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[Ducales/RP] BAFFE : Des hommes qui ont de la poigne.

Mariealice
Elle n'avait pas tout compris la brune au départ de la rousse et elle n'aimait pas cela, la brune. Elle se leva donc pour ramasser la lettre à terre et leva les yeux au ciel.

Je ne sais pas ce que tu comptes faire Enguerrand mais à mon avis le spectacle va valoir le détour.

Et de descendre aux écuries à son tour pour suivre le même chemin, à brides abattues histoire d'en louper le moins possible. Une Ewa en rogne face à un Eusaias qui allait, sans nul doute, faire montre de son habituelle mauvaise foi.

Lieues avalées aussi rapidement que possible en maudissant le froid qui allait la faire ressembler à un bonhomme de neige avec un nez rouge à la place d'une carotte. Arrivée sur les chapeaux de roues, monture filée contre quelques écus pour sa garde puis direction vers la place. Juste à temps pour assister à la scène. Large sourire en s'approchant par derrière après avoir contourné l'attroupement, capuchon toujours rabattue sur sa tête, dague à la main et piquage de fesses de vassal.

Alors Eusaias, on fait encore n'importe quoi et on espère que je n'en saurais rien? Tssss.... Gaffe à vos miches, je suis d'humeur joueuse.

Et de découvrir son visage histoire d'être reconnue et de calmer une quelconque tentative de représailles.
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Maud
Misère.. Elle savait bien Maud que Euasias était un homme recherché par les dames, et là ça en pleuvait de tous les côtés.
La première lui avait même pas accordé un regard.
La seconde, une furie la bouscula et fit tomber le boudin. Boudious, gâcher de la nourriture comme ça, pas possible. Maud le ramassa, l'essuya dans un pli de son tablier avec un froncement de sourcils.
A peine relevée qu'une troisième se présenta et piqua le fondement de son "Grand Monsieur" comme elle l'appelait. Elle avait enfin compris ce que voulait dire "autographes" et éclata de rire.


Bah m'dame, j'sais pas si c'est comme ça qu'vous faites un "autographe", mais moi ça m'plait bien.
Ewaele
Elle savait au fond d’elle deux choses au moment où elle se retrouva devant Eusaias, d’une qu’il ne se démonterait pas, toute colérique qu’elle pouvait être et toute BAFFE qu’elle venait de lui administrer, il en faudrait plus au balbuzard pour tomber à ses genoux… Ben quoi ? Il était permis de rêver non ? Et la seconde, que c’était une mauvaise idée de tenir son épée à dextre quand on est gauchère… Mais vu qu’elle voulait une gifle sonore et retentissante, elle n’avait eu vraiment le choix, elle avait voulu rentrer dans la place plutôt que de s’assurer d’y rester, c’était bien dommage car sa proie lui échappait de la plus vile façon… Et monsieur trouvait encore le moyen de faire de la répartie à deux sous dont tout le monde se moquait éperdument sauf elle sans doute à ce moment là !

Vous auriez dû tendre l’autre très cher, cela aurait permis de ne point faire de jalouse, dit-elle tout en regardant le rouge que sa main avait laissé sur la joue du Baron. Chante beau merle chante se disait-elle pendant qu’il continuait son petit numéro de charme sur les autochtones présents…

Un pot d’encre suffira amplement, j’y tremperai la pointe de mon épée afin de laisser mes initiales là où il se doit…

Mais elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’une pointe venait déjà érafler le cuir qu’elle comptait mettre à mal, et la voix lui tira enfin un sourire de cette situation qui aurait pu vite dégénérer si une Marie n’était pas intervenue comme elle venait de le faire. Soit, il s’en tirait à bon compte pour l’heure mais elle n’avait pas dit son dernier mot la rousse et une signature il en aurait au moins une puisque tel était le désir de la légende vivante de Bourgogne !

Au lieu de donner de la confiture à des cochons, vous n’auriez pas mieux fait de venir avec quelques tonneaux de vin qui est si réputé dans votre région ? On attire plus les abeilles avec le miel que des illettrés avec des signatures qui n’ont d’ailleurs aucune valeur !

Et de se retourner vers Marie, l’œil complice, mais la rousse sans doute moins d’humeur à jouer que la brune…
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Eusaias
Mais ça pique !

Constat d’un baron harcelé de tous côtés. Sa main droite se glissa sous la chemise à la recherche du stylet, qu’il relâcha assez vite. La capuche retirée, il ne pouvait décemment le sortir, sa suzeraine le prendrait mal à coup sûr. Pas le temps de dire m*rde, car oui il était quand même connu pour sa grossièreté et son langage fort fleuri, que la rouquine décide de lui tatouer le séant, qu’il avait fort beau, à l’encre et l’épée.

Hier soir en taverne je disais à une bien charmante sémuroise, Alizée, qu’en limousin les femmes ne manquaient pas de piquant ! Je suis un peu ennuyé de constater qu’elles ne perdent pas ce petit côté pointu en s’installant en Bourgogne !

Se frottant le fessard et tentant de rester loin de des deux.

Et bien oui du vin ! Ah mais oui mais non, pardi ! Je ne l’ai pas oublié, si c’est juste le manque de vinasse qui vous trouble autant Comtesse, j’en fais livrer une barrique ! Du « Digoine » le meilleur de tout le charollais, comme moi en somme, le meilleur du Charollais ! Mais ça vous le savez déjà ! Allez allez, jolies dames, on range la quincaillerie et on se lève un verre à ma santé et à celle de la Bourgogne.

A l’intention de Maud.

Ma belle amie, ne prenez pas exemple sur elles, elles sont gentilles, mais il leur manque le côté diplomate. Pourtant je travaille dur pour leur apprendre, j’en parlais hier encore à Alizée. Enfin bon, buvez, chantez, Baffez… les opposants, moi c’est déjà fait ! Moi je vais terminer les autographes qui se vendront à prix d’or bientôt ! Ha et je vous pique ça.

La dextre dérobe un boudin à Maud.

C’est pour mon amie sémuroise, Alyzée, je lui avais promis de lui en offrir après lui avoir conté ce délice.
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Maud
Ca aurait été des furies qui en voulaient à la vie du "Grand Monsieur", Maud aurait fait chanter son bâton.

Ah m'sieur, y a pas d'offense. Et puis on demande pas à des poules d'être diplomates quand elle voient l'plus beau coq entrer dans l'poulailler m'sieur.
Si ma mère était encore de c'monde m'sieur, sûr qu'elle aurait fait son p'tit sourire en pensant aux ravages et vous aurait mis dans un enclos rien qu'pour vous, m'sieur. Pour pas épuiser toute la volaille.
Et pour les baffes m'sieur, j'en ai donné aussi d'mon côté comme j'pouvais.


Le voyant s'emparer d'un boudin.

Vous savez où m'trouver m'sieur si il vous en manquait. Et j'me sauve aussi. Vais signer des boudingraphes d'mon côté.
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