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Défilé de la Saint Nicolas : quand la couture fait son show.

--Severus_nonrigolus
Le sévère n'aime pas la façon dont le blond regarde le maitre. Personne n'a le droit de la haïr ainsi de la fusiller comme ceci ci ce n'est lui alors il offre au blond son regard le plus mauvais alors qu'il le regarde parader retenant un mollard dégoûté.
Bientôt cela en serait fini alors le sombre s'avance et annonce la prochaine.


- Le prochain modèle est porté par Dame Gwenn Pannezeg. Il s'agit d'une surcotte, cotte de velours bleu pale, surcotte de soie mauve bordée d'hermine de Bretagne. Tout de suite après vous découvrirez Dame Yolanda Isabel de Josselinière Dénéré Penthièvre. dans la collection exclusivement pour enfants de maitre Attia. Une robe a tassel de velours rose, robe de dessous en satin le tout bordé de rubans pourpres et de fourrure de jeune lièvre.

Sourire sadique retenu, quoi de mieux qu'un bébé lapin pour habiller une bbé princesse ? Car oui maitre Attia coud pour les enfants de la noblesse aussi.
Le sévère jette un oeil a maitre Attia qui a fini de dresser la tenue royale. Elle a l'air préoccupé et il aime ça. Discretement il descend de l'estrade, jette sa traditionnelle oeillade noire aux dernieres defilantes, insistant sur la boule rose avant de songer a persecuter son maitre.
Blanche_
Après les yeux noirs, les yeux bleus.
Blanche n'avait pas encore trouvé pour qui elle allait défiler, au Louvre. Ni quand elle se fait habiller, ni quand elle sort de derrière le paravent, couronne au dessus du crâne, à trôner supérieure aux gens comme ce qu'elle porte sur la tête.
Ni quand elle saisit de ses mains alertes le tissus, qu'elle l'empoigne sans plus de cérémonie, et grimpe pour marcher vers ces trois femmes, quatre, il y a Béatrice.
Elle saurait lorsqu'elle le verrait, simplement. Lorsqu'elle la verrait, cette personne.

Le temps s'arrête, tant que dure la grâce. Comme pour battre une mesure stagnante, la main reste dressée, en l'air et contre tous, contre le vent qui ne vente pas au Louvre, un vent invisible, une atmosphère étouffante.
Elle saurait lorsqu'elle verrait...




Non.
Non.
Non, elle ne voit rien.
Les yeux glissent sur les silhouettes, une brune, une endeuillée, une vanillée. Ils glissent, contournent les traits, caressent comme emplis d'amour les mentons au duvet si tendre, les regards tendus et adorateurs, blasphémant tant ils vénèrent. Et atterrissent sur la petite ingénue, qui ne l'était pas tant, au regard du profil, qu'un petit habitant jetait sous son nombril*...
Ça y est, elle sait.


[R. Luce]
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Riches, tenez bon !
Marymetal
Émerveillement.
Que de splendides tenues! Mary était impressionnée du talent qu'avait Attia, il est sûr qu'avec l'expérience qu'elle avait acquérit ces dernières années, elle ne pouvait pas faire moins bien que cela. Le défilé était un régal des yeux, et elle jetait tout de même un regard à ses mannequins qui devraient défiler juste après ces dames.


Malheureusement je ne pourrai poursuivre le RP, car je pars en vacances en fin de journée de ce samedi, jusqu'au 23 au soir.. Veuillez m'excuser. Quand ce sera l'heure des tenues de mon personnage, veuillez faire avancer les filles qui portent mes tenues. Merci beaucoup à vous.
Yolanda_isabel
Elle, c'est à elle ? Elle s'échappe de la main d'Attia, s'apprête à courir puis se ravise et alors que Blanche se glisse entre les rideaux, Yolanda Isabel se glisse entre les bras d'Attia.

- Je sera la plus belle, tu vas voir !

Elle court de nouveau vers les rideaux, puis jette un coup d'oeil à l'avancée de la bretonne avant de rejoindre très vite les musiciens et de leur murmurer quelques mots. Enfin, les rideaux sont ouverts et un instant, elle reste entre eux avant de sourire aux musiciens avant de rire tout à fait, donnant le départ d'un changement de musique. Faut que ça bouge !



Alors parce que la gitane aime les tissus pour ce qu'ils bougent, et qu'ils chatoient quand on les fait virevolter, alors Yolanda Isabel s'avance comme on danse, comme on enchaînerait les pas de la branle des dames, mais elle ne danse pas, elle flotte, convaincue d'être une fée, la Princesse des Fées, même. Et au bout de l'estrade, elle se permet une pirouette avant de se plier en une révérence qu'elle estime réussie malgré l'épaisseur des tissus qui l'entourent.

Elle se redresse l'Enfante de l'Anjou, elle se redresse et observe tour à tour ces femmes qu'elle ne connait que pour les avoir croisées une ou deux fois tout au plus.


- Du bonjour ! Je suis contente d'être là en vrai, moi, même que c'est dommage que vous sourissiez pas alors que c'est du beau qu'on montre. Regardez ! J'a de la jolie robe rose ! Moi, j'aime bien le rose en fait, pa'ce que les fleurs sont un peu toutes comme ça, et je pense que j'aime bien les fleurs, alors c'est pour ça aussi, un peu que ..

Pourquoi tu parles ? Sérieusement ? Panique totale quand elle réalise qu'aucun des mannequins précédant n'a pris la parole, et qu'elle se ridiculise, mais pire que tout, elle fait honte à sa famille, et à Attia. La lèvre est mordillée, et elle fait demi-tour avant de fixer les rideaux en s'efforçant de ne pas les rejoindre en courant. Les derniers mètres sont parcourus plus rapidement peut être, et les rideaux s'offrent à elle, vision voilée par les larmes qui commencent à embuer l'azur navré de la bourde phénoménale qu'elle vient de commettre. Attia, point d'ancrage contre laquelle elle vient s'échouer, s'effondrer, dévastée par sa bêtise.

- Je pensais que ça serait mieux .. Pardon, pardon, pardon.. Tu peux dire que c'est pas vrai qu'est-ce que j'ai dit que je défilais de pour toi.. Tu peux dire à Papa et Maman que j'ai pas bien fait..

Des sanglots qui hachent les propos décousus de l'enfante convaincue que la fin du monde va arriver à cause d'elle et que les fées ne gouverneront jamais le monde, et pis, et pis..

- En p'us, j'suis même pas une bonne princesse des fééeeeeeeeeeeeeeees..

Ah bah ça..
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Axel2fersen
Axel était ébahie les robes créées par Attia, étaient de véritables splendeur, a tel point que mentalement elle commença à se demander si elle pourrait s'offrir un modèle ressemblant . Elle espérait qu'il n'y aurai pas d'obstacle à se qu'elle puisse arborer de si somptueuses toilettes.

Elle applaudissait à l'instar des autres spectateurs a chaque passage des mannequins, un large sourire sur les lèvres et des étoiles dans les yeux.

Le spectacle prit un tournant très émouvant lorsque la petite demoiselle aux allures de bonbon rose, s'avança, elle était à la fois si mignonne et si élégante dans sa belle robe à froufrous, et son petit aparté destiné aux dames sévères du premier rang lui parurent si drôle que la dame de Roynac ne put s'empêcher d'être émue aux larmes, revoyant sa propre fille au même âge.

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Attia.
Elle est en proie a un phenomene etrange, ou plutot non... Oui en l'espace d'une petite demi heure meme moins, la gitane passe a l'enthousiasme de faire pour la première fois un défilé devant le joli monde a l'agacement voire meme la nervosité extreme voire meme la colère.
Mais oui elle se demande ce qu'elle fout la la gitane, car qui lit bien la phrase " une gitane au Louvre" fait vite le lien et tique sur les mots gitanes, et Louvre car antagonistes.
Oui la gitane est irreverencieuse, tout le monde le sait. Non pas qu'elle manque d'education, mais son education elle la garde pour qui la mérite et la en l'occurrence, il eut fallu que l'on s'extasiat devant elle et son talent dont elle était convaincue pour la convaincre qu'elle avait bien fait de se prêter a un jeu aussi futile et superficiel. La cour des grands, c'est moche, c'est con, ça pue. De mauvaise foi ? Toujours!
Alors elle s'impatiente, scrute, et accueille le Sévère d'un oeil acerbe alors qu'elle n'a pas adressé un seul mot aux defilants qui regagnent les coulisses.
Se contenir, contenir son foutu caractere, son autre intérieur qui lui rit au nez, la couvre de ridicule... Qu'est ce qui est ridicule dans le fait d'exposer son savoir faire ?
Alors elle s'affaire pour eviter de penser, ne pas trop penser, ne pas se prendre la tete avec les tenues des autres, preparer la sienne, la derniere, la tenue royale...


- Sévère aidez moi!

Alors elle pousse le mannequin, prete a reprendre le relais quand la petite boule rose aura fini. heureusement qu'elle est la, veritablement cerise sur le gateau. Un elan de tendresse lui passe dans le coeur, et subitement la Des Juli reve d'avoir des enfants, aussi mignons, aussi creve coeur... car creve coeur c'est le mot, c'est ce qu'elle ressent quand l'infante s’élance... Ondule comme une flamme, balerinne d'une seconde, et miss la reine des fées alors qu'elle parle de son langage mêlé d'un attendrissant babil... Elle sourit la gitane puis c'est l'incomprehension alors qu'elle apperçoit les larmes troubler le joli visage rondelet, l'infante a son desarroi qui s'accroche a elle... Mais que se passe t'il ? Qui a fait du mal a une enfant aussi pleine d'amour... Elle fronce les sourcils la gitane, prend un air faussement coléreux car sa colère n'est en rien dirigée vers le macaron a la fraise... Non... Elle l'es envers ces regard, ceux qui ont effarouché la gamine car en réalité je vous le dis, il ne fallait qu'un prétexte, un seul... Alors le regard sombre se voile de tendresse alors que la gitane s'accroupit au niveau de l'enfant passant une main sur sa joue.

- Tu as été parfaite ...

Oui dans ces moment la on peut se permettre de tutoyer une altesse aussi jeune soit elle.

- Meme mieux qu'Eli, meme mieux que Breiz, meme mieux que Blanche. Ma main a couper que tu es la seule et l'unique princesse des fées, et si quelqu'un dit le contraire, c'est que la robe n'est pas encore parfaite, alors je m'appliquerai a en creer une encore plus magnifique...

Elle sait meme pas ce qu'elle raconte, mi gateuse, mi absente, mais elle est sincere, et pour tout gage elle serre la gamine un instant contre elle.

- ne pleure plus, et vient avec moi présenter la tenue du Roi!

Et d'attraper la gamine par la main, claquant des doigts pour que le sévère avance la tenue royale.
Alors pour la premiere fois, sans ciller, et le regard hautain l'Attia regarde l'assistance dans le blanc de l'oeil alors que le sévère déclame.




- Pour terminer cette présentation, maitre Attia des Juli vous présente sa création, unique et epoustouflante pour L... Le prochain souverain sacré. Cotte de drap d'or agrementé de crevées, surcotte de velours Bordeaux cousu de fils d'or, tenue réalisée pour la maison royale, a la mode angloise.*

Il n'a pas flanché le Sévère, il n'a pas mentionné le roi, l'abdiquation etant encore un sujet trop peu supportable pour cette cour a fanfreluches. Il a bien fait. Qui d'autre que le futur monarque pourrait arborer pareille tenue ? Et si ce monarque était une femme ? Baste, elle finira au fond d'une malle, qu'importe elle est deja payée...

Mais elle ne parle pas la gitane, si elle parle elle sera irrémédiablement irrévérencieuse. Il se peut qu'on ne lui pardonne pas, Severe, Breiz... Alors le regard sombre cherche celui de celle par qui elle était la, accrochent leur cible, la grande maitre de la garde robe, scrutent, lancant un message sourd, un appel a la libération, car a cet instant la gitane n'a qu'une envie... se barrer!


* Avec l'accord de JD Severe.

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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)
Mariealice
Elle se sentait mal, pas à sa place, la Régente de pacotille, sur ce siège qui n'était pas fait pour elle, mais alors pas du tout. Pas pour longtemps qu'elle l'était Régente, dieu merci. Sourire et faire comme si tout était bien, qu'elle était à sa place et tout roulerait. Voilà, sourire et regarder les tenues défilants devant elle, les mannequins, le travail, les tissus, imaginer les heures et les heures qu'il avait fallu et reconnaitre le talent. Cela elle le pouvait sans ce titre transitoire et son regard soulignait l'admiration. Sans un mot. Parce que ce qui était sans doute le plus dur, c'était de songer que normalement Aleanore devrait être là, sans doute à lui expliquer en détail chaque tenue, le regard brillant, battant des mains comme une enfant qu'elle resterait toujours à ses yeux. Oui battant des mains, il lui suffisait de fermer les yeux une seconde et elle était là devant elle, la Dame aux framboises. Soupir imperceptible en les rouvrant et reprise des yeux suivants le défilé, presque amusée à voir Milo faire le beau. Elle ne manquerait pas de le lui rappeler tiens. Et puis une petite boule rose bascula un peu tout, leur fit un petit discours et son coeur se serra un peu plus et pourtant elle sourit, sourit à l'enfant qui soudain fit demi-tour et disparut. Froncements de sourcils, sans comprendre ce qu'il venait de se passer. Pourquoi cette sortie si vive, qu'est-ce qui avait contrarié ce petit bout de femme à ce point.

Attia parut enfin, présentant une dernière tenue, du moins si elle avait compris, tenant la rose par la main, une rose au visage portant les traces humides de ses pleurs. Perplexe, Marie reporta ses yeux du mannequin à la gitane et sourit à cette dernière. Ne sachant pas ce qui était attendu d'elle, après tout elle n'avait pas l'habitude de tout ceci, elle se leva et s'avança au-devant d'elles. D'abord elle se pencha sur Yolanda, essuya du pouce les larmes.


Tu es très belle en rose et tu as bien raison d'aimer les fleurs. Après tout, les enfants sont un peu celles des grandes personnes.

Puis elle se redressa pour faire face à Attia.

Est-il vraiment besoin de dire tout haut que votre travail n'a rien à envier à vos prédécesseurs au sein des fournisseurs royaux? Aleanore adorait vos créations et je lui donne raison.

Un pâle sourire avant de retourner à sa place, que pouvait-elle faire d'autre...
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Armoria
Absente. Totalement, incomparablement, irrémédiablement absente. Armoria n'était guère une femme à fanfreluches et dentelles, mais ces temps-ci la voyaient bien plus souvent plongée dans ses pensées qu'au contact du monde extérieur. Sans compter que même si elle trouvait l'intention touchante envers la mère d'Aleanore, elle trouvait tout cela un peu morbide. Deux raisons, donc, de ne guère se sentir à sa place ni en phase avec le reste des personnes présentes.

Toujours est-il qu'une petite chose toute rose parvient à l'atteindre au fond de son abri, d'abord par ses mots, puis par ses larmes. Mais quand on est loin de la surface, il faut du temps pour remonter... Aussi Marie la devança-t-elle. Marie qui malgré le deuil avait réagit plus vite qu'elle. Avec l'impression de se secouer comme un chat après la sieste, elle se leva elle aussi, posant au passage une main sur l'épaule de la violette qui retournait à sa place. Elle regarda ensuite la petiote de son ami :


Fais vite ton plus beau sourire à cette dame qui vient de te parler gentiment : elle est triste, tu sais... Elle te va très bien, ta robe. Ce sont les grandes personnes qui sont parfois bizarres, c'est tout.

Feignant n'être venue que pour regarder de plus près la tenue du roi, dans la plus pure attitude de "c'est un secret, ne le répète pas", elle retourna ensuite, elle aussi, à sa place.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Kalopsite
Balade entre les invités, tous ont les yeux rivés vers l’estrade, la blondinette aussi d’ailleurs, chaque mannequin est regarder, les modèles présentés par Attia sont superbe. Le regard parcourt la salle puis l’estrade, puis la salle, ….
Une apparition qui se pose a ses cotés, la blonde laisse échapper un soupir, Cecilia est arrivée, elle avoir peur, mais nonnnnnnnnnnn, enfin si, la panique commençait à la gagner doucement mais jamais elle ne le laissera paraître. Une main qui se glisse dans celle de sa collègue en lui murmurant.


Mais non voyons, gros mensonge, viens il faut vérifier qu’il n’y ait pas de retouche à faire. Tu as vu les tenues présentées ? Elles sont superbes n’est ce pas, la créatrice est vraiment douée.

Le temps de regarder le modèle présenté pour le prochain souverain puis elle entraine la brunette vers le paravent. S’en suive déshabillage, coiffage… la tenue est passée, tout est vérifié, tout est parfait.

Tu te sens à l’aise, il n’y a rien qui te gêne?

Il ne manquait plus que son dernier mannequin du jour, mais ou pouvait donc se cacher damoiselle Ayena ?
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Le manoir des artistes
Yolanda_isabel
Arrêter de pleurer, c’est simple à dire, et pourtant même si les mots de la gitane s’acheminent vers l’esprit de l’enfante comme autant de caresses, les larmes continuent de couler sur les joues rondes. Elle a ridiculisé tout le monde avec son petit discours, elle a ridiculisé Attia qui ne s’en rend pas encore compte, mais elle le sait bien, elle. Pourtant sans rien dire, elle se laisse faire, entraînée de nouveau vers le devant de l’estrade, main dans la main avec la grande couturière, la deuxième petite main cachée dans les plis de sa robes, le museau beaucoup moins fier mais qui tente quand même de sourire, parce qu’elle est noble et qu’elle a eu l’éducation qu’il faut. Cette éducation qui lui fait relever un peu la tête, qui lui fait lever la main pour essuyer les yeux bordés de larmes encore, alors même qu’une main adulte vient les essuyer pour elle, alors le regard se lève et tombe sur une des femmes du premier rang, celle qui porte le blanc quand elle-même porte le rose. Et quel rose, celui qu’elle vante cette femme. Un reniflement très peu princier pour ravaler les larmes restantes, un sourire timide, mais fier puisqu’elle commente l’œuvre d’Attia.

Et une deuxième femme de venir, mine de conspiratrice, elle la connaît celle-là, l’a déjà vue à une autre cérémonie, et elle écoute avant de hocher vivement la tête, et d’essuyer du dos de la main les larmes qui restent.


- Bah moi, je dis que j’aime les fleurs, et pis les robes roses, mais aussi que je vous aime bien aussi.

Féérique le sourire non ? Une vraie princesse, c’est Attia qui l’a dit ! Et un clin d'oeil à la conspiratrice du moment. On a beau ne pas comprendre pourquoi les adultes sont tristes, quand on est enfant, on s'efforce à tout faire pour qu'ils ne le soient plus, et souvent sans même chercher à comprendre.
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Agnes.carpadant
Nennya qui semblait hésiter. Entrer ne pas entrer telle était la question. Elle connaissait assez bien la première dame pour s'imaginer le duel qui se jouait entre envie et raison chez la Blackney. Sa fille était là, un avantage elle ne pourrait plus reculer. Felix? Son cousin serait- il arrivé? Elle fit mine de chercher sans trouver puis revient à sa cheffe amusée.

La demoiselle en profita pour croiser le regard de son cavalier espérant qu'il ne prenne pas ombrage de l'erreur de prénom. Je crois qu'elle cherche un moyen d'esquiver ce défilé. Mais j'espère qu'elle finira pas venir avec tout le mal que ce sont donner les couturières.

Puis ils entrèrent et déjà le bal des couleurs, tissus, dentelle et autre voilage était à l'honneur. Elle souri à la vue de plusieurs modèles retenant les noms des créatrice de ceux-ci pour en parler à Dame Alandrisse ou bien à Nahysse. La demoiselle fêterait bientôt ses 14 ans tout comme elle même il y a peu et elle n'avait encore rien pour l'évènement.

Gauvhin pensez vous qu'il plairait à Nahysse de recevoir un modèle présenté ici pour sa majorité? Elle serait si belle pour fêter cela.

Et encore plusieurs modèles se présentèrent. Le dernier d'Attia apparemment toujours des plus talentueuse.

Je ne pensais pas vous voir finalement duchesse mais votre présence me ravie d'autant plus avec votre fille. Comptez vous lui prendre des modèles?

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Demoiselle d'Apparat de la Chambre.
Ayena


Ayena avait revêtu la robe préparée par Marymetal. Derrière le paravents, la tension commençait à monter. le foulard, ou était passé le foulard; Ah, sous son pied... Et dans quel état ! Tout froissé ! La Dam' D'Ap' était devenue muette. Une petite angoisse au fond de son coeur : la robe avait beau être magnifique et lui aller à merveille, quand il faudrait aller sur l'estrade, tout le monde la verrait boiter. Et ça, la jeune fille ne l'avait pas encore accepté. Estropiée, qu'elle était. Quelque chose de voyant, d'extérieur qui reflétait son âme meurtrie. Et cette robe, c'était quoi ? Une façon de se donner un genre ? "T'es estropiée mais on te confie quand même cette merveille" ?
Fiou. L'angoisse, parfois, ça ramène de drôles de souvenirs. Enfin, non, justement, pas drôles.
Il fallait se reprendre. Souffler un bon coup. Ce n'était pas elle le clou du spectacle. C'était la robe; C'était la couturière. Ce n'était pas elle.

Les modèles d'Attia avait commencés à défiler. Plein de couleur, de tissus chatoyant. Oui, du bon travail, à n'en pas douter. Il fallait être honnête...

Alors que tous les regards étaient sur la bohémienne et la toute petite fille, Ayena remarqua Kalopsite qui commençait à tourner sur elle même. La Demoiselle d'apparat eut un pincement au coeur. N'aurait-elle pas prévenue la fournisseuse du Roy (euh, de l'ancien régnant quoi...) qu'elle devait défiler avant pour Mary ?

- Psssst ! Kalopsite ! Je suis par icy !

Mort toi la langue, poupette. Tu le mérite.

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>DECO pour tenues et bannières !
Beatritz
La Duchesse de Nevers regardait défiler les tenues, toutes plus somptueuses les unes que les autres.
À l'idée qu'elle pourrait toutes les acheter, avec les revenus de ses nombreuses terres, elle opposa celle que la Couronne de France avait grandement besoin d'argent, pour bien autre chose que de luxueuses tenues. Elle, sur ses terres, elle n'avait aucun trouble à régler, aucun vassal rebelle à mater, aucune dette à résorber... Mais la Couronne de France... ! Avoir tant de fournisseurs, tant de tissus ; aimer l'apparat, l'éclat, le paraître. Être entouré, choyé, désiré, flatté...

Elle se rappela ce qui l'avait effrayé, au Bal Royal. Être devant tous, l'objet de tous les regards, de toutes les attentions. Être jugée chaque jour, à chaque pas. C'était le jeu auquel se prêtaient les couturières et leurs modèles. C'était un jeu auquel elle se prêtait, sur ce siège au premier rang, au rang des Grandes.

A la différence du Bal, toutefois, elle avait décidé d'assumer ses peurs. Les apprivoiser, pour les mieux surmonter. Elle dit à Attia, qui venait avec la tenue du Roi :


-"Nous apprécions votre travail depuis longtemps. Tout ce que vous venez de nous montrer prouve bien que ce n'est pas sans raison ; vous méritez votre nouveau statut."

Et à la petite Josselinière :

-"Jeune fille, après le défilé, venez donc vous asseoir à nos côtés. Nous avons des macarons à la violette... Des gourmandises pour une jolie fleur !"
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I sum up in english my messages during the coronation's RP (at the end of each message) for the enjoyment of the foreign readers ^_^
--Felix_auguste


-« C'est moche... c'est tout blanc... c'est froid et désagréable... AAA TCHOUM ! »

Le jeune garçon avait promis à ses cousines, Agnès en particulier, de leur rendre visite dans leur office, La Maison du Roy. Une première pour le jeune blond, peu habitué aux mondanités parisiennes et ultra-royalistes. Il était plutôt du genre à préférer les grands rendez-vous impériaux & du sud de la France. Le grand air nordique du Domaine Royal ne lui réussissait pas très bien. Et c'est le cas de le dire, vous en connaissez, vous, des gens capables de supporter un climat pareil ? Surtout si il ne varie que très peu durant toute l'année et ne change pas beaucoup. À ses yeux, tout le monde devrait habiter au Sud de la France : C'est chaud, il y fait un beau temps toute l'année, ou presque, c'est sec, c'est super. Sûrement que dans l'avenir, il y établira un jour domicile, peut-être. Jusque-là, dès qu'il sera en âge de se débrouiller seul, c'est vers le Limousin & la Marche qu'il se dirigera. On dit que le temps y est un peu plus aléatoire, frais et vivable que celui habituellement accommodé en France d'oïl du Nord, tout en haut, vous voyez ?

-« C'est qu'j'commence à m'ennuyer moi... » Gémissait le jeune garçon, peu enclin à patienter plus longtemps pour un petit voyage (ou visite) qui devait normalement s'annoncer bénin, sans encombres & sans histoires. Espérons qu'il puisse arriver à l'heure avant que sa cousine ne commence à défiler, et qu'il puisse aussitôt repartir comme il est arrivé.

-« C'est nul, nul, nul ! »

Son seul souci, figurez-vous, c'est d'être assez impatient. Tout le contraire de son père, ou à défaut de son grand-père, le défunt Pair de France, Fauville, qui étaient plutôt de nature tranquilles et un sang assez froid, peu disposé au stress et à l'hyperactivité. Nul doute qu'avec l'âge, notre personnage arrivera à mieux se contrôler, c'est en soi pas encore gagné...

Bref, revenons à nos brebis (c'mieux qu'moutons).

Après plusieurs excès de colère qui se sont avérés sans incidents majeurs, et plusieurs lamentations et plaintes plus tard, la voiture signée aux armes familiales de la famille Chéroy arriva enfin à bon port.
Le môme n'eut pas d'encombre à pénétrer dans l'enceinte royale et d'arriver au coin déclaré être le lieu de l'événement.


-« Et bien tâchons de les retrouver. Ou plutôt de me retrouver, c'est lassant de chercher. » déclara-il à son chaperon.

Pandorha, Agnès ?
Attia.
La gitane prend son mal en patience oui. Comment s'eclipser quand les grandes dames du royaume viennent vous féliciter ? Alors elle consent un sourire, baissant les yeux sur la petite boule rose qui semble elle aussi se remettre de ses émotions. Alors la gitane pose la main sur l'epaule de la ravissante princesse des fées.

- Je vous laisse aller avec Dame Beatritz...

S'adressant aux dames.

- Je vous remercie mes dames, ce fut pour moi un plaisir que de vous présenter mon travail.

Pieux mensonge , elle avait detesté si ce n'etait le dernier intermede qui avait redoré son égo inconmensurable.

- Je serai honorée de vous recevoir a mon atelier quand il vous plaira de commander une tenue.

Mais... Les grands de ce monde se déplacaient ils ? Dame Beatritz par exemple avait toujours pris soin d'envoyer ses gens...
Enfin breef, jusque la elle s'etaient bien débrouillées et personne ne lui avait jamais demandé de faire le deplacement quoique cela put etre interessant.

Elle leur adressa un sourire et une reverence histoire d'etre polie. Un dernier regard vers l'Alatariel et elle s'empressa de regagner les coulisses laissant la place a d'autres ouvrières d'autres solitaires dans d'autres fourmilières, A d'autres couturières. *
Oui elle avait assez accaparé la scene.


- Sévère, rangez tout soigneusement surtout!

S'adressant a ses collegues et amies.

- Merci beaucoup a toutes...

Avisant un sourire provocateur a Milo elle rectifia.

- Et tous... Si vous avez besoin d'aide pour vous changer dites moi!

Elle lacha un soupir, les mondanités ce n'etait vraiment pas son dawa.


* pas pu m'empecher, paroles de Saez
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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)
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