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Préparation du mariage de Félinia et Bashir l'Ottoman

--Kaede


Kaede regarda Von.

Vous n'êtes pas le seul à le penser c'est déjà cela,
Depuis le temps que vous lui aviez dit
.


Elle se retourna vers Malorsie

Lui non plus elle a pas voulut le croire.
Vonlichtenchein
Il regarda Kaede et leva la main.

Kaede il suffit, elle a eut assez d'émotions pour ce soir,
Il vous a menacé par 2 fois de mort ?

Il ne s'en prend qu'aux femme m'a parole,
Je commence a en avoir par dessus la tête de lui.
Il était où la dernière fois que vous l'avez vue ?

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L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combat.
Force et Honneur !!
Le Combat, les Armes, Mon Domaine !!
Puissance et Tenacité !!
N'Abandonne Jamais !!
--Malorsie


Malorsie les regarda tour à tour, et répondit

Ben l'était dans la tente dans celle où vont ceux qui boivent.
Il était tout blessé, il a dû ce battre contre un loup ou un ours.
Il doit êt' encore là bas.
Moé j'dis avec la dame Félinia, la pauvre.
A vot' place je me f'rais du souci et si vous l'aimez encore un peu vous d'vriez l'enlever et l'emmener loin de ce sauvage.
Vonlichtenchein
Il regarda Malorsie.

L'enlever ? Pourquoi faire ?
La voir pleurer parce qu'elle le voit plus ?
Non faut en finir avec lui d'abord.

Donc nous allons nous mettre en route pour la tente.
Cela va allez pour vous dame ?

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L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combat.
Force et Honneur !!
Le Combat, les Armes, Mon Domaine !!
Puissance et Tenacité !!
N'Abandonne Jamais !!
--Malorsie


Elle grimaça

Comment peut on pleurer pour un homme pareil ?
Ne vous inquiétez pas pour moi je rentre chez moi, assez d'émotions
aujourd'hui !
Tuez la bête, tuez le sauvage, ça serait déjà une bonne chose de faites.


Elle s'en alla dans la nuit regagnant comme elle put ses pénates.
--Kaede


Elle l'a regarda s'éloigner et se retourna vers Von.

Donc nous y allons et cette fois vous allez faire quoi ?
Le laisser à cause d'elle ?
Ou en finir ?


Elle attendit la réponse, un regard sérieux, la main sur l'épée droite comme un piquet.
Vonlichtenchein
Il regarda Kaede et pencha la tête sur le coté.

Je verrai une fois là-bas comment se présente la situation.
Je dois respecter des lois moi contrairement à lui.
Mais il mérite qu'on s'occupe une bonne fois pour toute de son cas.
Et ne t'inquiète pas je ferai le nécessaire.


Il monta à cheval, regarda Kaede faire de même et se dirigea vers les tentes.
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L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combat.
Force et Honneur !!
Le Combat, les Armes, Mon Domaine !!
Puissance et Tenacité !!
N'Abandonne Jamais !!
--Tavsanli
Trois lourds chariots se suivaient sur la route. Le froid avait givré sur les renes des chevaux dont les naseaux lachaient de grandes bouffées d'air blanc. En tête de convoi, un cavalier de noir vêtu, le visage voilé et le cimetère accroché dans le dos, talonnait doucement son pur sang en observant les alentours. derrière lui, le premier chariot était conduit par un homme de race noire. Couvert d'une peau d'ours, il grelottait et tapait des pieds. les deux chariots suivants étaient conduits respectivement par un vieil homme et par une femme guère plus jeune. Les chariots étaient habillés de tissus épais , lours comme des lambrequins. De couleurs ocre, pourpre ou verts, ils étaient agrémentés de petits grelots qui tintinabulaient joyeusement. Le cavalier, nommé Boubakeir, fit un signe pour arrêter le convoi. Il désigna une tente aux autres dans une petite prairie; D'après les indications, il se pourrait qu'ils soient à bon port. Boubakeir descendit de cheval et se dirigea vers la tente.

"Hola... Je suis Ibn Ali Faissal Boubakeir, envoyé par le très saint bey Ibn Ali Albalik. Dame Félinia est-elle ici?"
Felinia
Félinia observa Bashir

Tu attendais quelqu'un à cette heure ci ?
Qui donc m'appelerais au milieu de la nuit ?


Elle ouvrit le pan de la tente, une main à ses reins et vit le spectacle sous ses yeux

Citation:
"Hola... Je suis Ibn Ali Faissal Boubakeir, envoyé par le très saint bey Ibn Ali Albalik. Dame Félinia est-elle ici?"


Merhaba Boubakeir !

Elle mit une main sur son coeur et s'inclina en le regardant

Soyez les bienvenus !
Venez tous vous réchauffer à l'intérieur je vous en prie
.

Elle regarda Bashir

Tu dois connaitre ces hommes peut être c'est Boubakeir et je ne sais pas qui sont les autres.

Elle se positionna au côté de Bashir et laissa les hommes parlementer.
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Bashir
une fois encore, l'infirmière avait sauver la femelle nauséabonde... Mais elle ne serait pas toujours là pour se mettre entre une parole donnée et une punition impatiente. Il regarda donc s'enfuir la paysanne, qui ne demandait même pas son reste ! Puis, silencieux, il écouta la blonde. Une question, comme si le temps était suspendu.. Une question, comme si tout ce qui venait de se dérouler n'avait aucun impact sur la vie... Une question, qui donnait la volonté de cette femme de devenir la sienne !

Et, comme pour ne pas avoir à faire complètement face à sa questions, la blonde se mit à embaumer la peau de l'ottoman. Un peu surpris, il laissa faire. Certes ses blessures étaient fraiches, mais les ronciers n'avaient tout de même pas entamé sa peau à ce point là. Quoi que cette ouverture, là, était un peu pus profonde que les autres : le bois épineux de ce prunelier, sans doute. Les doigts de la rose humaine poursuivait les soins, qui n'en étaient pas.

Décider ? mais nous avons décidé depuis le début, Bayan... JE t'ai dis ma volonté de te prendre pour femme ! et personne ne se mettra sur ce chemin, même pas ceux qui se disent tes "amis", et qui brandissent menaces et insultes à ton encontre !

La voix de l'ottoman était forte, et grave. Mais comme il la tenait sous sa domination, elle ne se fit pas dure. Il poursuivit sur le même ton.

Bayan, je ne suis pas assujetti à ces infidèles, et encore moins quand ils veulent en imposer avant de regarder ! Et à vrai dire, je comprend maintenant pourquoi les églises sont vides. Ces pouilleux ne songent qu'à leur privilège et brandissent le châtiment de leur dieu - qui doit sans doute avoir honte d'être servi par ces chiens !

Alors, je te le répète. Je n'ai que faire de cette engeance, Bayan. J'ai survécu sans eux depuis que ma mère m'a sorti de son corps, et jeté dans ce monde animal... Et je poursuivrai jusqu'à ce MON dieu en décide autrement !

L'homme cuivré se redressa lentement. Il fallait que son animalité ne s'éveille pas trop, ce soir... Il hocha la tête, vers sa blonde, et lui offrit un sourire rassurant. Mais comme il allait poursuivre, une voix lui coupa le flot. Sa main aussitôt saisi le stylet et son regard changea de couleur, comme si le son qui venait de dehors en était responsable. Il aurait voulu empêché l'infirmière de sortir, mais comment stopper une femme qui réagit sans réfléchir... Trop tard... Elle était déjà à accueillir et faire entrer la voix. Homme noir, homme agile... Homme bien loin de chez lui !

Le temps qu'elle referme la toile de tente, l'ottoman jeta un œil vers le dehors : pas d'escorte significative. Se méfier, peut-être de ce numide, transi par le froid, qui guidait deux vieux suivants plus loin. Et que de décors... Que cela voulait donc dire ?

L'homme cuivré observait... L'homme cuivré scrutait... L'homme cuivré n'attendait qu'une parole malheureuse, un geste trop insolent...
--Boubakeir
Kazim et Irem firent brouter les chevaux, le temps que Boubakeir s'entretienne avec la femme qui venait de l'accueillir. Deux autres hommes descendirent du premier chariot pour se detendre les jambes. Boubakeir vit s'approcher une belle femme occidentale qui se présenta sous le nom de dame Félinia. Il s'inclina respectueusement.

"Salaam Maleïkum... Mon chemin s'arrête donc ici puisque je vous ai trouvée. "

Le ton de Boubakeir était respectueux mais il éprouvait une sorte de gêne. Pourquoi cette femme voulait organiser un mariage ottoman en plein coeur du royaume des francs? Il se mit à penser un instant qu'un piège s'était peut-être tendu à son insu, puis il se rassura. Qui pourrait bien vouloir piéger un petit groupe d'artistes ottomans? Il n'avaient rien de conquérants. Boubakeir souriait sous son voile et suivit l'occidentale qui ne lui adressa plus la parole avant de l'avoir introduit dans la tente; Là, Boubakeir eut un petit sursaut de surprise. Il découvrit à l'intérieur un homme au visage ambré et cicatrisé, un homme dont le visage ne lui était pas inconnu. Il avait porté sa main sur un objet à sa ceinture, peut-être une arme. Boubakeir s'inclina à nouveau devant l'homme qui l'attendait, assis en tailleur.

"Salaam Maleïkum... Je suis Ahmed Ibn Ali Al faissal Boubakeir, envoyé par sa grâce Ibn Ali albalik, pour recouvrer les besoins d'une dame que le très honorable Ramzam a recommandée. "

Boubakeir attendit un instant la réponse de l'homme, mais comme celui ci continuait de l'observer sans un mot, il reprit..."

"Dehors, avec moi, il y a une danseuse et trois musiciens, pour ton service et ce lui de la Dame. "

Comme l'homme ne repondait toujours pas, Boubakeir ne s'assit pas. Il se gardait la possibilité d'agir vite en cas d'urgence et de dégainer son sabre en toute liberté. Malgré tout, il gardait les bras le long du corps en signe de paix. Il ajouta, dans la langue de Tavsanli, quelques mots qui , il l'espérait, rassureraient son hôte:

"Bans ve saygi duy..."

traduction: paix et respect
Felinia
Félinia se plaça légèrement en retrait derrière Bashir.
Elle avait vu son geste prêt à intervenir et elle ne voulait pas se retrouver au milieu.

Elle écouta l'étranger et attendit le bon vouloir de Bashir.

L'atmosphère était relativement pesante, un geste malheureux et c'était une catastrophe.

Elle garda le silence, il était clair qu'elle interviendrait aussi si le besoin se faisait sentir, mais l'homme venait pour leur mariage.

Il avait fait tout ce long chemin pour eux, pour qu'ils puissent s'unir.


Elle entendit le bruit d'une chevauchée sans aucun doute qu'ils allaient s'arrêter à la tente taverne.

Veuillez m'excuser, le devoir m'appelle, des clients pour la Insancil Gul.

Elle salua tout le monde à l'ottoman et se retira dans l'autre tente.

Elle soulèva le pan de la tente et s'installa à une table, attendant les visiteurs.

Quelle n'est pas sa surprise de voir entrer son Sénéchal et accompagné d'un soldat visiblement.

Von
bonsoir

Félinia
bonsoir, tu vas bien

Von
Ca va, fait aller j'essaye de faire mon devoir

Félinia
Pareil
On va avoir de gros souci avec Montseigneur
Mais on se battra jusqu'au bout


Von
Depuis l'arrivée de bashir tu as bien fait selon tes choix sans prendre les miens en compte

Félinia
Me crois tu en danger

Von
Avec lui, oui.

Félinia
A quel niveau dis moi

Von
Tu le sais déjà

Félinia
Il me tuera pas voyons

Von
Si tu reste avec lui ?
Te tuer lui il pourra sans hésiter


Félinia
Impossible, il m'aime voyons

Von
Il est bien entrain de le faire

Félinia
Je comprends pas

Von
Il tue tout ce que tu es petit à petit
Il met même ta vie en jeu pour son plaisir
alors dis moi si ce n'est pas te tuer c'est quoi ?


Félinia l'écouta et ajouta

Il n'a pas décidé du mariage ottoman
Je lui aurais demandé un mariage aristotélicien
il m'aurait dit oui
c'est moi qui l'ai voulu
Je m'insurge contre l'illégalité et la bêtise.
Je ne renie pas ma religion je veux m'unir à l'ottoman, est ce un crime ?


Von
Donc tu es sous son contrôle et tu le sais depuis le début

Félinia
J'ai dû mal à te suivre
Quel contrôle


Von
Tu as fait un baptême aristo et maintenant tu craches dessus

Félinia
Non, je crache pas dessus

Von
Tu as des amis qui te disent qu'il te contrôle tu leur craches dessus

Félinia
Je suis toujours enfant d'aristote plus que certain
mais je veux m'unir à l'ottoman
en son hommage, dis pas ça


Von
Si ce n'était que moi je comprendrais mais je ne suis pas le seul
Et tu le sais


Félinia
Oui je sais, mais peu l'apprécie

Von
Maintenant je pense que c'est la première fois de ma vie que devant tout cela je n'ai plus qu'à me retirer et partir dans la honte d'avoir baisser les bras

Félinia
Je t'en prie ça n'est pas de ta faute, c'est..... arrivé c'est tout.
c'est vrai qu'il m'a sauvé la vie, c'est vrai qu'il était là, je ne peux l'oublier


Elle baissa la tête

Von
Cela suffit !
Tu étais déjà sous son emprise bien avant.
Maintenant plus tôt que de te voir mourir à petit feu
Je préfère garder une image de toi des plus nobles
Et donc je pense ne plus sortir de mon poste de commandement pour éviter cela


Félinia
Qu'essayes tu de me dire je suis toujours la même

Von
Et continuer à repenser et expier ce que je peux pour ce que je n'ai pu faire
Sur ce quand tu auras envie d'avoir un dialogue sensé tu sais où me trouver


Félinia
Soit
entendu.......
Mon.......
Sénéchal


Elle le regarda s'en aller avec une infinie tristesse.

Dialogue en accord avec le ljd Vonlichtenchein

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Bashir
L'ottoman se leva. l'inconnu s'était présenté. L'inconnu était resté debout. L'inconnu semblait savoir se tenir. La main droite retomba lentement, pour reprendre place, bien en évidence, au vu de tous. Puis l'autre se leva, et fit signe à l'inconnu de s'avancer et de prendre place sur le tapis réservé aux invités.

Hoş geldiniz...

La voix de l'ottoman était grave, et lente... Mais elle avait pris une teinte moins dure pour souhaiter la bienvenue à l'homme noir.

et puisque tu invoques le respect, décidons de parler dans la langue de Félinia Bayan. Je n'ai rien à cacher à cette femme.

L'ottoman finit par s'incliner, faisant preuve d'hospitalité, et attendit que l'inconnu prenne place avant d'en faire de même. Le thé, toujours à chauffer non loin, était prêt, et il le servit lentement. Le bruit limpide était le seul son que l'on entendit avant que l'ottoman reprenne sa voix, et qu'il tende le thé aux deux autres.

Je suis Al Bashir Fathi Han, et je suis mon maitre ! tant que tu demeureras ici, tu seras traité en hôte.
Ainsi tu viens aider à la noce... Ici, les musiques sont douloureuses à mon oreille ! Tu es donc doublement bienvenu !

Le visage était toujours aussi impassible. L'ottoman but le thé brûlant, comme s'il était froid.
Felinia
Félinia se leva, sécha ses yeux rougis et leva le pan de la tente privée.

Je suis navrée !
Pardonnez moi !


Le plus discrètement possible elle s'installa en tailleur auprès de son homme et prit le thé.
Elle ne le but pas de suite tant il était chaud.
Son regard fit le tour de la tente.
Elle resta silencieuse, repensant au dialogue échangé quelques minutes plus tôt.

Les hommes devaient parler et donc, elle, étant femme..... se taire.

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--Boubakeir
L'hôte ayant, comme il se doit, souuhaité la bienvenue, Boubakeir accepta l’invitation. Il prit place sur les coussins et but une gorgée de thé. Puis, il s’installa, en appui sur un bras et l’autre reposant nonchalamment sur son genou replié.

« La troupe est venue à la demande du Seigneur Ramzam que je dois visiter dès que possible pour lui transmettre les salutations de mon maître. »

L’égyptien but une autre gorgée et jeta un œil discret mais perçant sur Felinia Bayan qui se tenait debout derrière son hôte et qui sortit subitement. Boubakeir eut un sourire.

« O güzel…Şanslıysanız… je suis étonné de voir un de nos frères épouser une …kâfir… Elle nous a demandé de faire venir un prêtre orthodoxe. Je dois avouer que notre dieu, en Anatolie, est le seul et unique. Allah Akbar ! »

A ces mots, l’egyptien se toucha le front et le cœur de l’index.

« Mais un vieux prêtre nous accompagne. Il s’appelle Kazim. Je pense qu’il pourra vous satisfaire si c’est vraiment dans cette religion que tu veux être béni…"

Boubakeir jeta un œil interrogateur mais sans insister à son hôte. Puis il reprit :

« Irem, la vieille femme, pourra aider ta femme à se preparer ; Ceren la danseuse, lui montrera comment se comporter devant son maître . Mansur et Ghazwan, sont musiciens. Ghazwan Vient de Damas. Tous les autres sont de Tavşanlı."

Felinia Bayan revînt se joindre à eux. Boubakeir vida sa tasse se leva, ouvrit la tente et tapa dans ses mains. Il appela d'une voix autoritaire:

« الذهاب! الذهاب! …Irem…وتأتي لتحية سيدة نبيلة. يجب وضع آخرون خياما. على عجل! »

Puis il se retourna :

« Irem va commencer immédiatement si votre Dame y consent, à lui enseigner les préparatifs. »


C'est à ce moment là que le jeune Ghazwan arriva en courant; il s'était éloigné et, demandant si le Seigneur Ramzam habitait loin , il recut une réponse qui l'effrayait grandement.

ساحر,ساحر

murmurait le jeune homme, la peur au ventre. Boubakeir lui donna un coup avec la petite badine de cuir noir qu'il portait à la ceinture et lui donna l'ordre de se taire. Puis retrouvant le sourire, il salua son hôte.

"Me permettez vous de prendre congé.. j'en suis navré... Il me faut voir le seigneur Ramzam le plus vite possible. Dieu vous garde. Nous aurons l'occasion de partager d'autres moments parfumés ensemble..."

Traduction de l'arabe: Allez, allez, venez vous préenter et ensuite vous monterez les tentes. Vite!
Puis: Un sorcier...sorcier...
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