[RP] Bénédiction des armées et des volontaires civils

Nolweenmonnier

Nol arriva quelque minutes en retard are elle venait de se remettre de son accouchement,elle arriva calmement avec sa fille dans son couffin et elle alla s'assoir au près de Gan et le poutouilla puis elle écouta la cérémonie.

Ingeburge

Etre Archevêque métropolitain présentait des inconvénients, surtout quand on se trouvait à la tête de celle de Lyon qui, pour sa grandeur mais aussi sa rigueur, étalait son autorité épiscopale sur pas moins de six comtés et duchés : Bourbonnais-Auvergne, Bourgogne, Champagne, Franche-Comté, Lyonnais-Dauphiné et Savoie. Cela en faisait du monde, des lieux et des responsabilités mais être Archevêque métropolitain présentait aussi, quand on tâchait un tant peu soi peu de s'investir, des avantages certains : on avait sous ses ordres des évêques suffragants et nombre de clercs paroissiaux et quand par bonheur et surtout travail, les diocèses et paroisses se trouvaient pourvus, il arrivait que l'on puisse se reposer. C'est exactement ce qui se produisit en cette froide journée de décembre où une bénédiction devait avoir lieu afin que les civils et militaires impliqués dans les conflits en cours se trouvassent parés d'une protection divine. C'était à nouveau l'équilibre de toute la région qui était en cause et ironie de la situation, cette région épousait quasi totalement les contours de la Province de Lyon. C'est pourquoi Ingeburge, même de repos, ne pouvait décemment manquer l'office : ses fidèles étaient concernés. Et puis, il s'agissait aussi de la Bourgogne à laquelle elle vouerait une reconnaissance éternelle, durant sa vie terrestre et au-delà donc.

Parfaitement emmitouflée dans une mante pelissée couleur de nuit sans lune, le Cardinal-Archevêque, quelque frémissant, fit son entrée dans le lieu de célébration. La messe avait visiblement commencé et, tâchant de ne pas déranger les présents durant leur récitation du Credo, Ingeburge finit par prendre place sur l'un des bancs, les yeux vers le sol, ses lèvres bougeant légèrement alors quelle-même reprenait la prière sacrée dans un murmure. Ayant achevé, elle reconnut nombre de visages. Elle saluerait les connaissances plus ou moins lointaines une fois la cérémonie achevée.
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Phylogène, duchesse d'Auxerre, Grand Maître des Cérémonies de France
« Aultre n'aurai. »
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Joueuse quelque peu accaparée par le RP du sacre, je n'oublie pas les RP/demandes en cours, promis!

Angelyque

La Duchesse s'approcha du bel et blond evêque et prit la parole

Nous envoyons nos armées pour la défense de la Savoie, duché proche de nous, mais également des grandes valeurs de l'Eglise Aristotélicienne ; nous esperons que Dieu soutienne nos soldats, nos bourguignons, nos nobles dans ce combat contre les corrompus. C'est notre foi et notre duché que nous défendons également contre ces hérétiques.

Toute la Bourgogne est là, dans les gestes dignes et héroiques de ces soldats qui sont notre force et notre puissance.

Pour La Bourgogne !

Montjoye Sainct André !
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Baronsengir

Le blond remercia la duchesse et l'invita à retourner s'asseoir. Il écarta les mains et déclama d'une voix forte :

Saints Archanges, qui nous soutenez dans tous nos justes combats, qui nous protégez de nous même comme vous avez protégé les justes à Oanylone, qui portez nos âmes devant notre Juge et Créateur, bénissez ces hommes et femmes de Bourgogne qui partent combattre afin de défendre la stabilité temporelle et de lutter contre les hérétiques!

Puisse la sang versé, s'il devait y en avoir, ne soit que celui du mécréant qui s'est détourné du Très Haut, et non d'un légitime défenseur de la foy. Puissiez-vous tous revoir vos foyers, vous qui partez loin de chez vous.

Que par les prières et les mérites des bienheureux de la communauté aristotélicienne vous soient apportés la paix, la prospérité, la force et le salut par la foy et l’amour de notre Créateur.

Et que cette bénédiction permette à la quintessence divine de descendre sur Dijon, la Bourgogne et tous ses habitants, et y demeure à jamais.

Il prit alors le seau d'eau bénite qu'il avait préalablement préparé et, armé de son goupillon, descendit les marches de l'autel et entreprit d'asperger généreusement les paroissiens présents de chaque costé tandis qu'il passait. Il se mit à chanter pendant sa marche, un chant de circonstance, bien qu'il ne fut très partisan des teutoniques...

Citation:

Rendons grâce au Très-Haut!

Nous sommes Tes humbles serviteurs spirituels.
Nous sommes Ton bras armé et intransigeant.
Ô Toi notre Juge et notre Créateur,
En Toi nous croyons et à Toi nous nous soumettons.

Nous nous en remettons à Ta sainte volonté,
Pour la Paix et la Justice, la Vérité et le Bien,
Pour la Foi et l'Espérance, la Vertu et la Tempérance,
Par le verbe ou par le fer, accorde-nous la victoire!

Déploie Ton bras divin au-dessus de nous,
Rends-nous forts et valeureux d'esprit et de corps,
Permets-nous d'éclairer les ténèbres du Sans-nom,
Sois le témoin de notre loyauté à Ton service.

Pour notre sacrifice accepte-nous en Ton sein,
Ne détournes pas le regard de nos âmes fidèles,
Et le jour venu délivre-nous de nos enveloppes sur Terre
Pour que de là-haut nous T'aidions dans Ta lourde tâche
Ainsi que nous le faisons de notre vivant.

Parvenu à l'entrée de l'église, et après avoir fini de chanter et d'arroser les bourguignons, il se retourna et s'écria :

Allons, allons, chantez, je veux vous entendre!

Il remonta la nef dans l'autre sens, écoutant les vocalises des fidèles et redonnant une giclée d'eau bénite à ceux déjà touchés lors de son premier passage. Cela ne faisait jamais de mal, au contraire.
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Angelyque

La duchesse fut aspergée d'eau bénite, elle réprima un frisson, dès fois que l'evêque la croit encore possédée et le suivit allégrement en chantonnant

Rendons grâce au Très-Haut!

Nous sommes Tes humbles serviteurs spirituels.
Nous sommes Ton bras armé et intransigeant.
Ô Toi notre Juge et notre Créateur,
En Toi nous croyons et à Toi nous nous soumettons.

Nous nous en remettons à Ta sainte volonté,
Pour la Paix et la Justice, la Vérité et le Bien,
Pour la Foi et l'Espérance, la Vertu et la Tempérance,
Par le verbe ou par le fer, accorde-nous la victoire!

Déploie Ton bras divin au-dessus de nous,
Rends-nous forts et valeureux d'esprit et de corps,
Permets-nous d'éclairer les ténèbres du Sans-nom,
Sois le témoin de notre loyauté à Ton service.

Pour notre sacrifice accepte-nous en Ton sein,
Ne détournes pas le regard de nos âmes fidèles,
Et le jour venu délivre-nous de nos enveloppes sur Terre
Pour que de là-haut nous T'aidions dans Ta lourde tâche
Ainsi que nous le faisons de notre vivant.

Puis elle reçut à nouveau une belle giclée..normal..elle ne se méfiait pas et comme d'hébitude était la première à suivre.

Elle passa la main sur son visage afin d'en écarter les mèches trempées, décidemment, qu'est ce qu'elle ne ferait pas pour ses soldats et continua de prier, son corps secoué de tremblements, mine de rien il faisait froid sur le parvis et l'eau bénite était glaciale..
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Baronsengir

De retour à l'autel, BaronSengir déposa goupillon et seau vidé sur la table, avant de poser regard circulaire et satisfait sur les paroissiens ruisselants.

Ah quelles belles voix que vous avez! Nul doute que le Très Haut vous a entendu et qu'Il accordera bénédiction à votre action, tout comme j'ai apporté la mienne. Car bien qu'il s'agisse d'affrontements entre enfants du Très haut, il y a ceux qui défendent l'ordre établi et la foy aristotélicienne... et il y a ces mécréants qui n'attendent que de peupler plus encore les Enfers lunaires.

Alors que votre bras serve la Justice et la Foy mes enfants! Que les Saints veillent sur vous et vous ramènent à votre Mère Bourgogne!

Les bras levés, l'évesque finit sa tirade. Il conclut alors, d'un simple :

Allez.
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Bénédiction des armées et des volontaires civils

Jusoor

Le bois sous ses mains jointes avait tiédi. A peine glissaient-elles de coté que la Moineaute percevait la singulière sensation de froid, celle qui fait dire qu'on n'est pas à la maison, et s'empressait de leur rendre leur position initiale, avec soulagement.

L'automne avait été rigoureux, l'hiver n'en serait pas moins. Et l'air sec d'ici le lui avait bien rappelé quand elle était entrée et avait senti sa peau se soulever dans un frémissement.

Maintenant, la sensation de froid s'était atténuée, sauf quand ses mains glissaient sur le prie-Dieu. Mais en vérité, et bien qu'elle ne le perçut pas ainsi, la Capitaine était plus engourdie que réellement réchauffée. L'illusion de bien-être venait sans doute des lumières irisées qui coulaient des vitraux ou bien de sa concentration nécessaire au repli sur soi qui lui faisait oublier le reste.

Elle priait, Ju. Du moins elle s'exprimait mentalement, elle cherchait réponse à ses questions, le pourquoi du comment, l'enchevêtrement des évènements... Elle formulait des voeux aussi et énumérait ses espoirs. Elle avait dorénavant à l'esprit des espérances que jamais elle n'aurait eues auparavant.

Aujourd'hui, propulsée Capitaine d'un Ost qu'elle ne connaissait pas, elle qui n'avait jamais su manipuler avec prouesse que de menues choses, elle devait faire sa place, elle devait mener ses hommes, faire la fierté de la Bourgogne avec eux, répondre aux exigences qui lui incombaient. Elle devait aussi affronter une guerre, assurer le retour d'un maximum de ses soldats et le sien peut-être. Douce folie finalement pensa-t'elle. La peur du combat ne l'étreignait pas, la redoutable et néanmoins salutaire inconscience était entrée en jeu et la petite se sentait sinon invincible, tout du moins indifférente. Son impression changera sans doute bientôt.

Relevant son front qui avait rejoint les mains en prière, Ju fut frappée par l'atmopsphère colorée qui baignait l'air depuis les vitraux : plus douce, plus feutrée qu'à son arrivée... Le soleil descendait, il allait être temps. La Moineaute se redressa, une douleur ankylosée au genou. Après une seconde d'observation, le temps de revenir au moment présent et quitter ce monde d'espoirs et de questions, elle redescendit la nef et entrebailla la lourde porte de l'Eglise, fronçant les sourcils sous la lumière subite.

Le parvis se remplissait, le martèlement des bottes sur les pavés se faisait entendre, les soldats de l'Ost, ces hommes et femmes en qui elle avait toute confiance arrivaient. Parmi eux, des civils qui avaient accepté de participer à la défense de la capitale. Ne manquait plus que l'homme de Foy.
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Legrandalsacien

Alex s'échappa quelques instants de la chambre ou il avait fait halte. Enfilant son mantel, il traversa les ruelles encombrées de la Capitale laissant son visage enfouis dans son col. Il se fraya un passage dans le labyrinthe des silhouettes qui toutes tentaient de trouver abri sous les cloîtres et les avancées, apercevant au loin le Capitaine de l'ost , il pressa le pas jusqu'au parvis.
Jetant un rapide coup d'oeil aux alentours , il monta les quelques marches qui le séparait de la porte

Bonjour Capitaine, puis je me joindre à vous ?
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Pierre_de_siorac

il venut écouter la capitaine Jusoor,il avait envoyer une lettre a pas très longtemps a elle sous le conseil de la duchesse car il allait partir au front soigner les blessées,oui ces hommes qui était ici réunies qui demain serait mort ou blessée telle est leur destinées et j'essaierais de les sauvaient de cette destiner cruel,il était prêt a l'écouter,Un Soldat demanda au capitaine:

Citation:

Bonjour capitaine,puis je me joindre à vous?

C'était un grand gaillard,brun,musclés qui avait déjà du ce battre peut être un de ces vétérant
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Legrandalsacien

Arrivée en haut du parvis il se retourna , interpellé par une présence dans son dos

Bonjour Sire, je me présente , Alex de Koenigsbourg, Grand Commandeur de l'Ordre du St Sépulcre, ravi de vous rencontrer
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Pierre_de_siorac

l'homme lui adressa la parole,alors il lui répondit avec un ton courtois:

de même,je me présente Pierre de Siorac,Colonel du SDIS.
Vous comtez partir sur le front?
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Legrandalsacien

Relevant son col et salut son interlocuteur

Enchanté, en effet nous sommes venus apporter notre soutien à sa Grasce la duchesse de Bourgogne et c'est un honneur comme toujours
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Pierre_de_siorac

il l'écouta et dit:

moi aussi mais moi je vais soigner les blessées et sa serait un honneur de vous soignez si il le faut,j'espère qu'il ne vous arrivera rien et bonne chance.
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Armoria

Ni coche armorié, ni féminine tenue d'apparat, ce jour : c'était la princesse guerrière qui se rendait à la bénédiction. Ses bottes claquèrent sur le sol gelé du parvis quand elle sauta à bas de la monture qui avait sa préférence pour les combats. Rajustant la capuche fourrée de sa vaste cape, elle attendit la suite des "opérations", en faisant un léger signe de tête à un homme déjà présent, qu'elle se souvenait avoir côtoyé lors de batailles précédentes. Lesquelles ? Elle ne savait plus.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique

Angelyque

La Duchesse de Bourgogne était également présente sur le parvis de l'église pour la bénédiction des armées de Bourgogne. Dont une qu'elle envoyait au front, elle avait déjà entamé ses prières depuis plusieurs jours, au moment où une lance de valeureux bourguignons était partie au plus vite afin de porter secours à la Savoie envahie.

Elle sourit aux personnes déjà présentes, elle savait que la Capitaine Jusoor de Blanc Combaz était capable de relever le défi, du jour au lendemain elle avait cédé sa place de Bailli de Bourgogne pour occuper celle du Capitaine des forces armées de Bourgogne. Et depuis avait démontré une force et un courage dont peu pouvaient être capables. Assurément elle avait l'étoffe d'une Grande. Une bourguignonne, tout simplement.

La Duchesse avait rapidement levé le Ban en Bourgogne, Didier de Sars avait mis son armée à disposition, le Baron de Montréal avait comme toujours répondu présent, le consultant militaire Ragondindam avait lui aussi renforcé son armée. Tout était fin prêt. Le prestige de la Bourgogne était au plus haut, les armées bourguignonnes pouvaient porter haut leurs couleurs.

Néanmoins, elle avait un noeud au ventre, envoyer des soldats bourguignons, des civils, des nobles dont un lieu où les combats faisaient rage l'inquiétaient, elle aurait aimé participer plus et lever l'épée elle aussi, mais elle devait garder la Bourgogne. Elle donnerait sa vie pour toutes ces personnes qui partaient combattre.

Angelyque priait sans relâche depuis des jours, elle priait pour que le sang des bourguignons ne coule pas, elle priait pour que leurs alliés parviennent à récupérer leur terre, elle priait pour que la foi aristotélicienne prenne le dessus sur le sans nom.

Elle se rapprocha des personnes déjà présentes, toutes ces personnes courageuses qui étaient la fierté de la Bourgogne, n'hésitant pas à suer sang et eau pour la défendre. La princesse Armoria était de celles là, elle n'avait eu que peu de jours de répit ces derniers mois, la Duchesse en était consciente. Certains mots ne parvenaient pas à sortir de ses lèvres, mais elle savait que si la Bourgogne en était là où elle en était à l'heure actuelle, c'était grâce à toutes ces personnes sur qui elle savait pouvoir compter, toutes ces personnes qui donnaient sans compter pour la Bourgogne. Pour tous ces bourguignons, elle se devait de rester forte, de rester debout, et de mener chaque combat la tête haute.

Elle les regarda tous intensément, un par un, dans les yeux, son regard exprimait tout ce qu'elle ressentait, puis se redressa et lacha un simple

Bonjour
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Jusoor

Un "bonjour Capitaine" résonna à ses oreilles, alors qu'elle essayait de reconnaître des visages dans ceux qui étaient présents.

Oh Bonjour LGA. Vous êtes le bien...

Mais pas le temps de finir sa phrase ou même de tendre sa main blanche vers le Grand Commandeur, que celui-ci fut interpellé. Ju le regarda se détourner et entamer la conversation avec un homme qu'elle ne savait reconnaître.
Les sabots sur les pavés détournèrent son attention de l'homme inconnu et tournant la tête, Ju aperçut les cavaliers arriver, libérant leur monture. En observant l'un d'eux, Ju crut reconnaître une blondeur échappée de la capuche. Elle sourit. La prestance ne laissait guère de doute quant à l'identité de la cavalière.

Sa grâce la Duchesse s'approcha à son tour et les salua d'un bonjour simple, qui laissait s'exprimer un regard soutenu et riche. Ju prit le temps de déchiffrer le regard et ressentit comme un écho à celui qu'elle-même devait arborer ce jour.

Le bon jour Duchesse. Votre présence ici est appréciée, croyez le. Et je n'en attendais pas moins de vous.
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Lohan

Lohan arriva pile à l'eglise et apercut immediatement la Duchesse mais aussi Jusoor à ses cotés, il alla directement vers la Duchesse, bien que les heures soient sombre, Lohan se sentait le coeur léger, il arriva donc en grande tenue et ses galons bien visibles, la Duchesse etait rayonnante bien sur comme d'habitude, toujours tres belle, et Jusoor ne l'etait pas moins.

Il s'approcha donc de la Duchesse, lui fit une révérence puis lui bisa la main, enfin il lui fit :
Ma chere Duchesse ! c'est toujours un réel plaisir de retrouver ma chere marraine, permettez moi, ici, de vous féliciter pour votre si belle tenue qui vous va à ravir, et vous met tant en valeur et vous remplie de magnificence , quelle fierté pour moi ! que vous soyez ma marraine !

Puis il se tourna vers Dame Jusoor et lui fit ...
Dame Jusoor oserais je vous le dire presentement à une si grande dame que vous etes ! vous aussi ! quelle beauté eclatante ! diantre ! je suis troublé de tant de grace et de beauté féminine !
Croyez que je suis, ici meme ! bien fort aise d'etre a vos cotés ! moi qui ne fait que bien pale figure à coté de vos resplandissantes personnes.

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Longvic : les Tigres de Bourgogne

Pierre_de_siorac

Il vit la duchesse arrivée,elle avait l'air triste,il ce faufila un chemin jusqu'a elle,il fit une révérance a la duchesse et a la capitaine Jusoor puis s'inclina devant Lohan

Bonjour,Madame la duchesse,bonjour madame et bonjour messire.
Je me présente Pierre de Siorac,Colonel du SDIS.
Mon âme et mon épée est a votre service[ces une expression]madame la duchesse.

il espèrait qu'il n'embétait pas la duchesse en venant la voir mais il avait tant envie de la voir,c'était toujours un plaisir de la voir
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Lonufiel

Lonufiel arriver depuis peu regarda tout les grands de ce monde sur le parvis de l'église.
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Legrandalsacien

Peu à peu , la place se remplissait, le Grand Commandeur s'inclina devant la princesse dont il fut il y a tout juste une année avec elle à Genève , puis les différents hommes d'armes qui venaient compléter l'assemblée.
Enfin la duchesse apparut le visage grave , il la salua d'un sourire
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Ladyoscar

Whil. arrive en ce lieu si aimé... Aperçoit son filleul tout beau dans son uniforme et sourit.
S'approche de la Duchesse et de la Capitaine...

Mesdames, puis-je m'asseoir auprès de vous pour vous exprimer mes excuses...
Je suis aussi tourmenté que vous ne pouvez savoir, mais bon, je regrette toutes mes paroles...
Sachez que je suis toujours prêt, et la Savoie, me verra sous peu.
L'Ost est toute ma Vie.
Je n'ai plus rien, sans Elle.
Prêter Serment me sera très facile... Obeïr... *sourire* est parfois difficile, mais bon, je me corrigerais.
En ce jour ou les Armées et l'Ost, vont recevoir la Bénédiction, quel meilleur moment pour pardonner.

Les regarde et se penche pour prier.
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http://www.youtube.com/watch?v=9BY4CitbBEs

Angedemone

Madi entra dans la cathédrale de blanc habillé et aucune arme sur elle. Elle alla s'assoir dans un coin et se recueilli en attendant...
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Lesmoutonsbleus

Le Colonel Infirmière LesMoutonsBleus arriva au bras de son mari Ragondindam sur le parvis de l'église pour la bénédiction des armées de Bourgogne.

Ils saluèrent les militaires et les personnes présentes puis se dirigèrent vers sa Grâce et la Capitaine des Armées.

Elle s'inclina devant la Duchesse et salua respectueusement la Capitaine.

Bonjour votre Grâce et bonjour Capitaine, puis ils rejoignèrent l'Etat Major et les soldats de l'Ost.
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Ganju

Godefroy entra, le froid ambiant l'avait fait mettre un Mantel, celui au couleur des Volvents. Une dague à la ceinture, il s'avança parmis l'assemblée. Ironie du destin, lui qui il y a trois ans se battait contre la princesse à Compiègne était aujourd'hui de son coté ici, à Dijon.
Il s'approcha de la Capitaine pour la saluer simplement d'un signe de la tête, sans un mot.

Angelyque

La Duchesse salua toutes les personnes qui venaient d'arriver et écouta attentivement les mots prononcés par Wilhem, fort touchée par son geste.

J'accepte vos excuses. Je n'ai aucun doute sur la sincérité de vos paroles.
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Ganon_44

Aujourd'hui était le jour de la Bénédiction. Ayant cheminé toute la journée et la nuit durant, le Lieutenant Joinvillois arriva quelques temps après tous les autres, aussi se rendit-il directement dès son arrivée à Dijon au lieu de ladite cérémonie. Là se trouvaient une dizaine de personnes plus ou moins silencieuses en position de recueillement.

Il repéra certains visages connus : la Capitaine de Bourgogne, dame Jusoor, la Duchesse, dame Angelyque mais également les Colonels Lohan et LesMoutonsBleus. Il salua d'un signe de tête austère mais non moins sincère marque respect ceux qui remarquèrent sa présence, puis attendit la Bénédiction.

Ganon n'avait jamais été très croyant. N'étant pas baptisé, il ne s'était jamais vraiment senti concerné par cette religion, mais il appréciait tout de même l'aspect fédérateur des cérémonies religieuses. Aujourd'hui était offerte une cérémonie qui sans nul doute prodiguerait vigueur et courage à ceux qui allaient lever leur bras armé pour défendre leur foyer et leur famille. Il était donc normal que le Lieutenant y aille... "dans le doute".

Baronsengir

L'évesque était fort beau. De cela, tous en convenait. Mais pour l'estre encore plus et faire bénéficier les fidèles de sa blondeur éclatante, il se devait de fignoler le moindre détail de sa tenue, et surtout de coiffer avec soin sa chevelure si caractéristique. Et en particulier sa fameuse mèche qui n'arrestait pas de se placer par devant son œil. Les bruits venant du cœur de l'église lui indiquaient que soldatesque se rassemblait. Quand pour la troisième fois il se fut admiré en miroir, il se décida à paraistre. Il sortit de la sacristie et se rapproche de l'autel, ayant vue d'ensemble sur les gens d'armes et les personnalités présentes. D'un lent geste de la main, il salua l'assemblée.

Le bon jour.

Il chercha des yeux capitaine ou duchesse. Afin de savoir si d'autres étaient attendus ou s'il devait commencer.
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Angelyque

La Duchesse alla saluer l'Evesque qu'elle trouva encore plus beau que d'habitude et lui baisa son anneau

Bonjour Monseigneur, vous pouvez commencer la bénédiction de nos armées dès que vous le souhaitez.
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Legrandalsacien

Le Grand Commandeur salua le prélat et rejoignit une travée afin de joindre ses mains pour prier.
Il attendit le début de la bénédiction
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Baronsengir

Le prélat s'inclina et remonta à l'autel, où d'une main levée, il demanda que silence soit fait.

Mes amis, nous sommes tous ici réunis afin de rendre hommage à l'armée de Bourgogne et aux gens d'armes qui combattent pour elle et ses habitants. Comme vous le savez, notre voisine la Savoie a été vilement attaquée par les affidés genévois, et maintenant, ces réformés ont possibilité de frapper notre duché, de piller nos villes, de corrompre les esprits par leur hérésie... Mais les fils et filles de la Bourgogne, présents en cette église, feront en sorte que cela n'arrive!

Cette mission est vitale, car la paix doit revenir dans la région, mais de plus, toute menace réformée se doit d'estre matée. Il faut que l'aristotélicienne Bourgogne aide à la remise en place de l'ordre!

Et afin d'affirmer la foy des armées de Bourgogne, je vous demande de réciter tous ensemble le credo!
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Angelyque

Angelyque écoutait les paroles de l'Evêque sentencieusement, elle avait mis tous les moyens dont pouvait disposer la Bourgogne pour annihiler cette menace, beaucoup de bourguignons avaient répondu présents à l'appel de la Duchesse en plus de la noblesse, les maires avaient fait des dons, mais aussi des civils dont Amorri le maire de Mâcon qui avait largement contribué à ce que la Bourgogne aient les moyens d'envoyer des renforts à la Savoie.

Elle commença à réciter le Credo et mit y tout son foy, si elle ne pouvait prendre part aux combats, son coeur vibraient à l'unisson de ceux qui étaient partis ou qui allaient partir au front.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
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Legrandalsacien

Le Grand Commandeur récita à son tour le Credo

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
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Lesmoutonsbleus

Le Colonel LMB et son mari Ragon, après avoir écouté l'évêque, récitèrent la prière du Credo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

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Baronsengir

Après que les soldats aient déclamé le credo, BaronSengir prit la parole à nouveau.

Avant que de procéder à la bénédiction proprement dite, haut gradé, capitaine ou duchesse, mesme, pourrait-il venir et nous dire quelques mots sur les hommes et femmes ci présents, sur la mission qui les attends et sur le caractère aristotélicien qu'elle va revestir?
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Raphael83

Raphael , le Grand Chancelier de l'Ordre Equestre du Saint Sépulcre , assistait pieusement à la cérémonie.

Il salua d'un signe discret de la tête le Grand Commandeur de l'ordre qu'il aperçu au milieu de l'assemblée.

Puis il redirigea son attention sur le blond prélat Baronsengir qui officiait devant l'autel et qui allait sous peu les bénir .
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Pierre_de_siorac

il récita lui aussi son credo:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
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Nolweenmonnier

Ingeburge

Angelyque

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