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[Garg-RP] La tournée des Coyotes et Géocoucous

Sengir
[Réveil difficile]

Aller retour d'Aztéquie, là d'où l'on ne revient pas indemne. Quelques voix parlant de guerre, mais ce sont juste des voix qui aiment s'entendre parler. Le seul son qu'entendait ses oreilles? Celui des quachtlis, et des sacs de nourriture que l'on remplissait. Il aurait à se les coltiner sur le dos tout le trajet, mais il fallait bien ça pour la province...

Quelques rares conversations en aztèque, et rapprochement de la meute. Une crise de nouveau est passée, mais l'ondée semble s'être calmée. La sérénité revient au sein des coyotes. Quant à Sengir, il est tombé dans les griffes d'une démone, et désire tout sauf de sortir de son emprise...

Retour à Cuamantzingo, épuisé. Le voyage a été pénible pour les pieds, mais c'est la nuit passée qui l'a exténué. Traces de griffes à l'éapule et au visage, se serait-il mesuré à un jaguar? Déchargement des marchandises... Et de la nourriture pour Cuamantzingo! Mission accomplie.
Zenka
[à suivre à suivre on ne suit plus]

Zenka en voyage chez les azteques, toujours cette aprèhension de se faire encore battre par des sauvages azteques, pourtant ses denrées étaient en lieu sûre, elle était en goupe, avec sa meute, mais on entendait ses claquements de machoire, puis ses rotules squeletiques clinguées. Les jettons, mais fière de gambader derrier la meute, là c'était une tout autre mission, la meute était en mode shopping, specualation open au maximum, stage de langage azteques, puis negociations dira-t-on... enfin vole sur etalages, qu'ils diront les azteques, un peu troublées par les banderolles, anti tlaxlcallan, ils ne veulent pas faire la guerre les coyotes , veulent juste manger... elle prend un max de tortillas et 4 poiscails à 19 quachtlis, miam miam, c'est bon ça...

Puis retour à Cuamanzingo, au bout de plusieurs jours de marches, la crevarde suit toujours, gradant jalousement ses denrées et grognant à chaque approche.

Cuamanzingo c'est un peu comme Nopalucan et les autres clans, il y a une guerre perpetuelle entre les gens qui veulent des lois de limitations et ceux qui veulent la liberté , zenka, est perdue mais suit toujours cette meute, puis elle a un souci majeure, elle veut s'installer mais ou?

Elle aime bouger, elle refuse de se separer de ses coyotes, puis aussi des autres, puis ce sac qu'elle trimballe avec elle, son tresor de quachtlis et de garde mangé, qu'elle voudrait vider à Cuamanzingo mais cette trouille de se faire piquer ses biens, comment faire...: veiller toute une nuit, pendant que les sauvages dorment pour faire ses transactions pepere? Ou bien faire camicaze, et faire ça sous le nez des autres, avec le risque de se faire piquer la moitié de ses biens.... la crevarde ne dormait plus, elle veillait sur son sac oubliant même la faim...

Elle était songeuse dans les cavernes, entre les histoires d'amours et les trahisons, les tentatives de Naysa , elle ne cessait de vouloir se debarasser d'elle, un coup elle la vend , puis sur un coup de tête elle veut la marier. La crevarde voulait encore hurlait:


VIVA REVOLUCION!

car c'etait de l'independance qu'elle voulait mais sans quachtlis et sans bouffe, vallait mieux rester dependante, fermer sa gueule de coyote et acceptait les choses, puis elle s'eclatait, peut être que sa tristesse venait du manque d'activité des coyotes actuellement, depuis le temps qu'elle n'avait pas revolucionné* la crevarde...
Mezcal
[Expéditions expéditives, morne plaine.]

'Tain !
Plus d'une semaine qu'il marche, qu'il est parti de Nopalucan. Il ne sait plus trop. C'est long et en même temps c'est bon. L'est un peu lunatique. Derrière la meute organisée de coyotes, une tripotée d’esclaves tire sa cargaison pleine d’une brassée de poisson. Et au bout d’une semaine, on ne peut décemment croire que tout est frais.
Parfois il étudie avec précision et pendant de longues minutes la dextérité de ses jambes qui progressent seules sans connexions au cerveau, le long des chemins interminables. C'est énorme. Bon, j'en ai encore trop pris.

Et personne sur ces foutus chemins. Ils croisent le vide. Personne à exterminer. Monde de guerriers ? Chez ces pourritures d'aztèques c'est encore pire. La mort est constante, établie. Comme une sorte de brume éternelle et pesante. Oui, ici c'est terminé, fini.

Let's burn the aztec Empire down to the ground, se plait-il à raconter à la ronde. Ils sont entre coyotes et passent leur temps à retourner le marché. Ça fait plaisir de ruiner un aztèque. Finalement, certaines voix de sauvages s'élèvent contre leur pillage en règle. Peu importe, ils s'envoient volontiers dans le débat et lui même avec une certaine jouissance...qui se termine en rien. La guerre, oui-non, on ne peut pas. Départ et retour en leur belle Province.

On ne s'arrête pas, on a toujours des clans à visiter, des faux guerriers à étudier à la massue. Mais tout est calme, les gens s'aiment, il en ressentirait presque un certain dégoût s'il ne s'en foutait pas complètement, ces derniers temps. Quelque chose d'autre s'insinue en lui qu'il ne rejette pas, conscient que ce n'est pas forcément pour l'affaiblir. Ou peut-être que si…

Alors ils filent au nord parce qu'ils le valent bien. Tulancingo. La journée est belle, comme un signe des Dieux. Ce sont deux magnifiques carcasses de pécaris qu’il vend à deux esclaves. Il les toise et d’une moue amusée, les congédie après l’échange. S'ils espèrent bouffer ça les pauvres...


Féline : - ça t’a marqué, lui lance-t-elle sarcastique.
Mezcal : - C’est vraiment un truc qui me fait marrer, oui. A 24 quachtlis la carcasse, ils ont gagné leur semaine eux. La prochaine étape, c’est de faire croire à un esclave qu’en achetant deux manches, il pourra se faire un habit.

Comme s’il fallait prendre soin des faibles, de ces tares du peuple tlaxcaltèque. Tous ces cadavres vivants et autant de bouches inutiles à nourrir qui ne faisaient qu’engendrer un sous peuple d’assistés.

Ce soir ils partaient à nouveau, au nord, encore. Et c’est une coyote râleuse qui l’accompagnait cette fois dans les profondeurs de la nuit…



_________________
Guerrier Coyote.
Bagdag
[On part, on revient et on...reste]

Dans la troupe il n'y pas de jambe de bois... des nouilles oui, La bleue en est un bel échantillon. Elle avait passé son temps entre les bras des coyotes et scruter le marché, avait eu comme des réminiscences et avait pu dire quelques mots de sauvage. Mais le village de fantôme elle n'en pouvait plus. Impression que les habitants étaient des ombres qui glissaient sur les murs, que le vide allait l'attraper et l'envelopper à jamais. Heureusement ils avaient repris la route.

Dans la troupe il n'y a pas de jambe de bois...

Durant sont voyage elle n'avait pas dormi, la peur du vide lui avait laissé les yeux ouverts. Arrivée à Cuam elle alla retrouver son canoë, elle entra à l'intérieur et récupéra de toutes ces heures sans sommeil. Elle s'était levée juste pour aller se ravitailler en cailloux, pour ça la mine c'était le mieux. Elle choisissait les plus ciselés, afin de faire des projectiles bien coupant.
Elle mange un peu de haricots, dommage elle avait vendu tous ses fruits. Aujourd'hui elle le regrettait. A ce prix là elle aurai mieux fait de les manger.
Retour dans son cocon canoë, et c'était reparti pour une bonne nuit de sommeil.

Au petit matin clopin colpan elle alla retrouver la meute. L'odeur n'était pas très forte, elle n'arrivait pas à les débusquer. Une odeur fugace l'attirait à chaque fois dans des huttes vides. Pas de coyote... Pas de coyote... Ils étaient partis, elle avait du oublier un départ. Plus de Féline, plus d 'Amitola, plus personne plus de bras plus de cou, plus de pâtes pour ronronner ! Un monde de vide... l'horreur.

Traine pied jusque dans une taverne, moral au plus bas. Mais là, Oh Rage ou désespoir qui se transforme en bonheur, en joie, en hiiiiiiii... Sa Rose aperçu à travers la lucarne de la taverne est là!
Mais elle part????
Oh rage, au désespoi, Oh monde cruel qui me fait vivre cette infamie. Il ne reste qu'un cou, un géant vert à tartiner de léchouille et son canoë pour se protéger d'un monde qui veut l'entrainer dans le vide des ombres des aztèque qui ont du la suivre.

Barrez-vous les ombres vous ne m'aurez pas!!!!!!!!!!! Crit-elle en entrant dans son canoë.

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Zenka
[ changement de programme, mais quel programme? y 'en a pas de programme!]

Au depart, c'était comme ça : Cuamanzingo, --> Tualancingo--> Ixtenco puis ensuite chez le chauve malchanceux Kisscool, bon la delivrance, et pourquoi pas dans la foulée une petite revolucion de quoi remonter le moral de la crevarde qui commençait sincerement à galerer parmi les histoires d'amour, de chiffon (enfin physique quoi bip bip censuré), puis les histoires de trahison , de non partage, de plein de choses qui se cumulaient mais qui desinteressaient la crevarde du plus haut point, se languissant dans les cavernes trop peace pour elle, trop de fleurs , trop d'amour, trop de fausses sympathie; puis surtout toujours cette faim , qui la ronge, qui la tue petit à petit feu, son estomac avait laissé place à son esprtit et son coeur pour un autre interet, les Q les quachtlis divins, ses calculs, son desir de se fixer dans un clan et avoir un champ, de cette façon plus de souci de Q toujours une entrée de Q pour elle...

Elle suivait les directives de loin, puis etaient heureuse d'avoir enfin repéré la taniere des guerriers coyotes, mais elle avait une flemme ancestrale ( de famille), lire les tablettes longues de ce qui paraissait être le code de conduite des coyotes, bon elle decide de ne pas comprendre volontairement, elle suivra de très pres sa naze Naysa afin de ne pas faire d'erreur. Puis ça parlait serieusement de guerres, de taupes, Zen etait une taupe aussi elle n'y voyait rien trop pulquée, trop ailleurs, dans les songes puis une nouvelle qui lui fait froid dans le dos!

Cuamanzingo est menacée par des autres sauvages, demi-tour oblige, faut suivre la meute, parcontre elle se penche vers Naze et lui murmure un peu trop fort:

Naze on s'en fiche de ce qui va se passer, on s'escorte jusque Cuaman, ensuite on se casse au temple, on a besoin de chanter et prier aux dieux, on les laisse! Ame s'occupe de tout on s'occupe de rien!!


La crevarde avait un instinct assez solitaire, elle avait fait des efforts considerables pour s'attacher à cette meute, mais là , elle voulait se ressourcer et obliger la Naze de la suivre jusque au temple, en mini famille car la meditation et le recueillement pouvaient être une bonne chose pour l'esprit vengeur et fou de Naze et l'esprit plus mal sein de la crevarde, puis reflechir à la question existentielle :

dis moi naze, dis moi ame....comment faire, comment faire pour trouver la patience, le temps et la zen attitude pour faire mes transaction à Cuamanzingo? Je veux me prendre un champ et être une super reputée, avoir des Q plein la cahutte et plein la bourse.... mais biensûre , je veux continuer à me revolter , à speculer tant qu'il est encore temps.....

Sur la route pour Tualancingo et ensuite pause Cuaman dingo!
voir du temple la guerrillas ....

Puis essayer d'oublier de multiples scenes choquantes vue en taverne , Zenka était crevarde mais le chiffon c'était un mystere pour elle, les zhommes étaient-ils aussi des bestiaux? .....objet d'une longue meditation...
Bagdag
[ Quand Hiolopan vient leur rendre visite, parenthèse dans l'effervescence]

Elle ne peut se résigner à attendre devant le capulli, elle sent que l’heure de l’attaque n’a pas encore sonnée, l’odeur n’est pas encore assez proche. La taverne est à nouveau son refuge. Mais c’est tremblante qu’elle en ressortira, ce qui était au départ une bonne soirée, fini part quelque chose de terrifiant pour elle.

La discussion avec Niurka, Elmi et Maellia avait été tranquille, jusqu’au moment malheureux où la pauvre Bleue avait dit aimer Féline, Prouty, et leur avait montré son bras droit tatoué des trois noms « Prouty, Feline et Atecoatl ». Les yeux des jeunes femmes se noircirent. Au début, elles ne pouvaient croire que Bagdag les aimait vraiment, mais voyant les noms sur son bras une seule chose leur vient en tête, lui couper le bras pour faire disparaitre les 3 noms. Bagdag au départ pensait qu’elles la taquinaient, mais lorsque Niurka sortie son couteau là, elle commença à ne pas être rassurée. Bagdag pourtant ne s’enfuit pas de suite, elle ne pouvait pas croire que les jeunes femmes lui voulaient du mal. La Bleue les connaissait à peine, elle ne leurs avait jamais rien fait. Pourquoi elles auraient voulu lui faire du mal ?

Elmi : Donne ta main je ne te ferai pas de mal.
Niurka : Laisses toi faire
Bagdag : Euh, non non, j'ai pas envie.
Niurka : Mais si! Faut retirer ça sur ton bras. Tu va avoir des verrues. Tu vas devenir moche hideuse horrible avec ça.


Et le couteau avance, elle se faufile, veut s’échapper. Les femmes fermes la taverne, porte et fenêtres closent elle se sent soudain prise au piège. Elmi l’attrape, Bag a beau hurler, se débattre rien n’y fait, le couteau dans des rires diaboliques entaille sa chaire.

Niurka : Coupe bien sur les prénoms

L’entaille est assez profonde pour que les femmes puissent recueillir le sang dans une coupe. Bag arrive à se dégager avant que les filles coupent la peau où il y a les tatouages. Elle court au fond de la pièce, en hurlant.
Heureusement, Prouty qui a entendu les cris arrive à ouvrir la porte, et la libère des mains de ces affreuses. Goût amère dans la bouche de Bagdag, elle se sent trahi par son propre clan. Jamais personne n’avait, depuis qu’elle s’était échappée des griffes de son père, levé le couteau sur elle. Ce n’est pas la coupure qui lui fait mal, c’est leurs regards diaboliques, leur cruauté envers elle. C’est par la force qu’elles ont approché le couteau, et par la force qu’elles lui ont pris son sang. Les deux jeunes femmes riaient bien. Elle ne riait pas, l’image du couteau qui se lève, couteau du sacrifice. Elle s’en veut de n’avoir pu fuir, s’en veut de ne pas les avoir mordues. On peut se faire agresser par son propre clan, elle le sait maintenant. L'image de ce couteau, la terreur qu'elle lui coupe le bras comme annoncé au départ, c'est incrusté en elle. Mais de la peur nait la colère, et de la colère nait la haine ?

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Meena
[Cuamantzingo, l’enfant qui ne riait pas]

Les dieux, peut-être, lui ont refusé le don de la paix.
La gamine ne rit pas, ne joue pas comme font les enfants de dix ans ; elle a le visage grave et les sens méfiants, que tout interpelle. Son esprit est occupé de matières sérieuses, des menaces qui pèsent sur les uns, les autres, le clan tout entier, des dissensions grondantes.
L'avenir du clan l'inquiète.
Féline semble moins soucieuse. « Petit à petit », a-t-elle dit. « Comme toi tu grandis ».

Oui mais voilà… Et si ça n’arrivait pas ?
C’est ce que murmurent les papillons qui volètent derrière ses tempes.
Une fois que mille et mille coups auront été battus contre ton front, il faudra clore tes yeux, car ce qui adviendra ensuite, tu ne dois jamais le voir.
Bon, bien sûr, les papillons ont la syntaxe moins solennelle… Mais en substance, c’est ça qu’ils disent.

La môme a failli avouer à Féline, à propos des papillons lancinants, des yeux lourds, du souffle lent, des mauvais rêves… Ca la soucie un peu, et ça la vexe de disparaître comme ça, sans vivre son grand destin.
Et puis au moment de le dire, quelqu’un est arrivé, et la môme ne dira plus rien. De toute façon, l'essentiel n'était pas là.

Et bientôt, ça ira beaucoup mieux, oui, bientôt, ce sera réglé.
Disent les papillons.
{Sinaloa}
topic réouvert suite à la demande de joueurs.

bon jeu.

Sina

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Oulaup


[Amecameca, de nombreuses lunes plus tard…]

A l’entrée du village, assise sur gros roc, Oula contemplait la ville morte… Vidée des guerriers, Amecameca était déserte… Une capitale sans habitants… C’était bien la peine d’avoir rasé la Patte du Dindon…

La Patte du dindon… sourire aux lèvres, le regard vide, la Fouine s’envole dans ses rêveries…

La meute… la tournée des Géocoucous… Les missions des coyotes… Une famille… Une grande famille où Ame Feline, leur dominante, régne en mère et en chef…
Que de missions, que de combats… que de souffrance aussi… Pas facile de les amadouer les coyotes…
Elle en a traversé des clans, renversé des calpulli ne respectant pas le Tonalamatl… Accrochée au pagne de Sacha, elle en a fait des pas et des pas vous tuant les jambes, usant les sandales… collant la poussière au visage…

Petit à petit de Oula la Souris elle est devenue Oula la Fouine… Une vraie guerrière comme les autres… forte physiquement mais aussi dans sa tête et, même si elle rêve encore souvent, se laisse aller à quelques poèmes, cela n’a plus aucune conséquence sur son comportement.
Espiègle, malicieuse, gentille, le coeur sur la main... oui elle sait l’être… mais aussi mordante, acide… cruelle…

Que de disparus depuis ces jours là… il y avait si longtemps… cela lui paraissait si loin… Tant de choses avaient changé et changeraient encore…
Pour elle, la tournée des Géocoucous, ou des Géocoyotes, se terminait là… définitivement là… Elle partait vers d’autres horizons, d’autres aventures… dans une autre famille… de l’autre côté des frontières…

En sautant de son rocher pour rejoindre le tribunal où on l’attendait sûrement, elle soupira….

Les Dieux ont du abandonner les coyotes… renaîtront-ils vraiment un jour ?....
Peut être, mais jamais comme avant, plus jamais…
Au revoir les coyotes...

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NK=NK, RK=RK, here it's NK don't forget it-NK=NK, RR=RR, ici c'est NK, ne l'oubliez-pas!
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