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[RP] Maison close de la rose noire

Cornichons
[Alcôve]

Il avait suivi le jeune noble, laissant divaguer son regard jusqu’au renflement de ses braies, ces dernières mettant particulièrement en valeur le rebondi d’une fesse.

S’installant, il grogne d’aise. Animal au prise avec sa conscience, il sent le regard de son amant en devenir le brûler, l’absoudre tel un saint devant le péché.
Une pogne s’emparât de deux verres, qu’elle remplit aussitôt de prune, à ras bord.
L’un est tendu à l’éphèbe, l’autre est avalé à la va vite, dans l’espoir dirons nous, de se redonner contenance.
Puis le noir sans tâche s’oublie dans l’or mirifique du guide.


-Bavarder dites vous…..Permettez moi d’en douter.

Car même si il n’avait pas eu confirmation des préférences du baron, il savait à n’en point douter, que l’invitation n’était pas innocente.
D’un regard, il s’assure que le rideau qui les sépare du salon est bien clôt, avant de tendre une main rendue fébrile par l’excitation vers le genou de son interlocuteur.
Fermement, elle enserre la jambe de l’homme, ses doigts courant sur le boudinement des muscles.
L’invitation est sans équivoque, Cornélius, bien qu’attiré par les hommes depuis toujours, ne connait rien aux jeux de l’amour, outre le culbutage en règle de quelques ribaudes, pour ne pas passer pour un faiblard devant ses collègues de la piraterie.


-Aucun courtisan pour satisfaire mes désirs, aurai-je la chance d’être tombé alors sur un client à la dérive identique à la mienne ?
--Marceau


[Quatre Bains]

La jeunette est contre lui, contrôle toujours là même si l'envie de connaître son antre chaud le titille fortement. Apprendre à ce contrôler a été la première leçon de sa maquerelle, elle voulait des clientes satisfaites et cela passe par autre chose que "je te prends dans un coin et hop on passe à la suivante".

Un bras glisse autour de la taille de sa cliente alors qu'il lui vole ses lèvres. Doucement il la retourne et la fait s’assoir, dos contre le baquet. Une main se pose sur sa chevelure, glisse le long de l'ovale de son visage, le pouce baladeur caresse la peau, découverte du cou, de l'épaule, la poitrine avec le pouce qui titille une cime, puis vinrent les flancs, l'aine et enfin ... la cuisse puis le genou. La main ouvre le chemin qui conduit à la fleur intime de Justine. Il se glisse entre ses jambes de la belle pour aller se lover contre elle. Sa bouche couvre le cou féminin de mille baisers, elle continue sa course vers la naissance des monts aux merveilles. Les cimes sont goulument suçotées, Marceau voulait les sentir dur entre ses lèvres. La main libre du courtisan s’enfonce dans l'eau à la recherche du bouton qui ne tarderait pas à éclore sous ses caresses. Les doigts viennent fouiller en douceur les plis, taquinent lentement pour commencer le renflement intime pour qu'elle s'éveille.


--Jules.


[Mansarde : Ironie, quand tu nous tiens...]

Le "oui" qu'elle avait lâché tout d'abord, souffle court, lui avait arraché un sourire de satisfaction. Un sourire de mâle qui enfin réussit à faire perdre son calme à la femme qu'il prend.. Pourtant, elle avait déjà dit "oui" juste avant, mais cette fois il avait réussi à lui faire perdre un peu de sa superbe, et son excitation s'en trouvait décuplée...

Seulement, rustre qu'il était, ce plaisir n'etait pour lui encore qu'un instinct... Point de raffinement dans les jeux de pouvoirs pour le soldat bourru. Et quand elle répondit à sa provocation...il perdit pied, le bougre. Il s'etait attendu au s'il vous plaît. il s'etait même attendu à ce qu'elle le vouvoie, alors qu'il la tutoyait... Mais ce "maître"...

Un grognement de suprise lui échappa.

Ironie, ironie...Il avait beau jouer les dominateurs, il n'en était pas moins son jouet, payé grassement pour l'être, et si la belle voulait jouer à des jeux inconnus et plus subtils, il allait bien devoir s'adapter. Seulement où étaient les limites..? Que dire pour la contenter, sans les franchir...?

Fort heureusement la nature est bien faite, et l'instant fugace de surprise passée, le corps du mâle prit gentimment le dessus. L'excitation inconnue n'en était pas moins efficace, et se laissant aller à son instinct, il la souleva rudement, grosses mains sous les fesses de porcelaine. Un ou deux coups profonds, assénés avec rage, et il jeta un regard derrière lui, cherchant sans trop savoir ce qu'il faisait, un endroit ou adopter une position qui lui permettrait de la posséder mieux encore.

Ni une ni deux la belle fut portée à traver la pièce, vers le sommaire petit bureau. D'une main il envoya valser porte plume et autres objets dont il ne prit pas le temps de se demander s'ils se briseraient, pour allonger la jeune femme dessus. Il ne faut pas réveiller l'ours qui dort... ou peut etre que si. Les grosses mains glissèrent le long des cuisses, des mollets, pour l'empoigner finalement par les chevilles, qu'il tint écartées, en l'air, lui laissant libre champ pour la prendre pleinement. Ainsi tenue écartelée, elle était plus désirable encore... Prendre une nobliote comme on prend une catin. L'idée lui arracha un râle impatient.


Dis le encore, gronda-t-il en la besognant sans retenue. Dis le que tu es à moi.

--Marigold.
[Au comptoir seule ... ou plutôt disponible ]

Congédiée... Marigold a été congédiée par le baron, elle n'en revient pas ..
., elle reporte son attention sur son verre, quand une espèce de géant vient s'installer avec eux au bar. Elle frissonne la blondine, elle a peur. Peur de quoi me direz-vous, du marin bien sûr. Car les hommes à poigne c'est pas son truc à notre Marie qui se liquéfie lorsqu'elle craint que l'étreinte soit plus sauvage et violente que passionnée et lascive. Alors elle commence à trembler comme une feuille et doit s'accrocher au bois pour ne pas défaillir.
Rouquine a dû le sentir car voici qu'elle vient à sa rescousse, comme chaque fois que la blondine se sent en danger, sauf qu'en fait elle connaît apparemment plutôt bien la montagne de muscle qui vient de s'accouder face à Emilla, puisqu'elle le tutoie.
Marie laisse échapper un soupir de soulagement , elle ne sera pas la proie de ce client-ci... mais elle ne sait pas encore à quel point elle se méprend. Et ce n'est que quand il s'éloigne en compagnie d'un Liébault qui lui offre des regards particulièrement concupiscents.
Elle ouvre alors des yeux tous ronds en les regardant s'éloigner. Le puzzle de la soirée lui apparait alors enfin complet. Elle comprend pourquoi il n'en voulait qu'à sa croupe et pourquoi il semblait si distant par moment ! Enzo lui aurait surement mieux convenu... mais pourquoi l'avait-il demandé elle alors ?
La douce enfant perdue dans ses pensées continue de repasser en son fort intérieur la soirée dès plus étranges qu'elle vient de passer...



Elisabeth_stilton
[Mansarde : Ce n'est que le début ... ]

Elle ne savait pas trop quelle réaction il aurait face à son "maître". Elle se demandait encore comment finirait cette soirée tant elle était inattendue. Elle avait bien fait de ne monter qu'avec Jules. Les mains de la blonde caressait le corps, le bassin venait en demander plus sans arrêt, elle n'était que boule tendu par le plaisir qui ne demandait qu'à exploser en elle. Puis ... son tendre fessard se trouva agrippé par les deux paluches du soldat, effet immédiat chez la blonde, elle adorait ça, se faire agripper comme ça, elle embrassa fougueusement son courtisan avant de lâcher un gémissement de plaisir. Il palpitait en elle, il lui montrait l'étendu de son désir.

Elle pensait qu'il allait finir, qu'il allait se déchainer là contre le mur mais il bougea. Elle s'accrocha à son cou jusqu’au moment où il la coucha sur le bureau, imaginant l'encre qui coulait sur le tapis, les feuilles mélangées, et tout à ranger. La blonde laissa ses aspects pratiques pour revenir à la chose essentiel qu'allait il lui faire ? Comment allait il se comporter ? Continuerait il à être rude avec elle ? Parce qu'elle adorait ça l'anglaise. Le regard qu'elle posa sur lui était brillant de désir. Mais le ton fut bien vite donné au grand plaisir de la blonde, il n'eut pas beaucoup de résistance pour lui ouvrir les jambes puisqu'elles se laissaient faire de bon cœur - bon faut imaginer que des jambes aient un cœur - prêtes à l'accueillir comme il se doit. Quelle position elle a, jambes écartée en l'air, paradis interdit complètement offert et près à recevoir son Adam.

Et il vint, lui demandant de se soumettre encore, elle n'obéit pas de suite, histoire de le provoquer encore un peu. Son corps s’arque boute à chaque entrée, à chaque contact de leurs corps. Les rebords du bureau sont maintenus fermement par la jeune femme. Elle lutte contre les gémissements, les cris même, et pourtant elle n'en peut plus, elle le veut, elle s'offre à lui sans retenue. C'est le souffle court, entre deux gémissements, haletante, qu'elle lui dit.


Viens ... prends moi oh Maître ... je suis à toi ... fait de moi ce que tu veux ...


Oui prend moi, je te veux, je te désire, tu me fait renaître. Jules lui aura permis de connaître ce qu'elle aimait. De savoir comment prendre du plaisir maintenant. Le tout étant de trouver les partenaires aptes à le lui donner ce plaisir. Alors que Jules accomplissait son devoir avec brio, la blonde ferma les yeux, et au lieu de voir Jules, c'est la blonde chevelure de son ancien amant qu'elle voyait. Elle laissa son esprit vagabonder dans cet univers où elle et Tibère étaient unis par des liens fort de passion, de désir voir d'amour. Pour elle Tibère l'avait éveillé à la Luxure puis il avait ouvert la boite de Pandore, libérant les plus bas instincts sexuels de la jeune femme, et Jules pour finir lui avait fait prendre conscience de ses vices.
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Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

--Jules.


[mansarde : du nerf, soldat !]

Emporté par son plaisir, il nota tout de même qu'elle cherchait à resister un peu, à retenir ses cris, et redoubla de fougue jusqu'à ce qu'enfin elle réponde... il se surprit à aimer qu'elle lui dise "je suis à toi" et acceuillit la déclaration avec un grognement de plaisir. Tout prêt à se laisser aller jusqu'à la petite mort, il fut pourtant inspiré par les prochaines paroles de cette muse hors du commun.

Fais de moi ce que tu veux...

C'etait une fausse soumission. C'etait l'ordre d'en faire plus, d'aller plus loin dans le jeu pour son plaisir à elle, et le soldat ne s'y trompa aucunement. Lâchant ses chevilles, il se forca à sortir d'elle, hésitant entre la mettre à genoux pour profiter de sa bouche ou.... Le geste vint avant même la pensée, et se saisissant des hanches de la blondine, il la retourna avec nulle tendresse. Ventre et visage plaqués contre le bois du bureau, pieds touchant terre, elle lui offrait une vue imprenable sur sa croupe aussi blanche et pure que ses désirs étaient vicieux.

Avant qu'elle ne puisse contester, il avait trempé son pouce dans l'antre humide, avant de le laisser glisser, brillant, le long du tendre sillon séparant ses fesses. Passant et repassant sur l'oeillet frissonnant, il revint positionner la pointe de sa virilité entre ses cuisses. Chaque entrée était à présent titillée sans être prise...Serrant les dents il surmonta sa nature peu prolixe et se forca à lui murmurer ce qu'elle voulait entendre, du moins il l'espérait.


Si tu les veux, supplie, petite ...

L'insulte fusa à l'oreille de sa cliente, et il se surprit à trouver un plaisir interdit dans le fait d'humilier, même en apparence seulement, une femme de condition, lui qui avait du subir toute sa vie la condescendance des nobles guerriers le menant au combat.

--Liebault

__________

[Alcôve]

La tension monte lentement. Le baronet n’ose contredire l’affirmation de son interlocuteur. Non, bien sur, il ne l’a pas entrainé à l’abri des regards. Quand le noir s’arrime à l’or des noisettes, il n’ose pas non plus les détourner.
Il saisit délicatement le verre de prune, entre deux doigts, et en lampe une gorgée. L’alcool lui brule la gorge, il n’a visiblement pas la même accoutumance que son compagnon du soir.
Brusquement, il a peur. Il se demande ce qu’il lui a pris de s’isoler avec cet homme. Et la seconde d’après, son œil luit de plaisir. Il sait parfaitement ce qu’il lui a pris. Il languit déjà de sentir les mains de l’homme sur son frêle corps d’éphèbe.

Un frémissement quand la grosse pogne se pose sur son genou, et brusquement il avale les dernières goutes d’alcool. Il lui faut bien ça pour se donner du courage. Il a voulu une relation d’hommes, de vrais, de virils. Il va falloir assumer, maintenant.
Emplissant à nouveau les verres d’une main délicate, il murmura avec un sourire :


Il n’est de dérives que celles qui sont connues.

Et la Rose Noire est un lieu sur pour ce qui est de la discrétion, il le sait, il la fréquente depuis assez longtemps pour le savoir. Même s’il fera attention en sortant de l’alcôve de ne croiser personne de sa connaissance au bar du bordel.
Nouveau sourire, alors que le regard déjà concupiscent détaille son interlocuteur sans s’en cacher désormais, et une nouvelle lampée est avalée.
L’alcool n’est pas encore monté assez pour lui donner le courage de tenter une approche plus constructive…

__________
Elisabeth_stilton
[Mansarde : Luxure]

OH MY GOD ! *

Oui ce n'est pas beau le blasphème même en anglais et pourtant ... Elle est tiré de ses rêveries d'avec Tibère pour se retrouver là, dans la mansarde avec Jules et pas un autre, pas de doute à avoir. Mais pourquoi avait elle attendu avant de venir le trouver ? Dieu que c'était bon de se sentir en vie - sexuellement parlant bien évidemment - avec un homme, un vrai. Pourquoi retenir ses cris quand on est isolé et qu'en plus ce qu'on ressent est tellement intense qu'il faut l'exprimer.

Encore une fois elle cru qu'il s'arrêterait là, qu'elle le sentirait se rependre en elle. Mais non. Elle allait de surprise en surprise, et la dernière en date était de se retrouver le visage plaqué contre le bois, la poitrine écrasé et le fondement offert. Elle se souvint de la découverte de se plaisir là et n'a qu'une hâte c'est qu'il la comble. Sauf qu'il n'était qu’arrogance, son tortionnaire prenait un malin plaisir à exciter la blonde sans la satisfaire. Son corps était tendu par un désir qui ne demandait qu'à être assouvit. Elle en voulait plus encore et elle savait ce qu'elle devait faire pour l'avoir.


Maître ... S'il vous plait ... Je m'offre à vous ... pitié ...


*Oh mon dieu
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Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

--Jules.


[ mansarde : jusqu'où devra-t-il aller...]

Les réactions de l'anglaise lui font clairement savoir qu'il fait ce qu'il faut. Une partie de lui y prend plaisir, l'autre se demande s'il saura contenter cette improbable jeune femme, si jeune et déjà si dépravée. Elle le supplie sans rechigner. En réponse, il lui donne ce qu'elle demande, glissant sans effort entre ses cuisses tandis que son pouce s'enfonce lentement, avant de tourner adroitement entre les orbes blancs. Ce vice là ne lui est pas inconnu, il sait comment apprivoiser l'anneau de chair pour ne pas faire mal et n'obtenir que des cris de plaisir. Mais parler lui est toujours aussi difficile...

Pendant de longs instants, il donne des reins, pousse, touille, fouille et grogne... Et maintenant ? Elle aime qu'il parle, il le sait. Etrangement, malgré sa gêne, il y prend lentement goût lui même... Songeant à ce qu'elle a dit, il finit par rétorquer...


Ah, tu t'offres ? Non je te prends, petite garce, tu n'as pas le choix.

Encore et encore, le bassin claque contre le fessier de sa cliente, accompagné rythmiquement du pouce agile qui fouille l'endroit le plus sensible du corps humain. Les mots claquent également, pêle mêle, au gré de son inspiration hésitante. Parfois il lui demande de dire qu'elle aime ça, d'autres il l'insulte, toujours avec un mélange d'excitation et de crainte qu'il va atteindre les limites de l'acceptable...

Elisabeth_stilton
[Mansarde : No Limit*]

Elle soupire de soulagement quand il daigne la satisfaire. La blonde est tendue par le plaisir, elle enfonce ses ongles dans le bois du bureau, ouvre ses jambes, cambre le dos, tout est fait pour le recevoir et ressentir le plus de choses. Son corps rougit à cause du frottement contre le bois mais elle s'en moque, elle aime ça, elle aime être maltraitée. Qu'en sera t-il quand elle prendra conscience de ce qu'elle a fait ? On verra à ce moment là ...

Comment peut elle lui résister alors qu'elle est au bord de l'explosion. Son corps entier bouillonne comme jamais. Le voyage qui la mènera à la jouissance approche de la fin, elle le sent. Les limites elle n'en a pas, elle ne veut pas en avoir, elle ressent trop de chose pour ça. Alors elle lui répond, elle supplie, elle se rebelle même de temps à autre, elle le provoque aussi, plus rien ne compte que de sentir palpiter en elle un homme un vrai comme le seul qu'elle est connu ... Tibère. Les mots qu'il lui susurre sont des détonateurs, elle se surprend elle même à vraiment aimer cela.

Un coup de rein la ramène à Jules. C'est lui qui lui a montré la voix qui était caché en elle, qui était refoulée. Il l'emporte au soleil ou sur la lune selon le côté duquel on se place. La boule de feu qui était dans son ventre se répand et gagne ses reins, un frisson la parcours des pieds à la tête. Son pourrait bouillir tant le plaisir était intense. Elle qui étouffait ses gémissement ne le fait plus et quand la dernière ligne droite est franchie se sont des cris qui accompagnent les saccades du bassin masculin et la danse de ses doigts. Elle ne sait pas si lui a ressentit du plaisir dans ces jeux et à vrai dire elle s'en moque un peu, elle a retrouver le gout des plaisirs en duo et compte bien profiter de ses nouvelles données la concernant. Fini les parties ennuyeuses, maintenant elle était libérée ...


*Pas de limites
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Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

--Jules.


[Mansarde : Goooooal !]

Enfin il la sentit se relâcher, après moults cris et gémissements. A l'instant même ou le corps de sa cliente se détendait, la concentration du soldat, sa tension, ses craintes, toutes axées sur elle, se relâchèrent et il sentit la jouissance le gagner.

Une seconde d'hésitation, puis il sortit d'elle pour se répendre sur son dos. Ventre légèrement arrondi ou pas, il ne pouvait prendre le risque d'engrosser une nobliote. La jouissance vint enfin, libératrice, volée, interdite. Avec un grognement de plaisir il se laissa aller, avant de se pencher doucement sur elle pour caresser l'or de ses cheveux. Que dire à une femme noble qu'on vient de besogner comme un catin...? Merci ? J'vous ai pas fait mal ? Il préféra se taire et embrasser doucement la tempe trempée de sueur de la jeune anglaise.


Elisabeth_stilton
[Mansarde : bien être]

Elle était bien, dégueulasse mais bien, ce dont elle avait envie là c'était d'un bon bain en compagnie de Jules pour un moment plus tendre. Allez la comprendre. Entre la sueur, les fluides corporels divers, et l'air chaud de la pièce, elle se sentait un peu poisseuse, notre blonde. Elle se demandait aussi comment se comporter. Avait elle honte de ce qu'elle avait fait ... un peu quand même et face à cette situation elle avait deux solutions, l'arrogance ou accepter ce qui devenait une réalité. N'ayant pas envie de se comporter en garce avec Jules elle choisit l'option deux. Elle se releva et se lova contre lui. Le souffle court elle murmura dans la toison masculine.

Merci. Un bain vous ferait il plaisir ?

Sous entendu, ne partez pas de suite, j'ai besoin de vous encore pour accepter la chose. J'ai besoin de tendresse, j'ai besoin de réconfort.
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Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

Malycia
[Toujours au bar- Et maintenant que vais je faire]

Citation:
Mes services? Mais bien sur, j'ai commencé dès votre arrivée. Voulez vous autre chose à boire de particulier? Quelque chose à gouter?


Quelque chose à gouter voilà bien une question étrange à poser dans un bordel.
A part au fruit défendu pourquoi seraient ils venus!
Elle préféra ne pas répondre car la serveuse se payait sa tête faisant celle qui ne voulait comprendre les questions posées, quant aux courtisans elle n'en voyait là aucun, et ils étaient pour qui au juste, les clientes ou les clients?
Car observant le manège de ses deux voisins, elle commençait à entrevoir le pourquoi de pensionnaires masculins, sans doute ceux ci servaient à assouvir les plus bas instincts d'autres hommes en quête de plaisirs défendus que la morale réprouvait au plus haut point.

Elle tourna le dos au comptoir observant de nouveau la salle, une catin s'était approchée, mais pas pour s'occuper d'eux, la Marie, semblait perdue dans ses pensées et l'autre annoncée n'avait pas tourné son regard vers eux, ça serait donc ça le bordel parisien le plus en vue de la capitale, à moins que l'endroit débordé par sa réputation n'avait pas plus de catin à offrir à sa trop nombreuse clientèle.
D'ailleurs il semblerait en regardant s'éloigner les deux clients, encore accoudés au bar il y a peu, vers une des alcôves qu'il fallait au final se débrouiller par soi même.
Impatiente elle tapotait nerveusement du bout des doigts le comptoir, puis se tourne vers Gailen qui n'avait plus ouvert la bouche depuis qu'il avait commandé à boire.

Bon...si on faisait comme les deux là!
Désignant le couple improbable installé dans un lieu plus confortable.
_________________
Gailen_d_arduilet
[Bar : ça s'en va et ça revient ...]

Notre jouvenceau s'était donc retrouvé au bar de l'établissement sans rien comprendre d’où, comment ni pourquoi il était là.
Puis un verre de vin à la main, ce qui pour lui était déjà un vice, il avait commencé à comprendre. Faut dire que le manège tournait à plein régime.

Tout avait commencé avec la jeune femme derrière le comptoir qui après les avoir accueillis avec du vin s'était empressée d'essayer de leur refiler d'autres marchandises. Marie et Lucrèce...
La proposition avait fait l'effet d'un coup de poignard chez notre vierge effarouche. C'était donc çà ! Elle avait osé ! Et vicieuse comme seule son amie pouvait l'être, elle l'avait amené à paris pour commettre son acte. Et maintenant voilà qu'elle essayait de le faire manger tout cru par cette serveuse qui derrière ses airs angéliques devait être une louve comme il n'imaginait même pas qu'il puisse en exister.

Pas le temps de se remettre que sa douce amie travestie enchaînait par un deuxième coup de poignard. La coquine n'avait même pas fini de le refourguer à l'une ou l'autre catin que déjà elle pensait à son plaisir personnel en se renseignent sur les disponibilités masculines de l'établissement.

Je passerai l'épisode des deux hommes qui préfèrent aller s'isoler ensembles plutôt que de goûter aux "charmantes pensionnaires" . Déjà que notre pauvre Gaïlen a du mal à s'imaginer ce que peuvent bien faire un homme et une femme dans l'intimité, n'essayons pas de lui torturer l'esprit avec deux hommes.

Nous le retrouvons donc, en pleine panique cherchant comment s'enfuir de ce paradis des vices qu'il n'a pas demandé à goûter, au moment ou une blonde s'approche du bar et là !
Troisième coup de poignard :


Bon...si on faisait comme les deux là!


Et nous voilà reparti pour un bouillonnement de pensées dans la petite tête de notre jeune ami. On commence par la détresse, regard désespéré du chiot battu par son maître sensé le protéger. Ensuite bouffées de chaleur en s'imaginant qu'elle lui propose ce qu'il a toujours secrètement rêvé.
Non, il ne peut lui avouer, il le voudrait depuis un moment déjà. depuis que ses hormones le travaillent et qu'il ne la regarde plus comme une mère mais comme la femme idéale. Celle à qui il rêve d'offrir sa niaiserie.
Mais non, son orgueil, son éducation et la peur de l'inconnu le forcent à dire non!
Que faire, comment s'échapper. Il ne peut pas prendre ses jambes à son cou et courir dehors. Il y a plein de gens , puis il y a les deux cerbères à l'entrée, puis ou irait-il seul dans ce quartier de Paris. Il faut ruser, gagner du temps, chercher la faille. Utiliser l'héritage stratego-génétique de sa lignée de chevaliers.


Pourquoi s'isoler ? On n'est pas bien ici ?


Sourire en direction d'Emilla, qui pour l'heure est une bonne bouée de sauvetage pour notre apprenti nageur. La jeune femme aux airs angéliques n'étant visiblement pas disposée à accomplir les projets pervers de la malicieuse.

Puis on n'a pas encore rencontré les pensionnaires. Je ne voudrais pas paraître malpoli en partant avant d'avoir au moins jeté un œil à ce que nous propose notre hôtesse.
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--Marigold
[MARIE ! Au travail !! ]

De nouveaux clients apparurent soudain, ils ne sortirent pas du néant loin s'en faut mais Marigold très préoccupée ne les avaient pas aperçus avant. Elle chassa de son esprit le baronnet qu'elle avait accueilli plus tôt et offrit enfin un sourire avenant au jeune couple ...


Messieurs, pardonnez mon impolitesse, je ne vous avais point vu. Pourrais-je vous être d'une quelconque aide ?

Et voilà la balle était dans leur camp, elle ne proposait rien de spécial, elle ne faisait qu'introduire la conversation. Le jeune homme blond avait l'air particulièrement mal à l'aise et la blondine essayait de paraitre tout autre qu'elle n'était, et pour cela elle était plutôt douée Marie puisque elle passait son temps à se mentir à elle-même, se voyant comme la future madame quelque chose, cousant, crochetant, tissant son trousseau comme n'importe quelle demoiselle de bonne famille.


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