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[RP] Maison close de la rose noire

Gailen_d_arduilet
[Derrière le rideau]

Nous voilà donc avec un gamin qui non seulement ne savait pas ou l’on l’emmenait ni ce qu’il allait advenir de sa niaiserie, mais qui là n’arrivait plus a gérer l’enchaînement, trop rapide, des évènements. Il se contentait donc de suivre comme un dévoué toutou sans cervelle. C’est que ça s’animait autour du petit comte, tout d’abord l’homme masqué : en voilà un qui n’était pas pour rassurer le jeune Arduilet sur l’endroit qu’il allait bientôt fréquenter. La malicieuse de Renaix lui avait parlé de fastes ? Tu parles ! Des patibulaires agressifs, malpolis et masqués on était en plein bouge ! Voulait elle lui montrer ce qu’était un vrai repaire de mercenaires pour lui faire payer le coup de « Notre-Dame » ?
Je vous passe l’échange de bons procédés entre son amie travestie et l’homme masqué. On était bien loin d’une joute amicale entre soiffards au carnaval de Dunkerke. Il avait bien cru devoir assister à son premier duel. Il regrettait, d’ailleurs, son jeune age et son incapacité à manier les armes. Ah s’il avait eu la maîtrise des armes de ses aïeux, il aurait fait ravaler sa langue trop bien pendue à cet inconnu.
Mais très vite, trop vite pour que Gaïlen ne réagisse, les cerbères avaient repris le contrôle de la situation et sans comprendre comment il avait pu se laisser faire notre jeune puceau s’apprêtait a plonger dans le grand bain de la maison des vices.



Des mets de choix dites vous, nous nous empressons dans ce cas d'entrer afin d'en verifier vos dires, et si nous sommes insatisfaits vous remboursez?

Quoi ? Elle n’est même pas certaines de la qualité des mets qu’elle m’emmène déguster ? Manquerait plus qu’on finisse empoisonné. Déjà que je ne suis pas sur qu’on va, un jour, quitter ces ruelles sans se faire égorger.

Quant à mon langage il me semble qu'il n'avait rien de châtié, pas plus que celui employé par cet homme! Vous devez vous tomper de cible, ou avoir l'ouïe mauvaise

Regard noir vers son amie et murmure :

Mais vas tu, enfin, te taire, on ne va jamais se sortir d’ici si tu ne range pas un peu ton orgueuil…

Bon, on entre ?

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Rouquine
[Alcôves]

Appelez-moi Judas. Je ne suis pas mécontent d'avoir à ma table une créature de la Rose Noire, on en parle tant au delà de ces murs.

Elle accepte le compliment avec un sourire modeste, puisque c'est ce qu'on attend d'elle en toutes circonstances, même si elle sait, pour n'être que pensionnaire en ces lieux, tout le bien qu'on dit des filles de la Rose Noire à travers le pays. La tête se penche à peine en direction de sa main lorsqu'il effleure sa chevelure soigneusement montée en chignon. Toujours porter ses gestes vers le client.

Rouquine, pensez-vous pouvoir nous offrir spectacle ce soir? Ne vous méprenez pas... Nous sommes venus en observateurs passifs, tout couple éphémère saurait nous ravir. Quoi que vous... Avec cette... Crinière...Permettez-moi de vous observer user de votre savoir faire

Le mépris n'est pas perdu pour la catin, habituée qu'elle est à le déceler. Il ne la choque en rien, après tout, sa chevelure attire autant de mépris que de fascination, et puis dans ce métier... une fois dans la chambrée, la Rose redevient souvent un bordel comme un autre, même si bien des clients raffinés jouent le jeu des salons mondains avant que de monter. Prenant la coupe que lui porte sa fausse soeur, elle prend le temps de sourire à cette dernière et de tremper ses lèvres dans le breuvage avant que de répondre d'une voix aimable.

Combler vos attentes est mon seul désir, Judas... Mes deux collègues masculins sont malheureusement déjà pris pour l'heure, mais peut-être vous plairait-il d'observer...

Une pause le temps de chercher une formulation suffisamment vague pour ne point le choquer.

... les doux échanges de deux damoiselles ? La belle Lucrèce est là qui s'ennuie. Evidemment, si c'est un spectable plus... classique que vous recherchez, nous pouvons attendre. A moins...

Petit sourire coquin, et elle se penche avant d'ajouter sur le ton de la confidence, comme une gamine proposant à son compagnon de jeu de faire une bêtise.

...Je puis aussi m'enquérir des envies de mon prochain... galant, et voir si être observé lui procure quelque plaisir ?

Elle se redresse, pour lui laisser le temps de réfléchir à ce qu'il souhaite.

En attendant, s'il vous plait de mieux voir ma crinière...

Et d'un geste maintes et maintes fois répété, la jeune catin titre sur la grosse épingle qui retient sa lourde chevelure, la laissant s'ecrouler sur ses épaules pour le plaisir de son client.
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Rouquine sévit au Boudoir des Sens.
--Iris.



[Alcove]


Silencieuse, l'Iris était retourné à sa place. Plus un mot, plus un regard, elle avait simplement fait son devoir. La Rouquine l'avait suivi sans rechigner et maintenant la catin allait faire son travail. La Soumise, quant à elle, se rassit et écouta l'échange entre la "fleur" et Son Judas. Mais dans sa tête, dans ses pensées, tout fusait. Elle n'aimait pas cela, l'Iris. Ce regard qu'il jetait à Rouquine, l'ordre qu'il lui avait donné de lui tendre son verre... Le nez de la brunette se plissait discrètement alors qu'au fond d'elle, dans son coeur, c'était la panique.

La demande de Judas d'observer les autres couples la fit se redresser. Quelle était cette étrange idée ?! Elle aurait préféré encore une aventure avec la fleur aux cheveux flamboyant qu'être observatrice. Quoique, peut être n'aurait-elle pas le droit d'assister au "spectacle" et elle resterait seule, ici. Ne pas pleurer, ne pas crier. Iris se cacha dans son verre, n'osant même plus écouter les répliques de Rouquine et encore moins croiser le regard de Judas qui, à présent, n'était plus tout à fait à elle.

A présent, elle devait se taire.
Judas
[Alcôves]

Ha! La bordelière savait son métier.

Judas se laissa prendre au jeu de cascade roux, tout en s'imaginant entre les cuisses de Rouquine, sans détour.

Il rit un peu alors, en hochant la tête.


Un homme , mafoy nous avons des envies bien classiques ce soir. N'est-ce pas Iris?


Façon cavalière de faire les présentations...


Va pour le prochain Galant.


Regard à sa femme au collier, pour lui redonner contenance. C'est que si il la laissait faire elle serait capable de se noyer dans son verre...
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--Geoffroi



[A la porte]


Geoffroi aurait été une femme, ou une catin, ou encore les deux, il serait tombé immédiatement amoureux de Baudouin. Apparu comme un chevalier servant pour aider une jeune donzelle en train de se faire malmener, il retire une épine du pied, pourtant solide, du gardien de la Rose.

Bien loin de se formaliser de l'intervention du vieux briscard, Geoffroi sourit donc à son aîné et prédécesseur à ce poste, et opine du chef, histoire de confirmer qu'il est d'accord quoi, aux mots que ce dernier lance à l'étrange moustachu.


Retenez bien ces paroles Messire, et entrez donc maintenant, puisque je vous ai laissé passer ! Vous n'êtes plus pressé?

La dernière question est posé sur un ton empreint d'ironie, tentative de Geoffroi de reprendre le dessus dans ce sketchs ubuesque avant l'heure. Puis, se tournant vers l'arsenal sur pattes:


Quant à vous, vous ne pourrez entrer que lorsque vous aurez déposé au pied de mon… collègue, toutes les armes que vous portez ! Et n'essayez pas de nous gruger, j'ai l'oreille musicale ! J'ai reconnu au moins quinze instruments dans l'orchestre cacophonique de vos lames !

Non, il ne vient pas du sud, le jeune brun, même s'il exagère très légèrement. Il fixe Thoros, lui lançant mille petites dagues du regard, histoire de bien lui faire comprendre qu'il ne plaisante pas, puis se tourne vers Baudouin et lui glisse à l'oreille:

Peux-tu t'en occuper, l'ami? Je reviens dans un instant, un besoin pressant… Et je te le revaudrai, foi de moi !

Peu importe que la parole de Geoffroi ne vale rien. En cet instant, il vendrait même Désirée pour ce besoin urgent !


--Marceau


[Quatre Bains]

Cela sera fait pour votre bon plaisir ma Dame.

Mais que portait Marceau ? Une longue chemise de soie entrouverte boutonnée, de longues braies serrées retenue par des lacets, et des bottes. La tunique était retenue par une ceinture de soie elle aussi, ce qui accentuait sa carrure. Par contre quand il devait sortir pour se rendre chez une cliente ou un client il avait toujours une cape de la plus belle facture, seulement à l'intérieur il ne fallait pas se couvrir trop, faire attendre la clientèle n'était pas bon. Aussi ses vêtements avaient été coupés et préparés pour permettre à Marceau d'exciter ses client(es) grâce à un effeuillage travaillé.

Alors le blond se recula, permettant à Justine de la voir dans son intégralité. Le blond commença par enlever la ceinture libérant la chemise puis il ôta un par un les boutons de sa chemise. Il prit son temps, Justine devait rien que par le regard avoir envie de connaitre la suite, avoir envie de voir la suite de son corps. Par contre, discrètement il avait enlevé ses bottes, parce que oui, il faut l'admettre enlever des poulaines ou des bottes c'est pas le plus sexy. Quand tous les boutons furent libérer, Marceau laissa glisser le tissus sur ses bras pour lui permettre de rejoindre la ceinture au sol. La jeune femme pouvait alors observer le torse nu de son courtisan. Sa taille était encore caché, et là le jeu était aussi au rendez vous, les braies avaient été étudiée pour glisser seule quand on défaisait les rubans les retenant. Et oui se baisser pour enlever son pantalon ce n'est pas sexy non plus. Alors c'est ce qu'il fit, il délaça tous, faisant apparaître un soldat prêt à foncé au combat dans un bruissement de tissus.

Alors il approche du baquet, doucement, pour qu'elle profite encore un peu du spectacle. Le blond entre dans l'eau, il s'installe en face de la jeune femme. Comme elle semblait se libérer peu à peu, il préféra la laisser venir à lui, qu'elle désire vraiment ce qu'ils comptaient faire. Il lui reprit alors l'éponge des mains et se mit à se la passer sur le corps. Il était bien, l'eau chaude lui faisait du bien et il avait toujours aimé ce contact sur sa peau, encore plus quand il était en bonne compagnie. Son manège avait pour but de donner envie à Justine de venir à lui, de prendre les devants. Aussi les émeraudes ne cessaient de la désirer.



Elisabeth_stilton
[Mansarde]

En sentant le mur contre son dos, elle ne put retenir un frisson, non pas d'angoisse mais de désir, elle se demandait encore pourquoi un mur pouvait lui faire ressentir autant de chose - enfin pas le mur hein, mais la situation - sans jamais trouver réponse. Une sorte de tension était perceptible, elle le regardait défaire son corsage lentement comme s'il n'avait qu'une envie c'est de tout arracher. Elle était impressionné de son contrôle, vraiment. Au contact de la main du soldat sur sa peau nue elle sentit son ventre se serrer. Elle en attendait plus, elle en voulait plus, il savait faire monter les émotions le bougre. La blonde n'avait qu'une envie ... qu'il caresse son corps, qu'il le couvre de baisers, elle voulait s’abandonner dans ses bras. Visiblement il lisait dans ses pensées, se retrouver ainsi cambrée présageait de moment de plus en plus intense. Le soldat connaissait son affaire et menait la danse d'une manière idéale pour la blonde. Sans compter qu'elle avait conscience de son désir à lui. Elle se demandait si elle devait elle aussi agir, en avait elle envie ? Après tout elle était cliente et elle pouvait faire ce qu'elle voulait, cependant dans ces choses là elle ne voulait pas forcer, amener à ce qu'on voulait était bien mieux.

Alors qu'elle était dans ses intenses réflexions, il prit ses lèvres. Non pas un baiser tendre et doux, mais un baiser dominant, ce qui ne lui déplaisait pas, au contraire. Elle lui rendit avec l'ardeur qu'il avait mis dans ce baiser. Un bon baiser pouvait éveiller toutes les sensations d'un corps quand on savait y faire. A croire qu'il avait l'habitude de déguster les corps de femme et ce depuis plus longtemps que son arrivée à la Rose. Elle ne connaissait pas son histoire, et n'en avait cure, tout ce qui l'importait était ce qu'il savait faire maintenant. Il lui demanda son nom ... La blonde se redressa, passant un bras autour de son cou se hissant près de son oreille. Sa main libre se glissa vers les braies tendues, caressant doucement la protubérance, tandis que sa voix douce murmurait : Elisabeth.

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Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

--Thibot
[Chambre de Désirée]


Alors que tout n’était que tendresse, délicatesse et volupté, puis nouvelle attaque de la catin.
Thibot eu un petit mouvement de recul quand elle entreprit de défaire ses braies. Elle ne s’arrêta cependant pas là et Thibot s’écarta légèrement quand les mains de Désirée le touchèrent à cet endroit là.

Tout avait été parfait jusque maintenant pourquoi tout précipiter, Thibot ne comprenait pas cet empressement. Sans doute avait-elle envie d’en finir vite avec lui. Sans doute que c’est comme ça que ça doit se passer dans ce genre d’endroit ou plus généralement dans la vie n’importe où.
Thibot regarda la jeune femme, de l’incompréhension dans le regard.

C’est vrai quoi, c’était nouveau pour lui. Jamais une femme ne l’a déshabillé ainsi, faut pas trop le brusquer le blondinet


Bonjour , pas de hrp dans le rp cf règles d'or, utilisez le topic réservé à cet effet. Bon jeu. Modo Cerd..]
Malycia
[C'est le rideau qui remue, pas la queue...]

Haussement de sourcil en regardant Gailen, pas contrariant lui, ferme là pour s'en sortir, mais presses toi pour rentrer, faudrait savoir!
Elle aurait bien aussi tiré la langue en direction de Geoffroi pour toute réponse à son ton ironique mais ça ne ferait pas très sérieux, et elle risquerait surtout de se faire découvrir par un geste si puéril, digne d'une fille qui plus est capricieuse.
Donc puisqu'on y était, plus qu"à entrer, effectivement elle était soudain moins pressée, car elle n'était jamais entrée dans ce genre d'endroit, même si elle savait que son père f'réquenait les bouges des bas fond de Tournai mais jamais elle n'y avait posé un pied, pour y faire quoi d'ailleurs!
Cette fois c'était totalement différent, c'était pour la bonne cause, du moins s'en rassurait elle, car au vu du regard inquiet que portait sur elle Gailen, elle n'etait plus sûre de rien, et si il n'avait pas envie d'être déniaisé par une catin, et si il voulait rester pur et vierge jusqu'au mariage; Oui enfin ça non, elle en doutait et si il n'était tout simplement pas prêt...trop tard pour se poser ces questions jeune fille, disait son ange gardien, un peu tard pour la mettre en garde, vieux sagoin, répondait son diable gardien.


Oui bon ça va me pousse pas non plus, c'est le parfum qui émane de cet endroit qui te fait soudain frétiller comme une civelle?

Répondait elle alors à son jeune ami tout en pénétrant à l'intérieur de la Rose noire, si elle avait su elle aurait laissé passer devant elle l'homme masqué, peut etre etait plus habitué des lieux et ils n'auraient eut qu'à le singer, mais...le seul client qui était entré avant eux semblait aussi jeune et dénué d'expérience qu'eux.

Elle bombe le torse, redresse ses épaules, vérifie que ses moustaches sont toujours en place les lissant d'un geste de la main et s'avance jusqu'au bar, que faire d'autre, autour d'eux des alcoves où on pouvait distinguer les clients entre de bonnes mains qui faisaient connaissance autour d'un verre, ça riait, se tripotait.

Elle s'installe au bar en compagnie de Gailen, sourire aux lèvres pour s'adresser à la jeune femme qui fait le service.

Qu'avez vous à offrir à deux jeunes nobliots en quête d'amusement
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--Jules.


[Mansarde : les habitudes ont la vie dure]

Sentir la blanche peau frissonner sous ses lèvres encouragea diablement le soldat devenu courtisan. Même si auparavant, il aimait sentir réagir une femme sous ses mains, accentuant ainsi son propre plaisir, il avait fallu qu'il entre à la Rose pour mesurer toute la fierté que cela pouvait lui apporter.

Le geste de sa cliente lui arracha un grognement sourd , et il ne put s'empêcher de tendre les reins vers la caresse. Lâchant le creux de son dos, il la plaqua de son torse et de son bassin contre le mur, emprisonnant la menotte entre leurs corps comme pour s'assurer de la sentir mieux.

Une main toujours sur le mur, il laissa l'autre glisser légèrement sur sa hanche, sa cuisse, se penchant à peine le temps de s'emparer d'un genou qu'il souleva vers lui. Et la main d'aller et venir, dégustant le galbe d'un mollet, la délicatesse d'une cheville, avant de faire chemin inverse, glissant doucement sur la cuisse en retroussant ses jupons...Il sut, difficilement, se forcer à se décoller un peu d'elle pour laisser sa paluche se faufiler entre les dentelles à la recherche du havre humide et chaud que son bassin réclamait. Mais quand il l'eut trouvé, quand de ses doigts il frôla la toison, il oublia un instant où il etait, et surtout, avec qui. La voix rauque gronda à l'oreille de la blonde.


Si t...vous ne m'en empêchez pas je vais vous prendre contre ce mur... Elizabeth.

Sous le coup de l'excitation il avait bien failli la tutoyer comme une simple fille de ferme, et cacha son embarras en fourrant son visage dans le cou de la jeune femme. Soldat, tu dois apprendre à prendre tes ordres d'une femme, songea-t-il alors que la respiration rauque et courte, le sang battant à ses tempes, il continuait ses caresses sur son ventre un peu rond, sa douce toison, attendant le verdict.

Elisabeth_stilton
[Mansarde : la révélation ?]

Tous les hommes étaient pareil ... un défaut non au contraire c'était un pouvoir que de savoir comment les prendre. La preuve en était qu'elle avait marqué avec Jules, il réagissait exactement comme elle l'espérait. Le sexe faible ! Tu parles, les femmes dominent le monde à partir du moment où elles sont la femme d'un homme. La main emprisonnée n'était pas inactive au contraire, elle caressait l'instrument de plaisir futur, d'ailleurs le comportement de Jules était loin de lui déplaire. Certaines femmes se seraient offusquées de ce comportement indigne d'une noble, en même temps une noble au bordel c'est pas non plus super digne toute Rose que c'était. Non, la blonde n'était pas offusqué mais excitée ... Elle ne comprenait pas pourquoi le fait d'être traitée ainsi la mettait dans tous ses émois. Elle ne dit rien, se contente de garder le contact avec l'homme - en même temps difficile de faire autrement - par des baisers plus pressant et plus intense les uns que les autres.

La blonde avait aussi du mal à se contrôler quand elle sentit les mains sur son corps. Elles s'aventuraient sous ses jupes pour le plus grand plaisir de la jeune femme qui sentait une douce chaleur l'envahir. Elle désirait cet homme et la réciproque était valable aussi. Alors qu'elle n'avait qu'une envie ... qu'il s'occupe d'elle de manière plus intime, la sentence tomba. Il lui laissait le choix car elle était cliente mais elle savait ce qu'il lui ferait plaisir à lui. Et à elle ? De quoi avait elle donc envie ? Être prise contre un mur comme ça sans la moindre délicatesse ? Ou voulait elle le raffinement d'un lit bien moelleux ? Le lit sans aucun doute, sauf qu'elle savait ce qu'il se passerait si elle le freinait, elle s’ennuierait encore comme ces derniers mois. Après tout c'est quand on se conduit comme une fille de ferme qui se roule dans la paille qu'on sait ce qui se passe en dessous des hanches et au dessus des genoux. Alors pourquoi ne pas essayer ? Les filles de ferme auraient elle le monopole du plaisir ? Certainement pas et puis personne ne serait là pour savoir ce qu'il allait de passer. Et puis zut elle voulait savoir la blonde si ce genre de comportement serait amène de lui apporter le plaisir qui lui fait tant défaut ces derniers temps. Elle prit donc une voix suave, propre à excitée encore plus le courtisan.


Et si c'est ce que je désirais ?
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Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

--Justine.


[ Découverte aux Quatre Bains ]


Selon son bon plaisir. Voilà une phrase qu'il lui plaisait d'entendre.

Justine était une femme enfant, tiraillée entre entre les deux états de sa vie de jeune fille et de femme en devenir.
Avant tout elle était aussi au fond d'elle même une gamine curieuse.
A genoux dans le bain, le buste à moitié plongé dans l'eau délicatement chaude, elle croise les bras sur le rebord du baquet en y posant son menton.
Et c'est avec la plus grande curiosité qu'elle regarde Marceau se déshabiller avec art.
Il prend son temps. Chaque geste gracieux le dénude un peu plus sous les yeux de Justine et son petit sourire. Elle aussi prend son temps pour détailler le corps du galant,
le découvrir.
Sa peau est pâle comme la sienne, elle en admire chaque courbe, s'arrêtant sur la virilité de son amant avant d'inspirer un grand coup et de vite remonter son regard vers ses yeux émeraude, un peu rougissante de s'y être attardée .

Lorsqu'il entre dans l'eau pour la rejoindre, elle se redresse et le regarde lui reprendre l'éponge des mains pour se la passer lentement sur le corps.
Justine est un peu indécise, gauche. Elle ne sait ce qu'elle doit faire et ce qu'il attend d'elle. Mais elle connaît ce regard qu'il pose sur elle. Il n'est pas lubrique comme chez le nantis où elle avait travaillé enfant. Le sien est doux, mais intense.
Alors Justine s'avance..

Elle observe la peau de Marceau, les petits sillons tracés par les gouttes d'eau sur ses épaules et son torse.
Sans façon elle se colle doucement à lui, venant laper son cou comme un chaton , recueillant chaque gouttelette de la pointe de sa langue. Elle le sent, elle le respire, aime son odeur musquée d'homme.
Fait-elle bien de suivre son instinct ? Lentement elle lève les yeux sur lui pour lire sur son visage les réactions de son approche.
Elle si sûre d'elle dehors, se sent ici intimidée et espère qu'il saura la guider.
Rouquine
[Alcôves]

Il rit, et la petite catin se détend. Elle a su s'exprimer sans le heurter, et sourit, satisfaite.

Un homme , mafoy nous avons des envies bien classiques ce soir. N'est-ce pas Iris? Va pour le prochain Galant.

Un hochement de tête poli à la dénomée Iris, qui semble bien malheureuse d'être là, puis au maître du jeu.

En ce cas, souffrez que je reste un peu en vue, ou les galants potentiels me croiront trop occupée à converser avec vous pour s'approcher.

Joignant le geste à la parole, elle choisit un petit fauteuil non loin, l'approche de l'alcôve et s'y installe, buste replet tourné vers la porte, jambes croisées, laissant apparaître une fine cheville et le début d'un mollet bien galbé. Ainsi peut-elle continuer d'entretenir son client sans disparaitre dans l'ombre de l'alcôve. Montrant toujours un joli sourire, elle se mit à s'inquiéter secrètement. La tâche n'allait pas être facile. Mélanger les clients était chose délicate, potentiellement explosive... Avait-elle fait une erreur en leur proposant cette solution ? Et en attendant, que leur dire...

Avez vous des souhaits particuliers pour le ...spectacle ? S'enquit-elle enfin. Je ne puis choisir le galant mais je puis tenter de vous satisfaire dans le même temps que lui....

Non, vraiment, la chose n'allait pas être aisée...
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Rouquine sévit au Boudoir des Sens.
Judas
[Alcôves]

reprenant une tenue plus rigide dans son assise il laisse la puterelle s'éloigner et donne son aval.

Soit, vous nous ravirez les yeux selon votre forme du soir, je n'ai pour cette nuit pas d'exigences.


Petite chanceuse... Car il y en aura d'autres, bien moins souples de goûts. Pour cette première découverte des lieux, le marchand d'âmes n'a pas le coeur aux éteintes trop calculées.
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--Jules.


[Mansarde : feu vert... ou orange ?]

Et si c'était ce qu'elle désirait...? Sa première réaction fut de plaquer son corps ferme contre celui, plus doux, de l'angloise, les yeux brillant dangereusement.

A vos ordres...

Mais bien vite la raison revint lui chuchoter à l'oreille. La prendre là, contre le mur, oui. Mais sans s'assurer d'abord qu'elle y prendrait plaisir ? Ce serait du suicide. Aussi, avec un grondement sourd qui trahissait l'effort demandé, se décolla-t-il d'elle afin de poursuivre ses caresses intimes. Les doigts se firent plus insistants, glissant sans peine pour agaçer sans brusquerie le bouton si bien caché entre les plis de la rose.

Le regard sombre planté dans celui de sa cliente pour mieux en jauger le désir, il détacha sa main du mur, la posa sur une épaule délicate et l'invita d'un geste lent à se retourner. Les grandes paluches accompagnèrent les petites menottes pour les placer sur le mur, quite à se départir du plaisir de ses caresses pour l'instant...avant de s'atteler à la déshabiller complètement.

Lentement, les vêtures glissèrent une à une sur le sol, accompagnées dans leur chute des caresses rugueuses du soldat. La nuque, la colonne vertébrale, les reins... Les lèvres du soldat ne tardèrent pas à suivre, tandis que des deux mains il s'emparait de la poitrine délicate, frôlant d'abord, caressant, soupesant... Bientôt il ne tiendrait plus, et déjà son bassin venait frotter la croupe de la jeune femme, réclamant son du.

Alors le soldat se força à s'agenouiller pour ne pas la prendre encore. Il l'invita à écarter un peu les jambes et les deux mains sur ses hanches, se mit au travail. Du ventre lègèrement arrondi à la chute des reins, le chemin le plus court et le plus délicieux fut savamment parcouru, encore et encore. Il ne s'arrêterait que lorsqu'elle désirerait vraiment être prise contre un mur. Quand elle ne voudrait plus que cela. Des envies de la blonde dépendait sa pitance. Son propre plaisir attendrait
.

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