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[RP] Voyageurs soit le bienvenu, presentez vous !

Louise
Louise s’apprête à reprendre le chemin et à sa mûle si bien nommée, Duflan, elle arnache sa charrette sans précipitation, avant d'y ranger ses victuailles, quelques miches de pains, trois navets, deux sacs de maïs et le plus important, une caisse de gnôle.
'Nous faudra b'en ça pour l'supporter, hein ma belle? Aussi, pour appuyer ses dires, donne-t-elle quelques tapes affectueuses sur le flanc de l'animal. La réaction ne se fait guère attendre, la bête s'agite et cherche à boxer de ses pattes sa blonde propriétaire. Quelle tête de mule! Jure la chaurienne à juste titre.

C'est devant la cabane aux voyageurs qu'ils avaient rendez-vous avec un autre errant, Mordred.
Lou n'aimait guère trop ce maraud et ne manquait point d'adjectifs pour le qualifier: L'affreux, en plus d'être bègue, laid et impoli, le v'là incapable d'êt' à l'heure!
N'aimant pas attendre et agacée d'avance par cette cohabitation qui risque d'être non sans disputes, elle s'adosse au muret de la cabane, sourcils froncés et l'air contrarié.

Un homme en guenilles et à la démarche un peu lourde déboule devant elle, en direction de la cabane. Louise le salue seulement du chef, elle sait qu'il y aura bien quelqu'un pour l'accueillir au dedans.

Elle a beau scruter la petite place, rien y fait, aucune trace de son compagnon de route, Quel vaurien!, le temps se fait long et les rues désertes, même pas une commère avec qui échanger quelques ragots...
Le va-nu-pied ressort de la cabane, la besace bien pleine. Louise observe son manège, le sourire en coin, se souvenant avec une once de nostalgie de son départ pour Pau, la graaande ville, sans un écu en poche, et de ces nombreux larcins auprès des marchands palois.

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Le.jaccot


Il avait suffit d'une rencontre en taverne pour réveiller, chez le castrais, l'angoisse et le soucis qu'il pouvait éprouver pour la Lou, l'envie de la revoir... mais cet élan si familier qui le poussait, souvent, à commettre les pires absurdités, comme se lancer éperdument à la poursuite de sa douce, fut aujourd'hui retenu par le lourd poids du devoir, celui qui le rappelait en sa ville où les élections approchaient et sa présence serait requise.

C'est donc le regard las, le dos chargé comme un mulet, qu'il passa devant la cabane qu'avait montée le Duflan. Un dernier regard vers la ville, un autre dirigé vers l'est, où la mer devait se cacher derrière l'horizon et où sa Lou devait également se couvrir de la poussière de la route puis un soupire, et encore un autre. Et il resta ainsi quelques instants, le regard fixé vers l'horizon. La vie, dit-on, est faite d'une succession de choix. Au Jaccot, il lui semblait que la marge de manoeuvre d'un paysan était quand même limitée et que souvent, trop souvent, le choix avait déjà été fait pour vous.

En ce jour, donc, il y avait deux routes pour le Jaccot. Deux routes qu'il aurait pu, chacune, suivre, mais dans la tête du castrais, seule celle emprunte du devoir se dressait devant lui et, quoi que son coeur lui en dicte autrement, ses pieds finirent par se remettre en route. Lentement, péniblement, vers sa bonne ville de Castres, celle à laquelle il se sentait lié et qu'il ne pourrait plus quitter durant le mois à venir.

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Un peu dépassé niveau emploi du temps en ce moment. Si des réponses vous étant dues se font attendre, relancez-moi.
Paquita
Hop hop hop !!!
Plus un instant à perdre !


Paquita se hâte vers la cabane des voyageurs que Duflan a investi depuis de longs mois. L'occupant imposant est en retraite depuis quelques temps... l'occasion est trop belle de lui jouer un tour.

Paquita pousse la porte de l'épaule. aucune difficulté, celle-ci était restée ouverte, le loquet mal enclenché.

Outre l'épaisse couche de poussière qui recouvre tout d'un voile terne, Paquita aperçoit ça et là des plumes d'oiseaux, quelques viscères de souris et des poils un peu partout.
Etonnée, elle se penche et aperçoit les traces de pas, de pattes du coupable.


Paquita se relève un sourire aux lèvres. Voici qui devrait déjà enquiquiner le gros Duflan. Mais pour parfaire l'ouvrage, elle s'active et ouvre les placards les uns après les autres. Chaque fois qu'elle trouve quelque chose de comestible, elle le sort et le jette par la fenêtre ouverte.

Hop les saucissons ! Hop, le restant de couennes de jambon ! Hop ! les quignons qui achèvent de moisir dans un coin ! Hop ! Adiéù andouille, jésus, lard, mortadelle, panne, pâté, rillettes, rosette, salé, saucisse, jambonneau , galantine, andouillette, boudin et autres cervelas.....

Toute la pitance qui pouvait rester dans la masure voltige par le fenestron.
Dehors, badauds et marauds sautent à qui mieux mieux pour s'emparer de la manne.

En quelques minutes, l'affaire est entendue. Des miettes qui resteront sur le chemin, se régaleront les animaux des alentours.

Paquita repart, la face hilare du bon tour qu'elle vient de jouer à son ennemi.


Oc !!! assez boustifaillé chez les moines !! au régime à présent !
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Duflan
On est toujours content quand on reviens chez soit, on retrouve ses habitudes, les gestes quotidiens ceux qu'on voulaient oubliés, la porte de sa demeure qui est à la place de euh...ben la porte té !
Et puis son odeur et celle de Duflan, elle imprègne...
Sauf qu'a mesure qu'il s'approche de chez lui, il force le pas et prend la mine sévère, un courrier lui a fait peur , un voleur selon Poupix se serait introduit chez lui et aurait tout volé....


bougre diuo, pourvu qu'il a point trouvé le coffre !

Il est inquiet et il a de quoi, car dans ce coffre ce trouve tout l'argent accumulé pendant des années, des années de filouteries, de mensonges et d'escroqueries en tout genre, la somme et énorme....
Duflan transpire gras tellement il a peur, il ne pourra même pas porté plainte, lui qui se fait passer pour pauvre depuis tellement de temps.

Il ouvre la porte d'un grand coup, voit les placards ouvertes et vide, bien que cela le chagrine, il n'y prête pas attention, il se dirige vers son lit, le déplace, soulève le tapis de dessous, retire la planche mal ajustée, enlève le vieux slip sale et retire le coffre....
Soulagement de notre homme, il est intact, il l'ouvre...


Oauis !....hé hé...tout est là....mon trésor.....mon trésor..mes sous sous..
mes écus.....


Il ferait presque peur ou pitié c'est selon, ses yeux brillent...on dirait un professeur de l'université qui compte ses sous....
ET puis il prend le coffre et le cache à un nouvel endroit.....
Un peu de remise en ordre et la place est de nouveau prés à recevoir du monde, il faut juste qu'il aille demander de la nourriture et de l'alcool pour recevoir les voyageurs, il payerait bien lui même mais il est tellement pauvre...................


Voyageurs un petit mot, cela fait chaud au cœur !

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Parotech
Paro visité pendant que ça douce dormais encore.
Il faisait le tour de Castel qui connaissait déjà en étant dans la ville voisine.
Il tomba sur une veille cabane qui avait l'air d'être habité.


Quel pauvre type peu habiter cette veille bicoque délabrer?

Il s'approcha de la fenêtre pour regarder l'intérieur et il aperçu une marmite dans une cheminé, ça ressemblé à un abris de veille sorcière comme dans les histoires qu'on raconte aux enfants.

Paro n'avait peur de rien mais cette cabane c'est la cabane du diable et si jamais la sorcière l'apercevais elle pourrait le changer en je ne sais qu'elle bestiole.
Il pris vite fait la fuite de ce lieu maudit.

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Vainqueur du Tournois des 7 Royaumes avec l'équipe de France 1459.
Capitaine des Ours Mal Léchés
Saluzozo
Alors que Zozo visitait joyeusement la ville de Castel qu'il n'avait put visiter lors de ça dernière visite éclair il y a des mois et des mois. Il allez tournez dans une rue qui menait a un petit chemin au quel haut bout résider une vieille demeure un peut délabrer de la qu'elle sortait une fumer un peut inquiètant. Zozo regarda au bout de l'allée et vit un visage assez famillier passer en trombe devant lui. Zozo cligna quelques instant des yeux et regarda Paro continuer sa course le long de l'allée. Zozo sourit amuser puis continua sa visite.
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ATTENTION : TISANER TUE !!!!!!!
Kebree
Kebree entra dans cette cabane qu'un garde à l'entrée de la ville lui avait suggéré de se rendre. Ainsi il entra sans faire de bruit, étant d'une nature plutôt discrète. Puis, prenant son courage à deux mains, il dit :

Bonjour à tous! Je me prénomme Kebree. Je ne suis qu'un humble voyageur de passage. Mon périple a commencé d'Agen. Oui, comme la prune d'Agen...

Kebree afficha un sourire niais sur son visage. Voyant que sa blague ne donnait aucune réaction, il se racla la gorge et continua:

Hum hum... Je souhaiterais mener mon voyage jusqu'à Venise, la sérénissime. Pour cela, je dois passer la frontière entre le comté de Toulouse et celui du Languedoc. Pensez-vous que cela soit possible sans aucun problème?

Kebre se tourna alors vers l'assemblé, attendant sa réponse.
Duflan
Touillant le fond de sa marmite sur le feu, il essayait d'attraper les plus gros morceaux de lard, la marmite n'étant jamais nettoyé et vieille d'au moins dix ans, le gout de la nourriture cuite et recuite au fond de l’ustensile avait un met particulier mais que notre homme apprécié.
Et puis l'arrivé d'un homme parlant de prune le fit sursauter


Ah, ben ben venu à Castlenaudary, je m’appelle Duflan pis j'en suis pas moins humble non plus, de la Prune vous dites ?Oh ben oh fais ben longtemps que j'en au point gouté, ferais ben plaisir, tenez asseyez vous d'on on va la gouter ! Sera dommage si vous vous faites attaquer par des brigands de la perdre.

Notre homme sorti deux verres et les posa sur la table, invitant le dénommé Kebree à s'assoir

Oh ben la frontière je sais point, je crois pas, mais je me renseigne de suite !
Venisia ! ben les une belle ville, une riche de tisserands et d'épice ! Mais l'es entendu dire que les moustiques l'étaient tellement gros qui vous embrocher sur place et l'es pour ça que la bas sont tous un bouclier à la main, même les jolies dames


Comme d'habitude il exagérait tout et ne pouvait pas s’empêcher d'en rajouter !
ET puis il attrapa un pigeon et adressa un message pour se renseigner sur les frontières

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Chipette
Arrive en trombe... Pousse la foule de voyageurs qui voyagent..

Poussssssses toi Duflan !!!!

Récupère son sac , y bourre quelques vétements, attrappe quelques bouteilles de vin au passage, se dirige vers la marmite... L'ouvre... Ho pinaise le pot de chambre du gros .. Elle referme le couvercle et se dirige vers Duflan , pousse tout le monde...
Bon jme déclare voyageuse .. Jme fais enlever ce soir par un prince charmant , je reviens très vite.


Tapote l'épaule de Duflan, lui colle une bise qui claque sur sa bonne joue collante .

Ca va le faire ? Vous pourrez survivre sans moi ces quelques jours ? Je sais c'est dur, soyez fort té... Je ne suis pas loin . Courage ...
Se retourne vers les voyageurs qui attendent de se présenter...

Allez jvous laisse la place... Par contre vous là au fond vous pouvez faire demi tour.. On accepte po les roux ici ...

Elle monte difficilement sur son stupide bourrin, essaye de garder l'équilibre ..

Hue !!!! Patapouf et pas toutes les pattes en meme temps hein ...
Allez avance....


Elle gesticule dans tous les sens, frappe de ses pIeds les flancs de la bête et s'éloigne doucement .. Pfffff n'est pas rendu té
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Petifuyant


La Fuyante était de retour en la chère ville Chaurienne... Sa fille sous le bras, son époux jamais bien loin et une petite troupe de copains l'accompagnaient.
Devant les grandes portes elle se fit accueillir par un des gardes qu'elle connaissait bien et qu'elle trouvait de plus en plus moche.
Celui ci lui avait conté tous les blablas dictés par la grosse Paquita et lui avait conseillé de se rendre à la cabanes des voyageurs...
Une cabane pour tous les voyageurs, autant imaginer le fabuleux accueil Chaurien... Trois planches de bois mal cloutées, un toit branlant, un feu presque éteint et un gros Duflan pour une première impression...
Elle regarda ses amis Aucitains qui grimaçaient devant l'abri...

"Ben voilà.... Nous y sommes... c'sympa hein?"


Le yeux plissés et le nez retroussé elle s’approcha de Duflan pour le saluer et faire les présentations.

"Bien le bonjour camarade!!! Ben t'pas changé..... Ahum... Bon ben me revoilà, j'me nomme Fufu mais, tout le monde me connait ici, j'ai même un grand boulevard à mon effigie.... * petit moment de crânerie* J'te présente ma fille Lili pis il y a mon époux, Sephoria, Wesley Cooper... Un Anglois... Et leur fils Bryan... Là derrière c'la rouquine dict Cerise, une nobliote qui n'en a pas l'air et à côté, c't'une Bretonne.... C'est son époux... J'suis pleins d'rancoeur envers lui m'enfin la vengeance est un plat qui se mange froid!! "


Petit sourire en coin pour terminé ces dires.... Elle regarda à nouveau la cabane délabrée entourée de toutes sortes de voyageurs et la Fufu ça ne lui plaisait que guerre. Les Aucitains avaient besoin de place et la solution la meilleur était qu'on leur offre des nuits à l'auberge...

"Bon bon!! Sinon.... Seph et Cerise se sont faites agresser par un gros moustachu..... Hum... * elle détailla encore Duflan* Qui sentait le saucisson m'ont elles dit.... * Elle le huma discrètement* Donc soit on nous fait dormir à l'auberge et ce offert bien gentiment évidement! Soit on va s'plaindre à la grosse... Hum... à la bourgmestre, on trouve le coupab'e et on d'mande pilori!!! Voilà voilà..... Sinon comment tu vas dis?"

Elle posa baluchon à terre et fit un signe de la main aux copains qu'ils approchent...

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Duflan
Décidément c'est difficile d'avoir un moment tranquille à peine le plaisir de voir chipette disparaitre qu'elle était de retour, les princes charmant décidément s'est plus ce que c'était, dés qu'il avait fait le coup de la charrette en panne au bord d'un chemin, hop se changé en ogre ! Lui il s'en foutait le seul problème c'est qu'il aurait pu au moins la perdre au fond des bois mais non.
Et puis voila le retour de fuyant, normalement ça fait plaisir de revoir sa jolie bouille pis ses..euh enfin bref, mais voila qu'elle ramène toute une troupe et dans cette histoire notre homme n'a toujours pas pu attraper le gros morceau de gras au fond de la marmite


Ha, ben ben le venu, pis ouais t'es chez toi fufu, t'a qu'a t'installer chez paquita, je crois savoir qu'a t'a préparer un grand lit, tu penses elle t'attends avec joieUne rue à son nom ?, ah ben faudra qu'il regarde manquerais plus que ça maintenant et puis voila qu'elle lui présenter sa fille et Duflan les enfants moins il les voyait mieux il se portait

Ah, ouais ! dis t'es sur qu'elle est de toi au moins ?L'intelligence et la délicatesse c'est pas son truc, pas méchant mais bête L'es bizarre tous ses petits doigts qui sont au mains hein ?, bon allez va jouer dehors hein ! l'es pas un lieu pour les drôles ici !
Ah pis l'es gentil de ramener une rousse on en avait pu à mettre au bucher, la bien la pélagie mais elle veux pas cft'e bougresse !
Dites je vous paye le coup ?, savez ramener un truc à boire de chez vous ?
Pis pour l'histoire du gros bandit à moustache qui sent le saucisson, oh voit pas , mais va me renseigner !

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Sephoria
La Seph n'était jamais bien loin, surtout à porté de sifflet de sa Fufu. Donc entendant l'appel petifuyant , elle accourra d'un pas lent et nonchalant.

J'suis la Seph, la moche de Fufu... Alors le gros , comme je vais m'installer quelques temps ici, on va mettre deux, trois trucs au clair ...

Alors pour commencer parce qu'il faut commencer par quelque chose,on brule pas ma sainte, la rousse... Si quelqu'un doit la bruler, ce sera moi et rien que moi...
C'est ma sainte , rien qu'à moi... Je prête pas ma sainte... T'y touches, j't'apprends à compter tes dents sur le sol... J'espère pour ton rat'lier qu'on se comprends bien là..??


Pour que le gros comprenne parfaitement , la Sésé rajusta son gourdin à sa ceinture et remonta sa poitrine de façon peu féminine.

Ensuite, comme l'a dit ma Fufu, un salopiot nous a attaqué ma sainte et moi, nous pauv'es femmes toutes menues et frêles, fragiles et innocentes.
En sommes encore toutes émotionnées ... Donc j'vous attends en taverne pour nous offrir un remontant ... Bien voui on a plus de sous ... Le gros saucisson à moustaches sentant le pâté , nous a tous pris .
Manques pas le rendez vous sinon j'reviens ici et j't'apprendrai à compter tes chicots sur le plancher de ton taudis ...


Sur ces bonnes paroles , la Sésé adressa un clin d’œil à sa Fufu ...

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Duflan
Pas eu le temps de sortir la gamine, qu'une furie brune entra en parlant de gros, Duflan se demander de quoi elle parlez, de toutes manières elle parlait trop vite et puis lui il pensait à son morceau de gras au fond de la marmite.
C'est vrai ça il avait tellement de mal à le décoller que ça saurait dommage qui rattache et puis c'est quoi cette histoire de chicos !


Oh, ben possible que se soit un espagnol , je dis point ! Chicos l'es ben un nom de la bas ! Pis l'es vrai que leur saucisson sente plus fort ! Vous inquiétez point on le retrouvera votre gas, sur !
Non, on le retrouvera jamais, il y avait longtemps qu'on perdait plus son temps à courir après les bandits, mais fallait surtout pas le dire
Allez hop, faut que je m'occupe de ma tanbouille autrement ça attache au fond !
Pis devriez allez au mine, la toujours du travail la bas !


Il retourna vers sa marmite, omnibulé par son morceau aperçu juste avant
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Petifuyant


Les présentations entre Seph et le Duflan se passèrent comme prévu... Des mots d'amour, des sourires, du gourdin....
La Fuyante les regardaient amusée... Voir Sephoria montrer les crocs aux Duflan le pensant capable d'aller couper du bois d'abord, pour ensuite construire un buché... Puis courir après Cerise pour enfin l’attraper, la ligoter la ramener jusqu'au buché... Duflan n'en était pas capable. Nan lui serait plutôt inspecteur des travaux finis, ou bien le cerveau et d'ici que tout le monde l'écoute, de l'eau et de l'eau coulerait sans doute sous les ponts.

Le sujet devint d'un coup plus intéressant, non que Cerise n’intéressait pas la Fuyante mais du lard..... Du lard?

...Possible que se soit un Espagnol....Chicos.... Saucisson... Tambouille.. ça attache au fond...

Elle retroussa son petit nez pour flairer d'abord et lâcha son plus beau sourire à Duflan...

[b]"Mon ami, tu as tellement fait pour moi... Je vais t'aider!! Montre moi le saucisson qui accroche, je vais t'aider je te dois tellement!"


Elle sortit une grosse louche en fer qu'un forgeron lui avait fabriqué et colla les chausses du bon Duflan...

"Mont'e moi, j'te suis, je vais décrocher la bête, bien grasse... bien croustillante... Bien... hum... J'arrive à point pour sauver ton repas dis??"
[/b]
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Starine
La veille encore, ils étaient à Foix où ils avaient rencontré des personnes charmantes en taverne. Elle avait même fait dessiner leur portraits par un peintre désargenté qui se trouvait encore là. Elle regretta seulement que l'homme qui accompagnait les deux dames ne fut déjà plus là. Ce portrait, elle le garderait longtemps dans sa malle.




A peine Starine et son fils Philippe étaient-ils arrivés à Castelnaudary qu'un garde les arrêta. Elle se présenta, tout naturellement..


Bonjour. Je m'appelle Starine, j'habite Labrit en Gascogne et je voyage avec mon fils Philippe qui dort actuellement dans la charrette..

Le garde posa ensuite mille et une questions à la mère, l'inspecta minutieusement. Tout était fait dans les règles et dans le respect du à la voyageuse qu'elle était.
La Labritoise n'en fut point choquée du tout . Elle comprenait parfaitement qu'on puisse être vigilent, par ces temps troublés..

Elle se soumit calmement à l'interrogatoire, donnant aussi les noms des personnes qu'elle avait croisées sur la route et avec qui elle avait discuté un peu lors d'une petite pause casse-croûte.
Comme elle était de bonne foi, voyant qu'elle n'était pas un danger potentiel pour la ville, il les laissa passer en leur souhaitant la bienvenue.


Cf : lettre de bienvenue en ville.. Je ne fais pas jouer le personnage du garde contre sa volonté...

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