Sorane
Allons Duchesse, allez-vous déterrer toutes les vieilles histoires, ne pouvez-vous vous concentrer sur l'instant présent ? Et votre bilan ?
Au messire :
"Puisqu'il semble indispensable de noyer le poisson en ressortant de vieilles histoires... Autant vous informer de la triste réalité. Vous pourrez alors mieux juger.
Quand j'ai été Duchesse de Bourgogne, le château de la Franche-Comté a été pillé par une pair de France et ses sbires, dont notamment feu l'hérétique Aurelien. de Penthièvre et cela sans bien sur l'aval de la Couronne de France.
La Bourgogne est amie et alliée de longue date avec la Franche Comté et à ce titre, les pilleurs du Château ont été déclarées en Bourgogne comme indésirables et traqués, y compris la pair de France, qui hélas faisait partie de la belle famille de mon ami et mentor, parrain de coeur, Erik de Josselinière, pair de France.
Il se trouve que contre toute attente, mon parrain de coeur, pourtant si aristotélicien et si fier de sa Bourgogne, si passionné d'ordinaire dans la chasse aux criminels, a désavoué la Bourgogne et sa suzeraine et a soutenu sa femme, alors Duchesse d'Anjou qui exigeait que la Bourgogne présente des excuses à la pilleuse du Château de Dôle, parce qu'elle était de sa famille.
Évidemment, la Bourgogne ne pouvait pas s'abaisser à présenter des excuses à une pilleuse de château et une affameuse de peuple. Du coup, les avis de recherche ont été maintenus, il ne sera jamais dit que la Bourgogne si aristotélicienne accueille ou excuse les pires crimes parce que les criminels sont de la famille d'un pair bourguignon.
Être pair de France n'excuse pas le pillage d'un château et laisser tout un peuple vivre dans la pauvreté. Un crime reste un crime, qu'on soit noble, pair, avec une famille influente. Au contraire, il est encore plus inadmissible car il n'a pas pour excuse la pauvreté ou l'ignorance. Qu'en pensez-vous ?
Et c'est suite à mon refus en tant que Duchesse de brader l'honneur de la Bourgogne pour une criminelle, que mon parrain de coeur m'a trahie. Non ce n'est pas moi qui l'ai trahi mais bien lui. Il ne m'a plus soutenue en politique, j'ai même appris qu'un autre parti regroupant ses proches amis était informé de tout ce qui se disait dans les lieux de réunion de Boum. Il a été jusqu'à menacer mes propres colistiers pour qu'ils ne votent pas pour moi en tant que Duchesse...
Attristée et déçue de voir mon mentor et mon ami me retirer son soutien parce que j'ai agis en bonne Bourguignonne et en bonne aristotélicienne, j'ai préféré ne pas m'imposer et j'ai quitté le parti dont le fondateur s'était détourné des valeurs qu'il défendait naguère... et qu'il semble défendre à nouveau aujourd'hui.
Il faut croire que sa femme étant enceinte, il avait voulu ménager avant tout la paix du foyer et passer les caprices de sa femme et de sa famille criminelle.
En attendant, je ne changerai rien, un Duché ne se gère pas en fonction de ses liens de coeur ou de ses affinités personnelles et donc pas en fonction de caprices, mais selon des vertus et des principes. Non la Bourgogne ne pouvait pas s'abaisser à cautionner et à excuser un crime, le pire crime qu'il soit, celui d'affamer tout un peuple, pour ménager la femme d'un de ses pairs.
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Au messire :
"Puisqu'il semble indispensable de noyer le poisson en ressortant de vieilles histoires... Autant vous informer de la triste réalité. Vous pourrez alors mieux juger.
Quand j'ai été Duchesse de Bourgogne, le château de la Franche-Comté a été pillé par une pair de France et ses sbires, dont notamment feu l'hérétique Aurelien. de Penthièvre et cela sans bien sur l'aval de la Couronne de France.
La Bourgogne est amie et alliée de longue date avec la Franche Comté et à ce titre, les pilleurs du Château ont été déclarées en Bourgogne comme indésirables et traqués, y compris la pair de France, qui hélas faisait partie de la belle famille de mon ami et mentor, parrain de coeur, Erik de Josselinière, pair de France.
Il se trouve que contre toute attente, mon parrain de coeur, pourtant si aristotélicien et si fier de sa Bourgogne, si passionné d'ordinaire dans la chasse aux criminels, a désavoué la Bourgogne et sa suzeraine et a soutenu sa femme, alors Duchesse d'Anjou qui exigeait que la Bourgogne présente des excuses à la pilleuse du Château de Dôle, parce qu'elle était de sa famille.
Évidemment, la Bourgogne ne pouvait pas s'abaisser à présenter des excuses à une pilleuse de château et une affameuse de peuple. Du coup, les avis de recherche ont été maintenus, il ne sera jamais dit que la Bourgogne si aristotélicienne accueille ou excuse les pires crimes parce que les criminels sont de la famille d'un pair bourguignon.
Être pair de France n'excuse pas le pillage d'un château et laisser tout un peuple vivre dans la pauvreté. Un crime reste un crime, qu'on soit noble, pair, avec une famille influente. Au contraire, il est encore plus inadmissible car il n'a pas pour excuse la pauvreté ou l'ignorance. Qu'en pensez-vous ?
Et c'est suite à mon refus en tant que Duchesse de brader l'honneur de la Bourgogne pour une criminelle, que mon parrain de coeur m'a trahie. Non ce n'est pas moi qui l'ai trahi mais bien lui. Il ne m'a plus soutenue en politique, j'ai même appris qu'un autre parti regroupant ses proches amis était informé de tout ce qui se disait dans les lieux de réunion de Boum. Il a été jusqu'à menacer mes propres colistiers pour qu'ils ne votent pas pour moi en tant que Duchesse...
Attristée et déçue de voir mon mentor et mon ami me retirer son soutien parce que j'ai agis en bonne Bourguignonne et en bonne aristotélicienne, j'ai préféré ne pas m'imposer et j'ai quitté le parti dont le fondateur s'était détourné des valeurs qu'il défendait naguère... et qu'il semble défendre à nouveau aujourd'hui.
Il faut croire que sa femme étant enceinte, il avait voulu ménager avant tout la paix du foyer et passer les caprices de sa femme et de sa famille criminelle.
En attendant, je ne changerai rien, un Duché ne se gère pas en fonction de ses liens de coeur ou de ses affinités personnelles et donc pas en fonction de caprices, mais selon des vertus et des principes. Non la Bourgogne ne pouvait pas s'abaisser à cautionner et à excuser un crime, le pire crime qu'il soit, celui d'affamer tout un peuple, pour ménager la femme d'un de ses pairs.
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