Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

Préparation du mariage de Félinia et Bashir l'Ottoman

--Mansur
Mansur et Kazim terminaient d'installer les tentes quand ils entendirent le bruit de sabots au petit trop. Une équipée armée venait à eux. Leur chef leur adressa la parole mais comme ni Mansur ni Kazim ne parlaient la langue des francs, ils furent soulagés de voir arriver Felinia bayan. La conversation entre elle et le chef des gens d'armes sembla houleuse, comme le sont celles entre deux amoureux en lutte. Mansur regrettait que Boubakeir et le syrien ne soient pas là. Il fit signe à Kazim de reculer un peu , prêts à s'enfuir. Felinia bayan finit par s'éloigner, les larmes aux yeux. Les hommes d'armes, Mansur et kazim la regardèrent s'éloigner. Les deux ottomans ne comprenaient rien et se demandaient ce qu'il adviendrait d'eux. ils tournèrent leur regard implorant vers le chef. Mansur osa quelques mots en turc:

"Biz burada huzur içinde bulunmaktadır" (nous sommes ici en paix)
Amael102
Amael chevaucha jusqu'en Toulouse la Belle, il avait reçu un faire part l'invitant à venir assister aux noces prochaines de Félinia avec Bashir, l'Ottoman qu'il n'avait pas encore eu l'occasion de rencontrer.
Aussi il décida de passer les voir en visite de courtoisie, pour s'enquérir de l'avancement des préparatifs, et de l'humeur régnant au sein du couple.

Après une journée de cavalcade modérée, s'arrêtant de temps à autres pour faire boire son cheval et profiter de l'instant pour humer les odeurs vaporeuses de l'hiver, admirer les vastes plaines et les forêts, le scintillement du soleil sur la neige floconneuse et les fils dorés dansant le long des cours d'eau, il arriva serein en la capitale.

A hauteur des portes de la ville il mit pied à terre et conduisit son cheval par les renes le long des rues pavées, jusqu'à la place où Féli passait le plus clair de son temps en dehors de la caserne, là où était installée la tente ottomane, L' Isanguil.
Au détour d'une ruelle il entendit des éclats de voix bien connues, dans lesquelles il perçut les échos de sanglots...

Encore une dispute entre ces deux anciens amants, ça les mènerait à leur perte un jour de disgrâce, à coup sûr. Il en fut extrêmement peiné, et décida de rester dans l'ombre du bâtiment qui s'étalait aux dernières lueurs du jour.

Von venait d'intervenir de manière très seche avec la sergente, et avec un groupe d'étrangers qui venait, semblait, il d'arriver en ville. Pourtant les alertes venaient d'être levées dans tout le comté lui semblait il, aussi le sénéchal aurait pu se montrer un peu plus courtois...
Fichtre une telle ambiance entre les deux écorchés peinait grandement Amael.

Il attendit encore un peu et vit Félinia pénétrer vivement dans la tente sans prendre congé et en sortir tout aussi vivement, un vêtement en mains, et se diriger dans sa direction, le visage décomposé.
Intrigué, il décida de découvrir de quoi il retournait, et s'enfonça un peu plus loin dans la rue, puis passa une ruelle et attendit de voir passer Félinia pour la suivre.
Ce qui ne vint pas à manquer. Il put alors voir un peu mieux son visage déterminé et empli d'une infinie tristesse. Il lui laissa prendre quelques pas d'avance, avant de commencer à la suivre en soldat entrainé, se mêlant aux passants, se confondant dans l'ombre parfois...

Ella passait la ville, toujours aussi déterminée. Il la suivit ainsi, prenant toujours plus de distance, jusqu'au bois. Le Soleil avait laissé place à la Lune et toute la pleine se recouvrait d'un long manteau mordant de gel.

Arrivé au bois, il dut se fier aux traces que la femme soldate avait laissé dans la neige, pour retrouver sa trace.
Arrivé à l'orée d'une clairière, il l'observa. Son charmant visage que dévoilait le clair de lune était fermé et concentré à ce qu'il faisait. Sa respiration semblait calme. Chacun de ses gestes était millimétré et implaccable. Elle se fondait parfaitement dans le décor. Glaciale. Immuable. Une véritable guerrière.

Il l'observa ainsi se déshabiller dans le froid, sans sciller, dévoilant ses formes harmonieuses et généreuses. Sa longue chevelure blonde venant caresser le creux de son dos musclé.
Elle enfila avec un calme mesuré l'habit qu'elle portait auparavant, et qui avait pris la neige. Il la vit frissoner à cet instant.
Elle s'allongea alors au sol, observant un instant les ombres des cîmes qui dansaient sous la brise. Et clôt ses paupières.

A cet instant il rompit le charme qui l'avait envoûté, et avança d'un pas résolu vers le centre de la clairière. Arrivé à quelques pas de la femme dont les lèvres étaient déjà aussi bleues que la nuit, il commença à lui parler d'une voix douce.


Bonjorn mon sergent. La nuit est fraiche malgré tout non?
Allez Félinia. Que fais tu là... Resaisis toi, soldat. Resaisis toi, femme.
Tu vas attraper un vilain rhume à rester ainsi allongée dans la neige, à coup sûr!


Il lui sourit, regardant s'ouvrir ses paupières, et vint s'agenouiller à son côté, posant une main ouverte sur son bras.
_________________
Felinia
Elle ouvrit les yeux péniblement et les lèvres gercées elle put bafouiller

J'ai froid !
Que fais..... tu là !
Laisses moi mourir !


Elle referma ses yeux, incapable de bouger.
Le froid avait commencé à geler les extrémités, les doigts, les pieds, le visage.
Même si elle le voulait, elle était dans l'impossibilité de faire le moindre mouvement.


*C'est bien ma veine d'avoir été suivi, mais que fait il là ? Pourquoi m'a t il suivi ? Ne peut on pas laisser Aristote ou la Créature Sans Nom faire son oeuvre ?*
_________________
http://creavatar.forumactif.com/forum.htm
Vonlichtenchein
Von vit Félinia retourner sous la tente, puis en ressortir sans un regard, partir au loin puis se mettre à courir, comme à son habitude il ne pouvait la laisser au vut du temps qu'il faisait, il craignait qui lui arrive malheur déjà qu'elle était envouté, il ne fallait pas la laissé sans surveillance.
Comme personne ne semblait vouloir bouger ou lui répondre, il regarda Kaede.


Kaede tu l'as vue partir, je te la confie, suit là si il lui arrive quelque chose...

Kaede leva la main pour le stopper.

Je sais, c'est comme si j'avais faillit à mon devoir envers vous et je ne devrais plus croiser votre route.
Mais mon devoir c'est votre protection pas la sienne !


Von lui fit un regard des plus noir, identique à celui des ténèbres.

Tu as juré de me service au péril de ta vie pour sauver la mienne, si il lui arrive quelques chose c'est pareil sauve là tu me sauve c'est clair !
Ne perds pas plus de temps et obéis !


Et vous Maître Von ?
Avec tous ses hommes vous allez faire quoi ?


Il sourit, puis reprit.

Moi mon devoir,
Si il sont comme Bashir, j'aurais put te les laisser tous sans bouger.
Aller va et ne faillit pas !

_________________
L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combat.
Force et Honneur !!
Le Combat, les Armes, Mon Domaine !!
Puissance et Tenacité !!
N'Abandonne Jamais !!
--Kaede


Malgré le faite qu'elle ne voulait pas le faire, elle ne pouvait aller à l'encontre de son maître, si pour lui Félinia était plus importante que sa vie à lui, elle ferait le nécessaire.

Elle ne pouvait plus la distinguées se fiant à son sens du pistage pour reconnaitre ses traces.

Un moment elle vue un autre homme, se dirigeant dans la même direction plus en avant d'elle, elle décida de rester en retrait et ve surveiller ce qu'il se passer.

L'homme finit par arriver à rattraper Félinia qui c'était arrêtée et changée.
Lorsqu'elle entendu l'homme parlait elle se dit qu'il ne pouvait pas lui faire de mal mais qu'elle allait resté à porter en cas de besoin.
Kassy..
N'ayant plus de nouvelles de sa sœur depuis un moment et ayant vu les aller et venus des étrangers. Elle savait que Bashir voulait s'occuper de toutes l'organisation mais étant la sœur de la mariée, elle voulait aider. Elle profiterait donc de prendre des nouvelles de sa sœur et de proposer son aide.

Elle arriva près de la tente et aperçu le Sénechal entouré d'homme. Elle n'y preta pas attention et entra dans la tente. Elle vit l'ottoman en compagnie de femmes.


Bonjour l'ottoman. je viens voir ma sœur, où est-elle ?

Elle balaya la tente du regard mais ne trouva pas Felinia.
Amael102
Pendant ce temps, dans la forêt des Rêves Bleus...
Winnie! tu as encore mangé le pot de miel des n'abeilles! Dit Porcinet en voyant le visage tout gluant et couvert de boutons de Winnie... Ah non, ah non, c'est pas ça!

Mais plutôt... Pendant ce temps, dans l'humidité glaciale de la forêt Toulousaine...



Felinia a écrit:
Elle ouvrit les yeux péniblement et les lèvres gercées elle put bafouiller

J'ai froid !
Que fais..... tu là !
Laisses moi mourir !


Elle referma ses yeux, incapable de bouger.
Le froid avait commencé à geler les extrémités, les doigts, les pieds, le visage.



Au contact de son bras, Amael sentit une rigidité caractéristique. Nom de dieu combien de temps lui avait il fallu pour réagir!Hé! Féli! Féli fais pas ça! Rouvre les yeux! Ne sombre pas! Regarde moi! Sergent! Il faut se lever maintenant! L'ennemi est à portée de nos lames! Ooooh!

Il se remémora rapidement les gestes appris en formation à la caserne. Réchauffer un corps glacé! Friction!

Tiens! Bois ça! Il avait sorti sa flasque de gnôle entammée, qu'il avait achetée au vicaire de Castel, et lui en fit boire une razade de force.

Puis il lui souleva la tête et la mit au creux de son aisselle, soutenant le haut de son dos sur son genoux plié. Et entreprit de lui frictionner tout le haut du corps. Au bout d'un court laps de temps il s'arrêta, retira son lourd mantel qu'il jeta dans la neige, et fit reposer le corps de Féli sur ce mantel, au moins il serait au sec. Puis il frictionna énergiquement les jambes et tout le bas du corps. Peu à peu elle reprenait des couleurs.
Frictionner! Ne pas s'arrêter! Frictionner! Devant son corps toujours inanimé, il lui vint une idée. Chauffer l'air de ses poumons. Il se pencha sur son visage, omnibulé par son unique mission du moment, la réanimer. Son souffle était un filet glacial, presque inexistant.
il lui ouvrit la bouche en lui pinçant le nez, et lui insuffla doucement une quantité d'air chaud, plusieurs fois.
Elle fut prise d'une quinte de toux. Il vit son visage se durcir sous l'effort, reprendre vie. La sergente se ranimer. Il s'enquit alors de la redresser et de l'enrouler consciencieusement dans le mantel, puis de l'enserrer dans ses puissants bras en continuant de frotter doucement.


Félinia! Tu m'as fait peur! Qu'est ce qui t'a pris de venir te perdre dans le bois à cette heure? Et si peu couverte?
Ooooh je t'ai vu en Toulouse te prendre de bec avec Von! Tu dois être prise entre tant de feux! Tu l'aimes encore? Il te faut faire un choix maintenant! Définitif! Et pas un choix de mourir ou de vivre. Un choix de vie réellement! Tu ne peux continuer à espérer de Von, et dans le même temps attendre de Bashir qu'il te donne tout le respect que tu attends! Et arrête d'écouter les invectives des uns et des autres. C'est toi, et tes choix qui comptent. Ne te laisse pas abuser par le fantôme d'un amour éteint depuis longtemps qui refait surface de temps à autres pour te hanter et t'empêcher de vivre pleinement!
Allez! Suffit Sergent! Je t'ai vue à pied d'oeuvre!
C'est bien toi en Toulouse qui t'impliques autant dans la vie de ta caserne!
C'est bien toi la femme décideuse, battante, qui se met en quatre pour soigner tes hommes et les mener au combat!
Allons, je ne veux pas croire que tu décides d'en finir pour des querelles affectives. Wouhou! Réveille toi Félinia! Cesse de te faire manipuler telle un pantin par les fantômes du passé! Sois présente! Ne laisse personne te marcher sur les pieds! Tu es une combattante! Alors bats toi!


Il ne sentait plus la rigueur du froid tellement il s'était enflammé, et il prit la fiole des mains de Féli pour en tirer une longue razade qui aiderait à entretenir cette montée de chaleur passagère.
Il n'avait plus le droit de rester immobile, et commença à la secouer un peu elle aussi, en prenant appui d'un pied sur l'autre, pour rester en mouvement.

_________________
Felinia
Félinia se laissait aller.
Le froid faisait son oeuvre, la température était très baisse et elle si légèrement vêtue qu'elle sombra peu à peu dans l'inconscience.
Seulement voilà Amael, son frère d'arme et néanmoins ami, en avait décidé autrement.
Elle se sentit manipuler, et se laissa faire, en avait elle le choix....

Elle l'entendit, lui aussi l'invectivait, décidément qu'avaient ils tous ?

Au début impossible de lui répondre les lèvres collées l'une à l'autre par le froid.

Au fur et à mesure qu'il la réchauffait, elle réussit à les séparer légèrement pour pouvoir lui répondre.


Aaa......maellllll.....tuuuuu.....vas...ge..lerrrrrr......aussiiiiiiii...... reeeeee......mets....ton....man....telllllllll !
Ai....des.....moi à me rhaaaaaaaaa.....billl.....ler !
Raaaaaaaa.....mè....nes moi à la tennn...te, s'il.... teeeeee....... plait !


Elle ne pouvait laisser son ami, mourir de froid à sa place, du coup elle se redressa comme elle put et utilisant ses dernières forces, glissa un pied devant l'autre.

Onnn....est......... loinnnnnn....... de..... la ...tennnnnn.....te, j'y........ ar.........riiiiiiii........verais....... pas, pennnnnn......ses.... à..... toiiii, vas !
_________________
http://creavatar.forumactif.com/forum.htm
--Kaede


Kaede voyant et essayant d'entendre ce qui se passait, ne pouvait plus rester spectatrice, elle devait à tout prix la ramener en vie, elle ne lui fallait pas faillir avait-il dit, la situation ne présagée rien de bon pour cette condition.

Elle décida donc d'avancer et de se rapprocher, lorsqu'elle fut à porter de vue, elle leva les main est continua d'avancer, ainsi la preuve de ses intentions était clair.

Quand elle fut à coté des personnes, elle inclina la tête sur le côté et fit un sourit.


Messire Amaël c'est bien cela si mes oreilles ont bien entendues.
Vous avez fait ce qu'il fallait pour la ramener à elle mais cela n'est pas finit, ici le risque est encore présent pour la stabiliser il faudrait que nous la menions dans un endroit plus chaud, je vais vous aider si vous me le permettez, mais le temps presse et nous devons agir vite.
Amael102
Toujours en action, toujours n mouvement... Bouger. La frictionner.

Garde ton souffle pour te réchauffer Félinia. Allez viens, appuie toi tu mon épaule. Je ne suis pas dans ton état. Je peux encore tenir et maintenir mon rythme cardiaque.

Il la saisit par les hanches et l'entraina sans équivoque. Lorsqu'il distingua une ombre bouger à l'orée de la clairière. Il coupa net son élan et saisit le pommeau de son épée, prêt à en découdre farouchement, à la vie, à la mort! Aussi il allongea sèchement:

Qui va là!!! Je te préviens je ne suis pas d'humeur à palabrer! Aussi qui voudra nous ralentir se verra passé au fil de mon épée! Reste à l'écart qui que tu sois!

Il fut surpris de voir l'ombre avancer vers eux malgré sa mise en garde, mains en évidences...

Citation:
Messire Amaël c'est bien cela si mes oreilles ont bien entendues.
Vous avez fait ce qu'il fallait pour la ramener à elle mais cela n'est pas finit, ici le risque est encore présent pour la stabiliser il faudrait que nous la menions dans un endroit plus chaud, je vais vous aider si vous me le permettez, mais le temps presse et nous devons agir vite.


Hé bien! Qui êtes vous vous? Oh et puis peu importe! Aidez moi à la soutenir! Nous allons monter tous trois sur mon cheval. Vous passez devant. Installons la entre nous pour la préserver de la mort sûre. Allez! On se dépêche!

Arrivés près de la monture, ils installèrent Félinia sur le pauvre cheval, puis il aida la femme qui venait leur prêter main forte à passer sur l'encolure, avant de sauter lui même à la culotte de la bête.
Là il confia la gnôle à sa petite soeur d'armes.


Tiens, bois ma belle. Et vous! Conduisez nous à l'Isanguil sur le champs! Yah!
_________________
Felinia
Félinia distinguait à peine, les formes, les yeux mi clos.
La voix elle l'a reconnu c'était la femme qui accompagnait Von partout.
Elle ne répondit rien mais put se rendre compte à quel point Amael était précieux en cet instant tragique.
Il l'entourait de force, de douceur et de chaleur.
Tout ce dont elle avait besoin pour rester en vie.
Elle n'était qu'une poupée de chiffon quand il le fit monter sur le cheval.
Difficile de tenir quoi que ce soit dans ses mains qui la faisait tant souffrir.
Elle se laissa guider vers la tente.
La peur traversa son esprit, et si Bashir et Von s'étaient déjà entre tués, et si le mariage est annulé comment va réagir Bashir....
Que va t il se passer ????

_________________
http://creavatar.forumactif.com/forum.htm
--Mansur
Mansur était inquiet. Boubakeir et Ghazwan n'étaient pas encore rentrés et il se passait d'étranges choses en ces lieux. Felinia bayan étaient partie et n'était pas revenue. Une femme en arme fut détachée pour la retrouver. Mansur se précipita alors dans la tente; Irem et Celen y buvaient un thé , accroupies dans un coin. Mansur s'agenouilla devant le bashir bay et parla vite en ottoman...

"Bay! Un malheur est peut-être arrivé à votre future épouse..."

Il pointa son doigts vers l'exterieur.

"Elle a disparue. Le malheur rôde ..."


edit pour coherence rp...sorry
Kassy..
Kassy qui atendait toujours que l'ottoman deigne quand elle entendit la nouvelle :
Citation:
Bay! Un homme enlève votre future épouse

Elle ne comprenait rien à la langue usitée par l'homme mais elle n'en eu pas besoin quand elle remarqua les traits de son visage.
Elle jeta un regard noir vers Bahir :

Si il arrive malheur a ma soeur je vous tiens pour responsable...comment peut-elle vous aimer alors que vous n'etes point capable de prendre soin d'elle...

Elle passa l'entrée de la tente et se dirigea vers le Sénechal resté dehors en compagnie des hommes :
Messire Von, savez vous où est ma soeur ? Son idiot de fiancé ne daigne répondre et je m'inquiete...
Elle regardait le sénéchal inquiète.
Vonlichtenchein
Von regarda Kaede s'éloigner, puis se tourna de nouveaux vers les étrangers qui lui parlèrent dans une langue qu'il ne comprenait pas, poussa un soupir et se disant que ce n'était pas prêt de finir cette histoire.

Ah un moment, du coin de l'oeil, il vit Kassy la soeur de Félinia, se diriger vers la tente et rentrer, l'inquiétude apparut sur son visage.


Prends garde à toi Kassy, ne t'inquiète pas je ne suis pas loin. Cette pensée lui traversa l'esprit.

Il n'eut pas le temps de finir qu'un des hommes courut affolé en direction de la tente, puis y entrer.

Quelques instant plus tard, Kassy s'approcha de lui.

Kassy... a écrit:
Messire Von, savez vous où est ma soeur ? Son idiot de fiancé ne daigne répondre et je m'inquiete...

Il la regarda et sourit.

Elle est partit en courant dans cette direction.

Lui indiquant le chemin qu'elle avait pris

Kaede, mon garde personnel est partit sur ses traces, ne vous inquiétez pas, elle ne risque rien, Kaede fera le nécessaire, je lui confie ma vie tous les jours.
_________________
L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combat.
Force et Honneur !!
Le Combat, les Armes, Mon Domaine !!
Puissance et Tenacité !!
N'Abandonne Jamais !!
Kassy..
La jeunette trépignait sur place tant son anxiété augmentait. Ni le froid ni les étrangers derrière elle ne troublèrent son inquiétude pour sa sœur. Elle la connaissait que très peu mais elle ressentait un danger. Il y a certains liens qui ne s'expliquent pas et celui qui reliait les deux soeur était infaillible.

Elle écouta à peine Von, regardant autour d'elle, cherchant la blonde des yeux. Seules les feuilles volant dans le vent s'agitaient sous ses yeux. Elle se tourna enfin vers le Sénéchal et essaya de comprendre ce que le blond lui disait. Il lui indiquait une direction. Elle tourna aussitôt la tête dans la direction que pointait son interlocuteur.

Elle le remercia vaguement et hâta le pas dans les rues de Toulouse. La jeunette cherchait sa sœur, le froid l'engourdissait mais elle n'y prêtait attention. Elle ne pensais qu'à elle. Les rues défilaient devant ses yeux et sous ses pas sans aucune trace de Feli. Les larmes voulaient sortir mais le froid les en empêchaient.

Elle traversa la ville et s'arrêta à l'orée du bois. Sa sœur n'avait quand même pas été se perdre là dedans
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)