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Défilé de la Saint Nicolas : quand la couture fait son show.

Joriane
Grande respiration après la longue attente et l'aide approté à Kalo pour les tenues, Jo enfin avait enfilée la robe délicate que Kalo avait confectionné pour le defilé, c'était biensur une merveille comme d'habitude, les doigts de kalo étaient magique, elle avait le don de création et Jo s'inspirait de son maître, Jo s'était attaché au manoir c'était une famille pour elle et elle en avait bien besoin..surtout en ce moment..

Elle fit un grand sourire à Kalo rajusta la jolie tenue, Cecilia avait fini son tour, alors elle avança d'un pas léger, arrivée au milieu de la piece elle s'arrêta un instan, elle se mit à tourner sur elle même pour que tous le monde admirent la tenue avec la cape..




Enfin elle retira la cape qu'elle mit sur un de ses bras délicatement elle se mit en tourner, montra enfin la merveille que Kalo avait fait, elle avait l'honneur de porter cette belle tenue pour une journée car elle ne pourrait jamais se payer une telle robe...




C'est avec fierté qu'elle continua à avancer, tête haute et marche délicate, ses yeux allaient vers les personnes présente, reconnaissant quelque personne déjà croisé, elle fit un grand sourire satisfaite et heureuse de voir les yeux pétillaient des nobles dames présente..

Fiere l'apprenti qui avançait dans son travail grace au savoir que kalo lui donnait, mais elle devait encore apprendre et faire en sorte que son maître soit fière d'elle, elle se devait de ne pas la decevoir alors Jo y mettait tout son amour dans ce qu'elle faisait, les clientes déjà étaient trés contente de son travail, ce qui lui faisait ennormement plaisir..


Enfin elle arriva au bout de l'estrade le coeur soulagé ...
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Armoria
Armoria se redressa. Du bordeaux ! Voilà qui avait de quoi lui attirer l'œil... C'était toujours tellement plus beau, en bordeaux ! Diantre, il lui en avait même sur la coiffe... Elle regarda Kalo, hocha brièvement la tête, et regarda de nouveau le modèle.
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Pandorha
C'était donc à Pandorha, elle suivait de loin ce qui se passait, elle ne devait pas être vu avant son apparition, aussi elle entendit de loin et mal à cause des bruits de la salle, mais en voyant Cecilia et Joriane prêtes à défiler elle se mit derrière elles, attendant son tour.

Enorme sourire sur les lèvres, elle essaya de ne pas se prendre les pieds dans la robe, ce serait la catastrophe sinon. Petit coup d'oeil à des personnes déjà vues ou qu'elle connaissait, franc sourire à Kalo quand elle pu croiser son regard.




Elle chercha une solution pour garder la robe après le défilé, peut-être qu'en la tachant un peu on lui laisserait...Aller courage ma grande, ce n'est pas la première fois que tu te retrouves dans une robe super belle entourer de plein de monde...Les joues de Pandorha prennent une couleur rouge, rose en plein défiler.

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Ayena


Le public assistant au défilé commençait à se faire calme. Peu enthousiaste ou seulement subjugué par ce qu'il voyait ? Probablement la seconde solution : Kalopsite faisait défiler ses modèles, et c''est vrai qu'elle an avait du talent.

Ayena regarda tout le petit monde monter puis descendre de la scène. Enfin arriva son tour, en dernier. Le clou du spectacle ? Ah... Il fallait dire que la robe qu'elle portait avait un style qui changeait notablement de tout ce qui avait été présenté.

La petiote fit un sourire crispée à Pandorha qui descendait les marches, puis croisa les doigts dans un signe à la couturière.



La damoiselle d'Apparat s'avança jusqu'au bout de la scène, prit la pose un instant. Puis, après une révérence, elle salua l'assemblée. Elle en avait fini. Oufff ! Quoique, elle aurait bien gardé la robe encore un moment...

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>DECO pour tenues et bannières !
Enguerranddevaisneau
Le temps filait, et les mannequins défilaient.
Et lui, pauvre baronnet, s'ennuyait. Il s'était servi un verre sur un meuble mobile j'ai ainsi nommé valet, tandis qu'il détaillait de ses azurines chaque froufrous, chaque soieries, chaque défilants avec attention, amusé et admiratif devant le travail effectué.
Il ne tenait déjà plus compte de son "frangin" qui grandissait un peu trop vite à son gout, et marchait d'un bon pas parmi la foule, esquissant ca et là moult hochements de tête, ayant pour but premier de saluer.
Le public était dense, et essentiellement composé de femmes, toutes plus élégantes les unes que les autres, ce qui non sans remplir le coeur du baron de ce genre d'orgueil associé habituellement aux coqs, ne le dérangeait pas outre mesure, élevé dans un univers purement féminin depuis sa prime jeunesse.

Certes il n'avait que 14 ans, certes il n'était qu'un jouvenceau de première base, mais il se complaisait dans cet état, fier de ce qu'il était, de ce qu'il deviendrait et de la facilité avec laquelle il s'adaptait à ce genre de petite sauteries organisées avec plus ou moins bon gout.

Nouvel objectif, trouver quelqu'un d'intéressant à qui s'adresser, pour s'entretenir de tout sujet correcte dans ce genre de situation, ayant pour but de lier connaissance, histoire de créer affinités et autres qui pourrait servir ou tout simplement être plaisante à l'avenir.
Fatiguant.

Une blonde, plus loin, surveillée par un cheptel de gardes royaux à faire pâlir la future reyne.
Réflexion.

Une princesse, double princesse..Quelqu'un d'important donc. A lui alors, d'afficher un sourire PAR-FAIT sur son faciès, pour aller s'abimer dans une révérence tout aussi sublime.


Votre Altesse, un ravissement tant pour les prunelles que pour l'esprit de vous voir ice-lieu!
Je me présente, Enguerrand de Vaisneau.


Et d'ajouter, alors qu'il se relève, vil flatteur qu'il est.

Baron d'Ittre.

Ourlant ses lèvres en un sourire tout à fait mutin, il continue, se creusant la tête quand à un sujet qui pourrait être intéressant.

Et bien, tant de création qui vous iraient à merveilles, j'en suis sûr.

Le charme à la Française dans le corps d'un jeune homme aussi sublime qu'éléctrisant? Vous ne rêvez pas! Vaisneau est là!
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Armoria
Elle regardait les tenues, occupée comme toujours à les transposer dans sa couleur favorite, lorsqu'un jeune homme vint se présenter à elle ; un sourire cordial répondit à son entrée en matière.

Enchantée, jeune homme. A dire vrai, les deux dernières ont été conçues pour moi, si j'en crois ma vieille amie qui les créa. De fait, toutes les tenues vues ce jour sont ravissantes, et fort bien faites.

Elle marqua une légère pause.

Mais dites-moi, c'est surprenant de voir un jeune homme pour ce genre de manifestation ?

En tout cas, la distraction était la bienvenue : Armoria n'était pas naturellement disposée à rester assise aussi longtemps sans que des fourmis ne lui viennent dans les jambes. Pour qui s'inscrivait généralement dans l'action, c'était là une forme de torture.
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Enguerranddevaisneau
Chacun sa place.
Il en prit une de ce fait, s'installant au mieux, une jambe venant se plier sur l'autre, geste tout à fait féminin en soit mais qui exercé par l'Ittre, relevait plutôt d'une élégance et d'une aisance rare, propres à ceux qui étaient bien nés, noblesse un jour, noblesse toujours.
A lui donc de tremper ses lèvres dans le nectar carminé chipé précédemment, alors qu'il écoute avec attention non feinte la parole princière.
Sourire.
Azures qui dévisagent le faciès d'Armoria, alors que leur propriétaire s'attelle à répondre:


Les deux dernières dites vous? Ma foi, il est fort dommage de ne pas pouvoir vous admirer plus avant dans ces mises qui vous sont destinées alors.

Quel flatteur il faisait à user ainsi de l'art du compliment, aisé celons point de vu. Toute la difficulté résidait dans le fait de savoir la doser, chose qu'il ne maitrisait pas encore parfaitement, mais pour se justifier, pour sûr qu'il aurait répondu que c'était ici une preuve supplémentaire de sa trop abondante générosité.
Elle reprend.
Il l'écoute.

Que faisait il ici? Grande question, en quoi un baron avait à gagner à mourir d'ennuis dans une cérémonie froufrouteuse dans le palais royal? Réflexion qui prend forme dans sa caboche, tandis qu'il répond, ourlé de ses lèvres rehaussée en un sourire mièvre.


Hum, je m'accordais une sortie familiale avec ma soeur, mais..

Bleus qui fouille la salle quelques instants, avant de se poser de nouveau sur son interlocutrice.

...Il semblerait qu'elle se soit perdue. Les rues de la capitale peuvent être fatales quand on ne le fréquente pas souvent.

D'ajouter, après avoir avalé une nouvelle gorgée.

De plus, voyez, je ne perd pas mon temps, au vu du fait que me voila à discuter avec vous, Altesse. J'ajoute même, que l'art de paraitre dans ses vêtements n'est pas exclusivement féminin. Vous conviendrez que le temps où les hommes se présentaient en cuirasse et cotte de mail, la pilosité apparente et l'arme à la hanche est révolu.

Reportant son attention sur les différentes tenues, il ajoute, mutin:

Enfin, je me montre certainement impolie à palabrer ainsi. La population féminine qui se pâme devant ce genre d'individus est encore conséquente.
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Armoria
D'un regard vers un valet, elle eut tôt fait d'obtenir un verre de Corton : les serviteurs du Louvre la connaissaient par cœur, et savaient qu'elle ne daignait boire que son propre vin.

Si j'en juge par le peu d'alerte que cela provoque en vous, j'en déduis que votre sœur doit fort bien se défendre, et que vous la retrouverez sous peu...

Elle regarda de nouveau vers les tenues.

Je vous avoue être assez peu portée sur les atours et parures, mais le fait est qu'au retour de guerre, il est plaisant de se glisser dans une tenue féminine, et de la sentir ondoyer lorsque l'on marche... Mon bain quotidien, auquel même les guerres ne sauraient me faire renoncer, ne suffit pas à me sentir femme : le plastron est là pour désigner alors la guerrière.

Elle se fendit d'un sourire un rien fataliste.

Sans compter que la noblesse a aussi devoir de représentation, même si ce devoir, au contraire des autres, est tacite. L'habit ne fait pas le moine, mais voir lors des cérémonies et soirées une noblesse richement vêtue évoque bel et bien la puissance et la prospérité des terres sur lesquelles ladite noblesse vit, et dont elle tire revenus.

Sa main gauche, celle qui ne tenait pas le vin de vin, se porta à son décolleté, et se mit à jouer avec une distraction où se lisait l'habitude avec le canard en diamant qui y reposait.

... Et puis, il faut bien dire que porter des tenues et en évoquer les créateurs, c'est une forme de mécénat.
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Enguerranddevaisneau
Sa soeur.
Boucler le sujet, rapidement, c'est que s'appesantir sur sa vie n'était pas l'activité favorite du Vaisneau, quant bien même il adorait sa duchesse de frangine, il ne tenait pas plus que cela à la louanger, le meilleur sujet étant bien entendu lui même. Toutefois, étant de prime abord un jeune homme bien élevé, il n'aborderait pas ce point, ne tenant pas plus que cela à passer pour un prétentieux. Il y avait meilleur manière pour s'attirer la sympathie, il était là pour ca.


Elle est surtout fort bien entourée, est j'irais même jusqu'à plaindre l'idiot qui oserait la regarder. Sa langue acérée est une arme infaillible.

Nouvelle épiloguée sur la couture, il écoute, attentif et polie, l'imaginant fort bien en cuirasse soit dit en passant, vision plus que plaisante dans la caboche de la teigne. A lui alors, dans un sourire factieux d'ajouter:

Et croyez moi si vous voulez, vous faites fort bien de dévoiler ainsi votre féminité. Le plastron est surement très saillant, mais rien ne vaut une femme qui laisse éclater au grand jour sa beauté, sublimée par une robe de qualité.

Audace le qualifiait également bien après cette tirade bien sentie. Il espérait outre mesure qu'elle ne le classerait pas tout de suite dans la catégorie butineur, même si, il fallait se l'avouer, il aimait à gratifier les femmes de bons verbes.

Toutefois j'aurais grand plaisir à admirer la guerrière, j'ai encore très peu combattu, mais vu ce que l'on peut conter sur vos faits d'armes, sans nul doute que la vision elle aussi représente fort bien la puissance et la prospérité de notre royaume.

C'était dit, il ne jette bien entendu aucun regard sur le manège des menottes princières, n'éprouvant aucune difficulté à contempler les yeux de son interlocutrice en ce genre d'occasion, même si cette dernière elle fixait un point différent.

Du mécénat oui, le terme est juste, je regrette néanmoins de ne pas avoir la silhouette appropriée quand à participer à ce genre de "défilé".

En effet, bien qu'il se trouvait parfait, il regrettait encore cette jeunesse qui, lui donnée une allure dégingandée et chétive. Ce qu'il ne savait pas, c'est que ca ne changerait jamais.
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Armoria
Il parlait de sa silhouette : comme quand on vous dit "oh regarde là-haut", on lève les yeux, le regard émeraude fit un tour rapide, en forme de constat, habituée qu'elle était à appréhender la silhouette des jeunes hommes qui se présentaient à Ménessaire pour devenir valets.

Il est vrai que vous êtes un peu fluet, mais à votre jeune âge, rien que de fort normal... Entraînez-vous aux armes, et en attendant... Demandez à l'une de ces talentueuses créatrices de vous concocter une tenue aux habiles rembourrages. Ce peut être tout à fait seyant, si c'est bien réalisé, vous savez.

Elle ne s'étendit pas sur ses prouesses de combattante : quand elle prenait les armes, c'était pour ce qu'elle considérait comme normal, et n'en faisait guère état.

Sauf pour irriter les hérétiques, en leur rappelant que sa lame s'était abreuvée du sang des leurs.

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