Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[Rp fermé] Le déserteur

Linexiv
Rp fermé pour la simple raison qu’il s’agit de la retranscription d’un rp ayant lieu sur le forum de l’armée tourangelle . Participation autorisée pour le bouquet final à condition que votre personnage trouve une raison valable pour justifier sa présence au milieu de la caserne ! Merci beaucoup. Ljd Line


[Caserne tourangelle]


Il était une fois dans un duché lointain. Sauf qu’il n’était en aucun cas ici question d’un joli conte, parce que les histoires pour enfants, cela se terminait bien en général, et cette fois-ci…

Bref, autant tout de suite faire abstraction des fioritures et autres enjolivures, rien n’était spécialement ragoûtant dans cette histoire. L’aube mis à part, peut-être, après tout, le matin ne pouvait qu’être teinté d’optimiste puisque nul ne pensait alors à la noirceur du crépuscule. Et Aristote en avait été témoin, bien que sanglant, le soleil provençal avait dardé bien des espoirs. D’une amitié, d’une solidarité qui, peu à peu, s’était nouée au milieu d’un campement militaire, et qui s’était renforcée au fil des combats, le temps de voir des soldats devenir compagnons d’armes.

Line grimaça. Les engagements, les promesses n’avaient pas toutes durées. Pour une concrétisée, une devenue enfin publique à sa plus grande joie, d’autres s’étaient étiolées. Un départ trop rapide d’abord, heureusement aujourd’hui effacé et ça…

Cette étrange pagaille devenue gangrène, ce micmac autour des délires du pauvre douanier Hembert qui comme Line l’avait aussitôt compris masquait un crime. Pour un soldat. La pire des trahisons. Pourtant, elle n’avait pas hésité une seconde à ce moment-là. Et bien que blessée, oui, par sa décision, elle n’avait rien dit. Espérant que l’idée ressortirait aussi vite de l’oreille du danois qu’elle avait pu y entrer. L’été s’était avancé, les rumeurs s’étaient succédées.

Elle les avait écoutées d’une oreille discrète, n’aimant pas ce qu’elles insinuaient ou plutôt confirmaient. Tant qu’il n’y avait qu’elle pour le soupçonner, la procédure pouvait être bloquée, mais si cela devenait public… Elle n’aurait alors plus qu’à accomplir son devoir…

L’été s’étiolait, la rumeur ne parlait plus que de la guerre prochaine et des allées et venues d’un danois autrefois soldat, nul n’en avait à présent cure. Tout allait bien. Trop bien… Jusqu’à ce soir là.

Il était une fois dans une taverne égale à elle-même, c'est-à-dire passablement crasseuse avec tables poisseuses, une silhouette familière.

La guigne. Et tant pis si elle était heureuse de le retrouver en vie et non à crever comme un chien dans un quelconque fossé. Elle était lieutenant. Lieutenant. Son lieutenant. Et elle devait montrer l’exemple. Montrer ce qu’il en coûtait de transgresser l’ordre, ce qu’il en coûtait de faire preuve de lâcheté. Un grand poids sur ses épaules, comme s’il était possible de qualifier Robin de lâche… De traître aussi pendant qu’on y était ? Idiot, entêté, râleur, ça oui.

Se concentrer. De toute manière, si ce n’était pas elle qui intervenait, les autorités s’en chargeraient, et ce genre d’affaire, ça se réglait en famille. Surtout quand il s’agissait d’un problème de gosses.

Des lors, l’affaire avait été rondement menée mais il semblait à Line que le petit matin ne revêtait guère d’espoir alors qu’elle faisait signe aux gardes d’ouvrir la porte de la caserne pour les laisser entrer. Elle, perdue dans ses pensées, Loutte qu’elle venait de forcer à jouer ce traquenard et qui, muette, arborait son regard des mauvais jours tout en tenant la bride de son cheval. Et lui, pieds et mains liés, encore inconscient, réduit à l’état de paquet. Son déserteur.

_________________
Loutte1
Loutte avait fait route guidant son cheval jusqu'à la caserne.

Nul mot n'avait été prononcé sur le chemin du retour.

Line et Loutte étaient tout aussi tendues l'une que l'autre.

Loutte avait été trahie par Robin. Elle le considérait quasi comme un frère, il était son soudard, son ami, et il avait déserté l'armée préférant la vermine ennemie à sa famille.

En cet instant elle en voulait au monde entier.

Elle lui en voulait à lui, pour son abandon; elle lui en voulait d'être revenu et elle en voulait à Line de l'avoir poussée à jouer ce sale tour à Rob afin de l'attraper.

La seule chose qui aurait pu la soulager aurait été de taper, de pourfendre, de décharger toute la colère et la rancoeur qu'elle avait en elle.

Il avait trahi, il avait déserté, il serait puni.

Regardant de gauche et de droite.

Et les gardes ils sont où? brailla-t-elle.
Il était clair que s'il ne tenait qu'à elle des galons tomberaient tout autant que des coups de pieds au séant.

Elle continua donc à avancer dans la caserne en direction des geôles.


Paysans01
Paysans est de grade ses jours la et vos a lieutant line et loutre arrivé il voit leurs mine dessurs et encoler. Il ses pas ses passé mais elle son colére noirs. Paysans sais que sa malle l'acurosité mais la ci il y a de grave il faut qu'il demande

bien le bonjour lieutant du frons sud Line et Soldat 1 étoile du fronds sud loutte1 il ses passe quoi???

reste en grade a vous le temps de la reponse
_________________
Loutte1
Loutte avait déjà passé le poste de garde alors que le soldat en place avait du se réveiller.

bien le bonjour lieutant du frons sud Line et Soldat 1 étoile du fronds sud loutte1 il ses passe quoi???

Loutte étant plus que passablement énervée, elle continua à avancer jetant un coup d'oeil en direction de Line, l'invitant à lui répondre.
Robin_de_locksley
[Dans la tête du danois]

Ce n'est pas parce que Robin était paumé dans les nimbes que son cerveau était lui aussi aux abonnés absents.
Au contraire, il n'était jamais aussi actif que lorsque ce dernier était inconscient.


Bordelerie, je t'avais dit que s'attarder ici était une mauvaise idée. Regarde dans quelle défection tu nous as encore fourré ! râla Knut.

Bah, on aurait pu s'proposer pour épauler l'armée après tout. Sont en crise ces mecs là...

Tu rigoles, Bjorn? Ils en ont rien à foutre d'un rigolo comme nous. Sinon, ils se serait peut être un peu plus remué pour partir à notre recherche en mai...

Bah p’t être qu’y s’étaient occupés…

Mouais, à d’autres… M’est avis qu’on aurait du rester avec la Zoko…

Déconne pas, la moitié des dragons étaient avec nous en Provence…

Mouais bah regarde bien qui nous a mis dans cet état. Line et Loutte, z’étaient en Provence elles aussi…

Bon de toute façon, ça va rien changer. On est dans la mouise et bien profond. M’est avis qu’on va gagner l’gros lot : une magnifique partie de jambes en l’air avec une corde au cou et surtout sans fille...

Ta gueule et essaie de trouver une solution pour nous sortir de là.

La ferme ivrogne !

Trouillard !


Sur ce, les deux gnomes symboles de la conscience de Robin en vinrent aux mains, comme souvent.
Pas étonnant que ça soit la méthode préférée du danois…

_________________
Linexiv
[Dans la cour de la caserne]


Les portes à peine franchies, Line fut interpelée par Paysan, justement de service. Les explications… Déjà… Lasse, elle ne releva pas le fait qu’il était inutile que le soldat se fatigue à énumérer les grades de chaque soldat avant de leur parler. Seuls ses supérieurs devaient être salués par leur grade.

Repos soldat. Triste affaire mais affaire nécessaire. Nous venons de capturer… ce.. un… déserteur. A coller au trou le temps de monter la potence.

Les mots avaient été lourds, le ton bien dur et Line avait dû s’empêcher de regarder autour d’elle à la recherche de la personne qui avait pu les prononcer. Elle n’arrivait pas à croire que de telles paroles avaient pu sortir de sa bouche. Il le fallait, mais chaque syllabe la glaçait davantage. Aucune fuite possible désormais. « Si je recule, tuez-moi ». Elle serra les dents, comme si cela pouvait faire taire la petite voix qui protestait en son fort intérieur. Il n’avait pas reculé. Et il ne reculerait pas.
_________________
Mumbly
Mumbly passa à son tour devant le poste de garde.
Pas possible que Robin passe à la corde.Lui qui s'était
si brillamment battu en Provence.Son complice des
tours joués à Line pour l'énerver un peu.
Il faut dire qu'elle était bonne cliente ,à s'emporter pour
un rien.
Il fallait qu'il trouve un moyen de sauver la peau du Danois.
Paysans01
paysans pouvai piont le croire robin un deserteurs piont possible settai un de plus brave et un forc mantalements le robin va lais 100 homme comme paysans sur les champts des batailles

ses pas posible lieutant line robin un derserteurs ses un des millieurs soldat de noter armé je puts piont le crois ses un excelle amis ROBIN je suis avec toi!!!!
_________________
Loutte1, incarné par Linexiv
Loutte avait déjà passé le poste de garde alors que le soldat en place avait du se réveiller.

bien le bonjour lieutant du frons sud Line et Soldat 1 étoile du fronds sud loutte1 il ses passe quoi???

Loutte étant plus que passablement énervée, elle continua à avancer jetant un coup d'oeil en direction de Line, l'invitant à lui répondre.
Linexiv
[Toujours dans la cour]


Regard noir, très noir. Matinée noire pour Line qui prolongeait une soirée qu'elle aurait aimé ne pas vivre. Et encore un soldat qui ne savait pas rester à sa place. Elle avait pu lire de la désapprobation sur le visage de Mumbly mais lui avait eu l'intelligence de se taire.
Elle ne s'attendait pas à ce que les soldats soient ravis de cette décision. Mais chacun à sa place. C'était sa responsabilité.



Soldat Paysan, vous retournez immédiatement à votre poste et vous vous la fermez. Vous n'avez pas à donner votre avis.
Exécution!


De plus, Robin comme vous pouvez le remarquer ne profitera pas de votre soutien vu qu'il est inconscient. Alors ne vous fatiguez pas.


D'un signe de tête, Line fit signe à Loutte de la suivre vers les geôles de façon à aller ranger leur colis.

_________________
Loutte1, incarné par Linexiv
[Dans la cour devant les geôles]

Loutte fit stopper son cheval sur lequel reposait le corps inanimé du captif.

Rapide coup d'oeil en direction des geôles, puis en direction du galeux, elle regarda ensuite Line.


Bon... Reste à l'enfermer...

Loutte avait le ton froid et glacial, seul façon pour elle de ne laisser percevoir ce qu'elle ressentait.

Elle avait l'épaule endolorie suite à la bagarre avec le déserteur et alors qu'il aurait fallu le faire descendre du cheval, elle sentait bien qu'elle ne pourrait supporter le poids de la carcasse inerte.

Ton gromellant, je ne pourrais pas Line.

Elle réfléchit.

Je te le laisse et tu me laisses aller chercher ce vieux rabougri de Roger? Il nous aidera. Il doit être au baraquement vu l'heure.
Linexiv
[Devant les geôles]

Un sursaut marqua les épaules de Line lorsque Loutte prit la parole, elle hocha lentement la tête, sans avoir véritablement entendu ce que cette dernière avait proposé. Bah, cela devait être une bonne idée… Enfin, surtout dans la continuité… La continuité de cet épisode navrant. Alors que le claquement de ses bottes s’estompait, Line attrapa machinalement les rênes du cheval pour les attacher, plus par habitude que par nécessité, le cheval de Loutte étant bien dressé. Juste pour avoir l’impression d’agir, d’une action pouvant ancrer sa présence, là, devant la porte menant aux geôles un peu plus dans la réalité.

Qu’est-ce qu’elle fichait ici ? Comment avait-elle pu en arriver à coller au trou l’un de ses soldats… Si encore cela avait été une affaire de boisson, depuis le temps qu’elle les menaçait des pires calamités à trafiquer de l’alcool en caserne… D’ailleurs, un verre ne serait sans doute pas de refus.

Elle allait faire pendre Robin.

Pour l’exemple. Le pire c’était qu’elle n’avait guère besoin de se concentrer pour imaginer sa réaction. Pas d’excuses à attendre, sans même oser aller jusqu’à la supplication, non, il accepterait son sort. Elle le soupçonnait même d’être capable d’en rire. Au moins devant les autres. Et c’était bien le problème, un martyr pour l’exemplarité. Elle avait connu mieux.

Mais quelques soient ses états d’âmes ou bien l’absence de logique dans la manœuvre, il n’en demeurait pas moins qu’elle était lieutenant et que lui était passé de soldat téméraire à déserteur. Le code militaire était clair. Quant à mettre les états de service du soldat dans la balance…

Tout en laissant ses méninges s’agiter, Line effectuait les cent pas en attendant le retour de Loutte, soupirant de temps à autres. Pierre serait ravi qu’elle pende celui qu’il voulait comme écuyer. Souvenirs de Provence. Elle observa son prisonnier. Il n’avait eu aucune chance en plus, l’armée ayant appliquée la tactique traditionnelle garantissant généralement une bonne efficacité, du moins dans une taverne peu fréquentée, soit le surnombre. Cela ne l’avait pas empêché de se défendre, c’était sans doute pour ça que Loutte avait appliqué à la lettre la consigne voulant qu’un type inconscient soit plus transportable. Il n’empêchait que la bosse était fameuse. Heureusement qu’un danois, ça avait la tête dure…

D’autres minutes s’écoulèrent, et l’inactivité commença à peser. Loutte ne revenait toujours pas, et qui dit attente, dit réflexion, remords et tout ce qui va avec. Pestant, Line se décida donc à gagner du temps, après tout, le déserteur commençait à remuer et elle préférait le savoir au trou avant le réveil de la caserne. L’altercation avec Paysan à la porte ne serait sans doute pas la seule.

Du coup, elle entreprit de détacher les liens retenant Robin sur le cheval de manière à ce qu’ils n’aient ensuite qu’à le descendre. Oubliant de ce fait un détail malencontreux. Si le corps avait été placé de manière à tenir tout seul sur le cheval, les balancements qui avaient suivi avaient entraîné un glissement imperceptible dont Line ne prit conscience que lorsque dernier lien tranché, Robin bascula.
Étouffant un juron, elle essaya tant bien que mal de le retenir, mais poids du danois contre force de Line, le combat était des plus inégaux. Dès lors, il faut en conclure que l’atterrissage fut plutôt rude.

Jolie gaffe. Le seul avantage étant que les ecchymoses gagnées en plus se confondraient aisément avec celles de l’arrestation. Et puis, ben au moins, là, il ne risquait pas de bouger. Bras croisés, arborant sur le visage un air calme dans le genre « tout est normal, situation voulue et maîtrisée », Line repris son attente debout devant la proie toujours ligotée.

_________________
Roger la bidasse, incarné par Linexiv
Roger arriva en trainant la patte à la suite de Loutte. Mais, le boiteux n'était pas nyctalope. Aussi trébucha-t-il sur le corps du prisonnier, et ainsi s'étala-t-il de tout son long sur le sol, mangeant la poussière.


"Putain de mouise".



Roger se releva péniblement. Il aurait voulu jeter un œil à Robin et à Line, mais cette foutue obscurité s'entêtait à rester là... Comme si on voulait lui compliquer la tâche. Il grogna:



"Bon, on en fait quoi du traître?"



Il referma ses poings pour faire craquer ses doigts. Il aimait pas du tout être réveillé en pleine nuit, surtout pour accomplir des besognes ingrates.
Linexiv
[Toujours devant les geôles]

Un juron tira Line de ses pensées, se retournant, elle assista en grimaçant à la chute de Roger. Ben voilà, plus besoin de chercher une excuse, ça serait de la faute du vétéran gâteux. Un frisson lui parcouru les épaules en entendant le qualificatif employé.
S’il fallait appeler un chat un chat, n’empêche que la réalité la glaçait. Toutefois, ses doutes ne devaient pas transparaître devant le soldat.


Punaise, faut ouvrir les yeux aussi ! Je sais bien que l’heure est plutôt matinale, mais quand même ! Z’êtes censé être toujours opérationnel ! Même bourré.


Elle haussa les épaules,
On le descend au trou, l’autre… déserteur… Loutte, tu prends une torche. J’ouvre.


Et ne vous ramassez pas dans les escaliers, manquerait plus que ça et il est déjà assez amoché, faudrait quand même qu’il reste quelque chose à pendre.


Dans un soupir, Line déverrouilla la première porte et fit signe à Loutte de les précéder.
_________________
Paysans01
Paysans fairs son tours de grade sous les orde du lieutant line mais.
Reste le plus prés possible de la gole du danois mais pas troc prés il veux pas que lieutant le vois elle pourai emaginé ses quil veux fairs, il atent que l'ourse danoirs nommé robin se révaile de sa bagarre et que le lieutant line et loutte et le doient dans leurs quartier qui est a l'opose des prission.
Pour intervenirs et sauvé robin des criffe de louute il ses toujours méfier du caratére de loutre ila rarement croisé le doient depuits 1 ans donc il sais sil cone sur lui.
Il sais bien que le lieutant line et une lieutant qui avais de la conpation pour tout ses soldat iconpris robin, mais elle ne savais piont le montrés, mais ci il araivais que robin soit mort au combas ou de mort naturel ou pandu elle sent remetrai jamais
Paysans sa vais que la libéres du soldat robin aller lui couté la vie et sa belle place de soladt et ses future promotion, mais ci on fairs jamias de sacrifise et bien on peurs dire que ses un homme sans coeurs

vois le doient tombé sur le lieutant line il va avoirs la colére du lieutant sur lui


sa va lieutant line pas tros de male belle chute soladt roger vous encors bourée je supose rigole n'erveusement mais il a dit pour dentent l'mofere pas pour vexe le doient

j'ai motifier quelle terme quant sa ses passés on etais un peux chamboule

_________________
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)