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[RP] Maison close de la rose noire

--Liebault

__________

[Chambre de Marie]

Il fronce le nez. Il n’aime pas du tout se voir repousser ainsi. Il est pressé de s’assouvir, et ce n’est pas à elle de choisir ni quand, ni comment ! Car ventrebleu, il a payé oui ou non ?
Mais il est trouillard, et elle le menace. De son index. Alors, penaud, il recule, et recule, et recule encore, et finit par lamentablement tomber sur le lit. Elle défait sa chemise, il la passe par-dessus sa tête. Il aime assez être nu, même s’il n’en a pas vraiment la liberté.
Alors torse nu, déjà c’est… et bah, délicieux, en tous cas quand elle suce la peau de son ventre comme ça.

Il se laisse choir définitivement, les mains croisées sous sa nuque, alors que celle de la catin s’en va explorer l’intérieur de ses braies.
La caresse n’étant pas désagréable, il la laisse faire, et s’il n’adore pas ses baisers, qu’il juge trop empressés, il se garde bien de le dire. Il ne voudrait pas la vexer.


Oui, oui, continuez, je vous prie.

Nonchalant. Qu’elle continue, oui, après tout, s’il est (très) pressé, il n’est pas encore sur le point d’exploser. Il se laisse donc faire, bien décidé à ne pas remuer d’un pouce. Quand il n’y tiendra plus, il sera toujours temps d’agir, après tout…
__________
--Boetalon
[Dans le salon apres avoir fait la gaffe de rentré sans l'autorisation du portier (Désolé)]

Le belle italien etait dans le salon de la maison, il observa les personnes presente et ceux qui entre.. , il est vrai d'apres ce qu'on dit, c'est un lieu tres fréquenté,malgré que l'attente est longue...

L'italien resta assis, il regarda autour de lui et admira la déco des lieux tout en regardant les jolies demoiselles présentent se soir.. elle sont si ravissantes.., puis jette un oeil sur le premier client qui se dirige a l'étage avec une demoiselle et se dit: Ben au moins lui il aura pas attendu bien longtemps.

Le jeune noble patienta gentillement et calmement en esperant que sa soirée bougera plus que sa..
--Justine.
[Prélude.... dans une ruelle, proche de la Rose Noire.]






Au travers des cheveux crasseux qui recouvre son visage comme un rideau, elle regarde la main gantée qui se tend.
Lentement, sans un mot , les yeux sombres remontent le poignet délicat puis l'étoffe recouvrant le bras.

Prend petite.

Le visage de la dame est beau, noble. Si... doux.
La jeune fille de seize ans mouille ses lèvres , prend les quelques écus.
Merci dame.
Des pavés sales elle se relève en frottant son dos au mur de l'entrée de la ruelle.
Un brusque vertige la fait vaciller, reculant vers l'ombre de la ruelle si sombre... tellement sombre et à l'abri des regards.
La gracieuse noble, si bonne et si douce, la suit précipitamment pour l'empêcher de tomber.
Sous sa chevelure crasseuse, Justine esquisse un léger sourire qui n'a rien d'innocent.
Sa main fait mine de chercher la nuque qui se présente et brusquement avec force elle envoie valser la tête de sa bienfaitrice contre le mur à trois reprises.
Le corps s'affale comme un pantin.
Satisfaite, la jeune fille subtilise la bourse de satin suspendue au poignet délicat par une cordelette et s'empresse de déshabiller sa victime dans les vapes.
Accroupie sur la femme , Justine reste rêveuse en passant lentement la pointe de sa fine dague sur le cou gracile et si pâle.
Elle hésite puis finalement lui laisse la vie.
Emportant bourse et houppelande elle se rend aux bains les plus proches.
La jeune fille qui en ressort, cheveux soyeux, teint de pêche et richement vêtue n'a plus rien à voir avec la gueuse de la ruelle.
Le ventre creux elle se sustente puis vaque dans les rues pavées de Paris, un air ravi .
Ses yeux pourtant démentent l'innocence de ses traits quand elle croise ceux qui l'approchent de trop près, sortant sa fine dague de coupe-jarrets, les yeux flamboyants.

Quelques personnes, arrêtées devant une lourde porte en bois, attirent son attention.
Elle sourit en coin en reconnaissant les lieux.
La Rose... Dire que j'voulais y travailler.
Elle hésite puis se dit qu'après tout, autant goûter à tout.
Surveille ton langage ma belle....
Plantée devant le cerbère elle affiche un air juvénile et innocent en annonçant de sa voix claire.
Bonsoir. Je veux entrer pour..." Comment il a dit ce gros porc de bourgeois avant de me violenter?"... pour parfaire mon éducation.
Elle espère que sa houppelande, bien que ne cachant pas ses formes de femme sur son corps menu, laisse à penser au gars qu'elle ne peut rien y cacher d'autre.
Sa fine dague ne quitte jamais le fourreau noué sur sa cuisse et devant le jeune homme qu'elle découvre à son goût, elle affirme ne porter aucune arme.
--Marigold.
[Auprès de ma blonde il fait bon dormir.... dormir?]

Marie a obtenu l'autorisation de Liébault, mais sait-il vraiment ce que cela impliquait... Elle peut en effet poursuivre plusieurs choses , les caresses , les baisers, le déshabillage ... ou tout simplement son programme de comment faire fondre un homme en trois leçons. Pour le moment, il se laisse faire le baronnet, il s'abandonne aux mains expertes de la blondine, elle sourit elle lui sourit . Un dernier regard et les yeux quittent les prunelles brunes pour se repaitre de la vision de ce torse juvénile. La langue et les lèvres glissent sur le duvet passant d'un téton à l'autre, descendant inexorablement jusqu'au nombril où la pointe rosée vient s'incruster pleine de malice. Les mains laissées à leur tâche s'activent et se démènent pour débarrasser les jambes des tissus complètement superflus. Et un baron tout nu un!!
Marigold se redresse son jupon pourpre dessinant une corolle autour d'eux sur le lit aux draps blancs. Un instant elle contemple Liébault qui semble tout à son aise dénudé, la main n'a pas quitté sa première cible, qu'elle se plait à faire grandir dans sa paume. Puis elle le relâche dressé fier et se lève surplombant l'éphèbe. La chevelure est nouée à la va vite et retenue en un chignon flou , alors qu'elle se saisit d'une sorte de broche qu'elle dissimulait dans son corsage. Elle passe ses mains dans son dos et dénoue le lien qui maintient le bustier, qu'elle laisse choir sur le sol d'un geste nonchalant, quand au jupon du bout de ses doigts habiles il se défait et se déroule tel un vélin dont le cachet brisé livre les secrets.
Ils sont désormais à égalité. Marie laisse son amant profiter de la vue quelques secondes puis elle vient le rejoindre... elle s'installe à nouveau à califourchon sur ses hanches mais cette fois elle lui offre une tout autre face... Sa croupe et son dos nus seront pour un moment le seul horizon du baron, alors qu'elle reprend en main l'objet de désir, qu'elle vient même titiller du bout d'une langue devenue insolente.



--Leah


[Retour à la Rose et début de soirée]

C'est un mal de crâne persistant qui vrille les tempes de Leah, annihilant toute pensée pour la remplacer par une douleur cinglante, et continue. Sur le chemin du retour du marché, les paroles de Marigold s'engouffrent dans son esprit et le lestent de mille et unes pensées qui ne l'intéressent pas, dont elle ne veut pas. Mais silencieuse, elle écoute. A son service. Protectrice, puisqu'elle est gardienne. Ses yeux surveillent les alentours, ses mouvements félins anticipent ceux de la blonde. Mais sa tête est ailleurs.

C'est finalement soulagée qu'elle rentre à la Rose. Vite, Marie l'abandonne, pour s'apprêter: sur le seuil, les clients attendent, avides des plaisirs charnels que leur offre la Dame Rouge derrière les portes closes. Geoffroi est déjà en poste, et elle le salue, sans acrimone aucune.

C'est au comptoir qu'elle s'arrête en premier, saluant la Rouge et la jeune Emilla.


―Bonsoir ma Dame, bonsoir Emilla. Tu as quelque chose contre le mal de tête? N'importe quoi d'assez fort pour qu'il disparaisse. Tant pis s'il se réveille aggravé demain, l'important est que je sois efficace de nuit.

--Iris.



[A la porte, comme beaucoup de monde]


Silencieuse, comme toujours, l'Iris se laisse glisser sur les pavés parisiens. Toujours perdues dans les frustrations des minutes précédentes, elle ne cherche même pas à savoir où Son Judas l'amène. Ce n'est qu'au moment où les pas du Ténébreux ralentissent qu'elle redresse la tête et admire les alentours. Elle aurait dû y penser, qu'il l'amènerait dans ce bordel dont la réputation n'était plus à faire. Elle savait que Judas aimait ces endroits et les plaisirs qu'il pouvait y déguster. Mais pourquoi l'avoir emmené avec lui ? La petite caboche brune se triture dans tous les sens pour comprendre... La vendre ? La partager ? Ou juste lui montrer, par une femme plus compétente qu'elle, de nouvelles danses extravagantes ? Qu'importe.

L'Iris observe les personnes présentes. Le garde... Bel homme. Mais elle ne s'autorise pas à penser plus ; elle avait le sien, elle devait le respecter en oubliant les autres. Alors ses joyaux se tournent vers les deux femmes qui arrivent, belles et aguicheuses. Arrogantes parfois. Son bras se ressert sur celui du Ténébreux. Elle a remarqué les regards des donzelles, elle devait marquer son territoire. C'était Son Judas. Alors, pour marquer encore plus le coup, la Soumise se redresse par fierté, et joue à la Digne. Personne ici ne le touchera... Enfin, elle l'espérait.

Le garde leur adressa la parole enfin pour les laisser entrer. Des armes ? Elle n'en a pas. Iris est nue, elle n'a rien. Son regard se tourne vers Judas. Il avait a décidé de la suite, encore.


--Judas


[Salon, direction les alcôves...]

Il rend les armes, imperméable, d'un geste naturel et déjà l'esprit ailleurs. L"homme entraine d'une main ferme à la taille celle qui l'accompagne, viens, entre de l'autre coté du miroir ma belle Iris, ce soir est un grand soir. Il la ramène à lui tout en repoussant les tentures lourdes qui feutrent l'ambiance de l'endroit. Bel endroit, bien mis dans son genre... Mafoy, pourquoi pas. Comme diable en sa demeure Judas serpente entre les ombres des candélabres, se fait un chemin jusqu'au comptoir, premier passage obligé pour s'annoncer, annoncer également que l'on est pas du genre à se terrer et à se faire oublier. Un signe de main, la jeune bordelière préposée aux dessèchement des gorges comprendra que deux verres seront mandés à l'endroit ou le bourgeois voudra bien se poser. Les poser.

Iris est toujours là, comme son ombre, il la délivre un peu pour se rallier aux faveurs des alcôves, intimes mais pourtant pas excentrées de tout. Avant même d'avoir posé ses fesses à table, il a repéré les fréquentations de l'endroit. Les puterelles sont plutôt bien entretenue par ici... Ses yeux découvrent de loin les bains, ouverts sur la grande pièce, s'en détournent rapidement. Il n'a pas envie de se mouiller, l'étrange pièce trouvera bien grâce à ses yeux un autre soir, s'il revient. Il prend place, sans rater le couple étrange près du comptoir, la menue blonde, la femme en rouge, l'homme qui patiente. Dernière froide oeillade et il revient à celle qu'il a emmenée avec lui en bordure de Paris. L'ouverture a dû sonner il y a peu, le lupanar est encore un peu vide de moiteur, de chaleur, vide de spectacle... Iris voit sa place s'esquisser en face de lui, il l'observe elle aussi. Un sourire en coupure nait puis meurt sur ses lèvres, pour la rassurer, pour lui intimer milles choses. Un peu indifférent, un peu intrigué, difficile de deviner ce qu'à le marchand d'esclaves dans la tête. Sous la table, il caresse du pied le mollet de sa jeune accompagnatrice, machinalement.


--Liebault

__________

[Chambre de Marie]

Il se concentre, pour rester calme sous les caresses qui le brulent déjà. Du regard, il savoure le corps féminin, la cambrure et les courbes qui se révèlent lorsqu’elle se dénude. Ses pensées s’affolent lorsque c’est sa croupe qu’elle lui offre, et il la laisse volontiers s’installer à son aise.
Il frémit, et tremble de désir sous les caresses. Pour garder contenance, il pose ses deux mains sur le rebondi des fesses, et en effleure la peau douce.
Peste !
C’est pire que tout. La langue irradie le plaisir, son ventre le brule, et la peau délicate sous ses doigts le rend plus pressant encore. Il l’explore, curieux, l’index se faufilant jusqu’à des attouchements plus précis. Il tente vaillamment de se concentrer sur ce qu’il fait, et non ce qu’il ressent.
Peine perdu, bien entendu. Car ce qu’il fait n’attise que plus son désir. Jusqu’au moment où il n’y tient plus.

Il repousse, avec toute la douceur dont il est capable à présent, c'est-à-dire surement moins que ce qu’il faudrait, la blonde, il se glisse dans son dos, et sans préavis, la virilité durcie force le passage qui l’attire le plus. Celui que son épouse lui refusera toujours. Il force, mais lentement. Il tente de faire preuve de délicatesse. La belle affaire ! Il force tout de même, même si dans sa tête de noble, il a payé, il dispose. Les mains s’arriment ferment aux hanches douces, et il pousse son avantage le plus loin possible, soupirant d’aise alors qu’il est profondément ancré. Enfin, il est bien. Enfin, il va s’assouvir. Enfin, des semaines de frustrations, des semaines à attendre, s’envolent.
Il ne bouge pas. Il ne veut pas la blesser, et il sait qu’elle ne s’attendait sans doute pas à ce qu’il la visite… si vite. Il accole son front contre la nuque féminine, souffle légèrement dans son cou. Il s’ose pas bouger dans un premier temps, l’écrasant sous son mince poids. Et si elle se rebiffait ?
Puis, se convaincant que c’était impossible, puisqu’il payait, il lâcha lentement une hanche, glisse sa main sous elle, sur son ventre, se faufile entre la peau et le couvre lit, jusqu’à un sein qu’il tente de caresser avec délicatesse. Ca, normalement, il sait à peu près faire.

Mais ça, c’était sans compter sur son empressement à s’assouvir. Il ne lui faudra pas longtemps pour éteindre le désir. Quelques va et viens, un ou deux grognements, et l’affaire est conclue dans un râle, près de l’oreille de la blonde, alors qu’il ramolli en elle, et se laisse peser sur son dos. Un râle, et un gémissement presque honteux :


Pardon, Marie…

Pardon, mais c’est si bon…
__________
Elisabeth_stilton
[Au Comptoir puis dans un fauteuil]

La blonde entre facilement, habituée des lieux. Elle laisse le gardien là, comme beaucoup d'homme dorénavant, elle laisse tout glisser sur elle. Le manteau est posé sur un fauteuil, nonchalamment. La blonde regarde et ne voit pas beaucoup d'hommes de la maison. Ca l'agace, elle a envie de se divertir. Maintenant elle prend, elle jette. Elle ne s'encombre plus de rien.

Après avoir "réservé" son fauteuil, via sa pelisse, la blonde passe au comptoir. Il fait soif, autant qu'il fait oublier. Il le faut, le blond a ouvert en elle le besoin de luxure, mais il a cassé aussi quelque chose. La confiance ? Le plaisir du couple ? Le besoin d'être à deux ? Elle avait autant envie d'être dans les bras d'un homme que de le repousser. Alors elle buvait pour oublier et apaisait ses envies avec les hommes de la Rose. Elle regarda qui était ici ou là, ignorant les mœurs des uns et des autres, ne se contentant que de ses problèmes. Elle s'approche donc d'Emilla pour obtenir son nectar du soir.


Sert moi un cherry au fauteuil là ba au fond, celui avec la pelisse.
Y a qui de disponible ce soir ?

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Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

--Emilla_kair_d_ancle


[Comptoir : le petit herboriste illustré]

Emilla salue Leah avec cette attitude toujours un peu étonnante de scruter les gens avant de leur parler, à la recherche de l'angle d'attaque. Elle l'écoute attentivement et note le mal de tête. Sortant une petite boite de sous le comptoir qu'elle a marchandé ferme à leur petit débrouillard de voisin, elle en extrait plusieurs tubes qu'elle observe avant de mettre quelques gouttes de plusieurs liquides sur un petit mouchoir. Une odeur marquée d'agrume et de lavande se répand alors et le petit caméléon tend son trésor à la Louve.

Respire le, ça calmera le mal.

Puis elle se penche vers ses bouteilles et en sort une eau de vie, où elle plonge quelques herbes. Mélangeant le tout un moment, elle retire tilleul, marjolaine et verveine, et filtre le tout dans un petit verre.

Et bois ça d'un coup.

Et oui, tant qu'à apprendre à lire, Emilla a pris des livres sur l'herboristerie, il y a des dessins de fleur, ça lui rappelle sa campagne et les leçons de sa grand mère. En attendant, elle offre un sourire à Leah. Elle l'aime bien, parce qu'elle est là pour les défendre des coups et des coups elle ne veut plus jamais en subir...

Je crois que nous avons des clients à servir, je reviens.

Emilla sourit d'abord à la commande d'Elisabeth. Comme à l'accoutumée, elle prépare son nectar fruité et le dépose sur un plateau.

Ces messieurs ne sont pas encore descendus mais Desiree est seule pour le moment, et ça risque de ne pas durer longtemps si vous souhaitez sa compagnie.

Sourire doux du petit caméléon. Puis sortant de derrière le comptoir, Emilla lisse sa robe, va déposer le nectar près du fauteuil et se dirige enfin vers les alcôves d'une démarche plus souple depuis qu'elle a retrouvé des rondeurs plus convenables. Discrètement, elle se manifeste d'un toussotement léger.

Bonsoir, voudriez vous boire quelque chose en particulier?




--Boetalon
[Dans le salon a pensée, et a patienté..puis le comptoir]

Le jeune Italien était parti dans ces pensées en attendant qu'on s'occupe de lui, la nuit venais seulement de commencé et la maison se remplissait a vu d'oeil.

Cela faisait deja un petit moment que Boetalon etait entré, il observa la salle, et voit pas mal de personnes défilés..

Il voit 2 femmes au comptoir, et se dit que sa doit etre surement des personnes qui travaillent ici, une qui n' avait pas l'air dans son assiette, le jeune Italien qui avait fait des études de medicastre, il voyait de suite les personnes mal au point..

Puis il se leva et se dirige vers le comptoir, il pris place sur un tabouret et entendit la serveuse:


Citation:
Bonsoir, voudriez vous boire quelque chose en particulier?



Le jeune Italien posa son regard vert sur la serveuse et sourit

Oh! Bonsoir Dauna! un jus de fruit s'il vous plait! hum... un jus d'orange si vous avez? merci bien!

Puis il souriat a la demoiselle apres lui avoir répondu..
--Leah


[Comptoir salvateur]

Sa reconnaissance cachée derrière la neutralité de ses traits, Leah observe les préparations d'Emilla avec une curiosité discrète. Les quelques remèdes qu'elle connaît, les seuls onguents qu'elle sait préparer, sont ceux qui apaisent les blessures physiques. Plaies, brûlures, ématomes: elle sait faire disparaître rapidement ce qui est visible. Les années passées à Londres, les contrats à honorer et les situations instables lui ont appris à se soigner rapidement et efficacement en cas d'issue défavorable. Mais les atteintes de l'intérieur, les maux de ventre et les douleurs du crâne, continuent de la désarçonner.

D'un geste, la Louve attrape le mouchoir qu'elle place délicatement sous son fin museau. D'une traite, elle avale le breuvage, avide que la douleur s'estompe. Un claquement de langue se fait entendre lorsqu'elle repose le verre sur le comptoir. La préparation est loin d'être à son goût, maus nulle grimace ne transparaît. Seul ce claquement, après lequel elle lâche:


―Merci, Emilla. Combien de temps, le mouchoir sous le nez?

Car tant qu'elle garde cette posture, elle est vulnérable. Et tant qu'elle est vulnérable, les filles le sont. Une chance que la soirée ne fasse que commencer, et que les clients ne soient pas encore trop nombreux. L'un d'eux s'asseoit d'ailleurs au comptoir. Inquisitrice, et pourtant discrète, la Louve le guette du coin de l'oeil, cherchant les failles, sage habitude dont elle ne se déprend pas. Silencieuse.

Baudouin.
[Comptoir: poste d'observation]

Adossé au comptoir, il tournait le dos à Emilla et ses milles breuvages pour mieux faire face à la salle. Un léger sourire pointa sur ses lèvres alors qu'il observait les nouveaux arrivants. La soirée et la nuit s'annonçaient chaudes, la Rouge était toujours aussi surprenante et la diversion prévue serait sans doute à la hauteur de la réputation de l'établissement.

Le vieux soldat qu'il était, avait suffisamment arpenté de bordels lorsqu'il combattait en Orient, pour savoir que dans ce genre d'endroit, il ne fallait s'étonner de rien. Mais la diversion plairait-elle aux clients du soir?

Léah semblait souffrir de quelques désagréments, sans mot dire, il observa la scène, ne quittant pas la jeune femme des yeux. Il espérait qu'elle se remettrait vite, sa présence était importante à la Rose, pour dissuader tout malfaiteur et rassurer les filles.

Une jeune femme qu'il connaissait s'installa au comptoir près de lui. La main posée sur le pommeau de sa lame, il s'inclina et la salua poliment.


Bonsoir Dame l'angloise, c'est une joie de vous revoir icelieu, l'établissement semble être à vostre goût?

Il lui fit un léger sourire avant de se concentrer sur les clients qui investissaient les lieux, trempant ses lèvres dans le verre qu'Emilla lui avait servi.
--Emilla_kair_d_ancle


[Allers et retours dans le salon]

Emilla sourit à Leah et à sa question.

Le breuvage devrait agir d'ici une bonne dizaine de minutes, et pour le mouchoir, glisse dans ton cors... hum, noue le à ton cou pour la soirée. Ca apaisera le mal et fera effet dans le temps. Ce sont des huiles, l'odeur sera persistante.

Emilla rougit un peu car après tout, elle n'avait pas prévenu la Rouge de sa pharmacopée mais souvent les pensionnaires souffraient de petits mots et elle se disaient que ça ne pourrait que faciliter leur travail de se sentir mieux.

Emilla fait donc ensuite route vers les alcôves pour prendre commande quand un des clients l'interpelle pour avoir sa commande. Les personnes de l’alcôve semblant réfléchir à la leur, elle revient rapidement verser un verre à l'italien, avant de retourner à l'alcôve, embarrassée de se voir ainsi interpeler en pleine salle alors qu'elle s'occupe d'un autre client. Cependant comme à son habitude, le petit caméléon ne laisse rien parait : le client est roy, même s'il est parfois outrecuidant...

Elisabeth_stilton
[Pas le temps d'aller au fauteuil donc comptoir]

La blonde remercie la jeune fille de la tête. Elle allait partir quand un autre visage connu se glissa dans son champs de vision. Elle était étonnée, depuis le temps, elle ne pensait plus le revoir et pourtant il était là. Le cerbère. Celui avec qui elle pouvait parler. Surprise et ravie à la fois, elle lui adressa ce qu'elle appelle un sourire et qui n'est en fait qu'un regard bienveillant.


Heureuse de voir que vous êtes de retour.
Le gringalet ne m'a pas l'air ... "stable".
Permettez je vais attendre patiemment d'avoir un compagnon pour la nuit.


La blonde se lève alors pour rejoindre le dit fauteuil, le nectar sucré est là dans ses mains, il chauffe. Délicatement elle porte le verre à ses lèvres pour en déguster toute la saveur. Derrière cette insouciance, elle observe la blonde, elle regarde ce qui se passe, elle jauge le monde qui s'éveille autour d'elle et espère trouver une occupation pour la nuit.

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Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

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