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[RP]De la guerre de Savoie

Serrallonga
[Troisième assaut ... enfin le premier pour Serrallonga]

Serra avait eu du mal à arriver jusqu'ici. Non seulement les Bourguignons lui avaient mis des bâtons dans les dents mais en plus, il s'était fait rosser par un groupe de traine-savates sur le chemin. Pour couronner le tout, il avait loupé le départ de l'armée... Non franchement, il en avait de la volonté mais quand même. Y'a parfois des signes qu'on devrait prendre en compte avant de faire n'importe quoi.

Mais voilà... On fait jamais attention à ces signes et on en fait souvent qu'à sa tête justement. Mais au final, c'est ça qui est bon dirons certains dont Serra lui-même. C'est donc le sourire aux lèvres et l'épée au vent qu'il prit la suite de son meneur de section.

Ca gueulait de tous les côtés. Des ordres étaient balancés dans tous les sens mais au final, il n'y avait pas 36 objectifs à cet instant. Il fallait mettre une torgnole à tous ces savoyards mal décrottés -et c'est lui qui disait ça... Un comble- et le reste on verrait plus tard.

Il grimpa donc à son échelle pour atteindre le haut du rempart qui se dressait devant lui et se retourna pour gueuler.


- On s'bouge le gras du cul et on fait pas d'quarti...

La phrase n'était même pas terminée qu'un violent coup d'épée trancha dans l'vif. A peine le temps de regarder son agresseur et Serra tombait.

- Une femme !! Une donzelle !!! Nan sérieux ... Aïe ! La vache !! Mon épaule !! Satyyyyne !! Tu m'as r'filé ta saleté de poiiisse !!

A force d'hurler comme un putois en rûte, il perdit le peu de force qu'il lui restait et sombra un bon bout d'temps.
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Mariposa
[troisième assaut]

Deuxième section, vous restez derrière ce soir, vous récoltez les plus ..euhm.. fous qui oseront passer le mur de la sixième. Le Capitaine ordonnait, les autres… bah… ils essayaient d'obéir. Parce que l'Helvète affranchi, fallait le dire, lorsqu'il avait une idée en tête... c'était pas toujours facile de le retenir! Mais les ordres étant ce qu’elles sont, il ne fallait pas discutailler.

Un lourd silence s’installe au sein du mini groupe alors que tout les regards se tournent vers la dites section six. Fumée chaude émanant des narines exaltées, armés jusqu’aux dents, les colosses de la sixième n’en laisseraient pas passer un, ou alors ce serait en pièces détachées. Une pointe de désolation sur le minois, la genevoise croise le regard de sa sœur tout aussi déçue.

Bon bien, fallait se rendre utile. Sans hésitation, l’agile helvète se retrouva alors à escalader un monticule de pierre, entrainant son amie dans un même mouvement, sans trop lui demander son avis. Elle farfouilla sa besace de cette main finalement très agile et en sorti une fronde ainsi qu'un sac de noix amères. Clin d’œil à la frangine. Certes elle ne tuerait personne cette nuit mais si elle pouvait en déconcentrer quelques-uns ce serait déjà ça prit. Et puis, ca fait mal une noix par derrière la tête… sans parler de la résonance sous le casque!

« « « TOooonnG » » »


15-12-2010 04:06 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Annecy.

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Nashia


[Troisieme nuit]

Nash avait prit sous son aile un jeune homme du nom de givre.Il était censé a suivre... C'est ce qu'il fit heureusement. ce jeune homme semblait bien impatient d'en découdre... Elle ca faisait la troisième nuit qu'elle grimpait la. Troisième nuit et un seul homme a son tableau de chasse. La deuxième on l'avait empêcher de combattre... Bougre d'imbécile qu'avait été ce soldat... Enfin bref... Elle adressa un sourire palot a son jeune voisin et s'apprêtait a lui faire remarquer que ca commencerait suffisamment tôt lorsqu'une échelle se posa sur les remparts. Des cris fusèrent de partout, et le temps qu'elle se précipite a son poste qu'elle avait jà perdue Givre. Poussant un grognement désapprobateur, elle pria un instant pour que dieu épargne ce jeune homme courageux.
La donzelle elle était furieuse ! Elle avait dut beugler bien fort pour qu'on la laissa passer. Bien que les rangs des savoyards se faisait de plus en plus parsemé, tous voulaient venger sœur frère amis ou autre..; et la petite qu'elle était avait du mal...

CHACUN SON TOURS NON D'UN BOUC SANS CORNE ! Y EN AURA POUR TOUS !


Et son tours arriva.. Mais quel gland c'était cet envahisseur la... Il la regardait même pas... Nash abbatit son épée sur l'épaule de l'homme tout en criant

NASHIA DE PETTINENGO POUR VOUS DÉTRUIRE MESSIRE ! MERCI D'ÊTRE PASSER !
AU SUIVANT !


Et elle se fit bousculer, déjà une autre tête apparaissait... Un soldat tombait et un savoyard inattentif s'écroula... Gaetan Von Kolspienne... Avant qu'elle ne puisse atteindre le jeune homme quelqu'un l'emmena à l'infirmerie... Et maintenant elle pouvait toujours rêver pour retaper sur du Genevois ! D'ailleurs ils reculaient déjà... Et pas d'Aqwa...

Citation:
15-12-2010 04:06 : Vous avez frappé Serrallonga. Vous l'avez sérieusement blessé.

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Nashia, Vagabonde Savoyarde, Dame de Pettinengo, Ambassadrice.
Amoureuse d'Isomer



Louza
Louza enfin voit passer des paysans tremblant, remontant vers Chambéry. Elle les appelle et leur montre son blason pour les rassurer.

Ils l'aident à hisser Simnick sur le cheval.
Elle les remercie en glissant quelques pieces d'or dans leurs mains, puis ils lui proposent de se suivre jusqu'à Chambéry.

C'est ainsi que Louza et Simnick rentrent sans difficulté jusqu'au chateau
Izaac
Citation:
14-12-2010 04:06 : Vous avez frappé Finael. Ce coup l'a probablement tué.


Les épées sont en bois, la mitraille, un tas de cailloux et c'est tout. Les archers, trois par trois, en bataille, ont des arbalètes en bambou. Tous les derrières qui mordront la poussière, ah oui ! apprendront qu'à la guerre il faut rester debout. Les archers sont au Roy, mais la gloire est à celui qui la gagnera.

Les épées sont brisées, la marmaille maintenant retourne au foyer. Tabliers déchirés en pagaille, il y aura des comptes à régler. Vainqueurs comme vaincus, sur tous les derrières nus, les mains de tous nos pères feront subir leur loi de fer. Car chez nous, c'est l'endroit où se portent, nos plus belles décorations.

Un deux trois, aux tambours, aux trompettes, quand on marchera pour de bon, on regrettera ce temps de fêtes, où l'on se battaient... pour des boutons...


Izaac, arrête de faire le gamin !

Quoi Seigneur ?

Izaac, tu sais très bien ce que je dis ! C'est sérieux, la vie d'en bas !

Mais Seigneur ?

[...]

Regard penaud. Un coup d'pied dans le saladier de ferraille qui traine encore par terre.


Izaac, tu as fait des malheureux ici ! Des gens ont pleuré à cause de toi ! Regarde combien de preux savoyards tu as condamné à abandonner leur champ, leur choux, et leur vaches, veaux et moutons, pour te chasser toi et les tiens !

Les nôtres, Seigneur ! Les nôtres ! Je bosse pour toi quand même !

[...]

J'déconne Izaac ! J'suis fier de toi !

Ahhh ! merci Seigneur !

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P4. Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière

Ntil_
[Au spectacle.....]

Derrière ...derrière.....pffffffff.
Bon,ben on va les laisser faire les boeufs de la sixième.Ce soir la seconde est au spectacle et va compter les poings distribués et les points récoltés.

Assises en hauteur les deux genévoises étaient aux premières loges.Finalement ça avait du bon,faut dire que la nuit d'avant elles c'étaient dépensées.Détail important , ça cavalaient comme des garennes les savoyards.Mais ça fatigue vite,le principe: les laisser s'affaiblir .Y a plus qu'a les esquinter,en plus sont joueurs ils en redemandent.

Regard rieur vers sa frangine,qui s'avérait agile au lancé de noix su cible mouvante.
T'as vue sont gourmands quand même,ils en redemandent.Se lassent pas hein.Heureusement que nous sommes généreux et qu'on leur accorde du temps.

Allez et d' un!...Oh regarde y en a un qui veut nous rejoindre.Un ptit bonhomme s'attela à la tache,escalader pierre par pierre pour déloger les deux complices.Ah mais non, c 'était leur place ,il avait qu 'a s 'en trouver une autre.Finalement Ntil opta pour un gros cailloux qu'elle laissa malencontreusement choir sur la trogne du curieux.Ainsi elle put tester les lois de la gravité.....
Alors elle commença à s'interroger.Sur le poids de la caillasse,la vitesse,la distance parcourue,l'obstacle en l 'occurrence un savoyard.....elle avait pas souvenir d 'en avoir jeté en Bearn,mais une étude comparative aurai put être intéressante.....


CHPOUM
......un homme à terre!
-Fichtre! ils sont bon au rattrapage!

Une belle nuit,finalement pas différentes des autres,de la bonne humeur,quelques bagarres et que de mots doux.
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Les edelweiss fleurissent toujours.....
Nashia


Elle attend... Ils sont cinq dans son groupe. Cinq, c'est nombreux... Nash qui préfère se mouvoir seule. Pas grave ! Elle lance un regard plein d'amour au grand blond qui se trouve être son fiancé.

Sourit d'un air rassurant aux autres. Ce soir, elle sait qu'elle risque de mourir. Ce soir elle sait que certains de son groupe vont mourir. Ce soir elle sait que la ville sera prise.

Annecy n'a plus de force. Elle lance son regard vers la gauche... Sur les rempart quelques groupes d'irréductible sont encore présent. Elle fait un signe de main a une connaissance. S'approche du bord de la rempart. Regarde les deux armées regroupée en bas. Nash ne tremble pas. Elle n'a pas peur. Elle est résignée.

Résignée a sauver sa peau coute que coute. Résignée à en tuer le plus possible. Résignée a défendre Annecy le plus longtemps possible. Et puis si ils ne prennent pas la ville ce soir elle pourra réclamer a Fenthick, pygaer, ced et charle de tenir leur promesse ! Et rien que pour le plaisir de les voir faire ca elle botterait bien le cul a cette armée toute seule ! Mais en attendant elle fait les cents pas sur les remparts. Et elle guette, impatiente d'en finir.

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Nashia, Vagabonde Savoyarde, Dame de Pettinengo, Ambassadrice.
Amoureuse d'Isomer
Rudolf_karnap
Tombe le colosse.
Fracas de maille.
Le monde se peuple de lumières éclatantes.
Tout n'est plus que sensations.
Chaleur moite à son flanc.
Incompréhension.
Le sang coule.
Coule.
Sa vision n'est plus qu'éclairs lumineux.
Images fugaces qui restent collées à la rétine.
Les contrastes de lumière change.
De l'obscur vient se mêler à la lumière.
Un rideau de vague vient brouiller la vision.
Un point noir nait au centre de tout cet imbroglio.
Il grandit.
Grandit.
Mange la vision de l'homme.
Les sensations s'atténuent.
Meurent les sensations.
Meurt l'Helvète?

Deux fentes de lumière viennent fendre le carcan de noirceur qui afflige le regard du Bocan. Les fentes se dilatent le temps d'une demi-seconde, puis se referment, assault intempestif de lumière. Les paupière battent encore, les yeux restent ouverts plus longtemps. Sensation de faiblesse monstre, garde les yeux fermés une minute. Les rouvre, autour, la lumière laisse place à une obscurité étrangement peu obscure. Les yeux ayant eu le temps de s'accoutumer à la noirceur derrière les paupières discernent très clairement les formes autour. Rud se lève. Jambe droite, tout va bien. Jambe gauche :
ARGH! Pousse le sol contre le pied, pousse le pied contre le mollet, pousse le mollet contre le tibia, pousse le tibia contre le genou, pousse le genou contre la cuisse, pousse la cuisse contre le bassin, pousse le bassin contre la plaie.

Le géant chancèle, se rattrape à son lit, porte son poid sur la jambe droite. Un coup d'oeil sur son ventre lui apprend que sa chemise lui a été retirée et qu'un bandage orne maintenant son ventre. Il avise sa chemise sur une table de chevet, l'enfile en vitesse. D'un coup d'oeil autour, il cherche objet puissant faire office de canne. Un bâton ayant visiblemment appartenu à un Savoyard s'offre à l'Helvète. Il le ramasse avec hâte et quitte l'hopital. À son grand étonnement, plusieurs hommes rigolent autour de feux de camps, il s'approche d'eux.


Dites mes braves, comment s'est passé l'assault?

Les gaillards se regardent, le sourire aux lèvres, l'un d'eux éclate franchement de rire. Rud fronce les sourcils.. Une âme secourable se porte à son secours.

On a pas encore lancé l'assault...

Questionnements dans l'esprit de l'Helvète..

On est pas lundi soir après l'assault?!

Nouveaux sourires de quelques uns des hommes, les autres plus empathiques comprennent que l'homme a été blessé lors de l'assault de lundi et répondent en vitesse.

Non, mardi soir, juste avant l'assault...

Tout s'éclaire dans l'esprit de l'Helvète qui quitte les joyeux lurons et erre dans le camp, cherchant une figure connue, un ami, quelqu'un qui lui expliquerait tout sans ambage, sans rire, sans condescendance, bref, comme un ami.

Merci de ne pas répondre à la dernière action de Rud, quelque chose est déjà prévu avec un autre joueur.

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Louza
À Chambéry


Louza est rentrée, et a ramené son aimé dans ses appartements. Il prend maintenant beaucoup de repos.
Sa dame de compagnie, également infirmière lui applique les soins nécessaires. Pendant, qu'en vue de la guerre, Louza doit reprendre malheureusement les armes pour défendre la Savoie.

Elle prend donc les ordres, reprend son épée, son bouclier, son heaume et son armure et se dirige sur les remparts de Chambéry afin de contrer un éventuel ennemi. Elle pense aux durs moments que passent les Anneciens, sa ville natale. Là, où elle est, elle ne peut rien faire.
Sa frustation est d'ailleurs forte, savoir qu'elle est là pendant que les autres se font massacrer ... elle aimerait les rejoindre mais au vu de ce qui est arrivé à sa précédente lance, elle sait bien que c'est en vain...

Arnaut.du.perray.
Après avoir quitté la taverne, le jeune Arnaut prit son bouclier et son épée, ressera sa cape sur son coup, mit son chapeau en place, et c'est tout de noir vêtu qu'il alla prendre une place sur les remparts.

Il n'était plus soldat mais il se porter volontaire pour défendre la ville où il avait élu domicil, et défendre ses habitants si le besoin était là, et d'ici quelques jours, voirs quelques heures, Chambery en aurait grand besoin.

Il remarqua d'autre volontaire, qu'il salua d'un bref signe de tête, puis regardant au loin, dans la direction d'Annecy, ou certains encore tenter de tenir la ville, mais pour combien de temps encore?
Dieu seul le savait, et vu la tournure des évènements, le Très Haut semblait vouloir tester ses fidèles.

La main sur le pommau de son épée, et l'autre serrant le bouclier, Arnaut était là, droit comme un i, sans se soucier du froid de la nuit, avec pour seules pensées ses amis sa famille et Silanie, qui devait dormir paisiblement ou alors faire semblant.
Il poussa un bref soupire d'ennuis, et resta là a surveiller l'horizon.

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Lionelpsl
Le premier assaut avait été pénible, le deuxième épuisant, le troisième très bizarre.

Après toute une nuit passer à lutter à nouveau dans son sommeil contre les savoyards qu'il avait déjà combattus dans la journée (eh chef, deux journées de combat en une ça fait une double part d'un éventuel butin?) le barbier du camp l'avait coupé en le rasant et s'était confondu en excuses, le malheureux avait l'air d'avoir très froid, il grelotait et ses mains tremblaient. Puis lionel passa la matinée à rafistoler son équipement tant bien que mal.
Il affûta et il fourbit son épée mais il lui avait semblé que certains s'étaient éloigné précipitament dès qu'il l'avait dégainée.
Puis il passa voir le charpentier du camp pour qu'il lui répare son bouclier: il le récupéra encore plus bosselé qu'auparavant. Il lui avait semblé que celui ci aussi tremblait en faisant son ouvrage.

Il était ensuite passé voir le forgeron du camp pour échanger sa cotte de maille contre une neuve (chez les forgerons helvètes il y'a un contrat d'entretien pour les cottes de maille, 5 ans pièces et mains d'oeuvre, et on vous prète une cotte de maille neuve pendant qu'on vous répare la votre. Une cotte de maille de qualité est une cotte de maille helvéte) et il avait remarqué quelque chose d'étrange: certains le regardaient bizarrement, des conversations s'interrompaient quand il arrivait, dans certains regards il lisait un mélange de surprise et d'effroi. Il mit cela sur le compte de la fatigue, il est vrai qu'il n'avait toujours pas récupéré de la bataille de la veille.

Il eut l'impression que ça allait aller mieux quand le cuisinier l'avait resservi trois fois au déjeuner mais ça n'avait pas duré: au moment de monter à l'assaut certains n'arrètaient pas de le regarder, surtout dans la deuxième compagnie. Lui se demandait ce qu'il avait.


C'est mon casque?

Il se toucha le casque.

Non, il est là. Mon épée peut être?

Il s'assura que son épée était là, et qu'il ne manquait pas la lame ou la garde. Non tout y était.

Je sais, j'ai oublié d'enfiler mon pantalon.

Un simple coup d'oeil l'assura que non.

J'ai peut être une paire d'yeux, une oreille, ou une rate collé sur mes vêtements? C'est que la bataille d'hier a été très violente. Ou quelqu'un m'aura collé une main dans le dos en guise de poisson d'avril?

Il demanda à un de ses hommes de l'inspecter sous toutes les coutures mais il ne trouva rien. Là il ne voyait pas. Cela commençait à l'inquiéter. Il en rata presque le signal du départ. Il se contenta de prononcer d'une voix enrouée un vague

Allez on y va cette fois ci c'est la bonne!

Et c'est très perplexe qu'il marcha sur annecy pour la troisième fois. Il y'a des jours où tout va mal et où l'on croit vivre un mauvais rêve.
Non seulement il avait l'impression tenace qu'on l'observait, mais ce n'est qu'au moment d'arriver à cette fichue redoute nord qu'il s'apperçut que off et remi n'étaient pas là alors qu'il aurait juré les avoir vus au moment du départ. Pire encore, alors que cela faisait un bon quart d'heure qu'avec yoyo ils ferraillaient contre le mur de bouliers en face d'eux dans une ambiance cauchemardesque sans obtenir le moindre résultat, voila rémi qui tombait du ciel, atterrissait sur le cul, se relevait manifestement de très méchante humeur, et profitait de l'ébahissement général pour porter un unique coup d'épée qui terrassa le savoyard en face de lui.
Tout cela était trop étrange et ce n'était décidément pas ce soir qu'il pourrait faire du bon travail, aussi donna-t'il le signal de la retraite.

C'est à peine s'il réagit quand retentit le cri de joie général saluant l'arrivée de l'armée de caméliane. Il était trop occupé à chercher devant une glace ce qui avait tant attiré les regards de la 2ème compagnie.


Un gros bouton? Non ce n'est pas cela. Un épi? Non, de tout façon je porte un casque. Une bosse cocasse sur mon casque représentant un cul ou un animal? Non plus. Quelle journée bizarre, et en plus il pleut des remi....

Bah, après une bonne nuit de sommeil tout rentrerait dans l'ordre, et avec un peu de chance il se réveillerait dans le monde réel.

Citation:
15-12-2010 04:06 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Annecy.

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Mini.
Même la main en visière ne changeait strictement rien au schmilblik... Toujours pas d'armée ennemie aux pieds des murailles ou à l'horizon... Mais qu'est ce qu'ils fichaient bon sang de bonsoir ?! Les p'tits chuiches marchaient à reculons ? Sur les mains ? Sur la tête ? Ou étaient-ils trop occupés à se jeter du Génépi dans le gosier...? Allez savoir... Toujours est-il qu'à Chambéry, non seulement, ils se caillaient les miches sur les remparts pour que dalle mais qu'en plus à cette allure, ils ne sauraient même pas à quoi ressemble un p'tit chuiche... Aussi, Mini décida-t-elle d'écrire à Nash... Voici ce que le volatile transmit à l'Annecienne si toutefois, il ne se faisait pas canarder avant... Quoique s'ils avançaient à reculons, ils devaient déjà être à Genève ces andouilles ! Bref...



Nash,

J'ai ouï dire que tu te portais comme un charme et que tu leur occasionnais bien des dégâts... *sourire* Bravo ma belle ! Faudra me montrer ton tableau de chasse... *rire*
J'aurais cependant une requête à te faire... Ici, on se fait ch... à mourir... Façon de parler hein... T'inquiète, on tombe pas comme des mouches non plus ! *rire*
Bon bref... Serait-il envisageable selon toi de nous en laisser quelques uns ? *sourire en coin* Oui parce que d'une, on sait même pô à quoi ça ressemble un Chuiche et de deux, nous aussi on voudrait bien en bouffer un ou deux ou plus même, j'ai une grosse dalle en ce moment... *rire*
En plus, Fenthick piaffe sur les remparts et si tu savais comme c'est énervant d'entendre ça quand on ne voit rien venir à l'horizon... Pfiou... C'est un massacre quotidien des tympans alors tu pourrais compatir un peu hein... *rire*
Sois gentille et laisse nous en ! Pis d'abord, on mange pas les uns sans les autres, c'est très impoli ! *éclat de rire*
Bon bah, si toutefois, le message te parvenait... Pense à donner des nouvelles...
En attendant, prends soin de toi, Dame de Pettinengo ! *sourire*
Bizzzzzzzzz

Mini

Après relecture sommaire, la petite brune ficela le parchemin et l'accrocha à la patte de son plus rapide piaf... Espérant, une réponse rapide........
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Repeat after me:"It's just a game..." (©{Badger})C'est pas faux!
Nashia
[Quatrième nuit]



Quatrième nuit a se les geler... Les miches hein ! Ouai on a beau être Savoyard... Quand on glande, immobile sur des rempart c'est un coup a se choper la crève ! Non de non ! Ils allaient venir ces détraquer du bulbe ? Et Aqwa qu'arrivait toujours pas à la trouver ! Mais quel gland suis la ! On pouvait pas dire qu'y'avait grand monde sur les remparts pourtant...
Puuuff, elle était sure que comme kika, il avait peur de venir se battre. Comme Dekos aussi... Depuis le temps qu'on lui promettait une rouste...
Ben la Nash elle vivait toujours... Elle regardait le genevois défiler... Mais ca devait être sa manie de trancher dans l'envahisseur. Ils avaient tous peur ! Peur de se prendr eune rouste ! Ce devait etre pour ca qu'a deux armées il attaquaient pas !
Fatigué d'attendre Nash rejoignit le bord de la rempart et se mit a les insuter de tout les noms. Oui faut pas faire attendre une savoyarde

BOUHHHH ! BANDE DE COUILLES MOLLES ! PAS MÊME LE COURAGE DE MONTER ! INCAPABLE DE PRENDRE UNE VILLE ! DÉGÉNÉRER ! BANDE D'INCAPABLE ! ALLEZ VENEZ PETITS ZIOZIO CHÉTIF QU'ON VOUS APPRENNE A VOLER ! BOUUUHHHH !


Et avec ca tout un tas de signe grossier qu'on verrait pas une dame faire normalement... D'ailleurs en parlant oiseau de malheur... un pigeon se posa sur son épaule ! Chouette de la lecture se dit la Nashia qui commençait à s'ennuyer ferme. Pas même capable d'être constant et d'attaquer tout les soir... Inadmissible...
Elle lut la lettre et sourit bêtement ! Mini ne changerait jamais ! Elle fouilla dans sa besace et prit plume et ecrit... s'allongea sur les pierres froides et entreprit de répondre.

Citation:
Jolie Mini,

Ce que tu as ouïe était correct ! Je suis en pleine forme avec quelque irréductible, les autres ont voulut apprendre a voler...
Mon tableau de chasse n'est pas très grand... Deux hommes seulement... Ma petite taille ma empêcher d'atteindre le bord des rempart suffisamment vite la deuxième nuit... Je t'avoue que j'en suis malheureuse ! Cette nuit il n'y a personne a vouloir montrer le bout de son nez ! Ils sont vraiment pas constant ces Genevois ! Ils ruines mes statistiques

Alors pense tu, si personne ne veut passer je vais pas venir les chercher hein ! Je comprend ton désappointement ! Mais ne t'inquiète pas vue leur nombre tu en auras suffisamment pour toi ! Et pour fenthick aussi..; Après pour les autres j'ai un doute ! Dit lui de se calmer et que Annecy tombera quand moi je tomberais ! Et tu me connais je glisse mais ne tombe jamais ! Enfin il est possible que dans un avenir proche on vous en laisse un peu... Tu as raison c'est égoïste de notre part.

Je t'embrasse fort ma belle mini et je compte sur toi pour me recoudre quand je serais abimée !

Nash

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Nashia, Vagabonde Savoyarde, Dame de Pettinengo, Ambassadrice.
Amoureuse d'Isomer



Valentine.




13 décembre de l'an 1458

C'est de Bourg qu'était partie la bande de joyeux Luron menée par Tine après avoir passé la soirée en taverne. Il se demandaient encore comment ils allaient trouver Belley le lendemain, ils ne tardèrent pas à voir que la pauvre ville dormait.


14 décembre de l'an 1458


Une journée à Belley, la maire souffrante ne put les recevoir. Il s devaient récupérer le Chef de Port, Ripouf et n'eurent pas de mal à lui mettre la main dessus en arpentant les tavernes de à la ville.

Tout était calme, trop calme, et la soirée se passa entre eux à bore et chanter


A MORT L ENNEMI, A MORT GENÈVE

15 décembre 1458

Arrivée sur la capitale sans encombre, la vie grouillait dans les rues, les gens s'activaient, les fêtards pourraient enfin mettre leur talents au service de la Savoie.

Ce n'étaient pas des guerriers, ce n'étaient des soldats, mais pour l'Amour de leur montagnes, ils étaient prêts à mourir.


Le soir venu, ils quittèrent la taverne pour rejoindre bon nombre de Savoyards sur les remparts.

Melisse et Tine avait emporté un peu de broderie se doutant que la nuit serait longue, les sales gens étant encore en train de se faire rosser par les Anneciens.

D'un commun accord, un étendard au nom du groupe serait confectionné afin d''accueillir leurs amies Libellule et Babygladys.


Vous croyez qu'on va nous voir d'ici ?

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Izaac
[A la guerre comme à la guerre !]

Clong !

Citation:
15-12-2010 04:06 : Benji555 vous a porté un coup d'épée. Vous avez été légèrement blessé.


Ben ! 'Sont où ?

Clong !


Citation:
15-12-2010 04:06 : Votre bouclier a été détruit.


Inge ! Tagadamos ! Dégage-nous de là, il pleut des massues !

Re-Clong !


Izaac avait trop laissé galoper sa mule parce que là, il ne trouvait plus ceux de la Première... Sa rossinante, avec l'enthousiasme guerrier qui la caractérise si bien l'avait bien imprudemment conduit tout naturellement en plein au milieu... des savoyards ? Ben où en fait ? Comment ça une blessure légère ? Une méga bosse oui ! Mais surtout, L'izaac, dans la cohue furieuse, ben il avait paumé l'armée...

Par les saints p'tits couillons d'Eugène, Z'êtes où ? J'vois double... deux oriflammes helvètes ?

Clong !

Et Izaac passa la nuit sous un muret de pierres sèches.
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P4. Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière

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