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Préparation du mariage de Félinia et Bashir l'Ottoman

--Mansur
Kazim envoya un message par pigeon jusqu'à Tavsanli. Il esperait que l'animal puisse parcourir une telle distance sans heurt. Puis il commença à démonter les tentes avec mansur qui vînt lui prêter main forte. Les deux hommes étaient désemparés. Boubakeir et Ghazwan avaient disparu. Personne ne se préoccupait d'eux. Le mariage annoncé n'avait pas lieu, ou était reporté...Ils n'en savaient rien. Ils plièrent bagage la peur au ventre et appelèrent Irem et Ceren. Rapidement, les ottomans étaient prêts à prendre la route. Rien ne les retenait plus dans ce pays de fous. Ils espèraient seulement qu'on les laisse partir sans encombre.
Bashir
décidément cette tente avait le don d'attirer les pires enflures du comté. Et ces pauvres musiciens avaient bien du mérite. Mais entre un militaire qui agissait sous contrôle de ses gonades, accompagné d'un nouveau jouet qui lui obéissait sans réflexion, une femelle qui pensait avoir l'envergure d'une femme forte mais qui n'avait que comme talent que ses larmes, et un homme de main, qui ne savait pas pourquoi il était venu, l'ottoman ne put que voir la blonde fuir tout ce monde qui coassait en cœur.

Un fois assuré que les musiciennes avaient eu un peu de chaleur, l'homme cuivré se leva et ne put que deviner la fuite de la pauvre infirmière, tourmentée par ceux-là même qui disaient savoir. Ces chiens paieraient pour les tentatives indignes. Il avisa le blond âne, sans mot dire... Il ne comprenait même pas sa langue, de toute façon. Il passa devant l'autre idiote, sans même la voir, tant telle n'avait aucune matière puis, une fois devant le serviteur envoyé par l'arabe, il lui envoya ces mots, sans douceur.

Le malheur, Effendi c'est que tous se croient investi du pouvoir d'infléchir une décision dont ils n'ont même pas idée !

Il cracha par terre, et voyant qu'il donnait déjà ordre de démonter ce qui avait été dressé, plus loin, il poursuivit.

L'accueil des toulousains est réel, Effendi. On te menace ? Fort bien... Alors soit tu obéis comme un chien de serviteur à ceux qui n'ont aucun droit sur toi, soit tu nous retrouve, plus loin... Mon second est sensé être en place, à l'heure qu'il est. Maintenant, va... Libre à toi de décider !

Et l'ottoman de se mettre à courir en direction de celle qui avait le mérite d'être sans masque. Celle qui restait digne, malgré les bassesses de tous. Celle qui serait enfin sa femme !
--Mansur
Bashir a écrit:
L'accueil des toulousains est réel, Effendi. On te menace ? Fort bien... Alors soit tu obéis comme un chien de serviteur à ceux qui n'ont aucun droit sur toi, soit tu nous retrouve, plus loin... Mon second est sensé être en place, à l'heure qu'il est. Maintenant, va... Libre à toi de décider !


Mansur et Kazim écoutèrent Bashir bay les yeux baissés. Leur attitude ne laissait rien transparaître du fond de leur pensée. Il n'osèrent bouger et lever la tête que lorsqu'ils furent assurés du départ de l'homme. Le voyant courir vers d'autres affaires, Mansur appela les femmes qui rappliquèrent en vitesse. Ils chargèrent ce qu'il restait sur l'un des chariots et reprirent aussitôt la route vers leur terre natale.

"Que fait-on pour Ghazwan et Boubakeir Bay?

On ne fait rien... On quitte ce pays de fous. Voila ce qui arrive lorsqu'on ne prie pas le bon dieu..."


Derrière, les femmes approuvèrent les paroles de Mansur, trop heureuses de partir avant qu'il ne soit trop tard.
--Cigogne


Après un long voyage la cigogne a pris le temps de se changer dans sa roulotte .Elle a mis ses habits de fête car son amie Feli l'a invitée pour son union

Le camp semble être bien agité

Laisses moi passer je dois voir Feli



Arrivée vers son amie et après l'avoir longuement embrassée

Je sais que des rustres veulent empècher cette union mais ne l'es écoutez pas , l'amour est plus fort que tout il fait tomber les barrières mises par ceux qui savent pas qui savent rien

Vivre
Pour celui qu'on aime
Aimer
Plus que l'amour même
Donner
Sans rien attendre en retour

Libre
De choisir sa vie
Sans un anathème
Sans un interdit


Libre
Sans dieu ni patrie
Avec pour seul baptême
Celui de l'eau de pluie




La cigogne regarde son amie avec inquiètude
Everym.
Pfff dans ces cas là on met la source..

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Amael102
Ljd Cigogne, vous ne voyez pas Félinia et elle ne peut pas vous répondre car elle est actuellement mourante dans la forêt, vous pourrez vous en rendre vite compte en lisant les deux ou trois dernières pages du post...
Peut être ce post est il prématuré?
Ce message s'autodétruira...

Impossible de contacter ljd Cigogne par MP, j'ai donc envoyé un message à la Censure.

En attendant que la grande faucheuse fasse son oeuvre, je propose que nous continuyions (oula difficile sur ce coup pour l'orthographie pas sûr de moi) sans prêter plus attention à ce post qui induit une grosse incohérence RP.

Bon jeu à tous!

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Amael102
Yaaah! Yah! Plus vite Kaede!

Amael flattait des talons les côtes du cheval qui galopait déjà dans la neige.
Des deux mains il appuyait sur la tête de Félinia pour la protéger au mieux de la morsure du vent glacial, se collant à elle.

Le froid commençait à l'engourdir lui aussi, il n'était plus tout à fait maître du fil de ses pensées, monopolisées par l'urgence de la situation et l'adaptation au froid qui le pénétrait jusqu'à sang.

Ils avaient dépassé la forêt et descendu la colline au grand galop, et traversaient à présent la grande plaine beignée du bleu profond de la nuit.

La Lune était grande, et de temps en temps un nuage venait la couvrir partiellement, donnant au paysage des ombres étalées aux accents morbides.
Le temps pressait. Kaede aussi semblait roide et frigorifiée, menant le trio.
Résisterait elle? Peut être aurait il du lui accorder plus de confiance, et passer lui devant.
Mais la survie de sa petite soeur d'armes comptait pour lui bien plus que tout en cet instant. Il avait fallu faire un choix, et il ne pouvait se permettre de faire confiance à une inconnue lorsqu'il s'agissait de la survie.
Qui était elle?... Son visage lui rappellait vaguement quelqu'un... Une personne qu'il avait du voir... Discrète... En retrait...
Quoiqu'il en soit elle était en train de s'épuiser, mettant sa vie en danger pour les mener au but ultime... La chaleur de la ville...


Kaede! Reste mobile! Remue ton corps!
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