[RP] Voyageurs soit le bienvenu, presentez vous !

Duflan

Aprés avoir discuté avec plusieurs voyageurs, il avait appris qu'on recevait toujours aussi mal les étrangers dans le comté de Toulouse.

La méfiance comme d'habitude, un étranger était forcement un potentiel voleur, alors on lui envoyé un courrier pour lui dire qu'on l'avait à l'œil et on lui rappelé toute les lois, alors que lui ne devait rêvé que d'un peu de soupe chaude et de réconfort.

Duflan avait aménagé une vieille cabane à l'entrée du village, fait cuire un peu d'eau, du vin et des oignons, il avait récupéré un peu de vieux pain chez les boulangers pour faire tremper dedans.

En attendant les éventuels voyageurs, il s'assit pour rêver, il se demandait comment les pigeons pouvaient reconnaitre un voyageur, c'est que c'était drôlement intelligent ces petites bêtes là....

VOYAGEUR BIENVENU ! PRÉSENTEZ VOUS !

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Ghaldor

Alors qu'il s'apprêtait à quitter la ville, une vieille cabane déglinguée attira son attention.
Il était de passage ici, les rencontres qu'il avait fait ne l'incitait pas à prolonger son séjour mais sa curiosité naturelle lui fit néanmoins pousser la porte de ce qui semblait être un lieu pour les voyageurs.

Il passa sa tête méfiante dans l'entrée pour voir s'il y avait de l'agitation.

Ohhhhhhhhhhhhhhé , y'a âmes qui vivent en ce lieu ?

Duflan

Il commençait à s'endormir à regarder sa soupe dans la grosse bassine sur le feu, quand il fut interpellé par un gas qui ne connaissait pas.
Duflan tout heureux se releva pour l'accueillir

Ben le jour et bien venu au pAys du vent !.
Entre étranger et viens manger une bonne soupe pis boire un coup , pis je va dire je va t'accompagner....toute les occasions étaient bonne pour manger et boire

Oh, pis je m'appelle Duflan, si t'a besoin de quoi que se soit suffit de demander, je te dirais à qui demander Ben oui, il voulait bien être aimable mais il y des limites quand même
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Ghaldor

Au loin un cri, la cabane était habité.....un ours du pays sans doute vu les grognements.

Ben le jour et bien venu au pAys du vent !.
Entre étranger et viens manger une bonne soupe pis boire un coup , pis je va dire je va t'accompagner

Il s'éclaircit la voix tout en rentrant à l'invitation, fallait montrer bonne figure ....il semblait susceptible dans le coin!

Bien le bonjour enfin Ben bonjour .......

Il insista sur les r roulés question de donner l'accent mais sa mine pâle et ses cheveux aux allures d'épis de maïs ne laissait que peu de doute à ses origines.

Ghaldor je me nomme Messire enfin c'est ce que ma mère m'a dit en tout cas, je tâche de ne pas l'oublier!
ça souffle sec dehors ......un petit remontant je suis pas contre, la soupe euh...juste un remontant!

Il jeta un regard sur la marmite qui bouillonnait ......il espérait qu'il n'allait pas lui proposer après des ailes de chauve-souris!
Il lui fit un grand sourire pour l'accueil chaleureux.

Duflan

Il tendit l'oreille pour bien comprendre ce que disait l'homme, il avait un drôle d'accent surtout au niveau des "r" ou alors il avait mangé un truc qui lui collé au fond du palais.
Duflan avait entendu dire que dans certaines contrées il mangé n'importe quoi, voilà pourquoi il ne voulait pas sa soupe.

Ah ben enchanté sir Ghaldor, tenez asseyez vous là, pis té prenez d'on un bon coup à boire, pis vous inquiétez pas je vais manger pour vous, c'est que j'ai faim moy à attendre comme ça !

Duflan servit un verre de vin à l'homme et s'en servir un lui même, puis il attrapa un grand bol de soupe et trempa dedans de gros morceaux de pain.
Il leva ensuite son verre en direction de l'homme

Allez santé ! c'est du bon pouvez me croire ! je l'ai fauché au banastié ! euh..enfin empruntez je veux dire..oauis...voilà

Duflan bu son verre d'un trait et avala ensuite une bonne quantité de pain trempé de soupe en produisant divers son avec sa bouche

Ah sur! que c'est point la boustifaille de l'orchidée noire, mais au fait du bien quand même !
Dites, vous restez quelque temps ou vous repartez de suite ?, oh pis ça me regarde point je dois dire , je demandais ça comme ça, histoire de causer comme on dit ...
Serait meilleur avec un bon morceaux de jambon té !
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Ghaldor

Il tira la chaise en se déposant, c'est que la route ça fatiguait!

Pour une fois que des manants de passage intéressaient un temps soit peu quelques âmes dans ce duché sans se faire insulter ou conspuer ....fallait en profiter!

La vinasse avait le teint clair qui démarquait sur le visage de cet homme
bienveillant dont il ne comprenait pas tout ce qu'il disait.
Et la mie de pain en bouche n'aidait pas à la compréhension.
Il le laissa avaler avant de l'écouter......

Ah sur! que c'est point la boustifaille de l'orchidée noire, mais au fait du bien quand même !
Dites, vous restez quelque temps ou vous repartez de suite ?, oh pis ça me regarde point je dois dire , je demandais ça comme ça, histoire de causer comme on dit ...

A la votre M'ssire, votre accueil me réchauffe le coeur .....c'est que je ne suis point habitué à un tel accueil en général c'est plutôt des cailloux qu'on tente de m'adresser!

Il but d'une traite en n'omettant de frotter sa bouche sur la manche de sa chasuble, question d'éducation!
La bouteille semblait bien remplie et le propriétaire de bonne composition

Je devrais reprendre la route ce soir pour tout vous dire .....ce petit rouge est fort gouleyant , je pense qu'il va m'aider à affronter les vents faciaux qui fouettent en cette saison!

Il poussa son godet en espérant un deuxième service..

Duflan

Il essuyait son bol de soupe à grand coup de pain, n'oubliant aucun recoin comme si sa vie en dépendait, il y a des choses qui son importante pour lui et avec lequel on rigole pas.
Il releva le tête quand le sieur lui parla des pierres qu'on lui jeté à la figure

Ah, ben je suis point surpris, mais arrivé de même, pis on m'a même poussé dehors des fois....mais faut avoir bonne cœur dans ses cas là et se dire que si les gens vous lancent des cailloux ben c'est certainement pour refaire leur route toute pourrie qu'ils ont...Duflan éclata de rire à sa propre bêtise...et puis il vit l'homme tendre son verre et ça lui fit chauffa le cœur, un gas qui tend son verre pour boire un coup et un gas qui veut partager et malgré son statut supérieur à Duflan , l'homme ne laissez rien transparaitre

Allez tenez, on va reboire un coup ! Pis vous savez faut pas juger trop vite une ville, mais arrivé d'avoir rancœur contre certaine parce que j'avais pas eu de chance et j'avais croisé les mauvaise personnes, toute ville à ses abrutis pis ça faut faire avec...
Et puis après on rencontre des gens avec qui ont à pus d'affinité et hop..enfin bref....té fais longtemps que j'ai pas repris la route moy
le vent en face vous dites....hum.....ouais en tout cas je vous souhaite bonne route....pis si vous repassez dans le coin, ben venez passez le bonjour , on boira un coup ou deux....
allez à la bonne vôtre !
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Ghaldor

Il souria aux paroles de son acolyte, il regretta presque de ne pas demeurer plus longtemps !

Il reprit son récipient dont le contenu avait été largement rempli par la générosité de cet homme qui tout en lui parlant rendait hommage au pain dominicale.
D'un geste brusque, il but d'une traite avant de prendre congé

ouais en tout cas je vous souhaite bonne route....pis si vous repassez dans le coin, ben venez passez le bonjour , on boira un coup ou deux....
allez à la bonne vôtre !

Comptez sur moi, la prochaine fois que je passe .....c'est moi qui régale sur la vinasse .....là je crois que je suis armé pour prendre la route , je pourrais même voyager le torse nu !
Bon je vais éviter autrement y'en certain qui vont se trouver du zèle pour boucher les trous de la route à mon passage!
Messire que votre gargote perdure longtemps....elle a fait mon bonheur, je suis sur que d'autres voyageurs y passeront un bon moment!

Il se leva , l'haleine chargée mais la poignée de main toujours alerte !
Il sortit en chantonnant ........

C'est dans la pipe qu'on met l'tabac
Oula, oula
C'est dans la pipe qu'on met l'tabac
Oula, oula la
Paré à virer
Les gars, faut déhaler
On s'reposera quand on arrivera
C'est dans la gueule qu'on met l'tafia
Oula, oula
C'est dans la gueule qu'on se met l'tafia ..........................

Duflan

Duflan regarda l'homme partir en chantant voilà qui vous donné du baume au cœur, comme quoi un peu de vin et un peu de temps à discuter et on se trouver toujours plein de point commun .
Il le regardait nostalgique du temps ou il prenait la route.

Duflan décida de faire un petit somme en attendant d'autres visiteurs
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--Duduche

Ah Duduche ! C'était toute une histoire, elle est seule mais plusieurs dans sa tête. C'est une donzelle paresseuse, capricieuse en pleine crise d'adolescence. Elle ne vit que pour sortir, s'acheter des houppelandes et partir faire la fête dans des caves humides avec ses potes les "Sales Tin'Banque" un groupe local de saltimbanque qui font des mystères assez vulgaires sur les "vieux". Sachant qu'un "vieux" pour l'jeunes, ce n'est pas Mamé Thoven, c'est plus genre Paquita. A ce rythme là, la Thoven se transforme en relique vivante, c'est elle qui a les clés de la crypte et qui ferme. Oh et ces jeunes en dehors de ça, bah ils écoutent des trucs de "djeunes". Avant les ménestrels faisaient des ritournelles enjouées, maintenant on parle de société. M'étonne pas après que les gens, ils ont des idées bizarres. Genre sous prétexte qu'on trouve un roux mignon, on va créer une guilde protectrice des roux. Si on peut même plus en faire griller un de temps en temps. Où va-t-on ?! Ah, l'odeur d'un roux sortant du feu...Mmmh.

Duduche poussa la porte de ce bouge.

Hum...Bonjòrn, l'pauvre ! M'parents m'ont laissé que 100 écus et j'ai tout dépensé en un quart d'heure, c'est trop la galère ! Elle rit. Ben oui, c'est l'idée de voir des types sur un bateau condamnés à ramer qu'elle trouvait amusant.

De toute façon, si vous avez besoin d'écus, vous avez qu'à travailler. Oooooh, c'est comme tous ces gens qui meurent d'faim, ils ont qu'à s'forcer.

Elle regarda autour d'elle en faisant la grimace.

Bon alors, je veux du bon vin. Pis, un massage des pieds. Vous l'pauvre, allez on s'active !

Bibiche75

Bibiche arrivait d'un pas trainant devant le poste du guet. La nuit avait été fraiche et avec son amie Ciel, elle avaient dû affronter le froid durant tout le parcours les menant à Castelnaudary...

Bonjour. Je m'appelle Bibiche et nous ne faisons que passer dans votre charmant village. Nous sommes deux simples vagabondes qui voyagent au fil de l'eau...
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Duflan

Il ronflait bien joyeusement, ben oui car quand on ronfle on est bien, c'est l'autre à côté qui est pas bien généralement, enfin lui il est seul donc pas de problème.
Il rêve en plus d'une jolie dame qui viendrait lui demander plein de renseignement.
La femme aurait peur bien sur, elle serait belle et sentirait bon en plus elle serait aimable et intelligente, donc là on est bien dans un rêve. ( pour les plaintes contacter malorke c'est de lui, moi j'en pense pas un mot).

Et voilà qu'un cri le réveille, c'est bien une femme mais bon pour le reste c'est foutu.
Duflan ouvre les yeux, il aperçoit le...heu...enfin bon..il aperçoit le truc quoi

Héin, dites d'on vous sortez d'une soirée soutane ou quoi pour être habillé comme ça ?, pis non je fais point les massages de pied....
Allez zou....dégagez le plancher et vite, autrement va faire vilain je vous le dit moy ! Pas de jeune ici...les jeunes c'est que des futurs vieux et moy les vieux je peut pas les supporter ....alors zou hop...allez voir à l'étable je crois ben que le chevalier blanc et là bas...

Duflan était en colère et il faut le comprendre, il monte un truc en espérant que de jolies jeunes femmes allez sauter à son coup et voilà que la sœur Amael pointe son nez ici, parce pour avoir cette tête c'est sa sœur c'est sur !

Heureusement pour lui une jolie dame viens d'entrer et en plus elle est accompagner
Duflan se calme aussitôt voulant montrer le meilleur de lui, enfin bref ce qui n'est pas.

Ah, ben enchantée dame bibiche....entrez...pis bienvenue ....vius voulez boire un verre de vin ou une petite soupe, pis faites entrez votre amie, je m'appelle Duflan....Faisans un geste rapide vers la duducheva tu me dégagez de là toi....allez zou...
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Arcenciel

Ciel était sur le seuil de la porte , s'apprêtant à suivre Bibiche75, lorsqu'elle entendit que ça criait à l'intérieur.

Le pied encore en l'air, elle s'arrêta net et le reposa lentement. Elle avait commencé à attraper la chemise de bibiche , prête à la tirer, lorsqu'elle la voix sembla se calmer :

...Ah, ben enchantée dame bibiche....entrez...pis bienvenue ....vius voulez boire un verre de vin ou une petite soupe, pis faites entrez votre amie, je m'appelle Duflan...

Ciel soulagée, poussa de son doigt, bibiche à l'intérieur et la suivit :

Enchantée Duflan, moi c'est arcenciel. Ciel lui sourit et lui fit un signe de tête en guise de salut. Un bon verre de vin n'aurait pas été de refus, mais nous repartons cette nuit et voulons profiter au maximum de la ville. Marcher va nous réchauffer. Par contre, nous passerons certainement en taverne ce soir, si ça vous dit... nous nous ferons un plaisir de vous offrir une tournée !

Duflan

Duflan essayer tant bien que mal de se débarrasser de la sœur d'Amael quand une nouvelle jeune dame entra dans sa vieille cabane.
Il lui fit son plus beau sourire dévoilant sa dentition plus ou moins garni...

Pour sur que je passerez, pouvez comptez sur moy ! je suis point un habitué des tavernes, pensez d'on je suis plutôt à priez à l'église mais pour vous faire honneur ben je passerezheureusement pour lui ses mensonge ne l'étouffer pas !
Tout ce qu'il l'embêter c'est la dudduche là, pour une fois qu'il arrivait à attirer de jolies jeunes femmes dans une cabane sans les menacer, ben fallait qu'il se tape l'autre gourdasse.

Allez va rejoindre ton frère, il doit être entrain de se noyer à la rivière !
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Kachina

On leur a indiqué une vieille cabane à l'entrée du village.
Parait qu'il faut montrer patte blanche, se présenter.
Comme d'habitude quoi !

Elle gratte ses bottes sur le seuil, pour les débarrasser de leur terre, et pousse la porte du pied, cheveux emmêlés par la longue chevauchée.
Sa longue cape , couleur fauve, frôle le sol, cachant ses braies poussiéreuses .

Une odeur d'oignons et de bruet , la fait grimacer.
C'est qu'il est tôt encore.
L'église vient à peine de sonner les laudes.
Et puis le lapin embroché sur l'épée et rôti sur les braises en forêt cette nuit lui a bien calé l'estomac.

Elle s'arrête devant celui qui semble etre le maître de ces lieux, dépose devant lui, un flacon d'armagnac, celui qu'on ne distille que dans sa ville, Saint Bertrand de Comminges.

- Bonjour à vous Messire, je suis Kachina ! De passage dans votre ville, avec mon compagnon et quelques unes des plus belles filles d'Armagnac !
Pouvez vous, m'indiquer la taverne la plus animée de la ville , celle qui sert la meilleure cervoise ?
Savez vous si on y danse la taverniole ? la printaniole ?
Et il me faut du lait, pour Lorenzo, l'enfant d'Anabel !
Je cherche aussi un endroit où nous pourrons nous décrotter un peu !
Et le lavoir , il est où ?

Ses lèvres s'étirent en un sourire quand elle ajoute, en pensant pour elle même : t'es toujours aussi bavarde, tais toi donc un peu !

- On m'appelle Kachi !Je viens d'Armagnac !
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Voyageurs soit le bienvenu, presentez vous !

Duflan

VOYAGEUR BIENVENU ! PRÉSENTEZ VOUS !

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Ghaldor

Duflan

Ghaldor

Duflan

Ghaldor

Duflan

Ghaldor

Duflan

--Duduche

Bibiche75

Duflan

Arcenciel

Duflan

Kachina

--Duduche

Une soirée soutane ? Nan mais ho ! J'vais appeler mon grand frère. Il va vous apprendre l'nonnes manières.

Elle le regarda en plissant les yeux comme le font les hommes politiques en Toulouse. Puis elle avait vu faire cela par un type dans les bois qui discutait avec un ivrogne. Ce dernier parlait de la "tête-de-nœud". Quel drôle de nom pour un village. Et voilà, qu'il la pousse vers la sortie. Elle résiste et s'accroche au rideau. Pour une fois qu'un homme la faisait grimper au rideau... Elle emporte tout et met ses pieds contre le mur. Une autre jolie jeune femme sans aucun défaut entre dans la pièce. Duflan relâche son étreinte - Grand fou ! - et retourne toute son attention sur ces dames. Parce que Duduche, elle est pas poissonnière mais pourtant elle s'y connait niveau thons et morues. Vu qu'elle est les deux à la fois. Un vraie sirène, quoi.

"Va rejoindre ton frère ? Qui s'noie dan l'rivière ? Il doit m'confondre avec une autre, celui-là." Elle fait une moue capricieuse -comme d'hab', quoi - et lance un regard noir perçant l'âne...euh l'âme du Dufl'. Encore faut-il qu'il en est une. Une nouvelle dame entre :

On m'appelle Kachi !Je viens d'Armagnac !

Ah ! Bonjòrn, bonjòrn dòna Quedchi ! Entrez donc dòna Quedchi. Elle lui sourit ne faisant pas attention au fait qu'elle venait d'écorcher son nom à deux reprises. Et c'est pô fini, c'est ben pire après.

Vous avez fait bonne rûte dòna Quedchi ? Surtout méfiez-vous de c'type là. L'duflan, il vaut Quedchi, dòna Quedchi. Pis, il parait qu'il va à des soirées soutane. J'savais pô moi pour l'cureton. Ehbé, l'duflan fait confesse pendant que l'cureton s'fait chercher d'poux dans l'tonsure. Y a pu d'morale de nos jours. En effet...moué, personne ne m'a encore touché. J'suis en jachère.

C'est alors que Duflan pousse violemment Duduche. Dans le genre "dégage de là, toi. Tu pues des pieds et tu me gâches la vue." Ce qui était entièrement vrai. Puisque Duduche, c'est loin d'être un modèle de beauté comme nous avons pu le signaler. Donc, elle gâche la vue à un point même qu'elle est tellement moche que le fabricant de masque pour les bals, bah il a moulé son visage pour effrayer les enfants. Et puis, ses pieds... N'en parlons pas.

Duduche n'a tout de même pas dit son dernier mot. Elle hurle à qui veut l'entendre :

Grand frère ! Au secours ! On essaye d'abuser d'moi Elle s'arrête de crier, regarde les gens dans la pièce. Bah oui, j'sais c'est impossible... Rooooh, faut que j'trouve autre chose. Grand frère, il s'moque de moi ! Au secours !

Kachina

Corne de bouc, quelle est donc cette ville ? A peine quitté son Comté , qu'elle tombe sur des , sur une .................donzelle , bien particulière.

Non seulement, elle écorche son nom. C'est pourtant pas si difficile à prononcer, Kachi, mais là voici qui hurle au viol à tout va ........

En fait, elle n'aurait jamais du entrer dans cette cabane. Mais il a fallu qu'elle fasse sa curieuse.
Et puis , c'est quoi cette histoire de jachère. Une terre en jachère est une terre mise au repos , en attente d'être ensemencée.
Se pourrait-il que la jeune femme soit en mal d'enfants ?

- Bonjour Dame ! Des soirées soutanes ?
- Hum !! on fait ça par chez vous ?

Piquée par la curiosité Kachi.......Elle imagine, elle imagine..... des soutanes dans la nuit, des feux de joie, des bruissements d'étoffes, arf.............non, du calme Kachi, du calme, ne surtout pas imaginer Joran en soutane, non, non...!
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Duflan

Il la poussait, mais la vilaine ce débattait , elle s'accrochait à tout ce qu'elle pouvait en hurlant.
Duflan cherchait un truc pour l'assommer et se débarrasser de la sœur d'Amael au plus vite et voilà qu'une autre dame apparaissait posant des questions comme on boit des chopes de bières

AH ben enchanté Mais il n'avait pas fini que la duduche vociférait n'importe quoi, elle allait faire fuir tous le monde si elle continuer comme ça..., elle lui parler des soirées soutanes comme cela, alors que c'est un secret bien gardé .
Duflan n'était pas violent mais là ! il attrape une barre de fer qui traine par là et hop, il lui met un grand coup sur le crâne...

ET voilà ! bon débarras, il y plus qu'à la jeter dans le puits et hop on est débarrassé !
Euh...ouais, excusé c'est qu'elle va nous faire passer pour un village de fou , en fin bon...
Alors ouais pour la taverne vous avez lo Banastié c'est la paquita la propriétaire , vous avez l'auberge de la ville et le Guiness.
Pis pour le lait trouverais cela sur le marché.
Pis ouais sur qu'on y danse au banastié, pis pour le lait vous pouvez aussi demander à Itario c'est le tavernier du banastié.
ben le lavoir, pour sur ! qu'il y en en un et même que j'y suis souvent caché derrière les fourrées pour regarder les jolies dam...euh

Grand moment de solitude pour Duflan qui viens de se rendre compte de la bêtise qu'il viens de dire, c'est un moment ou vous aimeriez ne pas y être, mias vous y êtes et tous les regards sont sur vous et puis ce silence en plus.
hé hé, euh..vous allez bien ?, vous avez fait bon voyage ?,...ouais bon... oh pis pour dormir vous avez soit le banastié soit l'orchidée noire mais je crois qu'elle est fermée...enfin voila...vous allez bien ? hum....
Dites vous voulez me donner un coup de main pour me débarrasser ce truc là...pis non les soirées soutanes je sais même pas ce que c'est....alors hein ?, vous allez bien autrement ouais ?
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Kachina

Arf, cette ville était vraiment pleine de surprises. Une fille un peu dure de la feuille, que l'homme venait d'assommer carrément et qu'il parlait de jeter au fond d'un puits, des hommes en soutane le soir, des jachères et quoi encore ?

Une folle envie de s'en retourner en terre d'Armagnac saisit Kachi à la gorge.
Mais, par Dieu, on ne fuyait pas quand on était Commingeoise.

Elle resta donc sur ses gardes, écoutant l'homme lui parler de sa ville, retenant au passage le nom d'une taverne : Le Banastié. Elle irait y faire un tour en soirée.

Mais quand il lui avoua , s'amuser à guigner les donzelles caché derrière un fourré , pendant qu'elles étaient penchées sur la pierre du lavoir, elle éclata d'un grand rire, en se dirigeant vers la sortie :

- Sachez Messire , que si vous vivez à Saint Bertrand, mes amies et moi vous aurions déjà jeté tout habillé dans l'eau froide du lavoir !
Et nos hommes vous auraient frictionné le museau de savon noir.....
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Duflan

Il resta un long moment perplexe devant la réponse de cette jolie dame qui reprenait la route..hum....Les hommes se frictionné entre eux! c'est bien ce qu'elle avait dit....avec du savon noir en plus......
Duflan se dit qu'il devrait bientôt allez faire un tour dans ce comté d'armagnac en évitant le lavoir tout de même !
Il achèterait un savon noir avant de partir, il faut toujours respecter les coutumes local .
Un léger coup d'oeil par terre, la duduche était toujours couché par terre, elle respirait fort.
Duflan l'attrapa par les pieds et la tira en dehors de la cabane.

Bouh diou c'est qu'elle est lourde, elle met des cailloux dans ses poches ou quoi ! pas possible ça !

Heureusement pour lui la cabane était sur une hauteur, il la poussa vers la pente, et la vision de la Duduche dévalant vers le village en roulant était magnifique à voir !

AH ! va boire un p'tit coup pour fêter ça !
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--Duduche

Elle descend de la colline en roulant ! Elle descend de la colline en roulant !
C'est qu'il est vil ce duflan. Il pousse une pauvre homme...euh un pauvre femme. Comme ça, sans état d'âme. Juste avant il l'assomme, bien entendu. Et même dans un instant comme celui-ci, duduche n'a même pas le privilège de se faire tripoter. Comme quoi. Durant sa longue descente, elle roule mais roule...On l'entend au loin faire des : Gniiiiiiiiiii !!!!

Puis des : Gnaaaaaa !!! Sans oublier les : Gnoooooo !!!

Enfin arrivée à destination -dirons-nous- elle remit ses cheveux en place, ainsi que sa tenue. Elle était toute crasseuse et cabossée -comme d'hab', quoi -. Et là, elle gémit en pensant à Duflan. Le seul homme au monde qui l'avait fait monter au rideau, enfin façon de parler. Elle avait bien agrippé le rideau mais cela sera tout. Mais surtout, il s'agissait du seul homme des royaumes à lui avoir fait un tel effet. A la pensée du Dufl', elle avait la tête qui tournait. Sans doute à cause de la roulade, m'enfin. Duduche, c'est loin d'être une lumière. C'est d'famille chez les "Maloke".

Elle cria, au milieu du troupeau de chèvres présent : Duflan ! Mon Amouuuuuuuuuurrrrrrrr !!!!!

Duflan

Il décida de faire un peu de ménage dans sa cahute, c'est qu'il fallait faire bonne figure pour recevoir les braves gens venues d'autres contrées.
Il balança au loin de vieilles gamelles qui trainaient de ci de la.
C'est vrai que c'est beau des vieilles gamelles au milieu de l'herbe et des fleurs, heureusement que l'homme est là parce que la nature est vraiment mal faites tiens !
Enfin bref, Duflan laissez sa marque dans l'histoire comme on dit, pour lui se sera des vieux trucs pourries qui vont trainer là, chacun ses objectifs !

AH té ! bon l'es bizarre ! accueillerais bien une jolie demoiselle moy !
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Paquita

Il est une cabane en lisière du village...
Paquita ne s'en approchait généralement pas car elle restait bien au chaud entre les murs de sa bonne ville.
Quand il lui avait fallu partir en mission d'escorte, il faisait bien nuit et le feu était couvert dans la masure, aussi avait-elle passé son chemin.
Au retour, après une longue nuit de marche, les jambes lourdes d'avoir forcé pour retrouver sa ville, ses amis, ses pratiques, elle avait guetté dès le lever du jour l'apparition dans son lointain des premiers murs de Castel la Belle.
Et c'est cette masure, justement, celle du frustre Duflan qui lui avait souri en premier.
Pas qu'elle était bien belle, ni d'un abord très riant, nenni... mais c'était là que faisaient halte les voyageurs.
Paquita s'approcha, regardant autour d'elle avec curiosité, notant rapidement le tas de bouteilles vides dans la cour de derrière.
Elle tambourina à l'huis malgré l'heure matinale.
BLAM ! BLAM ! BLAM !
Y a quelqu'un ? ou y a dégun ?
Elle attendit dans le petit matin frileux qu'un chaurien montre sa bouille de bien vivant, parce que ... pas pour dire mais Paquita avait langui bien fort loin de sa patrie et il lui tardait de connaître des nouvelles du païs.
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Duflan

Une bouche s'ouvre et se referme dont le seul but est d'amener suffisamment d'air à son hôte afin qu'il vive, mais lui a rajouter un bruitRon pshit...ron pshit...et une odeur qui sort de se corps d'on l'effluve pencherais plutôt pour la mort du corps ou du moins ce qu'il a mangé.
Ce corps qui se tourne et se retourne sur son matelas c'est celui de Duflan, pas vraiment disgracieux...assez corpulent surtout au niveau du ventre...disons somme tout banal...
L'homme n'est pas vraiment méchant mais plutôt bête et feignant...
Ses plaisirs sont de manger et boire, de raconter des fariboles et d'embêter la Paquita, la "maudite" comme il aime à l'appeler.
Notre homme n'aime pas être dérangé dans son sommeil qu'il justifie lui de "juste et de mérité ", alors quand dés le matin , il entend tambouriner à sa porte, il se cache la tête sous son oreiller et râle

YA personne ! on a déjà donner ! passer votre chemin....Lourdes c'est juste à gauche...voilà allez ouste...!
Laissez d'on dormir les honnêtes gens!

Duflan regrette presque d'avoir mis un écriteau pour accueillir les étrangers, c'est pas qu'ils les aiment pas , bien au contraire mais tôt le matin comme ça non !.
Il se lève maladroitement de son lit et enfile ses braies et sa chemise verte celle de la semaine, la blanche c'est pour le dimanche..

Grr...saloperie d'étrangers du matin....l'es point possible...
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--Duduche

Elle voulait aller voir son n'amoureux. Le beau et magnifique Duflan. L'amour rend aveugle, dit-on. Aussi, elle s'était fait belle. Mais un âne ne deviendra jamais un cheval de course. Elle avait acheté pour un beau petit panier sur le marché. De quoi faire plaisir à ce fin gourmet de Duflan. C'est qu'il aime les bonnes choses. Et comme, elle voulait l'attirer dans ses filets...

Elle se rendit donc au lieu de passage des nouveaux arrivants et de ces fichus étrangers. Elle vit au loin, une dame coincée. Bah vi, elle marche un peu bizarre. Mais aussi coincée devant la porte était-elle. Ce vaillant de Duflan n'était pas encore levé. Elle s'approcha donc.

Bonjour, bonjour madame ! Que venez-vous donc faire ici ? "L'a pas intérêt de me voler mon Duflan, sinon je lui mets un coup de panier sur la tête. " Manquerait plus qu'une femme enceinte pointe, réclame de Duflan la paternité et sa journée serait sapée.

Paquita

BLAM ! BLAM ! BLAM !
Y a quelqu'un ? ou y a dégun ?
Après avoir frappé, Paquita attend, l'oreille collée à l'huis. A l'intérieur, un silence relatif la rend attentive.
Un bruit d'un engrenage l'intrigue, c'est un bruit que fait un moulin à eau. Paquita connait bien, elle qui en avait un à Toulon... Elle a beau chercher d'où vient ce son mouillé, elle ne comprend pas... point de ruisseau dans les environs et encore moins de roue à aube... Une rivière souterraine peut-être... Paquita a des doutes cependant.
A l'intérieur de la cahute, le bruit a changé, fait de happements et de claquements de gueule.
Oulah... se dit Paquita, y aurait-y un cabot qui happerait sa pitance ?
Une vérité horrible point dans son esprit.
DUFLAN !!! L'a été bouffé par la bestiole qu'est là ! Un monstre sûrement ! un ogre ! un dragon pour le moins !
Affolée, elle tambourine de plus belle dans le but de faire fuir la sauvage engeance.
BLAM !! BLAM !! BLAM !! BLAM !! BLAM !!

Puis, elle écoute à nouveau. A l'intérieur, le son a changé,composé à présent de glissements et de grognements. Les cheveux de Paquita se dressent sur son crâne. Un basilic !! Voilà ce que c'est !!!!!
Affolée, elle cherche autour d'elle quelque chose de susceptible de la protéger de cette abomination quand... dans son champ de vision apparait une bien plus horrible chimère.
Imaginez, un manche de bêche revêtu d'oripeaux plus mal assortis les uns que les autres, le tissu godaillant un peu partout, les couleurs jurant entre elles à en piquer les yeux.
Paquita clique des paupières, espérant que cette hallucination aurait disparu quand elle aurait fini de parpeléger.
Ma pauvre Paquita, t'as trop marché et trop forcé ! Voilà ce qu'y a ! t'as plus les yeux en face des trous !
Mais le cauchemar ambulant ne l'entend pas ainsi. Il est toujours là quand Paquita a fini de s'ébrouer et qu'elle rouvre les yeux. Pis encore ! il émet du bruit ! des borborygmes assez incongrus et métalliques.
Paquita a beau tendre l'oreille, elle ne distingue que grincements de dents et crissements dans les propos tenus.
De plus près, elle s'aperçoit de son erreur. Il s'agit d'une -jeune ?- femme, la plus laide qu'elle ait jamais vue, et pourtant il en passe des gens dans sa taverne.
Paquita détourne le regard de la peau huileuse et olivâtre, pis des yeux chassieux et de la bouche aux lèvres quasi absentes. Pour tout dire, elle ne sait que ne pas regarder de la poitrine creuse, la taille épaisse ou les mollets piquetés de poils noirs et drus comme vieille paille mouillée.
Dites... Le connaissiez le Duflan ? Je crois bien qu'il vient de se faire dévorer par un basilic.... profère-t-elle pour se donner contenance pis surtout pour ôter de sa vue ce spectre inquiétant, persuadée qu'elle est que la baudroie avariée qu'elle a sous les yeux prendrait la fuite dès sa phrase achevée.
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Duflan

Et voilà que les bruits se font de plus en plus fort ! Duflan lui attrape sa bouteille de vin blanc et en boit une bonne gorgée, c'est son petit déjeuner à lui avec deux tranches de pain au gras, mais là pas le temps.....

Bougre diuo de bougre diou, c'est qui vont me défoncer ma porte ces saligot d'étrangers Et oui duflan est bête alors forcement c'est des saligots d'étrangersTé ah ça pour tous casser à part les jeunes et les foutus gas qui sont mêmes pas de chez nous, là il y a du monde.
Vont m'entendre...
Il enlève le bout de bois qui bloque la porte et au moment ou il va tirer la chevillette et ou la bobinette s'ouvrira selon un obscur écrivain.
Un doute lui vient à l'esprit et si c'était des barbares....des brigands...
Dans le doute il attrape un manche de pioche et au moment ou il ouvre la porte, il balance un grand coup dans l'ouverture....
Le manche frôle de visage de Paquita et viens s'écraser en plein sur le visage de la jeune Duduche, lui entrainé par son mouvement évite de justesse de tomber

Ar.....ah....oulà.....ah ben mince.....oh pis ça l'apprendra à tambouriner à ma porte de bon matin...Lance t'il à la jeune duduche à terre qui semble sonné, puis il se retourne vers la tavernière...té ben le jour Paquita qu'est tu fou là ?...Bon viens m'aider faut que je me débarasse de ce truc là.

Duflan attrape un vieux drap avec lequel il entoure la jeune duduche puis leste le tout avant de jeter une nouvelle fois ce corps du haut de la colline

Et voilà....té entre dont on va fêter ça !....
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Paquita

Paquita a juste le temps de finir sa phrase qu'un grand mouvement se fait à côté d'elle. Un courant d'air devant son visage fait voler les mèches follettes de son front. Elle cligne des yeux et entend le bruit mat du manche de pioche s'abattant sur la face du laideron - moche à ce point, m'étonne pas que laideron soit un mot masculin !- La laide se mange le coup en pleine poire.
M'étonne plus qu'elle soit si affreuse se dit Paquita pour qui la logique est une seconde nature.

Elle se retourne vers l'entrée de la masure et voit le gros Duf, sa chemise constellée de taches - normal pour une chemise de la semaine quand on est vendredi !!!... et qu'on s'appelle Duflan !!!!-couvrant des braies mal ajustées et tirebouchonnées.
Té Bonjorn Duf ! contente de te voir ! pas fâchée d'être rentrée, tu sais !
Elle va pour l'aider à faire rouler l'horrible au bas de la pente mais il a déjà fini le temps qu'elle se penche . Paquita, la main en visière, regarde l'affreuse dévaler la pente en rebondissant de temps en temps sur les rochers qui ponctuent le trajet.
Dis... tu le savais toi qu'en Languedoc ils tiennent leur chope de la main gauche ? des fadas, je te jure !!! Bien failli déclencher une guerre entre nos deux comtés, té ! m'aurait soulagée ! savent pas boire, je te le dis ! va jamais là-bas, tu deviendrais fou ! - enfin... encore plus fou !- En parlant de ça ... t'aurait pas de quoi me désaltérer ? que je viens d'arriver pis que je suis pas encore rendue à la maison avec tout ça !
Et de montrer du pouce pointé par dessus son épaule la charrette débordante de minerais.
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Sukhoi

Sukhoi poussa la porte du bureau et entra avec Damien

Bien le bonjour, je me presente Sukhoi de Montbrison de passage avec mon fils Damien et ma compagne Miel de Montbrison ! Nous restons dans votre ville pour une journée !

Sukhoi leur sourit et fit demi tour

A la prochaine ou en taverne !!!!!
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Duflan

Il la regarde un moment avec son manche de pioche à la main, curieusement il lui donnerais bien aussi un coup derrière la caboche comme ça, juste histoire de se faire plaisir, mais la Paquita est rapide et elle a la main leste, alors Duflan préfère poser le manche de pioche..

Pour sur! que ça fais plaisir de te voir aussi, allez entre reste pas en plein vent d' Ouest, il rend fou ce vent...ah pis j'en ai à te raconter..il s'en est passé de belle....
Bah moy les gas du languedoc m'ont refouler à leurs frontières alors depuis j'y suis jamais retourner ! comme quoi soit disant que j'allais attaquer le comté....n'importe quoi....même leurs vin l'es pas bon....pour dire....
Oh pis ta charette....faudra que tu pense à vérifier l'essieu, je crois ben qu'elle penche à gauche....Duflan n'y connais rien, mais il sait que les femmes sont toujours impressionné par les grosses charrettes surtout rouge... et puis elles adorent qu'on leurs parlent charrette
Ouais je serais toi...je ferais vérifier ça...
Duflan fais entrer la Paquita dans sa cabane , il cherche dans son fourbi deux verres, parce que lui d'habitude il boit à la bouteille...
Les deux verres ne sont pas bien propres mais bon, il sert aussitôt deux verres de vin blanc

A la tienne....alors oauis...il parait que Océania est bien...et patati et patata....At alors la AThena arrive à ce moment là.....Bla bla...comme à son habitude Duflan en rajoute et modifie toutNu comme un ver le maloke....L'arrivé d'un homme arrêta de suite ses commérages (curieux que ce soit masculin ça !)

Bienvenu SIr Sukhoi à vous et à votre famille dans notre bonne ville de Castelnaudary, n'hésiter pas si vous avez besoin de quoi que se soit
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Miel

Miel qui avais quitter la foret vis suk qui sortais d'un bureau ou apparement il fallais se presenter, elle courus vers lui pour le rejoindre il etais avec damien en arrivant elle entendis un messire leur souhaiter la bienvenue.

Miel se tournas vers celui ci Bien le bonjour messire je suis miel la compagne de sir sukhoi merci a vous pour votre accueil! La ville est des plus jolie et votre foret trés agréable. A tres bientot peu etre en taverne sinon a une prochaine fois!

Miel glissas discretement sa main dans celle de suk et partis avec eux en ballade dans la ville.
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Duflan

Duflan regarda un moment la jeune dame et la salua à son tour, il se demanda si elle avait croisé Oceania et ses crapauds dans le forêt... en tout cas il espérait qu'elle lui avait pas relevé ses lapins pris dans les collets.
Cette dame resplendissait de bonheur avec son époux et son enfant

Ben bienvenu à vous dame, pis en espérant que votre séjour soit ben agréable, a pis en taverne ben peut être bien mais vous savez avec tout le travail qu'on me donne içi, j'ai rarement le temps de passer...Il prenait l'air miséreux et dépasserC'est qu'on compte sur moy..pis je suis tellement bonil exagérait toutBen sur que j'essaierais de passer pour vous saluer mais c'est que je suis point ben riche alors je préfère garder mes quelques sous pour nourrir ma famille pensez d'on !Duflan n'avait aucune famille et tout ce qu'il gagné passez dans la nourriture et l'alcool mais ça elle ne pouvait pas le savoir
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Aaricia27

Aaricia était arrivée quelques heures auparavant, et s'était promenée dans les rues de Castel. Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pas voyagé qu'elle avait envie de profiter de cette petite liberté.
Elle voyageait léger, un baluchon porté sur l'épaule, sa besace de cuir en bandoulière et une épée à la ceinture.

C'est en se promenant dans les ruelles encombrées de badauds et de marchands criant tous plus fort les uns que les autres pour vanter les mérites de leurs produits, qu'Aaricia se retrouva devant le bureau des voyageurs, au rez-de-chaussée d'une petite maison à colombages. Elle frappa trois petits coups secs et poussa la lourde porte. Une dame sortit à ce moment-là. Aaricia lui fit un petit signe de tête pour la saluer, puis entra.

Bonjour ! Je suis Aaricia, de Foix... et de passage à Castel, je repars ce soir..

Elle s'inclina devant le messire qu'elle avait déjà vu de loin...

Duflan

Il allait se resservir un verre quand on frappa de nouveau à la porte et qu'une jolie dame fit son approche.
Duflan l'avait déjà vu à Castel

Et bien Dame Aaricia toujours un plaisir de vous voir, si vous avez besoin de quoi que se soit ben demander..enfin pas à moy....là je suis débordéDuflan état invité à boire un coup en taverne donc il était débordé, voilà

Ah pis té vous passerais le bonjour à Parotech, pis vous pourrais lui dire que j'ai vu son frère à Lourdes il y peu de temps pour un match de Soule !
Alors le verger de Foix a bien du repoussé !, sur que heureusement que j'étais là pour y mettre bon ordre, enfin bon je passerais voir si mes conseils ont bien étaient suivis à la lettre !
Parce que au serait dommage, ah comme tu vois la Paquita je suis débordé ..c'est que les gens viennent de loin pour me demander des conseils !

Il souriait bêtement convaincu d'être quelqu'un d'important, alors qu'a foix il n'avait rien fait, à part vider une bouteille de liqueur, donné deux trois coups de bêche avant de s'effondrer de fatigue, mais chez lui c'était une seconde nature, tellement gros que cela en devenait risible sauf pour lui qui ne voyait rien dans son délire.
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Aaricia27

Aaricia l'écouta parler, une bouteille et un verre en main, et réprima un petit sourire en coin. Elle hocha la tête et répondit :

Ne vous inquiétez pas, je n'ai besoin de rien et ne vous dérangerai pas plus longtemps dans vos affaires. Je vous remercie pour votre accueil, et je ne manquerai pas de saluer Parotech de votre part, à mon retour.

Sur ces paroles, elle fit une petite courbette en souriant et ressortit afin de continuer sa balade au cœur de Castel.

Paquita

ah comme tu vois la Paquita je suis débordé ..c'est que les gens viennent de loin pour me demander des conseils !
Paquita, les deux mains autour de son verre crasseux écoutait un léger sourire aux lèvres.
Qu'on était bien, de retour en son païs !!!!
Si le vin était piqué, si les verres étaient crasseux, si la masure se fissurait et le toit prenait l'eau, qu'importe !
On y trouvait une chaleur nulle par comparable.
Assise dans son coin, elle regardait Duflan fanfaronner devant les passants, les voyageurs...
Elle se mesura compte à cet instant combien tout ceci lui avait manqué et se laissa aller à la douce quiétude d'avoir retrouvé son environnement.
Elle tendit son verre vide en direction de Duflan
T'en as encore de ta piquette ?
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Angalam

Angus arriva au guet, éreinté, exténué, usé, à bout, bref... fatigué. Aprés deux coups discrets, suivis de toris bien sentis, puis quatre gros, et enfin un pour la route... coups sur la porte, il décida d'entrer. Enlevant son manteau miteux, il révéla un corps maigre à peine caché par une fine chemise et des braies qui avaient connu de (bien) meilleurs jours. Souriant de la manière la plus charmante dont il était capable (le genre de sourire qui peut faire tomber les mouches femelles en un éclair), il se présenta:
"Bien le bonjour, citoyens, je me nomme Angalam, mais mes amis m'appellent Angus. Vous pouvez me considérer soit comme le Dieu Grec de la marmelade de citrouille, exilé il y a trois millénaires un quart, revenu sur terre pour se venger... ou bien comme un voyageur venu du Nord, qui a décidé de s'installer dans votre charmant pays à la recherche du bonheur, et accessoirement de la fortune et d'une nouvelle paire de bottes."

Duflan

De la piquette ? Il regarda sa bouteille un moment, c'est vrai que c'était pas un grand cru mais de la piquette quand même.
Elle avait l'air ailleurs la Paquita, curieux....elle avait peut être faim.

Ben, ouais il m'en reste de mon vin !té tu veux un bout de brioche ?
Je l'ai récupéré à l'église, c'était pour les pôvres qui parait ! l'es point mauvais

Et voilà qu'on ouvrait de nouveau sa porte et qu'un vagabond se présenta

Ben bienvenu Sir Angalam ! Pis vous savez on a déjà le roy d'Espagne ici et le futur roy de france , alors un dieu ben ça nous va !
Pour la fortune, ben là je sais point trop ! PAr contre pour les bottes ça on peux vous en avoir pour pas cheres !
Amael vend les siennes, il a arrêter de courir après les chèvres depuis qu'il a trouvé une biquette !Il éclate de rire avant de se retourner vers paquita qui le fusille des yeux
Euh....ouais..enfin si vous voulez vous installez dans notre bon village z'etes le bienvenu, pis si on peux vous apporter de l'aide...
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Paquita

Nouvelle mission, nouveau retour...
Cette fois-ci c'est elle que Paquita guettait à l'horizon, son toit disjoint, sa cheminée fumante...
La masure du crasseux est devenue le symbole du foyer pour le Chaurien sur les chemins.
Quand au détour d'un sentier, elle a vu la fumée s'élever dans le ciel du petit matin, Paquita eut un serrement au coeur. Elle était enfin rentrée !
Dans la charrette, Amael endormi, pelotonné sous un tas de couvertures. Il avait marché toute la nuit, la laissant reposer.
La lueur de l'aube a réveillé Paquita en sursaut. Tout de suite, elle a sauté à bas et l'a rejoint.
Tu m'avais promis que nous changerions à la mi-nuit ! tu dois être épuisé ! Va ! Va te reposer !
Il ne s'est pas fait trop prié. Tout en marchant, Paquita pense aux raisons qui l'ont fait marcher ainsi toute la nuit sans donner le relai.
Sa force et sa générosité dont elle seule connait l'étendue, mais cela n'explique pas tout... sans doute remue-t-il des pensées qui lui ont ôté le sommeil. Elle repense à ces jours où il est allé défendre le Comté, la Capitale. Il ne lui a rien raconté. De quelles sinistres horreurs a-t-il été témoin ? De quoi la protège-t-il ?
Elle le sent, il agite en lui de fermes projets.
Bah ! Il m'en dira plus quand il sera décidé !
La masure de Duflan au loin apparaît et Paquita se sent soulagée. Ce début d'hiver précoce a gelé le sentier et le pas du cheval tinte sur le sol glacé. Les roues de la charrette font craquer la glace de quelques flaques figées.
Elle immobilise le cheval sur le terre plain devant la maison. Elle enfile le sac de picotin, passe les lanières autour des oreilles d' Etincelle, sa brave jument et va gratter à la porte.
Cette fois, Duflan est réveillé. Il finit de rajouter du bois dans sa cheminée et une claire flambée crépite joyeusement dans l'âtre.
Té ! salut ! Laisse-moy entrer un moment ! Qu'il fait bien froid dehors...
De fait, Paquita a les mains, les pieds et le bout du nez gelés. Un peu de vapeur s'échappe de ses lèvres à chaque mot.
Elle tend ses mains aux flammes tandis que Duflan s'affaire.
On revient du Languedoc, Duf ! Tu aurais vu ça !!!
A la pensée de leurs dernières aventures, Paquita s'anime, les couleurs reviennent à ses joues et elle quitte le devant de l'âtre pour s'asseoir face à Duflan.
De la brioche ? ben c'est point de refus ! Pis si tu as un peu de vin chaud aussi... ça aiderait à la ramollir... qu'elle m'a l'air un peu rassis...
Tout en commençant à manger elle ne peut s'empêcher de parler.
On revient du Languedoc, je te disais... La fête qu'on nous y a fait ! Tu peux pas imaginer. Chaque soir, dans chaque ville ! à boire, mangeailler...pis du bon ! hé ! à chanter et danser toutes les nuits. Té ! Vé ! Je suis épuisée !
Elle enfourne une grosse bouchée de brioche, la mastique sommairement avant de la faire passer d'une gorgée de vin.
Té ! Pour te dire... le vin !... Dans les fontaines, il coulait ! Ouéh ouéh ! Comme je te dis ! Me regarde pas comme ça ! c'est la pure vérité vraie ! Même que ça débordait et faisait comme un ruisseau rubis au milieu de la rue ! c'était bien beau à voir tu sais ! ça t'aurait plu !
Tout en se restaurant, elle lui raconte les merveilles que chaque voyageur imagine à son retour afin d'enjoliver le récit de ses haltes successives. Elle en rajoute ... si peu.... - Paquita, on le sait bien, a toujours eu le sens de la mesure !

- Duflan captivé par le récit en oublie de manger, le morceau de brioche au bout des doigts devant sa bouche bée. Paquita, elle en profite pour se resservir sans cesser de parler....
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Duflan

LA nuit avait été glacial est Duflan avait mit du temps à sortir de sous sa couette, trouva toujours une excuse pour pas se lever, mais une chose l'avait enfin décidé....LA FAIM !.....
et notre homme avait le ventre creux

ggrrr allez hop...a la soupe mon gas....

Il s'habilla vite fait, souffla sur les braises....rajouta un petit peu de bois, sortit vite fait dehors pour un besoin naturel

brrr...fais un froid de canard ce matin té...té va en profitez pour rentrer un peu de bois..hé hé une bonne idée que ta eu mon gas cette étape des voyageurs comme ça..oh permet d'avoir du bois gratuit...té un malin sûr !

De nouveau dans sa demeure après un brrr...il posa son bois à côté du feu et mis à chauffer un peu de vin chaud, il ouvrit un petit placard pour attraper une brioche un peu sec, mais bon

Té si le Saino savait que sa brioche qui me donne pour les pèlerins c'est moy qui la mange, ferait une tête le curé..déjà que je leurs souhaite le bienvenu faut point pousser...ah un bon petit déjeuner tranquille... c'est ça être roy !

Il avait à peine fini de verser le vin chaud dans son bol, que la porte s'ouvrit avec fracas....Duflan pris peur...la maudite était de retour et la voilà sans gêne qui le poussé de devant le feu... et qui en plus buvait son vin chaud et dévorer sa brioche...
Duflan en attrapa un morceau avant qu'elle n'est tout mangé , il allait la mettre dehors quand elle lui parla des fontaines de vin....

Dès fontaines de vin....tu dis...?...et que ça devenait des ruisseaux..mazette...l'es le paradis.....ha ben.tu va dire que c'est un hasard mais je devais allez voir..heu... un cousin la bas....voilà...oh pis faut que je me dépêche...ouais...allez hop...un sac...

Il attrapa un sac et commença à attraper toute ses affaires, il jubilait Duflan s'imaginant plongeant dans ce vin
Des ruisseaux de vin que tu dis..? hein....? heu je dois filer là...

Il ouvrit sa besace pour mettre deux trois litres de vin pour la voyage quand qu'elle que chose lui paru bizarre...

Heu...Paquita..là je pense un truc...si c'était si bien...pourquoi donc tu y est pas resté hein ? pis moy j'y suis déjà allez la bas, pis j'ai point vu de fontaines...ouais...tu serais pas entrain de me raconter des fariboles là !...
Sûr ! mais ouais je te vois venir....sacredouille....c'est pas bien ce que tu fais là...pis t'es entrain de manger la brioche que je réservais pour les voyageurs, voler un curé ta point honte....quand je vais raconter à Saino que tu viens de goinfrer du pain des voyageurs..Va te maudire c'est sur....
MA pôvre Paquita va finir en enfer c'est sur !t'inquiète j'irais prier pour toi
mais avec tout les péchés que ta commis ben c'est pas gagné...
Tiens si j'osais je te demanderais bien quelques sous pour que tu me paye tous les cierges que je vais bruler pour le salut de ton âme !
Oh t'inquiète tu donne ce que tu veux...

Il enrageait duflan de s'être fait avoir par Paquita et ces fontaines de vin
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.amael.

Hmmmm oui! La nuit avait été bien froide! Mais la marche le tenait en éveil et en chaleur. Le secret, pour ne pas se faire saisir par le froid, c'est d'avoir les jambes bien couvertes! Le coeur réchauffe toujours bien les parties hautes du corps...

La marche lui avait permis de faire le point, sur diverses choses... L'ambiance malsaine qui régnait en la capitale. Les jours passés à la sécuriser à proximité de lascars peu recommandables... La famine qui s'était abattue sur les soldats et les vigilants. Le regard d'un gamin des rues qui avait échappé aux rondes des gardes de la ville. Une lueur d'espoir au milieu de la crasse et des rats.
Et la douceur de rentrer au foyer, retrouver l'être cher, de partir en mission pour sa bonne ville en sa charmante compagnie.
Les éclats de rire, les moments de tendresse... La promesse d'aubes chantantes... Le retour de la joie dans son coeur. Et une certaine rancoeur...

Aux premières lueurs il arrêta le convoi. Il flatta la jument à son encollure, lui porta une fourche de foin pour qu'elle puisse se repaitre, et sauta à l arrière de la charette, aux côtés de son ange qui dormait paisiblement.
Là, devant le spectacle de ses yeux clos, devant l'infinie douceur de son visage paisible, il se fit la promesse de lui demander bientôt sa main.
Il déposa un soigneux baiser sur son front d'opaline et contempla le sourire qui allait illuminer le jour. Il caressa alors ce beau visage du bout des doigts et salua sa bien aimée d'un sourire attendri. Il lui dit simplement...

Bonjorn

Elle écarquilla en grand ses paupières, exhala un bâillement à se décrocher la mâchoire et lui répondit:

Bon... Jorn?!! Mais que m'as tu laissé dormir autant! Folâtre que tu es! Qu'espères tu me prouver? Où sommes nous?

On pouvait voir les remparts de Castel au loin, l'ombre du Présidial qui se dessinait sur le levant et le clocher de l'Eglise Saint Michel qui perçait la brume matinale.
Paquita prit appui sur ses bras et observa le paysage par dessus les ridelles de la charette, fronçant un peu ses sourcils châtains, et lâcha lengtemeng et avè l'acceng qu'ong les filleues du Sude!

Ooooooooh Cornegidouille! Tu m'as laissé dormir touteu la nuit! On est presque arrivés à Castel! Hé! On est bientôt à la maison!!! Hiiii!!!

Tout à coup un grand sourire illuminait encore plus son visage. L'instant d'après elle fixait Amael avec des yeux qui laissaient entendre qu'ils ne lui permettraient pas la moindre incartade. Et ça lui convenait tout à fait. Elle le saisit par le colbac et la ceinture, et apres un sec baiser le retourna sans ménagement le mettant dos aufond de la cariole, puis le recouvrit de couvertures, lui intimant l'ordre de dormir.

Bon! Maintenant toi, tu DORS! Et jusqu'à nouvel ordre, entendu fripouille? Allez! Laisse moy faire et repose toi! Dooors bien!

Elle se jeta à bas de la charette et prit soin d'Etincelle avant de remettre le convoi en marche.
Les senteurs des victuailles qu'ils ramenaient, le bruit cotoneux des sabots de la jument sur la neige saisie et les légers grincements du bois faisaient une étrange musique qui le conduisit dans les affres d'un sommeil de plomb...

Quelques heures plus tard il fut réveillé par des éclats de voix émanant de la rue, et particulièrement deux voix qu'il reconnaissait entre toutes: celles de Duflan et Paquita en train de se crêper le chignon!
Cette fois ils étaient bien de retour à Castel, la ville de toutes les folies douces! Bien heureux de retrouver le berceau de sa nouvelle vie, il ouvrit un oeil puis deux, un grand sourire se dessinant sur son visage, il s'étira puis sauta à terre pour retrouver le tire au flanc et la tavernière!

Il arriva dans la pièce où Duflan était en train de déballer d'un sac, quelques bouteilles qu'il avait du piquer aux caves de la mairie.

Téh! Salut Duf! On rentre du Languedoc, tu sais? Eh! Paquita t'a pas dit? Des rivières de vin qui s'épandent dans toutes les villes! Sisi! Téh, d'ailleurs j'ai un brin de nostalgie moy là! C'est gentil de nous offrir le déjeuner!

Il s'empara d'une des bouteilles que Duf venait de sortir du sac et la déboucha des molaires avant de cracher le bouchon dans un coin de la pièce.

Haaaa, ouais! D'la bonne piquette mais ça réchauffe dis! Pi t'aurais pas un bout de pain à met' avec?
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Hyannos

Dans sa promenade, il trouva un bureau à l'intention des voyageurs, et voyageur il était donc il poussala porte

Bonsoir

Hyannos, boulanger de Lectoure de passage en votre village en direction de la mer Méditerranée

Salutations et respect
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Hyannos Maître Boulanger à Lectoure
Etudiant en droit et en navigation

Duflan

Il faisait les cents pas dans sa cabane en râlant contre paquita et ces histoires, que c'était pas gentil de se moquer d'un brave homme comme lui et voilà que l'autre fou de Amael entrer à son tour et raconter les mêmes balivernes

Tu parle, si c'té vrai, sur qu'un soiffard comme toi, il serait encore entrain d'y boire dans cte foutu ruisseau....Va pas me prendre pour un enfant de cœur...ouais...pis dis d'on ses victuailles c'est fait pour le étrangers...enfin bon

Et c'est à ce moment que se présenta hyannos

Ben le jour...hé mais partez point comme ça

Duflan se retourna en colère contre le couple de parasite
Té, regardez zou d'on faites peur au gens, le pôvre gas qu'était parti voir sa mère anné ben la pas osez entrez, sur qu'avec des gens qu'on point de culture comme vous...enfin bon....
Dites m'avez point ramener un petit cadeau ?
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Moonflower

Elle était arrivée ici en se perdant et voilà maintenant plusieurs jours que Moonflower avait pris une chambre. Elle, sa petite fille et son nouveau-né étaient bien peu sortis, profitant de la douce chaleur de la chambre qu'elle avait louée à Castelnaudary.

La jeune femme en profitait pour se reposer et récupérer de son difficile accouchement. Elle avait payée une jeune fille quelques écus pour garder ses enfants et ainsi pouvoir faire un tour en ville.

C'est ainsi qu'elle arriva au bureau des visiteurs.

Bonjorn. Je me nomme Moonflower et je suis ici quelques jours avec mes deux enfants.

Ce qu'elle ne précisait pas, c'est que la ville lui plaisait particulièrement... si particulièrement qu'elle envisageait peut-être s'y installer un jour.
Pour l'heure, elle avait le projet de remonter vers ses Flandres revoir sa marraine et ses amis et attendait avec impatience sa cousine qui devait l'accompagner.

Estienne

Garbage entra dans le bureau des voyageurs, ne sachant pas trop ce qu'il y trouverait, et ne sachant pas trop non plus cequ'il venait y chercher. Il se disait qu'il aurait au moins l'occasion de glaner quelques renseignements sur les visites touristiques du genre promenades en barque au milieu des nénuphars pour affoler les tétards. Tout à ses pensées, il tomba nez à nez avec une jeune fille d'une beauté resplendissante et resta comme deux ronds de flan, ne sachant s'il devait parler, se taire ou les deux à la fois.

Duflan

Ah ben enchanté dame Moonflower, pis ben venu dans cte bonne ville de Castelnaudary !

Duflan regardait cette belle dame au sourire enjôleur, qui faisait apparaitre deux jolies petites fossettes en dessous de ses yeux..
Mais elle venait de dire qu'elle avait deux enfants, et les enfants lui il aimait pas ça....tout le temps entrain de poser des questions et de faire des bêtises.
Il jeta un œil par dessus son épaule en espérant qu'elle ne les fasse pas entrer dans sa cabane, et voilà qu'un homme faisait son entré sans dire mot et jetant des regards de braise à la dame, Qui était-il ?
Son mari, hum non...aucun homme ne rougit de la sorte à sa femme après lui avoir donné deux enfants et inversement malheureusement.
Son amant, hum peut être, enfin bon la cabane de Duflan c'était pas un lupanar...il voulait pas avoir d'ennui lui...
Son enfant qui venait justement de faire une bêtise, ben il était un peu trop vieux quand même...
Enfin dans tous les cas , c'était pas clair leurs histoire à ces deux là...

EUh..ouais...vous êtes sir ?....moy c'est Duflan....Vous voulez un bon vin chaud ?
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Estienne

Garbage avait les yeux rivés sur la jeune beauté quand une voix vînt l'interpeller pour lui proposer du vin chaud.

"Mmh?...Ah oui, pardon... Enchanté messire....je m'appelle Garbage. Je suis originaire de Carcassonne mais j'ai bien envie de m'installer dans votre ville qui semble recéler de véritable joyaux."

Il dit tout cela sans quitter des yeux la jeune femme mais un sourire sympathique illumina son visage. Il esperait juste qu'elle avait retenu son nom.

Devil

Lò consòl magère vint en la "demeure" de Duflan. Il avait pensé durant des semaines que ce type vivait soit dans les bois, soit sous un pont. Et en fait, non. Il avait une masure en haut d'une colline où tous ces fichus étrangers venaient passer boire un coup. Notre homme se devait de faire un coup d'éclat pour sa fin de mandat. Ainsi, il avait décidé de lancer un amusement "touristique". Où trouver des étrangers ? Chez ce Duflan, bien sûr !

Il prit donc la charrette municipale comme à son habitude. Il se faisait fainéant le bougre. Pas un mètre sans utiliser sa chariote de fonction. Le mantel aux couleurs de la ville sur les épaules, il fut vite arrivé. Il entra comme tout le monde. Il vit la blonde de la soirée d'hier, puis un type assez louche.

Bonjòrn Monsenh Duflan !

Il ignora complètement les deux autres loustics. Sortant un parchemin de sa poche, il le donna à Dufl.

Voilà. J'ai décidé d'organiser une "attraction touristique" bien particulière. La chasse aux roux avec bûcher à la clé. En cette fin d'année, il faut bien s'amuser !

En voyant la bouteille de vin chaud, il renifla bruyamment. Il prit le précieux sésame en main et s'en servit une bonne rasade. Il n'allait pas laisser une seule goutte d'alcool chaurien à ces gens là.

Moonflower

Et bien et bien !
Elle en avait déjà poussé quelques unes... des portes de bureau des voyageurs... Mais jamais encore elle n'avait eu un accueil si... éclectique. Quand l'un bafouillait, la dévorant indécemment du regard, un autre lui souhaitait une bienvenue classique tandis qu'un troisième l'ignorait tout bonnement.

Un peu troublée par la situation, la jeune femme lisse les pans de sa cape de laine noire, histoire de se redonner contenance.

Je vous remercie bien, messers.

Puis elle se tourne vers messer Leone, qu'elle avait rapidement croisé en taverne.

Citation:

Voilà. J'ai décidé d'organiser une "attraction touristique" bien particulière. La chasse aux roux avec bûcher à la clé. En cette fin d'année, il faut bien s'amuser !

Elle observe l'homme sans discrétion, le jauge, secoue la tête devant ses manières qu'elle juge grossières et pense soudain à Eolia, amie, rousse, qui flirtait avec les sorts et autres talismans. Une pensée furtive pour Alaynia aussi. Elle leur dirait à l'occasion d'éviter absolument la ville de Castelnaudary.

Pour l'instant elle préfère se taire.
Il ne manquerait plus qu'on la suspecte de ne pas être une bonne aristotélicienne. Le fait qu'elle soit fille-mère nuisait suffisamment à sa réputation.

Je vous laisse, messers. La bonne journée.

Et de s'en aller un peu trop fièrement dans un froissement de robe.

Duflan

De véritables joyaux que vous dites ?, pour sur! mais faut point trop le répéter que dans la réserve du banastié est caché un trésorEt oui le double sens c'était pas son truc à Duflan, et puis il plissa des yeux, signe pour lui d'un moment ou sont cerveau limité essait de réfléchir, ce qui n'est pas facile, c'est comme de demander à un unijambiste de faire un cent mètres, enfin bref

Euh ouais..Vous êtes le fils de la dame ?Mince et si ce gas était un bandit, il venait peut être de loin pour voler les joyaux de castel, mince....la boulette.

Et voilà que Maloke, enfin Leone , entrez comme ça, parlez d'une chasse au roux, sans m^me saluer la jolie dame , mais le pire c'est qui vidé le vin chaud

AH, ben ouais sur que c'est une bonne idée !Pis moy je suis sur que Oliver est un roux !, porte une perruque c'est sur !
heu...savez vider le vin chaud là.....
Et puis Duflan regarda l dame partir comme ça, elle avait l'air en colère ou déçu enfin bref...
Ben , au revoir dame pis à bientôt j'espère....
Pis si vous repassez par la, pourriez me ramener un morceaux de brioche, serez gentil !

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Moonflower

Citation:

Ben , au revoir dame pis à bientôt j'espère....
Pis si vous repassez par la, pourriez me ramener un morceaux de brioche, serez gentil !

Moon se retourne et lui sourit.

De la brioche hein ?

Regard appuyé sur la bidoche proéminente du sympathique bonhomme.

Je verrai çà. Bonne journée.

Elle lui fait un clin d'oeil malicieux avant de franchir la porte, laissant le vent glacial de l'hiver s'engouffrer dans la pièce.

Devil

Se sentant observé, il lance un regard appuyé à la jeune blondinette. Bof. Il n'apprécie que les brunes de toute façon. Encore un petit coup de vin chaud, il étouffe un rot. C'est pour ajouter un petit plus dans le besace, dira-t-on. Après tout, on chasse les étrangers ou ne les chasse pas. En ce jour, il avait décidé d'être malpoli, irrespectueux, grossier, irrévérencieux. Bref, un type bien "sympa" comme on en trouve plus.

Un dernier petit échange entre les deux protagonistes, il écoute Duflan sans rien dire. La blondinette sort dans un froissement de robe. Le teint d'une jeune femme blonde se perd au milieu du vent glacial de ce mois de décembre. Un courant d'air froid remonte jusqu'à ses oreilles. C'est alors que Léone jète un œil vers le dernier étranger. Puis se tourne vers le Dufl.

Il est excellent ton vin, Duflan ! Oliver ? Un roux à perruque, dis-tu ?

Duflan

Il rougit quand l belle blonde lui fit un petit clin d'œil en lui parlant de brioche, c'est que lui, il faut pas le prendre par les sentiments et il s'imagine déjà faisant plein de choses avec la brioche ou avec la blonde mais pas les deux, ah non ! on peux être un rustre mais avoir des principes !
ET Duflan en a quand il s'agit de nourriture et de boisson et en parlant de ça

Dites d'on c'est point parce que vous êtes le bourgmestre qui faut s'enfiler tout mon pinard, non mais hopSur ceux Duflan arrache la bouteille des mains du maire et lui jette un regard mauvais, une légende court sur Duflan qui aurait attaquer une bande de voleurs de tonneau de vin à lui tous seul..., l'homme est lâche mais pas pour le vinicole, en attendant il finit la bouteille et a jette au loin

Té une de moins pour les anglois ! celle là il la boiront pas...et pis ouais j'en suis sûr que Oliver fait partis de la bande des perruques...c'est un roux..on me la fais point moy...
écoutez d'on un soir je l'ai surpris entrain de manger du poulet aux orties alors hein ? à part un rouquin qui pourrait faire ça....
Moy je propose qu'on le brûle on verra bien, si c'est un rouquin ça sentira !
Voilà autrement ben....ah ouais...mince..ben on s'excusera pis voila tout
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Shaena

Shaena arrivait de Carcassonne, elle se dirigea vers le bureau des voyageurs, comme tout les jours et comme dans toutes le villes ou elle mettait les pieds.

Elle abaissa la poignée de la porte difficilement avec ses mains engourdies par le froid, frissonna en entrant dans une pièce chaude, sa tête était enroulée dans son écharpe et comme elle était, elle se présenta:

Bonjour, je m'appelle Shaena Divin, je suis originaire de Béziers et je pense passée quelques jours ici pour me reposer, est-ce possible ?

Elle laissait paraître uniquement ses yeux, le reste était enveloppé dans son écharpe qui lui tombait sur les épaules, balayant du regard la pièce de gauche à droite, elle attendait.
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Duflan

Attendant la réponse du bourgmestre qui semblait perdu dans ses pensées , à moins que le vin chaud ne fasse à faire son effet !
Duflan se retourna d'un coup en voyant la porte s'ouvrir doucement, le silence se faisait tout d'un coup pesant et puis une femme apparu, on ne voyait que ses yeux, le reste était caché derrière un foulard...curieux....
Avait-elle la peste ?, ou alors c'était une rousse voilà, dans l'esprit de notre pauvre homme, il ne lui parut pas évident qu'elle se protégeait tout simplement du froid.

Ben le bienvenu dame Shaena, pis pour sûr que vous pouvez rester aussi longtemps que vous voulez ! Du moment que vous payez à boire !Duflan éclata de rire à sa plaisanterie arf ouais bon chez nous, la seul obligation c'est d'allez casser les pieds à Paquita !et de me ramener une brioche parce que je commence à avoir drôlement faim à parlez comme ça....

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Shaena

Shaena le regarde, sans savoir trop quoi répondre, devait elle rire ? sourire ? ne rien faire et repartir ? La jeune femme était sur les routes et venait de passé deux nuits à marcher pour arrivée ici, que déjà, elle se sentait obligée de payée à boire pour les villageois avec le peu d'écus qu'elle avait.

Soit, si c'était une obligation, elle le ferai sans discutée au risque d'être rejetée de leur village, puis l'obligation d'aller voir Dame paquita, puis le devoir de lui ramené une brioche, tout cela faisait beaucoup pour une seule personne déjà tellement faible et fatiguée, puis à savoir qui était Dame Paquita c'était encore autre chose.

Shaena s'approche sans se découvrir, elle le regarde longuement, silencieuse et glisse sa main dans sa besace et lui tend un morceau de pain, le dernier qu'elle possède d'ailleurs en disant doucement:

Tenez, prenez cela en gage de remerciement si vous avez faim. Je n'en ai guère besoin. Puis de plus je ne connais pas votre village, ni dame Paquita, le temps de cherché la dame et une brioche, vous serez mort de faim. Dites moi juste, ou puis-je trouvée votre bourgmestre ? j'aimerai trouvée un endroit pour dormir cette nuit.

Par politesse, elle affiche un sourire caché, ses yeux se plissaient donc il savait que la jeune femme souriait, il ne pouvait que le voir. Shaena restait couverte, pourquoi ? peut-être la peur.. peut-être le froid.. peut-être repensait elle à ce qu'elle avait subie il n'y a pas si longtemps, d'où le bébé qu'elle portait, conçu par viol et sans tendresse, mais personne ici n'en saura rien.. elle serai responsable à leur dires comme elle l'était à Béziers pour son frère.

Shaena effaça son sourire aussi vite qu'il était apparut, elle avait faim et soif, boire une tisane et dormir.. oubliée.. voila tout ce qu'elle désirait.
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Duflan

Duflan est un rustre sans manières, c'est une façon pour lui de se protéger, mais il sait lire dans les yeux des gens et il y voit la fatigue et la tristesse dans les yeux de cette dame.
ET quand elle lui tend son maigre pain, il sent une boule se créer dans son ventre, il connait la faim, le froid, le rejet et la fatigue.

Dites d'on m'avez l'air plutôt fatigué vous ! pis vous allez le garder votre pain j'en veux point !
Ferais ben voir que j'accepte ça moy !, ma cabane elle est là pour servir à boire et donner un petit truc à manger aux étrangers point le contraire !
Alors vous allez vous assoir là prés du feu, pis boire un bon vin chaud !
Pis si vous connaissez point la Paquita l'es pas bien grave ! c'est même plutôt de la chance que vous avez ! , c'est une mauvaise bonne femme croyez moy, tout le temps en train de colporter des balivernes sur les autres......

ET sans lui laisser le temps de répondre duflan lui sert une soupe chaude de lard et un bon verre de vin chaud avec un crouton de pain

Tenez pis vous manger le tout ! c'est obligatoire voilà !
Hum pour dormir faudrait voir ça avec le curé plutôt, ouais faut demander le père SAino
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Estienne

garbage observait le manège qui se deroulait autour de lui et se disait que l'endroit était plutot une sorte de soupe populaire tenue par des ivrognes. Drôle de liue. il pensait qu'il trouverait sans doute des gens plus raffinés ailleurs dans le comté et s'eclipsa de l'endroit.

Devil

Plus de vin chaud ! Et des révélations concernant le fameux Oliver et sa perruque. Du poulet aux orties ? Pour sûr, c'était un signe. Il n'y a qu'un roux pour aimer ce genre de plat. Il s'essuya les lèvres avec un bout de tissu. Cet alcool n'était pas des meilleurs mais il en avait bien besoin. Cela faisait moult temps qu'il n'avait pas bu une seule goutte. Il tourne à la tisane, l'vieux.

C'est alors qu'une jeune femme entre dans l'auberge de circonstance. Il lève un sourcil et essaye de détailler la personne en question. Chose difficile à faire. Sachant qu'elle cache son visage derrière une sorte de longue écharpe. Et voilà, qu'elle semble venir de Béziers. Ils possèdent de drôles de tradition dans ce patelin. A moins qu'il ne s'agisse de la lèpre et que cette femme cache sa laideur derrière quelques bouts de tissus.

Dites moi juste, ou puis-je trouvée votre bourgmestre ?

Il recule d'un pas, puis de deux comme prit d'une soudaine envie de fuir. Il observe Duflan qui ne se démonte pas et répond à la dame. L'vieux, quant à lui, se saisit d'un couteau trainant sur la table. Il le cache habilement dans sa manche, renifle violemment, signalant par là sa présence.

Oui, le Père Saino est tout désigné pour vous trouver une paillasse où dormir...

Il se gratte alors le menton en jetant un œil sur l'âtre de la cheminée. Les flammes tournoient et lancent un contraste de couleur sur le visage du vieux.

Duflan

L'homme qui avait mis du temps à se présenter, sortit sans même dire au revoir.
Duflan le salua néanmoins, on ne juger pas les gens ici, on les accueillaient quelque soit leurs niveaux d'éducation.
ET puis il se retourna vers Leone, il portait sur son visage... le meurtre et puis ou était passé le couteau sur la table...curieux...
Même le feu de la cheminée était bizarre, et puis on loin, on entendait le hurlement d'une chouette......
Le vent s'engouffrait pas la porte mal fermée.

Pourriez au moins apprendre à fermer la porte ! non mais !

Cria dans la nuit le Duflan après avoir claqué la porte d'un grand coup

A je te jure, l'es point possible ça, bon moy faut que je m'absente quelque jours, alors si quelqu'un veut s'occuper des étrangers pendant quelques temps à ma plaçe..ben y peu.....

Sans attendre une réponse, il attrapa sa besace et grimpa sur son ânesse "marchopa" , il disparu dans le brouillard au loin la chouette poursuivait ses cries, seul quelques jurons se faisait entendre de çi de là

Saloperie ! de chouette té me fou les chetons ! a ferais ben voir...pis c'est même pas bon à manger !...berk ! té va boire un coup..allez avance marchopas....
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Duflan

Il était revenu sur castel, apparemment peu de nouvelle tête, les élections comtales battaient leurs plein et contrairement au blé, c'est pas un joyeux moment, on sentait l'agressivité jusque dans les tavernes, se méfiant de vous, vous demandant pour qui vous avez voté...
Duflan lui s'en moquait de tous cela, il avait des gens qu'il appréciait dans chaque partie, c'était un peu comme si on lui demandait de choisir entre ses amis, vivement qu'on en finisse avec ses élections tiens..

En attendant il ralluma le feu de sa petite cabane, ouvrit en grand les portes et les fenêtres pour aérer....

AH fais du ben té.....allez hop je vais me faire un bon vin chaud en attendant d'la visite
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Isabella_vampiritch

La Bretonne avait quitter Castres pour un petit arrêt a Castelnaudary pour quelque jours. Elle avait besoin de changer d'air et de décors, et puis sa soeur était partit avant elle, c'était l'occasion de venir la rejoindre dans la belle ville de Castelnaudary. Elle ne connaissait pas les gens de cette ville, mais elle espérait les rencontrer. C'est donc avec sa capuche sur sa tête qu'elle s'approcha pour remarquer que les voyageurs devait venir se présenter. Une obligation ? Elle n'en savait rien du tout mais par politesse elle décida d'y aller pour s'y présenter. La Bretonne abaissa sa capuche et adressa un sourire a la personne présente.

« Demat da'nol Messire … j'ai entendu dire que les voyageurs devait se présenter ici lieux … Je me présente Bella Vampiritch Agent a la Prévôté de Castres, je suis ici pour quelque jours histoire de changer du décors et de retrouver ma soeur qui ai arriver ici hier matin »

D'ailleurs Bella se demandait si sa jumelle était venue se présenter. Elle espérait bien que oui, elle ne voulait pas que sa soeur passe pour une rustre bien que... parfois Lana le laissait pensée mais sa jamais elle ne le lui dirait, la dispute risquerai de s'enflammer comme d'habitude. Alors tout ce qu'elle fit c'est adresser un sourire au messire.
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Duflan

Il avait posé une grosse gamelle sur le feu, mis du vin rouge et du sucre qu'il avait "emprunté " à l'université pour une fois que cette établissement se sentirais solidaire, c'est vrai que dans ce cas là, duflan lui avait pas trop donné le choix..

retour en arrière :

Il avait vu le recteur sortir de son bureau, alors discrètement il avait ouvert la porte du bureau, persuadé de trouver de nombreuses victuailles et de vin rare...
A sa grande déception, il n'avait trouvé qu'un peu d'eau , des fruits et des biscuits...

Berg...m'étonne point qu'il soit si triste ici

Notre homme enfin trouva un grand sac de sucre, il l'attrapa petit coup d'œil à droite et à gauche, personne ...et hop retour à la réalité

Et puis une belle dame fit son apparition en se présenta

Ah ben enchanté dame Bella, va ben ? pis ben non c'est point une obligation de se présenter, de Castres vous dites ?Légère peur sur le visage de Duflan au souvenir de la maigreur du Jaccot, et si la maladie était contagieuse ? mince..il voulait pas devenir tout maigre lui

Ben j'ai entendu dire qu'il y avait une drôle de maladie la bas, que les gens devenaient tout maigre et tout....le Jaccot par exemple hein !
ET pis le Zoran l'habite toujours la bas celui là, ou vous l'avez enfin pendu !
Dites pis vous direz au gas de Josselin que le couffin avec le drôle dedans l'es pas de moy, c'est pas bien de faire courir des rumeurs comme ça....
Enfin bon....dites vous voulez un bon verre de vin chaud ?
Ah pis si vous avez besoin de quoi que se soit faut demander !, pis ben non j'ai point vu votre soeur...
Dites c'est point la peste au moins ?

Bien qu'il essayait de ne rien laisser transparaitre, notre homme avait peur d'attraper un truc, et il se tenait un peu en retrait de la belle dame
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Isabella_vampiritch

Une drôle de maladie ? Jaccot ? Houlà Bella ne comprenait rien du tout. Quand elle avait vue Messire Jaccot elle ne l'avait pas trouver maigre, elle avait même remarquer que celui ci allait bien, mais en même temps elle ne l'avait vue que de façon très rapide.

« Je suis navré mais je n'ai jamais croisée de Zoran ou Josselin... j'ai bien vue Messire Jaccot mais celui ci se porte a merveille.. je croie... »

La c'est sur que notre petite Bretonne avait un doute maintenant, mais une choses était sur elle n'avait pas eu l'occasion de rencontrer les deux autres personne qu'ont lui avait cité. Fallait dire que Bella n'avait pas l'habitude d'aller en Taverne et elle allait rarement dans la sienne d'ailleurs.

« Non je vous remercie je ne boit pas d'alcool »

Elle lui adressa un sourire, réfléchissant au dire du messire concernent cette soit disant maladie. Heureusement que Bella ne tombait jamais malade, de ce coté là elle était tranquille. En tout cas, le messire venait de confirmer ses pensées, sa soeur ne c'était pas présenter. Fallait il qu'elle lui refasse son éducation ? Grand dieu non elle n'en serait point capable.

« Ce n'ai pas une obligation certes… Mais je trouve cela plus polie de ce présenter lorsqu'on arrive dans une ville nouvel ou personne ne vous connais »

Elle lui adressa un sourire en le voyant reculer. Elle ne se rapprocha pas, elle savait qu'il ce méfiait mais elle n'était pas malade sa elle pouvait le jurer.
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Duflan

Elle avait une voix agréable cette jolie dame mais Duflan était un abruti pas très courageux en plus ,voyant le mal partout

Ah ben ouais, si vous allez pas en taverne vous risquez pas de les croiser le Zoran et le Josselin passe leurs temps là bas ceux là..Des boit sans soif...je vous le dit moy ! faut honte au comté de Toulouse té !Et oui..c'est vraiment l'âne qui se moque du cheval mais bon...passons

Oh, ben je suis bête je vous ai servis un verre moy ..ben si vous en voulez pas ...je va le boire , serait dommage de perdre té..pis je vais vous accompagner je vais en boire un autre..voilà...

Donc notre homme médisant venez de traiter deux hommes de soiffard pendant qu'il buvait deux verres de vin comme cela...

Oh ben moy je suis sûr que le Jaccot est malade, je l'ai croisé hier sur la place publique..., le pauvre homme ...ah..je sais point si je dois vous le dire....enfin bref..l'était saoul comme un rond de bique ...pis disez n'importe quoi...Duflan se rapprocha du feu, pour rajouter un peu de bois

AH l'es foutu je crois bien le Jaccot,..ouais tenez vous ben je l'ai même vu menacer des gens avec un saucisson..., trouvez ça normal vous ?
Quand je pense à tous ce que j'ai fait pour lui...té c'est bien misère...ah je vous jure...
Dites vous restez quelques jours ou pas ?

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Isabella_vampiritch

Bella fut surprise de ses paroles, a l'encontre des deux personnes. Elle passait souvent devant les tavernes mais elle ne les avait jamais aperçue. Peut être qu'ils passaient quand elle n'était pas présente ? C'était une possibilité que notre Bretonne n'écarta point. Elle eu un sourire en le voyant boire et commença a se dire que cette vision lui rappelait sa précieuse Bretagne. Tellement de Vannetais qui passait leur temps a boire pour fêter tel ou tel choses ou bien simplement par envie de s'offrir un verre. Nombreuse furent les fois ou elle c'était réveiller avec un jolie petit mal de tête. La jeune Bretonne eu alors un sourire amusée quand il décrivis que messire Jaccot avait menacer des gens avec un saucisson en main.

« Hé bien je reste en cette ville jusqu'après demain normalement …. Bien que je n'ai guère l'envie de rentrer en Castres je n'ai pas le choix mon travail m'attend la bas »

Elle lui adressa un sourire et regarda le feu. Bon elle n'avait pas beaucoup de travail surtout a Castres ou les habitants jouait a cache cache la plupart du temps, voir même tout le temps. Autant dire que Castres était presque une ville fantôme. Elle eu d'ailleurs un sourire moqueur en imaginant quel tête ferais les Bretons si elle leur disait l'état de la ville. Ils seraient surement en train de dire, les Tavernes en Bretagne était toujours pleine a craquer il fallait limite faire la queue pour pouvoir entrer.

« Castel est une ville bien plus animée que Castres …Il ai dommage que les Castrais préfère jouer a cache cache au lieu de montrer signe de vie … Je doit avouer que je pense a demander ma mutation ici lieu mais j'aurai aimer pouvoir rencontrer le Maire avant de faire cela … Savez vous ou je pourrai le trouver ? »
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Duflan

Duflan l'écoutait lui parler des Castres et de nombreux souvenirs refaisait surface.........
Il releva la t^te vers la jeune femme

Ben pour le maire c'est Natale, je pense que le mieux c'est d'aller le trouver à son bureau, vous verrez c'est pas bien compliquer à trouver c'est près de la place du marché et là vous verrez il y une dame qu'est toujours accrocher à la porte...
Elle essaie de prendre la mairie tous les dix jours, faut point faire attention...l'es pas toute seule dans sa tête, elle entend des voix je crois bien...enfin bref....
Pis si vous voulez vous installer vous êtes la bienvenue sur ! nous on demande que ça....
Point d'animation à Castres, ah ?, ben pourtant mon ami Heimrich est partit s'installer la bas avec Nejma....
Oh pis j'y pense ferais un gros bisous à dame Navis, elle nous manque aussi avec son gros chat.....enfin son chat...une drôle de bestiole ouais.
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Isabella_vampiritch

Bella lui adressa un sourire en entendant les noms de ses deux amis.

« J'irai au bureau du Maire dans ce cas je vous remercie beaucoup car je veut voir avec lui pour savoir si il y a besoin de moi ici ou non … Heim et Nejma sont rarement présent, le plus souvent ils partent voyager quelque jours, du coup quand ils ne sont plus là hé bien c'est un peut vide »

La bretonne ne comprit pas trop au dire du messire, pourquoi Navis avait quitter Castelnaudary pour aller dans une ville morte. D'ailleurs rien ne ce m'était en place et pour joindre la Maire c'était un vrai combat.

« J'en ferais par a Dame Navis ...Si j'arrive a lui parler car ont ne la voie guère souvent ...Choses que je trouve un peut étrange pour un Maire ...Elle ne salue point les habitant sa ma surprise d'ailleurs car chez nous en Bretagne chaque Maire passe dans toutes les tavernes pour saluer ses habitants.... enfin il ai vrai qu'ici cela ai différent »

Elle lui sourit avant de remettre sa capuche sur sa tête.

« Je vais aller voir le Maire...Encore merci pour votre accueil Messire »

Elle inclina poliment la tête et s'en va pour se diriger vers le bureau du Maire.
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Duflan

Duflan la regarda partir et resta un peu circonspect sur ce qu'elle lui avait dit sur Navis, cela ne ressemblait pas a son souvenir...peu être la timidité tout simplement....
Et puis d'un coup un pigeon se posa sur la fenêtre, le volatile avait un drôle de regard.
Duflan tenta à plusieurs reprise de l'attraper mais on aurait cru que l'affreuse bestiole se jouée de lui, volant d'un endroit à l'autre à chaque tentative

Va tu venir ici sale bestiole ! t'a intérêt à me le donner ce message autrement je va te bouffer tout cru !
ah tu veux faire le malin toi ! va te montrer tiens...

Notre homme tranquillement attrape un bon bout de bois et s'approche en sifflotant vers le volatile..
Piou piou...gru..gru(Bon c'est le bruit du pigeon hein !)Gru gru....viens voir les jolies graines de papa Duflan ! petit ..gentil ...petit oiseau
Et d'un grand coup d'un seul Duflan fracasse la tête de l'oiseau
Tiens sale bête ! ah j'en ai terrasser des plus gros que toi..tiens ...allez zou au feu !tu mérites même pas que j'te mange té !
Tout en regardant le volatile bruler et le message avec, notre homme roule des mécaniques, style grand guerrier fendant l'air avec son bout de bois comme si il avait une épée

C'est moy, le grand Chevalier Duflan ! préparez vous maudit Anglois car j'arrive !Et puis prerant une petit voix et menaçant une boite métallique !Oh non ! chevalier Duflan ne nous faites pas de mal pitié vous êtes trop fort !
Reprenant sa voix normal en fracassant d'un énorme coup la boîte
Nenni le chevalier Duflan ne fait aucune pitié ! a mort maudit Anglois !
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Arfadette01

Vo.. ya.. geurs présentez vous ici.... Arfadette regarde son sac , regarde son stupide cheval , se frotte les fesses .... Oui c'est pour moi je suis voyageuse. Peut etre pourrait on enfin lui dire ou elle se trouve, elle s'était quelque peu égarée. Elle poussa la porte et entra dans le lieu d'acceuil. Rapide état des lieux.... des plumes de partout sur le sol , un poulet en train de bruler dans la cheminée, des bouteilles vides en guise de décoration et ...... Duflan ?????!!!! Deux solutions .... enfin 3 , elle révait..... peu probable vu qu'elle sentait les douleurs dues à son long voyage à cheval.... Duflan avait aménagé dans le nord ... pas aux dernières nouvelles... Elle s'était trompé de direction... Nooooooon..... Siiiiiii ????
Bon pas de panique... Remise en place de sa coiffure, plus beau sourire et ...

Tadammmmmmmmmmm c'est mouaaaaaaaa .... Héhé jt'avais dit que je viendrais ... J'ai affronté la tempête, les loups, j'ai parcuru un long chemin juste pour te faire un bisou , mais je reste pas hein je repars aussitôt, on m'attend à la cour du Roy .... Dans le grand nord, tu sais là ou les nounouchs ils parlent ....

Petit sourire ... Et un mensonge de plus ... un .... Mais bon elle allait pas lui dire qu'elle était ici par erreur... Rapide regard sur la boite ....

Bah dis donc, t'as des muscles toi , toujours en guerre contre ces maudits anglois ?

Duflan

Et puis d'un coup la porte qui s'ouvre et apparition d'une jolie brune, son visage n'est pas inconnu à Duflan mais pour l'instant il ne voit pas trop qui ça peut être, l'alcool étant passez par là et plusieurs fois enfin bref..
Apparemment elle avait prévenue qu'elle passerait et ils ont l'air de bien se connaitre....

Oh !Dans ce cas il faut jamais dire qu'on a pas reconnu la personne ben ça alors si je m'attendais ah ça !des nounours qui parlent dans la nord ?, euh ouais, tu penses bien...le roy ? euh..Mince...alors là notre homme est paumée..qui c'est celle là..hum..et si c'était Paquita qui s'était déguisé pour lui faire un tour, serait bien capable de lui faire un ça

T'a pas amenée Ameal ? on me la fais point à moy !Hop une question juste pour voir si c'était la maudite, apparemment vu son regard elle à pas l'air de comprendre...
Le cerveau de notre homme travaille au maximum, ce qui correspond à la phase du sommeil chez un autre mais bon...hum..le roy qu'elle à dis...
Mince le message à la patte du pigeon...
Duflan jette un œil vers le pigeon qui brule, trop tard le papier à flambé...
Et si c'était la reine....

bienvenue chez moy et vive le Roy !Sourire idiot de Duflan en espérant que c'était bien la reine en face de lui ! et puis d'un coup il réalise qui faut se courber devant la reine.
Il fait une courbette un peu ridicule....et se redresse en attrapant la bouteille

Vous voulez boire un coup ?[/i]
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Arfadette01

Gné ? Ameal ? Nan j'a viendu avec Patapouf c'est tout moua .....

Décidément Arfadette n'avait pas l'exclusivité de la cervelle dérangée, son ami semblait avoir lui aussi un léger problème ... A moins que ce ne soit l'alcool... Visiblement il ne la reconnaissait pas.... Amusée par sa courbette et ses vouvoiements elle se mit en tête de lui raffraichir la mémoire.

Hé ho Duflan c'est moi .... Coucou !!! Moi tu sais .....

Et là Arfie se mit à courrir dans la pièce , battant des bras maladroitement pour imiter un canard....

Coin coin coin ...

Puis tout son répertoire de mime y passa, à genoux pour imiter un nain, fit des grimaces pour mimer un sorcier, sans oublier d'essayer tant bien que mal de mimer un homme qui se noyait dans 10 cm d'eau....
Elle se planta enfin essoufflée en face de lui , prit la bouteille qu'il lui tendait et en but une bonne rasade.

Alors on s'embrasse pas ? Tu peux me tutoyer, malgrès mes relations je suis restée simple hein tu sais ....

Persuadée qu'il l'avait enfin reconnue elle lui sauta au cou et le gratiffia d'un énorme baiser sur la joue ...

Duflan

Notre homme était paumé qui était cette dame en face de lui, apparement elle était venue avec un certain patapouf, et voilà qu'elle faisait des gestes bizarre, imitant un canard à qui on avait coupé les jambes et qui faisait des bruits bizarre en bougeant des bras et qui ne savait pas nager, un canard raccourci avec des bras qui hurle et qui sait pas nager ? hum....tout en réfléchissant Duflan se recula, c'est qu'elle commencer à lui faire peur celle là !
Et quand elle lui sauta au cou pour l'embrasser, Duflan eu un léger recul au début et puis à priori la belle ne lui voulait pas de mal

Hein ? que je te reconnais pas ? ha tu rigole ou quoi ?Ouais ben non, il s'approcha de la fenêtre pour regarder qui était ce foutu patapouf, hum un cheval, ouais...oh...ça y est ! c 'était un rébus qu'elle lui avait fait pour qu'il comprenne son nom

Oh, t'es de retour mon copain Canardracoucrinoiulle ! ben dis fais plaisir ...oh ben si..Et puis d'un coup...il avait pas de moustache et puis c'était pas une femme et en plus il avait jamais eu de copain avec un nom pareil Duflan

Ah..gtrr pis mince...sacré foutu j'y comprends rien moyil lui arracha d'un trait la bouteille des mains et la vida d'un trait
AH m'énerve té, oh me rappelle Arfadette té !Et puis un regard dans les yeux de la dite dame
Mince Arfie ! c'est toi ! oh ben ça alors ! pourquoi tu dis rien là...ben mince moy qui croyais que t'avais été transformé en canard, c'est fou ça...
té faut que te montre un truc
Duflan attrapa un petit galepin et tourna jusqu'à la lettre F pour arfadette, ouais chercher pas c'est comme ça !

Alors c'est ou, ben tu penses quand t'a disparu j'ai couru à la mare au canard et hop j'aperçois quoi la bas, une canette avec un plus gros popotin que les autres et la hop, je me suis dis té la voila la arfadette ! alors tout les jours je t'ai donné du pain et des graines, té c'est là !

ARfadette deux sacs de grains, 200 pains ah tu vois, ça fais un peu prés 830 écus ! ben dis fais plaisir ! allez on va boire un coup pis je te fais ça à 800 écus tu penses bien !
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Arfadette01

Et bien le pauvre il était devenu fou, surement la douleur de son absence qui l'avait fait sombrer dans l'alcool... Quoi que même présente il lui semblait que déjà... Bref elle était heureuse et toujours pendue à son cou , elle l'écouta attendrie... Il avait nourrit les canards , un canard avec un gros .....

Quoiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! Nan mais ho c'est une maladie chez vous, j'ai pas un gros popotin moua ... et pas un gros ventre non plus d'ailleurs. Pffff. Enfin ca t'a évité de braconner ces pauvres bestioles ...

Coup d'oeil complice et rapide regard sur la note de pain et de maîs. Le vieux perdait pas le nord.

Ho c'est pas cher dis donc... fait moi penser à te les donner avant de partir ..

Même pas en rêve...

Alors te voilà à l'acceuil des voyageurs, bah dis donc mazette t'as un bon travail ... C'est bien payé ? Moi je suis sur la route pour aller voir mon ami le Roy, tu sais ce que c'est il a besoin encore d'un conseil pour diriger le royaume pffff et qui qu'il appelle ? La brave Arfie.... Ah jte dis sans moi , le royaume tournerait pas bien rond , il est un peu perdu en ce moment ....

Et elle se mit à lui raconter ses aventures...

Bateau.... bla bla bla.... Harpège bla bla bla ..... Mon homme Ambassadeur mourrut dans le monastère et bla bla bla bla bla ... gros poisson pfiou bla bla bla parceque j'avais une zépine dans le doigt et bla bla bla ........ Même que jm'ai faite attaquée par une pirate et oui !!! pfiou et bla bla bla et bla bla bla

Elle parla longuement ne s'arettant que pour boire de bonne rasades de ce liquide infame qui à la longue commencait à passer tout seul.

Bon sinon ..... on mange quoi ? Pour 800 écus on pourrait peut-être le bouffer le canard au gros popotin ....

Duflan

Duflan haussa légèrement les sourcils quand elle lui dit qu'elle n'avait pas de grosse fesses, par contre il regretta de ne pas avoir demandé plus de 800 écus et puis qu'est ce qu'elle parlait et buver celle là, son esprit vagabondait lançant un..
Ah bon ?de temps en temps ou alors M'étonne pas tiensOu un..J'aurais fait de m^me tu pensesEt puis le piège ou il ne faut surtout pas tomber quand une femme vous pose une question, ne surtout pas répondre, c'est pas ça qu'elle veut, c'est juste que vous l'écoutiez...et là avec Arfadette on été dans la maximum , un débit incroyable, il n'avait pas tout écouter, mais bon

EUh, ben non j'ai point demandé à être payé pour recevoir les voyageurs, tu penses bien, charité chrétienne , faut ben que quelqu'un le fasse..Mince, il y avait pas pensé quel boulet, hum faudra qu'il en touche un mot ou deux au bourgmestre non, je récupère juste du vin et du pain, pis des fois de la brioche pour les voyageurs, oh je te dis pas que j'en prends pas une part pour moy, mais bontout pratiquement mais bon..ça personne ne le savaitOh pis un jambon ou deux de temps en temps mais là c'est compliqué sont pas tous généreux comme moy au village tu penses bien, té allez je vais en sortir un pis on va le manger ! ça se fête quand même !
Et voilà notre homme qui découpe de grosses lamelles de jambon et les place sur la table

Oh pis tu sais pour le roy, je suis point surpris, l'es pareil avec moy, il me demande des avis sans cesse, té l'autre jour je reçois un missive qui me demandait si il devait construire des gros bateaux pour allez au loin cherchez de la richesse...
Et là Duflan ferme un de ses yeux et penche un peux la tête convaincu que cela lui donne un air intelligent, enfin lui il le croît
Nenni que je lui est dit, faites point ça, la terre est plate comme la table , vous allez perdre tous vos bateaux ou alors faut les accrocher à une corde et hop quand il arrive au bout de la mer, le capitaine sonne la cloche et hop au ramené la bateau et voilà Il finit sa phrase en avalant d'un trait le verre de vin qu'il sait servit, c'est qu'elle la énervé la arfie avec son roy est tout

dis je pense un truc, c'est comment que tu t'es retransformé en .. il la montre du doigt cherchant ses mots Enfin ouais..en femme quoi...parce que ça pourrait peut être m'aider pour les autres, té quand je prend la canne princesselaure c'est que j'ai un paquet de sous à récupérer moy depuis le temps que je la nourrie hein !
Alors comment que ta fais ?
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--Omar_le_braque

Et voilà! C'est reparti pour des journées d'errance... Omar commence à en avoir sa claque des caprices d'Istanga. Quoique, là, on ne peut pas vraiment dire que ce soit un caprice, mais bien plutôt une sorte d'obligation, une façon d'échapper à la bêtise Gasconne.

N'empêche que notre Omar en a ras le casque : son Parti était pourtant bien parti, et tout lâcher pour une ridicule histoire de porte ouverte, ça le fait quand même sacrément râler. Et puis, cette manie de voyager de nuit, de ne pas s'arrêter dans les villes...

C'est pourquoi, quand Istanga donne l'ordre de s'arrêter quelques jours à Castelnaudary, Omar pousse un grand cri de joie. Enfin des tavernes, enfin des filles à trousser, enfin des bagarres.... Il prend son ami Zouyi par l'épaule et l'entraîne en avant du convoi, laissant Istanga, Darius, Robert Arctor, Toth et Harris, qui avancent lentement, trop lentement à son goût.

Allez, viens donc, l'gars Zouyi! On va aller s'en j'ter un! Tiens, r'gard'donc là! Y z'accueillent les voyageurs!

Il tambourine de bon coeur à la porte.

Y a quéquin? On a souèffe nous! Ouvrez à d'pôv' voyageurs, qu'ont faim, qu'ont grand souèffe surtout!

Se retournant vers Zouyi au large sourire muet :

N'empêche que l'parti Douite, faudra l'refaire ailleurs...

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La nuit, tous les ivrognes sont gris.
(Professeur Choron)

Duflan

ET tu te souviens quand t'......Un regard à droite et à gauche , elle a encore disparu comme ça, il s'était retournée juste une minute pour remuer le feu, car tous les hommes aiment brasser le feu...
Prenez un homme et un feu et regardez, il ne pourra pas résister longtemps c'est dans son patrimoine génétique, faut qu'il le remue son tas de brindilles enfin bref...
Duflan est inquiet quand même et un peu triste,,elle aurait pu dire au revoir Arfie surtout qu'il avait sorti un bon vin pas celui des voyageurs !
ET voilà qu'on taper à sa porte maintenant...

Oh, c'est elle..
Il ouvre la porte avec sa bouteille à la main et aperçoit deux hommes devant, il cherche du regard si Arfadette est là

Euh..Z'avez pas vu une canne ? pis celle là , elle a un gros popotin...pis elle cause tout le temps...non ?..ah l'es trop couillon ça....
Et puis au regard des deux hommes duflan s'aperçoit qu'il ne saisissent pas un mot

Oh, excusé, ben venu à CAstelnaudary ! la plus belle ville du royaume...paraitrais même que le roy veut s'y installer enfin bref !
Je m'appelle Duflan ! voulez un peu de soupe au gras ?
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--Zouyi

Zouyi, comme toujours, avait suivi sans broncher, et pour cause, son ami et mentor, Omar. Il faut dire aussi que la mise sous clé par Istanga de la réserve de boukhra finissait de leur ruiner le moral.

Déjà l'abandon de leur Parti, Douite, avait bien entamé leur joie de vivre. Aussi, la perspective de boire un verre, de manger autre chose que les mets délicats concoctés par l'efféminé cuisinier de leur patronne l'avait enchanté.

Evidemment, la vision d'un homme bien en chair, brandissant bouteille cachetée, le fit saliver et, lorsque Duflan proposa une soupe au gras, son estomac délivra quelques bruits de bon aloi, indiquant à leur hôte sa tacite acceptation. Acceptation qu'il confirma par de rapides mouvements de la tête de haut en bas, accompagnés de son plus grand sourire.

Quant à Omar, il répondit, jovial :

Ah ben c'est pas d'refus, Duflan! Moi, j'suis Omar. Y en a qui m'appellent le Braque, mais Omar ça va.
Et lui, désignant Zouyi, c'est mon pote Zouyi, l'gars Zouyi que j'dis, cause qu'y gazouille quand y voit une paire de miches avantageuses, ou un gros popotin comm'çui qu'vous dites là, de vot' cane.
Donc on l'a pas vue vot'cane, pis j'savais point qu'ça pouvait parler.
Ah ouais, j'oubliais, Zouyi est muet, faut pas y en vouloir s'y répond pas.

Une légère hésitation plus tard, il ajouta :

C'est quoi une soupe au gras?

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La langue d'un muet vaut mieux que celle d'un menteur.
(Proverbe turc)

Duflan

Duflan jaugea vite fait les deux ..des tronches de gas à passer leurs vies dans des tripots...donc des gas respectables

Ouais savez raison rentrez d'on , restez pas dehors à attraper la mort, je vais vous payer le coup !

Il les fit entrer dans sa masure, un gros bordel avec une table au milieu et des chaises ou il fallait pousser ce qu'il y avait dessus pour s'assoir, au fond une cheminée avec une grosse marmite dessus, d'où s'échappe un léger fumet.
Notre homme attrapa trois gobelets pus ou moins sale et les remplit aussi haut que possible avec une autre bouteille pas celle qui avait dans la main qui posa elle sur la table un peu plus loin...
Tenez gouter d'on ça en attendant, c'est pas ce qu'on fait de meilleur, mais ça fais oublier le chagrin !
AH pis je va vous servir d'ma soupe au gras, l'es pas compliqué..c'est de l'eau que je fais chauffer avec du sel et pis je mets des bouts de gras de gorets dedans ! pis ça vous tiens un homme en vie je peux vous le dire !

Il attrapa trois gamelles et les remplit du fameux bouillon !
Je va vous accompagner parce qu'on m'a toujours dit que c'était point polie de laisser les autres manger sans rien prendre !
AH pis faut m'excuser c'est que les beaux messieurs du bourg voulliant point me donner de meilleurs choses pour les visiteurs , c'est qui raconte que j'en piquerais une partie pour moy ! vous entendez ça ?, l'es point possible d'accuser un brave homme comme moy je vous jure !

Et voilà notre compagnon parti à parler dans son flot incessant et jouant les victimes bien sur , en arrière plan on apercevait un bout d'un gros jambon caché derrière un drap, certainement donné par la mairie pour les voyageurs....

Ho mais je sais d'ou ça viens, c'est la paquita avec la louise c'est sur ! sont mauvaise ces deux là ! à moitié sorcières en plus ! gibier de potence !
Pis toujours à la taverne du banastié à médire sur les autres ! méfiez vous cette taverne est mal fréquenté , c'est plein enfants du diable la bas, des rousse, des curés qu'organise des soirées soutanes et pis l'autre fou d'amael...enfin bref
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Oceania

Ils avaient voyagés toute la nuit, d'après certains c'est plus convenable de marcher la nuit pour éviter les brigands, pour Oceania c'est plus convenable pour discuter avec les crapauds en chemin.

Ils avaient voyagés longtemps, trop longtemps d'après certains c'est à cause des nombreuses haltes, pour Oceania c'est à cause de son internement de force au monastére.

D'ailleurs en parlant de cela, la hors la loi s'en souvenait encore ! Faut dire plus d'une semaine à aller à la messe ! C'était assez insoutenable et dans le Languedoc les nonnes ne sont pas bien gentilles, elles vous guettent, surveillent, inspectent, histoire que vous fassiez pas de bêtises !

Alors, elle avait à la bonne Zinoaloe, parce que lui quand il était malade, la brune l'avait sagement soigné, à coup de "je t'attache au lit pour ne pas que tu courres en taverne rejoindre ton ami qui est venu exprès te voir" et de délicieux ragoût de crapauds.

Enfin, ils étaient revenus à Castel en un morceau ou presque ! Même qu'ils avaient ramenés d'autres morceaux, des amis de longues dates.
Bref, tout jure est-il qu'après un p'tit somme mérité aux abords de la ville, dans la forêt, Oceania se dit qu'il était temps de passer à la cabane aux voyageurs.
Depuis le temps qu'elle voulait y aller ! Vous savez c'est un peu comme un endroit magique et merveilleux pour elle.

Donc, de bon matin, la hors la loi se présenta au pays merveilleux, ahem à la miteuse cabane disons pour être plus réaliste !
La p'tite brune n'avait pas prit le temps de se laver un peu, à quoi bon ?
Elle ne s'était pas non plus coiffée, qu'est-ce donc que cette pratique barbare ?

Mais elle n'avait pas oublier le galet pour Duflan, fraichement ramassé sur une plage du Languedoc. Tout rond, et polie par les vagues.
Et en principe c'était Duflan qui s'occupait de l'acceuil, donc autant faire d'une pierre, deux coups !

Toute contente, oui il en faut peu pour être heureux, Oceania frappa à la porte.

"Que y'a quelqu'un ici ?"
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Duflan

Ils avaient passez leurs soirées à manger et à boire, les voyageurs n'ayant pas tarder à sortir leurs petites liqueurs locales et leurs mets de chez eux, il faut dire que Duflan était assez doué pour cela pour provoquer les gens sur leurs bouffes du coin des années d'entrainement...un peu de curiosité "ah bon ?"..de provocation.."ca vaut pas le.." et un peu de compliment "c'est vrai que chez vous.." et hop ils tomber tous dans le panneau tellement fier de leur coin de pays ou ils étaient née, comme si ont pouvaient être fier de ça..enfin bon..on s'accroche à ce qu'on peut.

Et puis ils étaient reparties comme d'autres

Ouais ben bonne route, pis méfiez vous la maréchaussée et souvent caché au coin du croisement de castres, ils arrêtent les gas qu'on trop bu ! comme quoi se seraient dangereux de conduire saoul ! ah jt'e jure n'importe quoi !
allez ben le jour chez vous !pis bien des choses à votre d'ame !

Et vla ! il claque la porte et s'écroule sur son lit en ronflant.....
la nuit.....et puis le soleil qui se léve....et puis un bon moment après des bruits à la porte !
Duflan est juste levé, il plonge la tête dans une bassine d'eau fais des bulles dans l'eau comme un enfant pendant un moment et se secoue la tête, il remet sa chemise et ouvre la porte...

Oh ! Océania..ben ça alors....ben en vla une bonne chose...fais plaisir à voir entre...vite... on va boire un coup...pour une fois qu'on peux fêter un truc.. pis dis j'en ai des trucs à te raconter...il s'en est passer des choses.....
...la mule...et puis...Athena......et alors Amael...oh pis...Saino....et la Paquita t'aurais vu sa tête.....
Et notre homme raconte tout les derniers ragots en exagérant un peu voir beaucoup
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Oceania

Hop, la porte s'ouvre, et la brune étire un grand sourire sur son visage. Ben oui, elle est bien contente de revoir des gens qu'elle connait la p'tite !

"Fais plaisir d'te revoir tiens !"

Et voilà qu'Oceania s'assoit sagement sur une chaise, prête à écouter avec plaisir les ragots de Duflan. Faut bien se tenir au courant de ce qui change ou non !
Enfin, en voilà un qui change pas, et il faut avouer que c'est rassurant.
Elle hoche de la tête, fort intéréssée par des récits exagérés mais qui sonnent tellement réaliste à son oreille.

"Té, qu'il s'est passé pleins d'trucs ! T'as pas du t'ennuyer ! Beh ça fait plaisir d'revenir ici ! Ah bah ouais, faut toujours des bonnes raisons pour boire un coup !"

Elle sourit de toutes ses dents la hors la loi puis se souvenant de l'existence de son galet, le pousse du bout des doigts vers le moustachu.

"Tiens te l'ai ramassé sur la plage !

Oh pis moy aussi j'ai des trucs à raconter, l'attaque des brigands, Z'étaient moches hein... La fièvre... L'internement chez les nonnes, niarf que c'était ennuyeux... La re-rencontre 'vec des amis... Ah pis les bouteilles de calva aussi, z'étaient bien bonnes !"

S'en suit un discours sur le voyage plus que long de la brune. Peut être un peu exagéré aussi ! Mais que serait la vie sans exagération après tout !
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Duflan

Duflan l'écoutait sagement Oceania, il les trouvaient toujours bizarre ses histoires comme si elle regardait le monde avec d'autres yeux enfin bref...

Oh , ben ouais fais plaisir ! sur la plage que tu dis....hum....alors c'est un caillou de géant c'est sur ! Pour ça qu'ils ont tous rond les cailloux la bas !
Il parait que lors de la grande bataille contre les dieux, les géants voyant qu'ils allaient perdre ont crée une grande barrière de caillou pour se protéger !
Mais les dieux ont frappés si fort de colère qu'ils l'ont brisés et transformées en sable et seul subsiste quelques cailloux devenues rond !

Il avala une grande gorgée de vin à la fin de son histoire !

Ouais pis t'a croisé des bandits ben mince alors !encore des miséreux qui meurt de faim té ! ferais mieux de leurs donner à manger nos foutus curés au lieu de construire des grandes églises trop froide pour mes vieux os té !
Oh je dis pas ça pour le père Saino parce que lui c'est un bon gas , la main sur le cœur qu'il a ! et pis l'autre un peu baladeuse..mais ça faut point le dire...

ET il éclata de rire, content simplement d'être là !
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Duflan

Le temps passe et une nouvelle journée pointe son nez, le soleil est déjà levé depuis un bon moment et notre homme se lève enfin, il prend son petit déjeuner, un petit déjeuner frugal selon lui, je vous laisse juge:

Du pâté de lapin.
Du saucisson.
Un bol de vin blanc.(le bol c'est pour l'ambiance du petit déjeuner).
Une grosse miche de pain plus ou moins dure.
Trois œufs cuits.
Et de la ventrèche cuit sur un grill sur le feu de cheminée, ce qui donne une agréable odeur de gras dans sa maison.
Et puis il finit avec un petit coup de gnôle pour faire passer cela

Ah di diou fais du ben !

A partir de là, notre homme à ses habitudes, il ouvre sa fenêtre et sa porte, va faire ses besoins, se passe un peu d'eau sur le visage et une fois par mois le corps, mais là on est pas au début du mois donc...

Té c'est'y qui que je vais voir arriver aujourd'hui ?
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Duflan

Il avait attelé marchopas à sa charrette, partir quelques instants sur la route lui ferait du bien, cela faisait trop longtemps qui ne bougé plus.
Il avait laissez quatre bouteilles de vin sur la table, un gros morceau de jambon et une grosse miche de pain avec un saucisson pour les gens de passage.
IL attrapa une grosse planche et écrivit dessus.

Messieurs et mes dames
Ben VENU
LA PORTE EST OUVERTE
Pis j'ai laissez à boire et à manger sur la table
Parce que je suis pas là, autrement j'aurais pas mis une pancarte.
Donc servez vous ! Mais laissez en pour les autres !
Pis foutez pas le bordel non plus !

Et puis il accrocha la pancarte sur la porte, mais tout cela lui avait donné soif et faim, alors il rouvrit la porte et bu un litre de vin, en mangeant un peu de jambon et de de pain

Ouais , trois bouteilles c'est suffisant, faut point exagérer..oh pis té je vais prendre le saucisson pour la route pis une autre bouteille, ouais deux bouteilles ça suffit...oh pis je vais en laissez qu'une té !
Pis je va prendre un autre bout de jambon aussi, fraudais pas que ça se perde

Notre homme pris enfin la route laissant sur la table un litre et un malheureux bout de pain avec une tranche de jambon...
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Dragones

Dragones arrive en vue du village, regard vers ses enfants qui a tour de rôle manier Ness avec facilité.
Elle avait du mal à réaliser qu’ils avaient bien grandit et que bientôt leur envol du nid se fera.
Leger pincement au cœur, soupire qui sort de ses lèvres…

Les lourdes portent son franchit et la petite troupe se dirige vers le bureau des voyageurs.
Elle glisse au sol laissant sa jument, Willow saute de la charrette et l’accompagne.
Tiens regarde maman, y a personne dans le bureau.Elle suit le regard de son fils et survole le mot cloué à la porte.
Même s’il y a personne, il doit bien avoir un registre pour dire notre arrivée.
Ils entrèrent l’un derrière l’autre et Willow poursuit…
Ha ben, ça fait un moment qu’il est parti, y a pratiquement plus rien a manger.
Laisse, ne touche à rien, je suis sur que dans tes braies, tu as de quoi tenir une semaine.
Elle sourit à son fils qui se mit à rire et se dirige vers le registre…

Bonjour,
En ce jour du 8 Février de l’an 1458, arrivé de Dragones de la Mirandole et de ses enfants, Howel, Deirdre et Willow de la Mirandole et de Tinùviel.

Dragones repose la plume après l’avoir nettoyé et ressort du bureau avec son fils.
En route, nous allons bien trouver une auberge pour la nuit.
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Duflan

Il accéléra le pas en apercevant sa demeure au loin, content d'être de retour dans leur bonne ville, bien qu'il ait bien rigolé avec la Louise, les villes traversées se souviendrais d'eux pour un moment en bien ou en mal qu'importe , du moment que le nom de la ville de Castelnaudary rester figé dans leurs mémoires.

Il entra et découvrit le petit mot, une dame était passée avec ses enfants et elle devait être charmante puisqu'elle avait laissé à manger.
En tout cas lui il se jeta sur le reste de nourriture et de boisson

Ben venu SIR DUFLAN ! tenez buvez un bon coup

Notre homme fit le tour de la table en changeant de voix

Oh ben pour sur! c'est point de refus pis je vais manger aussi, ah fais plaisir d'être ben reçu comme cela

ET aussitôt dit aussitôt fais notre homme se jeta sur le reste de nourriture et de boisson
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Duflan

Il avait préparé son baluchon, un petit séjour chez les moines lui ferait le plus grand bien, surtout que les moines étaient des amis, c'étaient leurs noms de familles en fait et n'avait rien du tout des ecclésiastiques sauf que comme eux, il s'étaient retirés du monde mais pour manger et boire et non pour prier.
Il accrocha un parchemin sur la porte et avait laissé deux bouteilles de blanc et un jambon avec un gros pain, et une petite gamelle en cas ou .

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Gluth_vongluth

Il y était, là, à Castelnaudary, chez lui, dans sa ville natale.

La première chose qu'il fit était d'aller voir les dégâts dans son petit cabanon. Il eut la grande surprise que celle-ci fût entretenu... mais ne servait plus vraiment de maison.
Des pioches, des pelles et d'autres outils y étaient entreposés, elle servait de petit cabanon pour les paysans du coin à tout les coups.

Il ne s'y attarda pas très longtemps et alla faire le tour de la ville. Ce qui le surpris un peu fût la disparition de l'auberge de l'Orchidée Noire. Certes pas grand monde y demander asile quand il était jeune, mais la disparition de la bâtisse le fit rendre un peu plus démoralisé qu'il ne l'était déjà.

Le moral au plus bas, il alla vers une petite cabane qui servait de bureau des douanes, histoire de montrer qu'il était là et de ne pas se faire passer pour un vulgaire brigand.

Il vit le mot et entra. Après avoir jeter quelques regards par ci par là pour admiré la pièce, il pris une plume qu'il trempa dans l'encrier posé sur le bureau, se saisi d'un parchemin et écrivit :

En se jour du XXIII février MCDLIX

Moi, Gluth VonGluth, Fils de Loïc VonGluth, suis passer à Castelnaudary avec un groupe composé de dame Hermiione et dame Estrellla pour une journée seulement.

~Gluth

Puis il parti en direction de la première taverne venu, se demandant s'il aller dormir à l'auberge ou non... après tout la cabane à outils était faite de ses propres mains.
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Complètement blasé

Duflan

Il repassa au cabanon, histoire de tout bien nettoyer, il jeta un petit regard amusé sur le message laissez par ce visiteur qu'il avait rencontré quelque temps plus tard en taverne, il le plia et le rajouta dans le livre des voyageurs, un petit mot d'un passant faisait toujours du bien.
Et puis il attrapa la grosse marmite et prépara une énorme quantité de soupe aux lards, il rajouta tous les légumes qu'il trouva touilla le tout et quand la mixture fut prête, il laissa tout de côté en espérant que de nombreux voyageurs passeraient ici.
Il rajouta plusieurs bouteilles de vin sur la table, en remplit au maximum sa besace et monta sur son ânesse "marchopas"

Allez ma belle il est plus que temps, en route !

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Ijay

Ijay et son épouse avaient vu l'entrer imposante de Castelnaudary plusieurs minutes avant de paraître enfin devant la grande porte de bois qu'ils franchirent. Ils filèrent au registre, et Ijay nota ce que les personnes précédentes avaient notés.
Il regarda son amour puis inscrivit rapidement ces quelques mots :

En cette matinée de ce Vendredi 18 Mars de l'an 1459, Ijay et Elvarathiel sont arrivés à Castelnaudary.

Il posa la plume et sortit du cabanon pour aller se poser et visiter les tavernes du village.

Ledigue

Le Digue le digne, albigeois plein de joie, pas sage,
Voyageur de passage ayant perdu sa belle en chemin,
Qu'il attendra, tenant son fils par la main,
S'en vint visiter la ville et ses rues remplies de vilains.
Il restera donc ici un jour ou deux,
Dépité, en attendant mieux.
Dans la glorieuse inertie des improbables détours,
Cherchant couche, séparé de son plus grand amour,
Il errait comme une âme en peine,
Sans se demander dans quelle auberge son pas le mène.

Sengajo

Sengago passa la grande porte de la ville , épuisé de son voyage .
Mais avec le sourire car pour une fois elle n'avait pas été rackettée .
Sengajo passa ses cheveux dans son dos et écrit :

Sengajo du duché d'Anjou de la ville de La Flèche en voyage de plaisir .
Passant dans votre ville pour se reposer et faire d'autres connaissances avant de continuer sa ballade pour découvrir d'autres horizons.

Duflan

Il était de retour dans sa bonne ville de castelnaudary, un léger regard vers sa masure pour noter qu'une poule s'était appropriée son mur, était-elle celle qui picore du pain dur à coup de picoti picota ?
Qu'importe notre homme s'en moque, il lui fracasse le coup d'un bout de coup de bâton, ce qui est sur c'est qu'il ne la plongera pas dans dans l'huile pour avoir un escargot tout chaud, il n'est pas fou.....

Té me fera une bonne poule au pôt, voila !

Il se demande à qui appartenais cette poule ?, enfin qu'importe, il ouvre la porte et aperçois plusieurs personnes ayant décliné leurs passages sur son "livre des voyageurs", celui le remplit de joie .
Un léger regard vers le plafond ou une araignée s'est installé, elle se balance sur une toile d'araignée mais ceci est une autre histoire...........

Té vais me faire cuire c'te grosse poule ! pis ouvrit une bonne bouteille, fera peut être ben venir du monde
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Paquita

Paquita débarque à l'aube chez le gros Duflan, suivie de quelques gardes.
Dès le premier rayon de soleil elle tambourine à la porte.

Ouvre !!! On sait que tu es là ! Ton taudis puant est cerné !
J'ai une plainte à ton encontre !!! Un jambon dérobé à Messire Salvaire !!!
Laisse nous entrer je te dis ... ou on enfonce la porte !

Elle n'attend pas le moins du monde qu'il ait le temps de répondre et fait signe aux gardes de faire leur office.
Un coup d'épaule dans le vantail vermoulu et celui-ci vole en éclat.
Paquita pénètre à l'intérieur de la masure. ses yeux mettrent quelques secondes à passer du clair à l'obscur de la cahute.
Son regard balaie la pièce en désordre, glisse sur les murs suintant de suie et finit par se poser sur Duflan, environné de plumes qu'il arrache à grands gestes.
L'homme reste la main en l'air tandis que quelques duvets volètent lentement autour de lui, tourbillonnent pour aller se poser un peu partout.
Les yeux de Paquita se font tout petits en reconnaissant la poule de la mère Gertrude. La poule Galine que la vieille cherche partout depuis la veille à grand renfort de cris et de "petitpetitpetit" inquiets.

Gardes !!!! saisissez-vous de cet homme !!!

Puis se tournant vers son ennemi juré.

Ben voilà !! pas plutôt rentré que tu fais déjà des tiennes !!!

Elle suit le cortège qui se forme jusqu'à la place du village ou un pilori a été dressé depuis quelques jours déjà.
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Duflan

Il y des moments ou le bonheur se ressent sur chaque geste et notre homme est heureux, heureux d'être à Castelnaudary, pour son calme, même l'air semble différent. La quiétude de l'endroit inviterait même à quelque réflexion un peu plus poussée , mais cela dépasse notre homme qui a faim et se démêle comme un beau diable pour enlever les plumes du volatile, après l'avoir plongé dans l'eau bouillante.
Il se dit qu'après ce bon repas, il ira boire un petit verre en taverne et se promet d'être aimable avec la tavernière, elle n'est pas si mauvaise que ça et fait parti du folklore locale, à cette idée notre homme sourit et se dit qu'il va peut être organiser des visites pour les étrangers...

Entrez messieurs d'ame venez voir la tavernière dite la "maudite", venez visiter la taverne la plus crade du royaume, allez entrez n'ayez point peur ! ah...

Il éclate de rire en pensa à cela, quand il entend frapper à la porte violemment, même pas le temps de répondre que sa porte est mise à terre et qu'on se jette sur lui, il ne comprends pas ce qu'il lui arrive sauf qu'il la reconnu elle....

Mais....mais...lâchez moy....................j'ai ren fait.......je l'ai acheté au marché....dites vous m'écoutez............

Notre homme est traîné vers la place, mais vous voyageurs qui passés par là, laissez nous un petit mot....
Sur ce qui reste de la porte, un parchemin..........

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Caerellyn

La nuit avait été claire et guidés par les rayons de lune ils avaient parcouru le chemin sans encombre.
Couchée sur l'encolure de Lune de Miel, Morgane s'était rapidement endormie.

Seul le hululement des chouettes accompagnaient Caerellyn et Kev. Profitant de leur solitude ils avaient revécu leur passé, Cae racontait leur fils que Kev par de grands malheurs n'avait pas eu le bonheur de connaitre. Ils partaient enfin à sa recherche, terreur et espoir se partageaient leur cœur. Ils se tenaient la main et avançaient paisiblement, mais tous sens aux aguets, le monde de la nuit leur était encore familier

Tu sais mon ange, c'est ici que vit ma sœur Alenyah ainsi que son époux et leurs enfants. J'aurais tant aimé les embrasser. Mais le temps nous presse, nous reviendrons avec notre Yorik.

En ce quinzième jour du mois d'avril de l'an de grâce 1459, Kev de Glasgow, Caerellyn de Carpadant et sa fille Morganenn sont entrés en la cité de Castelnaudary pour une journée.

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Archiviste politique du Rouergue

--Les_petits_jaunes

Etrange procession que celle-la. Au petit jour, les rayons encore frais perçant à peine les feuillages naissants, voient l'arrivée d'une chenille humaine au loin.
Elle grandit, serpentant sur le sentier qui mène à la cabane du gros meunier.

Une fois arrivés sur l'aire devant la porte, les hommes déposent leur chargement de planches, de scies, marteaux, équerres et clous forgés pour la circonstance.

Sans un mot ils s'activent, chacun oeuvrant, chacun travaillant avec diligence.

Sur le sol, les planches s'assemblent et bientôt une solide porte de chêne apparait dans la poussière.

Les autres ne sont pas en reste, qui répare les huisseries, qui change les volets, qui restaure le toit.

Dans la forêt environnante, les oiseaux se sont tus, seuls les bruits des outils façonnant le bois retentissent .

Ensuite les pinceaux et les chiffons entrent en action.
L'intérieur de la cahute est nettoyé, rangé, rappropré.

Une fois le ménage fait, les jaunes mettent en place la porte neuve, rangent le matériel.
Sur la porte, l'écriteau de Duflan est encadré.

Bientôt la place est à nouveau paisible. Les oiseaux attendent que la file d'homme se soit éloignée pour reprendre leurs pépiements.

A l'orée de la forêt, la cabane du douanier se dresse, telle qu'elle l'avait été, avec néanmoins quelques nouveautés.

Paquita

Blam ! Blam ! Blam ! Blam ! Blam ! Blam ! Blam ! Blam ! Blam ! Blam !
Ouvre !! je sais que tu es là !!!!
Ouvre je te dis ! qu'il fait frais dehors !

Paquita tambourine à la porte de Duflan. La nuit passée sur la route l'a couverte de rosée et l'air froid du petit matin achève de la frigorifier.
Mais Duflan se méfie sans doute et la porte reste close.
Alors Paquita se réchauffe comme elle peut en tapant à l'huis et vociférant.

Blam ! Blam ! Blam ! Blam ! Blam ! Blam ! Blam ! Blam !
Ouvre !! je sais que tu es là !!!!
Ouvre je te dis ! grrrrrr !!! atta va !!! tu perds rien..... ça se paiera de me faire lanterner comme ça dehors !!!!!
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Duflan

Voila plusieurs jours qu'il reste caché chez lui, et quand il entend frappé violemment à sa porte, il attrape une bouteille de blanc qui trône sur la table et la vide cul sec

Celle là , il l'auront pas ! et hop une de moins pour le comté !

ET puis il reconnait la voix de la tavernière, il la laisserait bien à la porte, mais elle va le faire repérer c'est sur, alors il ouvre.
Il place de suite une main sur la bouche de PAquita et jette un regard à droite et à gauche, de son autre main il lui fait se geste si commun qui invite au silence.
Vous savez ce geste qui consiste à plisser les lèvres tout en les faisant ressortir et à mettre l'index dessus, les autres doigts repliés, savez remarquer comment vous avez l'air idiot ? Hein non ?, savez mal regardé té! enfin chez Duflan c'est remarquable à la limite du grotesque.
Enfin bref, pis la c'est pas le moment d'essayer, ferais ça plus tard té, bon reprenons.
Notre homme attrape la dite femme et la glisse chez lui en refermant sa porte à double tour, il glisse même une chaise derrière.

Chut ! t'es folle ou quoi la maudite de beugler comme ça ! Va me faire repérer , t'es repérer , l'inquisition fais des buchers partout en ce moment, c'est le moment de vendre ton bois je te dis moy......

Notre homme fonce à sa fenêtre et regarde à droite et à gauche, l'air suspicieux...

Ils sont devenues fou au château, vont prodiguer bientôt une loi sur la bière et la rigolade, pis sur ta façon de marcher aussi, j'ai entendu dire que le bourgmestre devrait obéir au loi du comté et c'est tout, devrait même porter une plume sur le côté droit du chapeau et une plume de canard.
Moy je sort que la nuit maintenant, tiens voila pour toiil lui tend une plume noir de poulet

Accroche ça à ta veste, c'est le signe de reconnaissance et pis tu prend un air triste et abattu , comme ça on t'arrêtera point, fais moy confiance...chut...j'ai entendu du bruit............
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Devil

Un chat noir, noir comme la nuit. Un hibou "hiboute" au loin. Le froid s'engouffre dans les ruelles chauriennes. Un nain tente de mettre fin à ses jours en sautant du haut d'une marche. Un autre en se défenestrant...mais il habite au rez-de-chaussée. Et encore un autre - c'est fou le nombre de nains dans ce patelin, à croire qu'il y a un truc dans la soupe qui...réduit tout - qui arbore une plume noir de poulet avec un air triste et abattu. Comme s'il venait d'apprendre que le troubadour principal des "Sales-Timbanques" avait quitté le groupe. Il s'est perdu sur un noeud. Une histoire de charrette trop lourde ou quelque chose comme ça. Bref, des couillonnades de CACottes.

Au loin, dans le matin naissant, un individu renaissant. L'allure est nonchalante et le pas titubant. On retrouve ce genre de démarche aux sorties d'une belle pintade* au banastié ! Il avait une tête à faire peur. D'ailleurs, il faisait peur et les gens fermèrent portes et fenêtres sur son passage. C'est qu'avec...son haleine de poney en déprime. Seul un inconscient aurait le courage nécessaire pour le croiser, voir pire entamer la conversation avec lui ! L'inconscient !

Une voix lointaine se fait plus proche. Hum ? Normal, il s'approche. Ben, té !

Il est des nôtreees ! Il a la lèpre comme les auuuuttreeees !

Raclement de gorge comme il se doit. Un petit coup de piquette Paquisienne de la dernière cuvée de "La Cave au goût de chaussettes" année 1457. Un excellent cru, pour ceux qui ont les boyaux solides et le reste aussi.

Mon chat est mort ! En s'jetant dans l'port ! Il était alcoolo, oh oh oh ! Oh, le saligoooooooottt...

A cet instant précis, il vit une silhouette se dessiner devant la porte de cet escroc de Duflan. Il s'approche pour voir se qu'il se passe.

* Pintade : Action de se pinter. Aucun rapport avec la gente féminine, quoique...

Paquita

Paquita allait renoncer et s'en aller quand le vantail céda soudain sous sa paume.
Elle se sentit happée à l'intérieur.
La pièce obscure aux volets mi clos offrait un spectacle étrange à la lueur d'une chandelle fumeuse.
Quelque chose de changé... sans quelle sut mettre un mot dessus.
Partout des bouteilles vides et des écuelles sales ... partout des vêtements posés à la va vite ... partout des bouts de nourriture achevaient de se racornir. ce n'était pas ça...
Soudain la chose lui apparut comme une évidence.

Dis... t'as fait du ménage ?

Mais Duflan lui intimait l'ordre de se taire... de parler bas tout au moins.

Dis... t'as fait du ménage ? on dirait que ton désordre est propre ? !

L'air effrayé et le ton sans appel de Duflan inquiètèrent Paquita qui tendit l'oreille.

Chut ! t'es folle ou quoi la maudite de beugler comme ça ! Va me faire repérer , t'es repérer , l'inquisition fais des buchers partout en ce moment, c'est le moment de vendre ton bois je te dis moy......

Paquita se demanda s'il avait toute sa raison et le regarda les yeux ronds.

Vendre mon ... Vendre mon bois ?? va pas bien la tête , fais comment pour cuire le pain après ?

Le comportement inquiet et fébrile de Duflan était contagieux et Paquita se mit à parler bas en jetant des coups d'oeil furtifs dans tous les coins. Quelques bribes des propos de Duflan parvinrent cependant à son entendement.

loi sur la bière et la rigolade.... bourgmestre.... loi du comté ...

Le sang de la brune ne fit qu'un tour.

Hein ???!!!

pis quoi encore ??? !!!! si ça continue... vont nous taxer sur nos habitations ! pis sur la solidarité !! pis sur le combien qu'on gagne !!!

Elle saisit Duflan par les revers et se mit à le secouer.

Faut point laisser faire ça !! t'entends ???!!!

Et là, Duflan fit la chose la plus incroyable qui se put trouver... et qui laissa Paquita sans voix, il lui remit une plume noire de suie entre les doigts.

ça doit être un talisman anti loi idiotes, je présume... ou alors l'est devenu fou... euh nan, ça l'était déjà... c'est ça, un talisman anti loi...

Paquita saisit machinalement la plume et la piqua dans son chignon.

Bon c'est point tout ! fait faim ! qu'est ce t'as à m'offrir ?

Dehors des bruits de pas, des cris, hérissèrent le poil des deux compères... pour un peu, Paquita se serrait blottie derrière Duflan.
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Duflan

Elle pouvait pas s'empêcher de beugler la Paquita, et voila que maintenant elle parler de faire une révolution

Euh, ouais t'a raison, mais ferme là bouh diou, tu va nous faire repérer ! t'es devenue aussi sotte que la Louise c'est point possible

Duflan s'en moquait de sa révolution à la tavernière, elle se débrouille il allez certainement pas se faire tuer pour des idées ou de mort lente alors, comme dira un célèbre troubadour à moustache, mais qu'elle se taise et puis un bruit venant de l'extérieur.
Ils étaient déjà là ceux de l'inquisition

AH ben joué , tu nous à fais repérer ! on va y passer, j'ai des enfants à charge moy Il n'en avait aucun mais bon va y toi..c'est ta faute va voir ce qui se passe....Je surveille tes arrières...là bas derrière le buisson ça à bougé , fonce paquita ..attaque !

Duflan toujours aussi courageux poussait la tavernière dehors
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Paquita

Paquita attendait benoitement son casse dalle.
En général, quand on dit des choses comme ...
Bon c'est point tout ! fait faim ! qu'est ce t'as à m'offrir ?
on voit arriver des plats emplis de bonnes choses, des poulardes à la crème, des truites au bleu, des massepains géants, des confitures délicieuses.
Donc Paquita attendait, l'eau à la bouche, que Duflan la serve quand il se produisit une autre chose fort étrange. Duflan la saisit par le bras et sans avertissement supplémentaire, la poussa hors de la cahute.

Grumphfffff !!! t'es qu'un gros raspebougnette le Duf !!! un pas partageur !!!! Je men vais te cafter à Saino ! Va te retirer ton titre d'accueilleur des gens !!!! Oh ! tu vas voir ! tu vas voir !...

Elle s'apprêtait à tambouriner sur la porte quand des bruits de pas sur le sentier, tout près d'elle, lui firent suspendre son geste. Elle se retourna et avisa un gars, une bouteille à la main... Elle reconnut l'une de ses bouteilles et sourit largement.

Bien le bonjorn Messire, je vois que vous êtes un connaisseur, dit-elle en désignant la bouteille d'un mouvement du menton. Dites, seriez point de l'inquisition, par hasard ? qu'il y a un impie qui se cache là-dedans. Moy, je vous dis ça, c'est pour aider, hein !....
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Devil

Il allait se boire une dernière petite gorgée car façon la bouteille était vide. Enfin, presque vide ou bien à moitié pleine. Question de point de vue. On pourrait en débattre. Ou se battre ?! Commencez d'abord, je vous rejoins. C'est alors que la lourde s'ouvre et qu'une donzelle en sort comme tombée du ciel. En fait, il y en avait deux. Enfin Devil en voyait deux alors qu'elle était seule mais elle en valait au moins deux.

Bien...le...bonjorn ma *hips* brave. Dit-il avec son fameux index en l'air, l'œil vitreux et la démarche mal assurée. Comme quelqu'un de saoul, quoi. Il allait lui répondre mais d'abord nous devons revenir un peu en arrière.

[Avant que la porte s'ouvre...]

Alors que sa bouteille fétiche commençait à diminuer à vue d'œil. Le buisson à sa droite se mit à frémir. C'est vrai que le vent est un peu frais. Sans doute un léger frisson. Quand soudain, un homme sort de là. Un gros moustachu, style Duflan, pas propre, le regard jovial et le teint rubicond. En gros, un paysan du cru.

- Hey, té qui va là ! Devil dict Dédé pour les intimes, se retourne vers l'inconscient qui l'interpelle.
- Plait-il ? *Hips*
- Gné ? Oulà, voilà ti pas qu'il cause comme un bourgeois c'lui-là. Beh té, c'est d'la bonne cuvée que t'bois...
- Oui, un grand cru... *hips* mais je préfère le bon vin de la Cabeza del Nodo.
Le paysan le regard avec de grands yeux.
- La caboche de qui ?
- La Cabeza del Nodo, mon fief *hips*, mon sang, *hips*, mon royaume ! Tous les chemins mènent à la Cabeza del Nodo. *hips*
- Oh coquin d'sort, un roi ! Vot'Royaume, mon Seigneur ?
- Oui, mon *hips* Royaume.
Le paysan ne savait plus quoi dire. C'était la première fois qu'il parlait avec une personne de la "haute". Quand soudain lui vint une idée d'opportuniste.
- Hey, dîtes. Z'auriez point b'soin d'un valeureux gaillard pour cultiver vos terres, mon Seigneur ?
- *Hips* Possible...Nous verrons cela plus tard. *Hips* Pour l'instant, je suis là.
- Z'êtes las ?
- Oui, je suis là. *Hips*
- Pourquoi êtes-vous las, mon Seigneur ?
- Parce que je ne suis *hips* point-ailleurs. Dit-il en faisant la liaison sans le faire exprès.
- Un tailleur ? Bah, j'en connais té ! O'l'coin d'la ruelle après l'église.
Devil observe étrangement le paysan en face de lui. Un bruit se fait attendre à l'intérieur de la bicoque du Dufl'.
- Chut ! En mettant son index sur ses lèvres et en s'approchant dangereusement de la bouche du paysan. Les deux avaient une haleine de poney suicidaire, faut-il le rappeler ?! Le paysan rentre la tête dans les épaules et se baisse. A croire que cela rend plus silencieux... A essayer.
- Houm là. Il faut faire attention té. L'inquisition rôde dans l'bourg.
- *Hips* Et alors ?
- Alors quoi ?

A cet instant la porte s'ouvre, la donzelle s'avance...etc. Et dit :

Dites, seriez point de l'inquisition, par hasard ? qu'il y a un impie qui se cache là-dedans. Moy, je vous dis ça, c'est pour aider, hein !....

Une pie se *Hips* cache là-dedans ? Poussez-vous et observez un *Hips* homme courageux et valeureux en action. *Hips*

Il s'avance vers Paquita, puis la porte, puis Paquita, puis encore la porte. Il la regarde. Paquita, pas la porte, hein !

Euh, donnez-moi votre *Hips* bras. On dirait que la terre *Hips* bouge. Ou bien que la porte se *Hips* déplace !

Alors qu'il lui saisit le bras sans attendre. Il ajoute en mettant sa bouche en coin. Euh, il parle en coin comme sur le ton de la confidence.

Dîtes, au paysan de se *Hips* rendre chez moi pour prendre mes affaires. Je dois *Hips* rejoindre La Cabeza *Hips* del Nodo.

Bien entendu, il serait bien complexe à Paquita de s'entretenir avec ce fameux paysan. Puisqu'il n'existait que dans l'imaginaire de Devil...

[En s'approchant de Duflan...]

Aaaaaahhhh !!!! Mais elle est *Hips* ENORME cette pie ! Hurla-t-il en désignant du doigt Duflan. La peur d'un homme empli de courage se lit sur son visage. Il sursauta, mettant Paquita devant lui en guise de bouclier. Se cachant derrière elle comme un enfant derrière les jupes de sa môman.

Fuuuuuuyyyyyyyeeeeeeezzzzzzzzzzzzz !!!!!!!!!!!!!!!!

Et c'est après avoir fait preuve de bravoure qu'il prit ses jambes à son cou. Il s'éloigna en courant les bras se balançant dans tous les sens.

A l'assassin ! Ils veulent ma moooooorrrrrrrttttttt !!!!

Il tomba lamentablement. Se releva, constata qu'il avait oublié quelque chose. Il revint en courant vers Paquita, l'air inquiet. Il prit sa bouteille à moitié vide ou bien à moitié pleine qui trainait par terre. Il regarda Paquita avec suspicion comme si elle désirait sa mort. Il se remit à partir dans tous les sens, fit marche arrière, il jeta un œil à l'intérieur de la masure de Duflan. Et se remit à hurler ceci :

AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!

Et hop, il reprit la poudre d'escampette à travers la campagne. Il disparu rapidement mais on put encore entendre durant un petit moment l'écho de ses cries.

Devil est de retour...

Duflan

AH manger ! ah manger ! tu penses qu'a ça c'est point possible !venant de lui c'est sans commentaire, en tous cas ça l'énerve
Non , j'ai ren à manger t'es point banastié ici, j'ai point de réserve plein de jambon moy !

ET puis, voila qu'on reconnait le gas de Devil ou de maloke ou de je sais pas qui , car à force on sait plus qui est qui, et puis l'homme semble parler à un autre, Duflan plisse les yeux et cherche bien à qui il s'adresse mais il ne voit pas, il le regarde tituber, et une profonde tristesse envahit Duflan

Regarde la paquita l'es rond comme un pelle, l'es point possible de se mettre dans un état comme ça, devrez avoir honte té !
Ce qui embête le plus notre quidam, c'est pas que devil soit saoul, mais c'est que lui ne le soit pas

AH té jolie té, regarde zou d'on l'état que tu t'es mis, pis oh !Mince le devil est rapide même saoul il a récupéré la bouteille pleine, car une bouteille ou il reste de l'alcool est pleine forcément, pas le peine de tergiverser sur à moitié pleine ou à moitié vide, il reste de quoi boire, donc elle est pleine.

Sacredouille, là piquer la bouteille, attends...j'arrive raclure !
Paquita fait le ménage , je t'en prie je dois rattraper la boute..euh Devil

Voyageurs, présentez vous, n'ayez point peur, ce n'est qu'une tranche de vie de Castel, la porte est ouverte et une petite signature fais rudement plaisir

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Tsuyu

Tsuyu était arrivé le jour précédent à Castelnaudary. Elle n'avait pas eu le temps de passer hier, ayant trouvé un emploi à plein temps assez rapidement.
Elle s'était décidé à pousser la porte du bureau des voyageurs. il semblait régner dans le lieu une ambiance très joyeuse. Elle hésita à interrompre la bande.

Bonjour!
euh, je suis Tsuyu. Je suis de Foix mais je reviens de Toulouse.
Elle vit un personnage qui semblait demander du jambon et qui avait sans doute déjà un petit coup dans l'aile... On devait bien s'amuser, ici.
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Mange des momies, mon amour...
Mange des momies, nuit et jour
ça donne bonne mine
c'est plein de vitamines...

Comment reconnaitre une momie périmée?
Elle sent le chocolat!

Navis

Ça lui avait pris d'un coup! Un petit voyage dans son ancien village..histoire de revoir tout le monde, de voir ce qu'y avait de changer..

C'est donc d'un bon pas qu'elle franchit la porte du Banastie, lieu privilégié de tout bon soiffard... Et là une impression de déjà la prise au vif.. Finalement rien n'avait changé, et c'était tant mieux!
Duflan toujours aussi fou, criait à tout va, la pauvre Paquita essayait tant bien que mal de le suivre et de refroidir ses ardeurs.. Et un homme qu'elle avait déjà croisé était là aussi...et pis d'autres voyageurs buvant, enfin essayant de boire, un breuvage qu'on ne trouvait nul part ailleurs...

Elle resta devant la porte et sortant une bouteille de sa besace, oui! ne jamais partir les poches vides, se tourna vers la salle et lança:

Bonjour mes amis!!!
Ai-je besoin de me présenter?
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Ysabeau_desbois

Arrivée sans encombres, à noter. D'autant que finalement le blond s'était montré fort bon compagnon, ravi sans doute de retourner chez lui.
Qu'il fasse ce que bon lui semble, de toute façon, tel était leur accord, chacun pour soi les remparts de Castel franchis.

Elle affiche donc une feuille de parchemin à côté de toutes les autres, se disant qu'il est bien beau de demander aux arrivants de se signaler, mais qu'il faudrait aussi se signaler en partant.

Ysabeau, toulousaine par hasard, qui vient voir s'il y a plus de vie par ici.
Curieuse de tout et de rien, je cours après un passé perdu dans les limbes d'une mémoire vide de tout souvenir, et je cours après un avenir que j'espère plus coloré.

Elle se relit, se demandant soudain pourquoi elle a indiqué ce genre de choses, qui n'appartiennent qu'à elle. Peut être pour se dédouaner à l'avance de ses réactions à fleur de peau, peut-être...
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Miline

Tirant sa vielle mule par le licol, la blonde avançait vers la sortie ouest de la ville. La mule rechignait a avancer aussi Miline donnait de la voix.

Aller avance ........ je sait tu en a souper d'être sur les routes, ben moi aussi. Avance que je te dit, plus vite on quittera cette ville plus vite on arrivera chez nous.
Tu te reposera la bas, hors de question qu'on fasse une pose ici cette ville est pas pour les voyageurs. .......Aller avance bougre d'âne.

Coup de badine sur la croupe et tirage en regle de la longe.

Viendiou, si tu avance pas, je te laisse ici ........ je suis pas sur qu'on s'occupera de toi.....

Long soupir de la blonde qui se résigne a sortir une carotte de sa besace.

Aller tien, si tu la veux viens la chercher.

Après avoir agiter le légume croquant sous le nez de la têtu Miline se retourne poursuit son chemin a grand pas. Aussitôt le son des sabots sur les pavés lui indique que le procéder a fonctionner encore une fois. Et les voila toute deux partis d'une ville qu'elles aurons tôt fait d'oublier.

Ben voila c'est pas si difficile.

Gluth_vongluth

Il le sentait mal ce voyage, vraiment mal.

C'est avec un peu d'aprèhension que Gluth descendi de son infidèle jument "Fégniasse" une fois arrivé aux portes de son village natale "Castelnaudary".
Bien qu'un préssentiment martelé sa tête, il tenta de garder le sourire fasse à Classica et Alexie, ravi tout de même de pouvoir leurs faire connaitre cette belle petite ville.

-Vous allez voir, z'allez pas être déçu du voyage! Et une pause nous fera du bien!

Il esseya de se convaincre lui aussi... il se faisait peut être des histoires, mais le malaise n'allait pas partir, pas comme ça. Il fallait faire quelque chose et vite.

Il parti donc en direction des registres de la ville, voir s'il avait raison de s'inquiéter.
Une fois entrer dans les bureux, il feuilleta les registres, cherchant quelques informations. Son visage devint aussi blanc qu'un Normand.

Se reprenant au plus vite, il rempli à son tour les petites lignes.

Moi, Gluth, revien à son beau village natale "Castelnaudary" pour se remettre d'aplomb et revoir la ville. Je suis acompagné de dame Classica et Sir Alexie, des touristes Périgourdains.
Désoler pour la gêne occasionné dans les prochains jours... si jour il y a.

Il y'a toujours certaines personnes que l'on désire revoir, mais rarement en même temps... ce qui vaut mieu pour tous le monde.

une fois sorti de la bâtisse, il parti en direction des tavernes.
La nuit était proche... il fallait à tout pris qu'il garde son calme.

L'idée de prévenir sa soeur et son frère qu'il n'allait plus être 3 mais peut être 6 à repartir lui semblait trop tôt... mais il commençait déjà à réfléchir à la bonne manière de leurs annoncé... et de faire les présentations.

Sa soeur allait le tuer... du moins, entre autre.
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Complètement blasé

Garybaldy

Garybaldy arrivait ici elle s'était fait brigander en route et espèrait trouver ici un coin pour dormir un peu
son estomac était vide et ça gargouillait un peu
après elle irai chercher un travail pour la journée histoire d'avoir de quoi acheter un pain demain

Bonjour je suis dame Garybaldy, de Nimes pour le moment, vagabonde de mon état et je veux me rendre a Bayonne pour retrouver des amies
mon voyage est bien mal partie car dès que je suis entée dans ce comté des brigands me sont tombés dessus.
Tout ça pour vous dire que j'suis pas de très bonne humeur et que je vais me coucher
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Morphee

La Palomino avait franchi les portes de la ville, une rouquinette encapuchonnée sur le dos, fonte bien rebondie. Une étape dans la vie d'une jeune femme qui prenait goût aux pigeons, et aux affaires.
D'un petit coup sec la jeune femme fit s'immobiliser la jument, afin de se présenter aux gardes.

Bonjorn à vous. Je viens de Carcassonne, et vais dans votre Capitale Tolosà afin de ravir les papilles d'un de vos notables.

Tout en parlant elle délia les liens de ses fontes, afin d'offrir à la vue des gardes deux bouteilles d'huile d'olive enroulées dans un moelleux rembourrage de chanvre et de lin. Un murmure pour indiquer le nom de l'heureux futur propriétaire, et l'officier poursuivit son chemin afin de trouver une auberge et d'y dormir quelques heures. Ce soir, elle repartirait pour un autre voyage de nuit, certes plus dangereux mais aussi moins fréquenté par les charrettes et coches en tout genre.
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Un peu d'elle, et des autres

Cornelia

Les routes désertes des ces derniers jours rendaient le chemin monotone et le cheval semblait trainer la jambe de plus en plus.
Du repos, ça pour sûre ils en avaient mais ne pensaient pas croiser si peu de monde.
Profitant néanmoins du calme, elle se serra d'avantage contre son tendre qui guidait le canasson, se laissant aller à une légère somnolence.
Le bruit des sabots contre la pierre de la route menant à la ville la réveillèrent et, soulageant cette pauvre bête, ils descendirent et allèrent se présenter aux gardes postés à la porte.

Bonjour, je suis Cornélia et mon compagnon Animos,
Nous ne faisons que passer pour la journée dans votre ville.

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Duflan

Assis depuis ce matin sur son caillou, car maintenant c'est son caillou, la bouteille de blanc vide prés de lui, il somnole profitant du temps et des chants des oiseaux, quand une jolie voix féminine le réveille.
Ouverture d'une pupille et puis de l'autre pas en même temps l'effort serait insoutenable.
Son regard se pose sur les deux cavaliers, un couple certainement, notre homme ne prend même pas la peine de se relever

EUh...ouais ben bienvenu à castel ! vous trouverais au centre de la place des auberges pour vous restaurer....
Léger regard sur la patte d'un cheval qui semble blessé

Pis feriez bien de montrer votre cheval au maréchal ferrant, enfin ce que j'en dis.....bon ben m'excuserais mais je dois continuer à dormir si je veux ben surveiller la route....en tout cas merci de votre visite fais plaisir !

Sans attendre nul réponse notre homme rabat son chapeau sur lui et reprend son sommeil
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Cornelia

Voyant l'homme bien éméché, elle n'insista pas, se disant qu'il vaudrait mieux éviter d'approcher une torche de ce pauvre homme qui de plus avait des hallucinations.
La soirée de la veille avait du être "festive" à moins que ce ne soit dans ses habitudes, comme certains.

Notre cheval va très bien mais je vous remercie tout de même pour le renseignement, nous irons voir cela en temps et en heure…

Ils commençaient à passer la porte quand elle se retourna de nouveau vers l'homme affaissé sur son rocher.

Au fait, pour votre mal de tête et d'estomac vous devriez faire quelque chose, je peux vous aider si vous le souhaitez…

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Cornelia

Voyant que l'homme avait du probablement se rendormir profondément,
elle soupira et n'insista pas plus longtemps.
Ce pendant, elle lui glissa dans une de ses poches visibles quelques feuilles de menthe fraiche puis repartit vers le centre du village…

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Duflan

Curieusement la dame ne semble pas croire notre homme pourtant il voit bien que le cheval ne pose pas correctement sa patte, mais il n'a pas envie d'en discuter et puis il se trompe peut être qu'importe, lui ce qu'il veut s'est se rendormir avec le soleil sur le visage.
Léger haussement de sourcil quand elle lui parle de mal aux crânes et d'estomac, il a juste la gorge un peu sec c'est tout, et cela viens certainement des nombreuses chansons chanté la veille, quand à l'estomac il est solide, entrainé depuis de nombreuses année.
Et puis il retombe vite dans ses rêves, il sent à peine une main l'effleurée, mais il ne bouge pas, pour lui aucun doute la femme doit lui donner quelques pièces pour ses renseignements, il feint de dormir, cela lui évite de dire merci.
Et puis quand les bruits des sabots s'éloignent, notre homme regarde vite ce qu'on lui a glissé dans les poches.

Bougre diou ! l'es quoi cte saloperie !D'un geste de colère il lance au loin les feuilles de menthe
Foutu sorcière té, l'a voulu m'envouter pour sur ! a crénons d'un petit caillou ! l'es point possible ça ! ah me reprendra à être aimable, le prochain que je lui balance des cailloux té !
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Genesia

Genesia arriva enfin à sa première étape, elle espérait revoir son vieil ami qui lui avait demandé de passer à castelnaudary pour le voir.

Elle avait vécu presque un mois dans ce village il y à plus d'un an et savait déjà qu'elle n'y retrouverai sans doute pas les quelques personnes qu'elle y avait connu.

Elle se présenta aux gardes du portail.

Bonjour je m'appelle Genesia, je suis de passage dans votre village pour voir mon ami Remnike qui réside ici.

Après avoir discuté quelque peut avec les gardes elle tira sa charrette à l'intérieure de la ville prenant garde que sa chèvre biquette suivait bien.

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Guillomedetissenier

Guillaume cherchait un endroit où se reposer. Il voyageait depuis lundi et n'avait passé qu'une seule nuit dans un lit bien douillé. Ses autres nuits, c'était à la belle étoile qu'il avait dormi, avec ses compagnons de voyage.
Il était arrivé le jour même à Castelnaudary. Bien belle ville, en vérité.
Il déambulait, avec tout son harnachement et ses armes, dans les rues et tout attirait son regard: les échoppes, les personnes qui se promenaient... Les rues étaient relativement propre.
Il décida d'accoster un passant.

Excusez-moi, Sieur! Pouvez-vous m'indiquer une auberge pour les voyageurs, s'il-vous-plaît?
J'aimerai pouvoir y manger et surtout dormir.

Bien sûr, Monseigneur! Vous continuez tout droit et prenez la deuxième rue à droite. L'auberge se situe au niveau de la sortie sud-ouest de la ville. Allez-y! Vous ne serez point déçu.

Je remerciais l'homme chaleureusement et suivis les indications qu'il m'avait donné.
Je finis par arriver devant la dicte auberge. Je poussais la porte et une odeur de viande grillée et de bière vint lui chatouiller les narines. Il se rendit compte qu'il salivait.

Bonjour à tous! Je me nomme Guillaume de Tissenier et je viens de Marmande, ville du duché de Bordeaux. J'escorte un chargement de pierre jusqu'à votre belle ville.
Je cherche un endroit pour me restaurer et me reposer et une personne m'a recommandé votre établissement.

Guillaume posa son bouclier, son casque et sa besace d'infirmier au pied d'une table et s'assit, heureux de pouvoir se reposer.
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Duflan

Il était de mauvais humeur et encore plus que les autres jours, alors il avait décidé de passer au marché acheter un bon gigot de mouton et un petit tonneau de bière pour aller avec.
Se faire un petit repas bien sympa avec des amis quoi de meilleur et encore mieux quand on a pas d'amis et qu'on peux tout manger tout seul selon Duflan.
Le gigot avait été piqué avec de l'ail, un bouquet garni, des panets et cuit au vin blanc pendant de longue heure sur le feu.
Notre homme venait soulevé le couvercle de temps en temps pour retourner le morceau de viande et enfin cuit, il le posa sur la table prés à être coupé et déguster avec une bonne bière la dessus, quand la porte de sa demeure s'ouvrit d'un coup et qu'un homme armé fit irruption demandent gite et couvert.
Duflan se plaça de suite devant son gigot pour en cacher la vue

euh ? quelqu'un vous à recommandé mon établissement ? bougre diuo l'on a du se moquer de vous mon bon ami !
Saleté de môme certainement, ah les drôles à part faire la misère au brave gens savent plus ren faire !
Ou alors c'est la Paquita, la mauvaise ! moitié sorcière celle là, raconte que des méchantises , l'es le diable en jupon !
Té pis les pierres vous devriez les déposer devant le banastié, la taverne malfamé du village, c'est là qui faut les déposer pouvez me croire !Il souriait notre homme en imaginant le stock de pierre devant la porte de la taverne et la tête de son ennemi

Oh, pis on vous offrira le gîte et le couvert la bas ! parce qu'ici j'ai ren à manger !Disait-il cherchant à dissimuler au mieux son gigot fumant dans son dos, notre homme ne voulait pas partager
AH, l'aurait été avec plaisir autrement pensez d'on ! mais là, c'est misère !
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Marycoccy

Mary avait elle aussi entendu parler de la petite cabane aux portes de la ville de Castelnaudary, elle décida donc pour leur première journée de repos d'aller s'y poser un peu... Elle avait suivi les indications d'un gentil passant...

La brunette n'avait pas trop le sens de l'orientation...La pauvre, par chance pour elle, qu'elle ne voyageait jamais seule... Après avoir tourné en rond pendant près d'une demi heure la petite Mary au sourire charmant finit par trouver enfin cette fameuse cabane...

Un sourire éclaira son visage quand l'idée d'une bonne chope de bière apparut dans sa tête... Elle s'avança pour ouvrir la vieille porte de bois de la petite mais charmante cabane et à sa grande surprise, elle aperçu par un des carreaux de la fenêtre son ami Guillaume...

Elle observa un instant... l 'homme ne semblait pas très heureux de recevoir son ami...Elle eu un moment d'hésitation et finalement, elle ouvrit grand la porte...

Bonjour Bonjour!! Elle rigola un peu, se tournant vers Guillaume: Qu'est-ce que tu fais là toi?? Un grand sourire et une jolie bise à Guillaume et elle se tourna vers l'homme qui semblait vouloir cacher quelque chose derrière son dos... Mais Mary n'en prit même pas compte... Après tout, c'était le dernier de ses soucis... La brunette voulait simplement se poser devant une bonne chope bien froide...

Bonjour sire !! J'suis Marycoccy!! Un passant m'a conseillé de venir ici pour boire une bonne bière froide!! Elle lui sourit sympathique comme toujours... J'ai tournée en rond une demi heure...Dite moi s'il vous plait que je suis au bon endroit!! Son petit visage rosit par le soleil du voyage, suppliait le sire en quelque sorte...

Elle attendit aux côtés de son ami, la réponse de l'homme, espérant qu'enfin elle pourrait rafraîchir sa petite gorge en pleine sécheresse...
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Duflan

A peine eu le temps de finir sa phrase qu'une jolie demoiselle passez la porte de sa demeure et demander à boire.
Duflan commençait à se dire que le gigot allez vraiment être trop petit, notre homme n'était pas vraiment mauvais mais plutôt gourmand voir vorace.

Un passant ? oh ben les gas qui passe moy je m'en méfie ! pis le gas vous aurez indiquer ma cabane, ben ca alors...ben euh.... Qui était ce passant ? le père Saino..ouais c'était possible...en serait bien capable, mais la jeune dame et son compagnon avaient l'air de bon bougre et partager une chopine ne serait pas de refus

Bon ouais je va vous payer le coup ! pis benvenu à castelnaudary !

Il attrapa trois chopes plus ou moins propres et servit tous le monde, le principal pour lui était de sauver le gigot que lui avait donner le père saino pour accueillir les voyageurs mais cela ces deux là ne le savaient pas

Tenez à la bonne votre ! pis si vous avez besoin de quoi que se soit ...Mince, pourquoi il avait dit cela, la phrase à jamais prononcé quel idiot pensa t'il
Ben...voila, allez hop faut boire avant que ca refroidisse N'importe quoi sauf si on pensait au gigot et c'est à cela que notre homme pensait, au bon morceau de viande qui refroidissait derrière lui
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Marycoccy

Mary regarda l'homme qui fenait soudainement de changer d'avis pour la chope... Elle le regarda verser l bière dans 3 chopes... plutôt à demi propre mais bon sa grand lui avait déjà dit : Ma chérie, nous n'engraissons pas les cochons à l'eau claire, tu sais... Donc elle prit la chope avec plaisir et la leva vers l'homme... À la vôtre!!

Elle avait sourit, elle avait trinqué, elle avait enfin retrouvé l'humidité de sa bouche, il était maintenant temps de se tirer un bûche pour reposer ses petits pieds qui n'avait plus beaucoup l'habitude de voyager... Elle se tira un tabouret et s’essaya...

Tout en s'asseyant, elle remarqua une bonne grosse pièce de viande dissimulée derrière l'homme qui les recevait un peu à contre coeur... Mary tira la tête pour voir de plus près...Il ne pourrait pas la cacher toute la nuit cette pièce de viande fumante... Hmmm! C'est une belle pièce que vous cachez la m'sieur!! Elle sourit taquine et malicieuse...
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Duflan

Et voilà ! non seulement la dame s'asseyait et semblait vouloir s'installer mais en plus, elle avait semble t-il remarqué le morceau de viande et voila ce qui gêné notre homme.
Car être en bonne compagnie ne là jamais dérangeait surtout si la dame est jolie, bien au contraire mais partager son repas c'était bien autre chose

Hein ? de quoi ?..léger mouvement de recul et feignant de redécouvrir le morceau de viande Oh té l'avais oublié Mensonge bien sur ! ouais ben l'es pas ben gros Surtout si on est plusieurs dessus pensa t'il
Oh ben j'y pense voulez peut être ben casser la croûte ?Sourire de notre homme qui espérait qu'ils disent non, qu'ils n'avaient pas le temps, un truc comme cela..
Enfin je dis ça; l'es peut être ben pressé ? pis surtout avec la tempête qui arriveIl regardait dehors en disant cela, un nouveau mensonge surtout que le temps était plutôt découvert et avec peu de vent, notre homme ne doutant de rien , décida d'en rajouter
Surtout que les tempête ici, font du dégât...té me souviens une année le village là était à moitié détruit...ouais je le sens à mes rhumatismes..ça arrive pis va être grosse en plus..
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Marycoccy

Mary écouta l'homme tenter de se sortir d'une situation de malaise... Mais il avait très peu de succès... Mary souriait simplement, mais intérieurement était morte de rire... Le pauvre...

Mary éclata de rire... M'sieur!! Je ne reste que très peu!!! Je ne vous volerai point votre délicieux repas n'en soyez pas inquiet mais si vous auriez simplement un petit bout de pain frais ou un petit bout de fromage, Cela me conviendrait parfaitement!! Elle sourit à nouveau un peu malicieuse cette fois...

Se pencha à nouveau sur le côté pour voir la pièce de viande... Quoi que...Hmmm ça m'a l'air quand même succulent! Hihi!! Ben quoi, la petit Mary se disait que peut être la beauté de son doux visage aurait raison de l'homme et qu'il partagerait un simple petit morceau avec elle...
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Duflan

Comment résister à un si joli sourire, alors même si Duflan n'aime pas partager , il lui concède un morceau de sa viande avec un bon morceau de pain.

Bon ben, allez té je vais vous donner un p'tit morceau pis vous me raconterais la ville d'on vous venez.

Il lui servit un nouveau cruchon de bière et un morceau de pain avec un morceau de viande pas bien gros, car notre filou se garda tout de même le plus gros morceau.

Allez pis le bon appétit ! et que pitance vous tienne en bonne santé !
Ventre plein ne rechigne pas à faire une petite sieste !

Rire gras de notre homme qui avait changé la fin du dicton et puis s'en suivit des discutions sur le temps et les nuages jusqu'au départ de la dame.

Voyageurs un petit mot fais toujours plaisir, n'hésitez pas !

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Cornelia

Fourbu par les longues routes qui se suivaient les unes aux autres, le cheval arriva bientôt aux portes de la ville.
Cornélia avait gardé en tête l'homme croisé auparavant mais elle se dit qu'il devait être trop fait, la dernière fois, pour se rappeler d'eux.
Ils descendirent tous deux de cheval afin de soulager celui-ci et de se dégourdir les jambes qui en avaient bien besoin.
Cornélia qui avait déjà eu à faire à l'homme prit l'initiative d'aller vers lui se "re-présenter"…

Bien le bonjour sieur…
Mon compagnon et moi-même ne sommes que de passage, à nouveau, pour la journée.
Nous nous sommes déjà croisés il y a de ça quelques jours, mais il est bien possible que vous ayez oublié…

Voyant que l'homme ne bronchait pas, elle s'approcha d'avantage, se demandant si il ne lui serait pas arrivé de casser sa pipe.
Elle tendit l'oreille, rien… puis un ronflement se fit soudain entendre comme après une longue retenue.
Elle sursauta sur le coup, un peu surprise, puis rassurée, se dit qu'il avait apparemment mieux à faire.
Cheval, tenue par la bride, ils continuèrent leur chemin pour aller vers le nord…

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Bearach

Etant davantage sur les chemins qu'en ville, Bearach préféra rencontrer de nouvelle têtes. Il se balada puis arriva près d'une cabane en bois à l'allure assez mauvaise. La curiosité pris le dessus et il passa sa tête par la porte:

Hou! Hou! Il y a quelqu'un ici? Je me nomme Bearach et je suis nouveau...

Duflan

Enfin, il allez pouvoir faire une sieste bien méritez, il s'était installez un petit couffin sur sa chaise à bascule, une bonne bouteille de blanc pour le réveil, un livre pour faire bien, parce qu'il comptait surtout pas l'ouvrir, c'était plutôt en cas ou.
Mais à peine assis sur sa chaise, que quelqu'un venez déjà le déranger

Ouais, ouais voilà j'arrive, l'es pourquoi ? bereach ? l'es quoi ce nom ? vous venez d'où vous ?, l'es pas un nom anglois ça ?
Bon ben bienvenu, moy l'es Duflan, mais là j'ai point trop le temps j'ai du boulot moy !

Surtout une grosse sieste à faire et pour lui c'était très important
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Bearach

Bearach y trouva un homme dans un fauteuil qui l'acceuilla à sa manière. Ausitôt, il lui répondit:

Enchanté de te connaitre moi aussi! Mon nom m'a été donné par un passioné d'un pays appellé Irlande aussi je porte un prénom de ces origines là. Je passais juste me présenter puisque je n'ai trouvé aucun bureau ou siegais le tribun...
Je suis né ici, mais je reviens d'un petit voyage qui m'a un peu éloigné de Castelnaudary...
Quoi qu'il en soit je passait juste et comme je vois que vous avez encore du travail devant vous, (Bearach apperçut le livre assez pousierreux tandis que la bouteille l'était un peu moins), je ne vais point vous déranger plus longtemps, content de vous avoir rencontré quand même.

Il se retourna et commença à partir...

Duflan

il le regarda pendant qu'il parlait et Duflan s'aperçut que le gas n'était probablement pas très riche et selon ses dires il devait être espagnol

AH, ben enchanté de faire ta connaissance, pis ben le venu, tu verra fait moins chaud quand irlande, la fameuse contrée du sud de l'espagne mais l'es pas plus mal.
Pis ben tu devrais contacter la bourgmestre, elle te donnera deux pains, pis si t'a besoin de conseil ben faut point hésiter.
Pis nous on à besoin de gas qui on pas peur de donner un coup de main, tu peux aussi allez voir dame desirée elle cherche du monde, bon faut que je finisse ce livre moy

Mais par habitude, c'est la bouteille de blanc qu'il attrapa et la même disposition lui fit boire une longue gorgée.

Autrement, ben faut aussi allez à l'église priez de temps en temps comme moy quoi !
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Bearach

Merci pour tes conseil mon ami, tu sera sans doute amené à me connaitre davantage ici car j'ai l'intention d'y faire ma vie et d'y amasser une belle fortune! Mais avant ça comme tu le dit il faut que je travaille!
Allez, je te laisse à tes ocupations!

Regardant l'homme porter la main à sa bouteille, Bearach eut un petit rire avant de quitter la cabane et de repartir en ville.

Chipette

Poupix arrive à la cabane bleue, heureuse de remplacer son ami Duflan quelques temps.. Jvais te les acceuillir moi les voyageurs té ... La sieste oui... Elle ouvre la porte et ressort immédiatement...

Ho Mon Dieu , il y a un cadavre là dedans ... Elle réfléchit un moment... nan pas elle ... pas ici pffff ... Elle hausse les épaules mets la main sur son nez et entre ouvrir toutes les fenêtres.

Doit y avoir une bêêête morte pour que ca puir autant...

Elle se met donc en quête de la bêêête et en profite pour faire un peu de ménage.. Un grand coup de balai sur la table , puis sur le sol pour pousser le tout dehors.. Puis elle s'intalle au soleil pour y faire sa sieste dans l'attente d'un voyageur
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Seralizya

Une odeur de pêche ...

Voilà ce qui annonçais l'arrivée de le blonde, une odeur de pêche. Certains trouvaient ça étrange, effrayant. D'autres eux, la trouvaient attirante ... Des fous surement ...

Castelnaudary! Voilà donc l'étape de la donzelle. Combien de temps elle y resterait, seul le temps lui répondrais, pour le moment, il était temps de se reposer, d’effacer toutes images du passé.

D'un pas léger, la jeune femme passait de rues en ruelles, de sombres coins en place animée. Seuls quelques hommes osaient aventurés leur regard vers elle, mais pour le moment aucun n'avait osé lui parler.

Au hasard des pas, la blonde tomba sur une sorte de bureau, rien ne sortais de ce bâtiment si ce n'est le bruit lourd d'un ronflement ... S'en moquant royalement, elle décida tout simplement d'entrer.
L'odeur de pêche engloba la pièce. Les bruits de ronflement sortais d'une personne faisant longuement et profondément la sieste.

Une fois face au bureau, la demoiselle s’éclaircit la voix, puis s'adressa à l'endormit, espérant la réveiller ...

"Bonjour ... Pour faire simple, je sais que je suis à Castelnaudary, mais j'ignore à quoi sert ce bureau ..."

Se reprenant face à son impolitesse

"Ah oui! Je me nomme Seralizya, enchantée"

Puis elle fixa l'endormit, attendant le moindre signe de vie.

Chipette

Ouvre un oeil ... se relève rapidement et fait son plus beau sourire .

Citation:

"Bonjour ... Pour faire simple, je sais que je suis à Castelnaudary, mais j'ignore à quoi sert ce bureau ..."

Pour faire simple pfff Si elle avait voulu faire simple elle serait passé sans m'réveiller ...

Bonjorn ! Bienvenue Dame . Poupix de Montpensier à votre service...
A quoi sert ce bureau ? Bonne question tiens !!! Réfléchit ....

Bah.... Heu.... Bah vous êtes un voyageur de passage et vous avez besoin d'un renseignement et bien c'est ici ..
Zêtes un nouvel habitant et vous êtes complètement perdu c'est ici aussi qu'on vous aidera...
Vous voulez des histoires croustillantes sur les moeurs de Dame Paquita , c'est pas là mais bon je ferais une exception...
Enfin ici on peut discuter de tout de rien aussi té ...
Vous voulez me raconter votre vie... Alors là c'est pas ici du tout du tout...C'est chez le Père Saino à la cure, il s'ennuie le pauvre...

Voilà j'espère avoir répondu à votre question... Jpeux faire autre chose pour vous ?
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Fabien

Cela faisait déjà plusieurs jours que Fabien marchait depuis Marmande. Lui et ses amis ne s'étaient pas arrêté une journée depuis leur départ. Le jeune homme avait beaucoup apprécié l'accueil que le garde Rubis7 de Castelnaudary lui avait montré. Poli et courtois, il lui avait semblé réciter un discours appris par coeur. Celui-ci l'avait orienté vers la cabane des voyageurs où il serait accueillit.

Fabien se rendit à l'endroit indiqué car de nouvelles rencontres étaient selon lui un bon moyen de laisser derrière lui le passé. Il poussa la porte de cet endroit accueillant et se présenta.

- Bonjour, je suis Fabien de Marmande. On m'a dit que les voyageurs étaient bien accueillis ici alors je suis venu voir cela de mes propres yeux.
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Chipette

Et encore un casse pied... !!! Pfff Se sont donnés le mot ou quoi ? Tous à la cabane il y a Poupix qui dort .... Vivement que Duflan revienne pfiou ... Elle se retourne et fait son plus beau sourire ..

Heu... Bonjour et bienvenu dans notre belle ville qu'est Castelnaudary..
Je suis Poupix de Montpensier et vous ne vous trompez point tous les voyageurs sont bien acceuillis... On fait en sorte qu'ils ne veuillent plus repartir... Surtout en ce moment il y a une voie à désherber ...
Puis je faire quelque chose pour vous ? Un ragot ? Un renseignement ? ... Allez y jsuis là pour ca ... entre autre...
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Fabien

Fabien se tourna vers la dame qui venait de s'adresser à lui.

- Des ragots? Y en a-t-il? Un bon ragoût en revanche je ne refuse pas.

Même si il tenait ces propos sur le ton de la plaisanterie, Fabien ne refuserait pas un bon repas à table. Lui et ses amis n'avaient pas mangé convenablement depuis leur départ. Tout le monde commençait également à sentir la fatigue s'accumuler. Aussi, il demanda :

- Auriez-vous un peu de place où moi et mes amis pouvons nous reposer en attendant de reprendre notre chemin?

Il tenta d'ébaucher un sourire amical comme pour signifier sa bienveillance.
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Chipette

Le regarde méfiante.. Ils sont nombreux... Vont tous débarquer ici , se présenter et bla bla bla et adieu la sieste... Maudite, je suis maudite ...

Un logement pour la nuit ? Bah vous avez l'auberge Lo Banastié au village , elle a des chambres confortables, les repas y sont copieux et pas trop mauvais pour le prix... Et toc.. Et puis avec un peu de chance vous y croiserez une Dame qui fait de fabuleux ragouts de poney... et des tourtes aux lards... Demandez lui de ma part , elle sera ravie...

Elle le regarde, reprend son souffle, sourit et ...

Et si vous aimez l'aventure bah vous pouvez aussi vous et vos amis vous reposer dans ma grange.. La paille y est fraiche , le toit ne prend pas trop l'eau et jpeux essayer de vous cuisiner un ragout avec ce qu'il me reste.. En effet jme suis incrustée chez un ami et ce dernier est parti chez les moines sans même penser à remplir le garde manger... Pffff.. Enfin doit rester de quoi faire.. Sauf si vous êtes une armée complète...

Pour sur qu'il allait falloir l'aimer l'aventure pour manger un ragout fait par la follette .. Avait-elle déjà une seule fois dans sa vie allumé un feu ?
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Fabien

Fabien sourit à la dame qui ne semblait pas avoir compris sa demande. Il partirait sûrement au milieu de la nuit pour leur prochaine destination et n'avait pas besoin d'une chambre pour une nuit entière.

C'est avec un maximum de politesse que Fabien lui répondit:

- Je vous remercie beaucoup pour votre aide. Je n'ai que peu de temps car je ne reste pas en ville.

Il salua Poupix et quitta la cabane.
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Chipette

Mais de rien ce fut un plaisir ...

Sourire commercial .. Attend qu'il s'éloigne un peu, beaucoup.... et courageusement murmure

Espece d'abruti , me déranger dans ma sieste pour rien !! Oui c'est ca file !!! T'as peur hein !!!!

Rapide coups d'oeil aux alentours, personne... Elle retourne s'alonger.

L'est pas belle la vie ?
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Bc_rich

On est tous plus ou moins voyageur...

BC flanait tranquilement quand il apperçut un corps de femme allongée.

"Foutre diantre! Une agression?"

Ni d'une ni de deux le voilà qui se meut au pas de course, faisant raisonner sa carcasse plus tout à fait de première fraicheur.

" BC mon vieux, tu manques d'exercice....manier la hâche te fait gonfler les bras mais pour le reste..."[/i]

Il s'approche et la silhouette se déssine. Il reconnait la jeune aventurière qui rêve d'air marin.
Paniqué il s'approche, s'agenoue et entend...de discrets ronflements!
D'agression il n'est point question. La demoiselle serait elle victime d'un mal de mer précoce?
D'une main sur sa bouche il étouffe le fou rire naissantet s'en retourne sur ses pas le plus discretement possible pour ne pas troubler la permanence assidue de la jouvencelle!
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Chipette

Et encore un ! Tous les chemins mènent à la sieste de Poupix c'est pas possible ... Elle entrouve un oeil discrètement et reconnait le coupeur de bois qui s'éloigne.. Quoi qu'il voulait lui encore !!! Rien d'urgent sinon il ne se serait pas géné pour la réveiller... Et puis il connaissait la ville donc ... zou sieste .... Puis par acquit de conscience, elle se redresse un peu prenant appuis sur son coude ..

Z'avez besoin de quelque chose ?

Il ne sera pas dit que Poupix ne fait pas son travail ...
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Bc_rich

Au son de la voix il se retourne...

"Ho non merci, je ne faisais que passer".

Puis un sourir aux lèvres il pointe son visage du doigt désignant les marques du someil et quelques résidus de paille."

"Charmants ornements que vous présentez là damoiselle.... Votre assiduité vous honore!"

Il s'incline, ses mèches éparse masquant son envie de rire et reprenant son sérieux lui déclare:

"Pardonnez moi d'avoir troublé votre labeur, je vous laisse vous reconcentrer et disparais sur le champ...la bonne journée encore!"

Il se tourne et s'en va, sifflotant, envoyant valser de ses bottes usées, les quelques caillasses infortunées passant à portée de sa foulée.
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Chipette

Encore un qui ne faisait que passer . Se sont donnés de mot , un complot anti sieste... Duflan avait raison... Complotent tous ici ...
Elle se relève, l'écoute et lui fait son plus beau sourire , ravie de tous les compliments qu'il vient de lui faire, enfin un qui reconnait son mérite ...

Oui merci, la bonne journée à vous...

Elle le regarde s'éloigner et retourne à la cabane.

C'est malin j'ai plus sommeil pffff

Elle entre dans la cabane, trouve une plume de l'encre et un parchemin.. Elle s'installe correctement et décide de mettre à jour son courrier..Mais bien vite elle se rendort la tête posée sur la table .
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Chipette

Poupix réveillée par un abruti de pigeon qui ne voulait pas se poser , entame une guerre pas possible avec la bête..

Piti , Piti Piti... viens voir maman Poup..

Rien y fait... Maline elle pose quelques graines sur la table et saisit une poele.
Ce dernier se pose , commence à picorer ... D'un geste rapide elle lui acène un grand coup sur la tête... Pigeon mort ... T'as mal ?
Elle détache la missive et rapidement la lit..
Arf... jdois partir sur le champs..
Elle s'empare alors d'un parchemin

Citation:

Absente pour cause d'absence urgente... relit, raye... Absente pour affaire personnelle... raye ca fait pas sérieux, vont croire que jsuis coincée aux latrines.. Absente car la Reyne m'a fait demander pour un conseil.... Elle est morte pffff ... raye à nouveau..
Absente pour aller remplacer la Reyne... Ca ca le fait pfiou... Adressez vous à mon remplaçant ou a Dame Paquita par missive, elle a que ca a faire... De retour très vite.

Rit et imagine la pauvre Maire envahie par les pigeons et recouverte de fiente..
Poupix dépose son parchemin sur la table et file à toute allure préparer son maudit cheval ..
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Albatore

Le bonjour à vous tous.

J'arrive de Muret et je voulais visiter ce beau village de Castel que je ne connais point.

Je penses rester quelques jours si toutefois je le puis.

Cordialité à tous

Alba

Rubis7

la jeune soldate avais vu que le bureau étais vide car tous le monde avais du s’absenter la jeune fille alla du coup accueillir le visiteur

bonjorn et bienvenue a vous dans notre beau village
bien-sur vous pouvez y rester quelque temps

la jeune fille lui sourit gentiment
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Armorius

Il avait pénétré dans la ville dans un haillon, avec sa besace au cou. La campagne et toutes ses barbaries étaient bien derrière, désormais, il voulait devenir un citadin "Moderne" si l'on puis dire ainsi.

Les pieds enflammés à cause de la longue marche, le jeune Toulousain, décida de s'accorder un repos bien mérité aux portes de la ville. De toutes façons, il passerait la nuit à la belle étoile. Plus d'écus en poche! Et pas une miette de pain dans la besace pour grignoter. A moins que......?

Les idées fusaient dans le cerveau, mais aucune solution lui venait dans la tête.

Devrait-il revenir sur ses pas?. Non!. Il était venu dans un but bien précis. Devenir un Homme Intègre, et respectable. Son goût du travail, n'était point pour le défavoriser dans l'accomplissement de ces desseins.

Léger sommeil, puis il se remet sur ses jambes. L'entrée principale de Castel n'était plus loin.

Une fois devant le bureau des voyageurs, il s'approcha à pas légers, voir ce qui se tramait. Du monde, il en avait oui. Mais cela ne l'intimidait point. Il était ce qu'il était, bien que malgré Lui.

Bonjorn Braves Gens!.
Je suis Armorius, venant d'un Hameau pas très loin d'ici. Je suis ici dans le but de m'installer!.
Je serais donc preneur de conseils...et de coup de pouce pourquoi pas?. S'incline avec tout son respect, puis lance un regard explorateur sur l'assemblée, voir les visages qui s'affichaient.

Un placard? heuuu. Mais quoi? chercher de la bouffe n'est pas mal non?
Il s'en approche, après avoir détourné de lui, le regard des deux interlocuteurs. Puis remarquant que celle-ci n'était pas fermée à clé, ouvrit voir d'ou sortait la savoureuse odeur de saucissons.

Pas frais? Bof, peu importe. Il en metta plein la besace avant de reprendre chemin.... Il avait suivit un conseil de toutes manières.

Ref. Une vie de pauvre.

Louise

Louise s’apprête à reprendre le chemin et à sa mûle si bien nommée, Duflan, elle arnache sa charrette sans précipitation, avant d'y ranger ses victuailles, quelques miches de pains, trois navets, deux sacs de maïs et le plus important, une caisse de gnôle.
'Nous faudra b'en ça pour l'supporter, hein ma belle? Aussi, pour appuyer ses dires, donne-t-elle quelques tapes affectueuses sur le flanc de l'animal. La réaction ne se fait guère attendre, la bête s'agite et cherche à boxer de ses pattes sa blonde propriétaire. Quelle tête de mule! Jure la chaurienne à juste titre.

C'est devant la cabane aux voyageurs qu'ils avaient rendez-vous avec un autre errant, Mordred.
Lou n'aimait guère trop ce maraud et ne manquait point d'adjectifs pour le qualifier: L'affreux, en plus d'être bègue, laid et impoli, le v'là incapable d'êt' à l'heure!
N'aimant pas attendre et agacée d'avance par cette cohabitation qui risque d'être non sans disputes, elle s'adosse au muret de la cabane, sourcils froncés et l'air contrarié.

Un homme en guenilles et à la démarche un peu lourde déboule devant elle, en direction de la cabane. Louise le salue seulement du chef, elle sait qu'il y aura bien quelqu'un pour l'accueillir au dedans.

Elle a beau scruter la petite place, rien y fait, aucune trace de son compagnon de route, Quel vaurien!, le temps se fait long et les rues désertes, même pas une commère avec qui échanger quelques ragots...
Le va-nu-pied ressort de la cabane, la besace bien pleine. Louise observe son manège, le sourire en coin, se souvenant avec une once de nostalgie de son départ pour Pau, la graaande ville, sans un écu en poche, et de ces nombreux larcins auprès des marchands palois.
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Le.jaccot

Il avait suffit d'une rencontre en taverne pour réveiller, chez le castrais, l'angoisse et le soucis qu'il pouvait éprouver pour la Lou, l'envie de la revoir... mais cet élan si familier qui le poussait, souvent, à commettre les pires absurdités, comme se lancer éperdument à la poursuite de sa douce, fut aujourd'hui retenu par le lourd poids du devoir, celui qui le rappelait en sa ville où les élections approchaient et sa présence serait requise.

C'est donc le regard las, le dos chargé comme un mulet, qu'il passa devant la cabane qu'avait montée le Duflan. Un dernier regard vers la ville, un autre dirigé vers l'est, où la mer devait se cacher derrière l'horizon et où sa Lou devait également se couvrir de la poussière de la route puis un soupire, et encore un autre. Et il resta ainsi quelques instants, le regard fixé vers l'horizon. La vie, dit-on, est faite d'une succession de choix. Au Jaccot, il lui semblait que la marge de manoeuvre d'un paysan était quand même limitée et que souvent, trop souvent, le choix avait déjà été fait pour vous.

En ce jour, donc, il y avait deux routes pour le Jaccot. Deux routes qu'il aurait pu, chacune, suivre, mais dans la tête du castrais, seule celle emprunte du devoir se dressait devant lui et, quoi que son coeur lui en dicte autrement, ses pieds finirent par se remettre en route. Lentement, péniblement, vers sa bonne ville de Castres, celle à laquelle il se sentait lié et qu'il ne pourrait plus quitter durant le mois à venir.

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Un peu dépassé niveau emploi du temps en ce moment. Si des réponses vous étant dues se font attendre, relancez-moi.

Paquita

Hop hop hop !!!
Plus un instant à perdre !

Paquita se hâte vers la cabane des voyageurs que Duflan a investi depuis de longs mois. L'occupant imposant est en retraite depuis quelques temps... l'occasion est trop belle de lui jouer un tour.

Paquita pousse la porte de l'épaule. aucune difficulté, celle-ci était restée ouverte, le loquet mal enclenché.

Outre l'épaisse couche de poussière qui recouvre tout d'un voile terne, Paquita aperçoit ça et là des plumes d'oiseaux, quelques viscères de souris et des poils un peu partout.
Etonnée, elle se penche et aperçoit les traces de pas, de pattes du coupable.

Paquita se relève un sourire aux lèvres. Voici qui devrait déjà enquiquiner le gros Duflan. Mais pour parfaire l'ouvrage, elle s'active et ouvre les placards les uns après les autres. Chaque fois qu'elle trouve quelque chose de comestible, elle le sort et le jette par la fenêtre ouverte.

Hop les saucissons ! Hop, le restant de couennes de jambon ! Hop ! les quignons qui achèvent de moisir dans un coin ! Hop ! Adiéù andouille, jésus, lard, mortadelle, panne, pâté, rillettes, rosette, salé, saucisse, jambonneau , galantine, andouillette, boudin et autres cervelas.....

Toute la pitance qui pouvait rester dans la masure voltige par le fenestron.
Dehors, badauds et marauds sautent à qui mieux mieux pour s'emparer de la manne.

En quelques minutes, l'affaire est entendue. Des miettes qui resteront sur le chemin, se régaleront les animaux des alentours.

Paquita repart, la face hilare du bon tour qu'elle vient de jouer à son ennemi.

Oc !!! assez boustifaillé chez les moines !! au régime à présent !
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Duflan

On est toujours content quand on reviens chez soit, on retrouve ses habitudes, les gestes quotidiens ceux qu'on voulaient oubliés, la porte de sa demeure qui est à la place de euh...ben la porte té !
Et puis son odeur et celle de Duflan, elle imprègne...
Sauf qu'a mesure qu'il s'approche de chez lui, il force le pas et prend la mine sévère, un courrier lui a fait peur , un voleur selon Poupix se serait introduit chez lui et aurait tout volé....

bougre diuo, pourvu qu'il a point trouvé le coffre !

Il est inquiet et il a de quoi, car dans ce coffre ce trouve tout l'argent accumulé pendant des années, des années de filouteries, de mensonges et d'escroqueries en tout genre, la somme et énorme....
Duflan transpire gras tellement il a peur, il ne pourra même pas porté plainte, lui qui se fait passer pour pauvre depuis tellement de temps.

Il ouvre la porte d'un grand coup, voit les placards ouvertes et vide, bien que cela le chagrine, il n'y prête pas attention, il se dirige vers son lit, le déplace, soulève le tapis de dessous, retire la planche mal ajustée, enlève le vieux slip sale et retire le coffre....
Soulagement de notre homme, il est intact, il l'ouvre...

Oauis !....hé hé...tout est là....mon trésor.....mon trésor..mes sous sous..
mes écus.....

Il ferait presque peur ou pitié c'est selon, ses yeux brillent...on dirait un professeur de l'université qui compte ses sous....
ET puis il prend le coffre et le cache à un nouvel endroit.....
Un peu de remise en ordre et la place est de nouveau prés à recevoir du monde, il faut juste qu'il aille demander de la nourriture et de l'alcool pour recevoir les voyageurs, il payerait bien lui même mais il est tellement pauvre...................

Voyageurs un petit mot, cela fait chaud au cœur !

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Parotech

Paro visité pendant que ça douce dormais encore.
Il faisait le tour de Castel qui connaissait déjà en étant dans la ville voisine.
Il tomba sur une veille cabane qui avait l'air d'être habité.

Quel pauvre type peu habiter cette veille bicoque délabrer?

Il s'approcha de la fenêtre pour regarder l'intérieur et il aperçu une marmite dans une cheminé, ça ressemblé à un abris de veille sorcière comme dans les histoires qu'on raconte aux enfants.

Paro n'avait peur de rien mais cette cabane c'est la cabane du diable et si jamais la sorcière l'apercevais elle pourrait le changer en je ne sais qu'elle bestiole.
Il pris vite fait la fuite de ce lieu maudit.
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Vainqueur du Tournois des 7 Royaumes avec l'équipe de France 1459.
Capitaine des Ours Mal Léchés

Saluzozo

Alors que Zozo visitait joyeusement la ville de Castel qu'il n'avait put visiter lors de ça dernière visite éclair il y a des mois et des mois. Il allez tournez dans une rue qui menait a un petit chemin au quel haut bout résider une vieille demeure un peut délabrer de la qu'elle sortait une fumer un peut inquiètant. Zozo regarda au bout de l'allée et vit un visage assez famillier passer en trombe devant lui. Zozo cligna quelques instant des yeux et regarda Paro continuer sa course le long de l'allée. Zozo sourit amuser puis continua sa visite.
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ATTENTION : TISANER TUE !!!!!!!

Kebree

Kebree entra dans cette cabane qu'un garde à l'entrée de la ville lui avait suggéré de se rendre. Ainsi il entra sans faire de bruit, étant d'une nature plutôt discrète. Puis, prenant son courage à deux mains, il dit :

Bonjour à tous! Je me prénomme Kebree. Je ne suis qu'un humble voyageur de passage. Mon périple a commencé d'Agen. Oui, comme la prune d'Agen...

Kebree afficha un sourire niais sur son visage. Voyant que sa blague ne donnait aucune réaction, il se racla la gorge et continua:

Hum hum... Je souhaiterais mener mon voyage jusqu'à Venise, la sérénissime. Pour cela, je dois passer la frontière entre le comté de Toulouse et celui du Languedoc. Pensez-vous que cela soit possible sans aucun problème?

Kebre se tourna alors vers l'assemblé, attendant sa réponse.

Duflan

Touillant le fond de sa marmite sur le feu, il essayait d'attraper les plus gros morceaux de lard, la marmite n'étant jamais nettoyé et vieille d'au moins dix ans, le gout de la nourriture cuite et recuite au fond de l’ustensile avait un met particulier mais que notre homme apprécié.
Et puis l'arrivé d'un homme parlant de prune le fit sursauter

Ah, ben ben venu à Castlenaudary, je m’appelle Duflan pis j'en suis pas moins humble non plus, de la Prune vous dites ?Oh ben oh fais ben longtemps que j'en au point gouté, ferais ben plaisir, tenez asseyez vous d'on on va la gouter ! Sera dommage si vous vous faites attaquer par des brigands de la perdre.

Notre homme sorti deux verres et les posa sur la table, invitant le dénommé Kebree à s'assoir

Oh ben la frontière je sais point, je crois pas, mais je me renseigne de suite !
Venisia ! ben les une belle ville, une riche de tisserands et d'épice ! Mais l'es entendu dire que les moustiques l'étaient tellement gros qui vous embrocher sur place et l'es pour ça que la bas sont tous un bouclier à la main, même les jolies dames

Comme d'habitude il exagérait tout et ne pouvait pas s’empêcher d'en rajouter !
ET puis il attrapa un pigeon et adressa un message pour se renseigner sur les frontières
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Chipette

Arrive en trombe... Pousse la foule de voyageurs qui voyagent..

Poussssssses toi Duflan !!!!

Récupère son sac , y bourre quelques vétements, attrappe quelques bouteilles de vin au passage, se dirige vers la marmite... L'ouvre... Ho pinaise le pot de chambre du gros .. Elle referme le couvercle et se dirige vers Duflan , pousse tout le monde...
Bon jme déclare voyageuse .. Jme fais enlever ce soir par un prince charmant , je reviens très vite.

Tapote l'épaule de Duflan, lui colle une bise qui claque sur sa bonne joue collante .

Ca va le faire ? Vous pourrez survivre sans moi ces quelques jours ? Je sais c'est dur, soyez fort té... Je ne suis pas loin . Courage ...
Se retourne vers les voyageurs qui attendent de se présenter...

Allez jvous laisse la place... Par contre vous là au fond vous pouvez faire demi tour.. On accepte po les roux ici ...

Elle monte difficilement sur son stupide bourrin, essaye de garder l'équilibre ..

Hue !!!! Patapouf et pas toutes les pattes en meme temps hein ...
Allez avance....

Elle gesticule dans tous les sens, frappe de ses pIeds les flancs de la bête et s'éloigne doucement .. Pfffff n'est pas rendu té
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Petifuyant

La Fuyante était de retour en la chère ville Chaurienne... Sa fille sous le bras, son époux jamais bien loin et une petite troupe de copains l'accompagnaient.
Devant les grandes portes elle se fit accueillir par un des gardes qu'elle connaissait bien et qu'elle trouvait de plus en plus moche.
Celui ci lui avait conté tous les blablas dictés par la grosse Paquita et lui avait conseillé de se rendre à la cabanes des voyageurs...
Une cabane pour tous les voyageurs, autant imaginer le fabuleux accueil Chaurien... Trois planches de bois mal cloutées, un toit branlant, un feu presque éteint et un gros Duflan pour une première impression...
Elle regarda ses amis Aucitains qui grimaçaient devant l'abri...

"Ben voilà.... Nous y sommes... c'sympa hein?"

Le yeux plissés et le nez retroussé elle s’approcha de Duflan pour le saluer et faire les présentations.

"Bien le bonjour camarade!!! Ben t'pas changé..... Ahum... Bon ben me revoilà, j'me nomme Fufu mais, tout le monde me connait ici, j'ai même un grand boulevard à mon effigie.... * petit moment de crânerie* J'te présente ma fille Lili pis il y a mon époux, Sephoria, Wesley Cooper... Un Anglois... Et leur fils Bryan... Là derrière c'la rouquine dict Cerise, une nobliote qui n'en a pas l'air et à côté, c't'une Bretonne.... C'est son époux... J'suis pleins d'rancoeur envers lui m'enfin la vengeance est un plat qui se mange froid!! "

Petit sourire en coin pour terminé ces dires.... Elle regarda à nouveau la cabane délabrée entourée de toutes sortes de voyageurs et la Fufu ça ne lui plaisait que guerre. Les Aucitains avaient besoin de place et la solution la meilleur était qu'on leur offre des nuits à l'auberge...

"Bon bon!! Sinon.... Seph et Cerise se sont faites agresser par un gros moustachu..... Hum... * elle détailla encore Duflan* Qui sentait le saucisson m'ont elles dit.... * Elle le huma discrètement* Donc soit on nous fait dormir à l'auberge et ce offert bien gentiment évidement! Soit on va s'plaindre à la grosse... Hum... à la bourgmestre, on trouve le coupab'e et on d'mande pilori!!! Voilà voilà..... Sinon comment tu vas dis?"

Elle posa baluchon à terre et fit un signe de la main aux copains qu'ils approchent...

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Duflan

Décidément c'est difficile d'avoir un moment tranquille à peine le plaisir de voir chipette disparaitre qu'elle était de retour, les princes charmant décidément s'est plus ce que c'était, dés qu'il avait fait le coup de la charrette en panne au bord d'un chemin, hop se changé en ogre ! Lui il s'en foutait le seul problème c'est qu'il aurait pu au moins la perdre au fond des bois mais non.
Et puis voila le retour de fuyant, normalement ça fait plaisir de revoir sa jolie bouille pis ses..euh enfin bref, mais voila qu'elle ramène toute une troupe et dans cette histoire notre homme n'a toujours pas pu attraper le gros morceau de gras au fond de la marmite

Ha, ben ben le venu, pis ouais t'es chez toi fufu, t'a qu'a t'installer chez paquita, je crois savoir qu'a t'a préparer un grand lit, tu penses elle t'attends avec joieUne rue à son nom ?, ah ben faudra qu'il regarde manquerais plus que ça maintenant et puis voila qu'elle lui présenter sa fille et Duflan les enfants moins il les voyait mieux il se portait

Ah, ouais ! dis t'es sur qu'elle est de toi au moins ?L'intelligence et la délicatesse c'est pas son truc, pas méchant mais bête L'es bizarre tous ses petits doigts qui sont au mains hein ?, bon allez va jouer dehors hein ! l'es pas un lieu pour les drôles ici !
Ah pis l'es gentil de ramener une rousse on en avait pu à mettre au bucher, la bien la pélagie mais elle veux pas cft'e bougresse !
Dites je vous paye le coup ?, savez ramener un truc à boire de chez vous ?
Pis pour l'histoire du gros bandit à moustache qui sent le saucisson, oh voit pas , mais va me renseigner !
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Sephoria

La Seph n'était jamais bien loin, surtout à porté de sifflet de sa Fufu. Donc entendant l'appel petifuyant , elle accourra d'un pas lent et nonchalant.

J'suis la Seph, la moche de Fufu... Alors le gros , comme je vais m'installer quelques temps ici, on va mettre deux, trois trucs au clair ...

Alors pour commencer parce qu'il faut commencer par quelque chose,on brule pas ma sainte, la rousse... Si quelqu'un doit la bruler, ce sera moi et rien que moi...
C'est ma sainte , rien qu'à moi... Je prête pas ma sainte... T'y touches, j't'apprends à compter tes dents sur le sol... J'espère pour ton rat'lier qu'on se comprends bien là..??

Pour que le gros comprenne parfaitement , la Sésé rajusta son gourdin à sa ceinture et remonta sa poitrine de façon peu féminine.

Ensuite, comme l'a dit ma Fufu, un salopiot nous a attaqué ma sainte et moi, nous pauv'es femmes toutes menues et frêles, fragiles et innocentes.
En sommes encore toutes émotionnées ... Donc j'vous attends en taverne pour nous offrir un remontant ... Bien voui on a plus de sous ... Le gros saucisson à moustaches sentant le pâté , nous a tous pris .
Manques pas le rendez vous sinon j'reviens ici et j't'apprendrai à compter tes chicots sur le plancher de ton taudis ...

Sur ces bonnes paroles , la Sésé adressa un clin d’œil à sa Fufu ...
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Duflan

Pas eu le temps de sortir la gamine, qu'une furie brune entra en parlant de gros, Duflan se demander de quoi elle parlez, de toutes manières elle parlait trop vite et puis lui il pensait à son morceau de gras au fond de la marmite.
C'est vrai ça il avait tellement de mal à le décoller que ça saurait dommage qui rattache et puis c'est quoi cette histoire de chicos !

Oh, ben possible que se soit un espagnol , je dis point ! Chicos l'es ben un nom de la bas ! Pis l'es vrai que leur saucisson sente plus fort ! Vous inquiétez point on le retrouvera votre gas, sur !
Non, on le retrouvera jamais, il y avait longtemps qu'on perdait plus son temps à courir après les bandits, mais fallait surtout pas le dire
Allez hop, faut que je m'occupe de ma tanbouille autrement ça attache au fond !
Pis devriez allez au mine, la toujours du travail la bas !

Il retourna vers sa marmite, omnibulé par son morceau aperçu juste avant
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Petifuyant

Les présentations entre Seph et le Duflan se passèrent comme prévu... Des mots d'amour, des sourires, du gourdin....
La Fuyante les regardaient amusée... Voir Sephoria montrer les crocs aux Duflan le pensant capable d'aller couper du bois d'abord, pour ensuite construire un buché... Puis courir après Cerise pour enfin l’attraper, la ligoter la ramener jusqu'au buché... Duflan n'en était pas capable. Nan lui serait plutôt inspecteur des travaux finis, ou bien le cerveau et d'ici que tout le monde l'écoute, de l'eau et de l'eau coulerait sans doute sous les ponts.

Le sujet devint d'un coup plus intéressant, non que Cerise n’intéressait pas la Fuyante mais du lard..... Du lard?

...Possible que se soit un Espagnol....Chicos.... Saucisson... Tambouille.. ça attache au fond...

Elle retroussa son petit nez pour flairer d'abord et lâcha son plus beau sourire à Duflan...

[b]"Mon ami, tu as tellement fait pour moi... Je vais t'aider!! Montre moi le saucisson qui accroche, je vais t'aider je te dois tellement!"

Elle sortit une grosse louche en fer qu'un forgeron lui avait fabriqué et colla les chausses du bon Duflan...

"Mont'e moi, j'te suis, je vais décrocher la bête, bien grasse... bien croustillante... Bien... hum... J'arrive à point pour sauver ton repas dis??"

[/b]
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Starine

La veille encore, ils étaient à Foix où ils avaient rencontré des personnes charmantes en taverne. Elle avait même fait dessiner leur portraits par un peintre désargenté qui se trouvait encore là. Elle regretta seulement que l'homme qui accompagnait les deux dames ne fut déjà plus là. Ce portrait, elle le garderait longtemps dans sa malle.

A peine Starine et son fils Philippe étaient-ils arrivés à Castelnaudary qu'un garde les arrêta. Elle se présenta, tout naturellement..

Bonjour. Je m'appelle Starine, j'habite Labrit en Gascogne et je voyage avec mon fils Philippe qui dort actuellement dans la charrette..

Le garde posa ensuite mille et une questions à la mère, l'inspecta minutieusement. Tout était fait dans les règles et dans le respect du à la voyageuse qu'elle était.
La Labritoise n'en fut point choquée du tout . Elle comprenait parfaitement qu'on puisse être vigilent, par ces temps troublés..

Elle se soumit calmement à l'interrogatoire, donnant aussi les noms des personnes qu'elle avait croisées sur la route et avec qui elle avait discuté un peu lors d'une petite pause casse-croûte.
Comme elle était de bonne foi, voyant qu'elle n'était pas un danger potentiel pour la ville, il les laissa passer en leur souhaitant la bienvenue.

Cf : lettre de bienvenue en ville.. Je ne fais pas jouer le personnage du garde contre sa volonté...

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[RP] Voyageurs soit le bienvenu, presentez vous !