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[RP] Cérémonie de l'Ordre de la Toison d'Or.

Esyllt_catarina
Depuis le temps qu'elle la réclamait, voilà enfin qu'une cérémonie était organisée.
Alors qu'elle se préparait pour y assister, Esyllt songeait à ce qu'elle y ferait. Au mieux elle ferait un petit discours pour les quatre noms qu'elle avait avancé, au mieux ? .. Pas si sur, quatre cela pouvait sembler une éternité lors de ces cérémonies. Heureusement que Sorane avait proposé de parrainer le cinquième, le meilleur sans doute. Enfin, sans doute n'y aurait-il rien car elle n'avait pas été conviée .. Au moins elle le saurait. Quatre mois plus tard, mais c'était la fin de sa pérégrination.

Alors que son pied droit foulait la première pièce de pierre qui jonchait la salle du trône, son regard tournoya alentour afin de savoir où elle irait. Un salut du chef donné à tous, ou presque et la voilà qui se trouvait aux côtés de Sorane. Enfin, à côté de ses gardes dont le plus imposant suffisait à lui seul à cacher deux gardes. Derrière cette barrière de muscles, de testostérone, de cervelles creuses -on ne peut pas tout avoir- la rouquine lança à sa camarade capillaire un "Bonjour" amical en espérant qu'il lui parvienne de là où elle était.

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      Esyllt Catarina de la Louveterie-Juliani Monfort
Rickles
Rickles qui commençait non pas à somnoler, mais à glisser dans une douce torpeur fut quelque peu surpris de l'arrivée de Keltica. Il lui rendit amicalement son accolade.

Si je veux venir avec vous ? dit-il en regardant en direction de Frim, bien sûr, avec grand plaisir. J'espère que ceux qui ne me connaissent pas ne vont pas me prendre pour un repris de justice. Tu imagines, assis entre la Proc et la Juge ?

Il faillit éclater de rire, mais vu le lieu où il se trouvait, il se retint. Prenant place, il embrassa Frim et s'installa à nouveau confortablement, attendant la suite des évènements.
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Ingeburge
Dernière vérification avant de descendre de voiture... D'un œil incertain, la duchesse d'Auxerre observa le ciel, tâchant d'y trouver réponse à l'une des questions qui immanquablement la taraudait durant la saison hivernale : neigerait-il en ce jour, ou pas? La question était d'importance car, sous peu, elle serait contrainte de quitter la Bourgogne pour Paris et ce, durant une période indéterminée, et du temps et des éventuelles surprises dont celui-ci pourrait accoucher, dépendrait la date de son départ vers la capitale du royaume français. C'était d'ailleurs pour cela, plus que pour les obligations qu'elle estimait devoir respecter en tant que récipiendaire de l'Ordre de la Toison d'Or, qu'elle avait tenu à assister à la cérémonie car elle avait besoin de se frotter un peu à l'air bourguignon avant de monter vers Paris, elle qui passait désormais le plus clair de ses séjours locaux à Auxerre. Néanmoins, elle y venait aussi parce que les nouveaux récompensés devaient pouvoir compter sur le soutien des anciens et elle avait apprécié de pouvoir compter sur la présence de ceux qui l'avaient précédée quand elle avait eu l'honneur d'être distinguée.

L'observation minutieuse du ciel ne donna rien car la duchesse d'Auxerre n'avait jamais su – et ne saurait jamais, la malheureuse! – interpréter la forme, la couleur et l'altitude des nuages, la force et la direction des vents, les teintes du ciel... Elle mit finalement pied à terre, convaincue de ce que de toute façon, elle ne pourrait qu'être mécontente de la suite des événements climatiques. C'est donc parfaitement enveloppée dans une mante pelissée qu'elle se dirigea d'un pas vif vers le Palais des ducs de Bourgogne, entourée d'une petite suite. Parvenue dans l'antichambre de la salle du trône, elle se laissa débarrasser de son manteau, celui-ci découvrant l'uniforme ingeburgesque : houppelande de taffetas noir aux extrémités bordées de zibeline sombre, souliers de cuir fin, bagues au chaton de pierreries glissées à chaque doigt, couronne ducale déposée sur la chevelure partagée en deux longues tresses, simple cape de soie légère couleur sable héraldique retenue au cou par une fine cordelette et s'épanouissant sur l'arrière en plis généreux – il fallait se préserver de la possible fraîcheur des lieux– et, étincelant de mille feux, le collier de la Toison d'Or aux briquets crachant des flammes de rubis. Durant quelques secondes, Ingeburge observa la salle et les personnes s'y pressant et elle choisit de s'asseoir un peu au hasard, saluant de la tête les différentes personnes présentes.

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Phylogène, duchesse d'Auxerre, Grand Maître des Cérémonies de France
« Aultre n'aurai. »
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Joueuse quelque peu accaparée par le RP du sacre, je n'oublie pas les RP/demandes en cours, promis!
Olivier1er
Il saluat le BAron de Digoine, Pierre de Siorac, Dame Della a qui il fit un baise main... A la Vicomtesse de Couche qu'il embrassa sur les joues, A Rickles a qui il serra la main avec Chaleur, Gargantua qu'il saluat aussi ayant gardé un bon souvenir de leur collaboration de Maire à Maire...et enfin la Duchesse d'Auxerre qu'il aurait bien embrasser...

Mais bon cela eut été peu protocolaire...

Il lui fit donc simplement un salut amical en lui souhaitant la bienvenu, lui fit un compliment sur sa toilette elegante et apres qu'elle fut installée avec sa suite, il rejoignit la Duchesse Angelyque.

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[g]Baron de Chatillon en Bazoys
Seigneur de Dennevy
Grand Maitre de l'Ordre de la Toison d'Or
[/g]
Olivier1er
Se tournant vers la Duchesse

- Votre Grace, avec votre Permission, je vais ouvrir la cérémonie.


Puis apres s'etre inclinée devant la Duchesse, il se tourne vers l'assistance.

- Bourguignonnes, Bourguignons, la Bourgogne est ainsi organisée que nous honorons regulierement ceux d'entre nous qui s'investissent dans notre Duché, qui donnent de leurs personnes sans economiser, sang pour certain, sueurs pour d'autre, energie pour les troisiemes.

Mais ils ont tous un point commun qui les rassemble : le Sens du devoir, le sens de faire grandir, prosperer et defendre notre Bourgogne.

Je declare Solenellement ouverte la premiere cérémonie de remise des Toison d'Or, d'Argent, d'Argent d'Airain ou D'Antimoine de l'année 1459.


Un Page laisse à ce moment là un lourd Brigadier taper sur l'estrade faisant grand bruit dans la salle du Trone.

BOUMMMM !


Nous appelons le Baron de Digoine, Messire Eusaias Blanc Combaz a s'approcher de la Duchesse de Bourgogne pour recevoir une Toison d'Argent apres que sa marraine, Dale Edwen ait citer devant tous les Bourguignons le panegyrique du meritant.

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[g]Baron de Chatillon en Bazoys
Seigneur de Dennevy
Grand Maitre de l'Ordre de la Toison d'Or
[/g]
Pierre_de_siorac
il saluat Olivier puis écouta ce qu'il disait,le Baron de Digoine et Eusaias méritait cette toison d'argent,il avait entendus parler que un était parrainer par Sorane
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Eusaias
Un sourire naquit sur le visage du piaf. La toison d'argent, c'était un joli présent. Se détachant des gens avec qui il parlait il rejoint alors le maître de cérémonie ainsi que la duchesse.

Et bien, un Blanc Combaz ne recule pas devant l'ennemi, il n'y a aucune raison que je m'écarte alors de mes amis. Me voici.

Saluant la duchesse puis le maître de cérémonie, Blanc Combaz père se plaça devant eux.
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Aelith
La Chambertin avait fait le voyage avec la Duchesse d'Auxerre, l'accompagnant - en tant que 'Flamboyante Maîtresse Equine' - comme bien souvent désormais aux cérémonies où celle-ci était invitée. Si la Prinzessin avait gardé le silence durant le voyage, Aelith s'en était trouvé fort aise et ne l'avait pas rompu: elle s'était abîmée dans la contemplation du paysage, ses pensées voguant alternativement entre les écuries d'Auxerre, une missive qu'elle devait envoyer au précédent Chambellan de Bourgogne, les élections en cours; bref, des sujets n'ayant en apparence pas le moindre rapport entre eux, mais entre lesquels son esprit pouvait jongler sans qu'elle n'ait assez de temps pour se consacrer spécifiquement à l'un d'entre eux.

Aussi fut-elle presque étonné lorsque le coche s'arrêta et que la Duchesse en descendit. Elle cligna plusieurs fois des yeux, comme émergent d'un profond sommeil, et se recomposa rapidement un visage plus neutre avant de rejoindre au-dehors la Prinzessin. L'interrogation du jour était la suivante: comment le Seigneur de Dennevy allait-il se comporter à l'égard de la Duchesse d'Auxerre? L'heure était à l'observation..., et à l'écoute. Un discours de Blanc-Combaz, aussi court soit-il, était toujours une sorte de divertissement auquel elle ne se lassait pas de se prêter.

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Emmaline
La dame de St léger sur Dheune s'etait préparée pour assister a la cérémonie des toisons des qu'elle avait reçu l'invitation mais ses fonctions de maire lui avaient donné du fil a retordre ces derniers jours,avec un probléme de marchand ambulant qui l'avait laché au dernier moment.
Elle avait du se debattre pour trouver une solution,le contrat ayant eté conclu et le MA du duché voisin arrivé en Bourgogne .
Quand tout fut réglé ,elle put enfin prendre la route pour Dijon esperant ne pas arriver trop en retard.
Elle avait revêtu sa robe bleu nuit ,reservant la bleu claire pour les cérémonies estivales .
Le coche s'arreta devant le palais .
D'autres invités arrivaient encore,elle ne devait pas être trop en retard.
Elle entra dans la grande salle richement décorée .
La duchesse Angélyque,sa suzeraine trônait ,toujours aussi belle entourée de ses amis ,conseillers et vassaux .
Emma avançait ,saluant aux passage les personnes de connaissance
elle s'approcha pour la saluer ,Olivier le grand maitre de la toison annonçait le debut de la céremonie ,elle lui fit un petit signe de loin avant d'aller s'assoir aux côtés de ses freres et soeurs basilics Keltica et Rickles qu'elle embrassa chaleureusement


bonjour Gragantua,quel plaisir de te voir ,bonjour Pierre

Citation:
Nous appelons le Baron de Digoine, Messire Eusaias Blanc Combaz a s'approcher de la Duchesse de Bourgogne pour recevoir une Toison d'Argent apres que sa marraine, Dale Edwen ait citer devant tous les Bourguignons le panegyrique du meritant


Emmaline sourit et regarda s'avancer le Baron de Digoine ,pensant que le petit basilic,son fillot a l'epoque avait fait grand chemin.
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Cuche
Ce n'est qu'une fois revenu de chez les moines qu'il trouva la convocation à la remise des Toisons... Réalisant que la cérémonie débutait le jour même, il s'empressa de ressortir sa Toison d'Airain du coffre où elle se trouvait, passa une tenue de circonstance et enfourcha son cheval pour se rendre au plus vite à la cérémonie.

Lorsqu'il arriva, les portes étaient déjà clauses et il du négocier avec le garde pour qu'on le laisse rentrer discrètement. Mais celui-ci faisait le têtu et maintenait son refus de le laisser passer. Le joinvillois serra le poing et le lui colla sous le nez en le menaçant.


Ecoute crétin, tu vois cette toison ? Si tu ne me laisse pas rentrer, je vais faire de toi le plus bel eunuque de ce duché ! Je compte jusqu'à trois et ensuite si la porte ne s'ouvre pas, tu perds ta virilité de fier soldat et tu pourras aller rechercher tes bijoux dehors dans la neige.

Il avait chuchoté afin qu'on n'entende pas ses paroles de l'autre coté de la porte, des paroles pas très digne de l'Ordre mais de circonstance.
Il ne dut pas compter jusqu'à deux que la porte s'entrouvrit et qu'on le laissa passer.
Discrètement il se faufila vers la tribune réservée aux toisonnés et s'installa sur le premier banc disponible, espérant avoir fait une entrée relativement discrète.

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Sturn
Sturn aimait beaucoup assister aux cérémonies de la Toison. Cela lui permettait toujours de rencontrer certain de ses amis.
C’est donc avec légèreté que le dijonnais se rendit a la cérémonie. Il l’avait attendu avec impatience. En venant il s’hasardait à faire des pronostiques sur ceux qui allais recevoir les toisons. Mais il s’arrêta car il arrive rapidement au lieu de la cérémonie. Il entra calmement salua ceux qu’il reconnaissait et prit une place dans l’assemblée.

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Angelyque
La Duchesse salua tour à tour tous les invités qui arrivaient les uns après les autres, fronçant les sourcils en direction de Cuche afin qu'il ne se fasse pas remarquer.

Patiemment, elle attendit que le Grand Maître appelle le premier toisonné, le Baron de Digoine, fort bel homme au demeurant, mais son caractère avait tendance à faire des étincelles avec celui d'Angelyque. Malgré diverses tentatives, elle n'avait pas réussi à le mater et celle-ci avait du mal à s'en remettre.
Néanmoins un profond respect et une grande confiance unissait ces deux là et il se pourrait bien que d'ici peu de temps un lien plus fort les unissent, selon les dernières rumeurs.


Merci Grand Maître.

Tout d'abord, je voudrais remercier le baron Eusaias de Blanc Combaz pour tout les services qu'il a rendus à la Bourgogne, bien plus que des services, c'est un véritable dévouement sans relâche et ce depuis des années, cela va bien au delà de ce que vous pouvez voir puisque une grande partie de son travail se fait dans l'ombre. Sachez tous aujourd'hui que le Baron est l'un des bourguignons les plus méritants de notre Duché. Durant ces quatre derniers mois il a abattu un travail considérable, que ce soit en terme de sécurité, de relations diplomatiques, et bien d'autres choses encore, dont certaines plus personnelles. Malgré certaines de ses facéties, dont le rembourrage de toutes mes robes, certains auront remarqué d'ailleurs qu'il m'a fallu un certains temps pour me rendre compte de la chose, pensant au départ à une grâce du Très Haut.

J'oubliais....


La Duchesse releva un peu ses jupons afin d'en extirper une lettre provenant de la marraine d'Eusaias et la lut à haute voix à l'assemblée



De nous, Edwen, marraine de toison de messire Eusaias de Blanc-Combaz, Baron de Digoine
A vous, Votre Grâce Angelyque de la Mirandole, Duchesse de Bourgogne.

De part cette lettre, je vous fais savoir que malheureusement, je ne peux assister à la cérémonie de la remise des toisons comme il se doit. Aussi je vous demande, si vous le voulez bien, de lire devant l'assemblée cette missive, résumant le panégéryque d'Eusaias puis de lui remettre sa toison comme il convient.

Tout d'abord, Eusaias de Blanc-Combaz, Baron de Digoine, Seigneur de Saint Robert, noble Bourguignon a de nombreuses fois protégé notre duché de Bourgogne. Il fut enrôlé dans la maréchaussée comme lieutenant de police, sergent, douanier, il a combattu comme mercenaire, il a aidé à reprendre la capital Dijon en 1455 quand les lions de Judas étaient présents, il a participé à de nombreuses guerres comme la Bretagne, le Berry , l'Artois, Genève.

Il a aussi protégé la Bourgogne contre les mercenaire de l' armée ZOKO en 1457, il a aidé à la protections des villes de Bourgogne et tout particulièrement Sémur, Joinville et Tonnerre lorsque les groupes de brigands menés par Kerukes ou Dekos. étaient dans les environs.

Il est depuis 41 mois conseiller municipal de la ville de Sémur, fut maire de Sémur de février à avril 1457 et duc de Bourgogne en 1458.

Sur le plan diplomatique, il fut ambassadeur bourguignon rattaché au Limousin de janvier 1458 à mi-mars 1458, il est actuellement ambassadeur auprès de la Guyenne, Gascogne, Bearn et Rouergue et vice-chambellan depuis le 6 décembre 1458.

Le Baron de Digoine s'est toujours montré dévoué, fidèle, motivé et impliqué envers le duché de Bourgogne, n'hésitant pas à aider son duché mais aussi d'autres duchés.

Messire Eusaias a aussi travaillé dans l'ombre, oeuvrant pour les services secrêts de Bourgogne, s'occupant en autre de l'affaire Bazinryllas, il fut également organisateur de l'infiltration et de l'éliminaton d'une armée de mercenaire voulant attaquer Dijon en 1458.

Ainsi, de part son courage et sa loyauté, de sa motivation et de son dévouement, j'ai souhaité le récompensé de la toison. Je laisserai à la duchesse Angelyque de Mirandole le soin de la lui remettre .

Je vous remercie,
Respectueusement,

Edwen


Je ne puis qu'être d'accord avec dame Edwen, et sur sa demande je la remplace ce jour avec une grande fierté et un immense honneur.

Baron, je vous félicite!! vous méritez grandement cette toison d'argent qui va à présent ceindre votre cou.


Angelyque se tourna alors en direction du Grand Maître, afin qu'il prenne le relais
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Vouss voulez une Bourgogne resplendissante? votez BOUM!!
Olivier1er
Le Grand Maitre écoutait avec interet et hochait de la tete positivement...tout le temps.

Quand la Duchesse se tourna vers lui, il inclina la tete, se tourna vers un page portant un coussin avec la toison d'Argent posé dessus, lui prit le coussin et s'approcha de la Duchesse.


- Duchesse, voici la Toison d'Argent Du Baron. Il vous appartient comme Garante de l'Ordre de lui deposer vous meme les insignes de sa distinction sur les épaules.

Il lui tend le coussin pour qu'elle prenne le Collier de la Toison

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[g]Baron de Chatillon en Bazoys
Seigneur de Dennevy
Grand Maitre de l'Ordre de la Toison d'Or
[/g]
Angelyque
La Duchesse attendit que le Grand Maître s'approche afin de lui présenter le lourd collier, elle lui sourit, cela lui rappelait de nombreux souvenirs puis prit la Toison et s'approcha du Baron de Digoine afin de la lui passer autour du cou.

Ce faisant, alors que son visage n'était qu'à quelques centimètres du sien, elle huma le doux parfum viril et ne put s'empêcher d'effleurer ses lèvres des siennes tandis qu'elle lui veillait à ce que le collier soit bien en place.


Félicitations à vous Baron! soyez toujours fier d'arborer en tous lieux cette toison d'argent que vous avez amplement méritée, au vu de tous les hauts faits accomplis pour notre magnifique Bourgogne!
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Vouss voulez une Bourgogne resplendissante? votez BOUM!!
Eusaias
Le balbuzard se fendit d'un large sourire en écoutant les mots de sa filleule puis de sa suzeraine. La lourde toison lui fut portée autour du cou et les lèvres ducales virent frôler les siennes. Il y a peu de temps, il aurait fort volontiers abusé de la situation mais il se contenta de la défier du regard.

Et bien, ravi de voir que ma maîtresse l'eternelle Bourgogne sait encore reconnaitre ses amants et récompenser les méritants. Enfin bon, je pense que je ne dois pas rester ici, que c'est un peu comme... il se retint de dire la suite. Au suivant quoi...
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