Syerry
[Annecy la Captive, Taverne de la résistance, brunante de la deuxième attaque]
Un certain temps aura passé depuis son arrivée au village qui l'eu hébergé un bon nombre de nuitées, moult lunes et nombreux ciels bleus et plusieurs soleils....
Elle aura retrouvé ses pairs, proches de cet antan et du temps présent. Jentes aura aussi découvert nouvelles amitiés, des combattants pour une Annecy Savoyarde, des croyants soit de la vraie Foy ou vivant de justes valeurs.
Nashia était l'une de ceux là. Une amie nouvellement trouvée en ce temps ou la lune semble recouvrir les terres environnantes...
Elle savait ce qui se mijotait au delà les horizons Genèvois. Les combats avaient débuté, les rassemblements de fiers combattants s'avèraient une solide croisée de fer. Et Syerry qui aura fait guerre à plusieurs reprises, était ici. Ses armes bien astiquées attendaient avec espérance et ses piètres talents de médicastres auront été mis à l'oeuvre auprès de ceux déjà tombés.
Pas un jour aura passé sans prière ardente. La croix entaillée en sa chair picottait de sa foy. L'état d'âme d'un chevalier démissionaire n'était point trop beau à voir mais par le biais de la parole silencieuse adressée au Tout-Puissant, elle pouvait garder espoir grand.
Après avoir fait la tournée des blessés, de ceux qui auront combattus avant même son arrivée et qui n'auront choix de tendre aux plaies laissées par l'Hérésie, notre petit boute de guerrière se dirigera vers la taverne ou cette solide femme se retrouve.
Aequitas solidement ancrée à sa main, ceinturon nichant sa lame de Chevalier, et vêtue de ses apparats "d'en cas ou on tenterait l'intentable contre elle", Jentes filera vers la Résistance...
Sa hanche fera de la porte, sa proie, l'ouvrant avec autant de délicatesse que possible puis Syerry pénètre en le lieux et voit dès lors Nashia qui s'affaire à un je ne sais trop quoi.
Pax Vobiscum à toi, Nashia!
La clarté de son bleu se pose sur un tabouret qu'elle visite sans trop tarder, laissant son arrière train y choire avec douceur. L'arme appuyée au comptoir, la vivacité toujours éclairant son regard elle saluera ensuite en inclinant le chef avec respect.
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Un certain temps aura passé depuis son arrivée au village qui l'eu hébergé un bon nombre de nuitées, moult lunes et nombreux ciels bleus et plusieurs soleils....
Elle aura retrouvé ses pairs, proches de cet antan et du temps présent. Jentes aura aussi découvert nouvelles amitiés, des combattants pour une Annecy Savoyarde, des croyants soit de la vraie Foy ou vivant de justes valeurs.
Nashia était l'une de ceux là. Une amie nouvellement trouvée en ce temps ou la lune semble recouvrir les terres environnantes...
Elle savait ce qui se mijotait au delà les horizons Genèvois. Les combats avaient débuté, les rassemblements de fiers combattants s'avèraient une solide croisée de fer. Et Syerry qui aura fait guerre à plusieurs reprises, était ici. Ses armes bien astiquées attendaient avec espérance et ses piètres talents de médicastres auront été mis à l'oeuvre auprès de ceux déjà tombés.
Pas un jour aura passé sans prière ardente. La croix entaillée en sa chair picottait de sa foy. L'état d'âme d'un chevalier démissionaire n'était point trop beau à voir mais par le biais de la parole silencieuse adressée au Tout-Puissant, elle pouvait garder espoir grand.
Après avoir fait la tournée des blessés, de ceux qui auront combattus avant même son arrivée et qui n'auront choix de tendre aux plaies laissées par l'Hérésie, notre petit boute de guerrière se dirigera vers la taverne ou cette solide femme se retrouve.
Aequitas solidement ancrée à sa main, ceinturon nichant sa lame de Chevalier, et vêtue de ses apparats "d'en cas ou on tenterait l'intentable contre elle", Jentes filera vers la Résistance...
Sa hanche fera de la porte, sa proie, l'ouvrant avec autant de délicatesse que possible puis Syerry pénètre en le lieux et voit dès lors Nashia qui s'affaire à un je ne sais trop quoi.
Pax Vobiscum à toi, Nashia!
La clarté de son bleu se pose sur un tabouret qu'elle visite sans trop tarder, laissant son arrière train y choire avec douceur. L'arme appuyée au comptoir, la vivacité toujours éclairant son regard elle saluera ensuite en inclinant le chef avec respect.
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