--Lara_marqueyssac_
Encore un mariage, en Franche-Comté cette fois-ci, la route ne devait pas être extrêmement longue, sauf que voilà
La neige naidait pas
Impossible daller bien vite par ce temps et même si nous étions à la base partis en avance, nous fumes bloqués en cours de route. Misère de misère, nous allions arriver en retard, et même si cétait devenu plus ou moins habituel chez moi, je naimais guère cela. A chaque fois, à chaque cérémonie à laquelle je devais me rendre, il y avait quelque chose ! Un stupide âne qui prenait ma robe pour de lavoine, une flaque de boue dans laquelle je métais rétamée, tout, javais tout eu ! Et aujourdhui, cétait le temps qui me mettait en retard
Nous avions été obligés de nous arrêter en Bourgogne, heureusement, javais prévu pour arriver la veille à Poligny, du coup nous arriverions le jour même de la cérémonie...En espérant arriver suffisamment tôt pour pouvoir nous rafraichir et nous changer.
[Jour J]
Eleeeeeeek Dépêches toi !! On est déjà en retard !! Criais-je à travers la chambre de lauberge à laquelle nous nous étions arrêtés tout en enfilant mes bottes, du moins, en essayant. Quand rien ne voulait aller, décidemment ! Il me fallut bien cinq minutes pour parvenir à les enfiler, car plus nous étions en retard, plus jétais agacée, et moins jarrivais à mhabiller !
Mais où était le Elek, on se le demandait. Elle lui hurlait encore dessus quils étaient en retard. Il le savait boudiou. Ils sétaient réveillé un peu trop tard ce jour ci, on se demande bien pourquoi. Bref il finissait de se sécher après sa douche (concept révolutionnaire). Il shabillait en toute hâte, enfilait ses bottes, ses braies blanches comme la neige, sa chemise blanche également aux bordures dorées, prenait son chapeau en main et sortait. Il était dans sa tenue de mariage, paré pour lassaut. Il regarde sa douce qui se débattait avec une botte et soupira en exécutant quelques prières intérieures au dieu des blondes. Il sapprocha delle, lui proposa son aide, laida à finir sa toilette, ses petites affaires, enfin toutes ces choses que les femmes font inutilement car nous sommes déjà fous delles. Une fois tout prêt il tendit la main à sa douce et lui dit :
Paré mon Amour ? On y va ?
On y va, répondis-je tout en prenant la main quil me tendait et le suivant à lextérieur. Direction : léglise. Bien sûr, la cérémonie avait commencé, nous tentions donc de nous faufiler le plus discrètement possible en lenceinte du bâtiment, et primes place, tout en écoutant ce quil se disait. Bien, nous navions raté que le début, heureusement. Fleur devait se dire que je lavais oubliée au vu de notre retard, jirais men excuser plus tard. Pour linstant, la cérémonie.
Nous avions été obligés de nous arrêter en Bourgogne, heureusement, javais prévu pour arriver la veille à Poligny, du coup nous arriverions le jour même de la cérémonie...En espérant arriver suffisamment tôt pour pouvoir nous rafraichir et nous changer.
[Jour J]
Eleeeeeeek Dépêches toi !! On est déjà en retard !! Criais-je à travers la chambre de lauberge à laquelle nous nous étions arrêtés tout en enfilant mes bottes, du moins, en essayant. Quand rien ne voulait aller, décidemment ! Il me fallut bien cinq minutes pour parvenir à les enfiler, car plus nous étions en retard, plus jétais agacée, et moins jarrivais à mhabiller !
Mais où était le Elek, on se le demandait. Elle lui hurlait encore dessus quils étaient en retard. Il le savait boudiou. Ils sétaient réveillé un peu trop tard ce jour ci, on se demande bien pourquoi. Bref il finissait de se sécher après sa douche (concept révolutionnaire). Il shabillait en toute hâte, enfilait ses bottes, ses braies blanches comme la neige, sa chemise blanche également aux bordures dorées, prenait son chapeau en main et sortait. Il était dans sa tenue de mariage, paré pour lassaut. Il regarde sa douce qui se débattait avec une botte et soupira en exécutant quelques prières intérieures au dieu des blondes. Il sapprocha delle, lui proposa son aide, laida à finir sa toilette, ses petites affaires, enfin toutes ces choses que les femmes font inutilement car nous sommes déjà fous delles. Une fois tout prêt il tendit la main à sa douce et lui dit :
Paré mon Amour ? On y va ?
On y va, répondis-je tout en prenant la main quil me tendait et le suivant à lextérieur. Direction : léglise. Bien sûr, la cérémonie avait commencé, nous tentions donc de nous faufiler le plus discrètement possible en lenceinte du bâtiment, et primes place, tout en écoutant ce quil se disait. Bien, nous navions raté que le début, heureusement. Fleur devait se dire que je lavais oubliée au vu de notre retard, jirais men excuser plus tard. Pour linstant, la cérémonie.