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[RP] Voyageurs soit le bienvenu, presentez vous !

Miel
Miel qui avais quitter la foret vis suk qui sortais d'un bureau ou apparement il fallais se presenter, elle courus vers lui pour le rejoindre il etais avec damien en arrivant elle entendis un messire leur souhaiter la bienvenue.

Miel se tournas vers celui ci Bien le bonjour messire je suis miel la compagne de sir sukhoi merci a vous pour votre accueil! La ville est des plus jolie et votre foret trés agréable. A tres bientot peu etre en taverne sinon a une prochaine fois!

Miel glissas discretement sa main dans celle de suk et partis avec eux en ballade dans la ville.
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Duflan
Duflan regarda un moment la jeune dame et la salua à son tour, il se demanda si elle avait croisé Oceania et ses crapauds dans le forêt... en tout cas il espérait qu'elle lui avait pas relevé ses lapins pris dans les collets.
Cette dame resplendissait de bonheur avec son époux et son enfant


Ben bienvenu à vous dame, pis en espérant que votre séjour soit ben agréable, a pis en taverne ben peut être bien mais vous savez avec tout le travail qu'on me donne içi, j'ai rarement le temps de passer...Il prenait l'air miséreux et dépasserC'est qu'on compte sur moy..pis je suis tellement bonil exagérait toutBen sur que j'essaierais de passer pour vous saluer mais c'est que je suis point ben riche alors je préfère garder mes quelques sous pour nourrir ma famille pensez d'on !Duflan n'avait aucune famille et tout ce qu'il gagné passez dans la nourriture et l'alcool mais ça elle ne pouvait pas le savoir
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Aaricia27
Aaricia était arrivée quelques heures auparavant, et s'était promenée dans les rues de Castel. Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pas voyagé qu'elle avait envie de profiter de cette petite liberté.
Elle voyageait léger, un baluchon porté sur l'épaule, sa besace de cuir en bandoulière et une épée à la ceinture.

C'est en se promenant dans les ruelles encombrées de badauds et de marchands criant tous plus fort les uns que les autres pour vanter les mérites de leurs produits, qu'Aaricia se retrouva devant le bureau des voyageurs, au rez-de-chaussée d'une petite maison à colombages. Elle frappa trois petits coups secs et poussa la lourde porte. Une dame sortit à ce moment-là. Aaricia lui fit un petit signe de tête pour la saluer, puis entra.


Bonjour ! Je suis Aaricia, de Foix... et de passage à Castel, je repars ce soir..


Elle s'inclina devant le messire qu'elle avait déjà vu de loin...
Duflan
Il allait se resservir un verre quand on frappa de nouveau à la porte et qu'une jolie dame fit son approche.
Duflan l'avait déjà vu à Castel


Et bien Dame Aaricia toujours un plaisir de vous voir, si vous avez besoin de quoi que se soit ben demander..enfin pas à moy....là je suis débordéDuflan état invité à boire un coup en taverne donc il était débordé, voilà

Ah pis té vous passerais le bonjour à Parotech, pis vous pourrais lui dire que j'ai vu son frère à Lourdes il y peu de temps pour un match de Soule !
Alors le verger de Foix a bien du repoussé !, sur que heureusement que j'étais là pour y mettre bon ordre, enfin bon je passerais voir si mes conseils ont bien étaient suivis à la lettre !
Parce que au serait dommage, ah comme tu vois la Paquita je suis débordé ..c'est que les gens viennent de loin pour me demander des conseils !


Il souriait bêtement convaincu d'être quelqu'un d'important, alors qu'a foix il n'avait rien fait, à part vider une bouteille de liqueur, donné deux trois coups de bêche avant de s'effondrer de fatigue, mais chez lui c'était une seconde nature, tellement gros que cela en devenait risible sauf pour lui qui ne voyait rien dans son délire.
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Aaricia27
Aaricia l'écouta parler, une bouteille et un verre en main, et réprima un petit sourire en coin. Elle hocha la tête et répondit :

Ne vous inquiétez pas, je n'ai besoin de rien et ne vous dérangerai pas plus longtemps dans vos affaires. Je vous remercie pour votre accueil, et je ne manquerai pas de saluer Parotech de votre part, à mon retour.


Sur ces paroles, elle fit une petite courbette en souriant et ressortit afin de continuer sa balade au cœur de Castel.
Paquita
ah comme tu vois la Paquita je suis débordé ..c'est que les gens viennent de loin pour me demander des conseils !
Paquita, les deux mains autour de son verre crasseux écoutait un léger sourire aux lèvres.
Qu'on était bien, de retour en son païs !!!!
Si le vin était piqué, si les verres étaient crasseux, si la masure se fissurait et le toit prenait l'eau, qu'importe !
On y trouvait une chaleur nulle par comparable.
Assise dans son coin, elle regardait Duflan fanfaronner devant les passants, les voyageurs...
Elle se mesura compte à cet instant combien tout ceci lui avait manqué et se laissa aller à la douce quiétude d'avoir retrouvé son environnement.
Elle tendit son verre vide en direction de Duflan

T'en as encore de ta piquette ?
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Angalam
Angus arriva au guet, éreinté, exténué, usé, à bout, bref... fatigué. Aprés deux coups discrets, suivis de toris bien sentis, puis quatre gros, et enfin un pour la route... coups sur la porte, il décida d'entrer. Enlevant son manteau miteux, il révéla un corps maigre à peine caché par une fine chemise et des braies qui avaient connu de (bien) meilleurs jours. Souriant de la manière la plus charmante dont il était capable (le genre de sourire qui peut faire tomber les mouches femelles en un éclair), il se présenta:
"Bien le bonjour, citoyens, je me nomme Angalam, mais mes amis m'appellent Angus. Vous pouvez me considérer soit comme le Dieu Grec de la marmelade de citrouille, exilé il y a trois millénaires un quart, revenu sur terre pour se venger... ou bien comme un voyageur venu du Nord, qui a décidé de s'installer dans votre charmant pays à la recherche du bonheur, et accessoirement de la fortune et d'une nouvelle paire de bottes."
Duflan
De la piquette ? Il regarda sa bouteille un moment, c'est vrai que c'était pas un grand cru mais de la piquette quand même.
Elle avait l'air ailleurs la Paquita, curieux....elle avait peut être faim.


Ben, ouais il m'en reste de mon vin !té tu veux un bout de brioche ?
Je l'ai récupéré à l'église, c'était pour les pôvres qui parait ! l'es point mauvais


Et voilà qu'on ouvrait de nouveau sa porte et qu'un vagabond se présenta

Ben bienvenu Sir Angalam ! Pis vous savez on a déjà le roy d'Espagne ici et le futur roy de france , alors un dieu ben ça nous va !
Pour la fortune, ben là je sais point trop ! PAr contre pour les bottes ça on peux vous en avoir pour pas cheres !
Amael vend les siennes, il a arrêter de courir après les chèvres depuis qu'il a trouvé une biquette !
Il éclate de rire avant de se retourner vers paquita qui le fusille des yeux
Euh....ouais..enfin si vous voulez vous installez dans notre bon village z'etes le bienvenu, pis si on peux vous apporter de l'aide...
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Paquita
Nouvelle mission, nouveau retour...
Cette fois-ci c'est elle que Paquita guettait à l'horizon, son toit disjoint, sa cheminée fumante...
La masure du crasseux est devenue le symbole du foyer pour le Chaurien sur les chemins.
Quand au détour d'un sentier, elle a vu la fumée s'élever dans le ciel du petit matin, Paquita eut un serrement au coeur. Elle était enfin rentrée !
Dans la charrette, Amael endormi, pelotonné sous un tas de couvertures. Il avait marché toute la nuit, la laissant reposer.
La lueur de l'aube a réveillé Paquita en sursaut. Tout de suite, elle a sauté à bas et l'a rejoint.

Tu m'avais promis que nous changerions à la mi-nuit ! tu dois être épuisé ! Va ! Va te reposer !
Il ne s'est pas fait trop prié. Tout en marchant, Paquita pense aux raisons qui l'ont fait marcher ainsi toute la nuit sans donner le relai.
Sa force et sa générosité dont elle seule connait l'étendue, mais cela n'explique pas tout... sans doute remue-t-il des pensées qui lui ont ôté le sommeil. Elle repense à ces jours où il est allé défendre le Comté, la Capitale. Il ne lui a rien raconté. De quelles sinistres horreurs a-t-il été témoin ? De quoi la protège-t-il ?
Elle le sent, il agite en lui de fermes projets.

Bah ! Il m'en dira plus quand il sera décidé !
La masure de Duflan au loin apparaît et Paquita se sent soulagée. Ce début d'hiver précoce a gelé le sentier et le pas du cheval tinte sur le sol glacé. Les roues de la charrette font craquer la glace de quelques flaques figées.
Elle immobilise le cheval sur le terre plain devant la maison. Elle enfile le sac de picotin, passe les lanières autour des oreilles d' Etincelle, sa brave jument et va gratter à la porte.
Cette fois, Duflan est réveillé. Il finit de rajouter du bois dans sa cheminée et une claire flambée crépite joyeusement dans l'âtre.

Té ! salut ! Laisse-moy entrer un moment ! Qu'il fait bien froid dehors...
De fait, Paquita a les mains, les pieds et le bout du nez gelés. Un peu de vapeur s'échappe de ses lèvres à chaque mot.
Elle tend ses mains aux flammes tandis que Duflan s'affaire.

On revient du Languedoc, Duf ! Tu aurais vu ça !!!
A la pensée de leurs dernières aventures, Paquita s'anime, les couleurs reviennent à ses joues et elle quitte le devant de l'âtre pour s'asseoir face à Duflan.
De la brioche ? ben c'est point de refus ! Pis si tu as un peu de vin chaud aussi... ça aiderait à la ramollir... qu'elle m'a l'air un peu rassis...
Tout en commençant à manger elle ne peut s'empêcher de parler.
On revient du Languedoc, je te disais... La fête qu'on nous y a fait ! Tu peux pas imaginer. Chaque soir, dans chaque ville ! à boire, mangeailler...pis du bon ! hé ! à chanter et danser toutes les nuits. Té ! Vé ! Je suis épuisée !
Elle enfourne une grosse bouchée de brioche, la mastique sommairement avant de la faire passer d'une gorgée de vin.
Té ! Pour te dire... le vin !... Dans les fontaines, il coulait ! Ouéh ouéh ! Comme je te dis ! Me regarde pas comme ça ! c'est la pure vérité vraie ! Même que ça débordait et faisait comme un ruisseau rubis au milieu de la rue ! c'était bien beau à voir tu sais ! ça t'aurait plu !
Tout en se restaurant, elle lui raconte les merveilles que chaque voyageur imagine à son retour afin d'enjoliver le récit de ses haltes successives. Elle en rajoute ... si peu.... - Paquita, on le sait bien, a toujours eu le sens de la mesure ! - Duflan captivé par le récit en oublie de manger, le morceau de brioche au bout des doigts devant sa bouche bée. Paquita, elle en profite pour se resservir sans cesser de parler....
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Duflan
LA nuit avait été glacial est Duflan avait mit du temps à sortir de sous sa couette, trouva toujours une excuse pour pas se lever, mais une chose l'avait enfin décidé....LA FAIM !.....
et notre homme avait le ventre creux


ggrrr allez hop...a la soupe mon gas....

Il s'habilla vite fait, souffla sur les braises....rajouta un petit peu de bois, sortit vite fait dehors pour un besoin naturel

brrr...fais un froid de canard ce matin té...té va en profitez pour rentrer un peu de bois..hé hé une bonne idée que ta eu mon gas cette étape des voyageurs comme ça..oh permet d'avoir du bois gratuit...té un malin sûr !

De nouveau dans sa demeure après un brrr...il posa son bois à côté du feu et mis à chauffer un peu de vin chaud, il ouvrit un petit placard pour attraper une brioche un peu sec, mais bon

Té si le Saino savait que sa brioche qui me donne pour les pèlerins c'est moy qui la mange, ferait une tête le curé..déjà que je leurs souhaite le bienvenu faut point pousser...ah un bon petit déjeuner tranquille... c'est ça être roy !

Il avait à peine fini de verser le vin chaud dans son bol, que la porte s'ouvrit avec fracas....Duflan pris peur...la maudite était de retour et la voilà sans gêne qui le poussé de devant le feu... et qui en plus buvait son vin chaud et dévorer sa brioche...
Duflan en attrapa un morceau avant qu'elle n'est tout mangé , il allait la mettre dehors quand elle lui parla des fontaines de vin....


Dès fontaines de vin....tu dis...?...et que ça devenait des ruisseaux..mazette...l'es le paradis.....ha ben.tu va dire que c'est un hasard mais je devais allez voir..heu... un cousin la bas....voilà...oh pis faut que je me dépêche...ouais...allez hop...un sac...

Il attrapa un sac et commença à attraper toute ses affaires, il jubilait Duflan s'imaginant plongeant dans ce vin
Des ruisseaux de vin que tu dis..? hein....? heu je dois filer là...

Il ouvrit sa besace pour mettre deux trois litres de vin pour la voyage quand qu'elle que chose lui paru bizarre...

Heu...Paquita..là je pense un truc...si c'était si bien...pourquoi donc tu y est pas resté hein ? pis moy j'y suis déjà allez la bas, pis j'ai point vu de fontaines...ouais...tu serais pas entrain de me raconter des fariboles là !...
Sûr ! mais ouais je te vois venir....sacredouille....c'est pas bien ce que tu fais là...pis t'es entrain de manger la brioche que je réservais pour les voyageurs, voler un curé ta point honte....quand je vais raconter à Saino que tu viens de goinfrer du pain des voyageurs..Va te maudire c'est sur....
MA pôvre Paquita va finir en enfer c'est sur !t'inquiète j'irais prier pour toi
mais avec tout les péchés que ta commis ben c'est pas gagné...
Tiens si j'osais je te demanderais bien quelques sous pour que tu me paye tous les cierges que je vais bruler pour le salut de ton âme !
Oh t'inquiète tu donne ce que tu veux...


Il enrageait duflan de s'être fait avoir par Paquita et ces fontaines de vin
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.amael.
Hmmmm oui! La nuit avait été bien froide! Mais la marche le tenait en éveil et en chaleur. Le secret, pour ne pas se faire saisir par le froid, c'est d'avoir les jambes bien couvertes! Le coeur réchauffe toujours bien les parties hautes du corps...

La marche lui avait permis de faire le point, sur diverses choses... L'ambiance malsaine qui régnait en la capitale. Les jours passés à la sécuriser à proximité de lascars peu recommandables... La famine qui s'était abattue sur les soldats et les vigilants. Le regard d'un gamin des rues qui avait échappé aux rondes des gardes de la ville. Une lueur d'espoir au milieu de la crasse et des rats.
Et la douceur de rentrer au foyer, retrouver l'être cher, de partir en mission pour sa bonne ville en sa charmante compagnie.
Les éclats de rire, les moments de tendresse... La promesse d'aubes chantantes... Le retour de la joie dans son coeur. Et une certaine rancoeur...

Aux premières lueurs il arrêta le convoi. Il flatta la jument à son encollure, lui porta une fourche de foin pour qu'elle puisse se repaitre, et sauta à l arrière de la charette, aux côtés de son ange qui dormait paisiblement.
Là, devant le spectacle de ses yeux clos, devant l'infinie douceur de son visage paisible, il se fit la promesse de lui demander bientôt sa main.
Il déposa un soigneux baiser sur son front d'opaline et contempla le sourire qui allait illuminer le jour. Il caressa alors ce beau visage du bout des doigts et salua sa bien aimée d'un sourire attendri. Il lui dit simplement...


Bonjorn

Elle écarquilla en grand ses paupières, exhala un bâillement à se décrocher la mâchoire et lui répondit:

Bon... Jorn?!! Mais que m'as tu laissé dormir autant! Folâtre que tu es! Qu'espères tu me prouver? Où sommes nous?

On pouvait voir les remparts de Castel au loin, l'ombre du Présidial qui se dessinait sur le levant et le clocher de l'Eglise Saint Michel qui perçait la brume matinale.
Paquita prit appui sur ses bras et observa le paysage par dessus les ridelles de la charette, fronçant un peu ses sourcils châtains, et lâcha lengtemeng et avè l'acceng qu'ong les filleues du Sude!


Ooooooooh Cornegidouille! Tu m'as laissé dormir touteu la nuit! On est presque arrivés à Castel! Hé! On est bientôt à la maison!!! Hiiii!!!

Tout à coup un grand sourire illuminait encore plus son visage. L'instant d'après elle fixait Amael avec des yeux qui laissaient entendre qu'ils ne lui permettraient pas la moindre incartade. Et ça lui convenait tout à fait. Elle le saisit par le colbac et la ceinture, et apres un sec baiser le retourna sans ménagement le mettant dos aufond de la cariole, puis le recouvrit de couvertures, lui intimant l'ordre de dormir.

Bon! Maintenant toi, tu DORS! Et jusqu'à nouvel ordre, entendu fripouille? Allez! Laisse moy faire et repose toi! Dooors bien!

Elle se jeta à bas de la charette et prit soin d'Etincelle avant de remettre le convoi en marche.
Les senteurs des victuailles qu'ils ramenaient, le bruit cotoneux des sabots de la jument sur la neige saisie et les légers grincements du bois faisaient une étrange musique qui le conduisit dans les affres d'un sommeil de plomb...

Quelques heures plus tard il fut réveillé par des éclats de voix émanant de la rue, et particulièrement deux voix qu'il reconnaissait entre toutes: celles de Duflan et Paquita en train de se crêper le chignon!
Cette fois ils étaient bien de retour à Castel, la ville de toutes les folies douces! Bien heureux de retrouver le berceau de sa nouvelle vie, il ouvrit un oeil puis deux, un grand sourire se dessinant sur son visage, il s'étira puis sauta à terre pour retrouver le tire au flanc et la tavernière!

Il arriva dans la pièce où Duflan était en train de déballer d'un sac, quelques bouteilles qu'il avait du piquer aux caves de la mairie.


Téh! Salut Duf! On rentre du Languedoc, tu sais? Eh! Paquita t'a pas dit? Des rivières de vin qui s'épandent dans toutes les villes! Sisi! Téh, d'ailleurs j'ai un brin de nostalgie moy là! C'est gentil de nous offrir le déjeuner!

Il s'empara d'une des bouteilles que Duf venait de sortir du sac et la déboucha des molaires avant de cracher le bouchon dans un coin de la pièce.

Haaaa, ouais! D'la bonne piquette mais ça réchauffe dis! Pi t'aurais pas un bout de pain à met' avec?
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Hyannos
Dans sa promenade, il trouva un bureau à l'intention des voyageurs, et voyageur il était donc il poussala porte

Bonsoir

Hyannos, boulanger de Lectoure de passage en votre village en direction de la mer Méditerranée

Salutations et respect

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Hyannos Maître Boulanger à Lectoure
Etudiant en droit et en navigation
Duflan
Il faisait les cents pas dans sa cabane en râlant contre paquita et ces histoires, que c'était pas gentil de se moquer d'un brave homme comme lui et voilà que l'autre fou de Amael entrer à son tour et raconter les mêmes balivernes

Tu parle, si c'té vrai, sur qu'un soiffard comme toi, il serait encore entrain d'y boire dans cte foutu ruisseau....Va pas me prendre pour un enfant de cœur...ouais...pis dis d'on ses victuailles c'est fait pour le étrangers...enfin bon

Et c'est à ce moment que se présenta hyannos


Ben le jour...hé mais partez point comme ça

Duflan se retourna en colère contre le couple de parasite
Té, regardez zou d'on faites peur au gens, le pôvre gas qu'était parti voir sa mère anné ben la pas osez entrez, sur qu'avec des gens qu'on point de culture comme vous...enfin bon....
Dites m'avez point ramener un petit cadeau ?

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Moonflower
Elle était arrivée ici en se perdant et voilà maintenant plusieurs jours que Moonflower avait pris une chambre. Elle, sa petite fille et son nouveau-né étaient bien peu sortis, profitant de la douce chaleur de la chambre qu'elle avait louée à Castelnaudary.

La jeune femme en profitait pour se reposer et récupérer de son difficile accouchement. Elle avait payée une jeune fille quelques écus pour garder ses enfants et ainsi pouvoir faire un tour en ville.

C'est ainsi qu'elle arriva au bureau des visiteurs.


Bonjorn. Je me nomme Moonflower et je suis ici quelques jours avec mes deux enfants.

Ce qu'elle ne précisait pas, c'est que la ville lui plaisait particulièrement... si particulièrement qu'elle envisageait peut-être s'y installer un jour.
Pour l'heure, elle avait le projet de remonter vers ses Flandres revoir sa marraine et ses amis et attendait avec impatience sa cousine qui devait l'accompagner.
Estienne
Garbage entra dans le bureau des voyageurs, ne sachant pas trop ce qu'il y trouverait, et ne sachant pas trop non plus cequ'il venait y chercher. Il se disait qu'il aurait au moins l'occasion de glaner quelques renseignements sur les visites touristiques du genre promenades en barque au milieu des nénuphars pour affoler les tétards. Tout à ses pensées, il tomba nez à nez avec une jeune fille d'une beauté resplendissante et resta comme deux ronds de flan, ne sachant s'il devait parler, se taire ou les deux à la fois.
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