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[RP] Mairie de Craon

Cymoril
S'il y a une chose que la Fourmi a appris au cours de son existence, c'est qu'en tout premier lieu et quoi qu'il arrive, il faut consulter l'affichage municipal après avoir passé la herse d'une ville. Encore que niveau herse, il semblait que Craôn ne soit pas particulièrement bien équipée mais passons là ce genre de considérations dues à certaine déformation professionnelle...

C'est ainsi qu'après une piètre escapade chez les voisins mainois, dont elle ne retiendra que la capacité à s'imaginer en fiers héros et glorieux guerriers face au vent, une fourmi transie se retrouva devant la porte de la mairie, déchiffrant les dernières annonces, comme d'autres consulteraient le bottin mondain.

Au fil de la lecture s'opère une très élégante variation de couleur sur la visage de la demoiselle. D'abord le ton ivoirin habituel, qui vire sur un ton réséda fort peu seyant pour la saison, et qu'elle arbore d'ordinaire dans les villes piscicoles, avant de virer au rouge sur la fin... Il faut ajouter aussi que dans la foulée, elle a pris connaissance d'un certain pli qu'un ramier flemmard avait négligemment délivré devant la dite lourde.

Comment décrire le flot de pensées qui tempête dans la fourmiesque caboche sans rendre à son tour le lecteur complètement fou ? Impossible, probablement.
Aussi jetterons nous à l'évasive quelques bribes qui lui échappent malgré elle :


Me vendre... contre des miches de pains... Vais le tuer moi même... Raser la mairie... brûler la taverne... le dépecer... l'offrir en pâture aux corbeaux et corneilles... CASSER SON ECRITOIRE !!!

Il parait qu'il y tient plus qu'à la prunelle de ses yeux. Encore que. Si les charognards lui picorent les yeux, l'écritoire deviendra le dernier de ses soucis...

Jusqu'à l'illumination... Peine de mort au présomptueux sacrilège qui aurait l'outrecuidance d'enneiger le maire...
A fou... folle et demi.
Honneur vaut bien de prendre le risque. Et le bras s'arme contre l'infamie. Nul besoin de prévoir moult munitions.
Une seule suffirait.
Et de l'autre pousser la porte afin de dénicher le vétilleux.


Le Fou... devinez qui est revenue...
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Edern
Une tentative de révolte a eu lieu devant la mairie, et il a contribué à la mater. Oh... ce n'était qu'un hibou comme un autre, hululant à la lune la litanie de sa langueur volatile. Chassé du rebord d'une fenêtre par l'ouverture d'un volet craquelé, il a par son départ permis à la moiteur hivernale d'étendre à nouveau ses longs doigts sur la ville infernale. Les heures ont passé, et le soleil s'est levé sur l'habituelle grisaille matinale, seulement troublée par le retour d'une armée sans gloire ni trésor. Deuxième jour de règne, monsieur le révolté. La cité est vôtre, mais... quel est ce bruit à l'entrée ?

Le Fou... devinez qui est revenue...

Quelle voix mélodieuse... il connaît la musique. C'est celle de la belle héroïne qui revient de guerre et attend un doux baiser de son promis. Ma foi, pourquoi pas. Le Fou abandonne son bureau à ses lignes de compte, ses commerces et ses artisans frustrés, et se précipite, bras grands ouverts, sur sa dulcinée.

Fourmi ! Comme vous m'avez manqu...

Splatch.
Froid.
Mal.

Elle ne l'a pas manqué tant que cela, finalement. La sueur neigeuse descend le long de son cou, imprègne le col de sa chemise déjà trop éprouvée par trois nuits de veille pour répondre exactement aux canons de la propreté. Tant mieux. Un impôt sera levé pour lui tailler un autre habit. Vivent les privilèges municipaux. Tout ira bien qui finira bien. Il ne reste plus qu'à renvoyer la Fourmi à ses ennuyeuses besognes. Une pirouette devrait suffire...

Il lance un regard mouillé en sa direction.
Salut de la main, par pure provocation.

Non. Et si elle était encore armée ? Malheur. C'est que les insectes se rebellent. Sales bêtes. Elles accumulent maintenant la furie des éléments dans leurs pattes minuscules. Pas de panique. Les yeux bruns quittent leurs ennemis glacés et portent leur prunelle sur les murs du tombeau en devenir. Une porte après l'autre, chacune des sorties est considérée par l'esprit bouillonnant du chambellan refroidi. Surtout, rester calme. Ou bien...
Fou que tu es, ne vois-tu pas la Mort qui te guette ?
Tout bon maire se doit d'accomplir son devoir.
Le plancher vibre des pas que ses pieds y jette.
Un cri résonne dans les couloirs.

ON NOUS ATTAQUE ! AUX ARMES !

Le mensonge comme devise et la lâcheté pour étendard...
Cymoril
Fourmi ! Comme vous m'avez manqu...

Ben non... Elle l'a pas manqué !
Le bras n'a pas faibli, la résolution non plus.
Qu'il réclame l'exécution de la sentence maintenant, mais jamais elle n'apposerait ses lèvres sur le premier pouilleux venu pour une miche de pain. Fut-elle en or !

Le regard croisé la ferait sourire si elle n'était si... agacée.
Que dire alors de la surprise éprouvée alors qu'elle le voit fouiller des yeux, cherchant une échappatoire, derrière chaque porte peut-être ?
Hésiterait-il soudainement ?


Curieusement.. vous aussi.

Fourmi a le propos spartiate en cette heure matinale.
Il faut dire aussi qu'elle a hâte de retrouver sa chambre, de réclamer un baquet d'eau brûlante et de tenter une nouvelle fois de s'y dissoudre comme l'un de ses savons aux parfums délicats qu'elle aime à passer sur sa peau. Sans savoir évidemment quelle formidable surprise l'attend d'ailleurs dans la dite chambre.

La suite...
Une Fourmi qui reste coite.
Si, c'est possible.
Devant l'énormité de la chose.
Le Fou appelle, scande...


ON NOUS ATTAQUE ! AUX ARMES !

La main gantée lentement se pose sur le pommeau de l'épée.
Nonchalamment.
Attaquer ? Se battre ?
Un sourcil se hausse finalement amusé.


Diantre...

Vous voilà dépourvu d'arguments à ce point que vous en appeliez aux armes ?


Elle ne bougera pas d'un iota.
Sourire en esquisse, en attente de la suite qui semble prometteuse.

_________________
Edern
Parti pour mourir héroïquement le chapeau au vent, le Fou s'arrête au bout de trois pas. Il est fini, ruiné, perdu. Aux appels au secours d'un maire désespéré, personne n'a répondu. Mais que fait la milice ? Ses concitoyens bien-aimés l'auraient-ils abandonné ? Ingrats. Les yeux sombres considèrent un instant la fenêtre que la lueur du matin éclaire timidement, échappatoire bien léger au vu de la folie de l'insecte meurtrier. Non. Il ne s'en sortira pas par là. Trop humide, trop froid. Aux autres le gel, le rhume et les soins... eh bien quoi ! Plutôt crever que d'attraper la crève.
Dernier soupir, paupières closes, bras en croix.
C'est ici que tout s'achève.


Vous voilà dépourvu d'arguments à ce point que vous en appeliez aux armes ?

Enfin. Une phrase, une seule, à laquelle se raccrocher. Un terrain de jeu moins infect, plus direct. Le regard brun se lève soudain, dévie du dard de fer de la Fourmi armée, flotte dans les airs tant que la langue n'a pas trouvé les mots qu'elle cherchait. Tu veux que je brille ? Reste là, ne t'échappe pas. Nouveau croisement de pupilles.

Allons... que pourrais-je bien faire contre la force de votre poignet ?

Cinq doigts ratissent lentement les cheveux ruisselant.
Rien ne vaut l'effet de surprise, décidément.

Vous avez fait bon voyage ?

Sans plus de cérémonie, ou peut-être que si, il se tourne vers le mur proche et son étagère.
Y soulève presque difficilement une boîte cliquetante, la pose par terre.
Le coffret s'ouvre sur une poignée de piécettes rouillées.
Ton grave, genou plié contre le plancher.

Par pitié, prenez tout...

Voilà la monnaie de notre dérision.
Une journée ordinaire à Craon.
Cymoril
Si on lui avait dit qu'un spécimen du genre pouvait exister, à l'exception d'un ontologue orthézien, elle n'y aurait pas cru avant de l'avoir sous les yeux... L'esprit s'égare brièvement, cherchant dans le physique ressemblance plus marquante encore... avant de se secouer mentalement pour revenir au présent, laissant temporairement de côté les similitudes entre les deux zigues. Mais quand même...

Du haut de ses quatre pieds neuf pouces, jamais elle n'aurait pensé non plus que tel argument lui serait servi un jour.
Si allusion cachée il y avait, elle n'en saisit évidemment pas le sens caché, répondant très terre à terre :


Taratata.. Vous n'y connaissez rien ! Dans la manipulation d'une épée, c'est la souplesse du poignet qui prévaut, pas sa force...

Elle ne s'étend pas sur la charge de cavalerie légère, il risquerait de tomber en syncope sinon.
Un sourire amusé ayant établi ses quartiers provisoires sur les lèvres de la demoiselle, le sourcil haussé devant l'effet "Parce que je le vaux bien !" qui encore une fois la laisse coite le temps qu'il en arrive à offrir les biens municipaux sans qu'on lui ait rien demandé.

L'oeil s'amuse devant le vide sidéral de la cassette, alors que résonnent deux mots à son oreille... Pitié et prendre... Si éloignés loin de l'autre. La pitié voudrait que l'on donne, la résolution de prendre n'admettant aucune notion de la première. Grimace furtive d'une douleur refoulée. Ou comment le corps rappelle ses propres impératifs.


Dans ma grande, que dis-je, mon immense mansuétude... Elle a toujours aimé les termes légèrement grandiloquents, sans doute pour compenser sa trop petite taille. Je vais vous faire grâce... pour cette fois.

Elle retient l'envie de rire.
Foutue Fourmi. Pas moyen de conserver une once de colère.
Toutefois, elle n'en oublie pas la raison de son entrée quelque peu théâtrale. Ni la lancinante qui frappe avec violence dans ses tempes.


Adoncques, je vous saurai gré de bien vouloir rectifier cet affichage... Il n'est pas question que j'embrasse qui que ce soit...

C'est vrai quoi !
Elle pousse même la plaisanterie en une esquisse de révérence cliquetante, entre la cotte et l'épée. Lâchant quelques mots avant de tourner les talons et repasser la porte pour s'enfoncer dans le margouillis des rues sous les premiers rayons d'une aube encore hésitante.


Et de grâce relevez vous... C'est ridicule vous savez !
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Edern
Elle s'en amuse, mais elle l'a dit. Souplesse et manipulation. Le couple privilégié des voleurs, des tricheurs et des menteurs. À l'épée comme aux autres armes. Au Diable la force des brutes... l'esquive est reine, souveraine. Plions pour les rompre, tous autant qu'ils sont. Quand celui qui courbe l'échine se pourlèche les babines... cet appétit est sans fin. Elle va comprendre. Elle a peut-être déjà compris, elle qui réprime sa défiance et se fend d'une salutation de circonstance. On joue, Fourmi ? À la bonne heure. Bienvenue sur le pont vacillant des marins pécheurs. On y danse, on y tourne tous en rond...
Une ronde joyeuse et cruelle.
Quelle est sa conclusion ?


C'est ridicule vous savez !

Le brun de l'iris cesse d'observer la silhouette, marque un arrêt.
Un souffle la suit dans son sillage, réponse à une question non posée.

Oui... je sais.

Clac. La porte refermée, il décide de se relever. Retire à son habit noir le reste de blanc neigeâtre. Puis il vide l'infortunée cassette dans un coffre plus conséquent, où les écus se comptent déjà par dizaines et cents. Les maires sont d'un naturel prudent. Que croyais-tu, Fourmi... le Fou aussi sait amasser. Une fois les caisses remplies, d'autres richesses s'écouleront dans les ruelles de Craon. De celles qu'on offre sans modération... laissons les rats venir, et le navire rejoindra bientôt le fond.
Derrière lui, un toussotement. L'homme de la mairie, discret et effacé, ose se faire remarquer.
Il a tout entendu, l'indiscret. On pourrait en faire un pendu...
Faisons mine de l'écouter, histoire de le vexer.


Faut-il procéder aux modific...

Main levée pour couper court à toute proposition.
Il serait dommage de se priver d'un tel affichage !

Bien sûr que non. Elle nous encourage...

Employé vite congédié. Qu'il est facile de se faire maître... l'art du service est bien plus délicat. On y frôle le désastre à chaque fois, les occasions de décès n'y manquent pas. Certains en rient, d'autres en pleurent... curieux métier que celui des serviteurs. Il en a croisé de toute sorte. En a été, en est et en sera encore. Fou des rois... quoi que ce soit, des notes aux mots, des rues aux châteaux, le chambellan vagabond servira toujours.

Coup d'œil jeté au dehors.
Murmure au lever du jour.

Monsieur le bourgmestre, c'est l'aurore...

Le bureau attend ses directives, d'une plume lascive.
Quatre jours et une mairie... le Fou, dernières pitreries.
Alphacat
Cat vint se présenter à la mairie, pour prendre ordre auprès de la duchesse.

Il se fit accompagner au bureau du maire.

en entrant il vit la duchesse fouiller dans les dossiers, les paperasses, c'est vrai que c'était un sacré foutoir cette mairie.


Bonjour votre Grasce.

J'ai fait bonne route et je viens vous aider.

j'ai fait porter du bois, du fer et quelques pains pour les villageois.

Avez vous besoin de quoique ce soit d'autre?
Delfius
Duchesse,
je tiens a vous remercier pour avoir libéré le village de Craon. J'espère qu'à la prochaine migration, ces oiseaux de malheur iront se poser ailleurs et que les Craonnais vivront libre.

pour Craon, pour l'Anjou
Alphacat
Cat vint afficher un petit velin sur le panneau de la mairie.

Citation:

Villageoises, villageois,

nouvel arrivage de bois au marché 60 stères.

Les artisans sont priés de se servir raisonnablement, afin que chacun puisse travailler.

Les villageois peuvent déjà constater que les denrées ne s'entassent plus a des prix prohibitifs, la régulation porte déjà ces fruits.

Je vous demanderais de ne travailler ou embaucher dans vos champs que pour abattre les animaux, et de vous rendre le plus souvent possible à la mine d'or.

La mine d'or va me permettre d'avoir plus de liquidités pour racheter vos productions et ainsi relancer l'économie de la ville.

Le calcul est simple : chaque travailleur de la mine d'or produit 2 ecus au duché toute charge déduite.

35 mineurs font 70 écus par jour, soit en arrondissant 500 ecus par semaine.

Si vous remplissez la mine je fais la promesse d'investir cet argent dans votre marché, dans vos productions.

alphacat CAC ducal

Brennus_de_reikrigen
Brennus venait de prendre le relais de la duchesse à la mairie,il alla ensuite en faire l'annonce aux habitants.

Citation:
A tous!

Moi Brennus des Sénons, Juge d'Anjou et chef de l'armée "Abusus Non tollit Usum...",
prend désormais le relais de notre exceptionnelle duchesse Salebete de Krenneg-Monfort à la tête de votre mairie.

Par conséquent, je m'engage à faire tout ce qu'il faut pour permettre a tous de s'épanouir et prospérer.

Notre CAC continuera bien sur à assainir le marché et je l'y aiderai.
J'insiste également sur le fait que de nombreux mainois viennent souiller cette ville de leur pas boueux, dénoncez les et nous les pendrons!

Je suis à votre écoute pour toute question.

Brennus des Sénons.

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Meltreize.
Mel arriva avec Mat et Alek, ses compagnons de voyage.

Sa première visite fut pour le maire Messire Brennus.

Un sourire accroché au lèvres malgré la fatigue de la route, la jeune femme avisa par la porte entrebaillée le vaste bureau où le maire, assis sur un imposant fauteuil proportionnel a la stature du sire, rédigeait quelques courriers.

Mel prit un morceau de tissus blanc dans sa sacoche , passa le bras dans l'ouverture de la porte afin d'agiter son drapeau de fortune et seulement apres passa la tete!!


Monsieur le Maire, mes salutations. on n'se connait pas mais avant que vous ne m'abattiez, je suis Meltreize, CAC et MA de mayenne....et chuis une gentille ...je peux entrer??
Arnaello
Arnaello franchit les murs d'entrée de Craon les yeux syntillants de bonheur car, enfin il allait pouvoir participer à la vie municipale, discuter des affaires du villages avec ses voisins et de profiter d'une bonne chopine en taverne en compagnie des Dames les plus charmantes de Craon, d'ailleurs ne dit-on pas que toutes les femmes sont chamantes ?
Ca y est, depuis tout gamin, Arnaello attendait cela, voler de ses propres ailes guidé par Aristote sur le chemin de la vertu en oubliant le bien triste passé qu'Arnaello vécut dans son enfance.

Il arpentait les ruelles toutes plus belles les unes que les autres de ce charmant petit village en espérant croiser le tribun qui l'a chaleureusement acceuilli ici. Il admirait les différents commerces présents au marché et Arnaello murmura

Hmm que de bonnes choses ici
Puis à la suite de sa promenade, Arnaello arriva net devant un batiment. Un grand batiment qui affichait toute la splendeur de Craon et de l'Anjou: la Mairie.
En tout bon habitant, il décida d''aller saluer le maire. Peut-être n"est-il pas dans son bureau ? Tant pis.
Arnaello frappa à la porte

Toc toc toc
Puis il saisit la poignet et entra dans la mairie en saluant le maire:
Bonjour monsieur le maire, je suis Arnaello, nouvel arrivant à Craon et je viens me présenter à vous! Enchanté !
Brennus_de_reikrigen
Brennus vit entrer un homme.
Bonjour Arnaello, moi c'est Brennus, maire et juge tout puissant.
Bienvenue en Anjou, la plus grandiose des provinces du monde connu.

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Arnaello
Bonjour monsieur le maire
Enchanté de vous rencontré, je suis venu dans votre bureau vous faire part de mon arrivée et ma joie de vous rejoindre mais j'imagine que vous avez beaucoup de travail..
Je vais donc vous laisser et je reste a votre entière disposition Sire.


Arnaello se retourne et avant de sortir de la mairie, adressa un hochement de la tête chaleureux en prononcant:

Au plaisir de vous croiser à Craon !

Arnaello sorti et s'élança en direction de la taverne, Le Dolmen, où ses amis l'attendent.
Brennus_de_reikrigen
Messire, j'ai en effet beaucoup de travail, mais si vous souhaitez rencontrer des gens et vous impliquer, je vous conseil l'armée ducale.
Tous les grands de ce duché y sont passés.


Allez y c'est par
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