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[RP] Le Codex d'Arthur ou une Comtesse dans le pétrin...

Arthur.
Le jeune garnement n'en mène plus large quand sa marraine commence à dire quelques vérités dont l'enfant se passerait bien.Il fronce les sourcils, tire la langue à sa marraine et chuchote quelques mots doux.

Marraine, tu ne perds rien pour attendre, Par Dieu je me vengerai !


Ne voulant pas perdre la face devant la Dame du Môssieur et leur fille, s'avança un peu sous les paroles pressées de sa marraine qui semble encore vouloir l'humilier devant la gente féminine, elle veut la guerre, elle va l'avoir !

bonjour .. je suis Haydée .. et toi qui es-tu ?


Arthur rougit encore plus, il doit dire quelque chose, il avance doucement, tout tremblant et fait une révérence maladroite.Il répond aux paroles de la jeune fille d'une toute petite voix et pense fortement que il devrait être né souris pour ne pas affronter ce moment.

Bonjour, moi c'est Arthur...


Arthur revient à lui, sa marraine jacasse toujours, elle est obstinée et veut se venger du petit garnement.Pas le temps de dire un mot qu'elle revient à côté de son oreille pour lui pour la énième fois des choses inutiles.


Arthur, réveille-toi il est l’heure, ce n’est qu’une jeune fille, elle ne va pas te manger, ni te sauter dessus, et ce n’est pas non plus une chose si extraordinaire hein, souviens toi tu as deux sœurs, ben là c’est un peu pareil.


Le jeune Jagellon ne prend même pas la peine de répondre à ce dont il pense que c'est des imbécillité totales.Ses soeurs, Ses soeurs.Elles ne sont pas des filles, elles sont les soeurs du fier Arthur, pas des filles.Cela est impensable pour le salopiot.Le garçon fait un signe de mécontentement avec la tête et ferme les yeux un instant pour se rassurer quand sa marraine le prend comme un sac de patate et l'amène vers l'intérieur du manoir.Elle le pose là bas, la jeune fille revient à la charge pour lui parler, le jeune garçon rougit de plus belle mais il est désormais un peu plus en confiance.


tu peux parler plus fort tu sais je ne vais pas te manger .. .... et quel âge as-tu ?

Le garçon prit sa conscience à deux mains et répondit...

6 ans, 6 ans mamzelle...


La jeune fille reprend ses questions dont Arthur voudrait se passe absolument.


tu vas rester un moment chez nous ?


Le jeune garçon ne prend même pas la peine de répondre.


tu sais monter à cheval ?


Arthur, Bombant le torse

Oui bien sûr, je sais monter toutes sortes de chevaux ! j'ai même monté un cheval ailé !


Un mensonge de plus pour se gonfler le cursus, Arthur part avec la jeune fille main dans la main se laver les mains.
_________________
Gland d'or 1457 !

http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=rp&id=885
Leanice


Amusée .. oh oui amusée et heureuse de voir ces deux enfants .. ma fille dont la joie que je pouvais percevoir dans son regard me faisait chaud au coeur, elle avait tant besoin d'etre entourée d'enfants de son âge .. et même plus jeune .. et ce petit garçon prêt à se battre contre des dragons et en même temps si fragile .. en pleine rebellion mais qui savait aussi montrer ses faiblesses .. je les regardais encore un instant, main dans la main, se diriger vers le Manoir en souriant et me tournai vers Ewa ..

- et bien on dirait qu'Arthur s'est trouvé une amie .. souhaitons juste qu'ils ne trouvent pas à eux deux quelques bêtises supplémentaires à notre lot habituel, aussi adorable que tu peux voir Haydée .. elle n'en rate pas une quand même .. nous allons avoir de quoi nous occuper je pense ..

Je passais le bras sous celui d'Ewa en riant ..

- Allez .. que celà ne nous empêche pas d'aller nous restaurer .. passant une main légère sur mon ventre .. Bébé réclame ..

_________________
Ewaele
Citation:
« Marraine, tu ne perds rien pour attendre, Par Dieu je me vengerai ! »


Comme si Ewa ne s’en doutait pas qu’une douce vengeance viendrait à point quand elle ne l’attendrait point. Une chose était sur, cela ne faisait pas si longtemps qu’ils se côtoyaient ces deux là, mais ils avaient vite appris à se connaître !

Préférant ne pas relever les mots de l’enfant, Ewa esquissa un petit sourire ironique à l’attention d’Arthur et le laissa se débrouiller avec la belle Haydée qui avait l’air très à son aise, elle.

Elle écouta toutefois tant qu’elle put les réponses de son filleul et son sourire s’étira naturellement, décidément il l’étonnerait toujours ! Un culot sans faille ce gamin, ses parents ne devaient pas avoir le temps de s’ennuyer.

Puis se tournant vers la personne qui lui parlait, elle se laissa guider pour prendre le repas qui avait été préparé à leur attention. La Comtesse n’eut pas le même rire que Léa, en regardant à nouveau le couple d’enfants. Connaissant Arthur, elle savait que la journée serait sans doute très longue,mais bon advienne que pourra, elle ferait en fonction. De toute façon, avait-elle d’autres choix? Signe de tête négatif en regardant Léa.


Tu sais je ne suis pas sure que tu rigoleras autant quand tu verras de quoi il peut être capable et j’espère seulement qu’Haydée aura sur lui une bonne influence…

Et elle finit sa phrase par un soupir. Enfin de toute façon elle avait accepté de le garder, maintenant à elle d’assumer le meilleure comme le pire.

Tiens au fait, dis moi Léa, connais-tu quelqu’un qui pourrait apprendre la soule à Arthur, il a l’air d’être intéressé par ce jeu.

Elle grimaça en se rappelant les paroles du jeune Alterac.

Du moins si je puis dire cela ainsi, apparemment le corps à corps a l’air de plus le motiver que le ballon en lui-même, mais si ça pouvait lui permettre de se défouler un peu et moi de le confier à quelqu’un de temps en temps pour avancer dans mes tâches, sincèrement je ne serais pas contre !

Elle regarda la main de la jeune femme posée sur son ventre et la Comtesse ne put s’empêcher de tortiller du nez. Elle n’avait même pas demandé à cette dernière comment elle allait, Arthur avait été sa principale préoccupation. Décidément elle faisait une bien piètre invitée.

Oh je suis désolée je ne me suis même pas enquie de ta santé.

Elle regarda Léa avec une mine contrite.
_________________
Mariealice
[Quelques jours auparavant, Guyenne, sous une tente]

La Guyenne. Première fois qu'elle y posait les pieds dans ce fameux sud qui faisait fantasmer plus d'un. Le soleil? Oui certes il faisait une température plus douce, le paysage était beau. Et? Et rien. Enfin cela n'éveillait rien de particulier chez elle. Sans doute que de part ses origines, elle était plus sensible à un paysage enneigé qu'écrasé par le dit soleil.

En tout cas elle s'ennuyait ferme, voyant le temps passer sans que rien d'autre ne passe. Assise dans une taverne, elle écoutait distraite les conversations, faisant tourner comme souvent depuis un moment, un bouchon entre ses doigts. Manière comme une autre d'occuper ses mains.

Un gamin vint se présenter à ses côtés avec un parchemin contre lequel elle lui remis quelques pièces. Lecture rapide. Ils rentraient.

Un soupir, rapide bonsoir avant de sortir et de se diriger vers le campement, saluant les quelques personnes croisées et connues, pas rapides, tête à nouveau au travail, planifiant ce qu'il y avait à faire pour le départ, pour le retour.

Ordres donnés, parchemin déroulé pour y coucher la nouvelle du retour et confirmation du départ.


Citation:
Ewa,

Je viens par la présente t'informer que nous partons ce soir même, la mission étant finie. Je serai donc à Limoges dans quelques jours, Flaiche et Seleina arriveront un peu après.

J'aurai des choses à mettre en ordre pour notre départ, mais de cela je te parlerai lorsque nous nous verrons.

Comment vont mes petits monstres? Arthur s'assagit-il? Je présume que non, mais cela est en grande partie ma faute. Avoir une mère en permanence sur les routes ou à son bureau, ou plutôt n'avoir point, quand on est si jeune, ne peut qu'avoir de néfastes conséquences.

Et toi? Comment te portes-tu? Je ne suis même pas une amie, ne prenant point de vos nouvelles.... Tu embrasseras tout le monde pour moi.

Je glisse une missive pour Arthur avec la tienne, une autre est partie à Eymoutiers pour les filles.

Je t'embrasse.




Citation:

Mon Arthur Chéri,

Ton père et moi serons bientôt de retour à Limoges, papa lui sera un peu plus long, il est parti un peu en retard avec Seleina.

J'espère que tu es sage et que tu écoute ta marraine. Je pense fort à toi et t'embrasse. Nous aurons à parler lorsque j'arriverai.

Ta maman qui t'aime.


Parchemin scellé, coursier payé et parti au galop, elle sortit à nouveau de sa tente pour vérifier l'avancement des préparatifs, observant les va et vient, cherchant parmi eux des silhouettes connues.

Le retour serait dur, les explications sans aucun doute tout autant. Avait-elle raison? Elle l'ignorait. Et le silence qui régnait depuis quelques temps déjà ne faisait que la perdre un peu plus. Une seule chose était sûre, elle ne serait bientôt plus résidente limousine. Le reste...

_________________
Arthur.
[Au manoir de Mctyle]

Le jeune garçon grattait méticuleusement ses mains pendant que Haydée faisait de même avec les siennes.Il soupirait à chaque fois qu'il tournait ses mains les unes dans les autres.Qu'est ce que ça pouvait être énervant de se laver les mains.Autant de choses que le jeune garçon ne comprenait pas, il était frustré de ne pas savoir....pourquoi les femmes ne boivent pas d'alcool quand elle sont enceintes ? pourquoi elles ont toujours des jumeaux ? et Pourquoi c'est toujours une fille et un garçon ? Comment les gens arrivent à savoir ceux que les autres personnes pensent ? Comment les gens arrivent à savoir la personne qui les a brigandé ? Arthur ne le saura peut être jamais mais pour l'instant toutes ces questions lui chiffonnent l'esprit.Après avoir laver ses mains, il se les fait entourer par une serviette qu'Haydée vient de sortir d'un placard.Après avoir remercier timidement la jeune fille, Arthur rejoint sa marraine rapidement à la table.Il fit un sourire à sa marraine et prit le ton d'un vieux rat des mers.

Bon ! Qu'est ce qu'on mange ? j'ai faim !

Il jeta un coup d'oeil de part et d'autre de la table, les amis de sa marraine le regardaient bizarrement, comme si il avait dit une bêtise de plus.


Qu'aie je dis de mal ?


Il vit sa marraine fronçait les sourcils quand l'aboiement des chiens se fit entendre.Il vit le bon moment pour éviter un autre savon.Je jeune garçon se leva, bombant le torse.


Je vais voir ce qu'il se passe dehors !

Il prit une pelure et s'en alla en courant vers l'entrée de la demeure.Il revint sur ses pas, attrapa une louche qui servait à servir les aliments et repartit.Il arriva dans la cour, le ciel s'était assombri, des nuages de pluie arrivaient à grande allure.Le jeune garçon tourna la tête et à quelques pas il vit un homme en noir.Il était assit sur un cheval, il portait un chapeau, des bottes et avait une épée à la ceinture.D'une voix tremblante le jeune garçon somma la personne de s'en aller.

Arrière espèce d'Anglois !


Arthur tenait la louche en avant, croyant qu'il arriverait à se dégager si le rosbiff attaquait.L'homme sourit, descendit du cheval et avança vers l'enfant lettre en main.

Ne bougez plus ou je vous tranch......ou je vous...ou je vous......ou je vous assomme !


Le jeune garçon tenait en " respect " l'homme avec sa louche.L'homme déclina en fin son identité et la raison de sa visite.

Je suis un messager, Marie Alice m'a chargé d'une mission de la plus haute importance.Je dois apporter une lettre personnelle à sa vassale Ewaelle.Je suis aller chez celle ci, les valets on dit qu'elle était icilieu.Pouvez vous me le confirmer ?


Le visage du jeune garçon se déraidit et laissa apparaitre une petit sourire sadique.

Hé bien Messager, tu ne t'es pas trompé de chemin, elle est bien là.Et vois-tu, je suis le fils de Marie Alice.Tu peux donc me donner cette lettre en toute confiance.J'irais l'apporter à ma marraine Ewaelle dans les plus brefs délais.


Le messager hésita quelques instants et finit par se résoudre à donner la lettre au jeune garçon


Je compte sur vous jeune homme.Apportez cette lettre à votre marraine ou je m'occuperais personnellement de votre cas.


Le messager laissa glisser sa main jusqu'au fourreau et d'en faire un peu apparaitre une lame.L'homme sourit, remonta sur son chemin et partit au galop vers une autre destination...
Pendant ce temps, le chenapan avait consciencieusement plié la lettre et l'avait rangé dans son pantalon.Il était rentré dans la maison et était venu s'asseoir comme ci rien n'était, il prétexta que les chiens avaient aboyés car un paysan rôdait dans le champ d'à côté.Ils continuèrent le repas et vers la fin, dans l'encadrement de la porte une homme en noir fit son apparition...

_________________
Gland d'or 1457 !

http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=rp&id=885
--Le_noir_messager
[Non loin du manoir]

Le Messager cogitait, il avait un doute sur l'enfant.Etait-il vraiment le fils de Marie Alice et le filleul d'Ewaelle ? Il avait trop de doute pour rentrer la conscience tranquille dans sa terre natale.Il fit demi-tour sur le chemin, frappa d'un grand coup les flancs du cheval qui partit à vive allure vers le manoir.Quelques minutes après le messager avait un visiuel sur la bâtisse.Il poussait son cheval à ses limites, à chaque foulée, il devait cherchait son air.Le cavalier arriva quelques instants après à une centaines de pas de l'entrée de la propriété.Il stoppa sa monture quand il fut dans la cour et descendit rapidement.Il attrapa son ordre de mission, scruta la façade de la maison et grimaça.Qu'allait -il pouvoir dire pour se défendre si le jeune homme n'était pas celui qu'il prétendait ? Ce jeune garçon avait un sourire vicieux, le messager avait un gros doute sur lui.Bien que sa réputation soit ruinée si le jeune garçon avait volé la lettre, il devait aller prévenir la comtesse pour ne pas s'en vouloir plus tard.Il fit le tour de la bâtisse et ne voyant aucune âme qui vive il prit la décision d'entrer dans le bâtiment assez imposant.Après avoir déambuler dans le manoir, le messager entendit des voix dont celle de l'enfant.Il soupira de soulagement mais qu'allait t-il pouvoir bien dire sur le pourquoi du comment de la lettre qu'il avait donné à l'enfant.Il expira lentement et poussa la porte.Il entra dans la pièce, enleva son chapeau et fit une révérence tout en disant des montrant son respect.

Messieurs....Dames ! Mes respects !

Il fit une révérence spectaculaire, il gratta le sol avec son buste.Une révérence qu'on ne reverrait pas de si tôt.Sur un ton douteux le messager demanda la comtesse Ewaelle.


Je cherche la Comtesse Ewaelle.J'étais chargé de remettre une lettre de Marie Alice à la comtesse Ewaelle.J'ai rencontré ce jeune homme montrant Arthur du doigtdans la cour, il se disait Fils de Marie Alice et filleul de la comtesse Ewaelle.Par excès de confiance je lui ai donné la lettre...j'ai faillé à ma tâche, veuillez m'excusez.

Le messager soupira et baissa la tête.Ewaelle se leva et s'approcha avec méfiance de l'homme.Quelle lettre ? elle n'avait pas reçu de lettre.


Je suis Ewaele mais je n'ai pas reçu de lettre des mains de mon filleul.

Le messager fronça les sourcils et fusilla Arthur du regard qui n'en menait vraiment pas large.

Hé bien Madame la comtesse, votre filleul ne vous l'a pas remise alors.Tout ceci est de ma faute.


Le messager vit le jeune garçon le visage déconfit et se dit qu'il méritait bien la punition qu'il allait avoir !
Arthur.
Le jeune garnement n'en mène plus large quand sa marraine commence à dire quelques vérités dont l'enfant se passerait bien.Il fronce les sourcils, tire la langue à sa marraine et chuchote quelques mots doux.

Marraine, tu ne perds rien pour attendre, Par Dieu je me vengerai !


Ne voulant pas perdre la face devant la Dame du Môssieur et leur fille, s'avança un peu sous les paroles pressées de sa marraine qui semble encore vouloir l'humilier devant la gente féminine, elle veut la guerre, elle va l'avoir !

bonjour .. je suis Haydée .. et toi qui es-tu ?


Arthur rougit encore plus, il doit dire quelque chose, il avance doucement, tout tremblant et fait une révérence maladroite.Il répond aux paroles de la jeune fille d'une toute petite voix et pense fortement que il devrait être né souris pour ne pas affronter ce moment.

Bonjour, moi c'est Arthur...


Arthur revient à lui, sa marraine jacasse toujours, elle est obstinée et veut se venger du petit garnement.Pas le temps de dire un mot qu'elle revient à côté de son oreille pour lui pour la énième fois des choses inutiles.


Arthur, réveille-toi il est l’heure, ce n’est qu’une jeune fille, elle ne va pas te manger, ni te sauter dessus, et ce n’est pas non plus une chose si extraordinaire hein, souviens toi tu as deux sœurs, ben là c’est un peu pareil.


Le jeune Jagellon ne prend même pas la peine de répondre à ce dont il pense que c'est des imbécillité totales.Ses soeurs, Ses soeurs.Elles ne sont pas des filles, elles sont les soeurs du fier Arthur, pas des filles.Cela est impensable pour le salopiot.Le garçon fait un signe de mécontentement avec la tête et ferme les yeux un instant pour se rassurer quand sa marraine le prend comme un sac de patate et l'amène vers l'intérieur du manoir.Elle le pose là bas, la jeune fille revient à la charge pour lui parler, le jeune garçon rougit de plus belle mais il est désormais un peu plus en confiance.


tu peux parler plus fort tu sais je ne vais pas te manger .. .... et quel âge as-tu ?

Le garçon prit sa conscience à deux mains et répondit...

6 ans, 6 ans mamzelle...


La jeune fille reprend ses questions dont Arthur voudrait se passe absolument.


tu vas rester un moment chez nous ?


Le jeune garçon ne prend même pas la peine de répondre.


tu sais monter à cheval ?


Arthur, Bombant le torse

Oui bien sûr, je sais monter toutes sortes de chevaux ! j'ai même monté un cheval ailé !


Un mensonge de plus pour se gonfler le cursus, Arthur part avec la jeune fille main dans la main se laver les mains.
_________________
Gland d'or 1457 !

http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=rp&id=885
Leanice


Amusée .. oh oui amusée et heureuse de voir ces deux enfants .. ma fille dont la joie que je pouvais percevoir dans son regard me faisait chaud au coeur, elle avait tant besoin d'etre entourée d'enfants de son âge .. et même plus jeune .. et ce petit garçon prêt à se battre contre des dragons et en même temps si fragile .. en pleine rebellion mais qui savait aussi montrer ses faiblesses .. je les regardais encore un instant, main dans la main, se diriger vers le Manoir en souriant et me tournai vers Ewa ..

- et bien on dirait qu'Arthur s'est trouvé une amie .. souhaitons juste qu'ils ne trouvent pas à eux deux quelques bêtises supplémentaires à notre lot habituel, aussi adorable que tu peux voir Haydée .. elle n'en rate pas une quand même .. nous allons avoir de quoi nous occuper je pense ..

Je passais le bras sous celui d'Ewa en riant ..

- Allez .. que celà ne nous empêche pas d'aller nous restaurer .. passant une main légère sur mon ventre .. Bébé réclame ..

_________________
Ewaele
Citation:
« Marraine, tu ne perds rien pour attendre, Par Dieu je me vengerai ! »


Comme si Ewa ne s’en doutait pas qu’une douce vengeance viendrait à point quand elle ne l’attendrait point. Une chose était sur, cela ne faisait pas si longtemps qu’ils se côtoyaient ces deux là, mais ils avaient vite appris à se connaître !

Préférant ne pas relever les mots de l’enfant, Ewa esquissa un petit sourire ironique à l’attention d’Arthur et le laissa se débrouiller avec la belle Haydée qui avait l’air très à son aise, elle.

Elle écouta toutefois tant qu’elle put les réponses de son filleul et son sourire s’étira naturellement, décidément il l’étonnerait toujours ! Un culot sans faille ce gamin, ses parents ne devaient pas avoir le temps de s’ennuyer.

Puis se tournant vers la personne qui lui parlait, elle se laissa guider pour prendre le repas qui avait été préparé à leur attention. La Comtesse n’eut pas le même rire que Léa, en regardant à nouveau le couple d’enfants. Connaissant Arthur, elle savait que la journée serait sans doute très longue,mais bon advienne que pourra, elle ferait en fonction. De toute façon, avait-elle d’autres choix? Signe de tête négatif en regardant Léa.


Tu sais je ne suis pas sure que tu rigoleras autant quand tu verras de quoi il peut être capable et j’espère seulement qu’Haydée aura sur lui une bonne influence…

Et elle finit sa phrase par un soupir. Enfin de toute façon elle avait accepté de le garder, maintenant à elle d’assumer le meilleure comme le pire.

Tiens au fait, dis moi Léa, connais-tu quelqu’un qui pourrait apprendre la soule à Arthur, il a l’air d’être intéressé par ce jeu.

Elle grimaça en se rappelant les paroles du jeune Alterac.

Du moins si je puis dire cela ainsi, apparemment le corps à corps a l’air de plus le motiver que le ballon en lui-même, mais si ça pouvait lui permettre de se défouler un peu et moi de le confier à quelqu’un de temps en temps pour avancer dans mes tâches, sincèrement je ne serais pas contre !

Elle regarda la main de la jeune femme posée sur son ventre et la Comtesse ne put s’empêcher de tortiller du nez. Elle n’avait même pas demandé à cette dernière comment elle allait, Arthur avait été sa principale préoccupation. Décidément elle faisait une bien piètre invitée.

Oh je suis désolée je ne me suis même pas enquie de ta santé.

Elle regarda Léa avec une mine contrite.
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Mariealice
[Quelques jours auparavant, Guyenne, sous une tente]

La Guyenne. Première fois qu'elle y posait les pieds dans ce fameux sud qui faisait fantasmer plus d'un. Le soleil? Oui certes il faisait une température plus douce, le paysage était beau. Et? Et rien. Enfin cela n'éveillait rien de particulier chez elle. Sans doute que de part ses origines, elle était plus sensible à un paysage enneigé qu'écrasé par le dit soleil.

En tout cas elle s'ennuyait ferme, voyant le temps passer sans que rien d'autre ne passe. Assise dans une taverne, elle écoutait distraite les conversations, faisant tourner comme souvent depuis un moment, un bouchon entre ses doigts. Manière comme une autre d'occuper ses mains.

Un gamin vint se présenter à ses côtés avec un parchemin contre lequel elle lui remis quelques pièces. Lecture rapide. Ils rentraient.

Un soupir, rapide bonsoir avant de sortir et de se diriger vers le campement, saluant les quelques personnes croisées et connues, pas rapides, tête à nouveau au travail, planifiant ce qu'il y avait à faire pour le départ, pour le retour.

Ordres donnés, parchemin déroulé pour y coucher la nouvelle du retour et confirmation du départ.


Citation:
Ewa,

Je viens par la présente t'informer que nous partons ce soir même, la mission étant finie. Je serai donc à Limoges dans quelques jours, Flaiche et Seleina arriveront un peu après.

J'aurai des choses à mettre en ordre pour notre départ, mais de cela je te parlerai lorsque nous nous verrons.

Comment vont mes petits monstres? Arthur s'assagit-il? Je présume que non, mais cela est en grande partie ma faute. Avoir une mère en permanence sur les routes ou à son bureau, ou plutôt n'avoir point, quand on est si jeune, ne peut qu'avoir de néfastes conséquences.

Et toi? Comment te portes-tu? Je ne suis même pas une amie, ne prenant point de vos nouvelles.... Tu embrasseras tout le monde pour moi.

Je glisse une missive pour Arthur avec la tienne, une autre est partie à Eymoutiers pour les filles.

Je t'embrasse.




Citation:

Mon Arthur Chéri,

Ton père et moi serons bientôt de retour à Limoges, papa lui sera un peu plus long, il est parti un peu en retard avec Seleina.

J'espère que tu es sage et que tu écoute ta marraine. Je pense fort à toi et t'embrasse. Nous aurons à parler lorsque j'arriverai.

Ta maman qui t'aime.


Parchemin scellé, coursier payé et parti au galop, elle sortit à nouveau de sa tente pour vérifier l'avancement des préparatifs, observant les va et vient, cherchant parmi eux des silhouettes connues.

Le retour serait dur, les explications sans aucun doute tout autant. Avait-elle raison? Elle l'ignorait. Et le silence qui régnait depuis quelques temps déjà ne faisait que la perdre un peu plus. Une seule chose était sûre, elle ne serait bientôt plus résidente limousine. Le reste...

_________________
Arthur.
[Au manoir de Mctyle]

Le jeune garçon grattait méticuleusement ses mains pendant que Haydée faisait de même avec les siennes.Il soupirait à chaque fois qu'il tournait ses mains les unes dans les autres.Qu'est ce que ça pouvait être énervant de se laver les mains.Autant de choses que le jeune garçon ne comprenait pas, il était frustré de ne pas savoir....pourquoi les femmes ne boivent pas d'alcool quand elle sont enceintes ? pourquoi elles ont toujours des jumeaux ? et Pourquoi c'est toujours une fille et un garçon ? Comment les gens arrivent à savoir ceux que les autres personnes pensent ? Comment les gens arrivent à savoir la personne qui les a brigandé ? Arthur ne le saura peut être jamais mais pour l'instant toutes ces questions lui chiffonnent l'esprit.Après avoir laver ses mains, il se les fait entourer par une serviette qu'Haydée vient de sortir d'un placard.Après avoir remercier timidement la jeune fille, Arthur rejoint sa marraine rapidement à la table.Il fit un sourire à sa marraine et prit le ton d'un vieux rat des mers.

Bon ! Qu'est ce qu'on mange ? j'ai faim !

Il jeta un coup d'oeil de part et d'autre de la table, les amis de sa marraine le regardaient bizarrement, comme si il avait dit une bêtise de plus.


Qu'aie je dis de mal ?


Il vit sa marraine fronçait les sourcils quand l'aboiement des chiens se fit entendre.Il vit le bon moment pour éviter un autre savon.Je jeune garçon se leva, bombant le torse.


Je vais voir ce qu'il se passe dehors !

Il prit une pelure et s'en alla en courant vers l'entrée de la demeure.Il revint sur ses pas, attrapa une louche qui servait à servir les aliments et repartit.Il arriva dans la cour, le ciel s'était assombri, des nuages de pluie arrivaient à grande allure.Le jeune garçon tourna la tête et à quelques pas il vit un homme en noir.Il était assit sur un cheval, il portait un chapeau, des bottes et avait une épée à la ceinture.D'une voix tremblante le jeune garçon somma la personne de s'en aller.

Arrière espèce d'Anglois !


Arthur tenait la louche en avant, croyant qu'il arriverait à se dégager si le rosbiff attaquait.L'homme sourit, descendit du cheval et avança vers l'enfant lettre en main.

Ne bougez plus ou je vous tranch......ou je vous...ou je vous......ou je vous assomme !


Le jeune garçon tenait en " respect " l'homme avec sa louche.L'homme déclina en fin son identité et la raison de sa visite.

Je suis un messager, Marie Alice m'a chargé d'une mission de la plus haute importance.Je dois apporter une lettre personnelle à sa vassale Ewaelle.Je suis aller chez celle ci, les valets on dit qu'elle était icilieu.Pouvez vous me le confirmer ?


Le visage du jeune garçon se déraidit et laissa apparaitre une petit sourire sadique.

Hé bien Messager, tu ne t'es pas trompé de chemin, elle est bien là.Et vois-tu, je suis le fils de Marie Alice.Tu peux donc me donner cette lettre en toute confiance.J'irais l'apporter à ma marraine Ewaelle dans les plus brefs délais.


Le messager hésita quelques instants et finit par se résoudre à donner la lettre au jeune garçon


Je compte sur vous jeune homme.Apportez cette lettre à votre marraine ou je m'occuperais personnellement de votre cas.


Le messager laissa glisser sa main jusqu'au fourreau et d'en faire un peu apparaitre une lame.L'homme sourit, remonta sur son chemin et partit au galop vers une autre destination...
Pendant ce temps, le chenapan avait consciencieusement plié la lettre et l'avait rangé dans son pantalon.Il était rentré dans la maison et était venu s'asseoir comme ci rien n'était, il prétexta que les chiens avaient aboyés car un paysan rôdait dans le champ d'à côté.Ils continuèrent le repas et vers la fin, dans l'encadrement de la porte une homme en noir fit son apparition...

_________________
Gland d'or 1457 !

http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=rp&id=885
--Le_noir_messager
[Non loin du manoir]

Le Messager cogitait, il avait un doute sur l'enfant.Etait-il vraiment le fils de Marie Alice et le filleul d'Ewaelle ? Il avait trop de doute pour rentrer la conscience tranquille dans sa terre natale.Il fit demi-tour sur le chemin, frappa d'un grand coup les flancs du cheval qui partit à vive allure vers le manoir.Quelques minutes après le messager avait un visiuel sur la bâtisse.Il poussait son cheval à ses limites, à chaque foulée, il devait cherchait son air.Le cavalier arriva quelques instants après à une centaines de pas de l'entrée de la propriété.Il stoppa sa monture quand il fut dans la cour et descendit rapidement.Il attrapa son ordre de mission, scruta la façade de la maison et grimaça.Qu'allait -il pouvoir dire pour se défendre si le jeune homme n'était pas celui qu'il prétendait ? Ce jeune garçon avait un sourire vicieux, le messager avait un gros doute sur lui.Bien que sa réputation soit ruinée si le jeune garçon avait volé la lettre, il devait aller prévenir la comtesse pour ne pas s'en vouloir plus tard.Il fit le tour de la bâtisse et ne voyant aucune âme qui vive il prit la décision d'entrer dans le bâtiment assez imposant.Après avoir déambuler dans le manoir, le messager entendit des voix dont celle de l'enfant.Il soupira de soulagement mais qu'allait t-il pouvoir bien dire sur le pourquoi du comment de la lettre qu'il avait donné à l'enfant.Il expira lentement et poussa la porte.Il entra dans la pièce, enleva son chapeau et fit une révérence tout en disant des montrant son respect.

Messieurs....Dames ! Mes respects !

Il fit une révérence spectaculaire, il gratta le sol avec son buste.Une révérence qu'on ne reverrait pas de si tôt.Sur un ton douteux le messager demanda la comtesse Ewaelle.


Je cherche la Comtesse Ewaelle.J'étais chargé de remettre une lettre de Marie Alice à la comtesse Ewaelle.J'ai rencontré ce jeune homme montrant Arthur du doigtdans la cour, il se disait Fils de Marie Alice et filleul de la comtesse Ewaelle.Par excès de confiance je lui ai donné la lettre...j'ai faillé à ma tâche, veuillez m'excusez.

Le messager soupira et baissa la tête.Ewaelle se leva et s'approcha avec méfiance de l'homme.Quelle lettre ? elle n'avait pas reçu de lettre.


Je suis Ewaele mais je n'ai pas reçu de lettre des mains de mon filleul.

Le messager fronça les sourcils et fusilla Arthur du regard qui n'en menait vraiment pas large.

Hé bien Madame la comtesse, votre filleul ne vous l'a pas remise alors.Tout ceci est de ma faute.


Le messager vit le jeune garçon le visage déconfit et se dit qu'il méritait bien la punition qu'il allait avoir !
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