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[RP ouvert] Stand GaYté

Steiphens
Steiphens écoutat la jolie mais tumultueuse Prunille. Il est vrais qu'elle à de beaux yeux bleu mais un sale caractère de Cianfarano! Le Brignolais sourit quand il entendit : "Que celui qui apprécie tout donner dans son travail tout en étant pris pour moins qu'une défection me jette la première pierre." Le jeune homme attandit que la Damoiselle finisse puis pris la parole.

Excusez moi Damoiselle, si je puis me permettre une phase de votre discourt m'as frappée si je puis dire. Vous dites que celui qui apprécie tout donner dans son travail tout en étant pris pour moins qu'une défection vous jette la première pierre... Je pense que sa illustre bien mon cas. C'est pourquoi je devrais vous jetter une pierre, même un gros bloc bien massif mais en temps que gentilhomme je préfère vous jetter autre chose dessus.

Steiphens sorti la première boule de neige de sa besace et la lancat en plein centre masse de Prunille.

Sa c'est pour vous corriger.

Le second lancer était pour Yueel, en pleine tronche.

Celle-là c'est pour le principe.

Pris la dernière et la balancat hativement sur Milady.

Et celle-ci c'est parce que jamais 2 sans 3.

L'amuseur publique pris ses jambes à sont coups tout en riant fortement. Il quitta donc le stand pour rentrer chez lui...
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Denissov
C'est avec attention que Denissov pris connaissance des propos de la porte-parole de la liste Gaité. Il allait intervenir quand un autre "spectateur" le fit, le prenant de vitesse. Celui-ci, après avoir joué les victimes, balança de façon hasardeuse quelques boules de neige avant de fuir aussi vite que possible.

Si je puis me permettre, que votre parti ne présente pas sa liste était une chose des plus prévisible pour peu l'on analysa la situation dans laquelle elle se trouvait; 2 jours avant le début des votes et une liste concurrente montée qui remplissait rapidement toutes les conditions, votre liste n'était pas complète et il manquant plus de 850 écus de financement à votre campagne. La probabilité était des plus fortes, pas beaucoup de suspens sur ce point, dira t-on.

Ce que je ne pouvais, ou quiconque d'autre je pense, deviner en revanche, c'est le motif de ce désistement. Je pouvais imaginer des hypothèses, mais cette fois n'avoir aucune certitude. Votre discours est donc éclairant sur ce point, et je crois que les provençaux ne sauraient vous donner tort pour peu qu'ils prennent du recul par rapport à la chose.
Il n'est rien de plus légitime que vous refusiez de participer à un gouvernement où vous auriez été minoritaire du fait de l'hypocrite apolitisme prétendu et fortement populiste de la liste concurrente, gouvernement qui à l'œuvre depuis bien des temps déjà n'a brillé que par son incompétence, son incurie, sa course à la couronne et son désintérêt pour le peuple.
Votre combat au conseil aurait été celui d'hommes et de femmes contre des moulins à vent, vains. Ils prétendent être les meilleurs ? Laissons les faire, voyons comment ils se débrouilleront eux qui ont toujours eu grande peine à pourvoir les postes clés d'un conseil, à l'instar de celui de Commissaire au commerce avec des membres issus de leurs rangs.
Prunille
Évidemment, l'idiot du village n'était pas en reste, et il avait fallu qu'il se fasse remarquer.
Une boule de neige en pleine poire pour Prunille, une balancée dans le vide puisque Yueel n'était pas là, et la troisième pour Mila.
Le temps qu'elle ôte la neige de ses yeux rougis par l'impact, et de ses cheveux, Denissov prenait la parole pour énoncer exactement leurs sentiments à tous.

Mais Prunille n'écoutait pas.
Une chose, soudain, l'avait frappée.
Elle se retourne, et constate qu'effectivement, Mila tenait Yueel-Arystote dans ses bras.
Là, le sang de la Cianfarano ne fit qu'un tour.
Comme tout stand électoral qui se respecte, ils avaient prévu boissons et nourriture afin de convaincre les indécis... Ou du moins, ils voulaient bien le faire croire.
Aussi notre chère Prunille se saisit-elle d'une tarte à la myrtille.
Traversant la foule qui s'était fendue en deux, à la poursuite de Steiphens, qui se marrait encore comme une baleine, et sans plus de cérémonie, elle lui explosa la tarte sur le sommet du crâne, et eut la délectation de voir les myrtilles et la confiture lui dégouliner dans le cou.


Je n'aime pas les masochistes, c'est vous qui avez pourri mon mandat de procureur, et vous avez lancé de la neige sur un BÉBÉ !

Demi-tour, et elle retourne sur son estrade, prête à répondre à d'éventuelles questions.

Edith : Syntaxe
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Von_gobseck
Le blaireau avait fait fort ... en plein sur le bébé ... Prunille partait à la poursuite du putois, pauvre putois ...

Mais quelqu'un avait parlé, et il fallait lui répondre, le vieux avança donc d'un pas.


Pour préciser, nous aurions pu avoir les fonds requis et les deux personnes manquante bien avant. Mais tout les membres des gaYté se sont fortement impliqué dans la defense d'Aix, et nous avons laissé en suspens la campagne durant ce temps. Surtout que si nous avions mis des fonds, ils auraient payé la retraite des brigands.

Mais sinon, vous avez absolument compris le raisonnement.
Steiphens
Fut rattrapper par la blondasse qui lui éclatat une tarte sur la tête. Tiend, exelente idée sa, balancer une tarte sur la tronche d'un amuseur publique, sa ferra sûrement fureur encore durant des siècles. Sourit bêtement à Prunille qui l'engeulait et lui criat encore après.

C'est vous qui étiez pourrie à ce poste, tout comme moi à mon ancien poste. Hey, tegiverser un peu, sa vous aidera. Et désoler pour le môme, je visait quelq'un d'autre. Sa arrive, c'est la vie.

Bon allez houste, il devait rentrer chez lui finir de préparer ses affaires et aiguisez ses lames pour sont duel...
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Milady
Et Mila allait s'avancer pour prendre la parole à son tour mais son attention fut déviée quand elle vit une boule de neige arriver sur elle. Sur elle, elle aurait préféré mais Yueel-Arystote prit la boule de neige à sa place.

Il était déjà malade... Heureusement que Prunille lui avait confectionné écharpe et bonnet. Elle toisa l'ex général vétéran Steiphens et sourit en espérant que sa possible veuve, sans doute morte de honte de l'avoir aimé, n'a pas eu de rejeton d'un tel homme.


Messire Steiphens, attendez, je vous prie, que je n'aie plus mon fils dans les bras la prochaine fois. Il n'a pas atteint l'âge de pensée et ne pourrait être blâmé de mes dires. D'autant que si les rumeurs sur sa paternité sont avérées, cinquante pour cent de son sang est celui d'un des bâtards consanguins que vous affectionnez tant.


Ses paroles n'étaient guère de grande politesse, mais que peut-on ? Quand une mère protège son enfant il y a toujours une certaine animosité.

Elle prit donc ensuite la parole s'adressant à tous.

En dehors de ce pathétique intermède offert par monsieur l'ex soldat, j'aimerai moi aussi expliquer ce choix. L'argent ne manquait pas pour la liste gaYté, ni même les candidats. Prunille a expliqué ce pourquoi nous n'allons pas au conseil, je ne reviendrai donc pas sur les causes.

En revanche je tiens à préciser que nous n'abandonnons en rien les provençaux. Le conseil n'est pas le peuple en lui même. Certains d'entre nous sont maires, d'autres sont chefs de port, je suis Chancelière Marquisale, Ester Von Gobseck est à la CSMAO... pour les exemples.

Nous avons longuement pesé le pour et le contre de cet abandon de la campagne et il nous est apparut évident qu'il fallait se rapprocher des problèmes concrets.

Le conseil ne fait rien. Les dracénois en ce moment le savent très bien et doivent en être très las. Aussi, notre priorité est de se soucier des villes. D'aller en taverne, en halle et d'écouter tous les provençaux. Nous comptons, la prochaine fois, savoir exactement quels sont les problèmes qui vous touchent et non pas uniquement les soucis d'élus en mal de paraitre.

Bien sûr les risques économiques et juridiques restent grands pour les deux mois à venir mais nous en prendrons notre parti et nous espérons que pour une fois, nous prions même pour qu'une fois seulement le cc à venir ne fasse pas n'importe quoi. Ceci dit, prenons les problèmes à la base et cessons de les regarder d'en haut.

Je le répète, gaYté n'est pas juste un parti, c'est un lieu de débat. Le cc a tué l'AP, il faut cependant que nous ayons un lieu où débattre. Venir à gaYté ce n'est pas juste être Yueeliste mais aussi nous faire avancer en élargissant nos connaissance, en prenant en compte vos avis.

Durant ces deux mois donc, je serai présente pour Arles, pour ses habitants et pour mon fils.

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Denissov
Écoute avec attention les réponses qui lui sont faites par les Gaytistes.

Ne vous méprenez pas, je ne dis point que vous n'étiez pas en mesure de combler les places vides sur votre liste ni de trouver 850 écus pour la financer et ainsi être en mesure d'entrer sur le ring et vous soumettre à la compétition électorale avant la fin des votes. J'avance seulement le fait qu'à un moment ou ceux qui s'étaient appropriés illégitimement le château, je parle ici des pilleurs irlandais, avaient fuis et laissés leurs places au conseil à des provençaux, votre liste n'était pas en état d'être soumise au vote. Cela laissant, selon moi, présager dans la mesure où nous nous trouvions à 1 ou 2 jours du début des votes que vous ne mèneriez pas le combat et refuseriez de participer à un conseil qui tiendrait du canulars.

Autrement je gouterais bien un bout de tarte,
conclua t-il non sans afficher un léger sourire.
Castelorazur
Mateù avait assisté à toute la scène.

Mais, devant tant de débilité, il était resté bouche bée. Du début à la fin, de la première boule à la dernière myrtille. Prostré, il n’avait pu réagir au lancer de neige. Du coup, il ne pouvait que se demander comment pouvait-on arriver à de telles extrémités dans la connerie ? Le manque d’éducation ? Fallait ouvrir des écoles en urgence. Abus d’alcool ? Vive la prohibition ! Finition à la pisse ? Là, on ne pouvait pas faire grand-chose…

L’enchainement se déroule si rapidement, que le Baron ne reprit ses esprits qu’une fois Prunille à nouveau sur l’estrade.

D’un geste de main peu assuré, il posa une paire de verres sur le bout de son nez et lâcha un muet « tout va bien ? » que la Blonde pourrait lire sur ses lèvres.

La tournure de cette campagne électorale ne lui plaisait pas plus que ça.

La Cianfarano était forte. Du moins, c’est ce qu’elle montrait. Sa prestance était sans faille, malgré son jeune âge. Lorsqu’elle remonta sur l’échafaud, elle interrogea la salle du regard. Ca devait donner quelque chose du genre : « Encore des questions ? ».

Alors, l’Arlésien s’avança, d’un pas lent mais sûr. Il pénétra la foule dispersée et catastrophée par l’événement. D’une voix forte, qui imposa un certain bref silence, il lança :


Pardon. Moi, j’ai une question.

Puisque la liste n’était plus, les réponses n’avaient plus tellement lieu d’être.

Un court silence, donc, s’installa.


Ce que je voulais savoir, c’est…

Nouvelle saccade dans l’élan oratoire du Baron ! Petit signe de nervosité ? Un autre symptôme, bien plus marquant, accompagna la dernière partie de son intervention.

En effet, c’est avec une main dans la nuque qu’il conclut :


Voudriez-vous visiter Florence ? Là, maintenant, tout de suite.
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- Mateù 'Castel' de Sabran -
Prunille
Devant de la scène...
Question mimée par Mateù, "tout va bien ?" à laquelle elle répond par un léger sourire, même si elle ne peut s'empêcher de se retourner pour adresser un regard inquiet à Mila, quant à l'état de son filleul Yueel-Arystote.
Si le môme chopait une pneumonie et en crevait, elle ferait bouffer à Steiphens ses yeux par les trous de nez.

Et tandis qu'elle considérait l'assemblée sans vraiment la regarder, toute à ces tendres pensées, une voix bien connue fendit l'air...
Une question ?
Il veut... Savoir quelque chose.
La main sur la nuque...
C'était donc quelque chose d'important.


Voudriez-vous visiter Florence ? Là, maintenant, tout de suite.

Qui... Vous ?
Sottement, elle se retourne...
Considère ses colistiers.

Vous ... Elle ?
Ou vous tous ?

Rha, de toute manière, elle était comprise dans le lot !
Florence...
Sans hésiter, elle dévale les quelques marches qui permettent d'accéder à l'estrade et vient se poster, rayonnante, aux côtés du Baroùn.


Partante !

Oubliée la colère...
La vie est trop courte pour se prendre le chou avec des crétins.

Prendre sa main ? Ne pas la prendre ?
Oh, et puis si.

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