et esclave aurait reconnu la nature de se poison envahissant: le feu.
La source de cet événement est a chercher bien au fond de la vallée, près d'une source d'eau dont le débit est pareil au lait d'un Lama nourrissant de son son petit, c'est à dire juste pour ne pas achever la vie en ces lieux. Il vous suffit de marché dans le lit de ce qui fut autrefois la rivière et vous arrivé à une cavité dans la roche d'ou est soufflé la fumée chaude et chargé de vices.
Tout homme pourrait y voir le sang de la terre consumant la roche avant l'annonce des cris cruelles des montagnes versant le liquide d'un rouge veiné de jaune dont le passage modèle la terre à l'image des dieux. Tous aurait pu croire que le sol ouvrait une porte sur son monde inférieure afin de laisser s'échapper ses forces punitives mais le guerrier avisé dont l'ouïe cherche les réponses aura vite reconnu le crépitement des flammes sur un bois sec.
En pénétrant ce lieu, dans une pénombre agité par les ombres projetées sur les paroi, vous y trouvé un mâle. Comment est il? Difficile de le décrire, tout à commencé par sa taille étant accroupi devant se qui sera son repas. La peau caché par la crasse et quelques bandage de fortune s'enfonce sous un simple pagne tombant en loque. Les cheveux hirsutes cache ses yeux, tout en recouvrant ses épaules lui dessinant une apparence démoniaque. Devant lui la carcasse d'une chèvre de montagne enfilé sur une broche de bois dur tourne lentement attisant les flammes lorsque la graisse s'en échappe pour choir dans la braise rougeâtre.
Le mâle semble immuable si l'on ne considère pas le bras qui actionne la broche. Un oeil scrutant la viande, l'autre caché par une forme de bandage mal ajusté qui lui englobe la partie gauche de son visage.
Pourtant, il est à l'a guet , attendant le passage d'un des rare réfugiés des ses terres pour obtenir quelques nouvelles du monde. Trop longtemps qu'il aurait du passer, bien trop longtemps ce qui n'inspire pas le mâle. Bien qu'il n'accorde pas grand cas aux nouvelles, celle-ci l'informe sur la transformation du monde.
L'heure de partir à sonner! L'heure de conquérir ce qui lui est dû, l'heure d'affronter les dieux et sa tragique destinée.
La bête est coupée, emballée proprement pour le voyage alors que le reste est goulument avalé. Il traine un peu dans un coin ou il ramasse ce qui fut un pagne de bonne facture mis la afin de le protéger de l'usure en vue de ce jour.
Il s'en revêtit avant de ranger quelques outils, Cachant bien des souvenir. La tanière lui sera d'un grand secours en cas de fuite nécessaire. Nul ne doit trouver ce lui de paix pour lui, enfer pour les autres.
Il franchi l'entrée escarpée. De la il est possible de le distinguer lorsque l'on s'installe dans le détour du lit de la rivière. De taille moyenne pour un mâle, il n'est point trop grand. Les muscles saillant se dessinent sous la peau abimée par les jours passée dans ces lieux. Le flan gauche ainsi que la tête gauche sont enfoui sous l'amas de bande sale dont la couleur tire doucement sur le noir. Les cheveux mi-long sont tiré vers l'arrière afin de dégager sa vue. Le geste souple il avance vers le sud.
Les pas sont souples et la cadence est relativement rapide. Deux a trois jours de marche maximum pour quitter cette endroit ou le danger est permanent. Le puma ne dors jamais et un homme lui sied assez bien lorsqu'il vient à se le mettre sous la dent. Il est hors de question d'arriver en taxcalla mal en point et donc inutile de s'attarder.
Le vent chaud transporte un doux parfum ainsi qu'une odeur de terreur, présage de son accomplissement future. La tête droite, le cliquetis du bout métallique ornant la bas de sa lance résonnant dans la vallée il avance vers son destin...