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[RP]De la guerre de Savoie

Scath_la_grande
[Quelques jours auparavant…]


Ah… Genève… son lac, ses montagnes, ses réformés… sa sublime rousse…

Dans une taverne helvète, la mustélidé traînait sa moue des mauvais jours, celle qui indiquait que sa barométrie à l’humeur variable n’était pas au beau fixe et prévoyait un retour à la trimarde incessamment sous peu.
Godet en main et museau maussade baissé dans l’fond de son verre, on l’avisa.
Les fauves se relevèrent, minois au stade terminal de l’emmerdouillement avancé, on vint la cueillir au seuil de l’hibernation, il était temps !
Pour tous ceux qui avaient un tant soit peu pratiquée la psychologie belettique, venir lui parler quand elle épanchait sa soif, était le meilleur moment.
Grognement…


-Tu connais la Savoie ?
-Nan !
-Tu veux venir visiter ?
-Pourquoi faire ?
-Ben chais pas… taper sur des savoy…. ‘tain tu fous quoi ?
-J’prépare le bissac !
-Tu… tu viens ?
-Ben ouais tu crois quoi, qu’j’vais vous laisser vous amuser tout seul ? Pis quoi encore !

Aussitôt dit, aussitôt fait !

[En Savoie…]

Ah… Annecy… son lac, ses montagnes, ses réformés… et sa sublissime Belette rousse et lascive…

Au dernier éclat du jour, là où la nuit siégeait telle une reine, la Grande entra en taverne Genevoise, les bottes crottées, la tronche contrariée.
Le premier assaut n’avait pas été du tout satisfaisant, l’était même navrant.
« Poussez-pas, poussez-pas » qu’ils avaient dit les autres « il y aura pour tout le monde ».
Tu parles Charles, que dalle ! Ils ne lui avaient rien laissé !
L’aurait mieux fait d’aller jouer aux cartes parce que c’était bien beau dire de suivre le fondement de Melian, fallait déjà savoir où qu’il était ce foutu séant !

Au détour d’une rencontre, et de trois chopines, Rud, un colosse aguerri aux armes, aux poutrages, aux femm… ‘fin bref aguerri quoi ! Et un plan s’installa entre le géant et la fine belette.
Parce que La Grande ne l’était pas, bien au contraire, et elle s’était vite retrouvée noyée dans la masse, des coudes et des doigts dans sa trogne d’enfant
Le plan ? Bête comme chou, elle s’accrocherait à lui et ne lui lâcherait plus les braies jusqu’à tâter du savoyard et se retrouver un peu en avant.

Action, réaction, quand l’heure d’atiger du montagnard vint, Scath se cramponna bien fixe à la ceinture,
« Et c’est partie mon kiki…. Hum nan Rudy »
La bâtarde bien haute, fièrement levée pour ne pas rater d’la râclure et bouclier en berne sur l’épaule, la gamine se laissa guider dans la foule jusqu’à atteindre enfin une échelle, là la fine hyaline lâcha l’Rudy, faudrait pas gêner dans le mouvement en faisant l’boulet.

Un léger courant d’air vers ses hauteurs rousses, lui rappela qu’elle n’était pas là pour se fendre la panse à rire mais pour tâter de la chair avec sa lame et comme Scath n’avait pas envie d’une tignasse raccourcie, ni d’un membre en moins, son bouclier fut vite ramener vers ses miches.
En premier lieu, protéger ses appâts, c’étaient là tout de même ses plus belles armes, il était hors de question de les galvauder à la guerre et encore moins par des crevards.

Les quelques cours d’escrime lui furent salutaires et elle toucha au moins un gus casqué, elle avait bien sentit le métal s’enfoncer dans le tendre, au-delà de la peau.
Puis elle s’attela à un moustachu, étranger de trou-perdu-land. Le combat était pourtant bien parti, mais à peine entamé une Lionne et Nobu lui chapardèrent sa proie sous le museau, qui se plissa, boudeur.
Ne lui resta plus que, plus que… nada !
Un coup d’œil à la gauche, un coup d’œil à la droite.


-Mais laissant m’en bordel !!! Je suis venue de loin, j’ai la primeur !!!
_________________

"Si j'avance, suivez-moi ! Si je crève, vengez-moi ! Si je recule, butez-moi !"
Aqwaqwaqwaqw
[Le lundi]

Aqwa était passé en taverne dans la journée où il rencontra deux autochtones locales. Son poto Kika, alias Blondin, le présenta à ses dames comme le plus grand coureur de jupon de tout le royaume. Difficile après cela de parler à la gente féminine en tout sérénité…

Après quelques formules d’usage, il ne fallut pas longtemps à chacun pour comprendre qu’ils allaient bientôt tous se retrouver prochainement sur... le champ de bataille. La discussion était très cordiale et l’on chambrait. Très finement. Dame Nashia partagea avec lui ses idées s’il advenait qu’Aqwa fut pris. Émasculer, broyer, découper, torturer, re émasculer, déchiqueter, pendre, bruler, re emasculer, etc..
Aqwa, en gentilhomme de bonne compagnie, salua la créativité de Nashia. Il tenta à plusieurs reprises de faire comprendre à ces dames qu’il était là pour le frisson du combat et qu’il ne connaissait que très vaguement les Lyons et les Genevois. Mais on se moqua de lui et elles ne cessèrent de la classer comme « envahisseur, l’ennemi, c’est toi, le Mal Absolu. Pour le Mâle Absolu, encore, ils auraient pu trouver un terrain d’entente.

C’était pourtant la triste vérité. Aqwa était là pour l’action et n’obéissait qu’à lui-même. Il ne connaissait pas les raisons des Genevois et il ne savait même pas qui ils étaient ni ce qu’ils voulaient et encore moins qui étaient leurs chefs. Et il s’en foutait un peu. En échange d’être en premier ligne, il ne voulait pas qu’on l’emmerde sur sa présence ou qu’on l’oblige à signer pour la vie pour un groupe quelque conque.

Aqwa passa néanmoins une très agréable soirée et il rit plusieurs fois à barbe déployée. On dira ce qu’on voudra, les combats, ca aide à faire des rencontres. Certes pas toujours amicales aux premiers abords, mais une fois le bras tranché et l’armure fendue, on se rend bien compte que l’on n’est pas si différent que cela. Aqwa demanda d’ailleurs à Nashia si elle avait un signe distinctif, l’histoire de la reconnaître sur le champ de bataille et d’être le premier à l’affronter. Autant continuer la discussion de la veille en croisant l’épée. Elle lui parla d’un blason multicolore et bariolé. Aqwa se garda bien de lui dire que ce mélange des couleurs ne pouvaient pas être que l‘œuvre d’une femme tellement il devait être impossible de ne pas le râter. Plusieurs avaient du essayer mais sans succès.

Puis il salua ces dames et se retira.



[Le mardi]


Le lendemain Aqwa se rassembla avec les autres. C’était sa première bataille et il avait une boule en plus mais celle-ci située au niveau du ventre. Aqwa n’aimait pas la violence, il trouvait cela puéril. Mais… il voulait connaître cela une fois dans sa vie ce frisson. Tu ne peux pas vivre une vie digne de ce nom si tu ne t’es jamais pris une caisse en taverne à rester des jours dans ton lit à ne jamais te réveille, si tu n’as jamais combattu, si tu n’as jamais aimé à en crever...
Aqwa n’avait pas reçu d’éducation et encore moins d’éducation militaire. Non cela était réservé aux riches pouvaient payer les écoles. Il était d’ailleurs pataud avec une épée. Même les enfants de sa femme lui mettaient souvent des roustes à l’entraînement avec des bâtons de bois. Certes il avait progressé en s’entrainant mais il était très loin d’être un maître d’armes. Par contre, autant il était malhabile avec une épée… autant il était adroit avec un hachoir. Aqwa avait été boucher pendant plusieurs années à Aix. Il équarrissait une carcasse les yeux fermés. D’un geste franc et précis, il séparait l’os de la chair et sculptait la viande. Il en avait abattu de la barbaque, des centaines de bêtes avaient péris sous son hachoir.


Au fur et à mesure que l’heure du combat approchait, Aqwa sentait une tension monter en lui, une force primaire venant du plus profond de son être qui l’envahissait à chaque seconde de plus en plus forte… la peur de mourir, d’y rester, de ne plus revoir sa femme rire et qui le regarde comme elle seule sait le regarder, ses enfants qu’il aime… tout se brouillait devant lui et s’évanouissait. La colère, la peur, l’envie de tuer, tout ne faisait plus qu’un. Son cœur battait de plus en plus fort jusqu’à la douleur, tel un marteau qui frappe la lame tout juste sorti des braises, une chaleur de mille feux qui te brûle l’âme, ce qu’il t’en reste. Ses mains se crispèrent sur son épée et son bouclier.

C’était l’heure. Un cri retentit, puis deux, puis des dizaines qui déchirèrent le ciel et firent trembler la terre.

Son voisin se mit à courir, Aqwa se mit à courir aussi et de crier, les yeux injectés de sang


«Yaaaaaaaaaaa !!! pour Arwennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!!

L’ennemi était en vu, un groupe de 5 à 6 personnes. Il brandit son épée à leur approche et cria

« Je suis Aqwaaaaaaaaaaaaa, le boucherrrrrrrrrrr provencaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaal !!

Il lui porta un coup. Puis il vit un autre individu et lui donna un coup d’épée sans faiblir. Aqwa frappait sans vraiment savoir si les coups blessaient. Il avançait et ne se retournait pas. On ne se retourne pas sur son passé.


Aqwaaaaaaaaaaaaaaaaaa l’indomptaaaaaaaaaable !!! Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!!!!!

Un autre s’interposa et il l’assaillit de plusieurs coups d’épées jusqu'à ce que son corps ne bouge plus.

Aqwa était devenu une bête et sa lame était immaculée de sang.



Citation:
14-12-2010 04:07 : Vous avez frappé D.og. Ce coup l'a probablement tué.
14-12-2010 04:07 : Vous avez frappé D.og. Ce coup l'a probablement tué.
14-12-2010 04:07 : Vous avez frappé D.og. Ce coup l'a probablement tué.
14-12-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre D.og.
14-12-2010 04:07 : Vous avez frappé White. Ce coup l'a probablement tué.
14-12-2010 04:07 : Vous avez frappé Wylbur. Ce coup l'a blessé superficiellement.
14-12-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de White, de Archeur, de Valdemeuse, de Wylbur, de Arwenn1, de Simnick et de Petitekenny.
14-12-2010 04:06 : Vous avez frappé Pierre_von_kolspinne. Ce coup l'a probablement tué.
14-12-2010 04:06 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Les faucons d'Anncy" dirigée par Pygaer et les défenseurs de Annecy.
13-12-2010 04:06 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Annecy et l'armée "Les faucons d'Anncy" dirigée par Pygaer.
Ptitcolin
[Lundi, premier jour des combats]

Il était à la poterne, entrain de pousser pour avancer.
C'est qu'il avait un savoyard à décapiter pour son chef de section préféré.


Pfff ! Pourquoi ca avance pas ?

Il avait beau crier : y'a l'grand méchant loups derrière ! rien n'y faisait.

Décidé, le rouquin changea ses plans. Discrètement et alors que Lionel regardait ailleurs, il s'éclipsa.
Direction les échelles. Et pendant que les autres prenaient leurs tickets pour la file, lui il dépassa tout le monde sans gène en jouant des coudes et fut dans les premiers en haut.

Mais qu'est-ce qui lui prenait à ce jeune homme pourtant d'habitude si maladroit l'épée à la main ? *

Aux cotés du gros bob, il faisait aller son épée de gauche à droite, de droite à gauche, de gauche à droite... toujours à hauteur de bassin, toujours le même mouvement. On sait jamais qu'un savoyard aurait eu l'idée de venir s'y frotter. Et puis même si c'était pas très efficace, au moins était-ce suffisamment décourageant pour ne pas avoir à faire de corps à corps. Et ce qui n'aurait pas dû arriver arriva. Son épée percuta quelqu'un, qui, déséquilibré, tomba des remparts.

Le cœur de Lothem accéléra la cadence, avait-il fini par tuer un savoyard ? Pourrait-il revenir fièrement près de son chef de section ?

La retraite sonnait à ce moment là. Ça tombait bien, il pourrait aller voir son trophée.
Ni une ni deux, il dévala rapidement les échelons et se retrouva près du corps de sa victime.

Il y regarda de plus prêt.
C'était une jeune fille au visage d'ange et aux longs cheveux. Elle avait une vieille cicatrice sur la joue.

M'dit pas qu'j'ai occis une adolescente quand même.

Il commençait à s'inquiéter. Tuer un homme l'épée à la main voir une femme décidée d'accord. Mais cette fille semblait tellement innocente, tellement jeune. Un nuage de buée s'échappait des lèvres de la mourante.
Mourante...pas morte.

Sans hésiter, Lothem la prit dans ses bras et se dirigea vers le camp genevois.

13-12-2010 04:06 : Vous avez frappé Somara. Ce coup l'a probablement tué.

[Mardi, deuxième jour des combats]

Un peu moins porté par son élan qu'hier, Lothem collait aux fesses de Lionel. A bah oui, à défaut de Melian et de Barba...fallait suivre le moustachu.
La mêlée était plus intense. Les combats plus féroce. Lothem donnait des coups un peu plus précis que la veille mais avec moins de ferveur. Il blessa mortellement un homme qui avait déjà reçu pas mal de coups.
14-12-2010 04:07 : Vous avez frappé Simnick. Ce coup l'a probablement tué.

Après quelques minutes à fendre l'air de son épée, sans d'autres résultats, il commençait à fatiguer, son bras commençait à s'engourdir, des nuages de buée plus importants s'échappaient de sa bouche.

Il passa la manche de sa chemise sur son nez qui coulait et se retourna.
C'est là qu'il sentit un gros coups sur ses côtés, à en avoir le souffle coupé.
Un rapide coups d'œil en direction de la blessure. Une épée avait tranché dans le lard du rouquin et sa saignait déjà abondamment.
Il releva la tête en direction de son adversaire puis s'évanouit.

14-12-2010 04:07 : Wylbur vous a porté un coup d'épée. Vous avez été grièvement blessé.

HRP : *Voir : [RP]Au milieu de la fange pousse parfois une Edelweiss
Nerval
Citation:
Du Seigneur de Sevrier, Messire Nerval de Vandimion
Aux habitants de la Seigneurerie de Sevrier,

L’instant est grave, les rumeurs volant bien plus vite qu’une hirondelle au printemps, vous avez du avoir vent de l’armée de réformés qui ont pénétrés avec des intentions belliqueuses dans notre duché. Les hommes valides de mes terres sont partis rejoindre les forces armées savoyardes afin de faire reculer l’ennemi.

Toutes les forces sont maintenant requises, la moindre seconde de recule qu’aura l’armée des réformés sera fortement récompensé par moi-même votre Seigneur, peu importe la façon de faire. Afin de corroborer les écrits avec les actes,

/SPAN>
Citation:
Moi, Nerval de Vandimion, Baron de Chignin, Seigneur de Sevrier, actant ce décret en ma qualité unique de Seigneur de Sevrier, en le quatorzième jour du mois de décembre de l’an de grâce quatorze cent quatre vingt huit,

Décrétons pour les habitants de la Seigneurerie de Sevrier :

Article Premier :
*Tout homme en état de porter les armes se doit de prendre contact avec le sénéchal Savoyard et de se placer sous ses ordres jusqu’à la fin de la guerre.

Article Deux :
*Le port de braies est interdit pour toute personne de sexe féminin, ainsi que le port de col.

Article Trois :
*Toute femme en état de forme et en possédant, n’ayant été engrossée à ce jour, se doit de se mettre sous les ordres de la Demoiselle Clarence dict la frivole. Elles devront respecter tout ordre donné. La présente troupe portera le nom de «Sans-bas » et se verra dissout des le conflit terminé.

Article Quatre :
*Ne devront rester au village de Sevrier que les enfants et les dames âgées.

Article Cinq :
*La troupe des « Sans-bas» fournira à chaque membre une dague ou une lune destinée à faire couler le sang des réformés, seules ces armes seront acceptées. Elles devront rester cachées et n’être souillées que par le sang des ennemis.

Article Six :
*Cette troupe n’aura d’autre but que d’aller vanter les atouts délicieux des membres afin de faire perdre un temps considérable aux soldats réformés, elles sont autorisées à utiliser tous les moyens possible et imaginable afin d’arriver à leurs fins.

Article Sept :
*Aucune sanction ne saurait etre pris suite aux conséquences des actes effectuées lors de cette mission.


Baron de Chignin,
Seigneur de Sevrier



De petits crieurs qui partent annoncer la nouvelle dans Sevrier alors que le Sieur Poète continu de veiller sur son épouse en ces douloureux moments. Hors de question de ne pas tout faire afin de protéger la Savoie. Régulièrement mis aux nouvelles, l’agitation est de mise dans le village. Le contingent se met en route des le lendemain matin, direction le camps de l’armée des reformés, combien sont-elles il n'en a aucune idée, il sait qu'il y a quelque frivoles dans la village donc aucun soucis la dessus... pour le reste... à suivre...
_________________
--Gros_bob



Le gros Bob avait trainé les pieds durant tout le chemin du retour vers le camp de base.

Il arriva la mine défaite, la casque bosselé, sa brosse bouille ronde ornée d’ecchymoses tendant parfois vers le jaune, parfois vers le vert, parfois vers le bleu ... les phalanges encore crispées sur le peu qui restait de son fameux gourdin, c'est-à-dire le manche …


14-12-2010 04:06 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Les faucons d'Anncy" dirigée par Pygaer et les défenseurs de Annecy.
14-12-2010 04:06 : Vous avez frappé Chartres. Vous l'avez légèrement blessé.
14-12-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre D.og.
14-12-2010 04:07 : Vous avez frappé D.og. Ce coup l'a probablement tué.
14-12-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de WhitedeArcheurdeValdemeusedeWylburdeArwenn1deSimnick et de Petitekenny.

14-12-2010 04:06 : Votre arme a été détruite ...




Bah oui ça va, je sais … J’suis pu équipé …
Lionelpsl
Il n'avait qu'une idée confuse du combat qui se déroulait autour de lui. Beaucoup étaient déjà tombés mais il était trop occupé à porter des coups et se garder de ceux des savoyards pour tenir un compte précis.
Son bras était douloureux, il était couvert de sang et d'estafilades, son bouclier était en piteux état et son épée ébréchée, sa cotte de maille en lambeaux. Il était saisi de la frénésie du combat et lardait de coups le dernier adversaire qui avait eu la malchance de se trouver sur son chemin.
Il entendit alors la clameur de victoire qui saluait la fuite des savoyards en déroute. Se détournant du corps sans vie, hagard, les yeux injectés de sang, son épée sanglante à la main, il fit quelques pas comme s'il avait espéré les rattapper. Il avait encore la force de crier d'une voix enrouée.


FAUT LES CREVER! FAUT LES CREVER!

Il reprit ses esprits en entendant un cri.

A moi la sixième ! Lionel ! Rud est touché !

Il porta un regard fatigué sur l'origine de cette voix, écarquilla un peu les yeux et reconnu sur les remparts Nobutada qui pleurait à chaudes larmes sur son ami tombé. D'un geste muet il rameuta quelques survivants de la 6ème et entreprit de gravir les échelles pour les rejoindre. Il était trop tard pour prendre les remparts aujourd'hui, mais peut être pas pour sauver ces deux là. Ce n'est qu'ensuite que l'on pourrait songer à rechercher lothilde et lothem.
Pendant ce temps mélian, ce héros au sourire si doux, suivi d'un seul sicaire qu'il aimait entre tous pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, parcourait à cheval, le soir de la bataille, le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit.
_________________
Dioscoride
Citation:
14-12-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre D.og.
14-12-2010 04:07 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de WhitedeArcheurdeValdemeusedeWylburdeArwenn1deSimnick et de Petitekenny.
14-12-2010 04:06 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Les faucons d'Anncy" dirigée par Pygaer et les défenseurs de Annecy.

Une hachette était l'arme idéale au corps à corps, pour fendre les membres, pourfendre les heaumes, ouvrir les cages thoraciques...mais pour contrer les coup, ça valait pas un denier. Manchot, Scarificare n'avait d'autres choix que de se contenter de ça. Et quand elle explosa sous les coups de la masse d'arme, qu'il se retrouva à terre, il songea un court instant que le long couteau à sa ceinture ne pourrait guère faire mieux. Alors, il accepta quand l'ennemi leva à nouveau son marteau, le mercenaire admit l'ultime défaite, et s'apprêtait à être libéré, enfin, à mourir en homme.

Aussi quand la lame émergea du thorax de son bourreau, le borgne se surpris à la colère, à regretter que soit repoussé sa délivrance. Et quand le savoyard tomba face contre terre, Scarificare n'eut pour son sauveur aux yeux bridés qu'un regard de haine que ce dernier ignora splendidement pour courir sus aux fuyards, car l'ennemi, en bon savoyard prenait les jambes à son cou.

S'en était terminé, et pourtant tout continuait, il était hébété, perdu, tant il avait souhaité la mort. Le borgne fit sienne la masse d'arme et se traina récupérer ses effets, sans même l'envie de dépouiller comme à son habitude les gisants. Il allait opter pour un des troquets de fortune qui déjà s'amassaient autour du campement quand il revint à la réalité.

Est-elle en vie ? Son regard parcouru le bas des remparts où s'amoncelaient les corps et il partit à sa recherche, animé d'un mince espoir tant le combat fut violent.

_________________
Louza
Louza avait préparé sa monture, une belle monture blanche, un fier cheval issu du sud , dans le royaume francoys, elle aimait cette monture par-dessus tout. Beau cheval, court sur patte, et trapu mais agile et surtout résistant. C'est bien ce qu'il fallait pour partir en guerre...

La jeune femme avait rassemblé son heaume, son épée, mit son armure et sortit son étendard.

Elle partit donc rejoindre la lance de White qui se dirigeait vers Annecy... mais partie en retard, et ne les rattrapa avant de constater un tel carnage...

Qu'elle ne fut pas l'effroi qu'elle ressentit quand, elle vit celle-ci complétement décimée par les troupes génévoises, cet ennemi de toujours, ennemi bien sanguinaire, avait attaqué et laissé pour mort presque toute la troupe. Son aimé Simnick était laissé pour mort dans un fossé, elle sauta et alla à sa rescousse afin de lui admnistrer les premiers soins, espèrant trouver de l'aide parmi tout ce carnage, elle ne savait plus trop où donner de la tête.
Simnick
Simnick repris ses esprits, il ne savait pas depuis combien de temps il était resté inconscient. Tout ce qu'il savait, c'est qu'une tornade de Genevoise les avait surpris, il n'avait pas la chance de riposté qu'il était déjà entouré par une dizaine d'homme en épée et qui le frappait a qui mieux mieux.

Il commençait a avoir froid, il tremblait de partout, pourtant le soleil était encore au rendez-vous. Il avait du mal a distingué quoique ce soit tellement son corps lui indiquait des signaux contradictoire. Il essaya d'ouvrir les yeux, mais son état de faiblesse trop avancée l'empêchait d'ouvrir les yeux, ce n,était la première fois pourtant qu'il se retrouvait a l,article de la mort

Il ouvrir la bouche pour prendre un grande respiration mais ses cotes lui en empêchait tellement la douleur était vive et tenace. Il en profita pour s'humecter les lèvres et découvrit des particules sèches. Il les humidifiait encore plus pour se rendre compte que le gout était acre.

C'est alors qu'il se rendu compte qu'un liquide avait sèche sur une grande partit de son corps, ses paupières était fusionné ensemble par un liquide qui normalement aurait du être chaud.

Son propre sang le recouvrait en grande partit.

C'est quil entendu la voix de sa baronne et lui supplia de la rapporte a son appartement a Chambery
--Anniaimelessucettesalanis




[Quelque part aux alentours du camp non loin d'Annecy ????
Je sais pas ou je suis !]



L'annie pestait contre son seigneur .
Les avait envoyé ,les femmes de Sévrier en mission ,les femmes de l'ombre dans un monde de brutes .Elles allaient apporté douceur .
Tout l’monde cherche un peu l’aventure.
Brigand ,marchand ou simple passant .
On se laisse un peu plus de liberté, tout l’monde aime être aimé. On se laisse faire ,on aime s'embrasser .Voila leur mission être une distraction pour les hommes .
y'avait qu'un homme pour penser à c'la ,lui restait auprès de sa brune qui mettait au monde leur chieur dans le beau castel de la Baronne et lui s'permettait d'envoyé après les hommes les femmes de Sévrier servirent de distraction aux vilains .

Après avoir bien marché la troupe de sans bas ridicule le nom m'enfin passons ,l'Annie avait un peu froid tout compte fait se laisser aller pour se réchauffer auprès des vilains méchant mais beau Hein !Serait pas de refus .

Bon il étaient ou parmi tous ces bout de blessés .
L'annie en voulait un beau ,par trop amocher ,le seigneur leur avait pas dit qu'elles devait pas choisir leur proie .Enfin leur bout de plaisir .
Maquerait plus qu'elle n'est pas le choix l'Annie elle irait râler pour sur .

Bon c'est pas tout mais fait pas chaud le décolleté à l'air avec ce froid polaire et si il y avait que dans le décolleté que l'air passait ... Fallait vite trouvé un abri ou une proie avant d'attraper froid .
Maquerait plus qu'elle s'enrhume l'Annie qui aime les sucettes à l'anis .

EHHHHHHHHHHHHH OHHHHHHHHHHHHHH y'a quelqu'un ?
M'suis perdue !


Louza
Simnick a écrit:
Simnick repris ses esprits, il ne savait pas depuis combien de temps il était resté inconscient. Tout ce qu'il savait, c'est qu'une tornade de Genevoise les avait surpris, il n'avait pas la chance de riposté qu'il était déjà entouré par une dizaine d'homme en épée et qui le frappait a qui mieux mieux.

Il commençait a avoir froid, il tremblait de partout, pourtant le soleil était encore au rendez-vous. Il avait du mal a distingué quoique ce soit tellement son corps lui indiquait des signaux contradictoire. Il essaya d'ouvrir les yeux, mais son état de faiblesse trop avancée l'empêchait d'ouvrir les yeux, ce n,était la première fois pourtant qu'il se retrouvait a l,article de la mort

Il ouvrir la bouche pour prendre un grande respiration mais ses cotes lui en empêchait tellement la douleur était vive et tenace. Il en profita pour s'humecter les lèvres et découvrit des particules sèches. Il les humidifiait encore plus pour se rendre compte que le gout était acre.

C'est alors qu'il se rendu compte qu'un liquide avait sèche sur une grande partit de son corps, ses paupières était fusionné ensemble par un liquide qui normalement aurait du être chaud.

Son propre sang le recouvrait en grande partit.

C'est quil entendu la voix de sa baronne et lui supplia de la rapporte a son appartement a Chambery


(Entre Annecy et Chambéry )


Louza s'était avérée du mieux qu'elle avait pu pour arrêter l'hémorragie. Malheureusement, elle n'avait point tout son attirail pour soigner, n'ayant pas prévu une telle débâcle.
Elle avait juste ses points et son étole à cèder à son aimé pour arrêter le sang.

Simnick reprit conscience, et elle le fit frissonner. Elle coupa la partie non tâchée de son étole et lui mis sur les épaules



Je suis désolée mon aimé, je n'ai point d'autre chose à te proposer, nous n'avons hélàs rien pour te soigner.

Je vais te hisser en haut de la monture, je ne sais pas encore quelle position te sera la plus confortable.
Mais ils nous faut regagner Chambéry. Promis, je t'y ramène de suite, et tu pourras goûter bientôt la chaleur d'un foyer, et le bonheur d'une bonne soupe chaude. Loin de cet enfer de sang.


La jeune femme essaya de soulever son homme, mais avec le poids de sa propre armure, elle n'arrivait à rien. Elle se mit à crier espèrant attirer un savoyard, une bonne âme parmi ce monde de chaos


À L'AIDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Nashia


[2 eme jours]

LAISSEZ MOI PASSEZ ! MORT ! MORT A GENEVE ! MORT A L'ENVAHISSEUR !

C'était l'hystérie... Elle les avaient vue ! De la où elle était elle voyait tout les combats, elle les voyaient tomber ! Oh oui elle les voyaient tué les savoyards, tuer ses amis... Combien étaient tomber ? Elle l'ignorait !
Nash se précipite... donne des coup de coude... Elle veut descendre... Elle veut descendre ! Elle les a vue ! Ils ont attaqué sa Suzeraine... Elle hurle elle crie, gifle ce qui lui passe son ses mains, pousse du coude, Pas moyen de se faufiler pour atteindre le bord des rempart ! Impossible ! Et Iso qui a disparu... Ils n'ont pas intérêt a y toucher ! Puis il faut qu'elle trouve aqwa ! Un combat ! Elle veut croiser le fer !

LAISSEZ MOI PASSEZ ! LAISSEZ LES MOI ! NON D'UN BOUC SANS CORNES !

Démente elle est ! Démente car elle veut du sang ! Démente, elle veut se venger... Loin est le calme qui l'habitait de la vielle... Elle est frustrer, elle rage...
Un homme l'attrape la maintient hors des combats, et surtout hors du sol... Elle a beau frapper, il ne veut rien savoir. Il ne la laisse point partir. Elle crie, se débat... On lui arrache son épée et son bouclier.

LAISSEZ LES MOI ! MAIS LÂCHE MOI ENFLURE ! GREDIN ! TRAITRE ! RENDEZ MOI LES ! RAAHHHH ! RUSTRES ! GUEUX !

Celui qui la retient ne bronche pas il est fort costaud, elle mord elle griffe elle gifle elle bat des pieds. C'est un géant de deux mètres Il s'en fiche... Et d'ailleurs vous devez vous demander pourquoi il retient sa Dame ? Parce qu'il a peur qu'elle ne se tue. Et surtout, il a peur quand fonçant elle n'abime d'autre savoyard... Et puis il allait pas la laisser descendre seule par les échelles qu'utilisait les Genevois. Lasser par les cris de sa Dame, il la mit sur son épaule lui assena un grand coup sur la tête et la foutue dans un coin a l'abri. Puis le géant s'en retournât a ses combats. Après tout, sa dame l'avait fait descendre des montagnes autant pour la protéger que pour défendre. Et comme elle était partie... il l'avait protéger d'elle même !
Quand nash se réveilla tout était finit... Elle était dans sa tente... Poser sur son lit... Un mal de crâne assourdissant. Mais toujours capable de se battre. Joie... Son premier réflexe fut de foncer a l'infirmerie... Elle tourna parmi les mort et les mourant les légèrement blessés et ceux plus gravement... Elle y retrouve ses suzerain..; ses amis... On ne l'autorise pas a approcher... On la met dehors...

Tuer, venger ! Elle veut venger !

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Nashia, Vagabonde Savoyarde, Dame de Pettinengo, Ambassadrice.
Amoureuse d'Isomer
Isomer


[La première nuit]

La guerre avait commencé. Au début, Isomer ne voulait pas y croire,
puis lorsqu'il fut fasse au premier combat, la peur le paralysa. Tout ces gens qui criaient de douleur ou bien de bonheur. Ces maisons qui brulait. Tout ça lui rappela son enfance.

Alors que l'assaut venait d'être lancé, Isomer n'avait pas bougé. Debout, il surplombait la colline ou se déroulait le tout premier combat. Un flèche atterri non loin de lui, un ennemi l'avait remarqué. Il ne bougea pas d'un centimètre. Un homme cria à ses côtés :


ISO COUCHE TOI BOUSEUX !!! TU VAS TE FAIRE ZIGOUILLER !!!

Il tourna la tête puis fit demi tour devant les regards incompréhensif de ses camarades. Débordés, ils le laissèrent déserter le champs de bataille.

Isomer se rendit alors à la mairie complètement vide. En chemin il tomba nez à nez contre un Genevois. Celui-ci était très jeune. Armé d'un bâton il chargea sur Isomer en criant. Iso ne broncha pas et traça son chemin.
Au même moment, un Savoyard apparu, il aperçu la scène. Il dégaina son épée et se précipita sur l'enfant pour le contrer.
Iso se retourna et se jeta sur l'homme. Il le désarma et le saisie par le cou. L'homme s'essouffla puis perdit connaissance.

Choqué, le jeune garçon resta sans voix. Isomer lâcha le Savoyard qui s'écrasa par terre.


Va t'en petit ! Rentre chez toi ça vaut mieux !

Isomer attrapa le corps de l'homme et le traina à l'abri dans une ruelle. Il savait que dès que l'homme reprendrait connaissance il le dénoncerait. Il lui fallait faire vite. Qui plus est l'armée n'était pas tendre avec les déserteurs.

Iso s'en alla discrètement. Pendant la nuit, personne ne su ou était passé Iso. Une chose était sur, il n'était pas partit ce battre.



[Le deuxième nuit]

Isomer n'avait pas passé la nuit dernière à Annecy. Ce matin lorsqu'il était rentré, il tenait un dessin de Juliette dans sa main. Tout supposait à croire qu'il avait passé la nuit auprès de ses enfants.

Il avait eu vent des combats de veille et visiblement ce n'était pas beau à voir. Annecy avait perdu beaucoup d'hommes. Et la ville ne ressemblait plus à grand chose par endroit. Il entendu dire que Momo avait été grave blessé. Il décida donc de lui rendre visite. Le dispensaire était débordé, les blessé affluait de partout et à l'extérieur on commençait à voir des corps sans vie être aligné. Et à côté d'eux, des gens pleuraient.
Cette vision lui déchira le cœur. Iso était quelqu'un de plutôt sensible. Il était plus fleur bleue que intrépide aussi.

Visiblement l'ennemi était nombreux. Annecy avait tenu la première nuit mais la dernière serait une autre paire de manche. Cette deuxième nuit, il ne pu échapper aux combats. Annecy avait trop besoin de lui. Le soir même il se prépara puis partit sur les remparts équipé de sa nouvelle épée.

Malheureusement tout ne ce passa pas comme prévu. Alors que la victoire était proche en ce deuxième soir. On vient annoncer à Isomer que Ambroise avait été grièvement blessé. Iso abandonna son poste et partit à la recherche de son ami.
Il le retrouva gisant dans son lit, mourant, agonisant. Il lui prit la main et lui la réchauffa. Puis il dit d'une voix timide, les yeux rouges :


Ben alors mon babounet ? On c'est laissé surprendre ? Ne t'inquiète pas tu as trois fois rien ! Et puis tu es costaud hein ? J'ai demandé à Modi de s'occuper de toi. Et je te préviens si tu te laisse mourir, je... Je m'engage au PSH !

Il s'essuya rapidement les yeux puis lui sourit. La guerre avait à peine commencé qu'elle avait déjà fait ses victimes. Iso passa le reste de la nuit auprès d'Ambroise.


[La troisième nuit]

Ce soir là Iso était de garde à la mairie. Dernier lieu à peu près sur d'Annecy. L'armée avait été mise en déroute et il était certain qu'Annecy allait tomber aux mains de Genève dès ce soir.

Alors qu'il s'apprêtait à prendre son service, il remarqua une femme et des enfants complètement apeuré. Il décida alors de les amener en sécurité à la mairie.


Guy le milicien : Mais tu es fou Iso ! On a pas le droit de ramener des mendiants dans la mairie ! Pis si c'est des genevois ? On aura l'air fin ! On leur avait prévu de quitter la ville, que se serait dangereux !
Iso : Et si ils n'ont pas pu la quitter ? Qu'est-ce que ça peut faire de toute façon ! Y a pu personne pour nous surveiller et croit moi les autorités on autre chose à penser qu'à ça !
Guy le milicien : Fait en donc qu'à ta tête ! T'as raison ! Débrouille toi !


Iso guida la jeune femme et les enfants à la salle du conseil. Là il leur donna des couvertures et sa ration.

Tenez ! Restez bien ici ! Voila de quoi manger, je sais que c'est pas grand chose mais c'est mieux que rien !

Guy cria : "ISOMER ILS ARRIVENT !!!
Iso les laissa, referma la porte derrière lui puis retourna auprès du milicien. On entendait tout autour de la mairie des hommes approchés. Des soldats isolé les avaient rejoins.

Ce soir sans doute la mairie tomberait. Ce soir sans doute il sera blessé ou bien tué. Ce soir sans doute Annecy sera aux mains des Genevois.

Isomer pensa une dernière fois à son amour et à ses enfants. Puis il saisie son épée à deux mains. Il était prêt pour le combat !

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- Isomer Derouan de Terenez
- Fou d'amour pour Nashia
- Golden écureuil d'Annecy
Ragnarock
A chambéry

Rhaaa la haine prenait le maire, impossible de bouger de sa mairie alors que tout le monde s'amuse à Annecy, lui aussi il avait envie d'occire du genevois mais il peut pas ! parce qu'il est maire...

Sa on lui avait pas dit quand il à poser sa candidature d'abord et le pire, c'est qu'à force de gueuler aux genevois d'arrêtées de faire du bruit quand ils essayent de prendre la mairie que ceux ci n'essaye même plus...

Le maire s'ennuyer donc dans son petit village de Chambéry, se demandant quand est ce qu'il allait venir lui rendre une petite visite, il est pourtant pas méchant et puis c'est qu'il leur paierais un coup avant de les pourfendre, il est gentleman quand même...

Donc comme je disait bien calme sur Chambéry... trop calme... Alors on continue d'envoyer des courrier aux Anneciens, aux Chambériens et on répond à des lettres qu'on revoit et la surprise !!!!!

Le maire éclate de rire à la lecture d'une des lettres. En effet, il avait répondu auparavant à ce sir qu'il ne comprenais pas très bien de quel meneur il voulais suivre... voila la réponse de ce sir dont nous garderons l'anonymat :


Citation:
C'est bon tout est bien qui fini bien. En effet, j'étais dans l'armée Genevoise donc... ^^


Un Annecien s'était trompée d'armée et à intégré celle de l'ennemie, d'ailleurs les genevois ne l'avait même pas remarquer, le maire s'écroula par terre ne pouvant s'empêcher de rire. Ha certains avait le don de lui remonter le moral !
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Leagallcosta
[Au Matin de la 3° nuit de combats, Annecy]


Le jour se lève sur Annecy, et l'armée de Meliandulys est toujours hors de l'enceinte. L'assaut nocturne n'a pas suffit.

Par contre, le prochain sera décisif.

Dans la lueur froide et blafarde de Décembre, flotte maintenant l'Oriflamme de la Compagnie de l'Edelweiss, aux côtés de celle de l'Armée Républicaine Genevoise.


Citation:
Armée "Républicaine Genevoise" commandée par Meliandulys
L'armée est aux portes de la ville

Armée "de l'Edelweiss" commandée par Cameliane
L'armée est aux portes de la ville

Et c'est beau.

La Sicaire doit maintenant faire le tour des soldats de sa compagnie, les espérant indemnes après les violences nocturnes

Citation:
15-12-2010 04:06 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Annecy.

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Sicaire Fidaïs du Lion de Juda

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