Zenka
[ elle ne le savait pas non , elle ne le savait pas fini Mazapa place aux kliks qui usent!!]
arf! Zenka t'sais que t'es la seule coyote vivante qui creve encore de faim ? hein , Tu le sais ça?
Surprise, surprise oui, Zenka ne le savait pas ça! Oui , elle était encore la seule à faire des calculs de survie " aujourd'hui je mange pas , je suis squeletique, demain je pourrais manger hein?
Elle baisse la tête, songeuse, et continue à marcher, elle suit le mouvement, puis ne quitte pas du regard le geant qui sert de lama à sa soeur.
Elle suivait bêtement mais surement le groupe de coyote. La peur d'être abandonnée dans le clan de Mazapa.
Ils sont bizarre là bas, ils font des "bisous" pour accueillir les etrangers, choses que Zenka ne supporte pas, le baiser pour elle est signe de haine et provocation au duel ou bien à un nuit toride qu'elle n'est pas encore prète à offrir! Grognement, et gromellemant se succedent, lancer de goyave pourris, signe d'affection fraternelle et amicale pour elle.
Longues discutions, et montée de larmes de l'eau salé qui coule sur quelques joues de coyotes femelles, elle ne comprend strictement rien, ça parle d'homme, de trahison, de partage, et un terme qu'elle comprend pas "amour".
Elle qui aime rien du tout à part sa propre personne, elle qui ne venere qu'une chose la nourriture et son estomac, elle reste perplexe et se precipite à lecher l'eau salée qui coule sur les joues de Naze, la suppliant de cesser de chialer, car boire l'eau salée n'était pas très agréable pour la crevarde, loin d'être du cacao ou du pulque. Puis c'etait par instinct fraternel surement qu'elle protegeait les yeux de sa soeur.
Puis , la peur, les larmes rendent aveugles tel que l'amour, et Naze ou Naysa était la meneuse , une meneuse se doit de voir clair, pou guider les autres coyotes, seule cacique et melancolique.
La petite virée se passait tranquilement, la revolte à Mazapa était un franc succès, le déchu était bien mecontent, confondant les coyotes femelles avec des chiennes. Zenka ne voulait pas trop parler avec lui, puis une flemme clanique de defendre et argumenter son geste de rebellions.
Elle agit par instinct, le clan crevait de faim, des membres du clan avaient appelé au secours, les coyotes sont arrivés et ont fait leur devoir point, elle avait aidé son troupeau.
De retour à Tulancingo clan au verger et aux hommes dirigés par des femmes.
arf! Zenka t'sais que t'es la seule coyote vivante qui creve encore de faim ? hein , Tu le sais ça?
Surprise, surprise oui, Zenka ne le savait pas ça! Oui , elle était encore la seule à faire des calculs de survie " aujourd'hui je mange pas , je suis squeletique, demain je pourrais manger hein?
Elle baisse la tête, songeuse, et continue à marcher, elle suit le mouvement, puis ne quitte pas du regard le geant qui sert de lama à sa soeur.
Elle suivait bêtement mais surement le groupe de coyote. La peur d'être abandonnée dans le clan de Mazapa.
Ils sont bizarre là bas, ils font des "bisous" pour accueillir les etrangers, choses que Zenka ne supporte pas, le baiser pour elle est signe de haine et provocation au duel ou bien à un nuit toride qu'elle n'est pas encore prète à offrir! Grognement, et gromellemant se succedent, lancer de goyave pourris, signe d'affection fraternelle et amicale pour elle.
Longues discutions, et montée de larmes de l'eau salé qui coule sur quelques joues de coyotes femelles, elle ne comprend strictement rien, ça parle d'homme, de trahison, de partage, et un terme qu'elle comprend pas "amour".
Elle qui aime rien du tout à part sa propre personne, elle qui ne venere qu'une chose la nourriture et son estomac, elle reste perplexe et se precipite à lecher l'eau salée qui coule sur les joues de Naze, la suppliant de cesser de chialer, car boire l'eau salée n'était pas très agréable pour la crevarde, loin d'être du cacao ou du pulque. Puis c'etait par instinct fraternel surement qu'elle protegeait les yeux de sa soeur.
Puis , la peur, les larmes rendent aveugles tel que l'amour, et Naze ou Naysa était la meneuse , une meneuse se doit de voir clair, pou guider les autres coyotes, seule cacique et melancolique.
La petite virée se passait tranquilement, la revolte à Mazapa était un franc succès, le déchu était bien mecontent, confondant les coyotes femelles avec des chiennes. Zenka ne voulait pas trop parler avec lui, puis une flemme clanique de defendre et argumenter son geste de rebellions.
Elle agit par instinct, le clan crevait de faim, des membres du clan avaient appelé au secours, les coyotes sont arrivés et ont fait leur devoir point, elle avait aidé son troupeau.
De retour à Tulancingo clan au verger et aux hommes dirigés par des femmes.