Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 19, 20, 21, 22, 23   >   >>

[rp] Au bord de l Eau

Lyane
Lyane serrait sa chérie contre lui et laissait ses yeux vagabonder sur le merveilleux paysage.
C’était si beau, si calme.
Il avait le cœur léger et se sentait si bien avec elle dans les bras. Plus rien ne pouvait lui arriver maintenant, sa vie serait douce et paisible auprès de cette belle rousse.

Les petits plouf des poisons le ramenèrent à la réalité.

Il n’avait pas pris sa cane à pêche…
Il regarda ses mains et vu le bouquet de fleur qu’il tenait encore.

Tient mon amour, j’ai ramassé ceci pour toi.

Il lui tendit les fleurs et l’embrassa tendrement.
Il ferma les yeux et repensa à tous le bonheur qu’elle lui apporte.
Comme cela était agréable, il serait bien resté ainsi toute la journée, cependant il fallait bien aller chercher du travail.
Manoncoeur
Manon était arrivé au petit matin à Blois, elle savait qu elle le serrerait enfn dans ses bras, savoi s il navait pas trop maigrit, s il allait bien. Il lui avait tellement manqué a son depart... et maintenant que Manu ne serait plus la non plus, elle avait un vide... sa fille au couvent ... il n y avait guere que Merlin pour occuper son temps quand elle n etait pas sur paris...

Elle venait au bord de l eau pour les souvenirs.
_________________


Gillas a jamais dans son coeur
Pepinduval
Pépin allait à la mine en cette belle journée. Il aimait longer le lac en allant au travail, histoire de faire le plein d'images de nature et de paix avant de rejoindre ce milieu froid. C'était pour le bien du Duché, et le salaire était bon, alors, cela en valait la peine. Il marchait au bord de l'eau, tranquillement, sifflotant un air qu'il avait entendu en limousin, admirant les arbres, se gorgeant de leurs parfums printaniers. Les fleurs avaient déjà embelli les branches, et leurs moignons donnaient place à de multiples feuilles naissantes. Ses pieds écrasaient les pétales tombés au sol, se collant parfois à ses sabots.

Au détour d'un arbre, il vit une forme à quelque distance. Il marchait plus vite que la personne en face de lui, aussi allait il la dépasser sans effort. Elle semblait se promener elle aussi, alors que lui forçait le pas pour arriver tôt, et peut être finir tôt. Plus il s'approchait, plus il trouvait que cette personne lui rappelait quelqu'un qu'il connaissait bien. Son coeur le lui disait, son ventre aussi qui semblait se serrer sous le coup d'une crainte naissante. Il ne savait pourquoi, mais il ne pouvait combattre ce sentiment de malaise qui le gagnait.

Il arriva à quelques pas de la personne qui le devançait. Ses cheveux, son allure, tout lui rappelait son passé. Il ne put se retenir et toussota de malaise. Peut être la Dame se retournerait elle ?
Manoncoeur
Perdu dans ses pensées.. loin elle etait loin d ici du lac de blois du duché... la ou elle n avait plus personnes maintenant... ses yeux fatigués fixerent l horizon et elle soupira; quand elle entendit un bruit de bouche, qui la fit sortir de ses songes, Manon se retourna, et son coeur s arreta de battre... ses mains tremblerent et sa bouche essaya de balbicier le nom du jeune homme qui etait face a elle.
Il etait là, si beau si jeune si... lui , elle reconnu un air familier a son pere et ça lui fit comme un poignard dans le coeur.

Pepin....... murmura t elle.
_________________


Gillas a jamais dans son coeur
Pepinduval
Elle se retourna, d'un geste souple que les ans n'avaient pas ralenti. Son coeur s'arrêta de battre. Il ne s'était pas préparé à la rencontrer si tôt, ses sentiments étaient encore bouleversés par sa fuite des années auparavant. Il avait délaissé le domicile familial pour fuir tout un tas de choses. Il avait fait la paix avec certains points de son passé, comme la mort de son père, mais d'autres souvenirs étaient encore vifs dans sa mémoire.

Les lèvres de la Dame bougèrent sensiblement, seul un murmure en sortit, immédiatement emporté par le bruit de l'eau qui clapotait sur la berge. Elle avait brisé le silence, au moins avait elle essayé, à lui maintenant de faire l'effort. Il prit son souffle et força un peu sur sa voix.

Bonjour, Mère. Les années ne vous ont pas changé.

Il restait là, à quelques pas d'elle, ne sachant que faire, tourmenté par ses sentiments contradictoires. Une part de lui lui soufflait de sauter dans les bras de sa mère, l'autre de rester à sa place, de lui montrer que le temps n'avait pas tout effacé.
Manoncoeur
Elle ferma les yeux, une mere retrouvant son enfant, son fils apres un long moment... il etait devenu un jeune homme, effaçant ce petit garçon qui jouait au soldat...

Elle ne pu resister longtemps, elle avança et le prit pour le serrer dans ses bras, sentir l odeur de ses cheveux, le sentir pour etre sur qu il etait bien là.

Elle laissa couler ses larmes, elle avait trop refoulé la souffrance de son absence...

Elle resta la un moment sans rien dire, seulement le sentir contre elle, comme une mere, veut sentir son enfant.
_________________


Gillas a jamais dans son coeur
Pepinduval
[i]Sa mère ferma les yeux et le prit dans ses bras, peut être pour effacer les presque six longues années qu'il avait passé loin d'elle. Six longues années qu'il avait pris la fuite, ne voulant regarder une situation familiale qui lui déplaisait au plus haut point. Il ne savait si les choses avaient changé, mais il le saurait peut être bientôt, si sa mère ne se murait pas dans un silence gênant et lourd. Il en allait parfois comme cela depuis la mort de son père, et jamais elle n'avait retrouvé son allant et sa gaité depuis. Enfin, pas jusqu'à il y a six ans...

Il laissa sa mère s'épancher sur son épaule. Il sentait son corps parfois trembler, parfois tressauter, certainement en raison de quelque sanglot difficilement étouffé. Il la serra doucement contre lui, ne lui en voulant pas pour ses années de fuite et d'exil. Il était de retour, et seul ce point importait pour le moment.
Manoncoeur
Elle s ecarta de lui , le regarda, lui sourit et ll'embrassa sur le front. Elle l'aimait si fort, meme apres sa fugue, meme apres s etre inquiete si longuement...

Pepin enfin je te retrouve.... tu m'as tellement manqué, je n y croyais plus
je t aime mon fils

Elle le contempla encore.
_________________


Gillas a jamais dans son coeur
Pepinduval
Il regarda sa mère, accepta ses preuves d'affection sans rien montrer, mais intérieurement, il était heureux que cela se passe comme cela. Rien ne pouvait lui laisser penser que les retrouvailles avec sa mère se passent au mieux. Enfin, pour le moment, il n'y avait pas eu d'éclat de voix, ce qui était déjà bien.

Vous m'avez aussi manqué, Mère, mais je m'en suis sorti, comme vous pouvez le voir. Comment va Héloïse ? A-t-elle beaucoup grandi en six ans ? A-t-elle trouvé bon mari et fondé famille ?

Sa soeur aussi lui avait manqué, mais comme il avait beaucoup voyagé, il n'avait pas trouvé de moyen pour faire parvenir de ses nouvelles et surtout en demander.
Manoncoeur
Manon prit la main de son fils, elle avait besoin de marcher, de respirer tellement l emotion était forte....

Viens marchons... Ta soeur a grandit c'est une jeune fille tres douce...elle a rejoind le couvent, elle s est marié a Aristote.
Tu lui a enormement manqué....

Elle avançait doucement le vent sur son visage lui faisait du bien.

Manu est parti............. et tu as ton petit frere Merlin.
Tu sais ici pour moi c est pas simple, la seule personne qui me soutenait ne sera plus. tout les amis de ton pere m ont oublié... J ai pensé souvent a partir, mais j avais toujours esperence de te voir revenir.

Evoquer tout cela etait douloureux pour manon, sa souffrence n appartenait qu a elle, enfin elle en avait toujours voulu ainsi.

Et je suis prevot de l hostellerie royale... je vais souvent a paris.

Elle serra la main de Pepin, comme pour qu il ne s evapore pas tel un mirage.
_________________


Gillas a jamais dans son coeur
Pepinduval
Pépin écouta sa mère, tranquillement. A l'évocation de Manulechti, sa main se contracta sans qu'il le veuille. C'était un des motifs de sa fuite, il n'avait jamais aimé cet homme qui avait voulu prendre la place de son père. Il était peut être bon, aimait certainement sa mère, mais il ne l'aimait pas. Personne ne pouvait prendre la place de son père, q'uil aiamit par dessus tout.

Ainsi Héloïse est partie au couvent. Ma foi, si c'est son choix, je suis sur qu'elle aidera son prochain et qu'elle ne sera pas déçue par un homme qui la bat ou la maltraite. Quant à Lui, je n'ai rien à dire...

Il laissa planer un silence lourd de sens. Sa mère savait certainement ce qu'il pensait. Au bout de quelques respirations fort longues, il brisa le silence.

Vous avez trouvé fonction à Paris. J'en suis heureux pour vous, Mère, vous méritez que vos aptitudes soient reconnues. Je suis sur que vous avez beaucoup donné au Duché comme l'avait fait Père, mais pour lui, peu de reconnaissance, surtout si ses amis ne vous ont pas longtemps épaulé. Il faut dire, Mère, que vous n'allez pas non plus souvent les voir, si vous n'avez pas changé, et que vous restez discrète. Loir qui souvent se cache, est oublié dans son trou... Vous ne connaissez pas ce dicton ? Il est du sud.

Il continuait à marcher aux cotés de sa mère, le regard souvent plongé dans l'onde qui charriait tout un tas de débris. Son regard passait de l'un à l'autre, s'octroyant une porte de sortie. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas discuté aussi longtemps avec quelqu'un, et son travail à la mine lui permettait aussi de se murer dans ses pensées et ses souvenirs. Il soupira légèrement, et se retourna vers sa mère.

Mère, il faut que j'aille travailler. La mine est ouverte en ce moment, et j'y vais presque chaque jour. De temps en temps, je travaille aussi au port si le besoin d'air se fait ressentir. Je dois vous laisser, le soleil avance dans le ciel et je n'aurais peut être plus de travail si j'arrive trop tard.

Il s'avança un peu et déposa un baiser sur sa joue.
Manoncoeur
Elle accepta la baiser sur la joue avec joie, et l accompagna ves la mine, sans dire mots, juste profiter de sa presence...
Lui en voudrait il lui aussi de ses choix? Et elle ne voulu pas lui dire qu il avait tor, qu elle n avait justement essayé d etre moins effacée et que c est ça qui a valu sa perte ici.

Elle lui sourit et l embrassa sur le front a son depart.
_________________


Gillas a jamais dans son coeur
Franceska
[ Le temps d'une pause...]

Les portes de la cité bloisienne avaient été franchies à l'aube de cette même journée, l'astre solaire ne diffusant alors qu'à peine quelques prémices d'une journée qui s'annonçait des plus ensoleillée et ou une fois encore l'ardente chaleur serait de mise.

S'engrouffrant dans la ville, après un bref passage par le bureau des douanes et par la mairie pour prendre connaissances des lois en vigueur dans le village, la rousse s'était vite dirigée vers son centre, laissant Khoryan, ami fidèle et compagnon de voyage, aux écuries le temps pour lui de terminer de désatteler les chevaux et de les soigner quelque peu.
Avançant au travers des rues, se faufilant entre quelques personnes entravant son chemin, trop occuper à discuter pour daigner se pousser, elle cherchait... Cherchait un endroit ou pouvoir s'installer, se désaltérer, rencontrer peut-être quelques personnes qu'elle connaissait. Qui sait... même si elle n'avait jamais mis un pied à Blois, elle connaissait l'orléannais pour avoir séjourner quelques temps à Orléans. Alors avec un peu de chance...

Au loin, une enseigne... "La taverne qui chante"... pourvu qu'elle n'est pas le droit à tout un concert, elle dont la tête se faisait quelque peu douloureuse après être resté sur le dos d'un cheval qui n'en faisait qu'à sa tête et sur lequel elle avait du s'acherner une bonne partie de la nuit pour le faire avancer.
Seuil de la porte franchit, elle avait pu se désaltérer et faire la rencontre d'une Dame et de sa charmante enfant : Alienor de la Neustrie en compagnie de la petite Mathilde.
Appréciable rencontre en cette matinée dans cette ville qu'elle ne connait pas. Quelques paroles échangées, un conseil donné... le lac. Soit ! C'était donc là qu'elle se déciderait à aller.

Porte refermée derrière elle et après avoir porté un coup d'oeil de droite et de gauche, la toute jeune femme qu'elle était s'était une fois de plus lancée dans les ruelles sans grande certitude malgré une explication fort précise qui lui avait été donné. Précise certes... mais encore fallait-il s'en rappeler... Main posé sur le front, secouant légèrement la tête agacée par ce manque d'attention dont elle avait encore pu faire preuve sans doute dû à son esprit vagabondant une fois de plus par delà d'autre contrées. Alors par où aller ? A droite... ou bien à gauche... ou alors à gauche d'abord, à droite ensuite et si tout compte fait il lui fallait aller tout droit...
Bref... ne disait-on pas que tout les chemins menaient à... où ça déjà ?
Haussement d'épaules suivi d'un profond soupir, elle poursuivit sa route. Elle finirait bien par le trouver ce lac, elle se rappelait au moins qu'on lui eu dit qu'elle ne pouvait pas le râter... mais la connaissant rien n'était gagné. Franceska et son sens de l'orientation... pfff !!!

Après quelques détours et être repassé au moins par deux fois au même endroit, après quelques jurons pronnoncés à voix basse pour ne pas avoir à choquer les passants alentours, elle avait fini par trouver. Il était vrai qu'elle aurait pu demander sa route, mais trop fière, elle n'en avait pas démordu et c'est seule qu'elle arriva près de la grande étendue qui se dessinait devant elle.
Resserrant sa besace contre elle, elle s'empressa de rejoindre le bord de l'eau, trouvant une place parmi les herbes hautes qui recouvraient la rive.
Regard porté sur l'astre qui dominait les cieux, main apposée juste au dessus de ses yeux pour venir apaiser l'éblouissement, elle baissa de nouveau la tête, posant ses prunelles sur l'eau paisible ou seul quelques poissons frétillaient à la surface, lui donnant légère mouvance.

D'un mouvement vif, elle ôta sa besace la posant près d'elle, retira ses chausses et doucement, prennant place assise aux bord de l'eau, plongea la pointe de ses pieds pour commencer, et fini par y glisser jusque ses mollets. La surface de l'eau, réchauffée par le soleil, tenait caché sous elle un petit courant d'eau fraîche octroyant agréable sensation raffraîchissante à la rousse. Son estomac appelant à sa faim depuis qu'elle avait quitté la taverne, elle attrapa la lanière de sa besace, la tira jusqu'à elle, l'ouvrit et en sortit quelques fruits, ainsi que quelques tranches d'un pain qu'elle avait entâmé durant la nuit.
En arrachant une bouchée, la rousse se pencha légèrement pour observer son image refléter à la surface de l'eau. Son visage, ses traits se voulant celui d'une jeune femme à présent, ce visage d'ange que seul les autres voyait se dessinait... mais la rousse, elle savait qu'il n'en était rien.. que sous ses airs angéliques se cachait bien d'autres choses et comme pour effacer ce qu'elle ne voulait pas voir elle remua un grand coup les pieds provoquant quelques vagues emportant avec elle l'image qu'elle avait d'elle et que visiblement elle seule parvenait à percevoir, pour cause, personne d'autre qu'elle même ne savait ce qu'en son coeur elle renfermait...
Charlibasket
Charlotte avait été pêcher très tôt se matin là. Comme à son habitude, elle lançait ses lignes en espérant qu'un poisson morde à l'hameçon...ce qui souvent durait assez enfin même très longtemps. Mais ce matin-ci, elle attrapa bien vite un poisson. Quelle magnifique journée, elle pourrai passer faire un petit coucou à Nanou et même aller boire une bonne chope. Cela la mettais vraiment de bonne humeur et elle se décida de quitter le lac.

Mais tout à coup, elle entendit un bruit. Ne sachant pas ce que c'était, elle se décida à aller voir. Et c'est là qu'elle aperçu une vieille amie. Un sourire s'afficha sur son visage. Tout doucement, sans faire de bruit, elle alla s'asseoir à coté de Franceska. Puis elle la regarda et vit sa surprise:

Coucou toi,
comment ca va? Qu'est ce que tu fais ici? Décidément, c'est une magnifique journée.
_________________
Eoliance
L'arrivée à Blois c'était bien passée et aprés être aller se rafraichir en taverne , Great proposa d'aller faire une promenade au bord de l'eau ...

Eole fut d'accord de pouvoir ainsi montrer quelques paysages à petit Nans de là où Papa et Maman c'était connu....
Bien sur , il était bien petit encore mais Eole écrivait pour lui toute leur histoire pour qu'il sache plus tard qui ils avaient été.

Blois était la ville de leur rencontre et en cela , elle était encore dans le coeur d'Eole ....
Le bord de l'eau en cette saison était d'une belle couleur, les herbes avaient poussé et étaient parsemées de petites fleurs.
Les arbres revêtus d'un feuillage vert tendre signe que le printemps avait été doux et les oiseaux gazouillaient dans les branches.....

Petit Nans, dans les bras de Great regardait tout autour de lui , les yeux grand ouvert ....
Ils étaient tranquille et Eole était émue de cette promenade à trois ....elle les regardait et souriait des commentaires de Son Great que Petit Nans semblait écouter avec interêt^^ .....
Ils étaient partis de Blois et leur Vie bourguignone les ravissaient.....

L'herbe était acceuillante et ils se posérent un peu ....Eole sortit de son sac de toile une petite boite qui contenait des petits sablés qu'elle avait fait pour le voyage et apprecièrent l'instant pour ce qu'il était en ce lieu ......
Son Great installant petit Nans sur son ventre calé contre ses jambes....le chatouillant et les rires donnaient une beauté magique......

_________________
L' Évolution c'est la Révolution sans en avoir l' R !!
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 19, 20, 21, 22, 23   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)