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[RP] Maison close de la rose noire

--Judas


[Alcôve ]

Le spectacle de la nuit Iris... Le spectacle de la nuit.

Il rehausse le pan de tenture qui dissimule sa jeune brune pour lui montrer les couples qui se lient. Les yeux balayent la salle différemment... Ce n'est plus du repérage, il a déjà vu ce qui pouvait lui convenir. C'est le partage, avec les prunelles juvéniles de l'ancienne esclave.


Regarde, ils ne se connaissent même pas... Mais cure, leur nuit sera belle. Les amours anonymes ont un gout particulier.


Un soupir, il se penche pour chasser une mèche barrant le visage de l'Iris et murmure.


Je suis venu les contempler, et si l'un des couples me plait, tu les épieras aussi.


Entre autre, car comme souvent Judas ne dit pas tout. Il y a de bien étranges idées qui se bousculent sous cette tête d'homme. L'annulaire vient s'introduire dans l'anneau du collier que porte sa belle pour le tirer vers lui, ramenant ses lèvres aux siennes. Un baiser qu'il lui arrache, pour sceller son envie de lui obéir.


--Lilith__
Ses doigts se posent sur le poignet de Sebastianos, se referment légèrement, et elle l'entraîne à travers la pièce.
Elle arrive près des escaliers, les monte, l'homme à sa suite, son emprise sur son poignet est douce.
Ses pas légers font peu de bruits sur le bois du sol alors qu'ils entrent dans le couloir du premier étage.

[A l'étage puis dans une chambre]
Quelques lanternes sont allumées.
Elle se dirige vers une chambre vide.
Elle en ouvre la porte, indique par l'intermédiaire de la lanterne que la chambre est occupée et pas à déranger, fait entrer l'Italien, entre à son tour et referme la porte derrière elle.
Un sourire coquin se dessine sur ses lèvres pulpeuses.

Elle est adossée contre la porte, la poignée encore dans la main, qu'elle lâche un instant après.
Son regard pétille de malice, la soirée risquait d'être très agréable.
La notion de jeux ici prenait tout son sens.
C'était comme dans une arène.
Avec la tragédie en moins et le torride en plus.

Alors, dites-moi... Et ce divertissement? Vous m'expliquez cela?

Sebastianos est en face d'elle et elle décèle dans son regard la volupté à venir.
Son regard lui répond pareillement.
Elle attend que ses lèvres s'ouvrent pour pouvoir lui offrir le désir dont il rêve.
Qu'il n'a peut être jamais pu demander à sa femme, son amante, peut être.
C'est pour cela que les belles de nuit existent.

Elles sont l'objet de fantasmes inassouvi...
Anaon
[ Salon du vice ]

    Les mains s’attardent sur le rideaux de velours dont elle savoure la qualité d’un geste machinale. Presque hésitante quant au geste à suivre, elle caresse longuement l'étoffe avant que la main ne se résolve à les écarter.

    Les tentures dégagées lui révèle un monde comme elle ne les aimes pas. Dans un autre lieu, la balafrée aurait prit soin de détaillé le bon gout de la décoration, mais le spectacle qui se déroule sous ses yeux lui inhibe toute réflexion. L’atmosphère est impalpable, doucereuse et perfide. Dans cette écrin feutrée, qu’est la pièce au allure de cage dorée, évoluent les Pandores libertine et débauchée.

    La balafrée reste sur le pas de l’entrée comme pétrifiée, comme une imbécile qui se rendrait soudainement compte de s’être plantée d’endroit. Elle déglutit avant de se concentrer sur le but de sa venue. Les azurites cherchent alors avidement les filins de la tignasse platine qui l'a trainé dans se bordel. Malheureusement elle ne trouve pas son bonheur… pour peut qu’elle puisse l’appeler ainsi. Paranoïaque, elle l’est l’Anaon et elle s’active alors à repérer les éventuels danger. Les perles azurs ont immédiatement remarqués l’homme armé et la femme vêtu de rouge. C’est sur cette dernière qu’elles s’attardent. Ni noble ni gueuse, discrète mais terriblement présente. Austère mais souriante. Au vue de l’âge qu’elle doit avoir, elle semble bien est la mère des puterelles.

    Le regard s’en détourne et elle réalise qu’elle est planté comme un poireau depuis un certain moment déjà. Bien décidé à ne pas attirer l’attention d’avantage, elle dont le visage de foire en attire bien trop, l’Anaon décide de partir se réfugié au bar.

    Légère boiterie qu’elle cherche à masquer par son pas ample et assuré, elle prend la direction du comptoir sans prêter le moindre intérêt aux êtres qu’elle prend grand soin d’éviter. Trouvant la place la plus isolé, la femme prend appuie sur le bois de ses coudes repliés. La gamine chargée du service s’affaire activement à satisfaire la clientèle. La brune ne la lâche pas du regard. Bien jeune. Une grimace lui tord les lèvre et les azurite abandonne la gamine pour se concentrer sur les bouteille qui lui sert de toile de fond.

    Pensive, sa main se frotte à son menton et ses doigts redessinent machinalement la balafre qui lui scie les joues. Les pupilles luisent soudainement et la balafrée retient d’une parole la petite serveuse qui passe près d’elle.

    _ Sers moi une Fée verte, petite. Ne sois pas trop généreuse avec l’eau par contre… je t’en remercie.

    Les azurites accrochent le regard juvénile. Une bonne absinthe, çà vaut bien toutes les fouilles du monde.

_________________

Images originales: Victoria Francès, concept art Diablo III - Montage LJD ANAON----[Clik]
--Boetalon


[dans les escaliers jusqu'a la chambre]

La belle Lilith lui pris le poignet avec douceur pour l'entrainer vers la cage d'escalier..

Le jeune Italien suivi Lilith en l'admirant en meme temps avec un sourire en coin.

On arrive devant la chambre, la belle brune ouvrit la porte et me laisse entré le premier puis elle entre egalement et referma la porte derriere elle.

Elle lacha mon poigné doucement et me regarda avec des yeux plein de malice et je lui rendait ce meme regard.


Citation:
Alors, dites-moi... Et ce divertissement? Vous m'expliquez cela?


Le jeune italien souriat malicieusement, et s'approcha de la belle Lilith, posa une main sur ces hanches en se collant a elle sensuellement..

Enfouis son visage dans son cou pour la couvrir de tendres baisers, tout en laissant sa main remonter dans son dos pour la caresser avec desir puis redescent sa main sur ces fesses tout en mordillant legerement son cou puis il releva sa tete avec un sourire coquin


Alors qu'en pensez vous Bellissima?

tout en la gardant collé contre lui..
--Lilith__

[Dans l'une des chambres]
Elle le regarda s'approcher.
Une proximité dangereuse qui émoustillerait leurs sens.
Et lorsqu'il lui posa la question, la réponse passa ses lèvres sans hésitations.

Cela me semble parfait...

Elle avait eut une voix légèrement rauque, chaude et sensuelle.
Elle pencha la tête légèrement en arrière pour mieux apprécier les baisers qui se faisaient brûlants.
Elle releva la tête, emmêlant une main dans ses cheveux à lui.

Lorsqu'il leva la tête lui aussi, elle le débarassa de sa capuche et l'embrassa le long de la mâchoire puis remonta vers son oreille dont elle mordilla le lobe.
Elle redescendit, lui déposant des baisers dans le cou, de sous le menton à sa base.
Les mains de la brune aux prunelles émeraude se posèrent sur les épaules de l'homme, elle commença à le défaire de sa cape noire qui tomba à terre dans un bruit sourd.

Elle sentit les mains de l'Italien sur son corps.
Frissonnant très légèrement à son contact.
Les plaisirs des sens allaient venir crescendo.


[Bonsoir,Image hors norme, retirée. Modo chef lestan]
--Thibot
[Dans la chambre de Désirée]

Sa main ne quitte pas celle de Désirée, il ne la lâche pas quand elle lui fait quitter le bar, ne la lâche pas quand elle l’entraine à l’étage, ne la lâche toujours pas quand elle entre dans une chambre. Le jeune homme se rattachait à cette main confiant.

Se mettre à l’aise … facile à dire, c’est la première fois que Thibot se retrouve seul dans une chambre avec une dame.
Il embrassa la pièce du regard, de beaux fauteuils, un beau lit, des étoffes de grandes valeurs, il n’était habitué à tant de luxe et ça le mettait un peu mal à l’aise.
Vite trouver une parade pour ne pas paraître trop benêt. Il retira ses chausses et les laissa près de la porte de la chambre puis il posa son verre sur une table après en avoir bu une gorgée.
Le blondinet se dirigea ensuite vers le lit et se laissa tomber dessus. Le lit était moelleux et Thibot se laissa de nouveau tomber sur le lit et riant joyeusement.
Le rire d’un enfant qui découvre pour la première fois le moelleux d’une couche. Ce petit rire qui faisait que le garçon n’était pas encore sorti de l’enfance, qu’il n’était pas encore un homme, mais à 17 ans est on déjà un homme ? Peut être bin que oui … peut être bin que non !
Il tendit sa main en direction de Désirée pour qu’elle vienne rire avec lui dans cette douce folie infantile qui le prenait. Ces manières de garnement ne plairaient sans doute pas, mais c’était sa façon à lui d’évacuer la tension afin de redevenir plus sérieux une fois la passade terminée.
Alors viendra ? Viendra pas. ? Se ferait il jeter comme cela à toujours été le cas ?
--Boetalon


[Dans la chambre avec Lilith]

Le jeune italien prolongea ces baisers chaud dans le cou de Lilith en mordillant de temps en temps tout en laissant sa main la parcourir le long de sa cuisse en remontant legerement sa robe.
Avec l'autre main, il la posa sur sa poitrine et carresse ces mamelons a travers le tissu de sa robe, puis titilla ces tetons pour lui procuré plus de plaisir tout en longeant son cou avec le bout de sa langue pour la faire frissonné d'avantage.

Ouvre legerement son bustier pour découvrir sa poitrine tout en continuant a carresser ces mamelons, parcours ces levres dans son cou et descent jusqu'en dessous du menton pour se rendre a ces seins.

Leche doucement ces tétons avec gourmandise, tout en caressant sa cuisse en glissant sa main sous sa robe.

Sent les levres de Lilith dans son cou et frissonne legerement.. laisse la belle brune lui oter sa capuche et laisse sa cape tombé au sol et se concentre sur ces caresse.

[i][Bonsoir, pour avertir un dérapage: merci de ne pas nous faire un cours d'anatomie, les descriptions du corps humain en action tout ça... Restez subtil , reportez-vous aux règles d'or pour les RP du genre. Bon jeu, Modo chef Lestan]
--Marceau


[Comptoir puis salle des quatre bains]

La jeune fille semblait troublée. Était ce sa première fois dans un bordel ? Avec un homme ? En tout cas, elle était de ces femmes qui transpiraient le besoin de douceur. Elle acceptait sa proposition, il était temps d'agir pour la mettre en confiance et la guider doucement vers le plaisir. Mais avant cela il fallait boissons aller quérir. Toujours auprès d'elle, il lui murmure.


Ma douce amie, attendez moi ici je passe commande et je reviens pour vous juste après.


Un baiser dans le cou gracile vint clore la phrase du jeune homme. Il quitte sa cliente pour aller au comptoir demander à boire à la préposée aux boissons. Toujours souriant, toujours avenant et poli, il salue les personnes présente avant de s'adresser à celle qu'il pourra appeler plus tard Emila.

Bonjour, je suis Marceau. J'ai besoin de deux verres, quelque chose de doux et sucré pour ma cliente et pour moi le moins fort possible. Merci.
Nous allons aux Quatre Bains.


Retour vers la jeune fille. Il lui prend la main et lui montre un porte close en face de l'entrée. La porte est poussée, il découvre avec la jeune fille des bains qui n'attendaient qu'eux. Il avait raison de se douter que c'était une salle de bain, sans compter que l'eau avait un quelque chose de très sensuel quand on se donnait la peine de jouer avec. Il attire la jeune fille vers lui, son regard capte le sien comme pour la garder en sa maitrise, doucement une boucle et repoussée. Il caresse doucement l'ovale du visage, le galbe de la joue et dépose un tendre baiser sur les lèvres purpurines.


Avez vous des envies, Ma Dame ?

--Lilith__
[Dans l'une des chambres]

Les caresses se font plus sensuelles, les baisers plus ardents.
Collée à l'italien, elle sent un mont qui se dresse légèrement lorsqu'elle débarrassa l'homme de sa chemise, bouton après bouton, lentement.
Doucement, elle se dirige avec lui vers le lit mais reste encore debout.

Ses mains à elle glisse sur le corps de l'homme, elle caresse ses épaules, passe une main dans son dos.
Elle défait encore un peu plus son corsage, de façon à se que la robe tombe et reste sur ses hanches.
Ses sens sont à l'affut, en particulier le toucher, elle frissonne, soupire même d'aide lorsque une main au contact de sa peau est glissée sur sa jambe douce.

Ils étaient enlacés, debout, un lit était près d'eux, et ce, quand il serait prêt...
--Boetalon


[Dans la chambre]

Il se rapprocha du lit, enlacé l'un a l'autre avec sensualité. Laisse sa chemise tombé au sol, se retrouve désormais torse nu contre Lilith. Le jeune italien prolongea ces carresses avec insistance en collant son bassin au sien pour lui faire sentir son envi.
Remonte sa main de plus en plus le long de sa cuisse , continua a embrassé son corps en descendant ces levres sur son ventre en la couvrant de baiser brulant.
Il commenca a lui oter sa robe au fur et a mesure que sa bouche parcours son corps et laissa sa robe tombé a ces pieds. Arrivant au bas du ventre de la belle Lilith, le jeune Italien contourne son nombril avec sa langue tout en caressant ces fesses avec désir.
Sent la fièvre monté en lui de plus en plus...,
il frissonna de plus en plus aux caresses de la belle Brune
--Emilla_kair_d_ancle



Emilla regarde les deux personnes présentes avec la Dame. Visiblement ces derniers ne sont pas très intéressés par une commande, aussi prépare t'elle les deux hypocras des personnes dans l'alcove et retourne servir Judas et Iris. Restant hors de portée de Judas, elle fait en sorte de ne pas se faire remarquer et d'éviter encore le contact de ses doigts sur elle, son chale serré autour de sa gorge.

C'est le plus rapidement possible qu'elle s'en retourne au comptoir pour s'occuper des autres clients. Elle apperçoit alors Anaon et sourit à sa demande. Peu osent se frotter à la Fée Verte. S'installant au comptoir, elle s'applique au rituel de l'absinthe, avec délicatesse, jouant avec sa cuillère en argent.


Voici Dame, faites attention à sa malice...

--Lilith__
[Collée à toi, je ne réponds plus de moi... Dans l'une des chambres]

Débarassée de sa robe, des baisers brûlants sont posés sur son ventre.
Elle sait que l'homme est plein de désir, elle l'a senti.
Un mont dressé.
Elle relève la tête de l'italien d'une pression de l'index sur son menton.

Et elle l'attire vers elle, lorsqu'elle s'allonge sur le lit.
Elle l'attire au dessus d'elle.
Elle ne porte plus qu'une chose, lui, probablement deux.
Les mains de la belle de nuit se posent sur le dos, glisse vers le bas et débarasse son propriétaire de ses braies.

Elle l'embrasse dans le cou, remonte doucement, s'arrête un moment sur la ligne de sa mâchoire, que de doux doigts viennent caresser.
Elle sourit.
La brune a un de ses sourires impossibles aux lèvres, un sourire heureux, qui dévoile ses dents blanches.

Ses yeux pétillent, elle le sait.
Par ce qu'elle apprécie le moment, simplement...



[Vous n'avez plus autorisation d'intervenir sur ce topic à la demande de sa gestionnaire, veuillez consulter le sujet "[HRP] Concertations entre joueurs des RP aux Arpenteurs" où cela se trouve précisé.
Je laisse ce post, mais c'est le dernier. Si vous postez de nouveau, cela sera immédiatement supprimé.
Boetalon est libre de conclure la scène qui se déroule entre vos deux personnages.

Modo Mata]
--Achille..


Achille était rentré dans cette endroit. La pauvre, déjà qu'il était étranger dans ce royaume, il ne connaissait pas vraiment cette ville non plus mais pas le choix! Il fallait suivre la tisserande... Départ, puis finalement pas départ, partir puis pas partir, guerre mais pas de combat... Plein de choses faîtes, que pour le mettre en rogne! Dans tout ça ou était ses petits plaisirs? Bah voui, le pauvre.. Pas de boisson, car pas le temps.. Car MADAME avait décidée au derniers moment de partir voir une pauvre mioche dans un orphelinat... Et pareil pour les femmes! Quoi que ça il peut bien s'en passser... Du moins pour l'instant, ce n'était d'ailleurs pas le problème pour en trouver. Le village pullulait de catins! Jamais il n'en avait autant vu!

Il se faisait tard, il n'arrivait pas à dormir, une maison close était présente dans le coin. Il fallait qu'il se change les idées, et les tavernes étaient pour la plupart quasi fermées ou désertes. Pourak des beautés étaient sans doute là, mais il n'avait pas le moral à béliner. Non il voulait boire et reboire!!! Il espérait qu'ici il serait bien servit. Bien sûre tout en admirant la vue! Peut être trouverait-il son bonheur...
D'un pas léger, le beau brun au sourire charmeur s'avança près de comptoir. Si la tisserande savait qu'il était là... Elle le zigouillerai... Près la porte. Scrutant le tour de ses yeux vert émeraude. Il passa une légère main dans sa barbe naissante. Et regarda l'homme à l'entrée.


Euh, bonsoir mon ami! Parait-il que c'est agréable ici... Quels sont les prix des délices de la vie?

Achille essaya de cacher légèrement les bagues et autre qui ornaient ses doigts. Il ouvra simplement son mantel qui cachait une grosse bourse dégueulante d'écus. Il tenta même de parler comme un homme banale. Mais ses manières légèrement nobliaute, risquaient de dénoncer ses antécédants génétiques.

[Bonsoir, merci de modifier votre post pour le mettre en conformité avec les règles citées au premier post du rp. Il y a un gardien à la porte de la Rose noire, vous devez en tenir compte. Moda chef Lestan]

Navré pour l'erreur!
--Boetalon


[ Dans la chambre!]

releve legerement le mentonet se laisse attiré sur elle,
retire ces braies et les laisses tombés au sol,
il se retrouve desormais nu, enlacé a Lilith.

Le jeune Italien poursuit ces baisers brulant tout en balladant sa main entre ces cuisses, la remonte legerement jusqu'a son intimité,
parcours le corps de la belle brune avec ces levres en commencant par sa poitrine puis son ventre et le bas du ventre, avant de continuer,
l'italien regarda coquinement Lilith avec un sourire malicieux et continu pour dégusté son bouton d'or avec le bout de sa langue tout en caressant sa poitrine avec désir
--Justine.



[ Pas à pas au coeur de la Rose]

Elle le suit des yeux pour être sûre qu'il ne va pas s'évaporer.
Sur son cou le baiser déposé semble encore présent, comme si sa peau gardait la mémoire des lèvres douces.

Un léger mouvement fait bifurquer ses yeux ,qui dans les lumières tamisées commencent à s'habituer.
Un couple est là, comme tapi dans l'alcôve. Justine ne les avait pas vu et soudain les découvre.
Leur beauté à tout deux est étrange. La gamine n'arrive pas à déterminer ce qui lui donne cette impression.... puis elle comprend.... dans les gestes, les regards.
Il est la force et plus que ça. Elle est la douceur et bien plus que ça.
Le collier de cuir qui ceint le cou de la jeune femme l'intrigue.
Elle repense soudain à celui si précieux qu'elle a découvert dans la bourse volée.

Une main douce et chaude vient prendre la sienne.
Justine se retourne vers le jeune homme qui l'a choisi, celui qui va guider ses pas.
Comme en réponse à ses pensées, il l'entraîne dans une pièce, celle qu'il voulait lui faire découvrir.
Avant même que son regard la parcourt, c'est dans le sien qu'elle se plonge lorsque il l'attire vers lui.
Elle le savait. Elle le sentait qu'il serait doux. Ses gestes le prouvent.

Avez vous des envies, Ma Dame ?

Une dame ? Ah si ses petites soeurs de la rue la voyaient ainsi vêtue, sur qu'elles ne reconnaîtraient pas celle qui monte aux barricades , dague en main, le regard plein de venin pour défendre les petites aux poches trouées, à la face crottée.
Ce sont elles sa famille. Elles sont sous sa protection . Et le trésor découvert dans la bourse sera leur entrée à toutes dans un petit coin de paradis.

Mais pour l'heure, c'est elle qui y est; jamais personne pour elle n'a eu autant d'attention.

Des envies? je ne sais pas. Je sais juste que je suis bien.

Parle t'il de désir ? Justine pense à ce mot si secret qui les font toutes glousser sans savoir ce que c'est. Le plaisir... elle ne connaît pas.
Elle sait que ça fait du bien pour l'avoir entendue dire mais sans plus.
Silencieusement elle regarde le jeune homme puis la pièce qui les entoure et lentement se détache de lui pour la parcourir.
Elle fait le tour d'un baquet, trempant l'extrémité de ses doigts dans l'eau et laisse sa main rompre la surface lisse dans un doux clapotis .
Toute à la découverte de la salle des Quatre bains, elle jette de fréquents coups d'oeil au jeune homme.
Chaque baquet est entouré d'un rideau blanc, de la plus fine étoffe.
Justine se cache derrière, observant son prince derrière la transparence de l'aérien rideau, souffle dessus pour l'agiter doucement.

Et vous messire, avez-vous des envies ?
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