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[Garg-RP] La tournée des Coyotes et Géocoucous

Proutygirl
[The unforgiven.]

Impardonnable. Est-ce les autres qui le pensaient ? Pas vraiment. C’est du moins ce qui la rongeait. Elle avait suivi la meute à distance. Elle n’avait pas vu la Bleue, pas plus que le géant. A vrai dire elle s’en foutait, paumée qu’elle était dans son marasme intérieur. Trop de questionnements qui dansaient entre ses deux hémisphères.

Pas après pas. Avancer. Vers où ? Quelle importance ? Le tout était de ne pas se laisser déborder par ses sentiments. Oublier, suivre son instinct. Bientôt ils seraient là où elle devait être. Auprès de lui. Avait-elle d’autre choix ? Non. Il l’avait rappelé à lui, elle devait s’acquitter de son devoir et autres obligations.

Cela ne l’attristait pas. Elle savait que cela finirait par arriver. L’on ne fuit pas face à sa destinée. Elle était née pour le servir et savait que tôt ou tard, il exigerait son dû. Alors pourquoi ces regrets qui tentaient de percer sa carapace toute neuve ? Les quitter, se séparer d’eux qui avaient constitué sa toute première famille.

Au milieu de nul part, ils s’étaient enfin arrêtés. Elle voulait lui parler. Elle s’était donc avancée vers lui. Conversation agréable tout du moins lors des prémices. Sourires affectueux, regards sincères, gestes tendres. Elle était rassurée. Elle s’était assise près de lui et s’était restaurée de quelques haricots, trempant ses pieds dans l’onde fraiche.


- Qu’as-tu décidé ?
- Je n’ai pas encore décidé. Je verrais demain.
……
- Je veux que tu restes chez les Coyotes
- J’vais essayer
……
- Je vais te laisser à Myttis. J’espère qu’il comblera et fera battre ce grand cœur comme il le mérite.

Sol qui se volatilise sous ses pieds, cœur qui saigne. Les yeux ronds, elle fuit. Il ne veut plus d’elle. Elle vient de se faire plaquer pour la première fois de sa vie. Faut dire qu’elle n’avait jamais vraiment aimé avant. Loin des regards, quelques larmes amères qui coulent. La Fève avait raison. L’amour ça fait mal. L’amour ça brise en deux.

Visage fermé, dents serrés, ravaler la déception, l’aigreur, et la peine. Elle aura tout perdu. Plus déterminée que jamais, elle décide de quitter la meute une fois pour toute. Redevenir ce puma, indépendant et égoïste qui correspondait si peu à cette meute. Redevenir celle pour qui personne ne compte, hormis la Bleue. Se repaitre de chair.

Ne plus s’attacher, jamais.

Une pierre à la place du cœur. Plus jamais vulnérable et à la merci d’un prédateur.

_________________
En souvenir du joueur de Pulque. I'll miss you.
Erico


[Tulancingo ...au fin fond du verger...en plein rituel]

Erico était d'une humeur furibonde. Certes, il savait que le rituel devait se faire, mais l'envie à continuer descendait graduellement au fil du temps.

Pourtant les Dieux s'était adresser à lui ...Il savait ...Il ne pouvait ignorer...
Il avait eu beau prévenir son frérot Kisscool, avant même de rentrer sur Mazapa, rien n'y avait fait.
Il s'était alors résigné a rentrer malgré lui, ne pouvant le laisser seul porter les marchandises au calpullec.

Mais bien mal lui en a pris ! La mission était connue... mineure et peu interressante comme il pouvait s'y attendre.
Ramasser les fruits du verger voisin! Etait ce donc ca ?


Voilà bien une mission guerrière !s'était il exclamé sur l'instant en rigolant.

La meute était loin, et déjà la nostalgie prenait place. Que faire?

Comment occuper ses journées? Voila la question du moment du Rico, qui ruminait terriblement.


Il s'était posté dans le verger...
Il cueillait de temps à autres des pommes et s'entrainer à tirer de son arc de fortune dedans.
Après plusieurs touches successives, il devenait habile le Rico. D'autant qu'il avait su y mettre un petit semblant de visage sur la cible.


Ah voila qui va mieux! on dirait même que c'est ressemblant! Il se tourna vers ses compagnons de route.

Ne trouves tu point que la ressemblance est palpable ? ...oui ca ressemble à notre Tecuhtli, avaient ils répondu en coeur...

Mais non voyons! Vous croyez ? ah...
Il rigola de son oeuvre...

Pour ne pas offenser les Dieux, il alla de surcroit, après son exercice devenu routine par obligation, faire offrande au temple.
Il se présenta à "Mixcoatl", son dieu de référence...

Ôh mon Dieu Camaxtli!
Toi que je vénère à vie!
Guide nous, montre nous la voie,
Et nous marcherons fier et droit.
Transmets nous ton courage,
Et je continuerais avec rage.


Malgré tout, le Rico ne savait plus quoi penser, et quoi faire pour tuer l'ennui qui montait irrémédiablement...

_________________

Erico le Chauve, Géocoyote roi du haricot
Prêtre, Serviteur de Camaxtli, "Mixcoatl"
Sacha
[La veille du départ pour le rituel]

L'ordre avait été donner aux coyotes concernant le rituel.
En taverne tous les coyotes étaient fière de pouvoir servir la province,ce jour là était surement a noter vu la sobriété dont avait fait preuve la plupart de ses compagnons d'armes déjà bien concentrés sur la mission qui leurs avaient été confier.
D'habitude le pulque coulait a flot,les tonneaux se vidaient les uns après les autres mais là beaucoup d'entre eux avaient préférer le chocolat sauf les irréductibles pillier de comptoir mais ceux çi étaient bien moins nombreux.
La tanière se vidait assez rapidement ce soir là,surement avaient il plus peur de la crise de foie que de la mission a venir,c'est qu'ils étaient plus courageux les uns que les autres.
Sacha se retrouva avec sa belle Nemesiss en dernier dans la tanière et il se dit que l'heure était venus de se coucher car une longue marche les attendaient le lendemain.
Sans ne rien dire à la belle,Sacha l'a prit dans ses bras et sorti de la tanière des coyotes.
Il regarda son rouleau de printemps et celle çi rigolait de bon coeur dans les bras de Sacha en se demandant qu'elle mouche avait bien put le piquer.
Chemin fesant vers sa hutte Sacha tourna brusquement de direction en souriant a sa belle toujours dans ses bras puis lui dit:


Il fait très beau ce soir.
Allons dormir à la belle étoile mon amour.


Nemesiss lui fit un hochement de tête puis elle se réfugia dans son cou.
Une fois arrivé près d'un grand chêne Sacha l'a déposa sur un veritable tapis d'herbe.
Il enleva sa serape qu'il avait acheté plus tôt dans la journée lui fesant admirer son corp bien musclé et couvrit Nemesiss la belle de celui çi pour ne pas que celle çi prenne froid puis se coucha a ses côtés pour la prendre dans ses bras et admirer les étoiles.
Après quelques minutes a contempler ce magnifique ciel remplit d'étoiles,ils s'endormèrent face à face avec un sourire qui en disait long de leurs bonheurs d'être ensemble.


[Départ pour le rituel / entre Cuamantzingo et la patte de dindon]

En avant les coyotes!!!

La lance que dirigeait Sacha avait décidé de faire escale à la patte de dindon et ils se mirent tous en route vers cette direction.

Citation:
Lance de Sacha, Proutygirl, Vroqi, Meena, Chriss, Nemesiss, Koresh


La pampa était épaisse et les coyotes se frayèrent un chemin parmi la végétation qui avait déjà recouvert une partie du chemin en direction de la patte de dindon.
La nuit commencait a tombé et il leur fallait encore monter leur campement pour la nuit quand soudain Koresh qui fermait la marche fit:


Psttttttttt!!!

Il avait bien entendu un bruit qui les suivaient un bruit de brindilles écraser a même le sol.
Sacha fit un signe a ses compagnons de route de ce cacher dans la végétation intense de la pampa et ceux çi s'exécutèrent.
Tout ce qu'il savait c'était que les pas étaient rapides mais il se demanda qui cela pouvait il être.
Une fois qu'il vu la silouhette dans la penombre avancer vers eux,il tendit Popol le baton pour faire tomber cette personne.
Une fois par terre Sacha bondit d'un talus avec son baton haut dessus de la tête prêt a frapper le crane quand il entendit la rose crier:


Nonnnnnnnnn!!!!!!
Sacha ne frappe pas c'est la bleue.


Retenant son geste puis redescendant son baton il vit effectivement la bleue et celui çi l'aida a se relever s'excusant de l'avoir fait tomber:

Désolé la bleue avec la nuit qui tombe je ne t'avais point reconnu et je ne voulait prendre aucun risque ne sachant pas qui nous suivait.

Il apprit que celle çi avait loupé son départ avec la Feline mais sachant qu'elle était partie de très bonne heure avec son groupe surement que la bleue avait oublier l'heure de rendez vous.
La Feline voulait pousser la marche plus loin que la patte de dindon.
Il invita la bleue a faire chemin avec eux car il se fesait tard et il ne voulait pas que celle çi se perdre dans la pampa déjà qu'elle oublie tout ce dit il.
Quelques dizaine de minutes plus tard les coyotes arrivèrent sur place et ils montèrent leur campement pour y passer la nuit.
Mifha
[Ixtenco, préparatif pour le départ du rituel]

Et hop, il prenait son sac. Il n'y avait pas grand chose dedans... une tortilla, et encore, à moitié mangée, quelques bouts de tissu... une machette bien protégée par du cuir... Il n'avait pas véritablement besoin de grand chose, il n'allait pas loin avec sa troupe de future guerrier d'Ixtenco. Le Géocoucou de ce même clan était d'ailleurs assez fier d'être a la tête de la premier session pour son clan!

Maintenant, le sacrifice... Mifha avait tout prévu! Il avait en effet réussi la capture d'un toucan, pour le sacrifier en l'honneur de Camaxtli et en référence au mythe des toucans qui dévastaient la région au début du 5ème soleil, et que les fier Tlaxcallèques avaient réussi a repousser avec des guerriers nouvellement formé.

Une fois son sacrifice fait [Je passe les détails pour ne choquer personne] il passa en taverne rassembler son équipe. Tous étaient là, prêt a partir. Ils avaient chaque un sac différent, les uns tristes de partir, les autres content de rencontrer de nouvelles têtes... Ce voyage promettait! Fin d'après-midi, ils se mirent en marche, espérant arriver à destination avant la nuit...
Atila_caligula
[Nopa, matin ensoleillé, vol d'oiseaux vers le soleil, bons présages?]

Atila s'étire. Il a marché toute la nuit avec la Rose, s'est brièvement endormi et, malgré la toux de sa belle, a écrasé comme un tapir.
Il la regarde, encore endormie, pâle comme le matin et sourit.
Hop hop abblution de Puma... ptite goutte sur les paluches et frotti frotta de museau géant, poignée de haricots avalés à la va vite et promenade dans le clan pour se dégourdir.

La cahute à patatas, il la verrait bien là tiens! "Au Puma Rose et Mouillé" ça c'est ce que la Rose proposait... mieux que le "Prout de Lama Rose" qu'il avait suggéré en rigolant.

Pour arroser ça, un passage a l'albanéra caverne, déserte pour l'instant si ce n'est la taulière.

- Yo Poupée!
- M'appelle pas comme ça Homme!
- Ah ben j'appelle toutes les poupées "Poupée"!
- Moi c'est Chieuz.


S'ensuit une surréaliste discussion où le géant soutient mordicus que "Poupée" est quand même bien mieux que se faire traiter de chieuse toute la journée, même si, à la longue, ça semblait assez proche de la vérité vraie.
La Taulière s'échauffe et monte en tours, rétorquant que ses parents l'ont ainsi nommée.
Atila rigole en pensant que sa propre Mère voulait le sacrifier de ses mains d'étrangleuse, alors pourquoi les parents de cette petite ne l'auraient ils pas affublés d'un nom aussi rêche?
Finalement la Poupée pousse dehors un Atila hilare, lui bottant les fesses au passage.

Atila est d'excellente humeur aujourd'hui, premier jour d'une nouvelle vie.
Koresh
[Nopalucan, retour en Occident]

Il rentrait la soif étanchée.
L'adversaire n'a pas été à la taille. Apocalypse soit le jour où du lapin embrochera du coyote.

L'heure était à la détente, aux assouvissements d'après guerre.
On fait couler le pulque avec modération.
On s'embrume les poumons de fumée sacrée. Avoir quelques hallucinations et se sentir proche des dieux, de l'extase transcendant, du bonheur artificiel.

La route n'était pas encore terminée.
Mais on fêtait déjà la réussite comme il se pouvait.
La roue tourne et il est toujours trop tard pour se lamenter.

Son âme se projetait déjà dans les futurs combats à mener.
Ne pas s'endormir sur ses lauriers et avancer.
Zenka
[ Nopalucan -Huilopan : ou le rituel ]

Zenka avait suivit le groupe depuis le debut, tout c'était parfaitement bien passé, l'arrivée dans la province Orientale fut simple, sans mauvaises rencontre, elle avait suivit Mezcal de près, ils ont hurlé toute la nuit à la revolte devant un calpulli sans defense, la lutte ne fut pas dangereuse, un fière guerrier de Nopalucan avait siégé sur le trone du calpulli oriental.
La nuit qui suivait Zenka , avait encore suivit le groupe, le clan de huilopan avait une fièrté que Mazapa n'avait pas, la riposte!

Oui oui, le déchu avait tenté avec son clan de reprendre son trône, enfin, un echec total pour lui, les coyotes et les guerriers de Nopalucan surveillaient attentivement le trône du Ramsay.

Puis l'arrivée du Tlatoni Myttis, pas très content que les occidentaux foutent le dawa dans sa province, Zenka va suivre encore sa meute, le rituel était réussi,

Les coyotes se cassent de Huilopan, retour à Nopalucan!

Triste constatation, les guerriers nopalucanais ne font pas reference au coyotes, pourtant sans eux surement que la mission de revolu"c"ion auraient été un echec. Cette revolucion était appuyait par des occidentaux en géneral, mais bon, l'instinc des hommes et de la victoire.

Elle allait recupérer ses plumes de la victoire, puis sautillait de joie,toute une journée à Nopalucan!

[Dernière journée à Nopalucan , 1 Q, 2 Q, 3 Q, 4 Q , 5 Q......100 Q, .... 200 Q ô pleins de Q]


Dernière journée à Nopalucan, la Feline lui dit de se depecher, ils reprennent la route dans la soirée. La crevarde s'enferme dans sa cahutte de Nopalucan, loin des regards des pilleurs, et autres crevards.

Elle s'assoit à même le sol, position du lotus, elle cherche sous sa couche un coffret de bois, à l'interieur ses zeconomies pour acheter un champ à Cuamunzingo, quand le rêve devient réalité.

Elle passe donc sa journée loin de la meute et des caverne, à compter ses Quachtlis, son ex propriétaire Aeled lui a filé un merveilleux sac à Quachtlis, histoire de voyager en securité, ce sac était sacré pour la crevarde. Ainsi, elle alla au marché de Nopalucan, et se mit à faire diverses transactions louches , achats et ventes, achats et ventes, un crevard lui pique un poisson à 7 quachtlis, elle se met à hurler et à chialer, le maudissant et l'insultant de tout les noms existants, un poisson 7 quachtlis! Dans l'impossibilité de le tuer ce crevard de voleur, elle s'empresse de ranger le reste de ses frandises et de ses quachtlis dans son sac de voyage.

Ah les transactions du marché, un cauchemard pour la crevarde, entre le vol de son poisson, le vol de son buisseau de bois 2 quachtlis , sa carotte 5 quachtlis, la crevarde allait devenir cinglée (elle est déja mais bon)!

Fin de matinée, un grand soupir de soulagement, elle a fini ses transactions, elle prend une alumette, puis engraisse d'huile et de produit sa cahutte, et allume le feu!

A Nopalucan, on pouvait voir de la fumée dans le ciel, la cahutte de la crevarde n'existait plus. Un trait sur Nopalucan qui avait tellement changé, terre d'adoption, elle avait rencontré un tas de poto crevards comme elle, elle n'avait pas revu sa camarade de faim Azia, un petit peu nostalgique.

Elle tourne le dos au tas de cendre qui était il y a peu sa cahutte, et se dirige vers une caverne, pour rejoindre la meute et prendre la route.


La meute s'était un peu dispatchée, la rose était restée et le géant aussi, la crevarde était un peu chagrinée, sous le choc, car pour la première fois depuis très longtemps, elle ressentait de la peine émanant de son coeur et non pas de son estomac. La crevarde avait évolué, refusant de montrer la moindre faiblesse, à part son addiction pour la bouffe et les quachtlis, les yeux rouges par les larmes de tristesse, inutile de lui demander ce qui se passe? Elle repondra d'un ton enragé :

j'ai de la poussiere dans l'oeil et alors?
Ame_feline
[quelque jour plus tôt]

La prise de Huiloapan avait été une réussite, 18 coyotes venus prêter main forte a 15 innommables de Nopalucan... La révolte fut un succès et la défense tout autant. Néanmoins la Victoire avait un léger goût de frustration, lâches qui avaient préféré cacher le trésor sous mandat sans prendre la peine de défendre le clan... quel guerrier ou quel genre de chef oserait laisser son clan de la sorte... La leçon était donnée, un clan ca se défend sinon il peut arriver bien pire que la prise des denrées...

Les coyotes avaient reformés les lances et c'était dirigé vers Nopalucan, légèrement fourbus, mais rassasiés de victoire.... une de plus … la troisième en moins de trois semaines.

[Nopalucan]

Loin des préoccupations de ceux qui paradaient, la dominante coyote se posa a la tanière de Nopalucan. L'initiative de Mezcal tombait a pic. Le mépris de certains « innommables » a Huiloapan avait fait que les coyotes ne voulaient pas vraiment se mélanger aux guerriers du clan.

Plus loin on entendait les guerriers du clan fêter « leur » victoire, en un grand hommage rendu par le peuple et par le Calpullec. Amusée, un peu amère, la Féline regardait la scène de loin. Quel mérite a s'octroyer les lauriers d'un succes qui n'est pas totalement sien? Un guerrier avait il besoin de parader et exposer ses victoires pour être reconnu ? Pour les coyotes certes pas.... Aux yeux des Nopaluteques "les innomables" avaient vaincu seuls et Féline avait opter pour les laisser dans leur ignorence... Les oublis volontaires de Ramsay trottaient pourtant dans la tête de la dominante... Elle ne manquera pas de lui rappeler a l'occasion que les Coyotes ne sont pas ses hommes, et qu'on ne s'octroie pas seul le mérite d'une action commune, surtout quand l'autre est plus nombreux.

Des projets plein la tête, lascive, elle pensait aux actions a venir, étendue sur une natte, attendant un Mezcal qui ne viendrait pas, elle devait lui parler de l'avenir de la Meute... Amitola et Oulaup était encore a Huiloapan, avec Sacha et le reste des coyotes de Cuamantzingo, s'ils leur manquaient, elle s'apperçu qu'au final leur faux départ avait été utile... les rumeurs qui émanaient de la bas n'auguraient rien de bon. Vagues instants où la brune somnole avant que le manque de pulque et de son mâle ne lui crie furieusement de rejoindre la caverne... Elle s'y rend, frustrée de ne pas avoir passer un moment en compagnie d'Amitola et Mezcal.

Rencontre furtive avec les autochtones, les vantardises de certains, encore une prise de bec avec la Rose, Atila lui manquait tant qu'elle ne pouvait s'en empêcher. Trop impulsive, trop fière et bien trop colérique la Féline, il faudrait pourtant que ça se passe, pour le bien de tous. La tonte des cheveux de Zenka, le concours du plus beau chauve, les boulettes a la papaye.... de quoi se détendre un peu avant de prendre la route.

Une nuit a a boire avec son chauve, la papaye, Koresh et Zenka, et la première lance se met en route, d'autres projets les attendent. Dernier pas pour sortir d'un clan qui lui laissera un souvenir teinté de rancune. Elle se retournera avant de partir, pensant aux autres qui seraient la demain... Une fois de plus, la meute était divisée pour le bien de la province... Direction Cuamantzingo, ils y établiraient Zenka et Tlacaeleltzin, ces deux coyotes la avaient decidé de quitter le clan de Nopalucan, pour le plus grand bonheur de coyotes de Cuamantzingo...

En route mauvaise troupe !
Atila_caligula
[And now, something completely different]

Le clan était bizarrement silencieux, Père Soleil et Mère Lune se regardait chacun dans un coin du ciel pendant que leur grand fiston attendait.
Pas de trace de la Meute, de Rose, est ce qu'il était seul?


- Hého!

D'une hutte sortit Féline au pas souple. Atila sourit avec soulagement. Même quand elle darda sur lui un regard aigu et empoigna un couteau d'obsidienne aussi luisant que menaçant.
Au même moment, toutes les huttes s'agitèrent et de chacune sortit une ombre qui convergeait vers lui, triste centre du clan qui commençait à avoir des picotements sur la peau.
Le temps de réaliser qu'il était encerclé, Féline était sur lui et levait son coutelas.

- Je prends ma part, mon chat.
Tchoc tchoc!
...
Tchoc tchoc?
La douleur fusa dans son corps pour irradier son cerveau. Et Feline s'eloigna emportant ...
...son bras?
Les ombres étaient proches, sur lui qui pissait le sang à la satisfaction probable de Père Soleil.
Rosita dévoila des dents immaculées en s'élançant contre son bras valide.

- C'est à moi, ça!
Gnap!
...
Gnap?

La Crevarde, qui pouvait sentir la bonne occasion à deux kliks de distance, surgit à son tour des ombres, visant une proie à portée de sa courte taille. Atila voulu mettre ses mains devant son pagne, il l'aurait fait... si elles avaient été toujours là. Il tint à distance Zenka d'un pied hésitant, sautillant pour garder son équilibre.
Mais la Naine, vêtue en bleu et rose, grimpa dans son dos avec agilité. Elle se mit aussitôt à lui planter des chevilles en os dans l'épaule déchirée et pissant le sang.

- C'est pour pas que j'tombe mon zéant.
- Au coin Atila! Au coin! venait de hurler Nemesiss, une simple ficelle entre les fesses pour tout pagne et un ballon sous le bras.
Sacha, tel un vieux prophète inconnu, brandissait un baton qui se changeait en serpent sur son ordre et Mezcal avançait sous une pluie de pétales lancés par de jeunes vierges.
Bagdad, un chapelet de têtes à sa ceinture, précédait le Tic Tac de Tlaloc qui se dandinait en ouvrant une gueule large comme un four à tortillas.

- Mais vous êtes barges! hurla le géant en proie à une légère mais tenace panique pour sa vie.
Comble de l'horreur, la Vérole se ruait sur lui, sa natte s'enroulant autour de son large cou, en braillant
"J't'ai eu! T'es à moi! Je vais te réduire la tête!" et elle savait faire, la môme!
- Regarde notre grande fille mon Lama. dit Rosita s'essuyant le menton écarlate comme elle s'ennuie! Il lui faut des frères et sœurs, plein!
La pétillante, pétulante, pétrissante Rose s'approcha de nouveau, faisant craindre une nouvelle perte cruelle à Atila. Mais quelque chose n'allait pas. La poitrine de la jeune femme se soulevait à un rythme frénétique, enflait, prenait des proportions gargantuesques, felliniennes, pneumatiques et zepplinesques.
- Tu en auras assez comme ça?

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Attila se redressa d'un bond! Oeil hagard, visage hâve et décomposé.
- Peyotl pas bon!
La Rose lui tournait le dos, assise mollement comme endormie, cheveux flamboyant lui cachant le visage.
L'intérieur de la hutte commençait à se préciser dans les prunelles embuées du géant. L'obscurité reculait.
Il n'avait jamais remarqué à quel point la décoration était.... osseuse. Un assemblage accroché ici, recomposant une araignée énorme en petits ossements de rongeurs, une lampe à huile sur son présentoir figurant un scorpion, en os. Leur hute était un véritable ossuaire. Morbide. Et l'odeur allait avec.
Comme d'habitude son premier geste fut pour enlacer sa compagne, sa main se posa sur son épaule.
...
Rose s'effondra comme une poupée de chiffons, dans un cliquetis d'os et le bruit du tissus qui se déchire. Sa tête tournoya révélant le masque mortuaire des momies pueblo, sous ses cheveux magnifiques.

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!

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- Mon Lama! Tu as encore mis tes saletés de bouses de pécari séchées dans le pot à Peyotl! Un jour ça va te retomber sur le nez!


Allongé, n'osant faire un geste, les yeux exorbités et la prunelle rétrécie, Atila se demanda depuis quand Rose était prophétesse.
Il lui faudrait bien la semaine pour se remettre.


[fin de l'intermède]
Naysa
[Rituel terminé, on rentre à la calli !]

Mission accomplie avec succès, les coyotes pourraient faire la guerre des fleurs. Naysa n'avait toujours pas comprit à quoi ça servait mais elle était satisfaite. Seul ombre au tableau, l'absence de son époux à leurs côtés... à ses côtés.

Les huiloapanais avaient été plus « féroces » que les mazapanais. Ils avaient riposté en vain, au grand bonheur des coyotes qui se retrouveraient plus emplumés encore. La meute avait réussi et pourtant, pas de cris de de joie, pas de pulque qui coule à flot... Des regard peinés, embués, tristesse : la meute s'était vidée.


[Nopalucan ]

D'abord touchée par le départ de la Rose, Naysa fût achevée par l'annonce d'Atila. Il ne suivrait pas...

Mais mon géant t'as pas le droit, comment je vais faire môa?...pis mes pieds? Qui qui va me porter maintenant?
T'es pieds en seront plus forts, plus méchants ma naine

Une petite larme qui coule sur la joue de la jeune femme
Oui mais non..
Tu vas pas m'faire chialer comme une fille quand même?
Ba heu...si.


Elle devait se faire à l'idée de marcher, se faire à l'idée de ne plus avoir d'oreilles à tirer, ne plus se faire appeler poupée... Elle ne le retiendrait pas plus. Le géant était devenu de papier dans les mains de la rose, il avait cette petite étincelle dans les yeux, il était amoureux . Le retenir serait égoïste de sa part, elle lui dit simplement

Tu seras toujours mon coyote géant...mes pieds t'attendront.

Un tour dans les tavernes nopalucanaises, assez ressemblantes à celles de Cuamantzingo. Elle avait espéré y retrouver les coyotes locaux..

Zenka se plaint d'avoir trop de poux, Naysa lui propose de l'aider. C'est ainsi que la crevarde s'était retrouvée avec le même crane que le chauve de la féline : Pas de cheveux, pas de poux , logique.

Moment de folie pulquée à souhait, les femelles coyotes se déguisent en mâles, Naysa suit le mouvement. C'est drôle, on rigole bien, on joue les bonhomme...Sauf qu'au moment où la pauvre Naysa veut retrouver ses belles formes ba elle y arrive pas...ça bloque. Pleures, cris, prières de la jeune fille face aux éclats de rires et aux railleries de ses « copines » coyotes. Elle réussit à retrouver son joli corps de femme, heureuse, les mains sur ses formes, rassurée, soulagée

Merci les dieux...promis plus jamais je joue avec ça, j'ai compris le message.

Fin de soirée toujours aussi pulquée. Zenka, toujours aussi chauve, qui fait un sondage auprès des autochtones pour savoir qui d'elle où Tlacaeleltzin était le plus beau chauve. Moment de détente avant de reprendre la route vers la calli.


[Sur un noeud entre Nopalucan et Cuamantzingo : Un toucan porteur de joie]

Allongée à l'ombre d'un goyavier, besoin de repos. C'est qu'elle avait marché la naine sans son géant. Elle essaye de fermer les paupières histoire de se reposer un peu quand un toucan fait son apparition. A la patte du volatil est a accroché un message...
Elle lit et relit la lettre plusieurs fois, émue. Son époux lui donnait de ses nouvelles.

Atecoatl s'ennuyait, il avait quitté Cuamantzingo pour un nouveau clan de la province...Elle lui manquait. Elle s'empresse de prendre de quoi écrire et lui répond. Pas douée pour exprimer ses sentiments de vive voix comme elle aurait dû le faire avant de partir, elle les livre par écrit, beaucoup plus simple pour elle.

Son envie de repos s'était dissipée pour laisser place à l'excitation de le retrouver rapidement. Elle ferait les yeux doux à la féline pour une prochaine virée à Sultepec, clan où s'était installé le pochteca...
Sengir
[Après la bataille à Huilopan]

De la terre et du sang. Terre foulée par les pieds des combattants, assaillants et défenseurs. Du sang répandu, de la bravoure démontrée et un honneur conquis par ses actions. C'était la première fois pour le jeune cuamanthèque, première d'une longue série d'actions au sein de la meute. La meute, elle, festoyait ou reprenait des forces, après avoir démis le calpullec et repoussé les orientaux qui cherchaient vengeance. Lui, il préférait rester seul.

La tête dans les étoiles, il rêvassait. Il ne savait pas quelle orientation donner à sa vie à Cuamantzingo, se tenant en retrait de la vie du clan. Pourtant, il n'avait pas hésité à répondre à l'appel d'Ame Féline. Il était un question d'un rituel, d'aventures, d'honorer et de servir son clan et sa province. Il avait aimé et les interrogations se dissipaient doucement. Il devrait rejoindre la meute. Il le ferait, vite. Mais cette nuit, il serait encore un coyote solitaire.


[En passant par Nopalucan]

De retour en province occidentale! Il était bon de se retrouver un peu chez soi. La meute était grave. Même s'il était encore en retrait, Sengir le sentait bien. Il sentait le désarroi parmi ses compagnons d'arme. Non. Ils étaient coyotes. Ils devaient être ses frères d'arme. Il se rendit en taverne et y rencontra d'autres coyotes, qu'il avait juste croisé ou combattu à leurs côtés jusque là. Il se sentait... chez lui. Il discuta longuement avec Ame Féline et Amitola, et fut fort intéressé par la relation qu'entretenaient ces capiteuses guerrières. Un baiser d'une amazone en souvenir, et la troupe repart à Cuamantzingo.

[De retour à Cuamantzingo]

Sa petite maison d'adobe, comme il était étrange de la retrouver. C'était là où il habitait, là où il avait vécu de durs moments, famélique, quasi mourrant, à se tordre de faim, implorant les dieux... Et pourtant... Il avait un regard lointain, un regard qui aspirait à voir l'ailleurs... Cela ne faisait aucun doute, il repartirait bien vite. Il était un coyote après tout.
Oulaup
[Huilopan… après la victoire]

Le rituel était terminé… Huilopan était tombée entre leurs mains… Le calpulli pris… son propriétaire renversé…
Aux côtés de ses frères, pour la plupart rodée au combat, elle n’avait pas été la dernière à frapper… la rage qu’elle avait au ventre dans ces moments là, lui donnait une force démesurée… là, elle n’était plus la rêveuse dont on se moquait bien souvent, le nez en l’air et l’esprit dans les étoiles…
La tête froide, des éclairs dans ses yeux noirs, bien campée sur ses jambes… elle frappait sans relâche..


[Le lendemain]

Pour fêter la victoire, Oula partagea le pulque avec les autres en taverne … discrète, tassée dans son coin, le plus souvent elle regardait au dehors… à travers la mince ouverture, elle retrouvait la beauté de la nuit… les étoiles… ses rêveries… elle avait besoin de ça pour se ressourcer, pour être prête pour une prochaine bataille…
Une prochaine bataille… Il n’y en aurait sûrement pas pour elle… la mission terminée, il lui faudrait quitter la meute où l’on ne voulait pas d’elle… elle rentrerait à Nopalucan… s’engagerait auprès d’Alexius en espérant un jour pouvoir rejoindre les coyotes…

Féline en décida autrement… la ténacité de la jeune guerrière avait, semblait-il, convaincu non seulement la chef mais aussi certains des autres…


Deux possibilités pour toi, Oula de devenir Coyote, soit quitter Nopalucan, puisque Mezcal ne te veut pas, et venir nous rejoindre à Cuamantzingo… soit partir à Mazapa avec Kisscool….

Naysa lui avait fait plaisir aux dernières paroles d’Ame…

Ah mais non, elle reste avec nous ! s’était écriée la Naine… ce cri du cœur avait émue Oula et elle lui en serait toujours reconnaissante.

…Je te donnerai ma réponse d’ici la fin de la semaine, Féline

Elle n'attendit pas si longtemps pour répondre trop fière d’être enfin acceptée au sein de la meute… Elle quitterait son clan et viendrait s’installer à Cuamantzingo… elle ne voulait surtout pas aller à Mazapa… Rester avec ceux qu’elle aimait déjà, elle ne souhaitait que ça… d’autant plus que depuis la veille elle avait une raison supplémentaire d’y venir… la foudre venait de frapper son coeur d'une manière incroyable...

[Nopalucan deux jours plus tard]

Avec la lance de Sacha, elle avait rejoint son clan, partis un jour plus tard que Féline et son groupe, au petit matin ils arrivèrent à Nopalucan où Ramsay pavoisait avec les honneurs du calpullec et de la ville…. Discours provocateur, glorifiant ses guerriers… oubliant, volontairement de parler du concours des coyotes ayant amené à la victoire… les propos méprisants qu’il avait tenus à Huilopan à propos de la meute en était bien la preuve…
Car seul avec sa poignée d’aigles… il ne serait pas là à bomber le torse, les bras en l’air en place publique…

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Proutygirl
[Cool and calm…]

Tendresse et volupté… Loin de la meute, la Rose s’était remise de son voyage aux portes de la mort dans les bras du géant qui avait dit non, tel un Orphée allant arracher la belle Eurydice aux abysses infernaux.

Loin des crocs acérés de la dominante qui lui avaient déchiré la peau, elle revivait. Et aux creux de leurs jours sombres et de leurs nuits blanches, elle s’épanouissait. Un printemps où sa féminité fleurissait.

Chaque jour, il lui ramenait un bouquet qui faisait se désagréger petit à petit le nénuphar qui parasitait son poumon droit. Elle parvenait à respirer presque normalement. Et la vie s’écoulait, douce et sereine.

Elle était devenue femme à la hutte, et lui concoctait de bonnes plâtrées de haricots qu’il engloutissait comme un ogre. Il avait ironisé qu’elle était autant faite pour ce rôle que lui pour le tricot. Force était de constater que pour l'instant, ça lui convenait.

Le groupe de Sacha était encore à Nopalucan. Bonheur de revoir Bagdag, toujours aussi rayonnante, Sacha, son ami et confident, Mezcal le charnel. Même la vérole avait pointé le bout de son nez, rendant le géant fou de joie.

C’est que ce grand dadais était un vrai paternel sur pattes. Ils avaient même déjà parlé d’avoir des enfants. Un compromis avait été trouvé, qui consistait à tenter d’élever Zazanilli, et si la teigne survivait à leurs « bons traitements », alors peut être …

Moments de simplicité partagés, ce n’était pas la meute qui primait, mais bien la famille, le bonheur de se retrouver autour d’un verre de pulque, sans contrainte que des sourires échangés, et des étreintes fraternelles.

Elle savait pourtant que ça ne saurait durer toute la vie... Mais Dieu qu’elle était belle cette parenthèse enchantée… Malgré ses cauchemars, elle ne voulait pas s'inquiéter. Elle ferait en sorte de le combler, même s'il fallait retourner à Cuaman et y vivre recluse...

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En souvenir du joueur de Pulque. I'll miss you.
Nemesiss
Un fil, une aiguille.... De fil en aiguille... Du temps était passé depuis leur première rencontre... Sacha...

Quelques mots échangés au début... Une cour empressée, assidue... Qu'elle n'avait pas prise au sérieux... Préférant en rire et s'en amuser. Ne pas le prendre au sérieux.
Parce que ça rendait ramolo disait elle.

Fière, elle le tenait à distance... Et puis.... Par ses mots il avait commencé tout doucement à l'apprivoiser. Au début, elle avait renâclé, grommelé, dévié, évité.

Et puis... Cette nuit là, elle s'était offerte. Solitude, mélange de pulque et de triste mélancolie.

Et le fil ténu s'était tissé, tout seul sans qu'ils n'en sachent rien... Lui peut être savait. Elle l'avait découvert au détour d'un baiser. poignant, émouvant.
Elle l'aimait. Aussi naturellement qu'elle respirait. Voyager, combattre à ses côtés, dormir contre lui, le regarder rire, parler. Une évidence qui peu à peu s'était imposée à elle. A force de se chercher, elle l'avait trouvé, lui...

Il était libre de ses mouvements, elle aussi... Seulement, elle ne voulait plus rien savoir d'autre que ses lèvres, que ses bras l'entourant, la nuit... La portant aux nues.

Bientôt Cuaman à nouveau.. Ils repartiraient à nouveau avec les leurs. Une vie à vivre.

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Oulaup
Le grand guerrier plongea son regard au fond de ses yeux noirs, brillants comme des braises… posa ses lèvres contres les siennes… l’attira contre lui…
La chaleur de leurs corps les embrasa comme une torche.

Caresses les faisant vibrer… baisers brûlants… Dans la lumière de la nuit baignée de lune, les étoiles pour seuls témoins, il la prit doucement et elle s’offrit jusqu’au plus profond de son âme…

Soleil était déjà haut dans le ciel quand ils s’endormirent, enlacés l’un dans l’autre.
Ils n’avaient rien pu faire… Xochipilli les avait entouré de ses bras et les y tenait bien serré…

Il leur faudrait maintenant affronter la meute... mais rien ne pourrait les séparer

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