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[RP] Cathédrale de la Création

Valere
Valere ,écoutait la paisible cérémonie,quand vint prêt de lui un messager.L'ancien bourgmestre,celui que l'on considérait comme un traitre pour le Rouergue,avait pris quelques dispositions,et fait demander qu'on l'avertisse en tout lieu,de tout ce qui pourrait l'intéresser.L'homme apportait quelques nouvelles fort peu honorable,donc l'issue d'un procès concernant son ami Chlodebert,résidant depuis peu en Espalion.Il y eu aussi un fait ,ayant trait directement avec la scêne qui se passait devant ses yeux.Pour l'un,il le savait déjà,mais là.ça dépassait son entendement-Il hocha la tête,ne dis mots afin de ne point perturber la messe.Se leva, puis sorti discrétement de la cathédrale.Il remit encore quelques piécettes à une officiante qui attendait de pieds fermes, caissettes en main,prêt de la porte.

Que le Très-Haut vous bénisse mon frère !!!
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Ijarkor
Ijarkor versa quelques gouttes sur le front de la Comtesse, histoire d'éviter d'abimer sa coiffure, tout en prononçant les paroles rituelles.

Crysania l'Abramada, je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité. Que cette eau te lave de tes pêchés afin que tu renaisses au sein de l'Eglise avec la même pureté que lorsque tu es venue au monde.

Puis il prit un cierge et le donna à la nouvelle Fidèle.



Tu es maintenant devenue un exemple pour ceux qui sont perdus et cherchent un chemin de développement spirituel. A toi de les guider pour les amener vers la Lumière Divine en les aidant à repousser le Péché, de la même manière que cette flamme repousse les ténèbres.

Il donna ensuite à Crysania une médaille.



Reçois aussi cette médaille, que tu pourras porter, afin de montrer à tous ton engagement vers le Très Haut et ton appartenance à la communauté aristotélicienne.

Le rituel était terminé, et du même coup, Ijarkor allait pouvoir revenir au vouvoiement. J'ai pas l'habitude de tutoyer les Comtesses, moi, pensa l'évêque avec soulagement, dans un réflexe lié à ses origine de fils de paysans du Limousin.

Puis, il se tourna vers l'assistance, et haussa la voix pour se faire entendre de tous.


A présent, je vais procéder à la bénédiction du Conseil Comtal. Et c'est avec grand plaisir que je compte accomplir ce devoir. Néanmoins, l'heure passe, aussi je vous promet d'être bref, afin que nous puissions passer au repas de communion, un rituel qui a l'avantage de réjouir autant les corps que les esprits !

J'ai déjà à mes côtés trois des membres du Conseil, mais si d'autres sont présents, je les prie de me rejoindre près de l'autel.

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Maylis
Les yeux humides , Maylis écoutait la déclaration de leur filleule ; elle se tourna vers Leepo et lui sourit avec tendresse puis son regard se dirigea de nouveau vers la scène qui se déroulait sous ses yeux .

Du coin de l'œil elle vit entrer dame Ninette et messire Arnautpantagon , elle le regarda avancer dans l'allée puis puis presque arrivé au chœur s'arrêter net , il regarda à droite et à gauche et finalement se glissa sur un banc dans le second rang.

Elle sourit et repporta son attention au baptême de leur amie et écouta les paroles de monseigneur Ijarkor et qui faisait d'elle une aristotécilienne

Cette dernière reçut avec une joie qui transparaissait dans ses yeux l'eau du baptême et le cierge .

Puis il lui remit la médaille des aristotéciliens

Maylis approcha et embrassa sa filleule avec émotion

la voix de L'évêque s'adressant au conseil et les invitant a venir les rejoindre retentit dans la cathédrale .

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Crysania
Tout en jurant renoncer au mal et ces pêchés, elle vit apparaitre Arnaut discrètement. Elle était heureuse de voir cet homme, cher à ses yeux être présent, tout comme elle avait été choyé de voir Aster aussi présent.

Recevant les quelques gouttes sur son front qu'Ijarkor lui versa, elle accueilli les paroles du baptême.
Surement son esprit qui lui jouait des tours ou le Très-Haut qui lui faisait passer un message, mais quoi qu'il en soit, La Rouquine avait l'impression de voir défiler sous ses yeux, pendant un instant, la peine qu'elle avait fait à certains, tristesse, désarroi qu'elle avait passé des années à se faire pardonner et se repentir. Des années de tourmente où elle avait fini par trouver la paix déjà. Elle savait que le Très-Haut à travers les saintes écritures l'avait aider, mais aujourd'hui, c'était comme, si, elle recevait le pardon absolue. Jamais elle n'aurait pensée que devenir une fidèle la libèrerait autant, même si tout cela avait été abordé à la pastorale.

Elle prit en main le cierge allumé.


Je ferai de mon mieux MonSeigneur. Dit-elle en regardant la flamme.

Ensuite la médaille, qu'elle prit aussi en main.

Je la porterai fièrement !

Tant dit que l'Évêque annonça la bénédiction du Conseil Comtal, Crysania prit ce moment pour offrir un sourire complice qui en disait long sur le bonheur qu'elle ressentait en ce moment, d'abord à son tendre et cher assis, à son parrain, sa marraine et prit la main d'Aster qui se trouvait déjà a coté d'elle en lui murmurant : Merci d'être là Mon cher ami. Ça compte beaucoup pour moi.

Il ne restait plus que les autres conseillers viennent les rejoindre. Avant que l'émotion du baptême prenne le dessus sur elle.
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Chambellan du Rouergue

Ijarkor
Les conseillers présents s'étant rassemblés, Ijarkor s'adressa à l'auditoire.

Lors de sa pastorale, Sa Grandeur et moi-même avons convenu que parmi les sept vertus, trois étaient plus utiles que les autres à ceux et à celles qui souhaitent, en participant au gouvernement d'un pays, consacrer une partie de leur vie au bien-être de leurs concitoyens. Aussi, c'est sous le patronage de trois archanges que je vais à présents bénir le Conseil du Rouergue.

Ijarkor prit un encensoir, et tout en parlant, il l'agita au nez des Conseillers, repandant ainsi dans la Cathédrale une odeur de fleur séchée.

Au nom de Saint-Gabriel, Archange de la Tempérance, que le Conseil du Rouergue soit béni afin que les échanges d'idées s'y fassent dans le calme et le respect de l'autre.

Au nom de Sainte-Raphaëlle, Archange de la Conviction, que les Conseillers du Rouergue soient bénis afin leur Foi en un avenir meilleur leur inspire de sages décisions.

Au nom de Saint-Miguaël, Archange du Don de Soi, que le Conseil du Rouergue soit béni afin que son action profite à tous les Rouergates et les Rouergats, et leur apporte paix et prospérité.


Que la grâce de Dieu vous touche et soit avec vous pour tout votre mandat.
Ainsi soit-il.


Tout autours du dôme, des tableaux accrochés au mur représentaient les sept archanges. Aussi, à chaque fois qu'Ijarkor citait l'un d'eux, un serviteur allumait une torche à proximité du tableau qui le représentait, afin que tous puissent le voir.




Et maintenant, je vous invite à partager dans l'Amitié le repas de communion.


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Indifred
Le berger posté au fonds de la cathédrale regardait pour la première fois avec attention les tableaux, sans en comprendre vraiment la signification. Il ne pouvait s'empêcher de se demander pourquoi l'archange Raphaelle avait de si grandes oreilles...il devait y avoir un sens caché, un symbole...lequel....

Le moment de la communion approchait et Indi s'approcha des premiers rangs à petits pas se cachant derrière les autres conseillers.
Crysania
La Rouquine écouta ce qu'était le début de la bénédiction du Conseil Comtal.
Sur ces début de mots, elle se rappela de ce qu'ils avaient parlé, la conviction, la tempérance et le don de sois.
Pour elle tout ceci avait un sens.

Tout en sentant cette légère odeur de fleur séché, Crysania écouta la suite de la bénédiction, les paroles sur les Archanges en suivant des yeux les tableaux qui étaient allumés.

C'est quand la grâce de Dieu soit prononcé que la Comtesse murmura :
Que sa grâce touche tout le Comté... Ainsi soit-il.

Recueilli sur ces paroles, elle fini par regarder l'Évêque pour le repas de communion.
S'approchant d'Ijarkor, elle lui murmura :
Merci pour tout MonSeigneur, pour le baptême, pour cette bénédiction. Qu'Aristote vous garde.
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Chambellan du Rouergue

--La_malbete


Frisson.
Air libre.
Approche de la ville, courant frais dans le poil.
Où, diable, où trouver...

Quitter les bois, courir le pays, mieux ailleurs que jamais.

Là, grand bâtiment, calme et tranquille.
Petite silhouette, l'enfançon qui joue devant le porche.
Pas une âme, pas un badaud
trop belle occasion.

L'heure de se sustenter.
Malbête sur l'enfançon se jette, n'en laisse qu'une trainée sanguinolente devant le portique. Un jouet en bois traine encore.
Délice, chair fraiche, comme l'air ce soir.

Malbête repart.
Retrouve ses bois, paix à elle.
Aristote a tout vu. Sur la place, le vent souffle.
Dans le bois, nul n'écoute la plainte lugubre de l'animal repu.
Cassandres


En ce vendredi 24 décembre la crèche finie de se préparer
Il est temps pour la diaconesse de célèbrer l'office de la Nativité


La Maison du Très Haut est déserte ...on lui a rapporté que la dernière baptisée n'a point remis les pieds et que pour elle , recevoir le sacrement sacré du baptème ne représente rien juste une formalité pour être en règle avec les institutions mises en place par les grands de ce monde

Comment oser bafouer ainsi le Très Haut afin d'obtenir un papier pour prouver au monde qu'on est aristotélicien alors qu'il n'en n'est rien

Comment oser mentir à un homme d'eglise et à notre précieux pére
songe la diaconesse en s'afférant une dernière fois


Elle pense à son Evèque qui est au concile de Tour





Bienvenue Frères et soeurs , voyageurs en cet office qui célèbre la nativité
Approchons nous ensemble vers l'autel afin d'allumer les bougies sur la couronne que j'ai déposée



Avant de commencer l'office j'ai décidé de vous lire un texte de Saint Samoth qui nous parle de la Nativité.


Citation:
Maria vivait avec Giosep qu’elle allait épouser.
Tous deux étaient d’humbles vagabonds, mais ils vivaient dans la vertu, en remerciant le Très Haut des bienfaits terrestres dont ils jouissaient.
En outre, ils éprouvaient l’un pour l’autre un amour sincère et pur de toute luxure, leur vie était heureuse.
Mais un jour, Maria vit en songe un cavalier venant de loin aller à sa rencontre.
Arrivé devant sa maison, il mit pied à terre. C'était un homme d’allure majestueuse; il s’avança, et dit :

" Maria, n’aie crainte, car l'Eternel t’aime et t’a choisie. Aussi, un enfant va naître de toi, que tu nommeras Jeshua. Il sera un guide, un messie habité par Dieu. Il portera la parole de Dieu partout ou il lui sera donné d’aller et sauvera le peuple de ses péchés en lui enseignant la sagesse d’Aristote. "

Le cavalier repartit ensuite vers sa contrée lointaine comme il était venu. Maria se réveilla à ce moment là et vit Giosep devant elle la regarder avec des yeux amoureux
.


Maria et Giosep se contentent de peu de choses à vraie dire , mais ils vivent dans l'amour l'un de l'autre.

N'est-il pas merveilleux , extraordinaire que pour naitre, le Messie ait choisi un couple de vagabond?

Pourquoi pas des notables, ou même des paysans, qui auraient pu eux assurer sa subsistance, et un chemin plus rapide vers le luxe et la volupté?

N'oublions pas que chacun de nous fut vagabond avant de pouvoir pour certaines , certains s'élever dans la hiérarchie des dits notables

Le Très Haut a souhaité que son fils voit le jour chez des petites gens ne croulant point sous des honneurs des richesses plus ou moins bien acquises .
Son fils Christos se devait voir le jour chez des gens humbles

Christos fut donc vagabond se contentant comme Maria et Giosep de peu de choses mais avec un coeur empli de sagesse de bonté de pardon


Ce texte nous rappelle que même les plus grand roi, ceux qui sont désignés par le Très-Haut pour gouverner les peuples, doivent garder l'humilité , souvenir d'un vagabond qu'ils furent un jour, souvenir du vagabond que fut Christos, qui est au dessus de tous les hommes.

Gardons donc en nous l'amitié pour les plus humbles, pour les vagabonds qui peinent à comprendre le monde dans lequel il se trouvent, et soyons prompt à les aider.

Gardons en nous que lorsque nous choisissons de nous faire baptiser c'est pour servir le Très Haut et non pour passer juste une fois en courant à l'église





Que le très haut veille sur vous et merci aux courageux paroissiens qui ont bravé la neige de ce vendredi

Commençons donc la célébration en reconnaissant nos fautes.





Un chants'éleva alors, permettant à chacun de se recueillir un moment

Je vous invite maintenant à réciter le Credo, signe de notre foi en le Très-Haut, en Aristote, en Christos, et de notre appartenance à Son Eglise.

Elle récita le crédo en chœur avec les fidèles.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Maintenant Amies, Amis, communions ensemble :


Petit silence avant de poursuivre

Si Noël c'est la Paix, la Paix doit passer par nos mains.

Si Noël c'est la Lumière, Dieu la met dans nos coeurs pour la porter aux autres.

Si Noël c'est la Justice, nous devons en être les instruments.

Si Noël c'est l'Espérance, elle doit briller clans nos yeux.

Si Noël c'est la Joie, elle doit nous aider à comprendre les souffrances des autres.

Si Noël c'est la Liberté, elle doit nous porter au respect.

Si Noël c'est la Vérité, elle doit faire partie de notre vie.


« Allons jusqu’à Bethléem pour voir ce qui est arrivé disent les bergers. »

« Ils se hâtaient d’y aller. »
C’est ainsi dans notre vie spirituelle, il faut nous mettre en route aujourd’hui encore.
« Allons jusqu’à Bethléem pour voir ce qui est arrivé. »
Ils découvrent Marie, Joseph avec le nouveau-né couché dans une mangeoire.
Nous avons besoin aussi de ce réalisme des bergers.
Un Enfant leur était annoncé, c’est la Sainte Famille qui leur est présentée.
Ils découvrirent une femme qui est de toute tendresse, pleine de douceur et remplie d’amour pour son enfant.
Ils aperçoivent Joseph, l’homme juste qui est passé par l’épreuve.
Mais ils contemplent surtout l’Amour mystérieux qui émane de chacun, il est tout nouveau pour eux, ils prennent leur temps.
« Après l’avoir vu ils racontèrent ce qui leur était arrivé ».
En racontant la visite de l’ange de l’annonce, le chant des anges et les paroles reçues, ils prennent mieux conscience encore que le ciel est en fête et que la terre exulte.

« Les bergers racontèrent tout ce qui leur avait été annoncé au sujet de cet enfant. »
La visite des bergers est un mystère pour Marie et pour Joseph comme le fut l’annonciation ! Quand le ciel se met à l’œuvre, la terre exulte, elle est dans la joie.
Comme pour la Visitation de Marie à Élisabeth, « l’autre » à l’extérieur du secret d’amour, révèle ce qui se vit à l’intime !
Discrètement et dans le secret, ce qui se passe à l’intime du cœur de ceux qui croient est révélé.
C’est l’annonce du mystère de la foi, à la fois c’est un mystère intimement personnel, mais il a une répercussion communautaire et sociale.
Pour chacun, la mise en route est nécessaire pour que l’œuvre du Très haut se réalise !
Ainsi le mystère de la vie du Très haut se développe en nous.
Le Message est reçu, il se propage.
C’est un chemin de vie spirituelle dans lequel nous sommes tous impliqués, il nous faut toujours le reprendre à nouveau.

« Marie cependant retenait tous ces évènements et les méditait dans son cœur ».
Tout les évènements qui lui arrivent depuis que l’ange lui a annoncé la bonne nouvelle, Marie les retient dans son cœur.
Les bergers repartirent, ils glorifiaient et ils louaient le Très haut pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu selon ce qui leur avait été annoncé.
Nous vivons la fête de Noël au cœur de la nuit.
Le jour se lève et le mystère se révèle par la Parole qui nous vient du Très haut , l’apparition des anges, l’annonce faite aux bergers. Il nous faut maintenant intérioriser cette expérience spirituelle.
Il y a aussi dans notre vie des annonces et des paroles, qu’allons nous en faire ?
Les bergers se mettent en route !
Il nous faut aussi nous mettre en route.
Ne pas nous contenter d’entendre, ou de nous laisser surprendre par l’événement.
« Bien sais-je la source qui jaillit et fuit chantera saint Jean de la Croix, dans ses poésies, mais c’est de nuit ».
Désormais Noël c’est le Pain de Vie qui nous donne ce mystère.
« Cette source je la découvre au Pain de Vie » chante encore Jean de la Croix ! Mais c’est de nuit. »
Nous demandons la grâce, comme Marie, de retenir tous ces évènements et de les méditer dans notre cœur.

Demandons la grâce, nous qui sommes invités à ce si beau Mystère de Noël, de prendre du temps pour méditer la Parole du Très haut .
La Parole s’est faite chair et la chair désormais devient Parole.

Concluons avec cette courte prière avant de passer aux chants:

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Cassandres


Chantons ensemble ces merveilleux cantiques

Entre le bœuf et l'âne gris

Dors,
Dors,
Dors le petit fils,
Mille anges divins,
Mille séraphins
Volent à l'entour de ce grand Dieu d'amour.

Entre les roses et les lys,

Dors,
Dors,
Dors le petit fils,
Mille anges divins,
Mille séraphins
Volent à l'entour de ce grand Dieu d'amour.

Entre les pastoureaux jolis,

Dors,
Dors,
Dors le petit fils,
Mille anges divins,
Mille séraphins
Volent à l'entour de ce grand Dieu d'amour.

Entre les deux bras de Marie,

Dors,
Dors,
Dors le petit fils,
Mille anges divins,
Mille séraphins
Volent à l'entour de ce grand Dieu d'amour..


Entre le bœuf et l'âne gris
Noël du XIIIe siècle

http://thierry-klein.nerim.net/entreleb.htm

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Cassandres




PEUPLE FIDELE
(ADESTE FIDELES)


Peuple fidèle, le Seigneur t'appelle :
C'est fête sur Terre, le Christ est né.
Viens à la crèche voir le Roi du monde.
En lui viens reconnaître, En lui viens reconnaître
En lui viens reconnaître ton Dieu, ton Sauveur.

Verbe, Lumière, et Splendeur du Père,
Il naît d'une mère, petit enfant.
Dieu véritable le Seigneur fait homme.
En lui viens reconnaître, En lui viens reconnaître
En lui viens reconnaître ton Dieu, ton Sauveur.

Peuple, acclame, avec tous les anges
Le Maître des hommes qui vient chez toi,
Dieu qui se donne à tous ceux qu'il aime !
En lui viens reconnaître, En lui viens reconnaître
En lui viens reconnaître ton Dieu, ton Sauveur.

Peuple fidèle, en ce jour de fête,
Proclame la gloire de ton Seigneur.
Dieu se fait homme pour montrer qu'il t'aime.
En lui viens reconnaître, En lui viens reconnaître
En lui viens reconnaître ton Dieu, ton Sauveur



Gloire au Fils du Très Haut
Gloire au Très Haut


Les anges dans nos campagnes
Ont entonné l’hymne des cieux;
Et l’écho de nos montagnes
Redit ce chant mélodieux.
Gloria, in excelsis Deo,
Gloria, in excelsis Deo.

Bergers, pour qui cette fête?
Quel est l’objet de tous ces chants?
Quel vainqueur, quelle conquête
Mérite ces cris triomphants?
Gloria, in excelsis Deo,
Gloria, in excelsis Deo.

Ils annoncent la naissance
Du Libérateur d’Israël,
Et pleins de reconnaissance
Chantent en ce jour solennel.
Gloria, in excelsis Deo,
Gloria, in excelsis Deo.

Bergers, loin de vos retraites
Unissez-vous à leurs concerts
Et que vos tendres musettes
Fassent retentir dans les airs:
Gloria, in excelsis Deo,
Gloria, in excelsis Deo.

Cherchons tous l’heureux village
Qui l’a vu naître sous ses toits,
Offrons-Lui le tendre hommage
Et de nos coeurs et nos voix!
Gloria, in excelsis Deo,
Gloria, in excelsis Deo.

Dans l’humilité profonde
Ou vous paraissez à nos yeux,
Pour vous louer, Dieu du monde,
Nous redirons ce chant joyeux:
Gloria, in excelsis Deo,
Gloria, in excelsis Deo.

Déjà, par la bouche de l’ange,
Par les hymnes des cherubins,
Les hommes savent les louanges
Qui se chantent aux parvis divins:
Gloria, in excelsis Deo,
Gloria, in excelsis Deo.

Dociles à leur exemple,
Seigneur, nous viendrons désormais
Au milieu de votre temple,
Chanter avec eux vos bienfaits:
Gloria, in excelsis Deo,
Gloria, in excelsis Deo.

_________________
Cassandres


La messe de Noel n'a pas déplacé grand monde et pourtant combien sont ceux qui se disent aristotéliciens....

La Maison du Très Haut est bien déserte mais rien ne l'étonne plus même

Ceux qui se disent aristotéliciens en se faisant baptiser pour juste respecter un concordat ne le sont pas et ne respectent pas le Très haut puisqu'ils ont menti dans sa maison , celà ressemble fort à un parjure songe la diaconesse en refermant la porte afin que le froid de ce début janvier ne pénètre dans le Saint Edifice


Cassandres après s'être signée une dernière fois part
Ce fut son dernier office en la cathédrale de Rodez

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Ijarkor
De passage à Rodez, de retour de Tours, après un Concile riche d'enseignement, un passage à Reims pour le couronnement de la Reine, et un voyage assez éreintant.

Le Royaume se dépeuplait - même les brigands désertaient les routes. Ijarkor se plaisait à penser que les âmes décédées rejoignaient le Très Haut en son paradis solaire sans choisir de prendre une nouvelle incarnation. Mais sur le fond, il n'en savait rien: peut-être était-ce la Lune qui se chargeait d'âmes pécheresses. Ijarkor haussa les épaules: à chacun sa tâche ici bas.

L'évêque fit une prière pour remercier le Très Haut, vu que son voyage s'était finalement bien déroulé. Puis il sortit de la Cathédrale et repartit vers Villefranche.

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Thibali
En ce jour de pluie, la jeune maistre de camp avait ressentie le besoin de s'isoler. Quel meilleur endroit que la cathédrale de la création pour partagé un dialogue avec soi même et le très Haut.

Elle entra donc dans le sanctuaire, faisant un arrêt pour habituer ses yeux à la pénombre puis s'avança . Après une génuflexion elle alluma un cierge et prit place un peu plus loin.
Ses pensées s'envolèrent ,ses prières les suivirent.

Cela lui prit un certain temps avant de se sentir calme et rassérénée. Elle fit son signe de croix puis quitta l'église, plus déterminée que jamais.

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Ijarkor
Citation:
Oyez oyez, lettrés du Rouergue !

Vous estes théologien de l'Eglise (Niveau 3 voie de l'église) ?

Vous avez la foy, et vous aspirez à la diffuser ?
Vous aimeriez dire la messe, que ce soit In Gratebus ou Res Parendo ?
Vous vous sentez pret à veiller sur les âmes de vos concitoyens ?

Alors venez au Palais Episcopal, vous serez accueillis et conseillés avec joie !




Monseigneur Ijarkor,
Evêque de Rodez


Nota : Pas besoin de maîtriser toutes les matières de la voie de l'église, être N3 voie de l'église suffit pour obtenir un poste.

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