--Framboise
[Mimizan, sur le départ]
Framboise s'installa dans le carosse à côté d'un petit homme qui semblait plus être enclin à sommeiller qu'autre chose. Il était bien tôt pour un jeune homme comme lui. Ne voulant pas le réveiller plus elle lui sourit et lui laissa ses jambes comme coussin.Rêves d'enfant sage, polisson ou aventureux le petit Titoan se rendormit aussitôt que la porte du carosse se fut refermée.
N'avait-elle pas finit se vraiment s'installer qu'une demoiselle lui adressa la parole. Elle ne l'avait pas encore saluer, il était vrai. Framboise attendait simplement de s'être mise à l'aise et de n'écraser personne au passage.
Bonjour Demoiselle Maelya. J'ai salué en premier votre père étant donnné qu'il me fait l'honneur de pouvoir voyager dans votre carosse. Je me suis installée auprès de votre frère et maintenant je peux vous saluer. Ne voyez là aucun manque de politesse ou de respect Demoiselle, simplement un contre temps. Je vous remercie autant vous que votre père de bien vouloir accepter que je partage votre carosse le temps du voyage à Paris, je voulais simplement une protection vous savez. Je n'étais pas au courant que je partais avec vous. Otez cette mine mincée Demoiselle, elle ne vous va pas du tout et surtout elle va gacher votre voyage.
Framboise lui sourit espérant que la jeune fille se détendrait pour la suite du voyage. Elle ne désirait pas du tout s'imposer ni même mettre mal à l'aise tout le carosse par sa simple présence.
Elle caressa doucement les cheveux de Titoan, attendant le départ des chevaux.
Framboise s'installa dans le carosse à côté d'un petit homme qui semblait plus être enclin à sommeiller qu'autre chose. Il était bien tôt pour un jeune homme comme lui. Ne voulant pas le réveiller plus elle lui sourit et lui laissa ses jambes comme coussin.Rêves d'enfant sage, polisson ou aventureux le petit Titoan se rendormit aussitôt que la porte du carosse se fut refermée.
N'avait-elle pas finit se vraiment s'installer qu'une demoiselle lui adressa la parole. Elle ne l'avait pas encore saluer, il était vrai. Framboise attendait simplement de s'être mise à l'aise et de n'écraser personne au passage.
Bonjour Demoiselle Maelya. J'ai salué en premier votre père étant donnné qu'il me fait l'honneur de pouvoir voyager dans votre carosse. Je me suis installée auprès de votre frère et maintenant je peux vous saluer. Ne voyez là aucun manque de politesse ou de respect Demoiselle, simplement un contre temps. Je vous remercie autant vous que votre père de bien vouloir accepter que je partage votre carosse le temps du voyage à Paris, je voulais simplement une protection vous savez. Je n'étais pas au courant que je partais avec vous. Otez cette mine mincée Demoiselle, elle ne vous va pas du tout et surtout elle va gacher votre voyage.
Framboise lui sourit espérant que la jeune fille se détendrait pour la suite du voyage. Elle ne désirait pas du tout s'imposer ni même mettre mal à l'aise tout le carosse par sa simple présence.
Elle caressa doucement les cheveux de Titoan, attendant le départ des chevaux.