Gadzelle
Prenant garde à bien mâcher poliment bouche fermée et sans un bruit la spécialité au miel, Gadzelle promenait sa main vierge de miel - il ne fallait pas salir - sur les tissus de qualité. Bordeaux... La réputation du port n'était plus à faire, tout le monde connaissait cette plaque tournante d'épices, d'objets hétéroclites et internationaux.
Ca suffit !!!
Tout au plus un tressaillement qu'on parle à Bryn de cette manière et redoutant la réaction de la Grande. Si elle n'aurait pas aimé se confronter à Bryn de cette manière, affronter la nippone était encore moins dans ses projets prochains et futurs. Le suicide ? Pas pour aujourd'hui, non merci.
En apparence le conflit fut réglé, la petite partit.
Enfin les apparences vous savez ... Il suffit de creuser un peu et tout s'effondre. Ou s'envole sur les hauteurs.
Hou ! Hou ! A l'aide ! Y'a la sauvage qui nous fait une crise ! Hou ! Hou ! Elle est passée par la fenêtre et s'est assise sur le toit !
Le choix était simple : aller voir ce qu'elle avait ou considérer que ses bouderies ne le méritaient pas. Prise d'un accès de courage soudain, la brune préféra ignorer les problèmes de Sachiko, se concentrant sur une de ses activité favorites : manger.
Gadzelle tendait la main vers une de ces... comment avait dit Bryn ? coulées à la châtaigne quand la clef au creux de sa main tomba par terre. Dans un geste pour la rattraper, elle faillait s'étaler de tout son long sur le sol.
Les mouvements qui suivirent furent flous tellement tout eut tendance à se compliquer. L'on retrouva juste Gadzelle, les fesses par terre, tenant fièrement la clef dans sa main, ladite main pleine de fromage. Sur la table et au sol, le fromage avait laissé de grosses taches un peu partout, et la carafe avait versé pour finir par répandre du cidre sur les échantillons.
La main aux jointures blanchies à force d'agripper la clef, la seule réaction de Gadzelle qui redoutait les foudres fut :
Au moins tu sauras si le tissu se lave bien !
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Ca suffit !!!
Tout au plus un tressaillement qu'on parle à Bryn de cette manière et redoutant la réaction de la Grande. Si elle n'aurait pas aimé se confronter à Bryn de cette manière, affronter la nippone était encore moins dans ses projets prochains et futurs. Le suicide ? Pas pour aujourd'hui, non merci.
En apparence le conflit fut réglé, la petite partit.
Enfin les apparences vous savez ... Il suffit de creuser un peu et tout s'effondre. Ou s'envole sur les hauteurs.
Hou ! Hou ! A l'aide ! Y'a la sauvage qui nous fait une crise ! Hou ! Hou ! Elle est passée par la fenêtre et s'est assise sur le toit !
Le choix était simple : aller voir ce qu'elle avait ou considérer que ses bouderies ne le méritaient pas. Prise d'un accès de courage soudain, la brune préféra ignorer les problèmes de Sachiko, se concentrant sur une de ses activité favorites : manger.
Gadzelle tendait la main vers une de ces... comment avait dit Bryn ? coulées à la châtaigne quand la clef au creux de sa main tomba par terre. Dans un geste pour la rattraper, elle faillait s'étaler de tout son long sur le sol.
Les mouvements qui suivirent furent flous tellement tout eut tendance à se compliquer. L'on retrouva juste Gadzelle, les fesses par terre, tenant fièrement la clef dans sa main, ladite main pleine de fromage. Sur la table et au sol, le fromage avait laissé de grosses taches un peu partout, et la carafe avait versé pour finir par répandre du cidre sur les échantillons.
La main aux jointures blanchies à force d'agripper la clef, la seule réaction de Gadzelle qui redoutait les foudres fut :
Au moins tu sauras si le tissu se lave bien !
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