Afficher le menu
Information and comments (9)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[rp] Grec ou pas Grec?

Enguerranddevaisneau
Ce rp se déroule quand Enguerrand avait 12 ans, peux après sa rencontre avec Thibauld...
Rp fermé sauf invitations expresse de moi ou JD Thibauld


L'Anjou, terre ou règne la raclure, les désoeuvrés et les pommés en tout genre...
Terre également ou une famille noble, anti-royaliste prospère...

Nom: Les Penthièvres
Signes distinctifs: Extrêmement grossier
Nombre: Inconnue, mais très élevé
Descriptions physique: Moche, couvert de furoncle, l'air fou
QI: Equivalent à une moule restée trop longtemps au soleil

Et en cette matinée, suite à un billet glissé discrètement dans sa poche, le Baron d'Ittre avait rendez vous avec un Penthos de son age, au verbe fleuri...
Son canard en sucre, son grec à lui, son poulet au oignons, Thibauld, fils de la duchesse Kilia..
Le seul, malgré des rapports plus que tumultueux, que le Vaisneau estimait, appréciait..Le seul qui lui tenait tête de fort belle manière, chose non aisée quand on connaissait la teigne blonde...

De plus, le Penthos de service s'était mis dans la tête qu'Enguerrand pourrait avoir des attirances vers les hommes, choses amusante et consternante, le jeune garçons étant amoureux de sa nourrice, la belle Fildaïs..
Oui, tout celas l'amusait au plus haut point, et c'est donc d'un pas décidé qu'il se dirigeait vers le lieu du rendez vous, la tour d'un duc dons il ne connaissait plus le nom...

Bien à même de montrer qu'il venait en paix, confiant, naïf peux être, le blond avait demandé à ses valets de l'attendre à l'auberge, il serait à même de se défendre, et ne craignait pas le Penthos, sachant qu'il le valait largement, ayant lui aussi reçus une éducation militaire, ayant même guerroyer il fut un temps au côté de sa marraine...

Marchant d'un bon pas, il arrive sur le lieu, cherchant du regard le jeune homme...

_________________
Thibauld
Rendez vous galant. Enfin...non Rendez vous tout court. Galant c'est un gros mot qu'on réserve aux histoires d'amour. Là il n'est pas raison d'amour... Quoi que ça dépend pour qui. Tout cela n'a aucune importance, l’essentiel c'est que ça doit ressembler point pour point à un rencard. Un petit mot anonyme qui donne rendez vous au pieds de la tour Vadikura. Bien habillé et bien coiffé mais assez chaudement tout de même parce qu'il fait froid à cette époque là de l'année. Au programme promenade tranquille dans la neige au bord de la Loire, le truc trop charming quoi si vous voyez le genre. On discute, on rigole (on se force plutôt pour paraître vraiment amoureux), on est dégoûté par ce qu'on est entrain de faire, on pense à sa petite blonde qui ignore tout de la trame qui est entrain de se jouer mais on en dit rien et on se contente de jouer le jeu... de jouer le grec pour le plaisir de l'autre. La divine comédie quoi

Thibauld attend patiemment appuyé contre le mur de la tour Vadikura. Il ne cesse de se répéter que tout va bien se passer, que tout est parfait qu'il n'y a aucune raison de s’inquiéter mais il est un peu inquiet. Sera-t-il capable d'aller au bout ? Saura-t-il passer à l'acte un jour avec Enguerrand ? Il ne sait pas. Il aimerait bien pouvoir se le jurer mais quelque chose en lui l’empêche d'en être si sûr. Lui qui est pourtant toujours si déterminé et si confiant dans tout ce qu'il entreprend. Cette fois c'est différent. Il est question d'un domaine qu'il n'a jamais expérimenté et qui lui ai totalement inconnu. Pourtant Thibauld doit le faire c'est indéniable. Il en a besoin au fond de lui sauf qu'il n'arrive pas à affirmer avec certitude qu'il va y arriver et ça le fout en rogne


Oui j'vais l'faire siffle-t-il adossé contre le mur les deux pieds dans la neige

Finalement il aperçoit Enguerrand de Vaisneau qui approche. Il semble qu'il le cherche. Normal quoi que quelqu'un avec qui vous avez convenu d'un rendez-vous galant vous cherche au lieu de rencontre. "Vas y cherche mon canard cherche.... et trouve" pense-t-il moqueur. Enfin le blondinet trouve le soit disant objet de tous ses désirs. Le seul Penthièvre qu'il imaginerait bien au fond de sa couche. De toute manière quand on est grec on aime Thibauld de Chandos-Penthièvre. C'est une évidence. Si on ne l'aime pas c'est qu'on s'est trompé et qu'on peut retourner auprès des femmes. Son jeune camarade qu'il pense grec (il l'est peut être vraiment remarquez) vient vers lui. A quelques pas il s’arrête et le regarde l'air interrogateur. Thibauld se laisse mirer par le jeune Vaisneau qui le fixe profondément. "Comme il matte trop". Alors le ducaillon en profite pour l'agacer un peu et commence à l'ignorer. Ça le fait marrer intérieurement mais l'autre lui n'a pas l'air super emballé par l'humour angevin.
Finalement quand il se met à froncer ses petits sourcils couleur de blé il parle.


A salut ! Je t'avais pas vu ! Tu es venu dis moi ? C'est que je dois vraiment te plaire pour que tu braves le froid rien que pour mon petit minois mon canard. J'ai pas raison ?

Un grand sourire narquois est maintenant dessiné sur les lèvres du petit Penthos
_________________
Enguerranddevaisneau
Enfin sur place, le blond regarde mi figue-mi raisin le Penthos de service l'ignorer...
Profitant de ce laps de temps pour le détailler un instant...
Ils étaient tout deux physiquement (comme mentalement d'ailleurs) des opposé...
Aussi brun qu'il était blond, le Penthièvre était légèrement plus petit que le Vaisneau, néanmoins beaucoup plus costaud, plus râblé, alors que le blond était fin, chétif, plus élancé...

Froncement de sourcil à cette inspections quand sa grâce Penthièvrique daigne enfin lui accorder la parole...
Tentant d'éviter un gloussement propre à la gente féminine, il répond, amusé:


Tu as parfaitement raison mon petit chat...Je serait prêt à traverser le royaume pour te voir...

Et à son tour de sourire de manière insolente, tandis que sa main traverse la chevelure d'or dans un geste parfaitement calculé...

Content que tu ai enfin accepté ton coté grec, j'avait bien raison, comme à l'accoutumée...

Il aimait à rentrer dans le jeu du fils de Duchesse, l'agaçant comme il se devait, étant tout deux comme chien et chat...
Cherchant de nouvelle idée, il continue:


D'ailleurs, tu m'a invité pour quoi? Me déclarer ta flamme? Enfin...?

Et un rire intérieur résonnant dans la tête du baron, se disant qu'il ne manquerait plus que ca tient, que le Penthos soit lui même grec et qu'il lui clame ici son amour...
Un sourire involontaire pourfendant maintenant son minois,s'imaginant l'énorme quiproquo que cette situation risquait de créer...Il inflige sa dernière flèche à défaut de cartouche pour l'époque...


D'ailleurs, sachant que tu part bientôt en bateau, je pensait à venir te voir au port, te dire adieu à l'aide de mon mouchoir blanc, les larmes au yeux*

Et de fixer avec amusement les émeraudes Penthièvrique...


*Non non, aucune référence aux mélodrames qui suivront à notre époque..
_________________
Thibauld
Le petit Vaisneau est marrant quand il veut. Vraiment très drôle. Bien sûr il ne le fait pas exprès. Il est tellement amoureux mais quand même. Il en fait tellement qu'on croirait presque qu'il joue la comédie. Pff absurde. Thibauld lui se force à paraître grec mais pas Enguerrand. Pas le petit Blond qui vient de lui répondre qu'il serait prêt à traverser tout le royaume pour lui. C'est même un peu décevant. Thibauld pensait qu'il serait prêt à traverser trois fois le monde pour un simple regard mais qu'importe. Il ne veut pas trop montrer ses sentiments. Il se force à donner l'impression qu'il est moins amoureux qu'il ne l'est vraiment car il a un peu honte d'être grec (il y a de quoi*). C'est de là que vient cette expression théâtrale dans le discours du jeune homme. Aucun doute la dessus.

Thibauld fait un pas en avant pour se rapprocher de son "canard" et lui murmure à l'oreille en veillant à ne pas trop s'approcher tout de même


Vraiment ? Tu me flattes canard. Je savais tu étais attaché à moi mais à ce point ? Si tu es prêt à traverser le royaume pour moi tu es sans doute prêt à faire bien plus que cela si tu vois ce que je veux dire.

Il a recomencer à neigoter sur Saumur. L'enfant Penthievrique lève les yeux vers le ciel pour contempler les flocons qui tombent lentement des cieux. Il fait ça pour ne pas à avoir a soutenir le regard du grand blond sans chaussure noire. Ce regard si amoureux qui lui fixe les mirettes depuis tout à l'heure. Ttt il peut pas regarder ailleurs trente secondes lui aussi ? Ces yeux de grec ça met Thibauld mal à l'aise.

Suivre la chute d'un flocon du regard c'est vachement amusant. Où est-ce qu'il vas atterrir celui là ? Putain ! Crétin de flocon, qu'est-ce que tu vas te planter dans les cheveux de l'autre ? J'crois qu'il attend ma réponse. Heureusement que j'ai continué de l'écouter sinon je serai quitte à le faire répéter.

Cependant ne vas pas prendre tes désirs pour des réalités p'tit loup. Il va falloir que tu me prouves que t'es digne de profiter de moi aussi facilement.

Moi accepté mon coté grec ? Et bien disons que...

Face à une telle question comment fait-on pour le pas être dégoûté par la réponse que la comédie nous oblige à donner. Non je ne peux pas lui balancer que c'est vrai. J'y arrive pas c'est trop dur pour moi de dire une telle ignominie. Il va falloir que je joue avec la vérité. Je réfléchis à ce que je pourrai bien lui balancer pour qu'il continue de marcher dans mon petit jeu.

... Plus ou moins vois-tu. Disons plutôt que je consent à te laisser une mince chance de me prouver que tu m'aimes plus que tout et que tu es mieux qu'une femme.


Voila une réponse fort bien trouvée. Thibauld s'en félicite. Le petit brun devient un défis que devra conquérir Enguerrand au prix de lourds efforts. Pendant qu'il sera occupé à chercher tous les moyens possibles et inimaginables pour faire succomber l'amour de sa vie, Thibauld pourra agir à sa guise. Enfin si il y arrive. Pourquoi est-ce qu'il n'arrive toujours pas à être sûr qu'il pourra le faire. Courage Thibauld. C'est l’ancêtre qui te parle. N'écoute pas ton cousin Aimbaud t'es un vrai Penthièvre et tous les morts de la famille (et y'en a quantité) sont derrières toi. Tu peux le faire. T'es pas un Bulot pour rien mon garçon !

C'est pour ça que je t'ai invité petit ange. Je n'ai ni l'envie ni le besoin de te déclarer ma flamme puisque je sais que tu m'aimes déjà par contre je pensais que tu profiterais de l'occasion pour me déclarer là tienne. Je suis même surpris que tu ne m'ais pas encore sauté dessus pour m'embrasser. Enfin bref, marchons mon caneton marchons. La Loire a été faite pour qu'on la longe. Mais dépêche toi je n'ai pas la journée à t'accorder et je te préviens tu vas avoir du mal à me séduire mon gros gâteau au miel tout sucré.

Tous deux s'éloigne à pas lent de la tour longeant le fleuve paisible. C'est pas moche comme paysage. Il fait un peut froid et les couleurs ne sont pas très joyeuse mais le petit brouillard givrant qui s'est levé à son son charme. Par contre c'est vrai que ça caille sévère. Thibauld est gelé mais déterminer à aller au bout. Hors de question de faire demi tour maintenant. S'assurant que son canard est bien passé devant sur le sentier étroit. Ils viennent à parler du départ de Thibauld le lendemain. Qu'est-ce qu'il commence à parler de ça lui ? Il veut trouver le point sensible du ptit ducaillon c'est certain. Nan mais il en faut plus que ça pour déstabiliser le petit Chandos. L'est pas le fils de sa mère pour rien !

Mais non enfin lapin. Ne viens pas sur le port. Je pourrai très bien te regarder t'éloigner mais toi... tu serais effondré de me voir partir et tu sais que j'ai quand même un coeur. Je ne voudrai pas que tu sois triste à cause de moi. Tu ferais mieux de rester à Saumur.

NB : *Pensée strictement RP pour quelqu'un qui vit en 1458

_________________
Enguerranddevaisneau
Amusé de voir le fils de duchesse aussi mal à l'aise en sa présence, le blondinet le laissait parler, sans lui donner aucune réponse...

Ils avaient tout deux commençait à marcher, et le paysage laissait pantois le Vaisneau..Nul doutes que ses azurines avait l'habitude de voir de belle chose, étant donné que le baron aimait à se contempler dans les miroirs autant qu'il le pouvait, mais voir ainsi la Loire s'éveiller était en tout point magique...

Haussement de sourcil à l'évocation d'un coeur qu'aurait Thibauld...Moue amusé sur le minois enfantesque de l'Ittre...


Un coeur? Sa sainteté serait elle en train de m'avouer ses faiblesses?

Et de rire d'un rire cristallin tandis que les premiers flocons de l'hiver viennent se perdre dans sa tignasse...
Regard pour le Penthièvre, il l'aimait vraiment bien, certes pas comme il le pensait mais tout de même...


Et crois moi, pour ne pas te sauter dessus, je fait de gros effort sur moi même...

Et de passer une main provocatrice dans la tignasse brune, jouant le jeu à fond...
S'étant enfoncé, il jette un oeil au alentours, la foret, il fait plus sombre...Loin de Saumure maintenant...


Euh...Où sommes nous?
_________________
Thibauld
La caille des îles et son canard en sucre continuent leur balade sans se soucier d'où il vont. Enfin ils suivent le chemin en se jouant mutuellement la comédie de l'amour frénétique. Ce théâtre amuse bien le petit Vaisneau quand même mais Thibauld quand à lui n'arrive pas vraiment à trouver un quelconque réconfort à cette situation. Toujours aussi mal à l'aise ne fait toujours que paraître. Il parait et il parle pour paraître épanouis mais sachez le il ne l'ai pas le moins du monde. Au contraire, il lutte au fond de lui contre sa propre conscience...

Alors comme ça pour Enguerrand de Vaisneau avoir est coeur est signe de faiblesse. Et bien mon caneton au miel et à la fraise des bois tu es plus froid que je le pensais. Un petit grec sans sentiment. Mais c'est qu'il joue les gros durs le petit blondinet. Rho canard ton petit coeur tendre en pâte d'amande fond rien que quand tu penses à moi. Fait pas semblant. Moi aussi je t'aime.

Quel bon petit grec cet Enguerrand quand même. Il va lui manquer. Enfin il est quand même dangereux et il commence à s'approcher un peu trop du fils Chandos. Voila qu'il se fait à lui passer les mains dans les cheveux. Thibauld aurait volontiers un mouvement de recul mais il doit jouer le jeu jusqu'au bout mais il serait préférable tout de même de ne plus trop traîner. On ne sait jamais où frappera la prochaine petite main grec qui bien que douce est grec.

Ouh mais je vois ça blondinet. Désolé de te décevoir si tu crois pouvoir me faire faillir avec une simple caresse dans mes superbes cheveux tu n'y est pas du tout. Dépêche toi mon amour si tu veux me conquérir. Je m'ennuie fermement et je n'ai hélas pas la journée à t'accorder.

Le baron d'Ittre n'est plus très rassuré dirait-on. La forêt lui fait-elle peur ? Ou alors ne serait-ce pas de la foret qu'il a peur mais son compagnon. Quelles sont les fondements de cette inquiétude subite. Il semblerait qu'il n'ai plus envie de jouer. Oui il a raison. Thibauld aussi commence à en avoir assez de cette farce burlesque. Il est grand tant d'y mettre un terme.
Jouant le dernier acte, Thibauld feint la surprise. Le regard égaré il fait un tour sur lui même comme si il faisait semblant de prendre ses marques. Bien sûr il sait très bien où ils sont pour y être déjà venu à maintes reprises. Son canard s'est avancé un peu, il lui tourne le dos mais il est encore trop loin. Encore un petit pas baron pense le duc à venir. Parfait il y est. A quelques pieds d'un chêne magistral au tronc large.


Où nous sommes ? Suffisement loin de Saumur pour que personne ne t'entende

Il s'est rapproché à pas de loup du jeune lion à la crinière d'or qui n'a pas bougé de son observatoire. Lentement il a sortit de sa livrée un poignard. Surpris par la réponse de Thibauld, Enguerand s'est retourné la mine sévère, les sourcils froncés. Mais à peine retourné il n'a pas pu réagir à temps. En une fraction de seconde il se retrouve plaqué dos à l'arbre poussé par toute la force musculaire du jeune ducaillon étonnamment développée pour son jeune age. Il tente bien de se débattre mais si il est plus agile que Thibauld, celui-ci a une force supérieure. Or l'effet de surprise à fait perdre au baron son avantage.
S'emparant du poignet d'Enguerrand il lui bloque les pieds et arrive à lui coller le couteau sous la gorge. Le corps à corps s’estompe. Le Baronnet sait que toute résistance physique est maintenant futile car elle lui serait fatale. Ils se regardent maintenant toujours collés l'un à l'autre. Est-ce de la peur dans les yeux de ce qui était son canard ou de la haine, de la déception ? Surement un peu des trois. Mini Penthos sent sur sa peau le souffle haletant de son adversaire qui se remet doucement de sa lutte


Je suis désolé Enguerrand mais je ne peux pas te laisser vivre. Ton penchant grec risque beaucoup trop de me pervertir. Pour mettre definitivement un terme à notre relation je ne vois qu'une seule sollution. L'un de nous deux doit mourir et je suis désolé de t'apprendre que ce sera toi.
Est-ce que tu as quelques chose à dire avant ?


Tous deux sont maintenant calmes, immobiles. Ils se regardent désespérément. Face au silence de sa victime il sait ce qu'il lui reste à faire sauf qu'il n'y arrive pas. Il n'arrive pas à se donner le courage de le tuer. Il n'est pas prêt. Si Enguerrand se remet à se débattre il lui tranchera la gorge c'est certain mais il doit l'avoir senti aussi car il ne bronche pas. Cependant têtu comme il est, le ducaillon ne renonce pas pour autant et attend. Ils pourraient attendre ainsi des année. Aucun échappatoire ne semble se présenter à eux. Pas pour Thibauld du moins

_________________
Enguerranddevaisneau
Une journée comme les autres? Non point, si on avait prédit au Vaisneau qu'il finirait collé à un tronc et à un Penthos, une dague menaçante sur le cou, pour sûr qu'il aurait réfléchit à deux fois avant de daignait quitter sa couche...Mais que voulez vous?

Bref, le voila donc coincé, un brun un peu trop musclé pour son age contre lui...
Et au Blond de déglutir avec difficulté tandis que le discourt du ducaillons fait son semblant de chemin dans la baronnesque tête...
Il voulait le tuer parcequ'il le pensait Grec et donc à même de le pervertir??? Mais didju, fallait bien être Angevin pour penser des choses comme celle ci...Et malheureusement pour notre héros, Thibauld l'était...Angevin, pas grec..Quoi que..
Soupirant un grand coup, et se ravisant aussitôt tandis que le tranchant de la lame l'égratigne, il dit:


Mais..Thibauld...Je..J'commencait...à croire que tu était mon ami...Je pensait que s'était un jeu...

Et d'être profondément déçus et attristé de se faire ainsi traiter...Soit il manquait une case au Penthièvre, soit il était encore plus con que l'avait pensait l'Ittre à leurs rencontre...Les deux dirons nous...

Le gros du problème étant qu'aucune explications ne serait entendus par Thib, il n'y avait qu'une seule manière de sortir de cette situation...Surprendre l'agresseur..
Chose non aisée quand on était ainsi coincé...
Une seule solutions vins aborder l'esprit de la teigne...Solution qu'il n'appréciait pas outre mesure...Mais le sacrifice valait sa vie...Sa peau...Et grand dieu comme il l'aimait sa peau...

Et de se maudire d'avance pour ce qu'il va faire, de fermer les yeux tandis que son visage s'approche incommensurablement de celui de l'autre môme.
Et de faire apparaitre dans son esprit une scène épique tandis que ses lèvres s'avancent encore..
La scène étant:


Lui, debout, beau comme un dieu, l'épée ensanglantée à la main, le cadavre de Finam actuel bourreau de se nourrice aux pieds, tandis que sa Fildaïs le regarde, heureuse qu'il l'ait enfin débarrassé du duc Angevin...Elle s'approche:
-Oh Eng, tu m'a sauvée des griffes de ce monstres..Je te dois une fière chandelle...
-Tu sait, c'est normal je suit un chevalier....
-Oui mais tellement plus courageux, et tellement plus beau...
-Allons, je sait tout ca...
-Oh Enguerrand, mon héros, ma vie, embrasse moi..J'ai toujours rêver de pouvoir le faire..
-On dirait que ton rêve va s'exaucer poupée!


Et voila que la blonde s'approche et l'embrasse, d'un baiser emplit de passion...

Pendant ce temps, les lèvres du Vaisneau elles aussi entrent en contact avec celles du Penthos...Dans sa tête, toujours Fildaïs, tandis que ses lèvres s'entrouvrent et que sa langue se mêle à celle de son "ami"...Baiser savoureux, très approximatif, relevant plus de léchages de visages...

Si témoins il y avait eu, pour sûr qu'il aurait remarqué le rayons de soleil qui vins éclairer les deux gamins tandis que deux colombes blanches virevoltaient autour d'eux...

Enfin, les lèvres des gamins se détachent, alors qu'Enguerrand soupire un "Fildaaaaïiiiiissss" de contentement...

Et là, là...Ouverture des mirettes, et retour à la réalité...Soit un Thibauld à la mine aussi choquée que la sienne...
Et de le bousculer, se dégageant en prononçant de manière très Angevine:


P'tain t'es crade!!!

Et de s'éloigner, tandis qu'il tente de reprendre son souffle, étouffant une nausée soudaine....

En tout cas...J'espère que tu vois bien sur mon visage que celas ne m'enchante pas...Je ne suit pas Grec espèce d'Idiot! J'aime les femmes!! Les vrais!

Et de grimacer, il n'avait que 12 ans, l'age ou on se cherche, et là s'était sûr...Bien que le baiser fut agréable, il aimait les femmes, et d'ajouter, pour persuader son partenaire (et lui même à l'occasion..)

Dommage que je n'ai que 12 ans...Parceque ce soir, pour oublier tout ca, sûr que je me serait fait une catin!!!
_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)