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[RP] Maison close de la rose noire

--Thibot
[Entrée de la Rose Noire]

Jeune homme timide, Thibot s’était mis en tête d’aller à la Rose Noire cette nuit. Son allure juvénile lui valait de se faire repousser gentiment par les filles de son âge. Le blondinet ayant marre de cette situation, de se sentir trop jeune, pas assez mature ou que sais je encore, décida d’aller voir une femme expérimenté.
Il prit donc ses petites économies avec lui et son courage a deux mains et se faufila discrètement jusqu’à l’entrée du bordel le plus réputé de la capitale, espérant passer inaperçu et pouvoir entrer en toute discrétion.
Manque de chance pour le jeune homme un gardien montait la garde devant la porte. Ne pas se faire refouler à l’entrée, prendre un air détaché et sur de soi. Thibot déglutit, se présenta devant le gardien


Bonsoir, bonsoir ! Serait-il possible d’entrer afin de trouver charmante compagnie en ce lieu, siouplé monsieur le gardien ...

Plus il débitait sa phrase, plus son assurance s’effritait et plus sa voix devenait faible et hésitante. Pas très glorieux comme approche ça mon gars va falloir te ressaisir
--Liebault

__________

[Chambre de Marie]

Oh, voila qui est agréable ! La catin se pique de prendre des initiatives !
Et quelles initiatives !
Le baronet en est tout émoustillé, de ses baisers ! D’ailleurs, cela doit se remarquer, car voilà des jambes fuselées qui l’enlacent, et brusquement, un ventre chaud et palpitant qui embrasse son vît !

Il lui sourit, plein d’arrogance, alors qu’elle joue à le dominer, lui maintenant les bras plaqués au couvre lit. Voilà une chose qu’il faudra qu’il apprenne à sa délicieuse baronne. Chevaucher !
Et comme elle chevauche !
Le bellâtre darde un regard brun où luit une tâche d’or sur la blonde, sur la délicieuse poitrine qu’il irait bien malmener un peu, sur le ventre plat et la taille fine où irait si bien s’arrimer ses mains.
Mais il ne dit rien et feint l’indifférence. Puisqu’elle chevauche si bien, elle va pouvoir chevaucher longtemps ! Son désir brutal assouvi, le baron saura maintenir ses émotions encore un moment. Il s’applique à ne pas remuer, à rester le plus immobile possible. Parce qu’il lui plait de la regarder faire.

Un long moment, il l’observe, se délectant de la cambrure, de la poitrine ronde tressautant, de la bouche délicate, des mèches blondes, des cuisses l’encadrant si bien.
Mais un baron finit toujours par se lasser. Arquant le dos, de ses maigres forces, il lance un coup de reins qui la fait basculer, et à son tour il domine la situation. Immobile, il la regarde, libère ses mains, et les pose un instant sur les seins qui le captivent toujours. Il s’enfonce aussi loin qu’il le peut en elle, une fois ou deux, puis abandonne son ventre, le membre toujours roide. Il s’allonge contre elle pour téter un sein, comme un enfant, et l’opération étant plaisante, il la prolonge à l’envi, sans se soucier le moins du monde de la douleur que cela pourrait provoquer.

Puis, lassé de son jouet, voilà qu’il lui vient l’idée d’aller goûter cette intimité que sa femme lui a toujours refusée. La chair est douce, voluptueuse, légèrement salée. Il ferme les yeux un instant, s’absorbant dans la découverte des lieux féminins. Intrigué, il y découvre que cela renforce la vigueur du mat dressé, qui commençait à lui faire défaut. Intéressant !


__________
--Marceau


[Devant l'établissement]

Marceau, jeune homme de 20 ans, habitué des bordels depuis l'âge de 14 ans et non pas comme client, se retrouve devant la porte de la Rose Noire. Enfin devant est un bien grand mot quand on sait qu'il y a une file d'attente. Et oui le blond était un homme de plaisir. Il avait commencé dans les bordels miteux de province, puis une maquerelle l'avait repéré, sortit de sa condition et présenté aux riches nobles et bourgeois de la province. Il était devenu un produit de luxe. En plus le jeune homme était cultivé, il avait appris à lire et à écrire, l'histoire, la poésie, la musique, le chant et les bonnes manières. Sa maquerelle ne voulait pas d'un idiot pour sa clientèle qui était très exigeante, notamment les femmes. Il était toujours bien habillé et coiffé, toujours bien mis, et même si sa chevelure pâle était libre, rien en lui ne dégageait un air de négligé bien au contraire. C'était la clé de la réussite dans la prostitution de luxe. L'apparence.

Comment était il arrivé devant cet établissement là ? A Paris ? Tout simplement, parce qu'il voulait prendre sa vie en main. Il devait de l'argent à sa vendeuse qui lui avait payé éducation et vêtement, alors il la rembourserait en travaillant à Paris. Les clients devaient surement mieux payer qu'à la capitale provinciale, ici c'était Paris ! Le jeune homme affichait un sourire radieux puis se reprit pour un air de circonstance, avenant et accessible, ne pas se faire rabrouer par le gardien bien qu'il avait une lettre de la Rouge, était la première étape. Il ne savait pas à qui il avait alors avoir à faire et s'il était pris, le gardien deviendrait un collègue. Alors autant faire bonne impression. Il ne restait plus qu'à attendre et observer la clientèle qui attendait devant lui.
--Geoffroi



[A la porte, tentations au féminin pluriel]


Quelque chose cloche dans l'attitude de la jeune fille, et Geoffroi met un certain temps à comprendre quoi. Lorsqu'il finit par mettre des mots sur ce qui le titille, il plisse les yeux, totalement méfiant lui, d'un coup. C'est que la façon de parler de la "houppelandée" dénote fortement avec la richesse apparente de ses vêtements.

"Vot' travail"? Ne voilà-t-il pas qu'elle s'exprime comme lui, lorsqu'il oublie de surveiller son accent et qu'il reprend ses anciennes habitudes de gamin des rues! Mais les noisettes reprennent vite leur taille normale. Après tout, quel danger représente-t-elle? Il va la fouiller, n'est-ce pas? Il va la palper, coin de peau par coin de peau, de ses dix doigts, jusqu'à être sûr qu'elle ne porte sur elle aucune arme létale à part son petit corps probablement désirable.

Ayant donc décidé qu'il s'en fichait, pour le moment, de savoir si elle dissimule autre chose que la dague contre sa cuisse - qu'il va trouver dans quelques secondes, patience -, il entreprend de la fouiller de fond en comble, de bas en haut comme il a procédé avec la balafrée, et ô miracle, en trainant presque lascivement ses mains à l'intérieur des jambes, il a non seulement une érection, sinon ce n'est pas Geoffroi, mais aussi un nouveau cri de victoire.

Il termine consciencieusement son exploration puis se redresse, fixant le visage juvénile, tendant la main.


Madame, ou Mademoiselle hein? Votre dague avant d'entrer s'il vous plait ! Je vous la rendrai à la fin…

Hmm.. de quoi donc? De votre passe? De votre coup d'un soir?

… de votre séjour à la Rose. Je vous remercie de votre coopération.

Et voilà. Il n'y a plus qu'à attendre ladite lame. Et lorsqu'il la sent, il referme son poing dessus avec un sourire de patron. De courte durée. Parce que ce n'est pas la bonne lame pardi. Il tourne la tête de côté, et la fugace impression de se prendre pour le Christ qui multiplie les petits pains disparait quand ses yeux se posent sur une femme, ma foi très belle - Oui mais pas aussi belle que Désirée je vous jure… - ce qui l'excite de nouveau et grave.

Mais évidemment, Geoffroi est professionnel avant tout… Alors, sans détourner la tête de la nouvelle venue, il tend l'autre main vers la houppelande, l'air de dire "Tu n'y échapperas pas, ma petite. Pose ta dague et rentre hein", tout en s'adressant à la voix de succube qui vient de lui parler.


Vous travaillez ici? Ah…

Il évite de demander la promesse d'embauche ou toute autre lettre de recommandation, se promet quand même d'en parler à la Rouge parce que là, la femme pouvait lui dire n'importe quoi, il n'en a aucune preuve, et si d'aventure elle dit la vérité et qu'il la rembarre, il va tâter de la main de la maquerelle et pas là où il en aurait envie.

Grommelant dans sa bouche imberbe, il décide de la laisser entrer sans plus aller loin dans la fouille, car si escarmouche il y a, il pourrait, calcule-t-il très vite, se poser en sauveur du Bordel.


Allez-y, mais… je vous ai à l'oeil !

Et lorsque je serai le tyran des catins, j'imposerai le droit de cuissage du gardien, et je te testerai, ma belle! Il croit avoir fini en la laissant entrer, mais c'est là que le bain de foule commence vraiment… La main toujours tendue vers la houppelande, il détaille le jeune homme qui lui parle. Pas aussi troublant que le Liébault, celui-là, mais il a une espèce de charme infantile qui se dégage de lui. Et qu'est-ce que ça le fait jouir mentalement, le ton de prière dans la voix!

Bon… Posez toutes vos armes dans ma main libre et entrez vous amuser, Monsieur !

Je vous ai à l'oeil aussi, tiens. Je vous ai tous à l'oeil d'ailleurs! Même toi qui ne t'es pas encore rapproché! Bien que commençant à être un peu chargé, le coffre à dagues sur pattes se tourne vers l'inconnu.

Vous voulez entrer vous aussi Monsieur? Si oui, vous avez retenu la procédure?

Juste histoire que je ne me répète pas, puisqu'il y a encore un peu de place dans mes mains…


--Marceau


[A l'entrée en compagnie des autres]

Ah ça ouvre, au final il n'aura pas attendu longtemps. Il observe les façons de faire, le gardien et le rituel de l'entrée. En approchant il peut mieux saisir le comportement de l'homme qui est le premier rempart face aux personnes dangereuses qui pourrait lui nuire à lui ou aux filles. Parce que oui quand vous êtes au travail vous ne pouvez pas vous défendre facilement. Par contre Marceau est étonné par la carrure su gardien, il s'attendait à plus costaud, enfin il devait bien avoir des qualités, la Rouge n'avait pas l'air de prendre n'importe qui comme ça. Il verrait bien à l'usage. Quand le gardien lui adressa la parole, il répondit simplement.

Je n'ai pas d'arme et j'ai rendez vous avec la Rouge.
--Iris.


[Alcôve - Judas et elle]

Ses yeux ne manquaient pas une action. L'Iris regardait partout autour d'elle, émerveillée par l'endroit. Elle n'était évidemment jamais rentrée dans un bordel mais celui-ci avait quelque chose de plus raffiné que ce que lui avaient raconté ses anciennes amies. Ce raffinement, cette classe, lui plaisait... Elle se sentirait presque à sa place, si elle n'était pas si intimidée.

Judas commanda alors l'hypocras pour eux deux. La Soumise tourna ses perles vers lui et lui sourit pour le remercier. Elle ne buvait pas souvent d'alcool, elle ne se l'autorisait pas. Mais pour une fois, elle y avait le droit, alors elle allait en profiter. D'ailleurs, elle profite également du déshabillage de son Ange... Sa manière de retirer délicatement cette cape et le haut de sa chemise, sans compter l'ambiance feutrée de l'endroit, laisse l'esprit de l'Iris vagabonder encore bien loin... Passant elle aussi le bout de sa langue sur ses lèvres, elle est presque obligée de serrer sa jambe pour se retenir d'une quelconque folie. Reprendre son calme et poser la question qui la taraude depuis le départ.


Dis-moi. Que venons-nous faire ici ?
Comptes-tu me montrer quelque chose ?


Détournant enfin son regard de Judas, elle tente de retrouver son calme angélique. Autant se concentrer sur les différents aller-retours du salon... Les gens étaient si beaux ! Même eux donnaient envie !


--Thibot
[Toujours l’entrée de la rose noire, puis le salon]

Le gardien lui demanda ses armes, on n’entre pas armé en ce lieu. Mais Thibot n’avait pas d’arme sur lui, juste une petite dague au cas où comme on dit … Il la tendit au gardien et sourit.

Le jeune homme pu enfin entrer, il se retrouva dans une grande pièce, des femmes plus ou moins vêtues, des hommes aussi. Quelque peu gêné, Thibot baissa le nez et se glissa entre les clientes et clients tel une anguille, jusqu’au bar. Il voulu commander un verre.


Heuuu bonjour demoiselle … heuu enfin bonsoir plutôt … je vais prendre .... un hypocras s’il vous plait !

Le verre servi, il sourit à la jeune femme et commença à siroter lentement son verre.
L’alcool l’aidant il releva ses yeux bleus de son verre à moitié plein, et vit des femmes toutes plus attirantes les unes que les autres. Mais il n’osa pas en aborder une, le blondinet était bien trop timide pour ça. Il commençait à se demander si c’était une bonne idée d’être venu ici lieu, puis secouant sa tête pour chasser cette idée, il attendit sagement en faisant tourner son verre entre ses doigts, de voir ce qu’il allait se passer. Peut être que l’une d’elle viendrait lui parler, il l’espéra fortement.
--Lilith__
Lorsqu'elle entra enfin, elle se sentit tout de suite à l'aise. L'endroit était raffiné et il y avait quelques personnes.
Deux hommes seuls quelle vit au premier regard.
Un blond et un brun.
Le blond au bar demanda un verre.

Elle se dit qu'elle devrait faire de même en attendant la rouge pour officialiser son nouvel emploi et retira sa Cape qu'elle posa quelque part où elle ne gênerait pas.
Elle portait une très belle robe qui épousait à la perfection ses formes galbées.

[Au comptoir]

Elle s'approcha du comptoir, commanda un verre de vin. Elle remercia d'un sourire la personne qui lui tendit sa boisson.
Elle fit rouler sur sa langue le liquide blanc et en dégusta les arômes.
Satisfaite, elle en but une gorgée, adossée au bar.

La Rouge ne devrait plus trop tardé, et elle pourrait être reçue et ainsi commencer son travail. Alors là, elle pourrait s'intéresser aux deux hommes seul dans la salle...
MAis en se retournant, elle vit la Rouge, décidément, la vue lui faisait un peu défaut ces temps-ci, ou serait-ce la distraction?

Elle chassa ses pensées et se tourna vers la tenancière des lieux, la Maquerelle, en lui adressant un joli sourire:

Bonsoir, je suis venue finalement... Puis je vous demander un entretien si il y a quelques petites choses que vous souhaitez savoir, avant de commencer?
--Justine.
[ Une main à mordre, au seuil de l'épineuse Rose ]



Justine ne bouge pas, figée dans sa posture tandis que le gardien la fouille.
Ses sensations sont sûrement différentes de celles ressenties par la balafrée .
Mais l'impression en reste étrange. Elle veut, et ne veut pas en même temps.
Tandis que les mains masculines passent doucement mais insidieusement sur son corps,
elle est partagée entre l'eau claire de la rivière en surface et les remous qui grondent dans les tréfonds.
Surtout lorsque ce coquin glisse ses mains entre ses cuisses.
L'onde frémit de délice mais le torrent redouble de force quand le gardien trouve son arme cachée.
A le voir jubiler, elle a envie de le gifler.
Il l'invite à entrer que.... si elle dépose les armes.
Si il savait combien il en coûte à la jeune fille de se séparer de sa protection....
Déposer les armes prend une autre tournure.
Elle hésite à s'y résoudre tandis que les autres commencent à entrer dans l'antre de la Rose.
La blonde, puis un jeune gars timide.
La main du gardien vers elle est toujours tendue mais il s'adresse à un autre jeunot à peine plus âgé qu'elle il lui semble, et d'une beauté à se faire damner toute déesse.
Il dit être attendu par la maîtresse des lieux. Client ou .... ?
La gamine le regarde du coin de l'oeil, se demandant comment il se comporterait avec elle, si il serait doux. Il en avait l'air
D'un haussement d'épaules elle chasse cette idée saugrenue et fixe à nouveau la main du gardien.
Comme elle a envie de la morde cette main !

Voleuse ! j'te déteste !

A contrecoeur la fille des rues se sépare de son fidèle ami pour le donner au gardien ,sans avoir conscience des éclairs brillants dans son regard.
Avec assurance elle se faufile dans l'entrée mais s'arrête dans un coin pour resserrer les rubans autour de son buste fin , mettant en valeur le décolleté joliment arrondi de ses seins.
T'as les vêtements, les écus, et t'es sensée être une jeune damoiselle alors fais gaffe à tes mots.

Elle redresse la tête la gamine des rues et sa bouche pulpeuse affiche avec légèreté l'atout de ses seize printemps.
Sans ciller elle entre dans la cour des grands, caressant de sa main le velours des lourds rideaux , émerveillée par tout ce luxe aux lueurs tamisées.
--Emilla_kair_d_ancle


[Comptoir : avalanche de commandes]


Tapie derrière son comptoir, Emilla voit descendre Jules. Son visage s'empourpre soudain et son regard se détourne. Elle n'est pas prête à lui parler, pas ici ni maintenant alors qu'il va monter avec une de ces dames. Il sera bien temps plus tard d'essayer de mettre des mots sur cette peur et cette chaleur dans son ventre.En attendant, Emilla se tourne vers la Dame Rouge et sa cliente étrange.

Bonjour Dame... Messire... Que désirez vous boire ce soir?

Emilla sourit à la cliente avec son innocence désarmante devant le couple si étrange. Attendant la réponse, elle sert en même temps l'hypocras que réclame le jeune homme qui vient d'entrer et le verre de vin à la demoiselle qui le suit de peu. Puis le petit caméléon se reconcentre sur les clients qui accompagnent la Rouge.

Elisabeth_stilton
[Salon entre la blonde et le brun]

Sa main glisse sur le visage de la blonde. Elle la caresse doucement, ses doigts glissent sur la peau douce de la catin. Les images de leur dernière nuit ensemble lui reviennent en mémoire et la blonde sent son ventre se contracter. Alors qu'elle allait se tourner vers la femme, Jules descend ... son regard croise le sien. Elle lui sourit, un sourire de circonstance, un sourire qui en dit long. Elle ne quittait pas les yeux l'homme devant elle, sans s'arrêter de caresser Désirée. Elle se demandait s'il avait compris qu'elle ne voulait pas passer la soirée seule ... en aucune manière. Sauf qu'en voyant Jules, elle pensa à d'autres choses et aucune femme ne faisait parti de ses fantasmes. Aussi la blonde changea d'avis. Elle se leva et se glissa près de Désirée pour lui murmurer à l'oreille.

Je vais vous libérer. J'ai une autre envie.

Le corps de plus en plus chaud, elle approcha de l'homme et s'installa au comptoir. Étonnant Enzo n'était pas là.
Cependant elle avait besoin de lui pour ses idées. La blonde se glissa près de Jules, posant une main sur son avant bras.

_________________
Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

--Marceau


[Salon]

Le blond entre, il observe, il jauge. La maison est de grand luxe. La maison est belle. Travailler ici serait horrible pensait il ironique. La calme, le luxe et la volupté, que demander de plus ? Non vraiment il devait se faire embaucher ici ! Bon trouver la Rouge allait être le plus dur ... ou pas ... Sa chemise est entre ouverte, comme toujours, comme pour se donner un côté accessible malgré tout, on vous l'a dit l'apparence est reine en ce métier. Où est elle ? La blonde près du fauteuil en compagnie d'une cliente ? Non trop jeune. En plus la rouge ne se prêtait au métier sans aucun doute. Il cherchait donc une femme mure, ouais on dit pas vieille d'abords, habillée élégamment, et surveillant son monde. La brune au comptoir pareil trop jeune. Puis au bout du dit comptoir ... une brune, élégante, d'un certain âge. Elle pourrait être une cliente mais tout en elle la désigne comme la maitresse des lieux. Elle dégage une aura particulière ... une aura de Mère, une aura de sérénité, de déesse régnant sur le lieu. Il s'approcha donc de la belle femme et se courba en deux.

Ma Dame je suis votre serviteur. Si j'osais je vous aurais fait un baise main.
J'oublie tous mes devoirs. Marceau Blanquet. Pour vous servir.
--Boetalon


[Dans le salon, de sa chaise au comptoir!]

Le jeune italien observa la piece, la salle se remplit a vu d'oeil, de jolie demoiselles etaient présentent, il espérait au moins avoir quelqu'un pour la nuit et ne pas repartir bredouille.

Il se leva de sa chaise en donnant un coup de main sur son pantalon pour enlevé les plis et alla au comptoir pres des demoiselles, il s'installa sur un tabouret et salua les demoiselles d'un leger sourire:


buonasera signorine! Je me présente, Sébastianos de Firenzi enchanté!

incline legerement la tete en guise de salutation tout en souriant.
Apres avoir attendu sur sa chaise, le jeune Italien prend son courage a deux mains, sinon sa soirée risque d'etre ennuyeuse...
La_dame_rouge
[Comptoir]

Diantre, je suis donc bien demandée ce soir...

L'une d'un coté, l'un de l'autre, et que ça apotrophe et que ça joue des coudes. Tout doux, il y en aura pour tous. Elle pose son verre vide, se retournant completement vers les deux jeunes, les jaugea des pieds à la tête. Ne trouvant rien à redire, elle prit comme à son habitude ce ton versatile, de la déclaration publique à la confidence.


Les deux nouveaux... Marceau, Lilith. Bonsoir.

Prenez vos quartiers ce soir, nous discuterons demain matin au réveil. L'argent doit être sur ma table avant de vous coucher.


Hé oui! Lachés dans la fosse aux lions. Amusée elle les dévisagea, comme s'ils devaient déjà ne plus être dans son champ de mire. Du nerf la jeunesse...
--Desiree


[Salon]


Snobée au cube, c’est possible ?
C’est un peu de sa faute, aussi. Elle a été distraite. Les arrivées dans l’antre douillet de la Rose l’ont perturbée. Un bref instant. C’est qu’on s’y bouscule, ce soir. Et les deux qui se présentent à la Rouge ont bien l’air d’être ce qu’ils sont : de la concurrence.
Perplexe un instant, la blondine acquièce machinalement quand sa cliente se lève. D’autres envies ? Jules.
Un sourire entendu éclaira le visage de la putain, et un clin d’œil discret partit en direction du vétéran. Elle ne s’était jamais sentie en concurrence avec celui là, allez savoir pourquoi. Surement parce que ses manières de soldat bourru la rassuraient autant que la présence de Baudouin l’avait fait, fut un temps.

Oubliant vite la manière dont Elisabeth l’avait remerciée, la petite princesse du bordel afficha son air le plus arrogant possible. Ces deux, là, les nouveaux, ils allaient vite comprendre à qui il fallait obéir, et à qui il ne fallait pas manquer de respect.
Aux aguets, sur le qui vive, la jeune catin ne manqua pas l’arrivée du jeune homme timide qui s’accouda au comptoir. Ravie, elle contourna les deux nouveaux et la Rouge pour aller vers ce dernier.

Elle se glissa au bar, contre lui. Ni trop proche, pour ne pas le mettre mal à l’aise, ni trop éloignée, afin qu’il ne manque pas de remarquer la qualité de la soie de ses atours, et surtout leur manière de suggérer les rondeurs qu’ils refermaient. Voix de velours et sourire ingénu, elle jubile presque. Il est puceau, ou tout comme, elle en est persuadée.
Et les puceaux, c’est comme qui dirait sa spécialité. Désirée n’est pas de ces catins qui aiment les hommes faits, et ceux qui croient donner du plaisir. Désirée ne ressent pas d’autre plaisir que celui, tout cérébral, de la satisfaction du travail bien fait, et du râle ravi d’un puceau jouissant pour la première fois.


Bonsoir, doux sire.

Les perles grises se posent sur le client, le détaillent discrètement, et lui offrent un regard rassurant.
Il ne faut pas s’inquiéter, avec Désirée, ça va aller !

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