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la traque de ma soeur polya

[RP] L'asservissement des Myosotis

Natsuteclameque
[Quelques part dans les gorges désertiques]

Le lézard se repose, il absorbe la chaleur du soleil sur les pierres instables de la gorge aride! Le vent reste absent de ce lieu qui respire l'enfer. La chaleur écrasante chasse tout les êtres trop faibles. L'homme par dessus tout évite de s'aventurer dans ses lieux maudits par les dieux. Pas de végétation si ce n'est que des herbes immangeable excepté pour quelques cabris escaladant sans relâchent les rochers instables, narguant sans cesse le roi de ces lieux, le majestueux puma.

Un silence de mort règne actuellement sur la vallée, une odeur étouffante de charogne se répand lentement, effrayant les mammifères soucieux de protéger les leurs. Le lézard ne semble pas sans soucier et reste inerte, bien trop occuper à digérer les insectes imprudent qui se sont portés à sa hauteur. Il ne semble pas s'en souci et pourtant, lorsque une volute d'un aire chargé de crasse et de chaleur viens caresser le flanc des rochers, il disparait sous ceux-ci, échappant ainsi aux gaz mortelles qui l'agresse.
La volute transforme le paysage d'un ocre pâle en une vision bluette lorsqu'elle s'accroche sur le fond de la vallée. Volute trahissant une présence, une âmes égaré perdue ou pourchassée. Tout chasseur, guerrier ou encore femelle et esclave aurait reconnu la nature de se poison envahissant: le feu.

La source de cet événement est a chercher bien au fond de la vallée, près d'une source d'eau dont le débit est pareil au lait d'un Lama nourrissant de son son petit, c'est à dire juste pour ne pas achever la vie en ces lieux. Il vous suffit de marché dans le lit de ce qui fut autrefois la rivière et vous arrivé à une cavité dans la roche d'ou est soufflé la fumée chaude et chargé de vices.

Tout homme pourrait y voir le sang de la terre consumant la roche avant l'annonce des cris cruelles des montagnes versant le liquide d'un rouge veiné de jaune dont le passage modèle la terre à l'image des dieux. Tous aurait pu croire que le sol ouvrait une porte sur son monde inférieure afin de laisser s'échapper ses forces punitives mais le guerrier avisé dont l'ouïe cherche les réponses aura vite reconnu le crépitement des flammes sur un bois sec.

En pénétrant ce lieu, dans une pénombre agité par les ombres projetées sur les paroi, vous y trouvé un mâle. Comment est il? Difficile de le décrire, tout à commencé par sa taille étant accroupi devant se qui sera son repas. La peau caché par la crasse et quelques bandage de fortune s'enfonce sous un simple pagne tombant en loque. Les cheveux hirsutes cache ses yeux, tout en recouvrant ses épaules lui dessinant une apparence démoniaque. Devant lui la carcasse d'une chèvre de montagne enfilé sur une broche de bois dur tourne lentement attisant les flammes lorsque la graisse s'en échappe pour choir dans la braise rougeâtre.

Le mâle semble immuable si l'on ne considère pas le bras qui actionne la broche. Un oeil scrutant la viande, l'autre caché par une forme de bandage mal ajusté qui lui englobe la partie gauche de son visage.
Pourtant, il est à l'a guet , attendant le passage d'un des rare réfugiés des ses terres pour obtenir quelques nouvelles du monde. Trop longtemps qu'il aurait du passer, bien trop longtemps ce qui n'inspire pas le mâle. Bien qu'il n'accorde pas grand cas aux nouvelles, celle-ci l'informe sur la transformation du monde.
L'heure de partir à sonner! L'heure de conquérir ce qui lui est dû, l'heure d'affronter les dieux et sa tragique destinée.

La bête est coupée, emballée proprement pour le voyage alors que le reste est goulument avalé. Il traine un peu dans un coin ou il ramasse ce qui fut un pagne de bonne facture mis la afin de le protéger de l'usure en vue de ce jour.
Il s'en revêtit avant de ranger quelques outils, Cachant bien des souvenir. La tanière lui sera d'un grand secours en cas de fuite nécessaire. Nul ne doit trouver ce lui de paix pour lui, enfer pour les autres.

Il franchi l'entrée escarpée. De la il est possible de le distinguer lorsque l'on s'installe dans le détour du lit de la rivière. De taille moyenne pour un mâle, il n'est point trop grand. Les muscles saillant se dessinent sous la peau abimée par les jours passée dans ces lieux. Le flan gauche ainsi que la tête gauche sont enfoui sous l'amas de bande sale dont la couleur tire doucement sur le noir. Les cheveux mi-long sont tiré vers l'arrière afin de dégager sa vue. Le geste souple il avance vers le sud.

Les pas sont souples et la cadence est relativement rapide. Deux a trois jours de marche maximum pour quitter cette endroit ou le danger est permanent. Le puma ne dors jamais et un homme lui sied assez bien lorsqu'il vient à se le mettre sous la dent. Il est hors de question d'arriver en taxcalla mal en point et donc inutile de s'attarder.

Le vent chaud transporte un doux parfum ainsi qu'une odeur de terreur, présage de son accomplissement future. La tête droite, le cliquetis du bout métallique ornant la bas de sa lance résonnant dans la vallée il avance vers son destin...
Polya
Singulière vision que cette amazone, qui marchait d'un pas léger et souple, vêtue d'un simple huipil et pagne de couleur ocre, se fondant dans la nature, tenant par la longe un lama blanc, celui qu'elle préférait d'entre ceux qu'elle avait pu posséder. Alors que l'animal était à même de se guider seul à travers ce désert aride qui se profilait devant elle, la jeune femme le menait elle-même, de manière à laisser le moins de traces possible de son passage. Tout en se déplaçant, des images se profilaient par bribes dans son esprit...L'anéantissement de l'Orient, qu'elle avait pourtant prédit mais elle n'avait point été écouté...ses longues et longues lunes passées dans le calpulli de Huamantla qu'elle avait quitté quelques jours auparavant, allant même jusqu'à démissionner de son poste, au bout de 10 longues lunes, durant lesquelles elle avait tenu ce clan à l'abri des assauts aztèques, cuauh et metz. De longs mois de guerre, retranchée sur le clan encerclé par six armées ennemies ,mais la calpullec et ses défenseurs avaient tenus bon, résistant jusqu'à la fin de la guerre, le clan devenant même bastion des guerriers orientaux.Même des occidentaux présents sur le clan avaient aidé à la défense de celui-ci et alors que les clans orientaux tombaient un à un sous les jougs aztèques, cuauh ou metz, Huamantla tenait bon. En même temps, elle s'était retrouvé tatlocani et avait oeuvré avec autant de hargne pour la province que pour le clan. Mais la prêtresse n'oubliait pas une chose, c'est qu'elle était Tlaxcalthèque et non orientale ou occidentale. Et puis les armées indépendantes avaient fait leur apparition, venant provoquer un peu plus, quoiqu'elles en disent, le chaos dans ce qui restait de l'Orient. Les charges pesaient de plus en plus sur les épaules de la jeune femme qui depuis la mort de sa petite Zala qu'elle considérait comme sa fille, tuée par Yavana, l'une des traitres de Huamantla, traitre à l'Orient et à la Seigneurie,et l'hécatombe de morts qui s'ensuivit,passait son temps dans le calpulli, loin des regards des habitants et surtout, loin des regards des mâles. Elle en avait assez d'entendre ces hyènes palabrer sur sa personne et sur sa vie privée. Alors elle vivait loin de tout cela, ne communiquant plus que par l'envoi de nombreux colibris. Seuls, de très rares proches arrivaient encore à l'approcher et c'est ainsi qu'elle avait vu arriver dans le calpulli, par un soir électrique, un Xintra dans une colère comme elle ne l'avait jamais encore vu, qui sortait de taverne. L'armée d'Ursus et les traitres du clan étaient là et avaient tenus des propos d'une bassesse ignoble, menaçants, les massues à la main, insultant jusqu'aux proches de la jeune femme et menaçant celle-ci d'une mort imminnente. Xintra furieux lui avait rapporté qu'ils comptaient attaquer la nuit-même et massacrer du défenseur avant de pendre la calpullec au bout d'un totem et de lui arracher les yeux, la langue et le coeur. Ce n'est pas tant ça qui avait fait rugir l'amazone, mais le fait que ces charognes veulent s'en prendre à ses défenseurs. La plupart d'entre ces charognards n'avaient pas hésité à s'allier au Cuauh et aux metz et avaient blessés et massacrés sans aucune pitié pendant la guerre leurs frères et soeurs orientaux, leurs frères et soeurs claniques aussi, bafouant les préceptes du Tonalamatl. Après rapide réflexion, Polya avait pris la décision qui allait changer sa vie : depuis le pillage de l'armée de Valkyrie il n'y avait plus rien à protéger dans le calpulli hormis quelques vestiges et elle en avait décidé ainsi, plongeant Xintra dans une colère encore plus noire, lui voulait la protéger, et elle voulait les protéger eux, le protéger lui, de ce qu'il avait déja connu et qu'elle ne voulait pas qu'il en soit de nouveau victime. Alors elle était resté évasive sur ses intentions et avait ordonné à sa défense de ne pas bouger. Elle savait que même elle n'avait pas besoin d'être protégé puisque quelques minutes avant l'assaut, elle démissionnerait. Mais les portes du clan resteraient closes et les défenseurs seraient aux abris. Déja affaiblis et fatigués par ces longs mois de guerre, ils avaient donné de leur personne plus qu'il n'en fallait et la prêtresse était humaine, il était hors de question que ces fous furieux armés jusqu'aux dents, ne fassent un carnage sur ces hommes et femmes volontaires qui n'hésitaient pas à faire corps pour la protéger elle....Alors cette fois, avant de partir, ce serait elle qui les protègerait...Elle avait clamé devant Huehuecoyotl son dieu que tant qu'elle serait calpullec le clan ne tomberait pas....Il était tombé entre les mains d'Ursus et des traitres, quelques minutes à peine après sa démission alors qu'elle venait de passer au nez et à la barbe de l'armée et qu'elle entendait les hurlements de rage des hyènes...pour être vendu aux metz quelques heures plus tard. Avant de partir, elle s'était rendue à la pyramide des calpullecs et avait déposé plusieurs tablettes. Et puis elle avait pris la route, seule, ne voulant pas d'escorte se sachant la proie de ces hyènes qui avaient mis sa tête à prix.


[Quand la traque continue...]

C'est vers l'Ouest qu'elle se dirigeait et cela faisait plusieurs jours qu'elle sillonnait les chemins et les canyons environnants, dans la plus extrême prudence se sachant toujours traquée. Burst lui avait ordonné de rentrer, Guyhom en avait fait de même mais tous deux connaissaient le caractère volcanique de leur soeur. Aussi cette fois, leur faisait-elle la surprise, inutile qu'eux aussi s'inquiètent de la savoir sur les chemins.

L'amazone avançait donc au rythme des rivières traversées, de la terre foulée. Et alors qu'elle s'avançait sur les terres arides et s'enfonçaient un peu plus dans ce paysage plus ou moins hostile c'est une des rencontres les plus improbables qui soit qui se fit et pourtant....Huehuecoyotl venait de par son esprit rusé faire acte de son machiavélisme.

Une silhouette hirsute et bandée, souillée, surgit à quelques pas plus loin. Encore un pauvre hère qui fuyait vers des terres plus propices se disait-elle. Un sauvage, un autochtone du coin à n'en pas douter...Quoique...à bien y observer.... La prêtresse fixe d'un oeil qui semble éteint la silhouette...Qui semble seulement, car l'amazone est constamment aux aguets.
L'homme est encore jeune semble t'il, de taille moyenne, des vieux bandages sur le corps et la moitié du visage. Un vrai sauvage. Et pourtant, quelque chose d'indéfinissable pousse l'amazone à observer la silhouette qui vient à sa rencontre.

Cette démarche, cette manière de se déplacer, si souple, si féline, si rapide...elle la connait...un seul guerrier possèdait cette démarche. Elle serre un peu plus fort la longe de son lama, l'obligeant par là-même à stopper et dans le soleil couchant qui se profile, elle regarde sans un mot le mâle approcher. Dans son esprit, des images d'une époque révolue : l'guerrier emplummé qui se déplace de cette même démarche et qui défend avec ses hommes le clan de Huam venant lui proposer son aide en toute simplicité..Un rire qu'elle n'a pas oublié, un buveur de pulque invétéré, et ces femelles agglutinées tout autour de lui, ce qui la faisait bien rire...Et au retour de la guerre de Tepe, cette nouvelle qui avait fait le tour de l'Orient : Arami Le Sombre, grand tiachcauh et chef des Condors de Xico n'était plus, son esprit s'en était allé rejoindre les grands guerriers auprès des Dieux. Nul n'avait retrouvé le corps de celui qui resterait à jamais le Guerrier Emplummé pour Polya et elle se souvenait encore de cette veillée organisée par la Grande Prêtresse Kalamite et à laquelle nombre de guerriers qui l'avaient cotoyés ou pas étaient venu lui rendre hommage.

Le vieux rusé lui jouerait-il encore un tour à sa façon ? N'avait-elle pas encore assez fait d'offrande et de sacrifice pour qu'il se manifeste ainsi à elle ? Son Dieu souhaitait-il donc la persécuter encore et encore ? Ou était-ce un signe qu'il lui envoyait ?

La vision fantômatique se précisait, le spectre du guerrier emplummé se trouvait devant elle, bien amoindrie mais pourtant difficilement reconnaissable pour ceux qui l'avait cotoyé de près.

Un souffle, un murmure. Pas assez fort pour qu'il ne parvienne jusqu'à lui, mais lisible sur ses lèvres.

Ara....

_________________

Polya Matlazatecatl.Coyotte Ex-calpu de Huamantla(9 mandats).Ex-tlatocani(4 mandats).
Natsuteclameque
[Premier rêve]

Voilà maintenant quelques jours que le mâle parcours les steppes arides du nord, s'enfonçant lentement dans le territoire taxcalèque. Depuis deux jours, un vent remonte doucement le giflant à l'aide des nuages de poussière qu'il transporte. Chaque ondé s'abimant sur le corps, griffant telle un papier abrasif la chaire bientôt a vif. Étonnamment, ci cela le gène, le mâle n'en montre aucun signe. Il continue d'avancer loin devant lui en direction d'une des voies de circulation que les marchands empreinte entre l'orient et l'occident. Ses provisions commencent à diminuer alors que l'eau lui fait défaut depuis plusieurs heures de marche. Malgré les lèvre craquelées et la bouche pâteuse rien ne semble pouvoir l'arrêter. Intérieurement, il s'encourage tout en se sermonnant sur le manque de jugement dont il fit preuve un peu plutôt dans la journée en avalant un morceau de viande qui n'a bien sur fait qu'accroitre la sensation de soif.

Pour son salut et ce et début de soirée, il tombe sur un renfoncement du terrain dans lequel semble se refléter tout au fond les rayons du soleil. Pas tel l'or poli mais au contraire un reflet vivant ondulant sous le vent léger. Bien que persuadé qu'il ne s'agit que d'une forme de mirage comme c'est villages qu'il avait cru apercevoir, il se dirige quand même vers le lieu providentiel. Chose dont il se félicite puisqu'il y trouve l'eau.
Il se laisse tomber à genou près du liquide cristallin et plonge délicatement les mains . La pénétration est lente comme si le guerrier ne souhaite pas déranger l'onde naturelle de ce petit coin protégé des dieux.

L'absence de trace ainsi que de toute forme de construction indique que l'endroit est isolé des routes marchande, que nul être profane ne souille les lieux de sa bêtise et de sa crasse. Quelques buissons se dressent éparpillé sur la berge fragile qui s'efface doucement sous le liquide translucide. Malgré la douce vision des lieux, il trouble l'onde tranquille en y plaçant ses deux pieds abimés. Le dépôt de poussière se lève, obscurcissant l'eau, chassant ainsi quelques crevette, rescapées de l'époque ou l'eau abondait. La quiétude le calme un peu et rassures ses angoisses naissantes. Qu'est il arrivé à son voisin si l'on peut dire pour qu'il ne rentre pas! Que ce passe t'il sur ces terres naguère florissantes et joyeuses.

Il allonge son corps sur un mit de feuille qu'il à prit soin de rassembler avant de sombré dans un sommeil tranquille. Doucement il s'enfonce dans le monde des rêves. L'impression qui l'étreint est de sombrer toujours plus profond au travers d'une brume épaisse qui se dérobe lentement sous son poids pour se dissipée une fois qu'elle le recouvre. Lors de cette descente, certains visage viennent comme peins sur du tissus. Il les connaissait sans les connaitre, leur visage familier le repose malgré cette légère exaspération à ne pouvoir remettre des noms dessus. Certains sont ceux de femelles qu'il jurerait avoir déjà rencontrés, d'autre de mal aux allures souriantes qui lui offre le même sentiment. Certain viennent a s'enflammer lorsqu'il les quittes des yeux alors que d'autre s'envolent. Sa logique se perd dans des raisonnement idiots. Sa pensé se raccroche à une idée,celle que les chamane et autres prêtre puissent souffrir de ce voyage régulièrement. Ce qui le rassure car toujours ils en sont revenu et donc la sortie ne qu'exister.

Plus bas encore, il croise des armes. Des massues, lance, javeline semble accrochés sur le mur de fumée. Celle-ci devient plus noir, plus opaque qu'auparavant lorsque des bruit métalliques envahisse l'espace confiné. Le bruit résonne et résonne encore tant bien qu'il est impossible de distinguer quel sons est nouveau dans la symphonie. Il pose ses mains sur ses oreilles afin d'en atténuer le bruit lorsque la chute.
D'un seul coup, la mousseline noire s'évapore pour le laisser sombrer dans une grande étendue rouge. L'odeur s'engouffre dans ses narines, lui brules les poumons, pénètre tout son corps alors que le liquide rouge feu s'approche de plus en plus vite. Il ne peut fermer les yeux alors que la vitesse continue d'augmenter Des cris de terreurs, de douleurs s'engouffre dans ses esgourdes alors qu'il percute le fond !

Il ouvre les yeux! Au dessus de lui, à l'est déjà le soleil commence à baigner le monde de ses rayons brulants. Un sourire d'apaisement se dessine sur son visage alors qu'il se relève. Il se retrouve étonnées de sa nuit trépident alors que son corps semble avoir retrouvé un nouvel élan de force. Plusieurs lune de sommeil n'aurait pu lui rendre une tel forme se disait 'il.

Sans plus y penser, il rempli une outre d'eau avant de remballer ses affaires et de reprendre la route. Il grignoterai un bout de viande tout en avançant vers le sud.



[Rencontre Étrange]


Il avance et le soleil continue sa course folle. D'ici quelques moments, ses rayons seront au zénith et déverserons sur la terres leur puissantes chaleurs écrasantes alors que notre homme avance d'un pas leste persuadé de ne pas être très éloigné de la première piste. Ses foulées le méne sur un terrain plus lisse, composé d'une poussière fine recouvrant la pierre. Devant lui un léger nuage de poussière se soulève pour disparaitre éparpillés dans l'air lourd. Surement une petite caravane marchande, il pourrait se renseigner. Il continue sa route sans changer de foulée.

Le voilà se rapprochant alors que deux silhouettes apparaissent devant lui. Pressé de savoir il continue d'avancer vers les deux ombre sous le ciel bleu.
Arrivée a quelques pas il s'arrête, l'homme déjà méfiant tient un modeste bâton en sa direction. Rien d'un guerrier ou d'un marchand. Le vêtement en lambeau, il protège de son corps une femelle dans le même état sinon pire que le brave homme. Un sourire étire le visage du mâle. Il tente de le réprimer ainsi que l'envie de bondir sur eux pour leur biens. Malheureusement il n'en tirerait aucune gloire puisque pas de trésors et un butin fort maigre. Il plante la pointe de sa lance dans la terre fendue afin de faire saisir ses intentions à son opposant.


N'approche pas ! Hurle ce dernier Sinon ! Sinon ...

lors qu'il allait finir sa phrase, il recule sur sa compagne de voyage, s'écroulant sur lui même alors que cette dernière tente vainement de rester debout. Cette situation fit rire le mâle déjà ravi de la rencontre.
Aussitôt il s'accroupi a seulement cinq pied de sa victime, le fixant de son unique oeil visible d'un regard pétillant. Étrangement, le sourire disparut lorsqu'il voulu dire mot. Voilà bien longtemps que les mots n'était plus dans sa bouche aussi l'exercice lui parut fort désagréable bien que nécéssaire.


Tzé! ... Drôle façon de voyager ..... La gorge se fait râpeuse et les sons graves
Espère tu ainsi arrivé jusqu'au prochain village?
la parole plus fluide mis toujours aussi grave

Nous... Nous fuyons l'orient! Le village est pillé et nous avons fui pour échapper à l'esclavage

Espère tu sincèrement pouvoir te défendre avec ça?

Je n'ai pas peur!

Allez! Allez! Bien sur que si puisque tu as fuis. Tu as fui mais tu as eut le temps d'emporter cette femelle!

Ma soeur, ni touche pas sale guerrier de malheur!


La remarque le fit sourire. N'est pas ce qu'il est venu apporter à certain. Commencer maintenant ou plus tard, quel importance.

Ecoute jeune mâle trouillard!
Dit il en se saisissant de l'extrémité du bâton pointé vers lui.
Te tuer ne mes pas utile, je n'en tirerai rien. Cependant, si ta parole est sans faille envers les dieux, si tu me sert jusqu'à la mort, toi ainsi que ta soeur, je t'aiderai a sortir vivant de cette enfer!

Le Jeune mâle, mort de faim regarde rapidement sa soeur dans ses yeux y voit le désespoir de la soumission. Il n'avait pas le choix, soit la mort dans la famine et la chaleur brulante soit le servage . La deuxième solution fut son choix/
Le mâle leur indique la direction de l'oasis tout en leur transmettant son outre d'eau pour les désaltérer. il leur fourni nourriture pour trois jours de marche et leur indique le lieux ou il les rejoindra indiquant dans la foulé au gamin le sort qui est réservé à ceux dont la parole est facile!

Il vide deux gorgées de l'outre dans son gosier et garde de quoi se sourire encore pendant une journée, la certitude de trouver une caravane étant ancré dans son esprit. lui ne peut entrer en ville dans son état et doc il est obliger de passer par la, les deux gamin lui serviront ainsi pour le repérage et la gamine pourrait lui ouvrir quelques portes.
L'esprit bien trop occuper à mettre en place ses stratèges, il ne remarque pas le nuage de poussière qui se rapproche lui aussi. Plus gros celui là, un mâle et sa caravane surement.
Il ne les remarques qu'une fois à quelques dizaines de pieds de lui. Son regard se pose sur celui qui tiens la tête du convoi composé d'un lama. Rapidement il peut déduire qu'il s'agit d'une femme. D'abord l'idée de profite de ses affaire lui effleurer l'esprit et il continue a s'approcher lorsque le visage devient net à ses yeux.

Le visage de cette Femme, il l'avait déjà vu. Cette nuit dans son rêve. Elle faisait partie des portrait qui ne s'enflammaient pas. Il s'arrête net, perdu dans des pensées étranges. Le moment semble long, il n'aurait su dire combien de temps il la fixe avant qu'un instinct le pousse a reprendre sa route, à s'éloigner de la créature.
Il oblique vers le sud ouest, reprenant sa course à vingt pas de la femelle, la contournant, ne pouvant la quitter des yeux. Sa course est maladroite, l'esprit toujours pris dans un torrent de pensées les plus étranges les unes que les autres. Il devra trouver des réponses, il le devra.

Il s'éloigne ne se retournant plus que pour juger de la distance qui les séparent. Il n'as dit mot, il n'aurait pu le faire, bien trop troublé par cet étrange rencontre!


[Campement]

Cela fait un moment maintenant qu'il suit les traces d'une caravane passée la quelques heures plutôt surement. L'espoir de la rattraper pour la nuit se fait de plus en plus mince.
Fatigué, lasse non pas d'avoir foulée la terre mais bien de ses réflexion quand à sa rencontre, il décide de se poser contre un rocher. Sa lance posée devant lui, le fond de la hampe calé contre son pied et la lanière accroché à la pointe entre ses doigts.
Il déballe, de sa main libre, le dernier morceau de viande s'apprêtant à y mordre copieusement....
--Le_chasseur
[Huamantla]

Taverne au fond d'une impasse dans le clan de Huamantla, une étrange agitation règne depuis tôt le matin. Le soleil est entrain de sombré dans les abîmes de la nuit et toute la racailles du clan sort de sa tanière pour se retrouver dans ce minable tripot ou tout les contrat les plus vil sont passés. Les rixes mortelles y sont monnaie courante et les instigateur politique s'y retrouve, trouvant ici de la main d'oeuvre à la fois bon marché et dont les us et coutumes ne représente que ennuie et privation.
L'homme fait défaut dans se décors de mâles en rut en pagne de mauvaise facture. il n'est visiblement pas de ces gens là, il avance d'un pas décidé vers l'entrée de la taverne qu'il pénètre sans la moindre hésitation et s'installe sur une natte auprès d'un homme assez petit recroquevillé sur lui même.

Vermine, j'ai encore un travail pour ton flaire!

L'homme concerné relève la tête le regard brillant d'une férocité malveillante. Il s'agit d'un des nombreux chasseurs. Ils sont généralement payer pour trouver les pistes les plus aisée pour fondre sur l'ennemi, repérer une caravane mais celui-ci traque sans vergogne toute les tête mise à prix.

Le calpulec de ce clan est parti! La récompense pour sa tête est suffisamment importante pour intéresser un homme telle que moi.
Guide mes hommes jusqu'à elle! Sa tête sera mienne!

Les lèvres du chasseurs dessine une moue lorsque l'écrin de cuire lui est placé sous le nez. L'on ne se moque pas ainsi de lui. Pour que tant de monde se déplace, cela doit valoir bien plus qu'un écrin de 500 Q. Ce qui est vite compris par son interlocuteur qui rajoute un deuxième écrin qui obtient pour réponse un hochement de tête.

Départ dans trois heures sur le chemin sud du village a environ 1000 pieds des gardes


Le temps de cacher son argent et de préparer quelques vivres et il se rend au point de rendez vous. Le groupe est composé de cinq personnes, dont l'équipement et le les têtes fallacieuses ne laisse planer aucun doute quand au but de leur mission. Lui renifle et eux exécutent. La somme de quatchli placé en sa demeure suffit à lui faire oublier toutes culpabilité ou même pitié envers sa cible.


[Quelques part sur les chemins, une idée...]


Le chasseur voyage maintenant depuis deux jours qu'ils progressent. La bougresse tente de masquer un maximum les traces mais l'oeil expère et avisé du pisteurs ne cherche pas longtemps pour retrouver la piste encore fraiche. Grace à une endurance que l'homme n'aurait soupçonné suit au poids de leur effet, les guerriers sont rapides et chaque lieux franchie, les rapprochent de la fin sanglante.
Malgré sa concentration sur ce pourquoi il est payé, l'homme tend l'oreille aux discussions entre les mercenaire un peu bavard, ce vantant d'une paye bien grasse à leur retour avec la tête de la femelle, à leur vie de luxure et de plaisir à venir.

Dés lors, ça fleuri dans son esprit, l'idée! Pourquoi la récompense ne serait elle pas que pour lui. Après tout, ce n'est qu'une simple femelle. Le fait qu'elle soit une servante des dieux par sa prêtrise ou encore une ancienne calpulec hors-paire, bien que cela ne soit vérifiable, ne peut être bien dangereuse.
Il s'imagine déjà, la fraicheur du silex sur la peau délicate de la gorge. La femelle soumise qui se laisse dominer. Ses mains caressé le tissus soyeux avant dans dépourvoir le corps félin et de la souillée au plus profond. La soumettre, l'avilir , que tout espoir soit éteint dans ses yeux et que la mort soit sa délivrance. Il sent déjà le liquide chaud et fluide glisser le long de ses doigts lorsque l'aorte cédera sous ses doigts. Il fermera ensuite les yeux avant de la souiller encore une fois et puis séparera la tête de son corps, un sac et le triomphé à l'intérieure, il retournerai voir son commanditaire.

L'idée séduisante une fois adopté, il change de direction, laissant ses compagnons le suivre dans un labyrinthe d'ou ils ne ressortiront pas de sitôt. Il augmente la cadence, à en essouffler les valeureux guerriers. La distance entre les deux groupes continue de se creuser jusqu'à ce qu'enfin ceux ci ne soit plus en vue.
La chose faite, il commence à effacer les traces derrière lui et bifurque vers le sud pour rejoindre la piste encore fraiche de la proie délectable.

[Une rencontre heureuse]


La piste est enfin rejointe, il progresse vite et bientôt il l'aura rattrapé. lorsqu'un mâle semble rejoindre sa direction. Dans la région, il n'est pas dur de sa cacher derrière un des innombrable rocher et ses yeux suive le voyageur avec un intérêt croissant. Les calligraphes sur la hampe de sa lance désigne une arme de bonne facture et donc un prix à la revente des plus élevés. De plus l'état de l'homme laisse à désirer, ses muscles couverts de bandage et son visage ayant l'aire camouflé sous le même bandage souillé par la poussière il ne peut pas être bien agile.

Il laisse donc la piste refroidir et suit une victime qui devrait bientôt s'arrêter pour la nuit. Il rampe sur des rochers à la recherche d'une ouverture.
Celle-ci vient enfin lorsque le badaud s'adosse à un rocher d'ou il le surplombe. La technique d'approche est simple.
Il surplombe sa proie, un premier balancement et puis un bon.

La chute l'amène par dessus le guerrier, le silex à la main, l'envie de tuer dans le fond de ses yeux.
Natsuteclameque
[Deuxième rêve]

La viande est maintenant relativement sèche suite aux chaleurs étouffantes du voyage. Du geste las, il porte à sa bouche le précieux aliment qui s'échoue entre deux rangées d'ivoires. Les dents cisailles la chaire de cabris avec aisance et la tache de mastication commence. La douceur et le gout subtilement salé s'étale sur la langue et le palais, entrainent la production de salive ainsi qu'une sensation de plaisir délicat. Un homme vivant de peu, éprouve le plaisir dans les choses simples.
Cependant, un visage vient gâcher ce moment de délicatesse culinaire. Étrangement, le gout parfumé s'étiole, laissant en bouche une mixture pâteuse. L'aliment descend difficilement dans le fond de la gorge mais y est tout de même amené par un claquement de langue agacé. Ce visage, ou l'avait il déjà contemplé. Les traits de cette femelle lui était familier et pourtant impossible de remettre un nom, un lieu ou une époque sur les lignes épurés du corps gracieux. La nervosité le gagne doucement.
Le contrôle de ses sens commençant à prendre la poudre d'escampette, il ferme les yeux, engouffrant dans sa bouche un autre morceau de chaire.
L'oeil vert émeraude se referme doucement sur ses réflexions, comme si à l'abri de la lune naissante, celles-ci en sont plus facile à démêler. Il se laisse sombrer dans les méandres de son imagination afin de peut être y trouver des réponses.

L'épais nuage se matérialise de nouveau alors qu'il chute. Étrangement et contrairement à la première fois, la texture douce et soyeuse l'empêche de sombrer dans les tréfonds du cylindre. Un étonnement passager avant qu'il ne se relève. Bien qu'il fut passé au travers précédemment, le fait de se tenir sur ces deux jambe sur la texture molle ne frappe pas son esprit. Celui-ci est attiré par l'avertissement d'une vision chaotique sur de grandes stèles. A première vue, il s'agit de pierre, finement taillées et polies mais s'approchant de celle à proximité, il ne peut pas réfréner un cri de surprise lorsque une onde fine et régulière secoue la surface poli de l'étrange chose.
Un appréhension, bien vite enterré par la curiosité et il continue de s'approcher. Ses doigts se crispent lentement lorsqu'il approche sa main pour prendre contacte avec la matière ainsi apparue. Avant même qu'il puisse toucher la surface opaline, celle-ci se brouille d'une multitude d'ondées laissant peut a peut apparaitre de nouveau un visage. Le temps d'essayer de se rappeler de lui qu'un flamme d'un bleu lapis s'empare du visage, le faisant disparaitre alors que les cris de douleurs semblant sortir de la même pierre résonne dans l'étrange endroit. Dans l'instant qui suit, la stèle se fractionne en milliers de fragments tous englouti par l'épaisse brume.
Il va de stèles en stèles et a chaque fois le même scénario. A chacune, il essaye de marquer le visage dans sa mémoire mais le temps pour les observer est bref et il y en a tellement.
Arrive enfin une stèle parcourue par une nuée d'éclaire d'un vert pale envoutant. Comme pour les autres, le visage commence à ce détacher doucement de son espace laiteux. Mais ce coup-ci pas de flamme alors qu'il suffoque. De nouveau ce visage. De plus il lui fait signe de le suivre, de traverser la stèle en sa compagnie. Intrigué, il pose sa main sur la surface et celle-ci ne rencontre nul résistance,pas même la sensation d'un liquide entre ses doigts.
Malgré une appréhension dés plus normal au vue de la situation, il part à la suite de la femelle et se retrouve dans ce qui pourrait être une calli.
Une calli à pulque pour être plus précis. Sur le sol, des nattes arrangées en groupe de quelques unités se dispute une place exiguë. Un éclairage sommaire à la graisse de pécari rajoute à l'ensemble un esprit un peu lugubre quand apparaissent les acteurs de la pièce qui se joue devant lui. Il aurait pu la qualifier de comédie si ce type de classement eussent existé en cette époque; On peut y voir des mâles, visiblement des guerriers se réjouir au centre de quelques femelles. L'un des mâles semble attirer les convoitise alors que la femelle croisé plutôt lui entame la conversation. Elle, le teint sérieux et grave alors que le mâles enjoué, le bol de pulque à la main rit aux éclats. Nul doute qu'il s'agisse d'un gaie luron dont le seul maux est l'ennui.
Bizarrement, personne ne semble le remarquer et tous continue leur numéro tel un cirque.

Il décide de s'approcher un peu plus lorsqu'un lance traverse la pièce en sa direction!


[Réveil in extremis]


Un sursaut de son esprit, instinctivement il tire sur la cordelette qui le relie au silex tranchant de sa lance. Pas le temps d'ouvrir les yeux qu'un bruit sourd se fait entendre. Le regard émeraude s'allume, une impulsion et le corps se met en mouvement. L'excitation, l'envie de sang se dessine sur son visage telle la folie des enfers.

Tuer! Tuer!

Il charge sur sa victime, la lance lancé de côte tel une lame destinée a fauchée, une lame effilé dans l'autre main pour bondir sur la gorge. Plus rien ne l'entour, seul reste cette vision d'un monde rouge de sang dont l'imprudent va contribuer à concevoir. Lui qui venait de terminer son frugale repas, il allait se repaitre des entrailles fumante de l'inconscient qui n'as pas su profiter de l'effet de surprise.
L'homme aurait 'il une forme d'esprit protecteur qu'il fut ainsi prévenu. L'idée le frappe dans sa charge.


Peut être n'est elle pas réelle! ne serait ce pas un tour jouer par mes yeux que cette femelle que j'ai croisé en pleine steppe! Peut être cet esprit me protège et par cette apparition me transmet un message.....

Les questions se bousculent, envelopper dans cette soif de carnage. Impossible de réfléchir, il faut d'abord accomplir ses pulsions, la raison viendra ensuite...
--Le_chasseur
[L'attaque surprise]

Il à poser sa besace, ses quelques provisions sièges en hauteur, il ne vas pas l'attaquer pour une s'approprier une quelconque nourriture, son dessein est bien plus cruel. Il s'agit juste d'ôter la vie au voyageur, ramassant sur lui les quelques fortunes qu'il pourra trouver. La carcasse lui semble quelque peut abimée et donc il ne se fait guère d'illusion quand à la somme de son butin. Cependant, la soif de sang est la plus forte et puis il lui rends service à ce pauvre bougre en l'achevant. A cette idée, un sourire nait sur son visage, il illumine le visage craquelé par les longues journées à trainé son corps sous le soleil des steppes. Les yeux fous, exorbités, presque semblants s'extirper de ce corps difforme rende le spectacle monstrueux.

Pas d'hésitation, un bond dans le néant et le voilà en direction de sa proie. La tête tombant de son point de chute presque la première, un filet de bave aux lèvres, il fond sur la proie.les trois mètres d'altitude qui les séparent seront franchi dans une demi seconde Quand soudain!

La lance de la proie se ramène au corps, il aurait du le voir à la manière ou celle-ci fut déposer sur le sol, il ne s'agit pas d'un simple voyageur, novice dans l'art du combat. Le silex se dirige droit vers ses entrailles et pour ne pas finir empaler sur le long manche rigide, il donne un coup sur la paroi pour s'écarter. Action réflexe qui le projette à quelques pieds de son adversaire.
La chute sur le sol est lourde, un nuage de poussière s'élève dans la pénombre naissante. Inconsciemment, sa main se porte à ses côtes alors que sa cuisse brûle d'un feu lacérant. Il étouffe un râle de douleur en se redressant vers son ennemi. Le mâle inconscient aurait dut mourir, pour le coup il va souffrir.

Il tente de se relever quand son regard croise celui de ce qui fut une proie. Il ne ressemble en rien à celui d'un homme blessé mais plus à celui d'un fauve dont la cage vient de s'ouvrir et qui souhaite se venger de sa rétention. Se relever très rapidement est impératif pour rester en vie. Malgré la douleur pulmonaire te l'aire qui s'engouffre sous un râle plaintif il s'appuie sur ses bras, ramenant ses jambes sous lui et se redresse d'un bond.

Redressé, il chancelle sur sa jambe droite. Il porte la main et y rencontre un liquide poisseux et chaud. Ses doigts reviennent vers son visage dans le but de découvrir la source de cela. Le liquide vermeil scintille dans le couchant. La plaie, bien que superficiel laisse échapper le sang d'un mince filet. Celui-ci s'insinue déjà sur la semelle de cuir, sous le talon.

Tu vas crever puanteur désarticulée.
De toute sa puissance, il court vers l'adversaire le silex en avant, la rage au ventre.
Natsuteclameque
[Le Duel]

Le voyageur bondit sur ses deux jambe et empoigne prestement la hampe de sa lance dans sa main gauche. Celle-ci, complètement couverte d'un bandage sale et mal ajusté dont l'âge semble se situer bien loin dans le passé. Toute la puissance de le rage l'enveloppe alors qu'il pensait pouvoir la maitriser. Ce ne'est pas une envie de se battre mais bien l'envie de sang qui le poussé vers son ennemi dévoilé.

La parade à déjà entamé le guerrier et le fumet délicat de la bête blessée emplit lentement l'aire ambiant. Ses lèvres se relèvent laissant ainsi apparaître les dents parcourent par une langue rouge et avide.

Ses pas sont rapides, soulevant la poussière dans le couchant alors que le silex armant le sommet de la lance glisse sur le sol, le marquant d'un sillon rectiligne. Le poignet se raffermit, le bras se contracte soulevant l'arme mortelle dans un mouvement circulaire à hauteur des entrailles adverses. La pointe mortelle derrière lui, c'est avec l'arrière de la lance, munie d'un contre-poids qui s'avance vers le visage de l'agresseur.

Les attaques commencent à s'enchainer avec pour but principale de ne pas laisser l'opposant franchir sa garde tout en essayant de le couper pour le vider de son sang. Voilà bien des levés de soleil qu'il n'as plus pratiqué ce type d'exercice et la mémoire est dur a revenir. Les gestes sont imprécis mais la rapidité lui est restée.

Chaque pas qui vient bloquer l'élan de la lance, remonte au plus profonds de ses os. Les blessures ne serait'elle pas que de vieux souvenir. Depuis le temps qu'elles sommeil sans le faire souffrir du moins toutes celles loin de son visage.

Il doit faire vite, le combat ne doit plus s'éterniser. Il lance une attaque directe, visant l'épaule de sa proie afin de la défaire. L'attaque absorbe toute sa puissance, la projection est rapide.

Le dénouement est proche.
Polya
[Sur les chemins...]

Immobile, ses myosotis perdus dans le regard vert émeraude qui ne la lâchait pas, tournoyant, semblant poser maintes questions, à quelques pas d'elle, il faisait des cercles. Avant de s'éloigner, se retournant de temps en temps.

Silhouette qui s'amenuise mais l'amazone reste là, immobile, cherchant à comprendre ce qu'elle vient de voir, ce qui vient de se passer.Nul doute que c'est lui. Tout l'Orient l'a cru mort bien que jamais son corps n'eut été retrouvé. Et voila qu'aujourd'hui, cette apparition sous les yeux, Polya réalisait qu'elle venait de croiser la route d'Arami le Sombre, le fier guerrier emplummé. Elle a noté la blessure au visage, ainsi que les sales bandes nouées à la va vite sur des blessures déjà anciennes et sans doute mal cicatrisées. Elle qui est guérisseuse se demande si elle ne devrait pas lui emboîter le pas mais s'il a semblé troublé, elle n'a pas l'impression pour autant qu'il l'ait reconnu.

Elle emprunte la piste qui mène vers la capitale, lieu de cérémonie pour l'un de ses frère aîné. Elle se rendra ensuite sur Mazapa profiter des quelques temps de répit qu'elle s'octroye. Mais son esprit erre vers la rencontre qu'elle vient de faire. Serait-il tout droit revenu du tanoclan, de l'au-delà ? Elle se souvenait d'une prophétie qui narrait l'histoire d'une femme morte et revenue sur terre pour prévenir le tatloani d'une attaque imminente et de la destruction de son empire en des temps plus reculés. Ses yeux se posèrent sur la large plaine qui s'étendait devant elle à perte de vue, uniquement traversé par ce qui fut anciennement un fleuve, désormais petite rivière au milieu de cette contrée aride.De l'autre côté, à l'opposé, s'élevait une spacieuse vallée qui paraissait n’avoir ni commencement ni fin, très plate, dépourvue de coteaux, de ravins et de montagnes. Vers son milieu se trouvait un chemin qui bientôt se divisait en sentiers divers. Sur l’un des côtés de la vallée coulait une rivière considérable.le glissement de l’eau, les bruits de la forêt et l’odeur des plantes invitent au repos. Mais elle sait qu'il faut qu'elle avance, elle a remarqué au détour d'une roche, un peu en contrebas, une silhouette sur la même piste. Bizarrement, cela fait deux jours qu'elle l'a aperçue. Troublée par sa rencontre, l'amazone,lama blanc tenu en longe continue sa route et entraperçoit entre deux canyons, les huttes se profiler. Signe des Dieux ou véritable apparition? La prêtresse se dirige vers le lac, elle ne peut décemment pas entrer dans la pyramide ainsi souillée de particules de terres et de poussière...Et toujours ces yeux verts qui la hante...

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Polya Matlazatecatl.Coyotte Ex-calpu de Huamantla(9 mandats).Ex-tlatocani(4 mandats).
--Le_chasseur
[Le Duel]

Le chasseur , la main poisseuse s'encourt vers sa proie avec l'envie de faire souffrir, non plus de tuer mais de laisser agoniser le mâle inconscient de son geste. Pour un tueur de son rang, passer au dessus de la garde d'une lance est un jeu d'enfant et une fois cela fait, la proie est prise dans un pige mortelle. Aussi, d'un geste vif, il esquive le coup en parabole, esquissant au passage un sourire de provocation.

Trop fac...

Le cul de la lance lui revient. Surpris de cette attaque somme toute très inhabituel, il est coupé net dans son élan. Prise d'appui rapide sur son talon droit. L'impacte résonne dans sa blessure révélant sa véritable profondeur. Une grimace vient fendre son sourire narquois de l'instant d'avant. 0peine le temps de poser ses appuis qu'un nouveau coup fond sur lui et il se voit contraint d'esquiver.
A une distance raisonnable de la pierre taillée, il commence a réunir ses esprits. A première vue, la technique de son adversaire est des plus grossière mais elle est source de subtilité. Les ouvertures flagrantes invite le guerrier à s'y engouffré et de la vient sa perte par les retour inattendu. Ici il ne faut vraiment pas le sous estimer car il est bien plus dangereux qu'il ne peut laisser croire.

Petite feinte pour tester la réactivité et déjà la lance plonge sur lui. Un bond sur le coté de plus alors que l'attaque suivant est déjà en route vers son estomac. Eviter le contacte à tout pris. Facile pour un mâle comme lui mais cela reste fatigant et il ne tiendra pas ainsi très longtemps au vu des conséquences de sa chute. Quelques tentatives et bientôt une douleur lancinante le force a ralentir pour reprendre son souffle. Baisse de régime dangereuse et il n'arrive pas à éviter le coup qui arrive. Le choque sourd percute son épaule, alors qu'un nouvelle attaque mortelle arrive, il chancelle et tombe sur ses genoux.

La pointe effilée se dirige vers lui alors que son souffle devient tortures, que chaque tentative de survie devient l'enfer et que la mort devient bien heureuse.

Saleté de Polya! Capullec de misère, pourquoi ai-je accepté de te poursuivre chienne des entrailles de la terres!

Une quinte de toux vient confirmer l'état bancale de son corps. Teinté d'un rouge sombre, le cracha s'écrase sur la poussière.
Natsuteclameque
[Souvenir, Souvenir quand tu nous tiens]

La rage grandissante, la dernière attaque en touche et le coup final qui se prépare pour s'abattre sur la gorge offerte de dépit. Bientôt le sang giclera de sa victime tel les cris déchirants de la montagne lorsqu'elle recrache ses entrailles pour rappeller aux hommes la toute puissance des divinités. Le coup, il ne peut plus le parer dans l'état. Le frisson de la victoire parcours déjà ses veines, sensation très agréable dont il avait presque oublier le gout. Encore quelques pouces lorsque cela se produit...

Polya! Le son extrait de la bouche du condamné résonne dans sa tête, la lame de pierre s'écarte de la gorge avec une rapidité qui le surprend lui même. Ce nom ne lui est pas inconnu, au contraire, dans sa vision brouillée, il semble que se nom fut le premier qu'il avait vu inscrit sur le mur de feu. Pas une écriture simple et grossière, mais bien une calligraphie de haute qualité. Plusieurs noms y figurai mais aucun, bien qu'ils lui soit tous familier ne lui rappelait un souvenir précis. Trop longtemps à l'écart des hommes, il avait oublié bien des choses.

Ses yeux s'emplissent d'une étrange lueur. Sentiment de rage, de colère et d'incompréhension se mêlent à son esprit déjà fortement embrouillé. D'abord, cette voix qu'il avait entendu et qui lui à dit:

Un jour, tu te lèvera et tu reprendra ton chemin vers les hauteurs du monde! Ce jour sera celui du changement, mais toi seul pourra le façonner à ta guise. Ton destin est tien, les dieux veilleront sur ton accomplissement.

Cela, il n'y avait rien compris jusqu'à ce jour ou il eut se point entre les côtes, point douloureux le poussant vers le monde. Il s'est levé et est parti. La route fut étrange,parcourut de rêves incompréhensibles. Ce visage, et maintenant se nom qui semblait très bien se confondre avec l'être. Ainsi son chemin s'éclaire devant ses pas. Il ramène sa lance son flan, plante le cul de la hampe dans le sol et dis:

Parle! Qui est cette Polya, que lui veut tu et pourquoi tu m'attaque ainsi? Parle et vite sale serpent!

La rage de tuer, cet instinct basic parmi les siens s'estompe doucement. Le chien pourrait bien être plus utile qu'il ne puisse l'imaginer maintenant qu'il est défait, et pourrai surement éclairer sa destiné et pourquoi celle-ci était empreinte de se nom à la résonance familière. L'ombre qu'il était s'insinue doucement dans le monde, prêt à le ronger et le vil mâle en serait son pion...
--Le_chasseur
[Serment dans le sang]

Le regard se teinte d'un voile noire, est ce la résignation de son âme qui embrasse la mort, le début d'un autre cycle? Pas la moindre idée. La douleurs semble s'estomper alors que l'ombre debout devant lui s'apprête à l'achever. Pauvre vie faite de maigre butins et petits larcins qui se rappel à son bon souvenir dans les derniers souffles de vies qui s'échappe de son corps. Bientôt la chaire tendu de sa gorge se fendra pour répandre le contenu rouge écarlate le sol déjà bien nourrit de cette précieuse matière visqueuse. Plus de peur, plus d'angoisse et d'appréhension, rien qu'une sensation brulante lorsque la lame effleure la carotide offerte. Ça y est, est il mort? Pas de changement pourtant, aucune sensation si ce n'est que ce corps qui s'alourdit encore.

Le corps flanche, les poignets en avant percutent le sol. Il se rattrape de justesse alors qu'une quinte de toux expulse le trop de sang qui s'insinue dans son larynx. La main se porte à sa gorge pour en vérifier l'état. La constatation lui écarquille les yeux, l'aurait il raté? Pas la peine de s'affoler, il n'est pas en état de se débattre donc il ne reste plus qu'à attendre le coup suivant. Les yeux se ferment quand une voix résonne dans son crâne!

Qui? Pourquoi? d'ou vient cette voix des enfers!


il hurle sa frustration jusqu'à se que son regard croise le feu ardent qui brûle dans l'unique de son adversaire. Une haine féroce s'y consume offrant la une vision effrayante.

Qui est-tu? Rétorque t'il remarquant l'idiotie de sa remarque puisque peut avant il n'en avait cure.

Il s'écroule davantage sous le poids de son corps. Les blessures sont superficielles, la seul vrai attaque qui eut raison de lui est sa chute. Surement une côte brisée, peut être deux Les entrailles tout du moins s'enflamme transformant son corps en un torrent de douleur. Un sursaut de fierté lui dicte de se jeter sur sa proie en un dernier élan alors que son être tout entier s'avoue vaincu.

Bouge!Bouge!
se dit il pour se requiquer, mais il n'y a rien a faire.

Ses yeux toujours posé sur le visage sévère s'échappent pour fixer le sol. Une confession s'échappe de sa gorge comme une supplique. Chaque mots est douloureux mais il le faut pour survivre et un jour devenir grand.

Je ... Je suis à la recherche d'une traîtresse orientale. Sa tête vaux son pesant de richesses et de privilège, aussi a-je accepté un contrat qui vise à ramener sa tête en huamantla pour contenter les haut dignitaires. Elle empreinte, j'en suis presque sur la piste ou je t'es croisé guerrier! a quelques lieux d'ici plus que probablement. La récompense est grande!

Une nouvelle quinte de toux et il se tord, la face dans la poussière. Il en est certain, il hais ce mâle et un jour... Mais il n'en est pas encore là, non il en est encore bien loin. Aussi ce fait il sage et tente de s'expliquer entre deux cracha vermeils.

Pour toi, je voulais juste voir si je ne perdais pas la main, ce qui semble être le cas....

Le voilà échoué sur le sol, presque embrassant les pieds de son ennemi, la mine déterrée...
Natsuteclameque
[Serment dans le sang]

Le mâle putride gît au sol, dans ce mélange dégoutant composé de sang et de sueur. Il s'avance vers le corps presque inerte, les pensée en ébullition. Il arrive à mettre un nom sur un visage, les deux lui sont connu mais d'ou? Nul souvenir ne veut refaire surface dans sa mémoire quelques peut embrouillé depuis ce jour. Il lui faut des réponses et vite. Les éléments semble jouer contre lui dans sa conquête de son propres soi. Il semblerait qu'un des clés qui pourrait lever le voile sur maintes questions à le temps compté. Ses gestes, durant le combat. Ses membres ont agit comme si il s'agissait de simples réflexes de base. Des réponse, il lui faut des réponses.

Toi chien! lance t'il au mâle alors que son pied appuyé sur le flan désigner tente de faire rouler l'individu sur le dos.

Tu vas me servir à partir de maintenant! Tel le chien que tu est, tu vas trainer ton nez sur le sol pour me la retrouver au plus vite et me la ramener au plus vite. Accompli cela et le piètre combat que tu viens de livré ne sera plus qu'un mauvais souvenir.
Je la veux vivante et ne l'abime pas!


Ces mots prononcés, il se retourne avec un aire de dégout du amas de chaire se tordant sur le sol. La fierté n'est plus que souvenir chez cet homme songe t'il. Ce qui a pour conséquence son incapacité à vaincre dans un combat de juste. Le regard oblique sur le corps derrière lui, il s'éloigne pour disparaitre dans la nuit maintenant tombée:

Vite et vivante!

Les deux hommes savent déjà ou le rendez vous est fixé, en la capitale, pour un échange d'une vie contre une autre. LA pénombre englouti la scène alors qu'une langue humide parcourt les lèvres bien heureuses. Le gout du sang ne s'oublie pas et est toujours aussi délectable.

Ses pas le poussent vers la capital alors que les questions se pressent dans sa tête. Quand elle sera devant lui, qu'est ce que cela lui apportera? Connais t'elle les réponses aux questions qu'il ne connais même pas. Une migraine s'empare de son front, les yeux se ferment, tentant ainsi vainement de chasser la douleur. Il s'arrête, le voyage ainsi que le combat l'on bien plus épuisé qu'il ne se plait à le croire
Polya
Elle avait vraiment besoin de se décrasser et c'est nue que Polya se jeta à l'eau, sans se soucier peu ou prou de qui pouvait bien se trouver dans les parages. Belle journée de l'été naissant ; déjà les rayons solaires qui traversaient les tentures descendaient sur l'horizon, caressant d’une forte chaleur le visage de la féline amazone qui s'immerge dans l'eau, absorbée dans ses pensées. La lumière du soleil couchant laisse un halo sur la chevelure de la jeune femme. La prêtresse atteignit le cœur du lac en quelques mouvements, réduisant la sensation de picotement due à la fraicheur soudaine de l’onde, située bien plus à l'ombre la journée... Flottant sur le dos, elle observe le ciel ; l’inaction lui faisait bouillir le sang et, souvent, ça présageait un orage futur chez elle.
La sylphide amazone, les pointes des seins éffrontément dressées par le froid ne mit pas longtemps à disparaitre sous les eaux, retrouvant là, presque un environnement familier.Combien de fois s'était-elle plongé dans sa cascade sur ses terres de Huamantla.
Elle glissa longuement sous l'eau savourant cette légèreté avant de remonter à la surface
.
Le corps délivré des chiffons et la peau offerte à la tiédeur de cette soirée estivale, la prêtresse purifie ses vêtements ainsi que son âme et son corps dans l’onde encore fraiche ; les frissons déclenchés par le contact de l’eau l’incitent à se mouvoir, provoquant de fragiles vaguelettes auxquelles elle cédera finalement la place. Se saisissant de sa petite outre de peau qui ne la quitte que rarement, elle la porte à sa bouche, terminant ainsi par ce geste sa purification. L'élixir de turquoise est un grand guérisseur. Son énergie purifiante dissipe la négativité qui sommeille en soi et que l'on perçoit parfois dans son environnement.Sur le plan physique, l'élixir de turquoise active la régénération des tissus. Il est tout indiqué en cas de déchirements des ligaments car il favorise l'irrigation des tissus musculaires. Il soulage les douleurs des muscles causées par une mauvaise oxygénation ou trop d'efforts physiques ce qui ne manquait jamais de soulager l'amazone lors de ses longs voyages. Sur le plan spirituel, cet élixir apporte force et protection afin de poursuivre sa démarche spirituelle sans se laisser freiner par les peurs de l'inconnu. Il encourage la liberté d'action, la créativité individuelle.
Des lunes et des lunes que l'amazone se purifiait le corps ainsi. L'un de ses petits secrets de prêtresse...
Après de longues brasses la voila qui sort de l'eau et enfile une tenue plus adéquate, défait son chignon et essore sa longue chevelure avant de se diriger vers son lama.....lorsqu'un ouragan lui tombe soudain dessus....Elle a senti sa présence avant même qu'il ne bouge...

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Polya Matlazatecatl.Coyotte Ex-calpu de Huamantla(9 mandats).Ex-tlatocani(4 mandats).
--Le_chasseur
l'ombre recule, pour disparaitre sous le voile de nuit, le laissant seul avec ses blessures. Il se replie sur lui même, ce plaquant à la paroi rocheuse, invisible tel un chien se terrant pour lécher ses blessures. La quinte de toux qui lui tord les entrailles trahi , seule dans le vide nocturne, la présence agonisante. La est une bien grande considération, le malfrat, allongé contre la pierre froide reprend son souffle. Dans les premiers instant, il pensais finir là tel un déchet de viande pour les infâmes vautour de ces gorges mais la mort ne veux pas de lui! Pas tant qu'il ne se sera pas laver de cette honte qui lui tiraille l'âme.

Alors qu'il réfléchit à son avenir, le souvenir de cet oeil unique, lui frappe l'esprit. Un pléiade de questions se bouscules, impossible à ordonner dans cette forme d'émergence brumeuse de sa conscience. Impossible de se poser les questions essentiels, seul certitude, le besoin de retrouver la femelle pour espérer avoir une réponse, pour savoir qui!

Il sombre dans un état de semi conscience qui lui permet de récupérer, ne se souciant pas des danger de la nuit à être exposé ainsi, bête blessée et sans la moindre défense. Ainsi commence une nouvelle page de sa vie, et la reprise d'une chasse avec un objectif différent...

[suite du post dans l'après midi, début de la soirée]
--Le_chasseur
La lueur de la lune éclaire le corps inerte. Seul les frissons qui parcourt la peau scintillante sous l'effet désagréable de la rosée permettent d'affirmer que le corps respire encore que de cette précieuse chose qu'est la vie. Une position fétale afin d'offrir le moins de surface possible à l'aire comme seul parade, le blessé tente de récupérer quelques forces et conscience tout en ne laissant pas son corps se faire emporté par l'agression matinale de l'aurore. Les yeux mi-clôt scrutent les environs à la recherche de tout et de rien alors qu'un hale de vapeur s'échappe de l'entre ouverture de lèvres à chaque expirations. Il en appel de tout son être au bien fait de la chaleur que peut procurer l'astre brillant.

Le pétillement de quelques rayons sur l'horizon s'éclaircissent quelque peu les pensées confuses de notre brigand. Avec difficulté, il se redresse avant de frictionner lentement les partie engourdies de on anatomie. Légèrement en état hypothermique, il sait 'd'instinct que ça seul chance est de bouger, aller droit devant pour se réchauffer.

Lentement, se facultés lui rappellent les événement de la veille et la correction qu'il s'est prise. La conclusion immédiate est qu'il doit trouvé cette garce avant d'y laisser ce qui lui reste de souffle. Il doit savoir pourquoi bien plus que comment!

Les forcent qu'il empreinte pour se relever sont colossale et le contre coup est immédiat. Il titube, chancelle et manque de s'effondrer avant de se rattraper de justesse sur un rocher. 2lan de plus et il se met enfin a marcher, bientôt il va la retrouver.


[sur les chemins au bord de l'eau]


La piste n'es pas encore trop effacée, simple comme l'eau s'écoule de la montagne il a pu reprendre sa traque interminable, les mots résonnant encore dans sa tête

Il faut pas que je la lui présente ouverte et accueillante non plus!

Il siffle jurons et autres incantations futile lorsque le bruit de l'eau s'émeut à son oreille. Sa proie est la, à porte de bras. La noyer aurait été chose aisée mais bien sur, il lui fallait vivante maintenant.

Tel un loup à l'affut de sa proie, il s'avance lentement, dans le vent et sous le couvert de quelques végétaux semblant se coucher sur le matelas de cristal bleu. La voilà bientôt à sa porté, il va bondir.

L'attaque est vive et bruyant, mais la discrétion n'étant rien face à la rapidité. IL sort de sa cache pour fondre sur sa cible afin de l'assommer. Le poing gauche en retrait pour avoir suffisamment d'élan pour la percuter.

La douleur de sa côte l'élance, et ce répercute a chaque pas mais rien n'y fait et il continue d'avancer. Plus qu'un pas et l'affrontement pourra commencer. Pour la curiosité, il doit la terrasser!
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