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[RP] Maison close de la rose noire

--Samesarha


[A la porte]

Venant d’on ne sait où, comme une carriole de la faucheuse venant prendre un pauvre corps ayant rendu l âme.
Des chevaux noir au galop un carrosse ébène… Des armoiries dorée laissant penser a un nobliau voulant passer du bon temps loin des courettes royales.
Le chariot du diable se stoppa devant la porte close, les chevaux laissaient échapper de la fumée de leur nasaux… une porte s ouvrit et comme un morceau de viande que l’on devait livrer, le cocher de rouge vêtu, jeta à terre une jeune femme…


CADEAU !

Il referma la porte, s’installa pour fouetter les deux moutures noires et s’en alla pour disparaitre dans une rue de traverse.

Sur le sol… là complètement inerte.. . Une jeune femme les cheveux emmêlés baignant dans la poussière, le corps revêtu d une robe de nuit blanche.
A première vue, elle avait l air jeune et frêle… son corps que l on pouvait imaginer sous le tissus était assez maigre même. Ses cheveux noirs a reflet auburn était n avait lisse même si emmêlés. On ne pouvait pas distinguer ses yeux légèrement bridés et son visage fin…
Rouquine
[Région des âlcoves : Mais qui m'a foutu un bouffon pareil ?]

Eeuh..ça veut dire que c'est bon ? C'est vrai ? ayé ? j'ai réussi ? On peut partir ?

Il s'est totalement crispé à son contact et elle se retient à quatre pour ne pas lever les yeux au ciel. Il a pourtant la voix trop grave pour un puceau... ou peut-être pas. Bon sang, mais c'est désirée, la spécialiste ! Soupir intérieur. Sourire engageant, doux, rassurant. Oui, tu as "réussi", pas que ce soit bien difficile dans un bordel, hein...

Inutile de chuchoter je pense, tout le monde veut apparemment être mit au courant de notre discution.

Rouquine ouvre des yeux affolés et lance un regard d'excuse à Judas, puis un, suppliant, au client. Mais c'est qu'il va la faire marquer au fer rouge, le con ! Non, tout le monde ne veut pas être mis au courant triple idiot, c'est le bordel le plus discret de France, ici ! Et Cornélius à qui elle a promis qu'il serait en sécurité ici, que c'etait discret... Dans l'alcôve juste à côté, il va tout entendre...! Mais pendant qu'elle panique, il parle, il parle, il parle encore et elle tente de l'écouter... Et voilà qu'il salue Judas et Iris comme s'il était l'idiot du village !

Allez hop j'vous embarque, dans mon arche y'a de la place pour tous, comme je le dis souvent..je ne suis pas sectaire..
Mais vous resterez observateur passifs hein ? Un peu comme un débat spectacle entre politiciens ? Enfin j'me comprend.


La pauvre catin ne sait plus ou se mettre. Elle n'est pas responsable de la présence de cet olibrius - ah, Geoffroi va l'entendre, tiens !- mais c'est sa faute que le couple raffiné ait à le subir ! Pourquoi, mais pourquoi a-t-elle proposé un autre client ! Elle aurait du attendre l'un des courtisans...!

Et il cause, encore et toujours, et il accepte, et il parle d'être payé aussi et il leur promet un beau spectacle et... elle sent déjà le fer rougi sur ses jolies fesses intactes....


Maintenant que les formalités ont eté exposés..Pourrait on enfin, eventuellement, si possible, je vous saurai gré de rejoindre les sommets de cette maison, l'étage quoi, afin de trouver la felicité par l'intermediaire materiel d'une chambre discrète et d'un lit moelleux. voila voila..

Légèrement hébétée, ou peut-être saoulée de discours à la fois interminable et ridicule, elle déglutit. Et d'un coup lui revient en tête LA phrase qui peut la sauver ! Dans le flot de paroles elle ne l'avait pas relevée..." Car ils étaient je pense présents en premier..Donc hélas prioritaire..." Oui, ils le sont, elle peut donc leur donner le choix et si Judas persiste, ce ne sera pas sa faute à elle !

Hum... Excusez moi une... seconde...

Et de se pencher vers Judas...

Messire... êtes vous... certain de vouloir... subir cet énergumène ? On peut... attendre un courtisan, ils ne devraient plus tarder, je vous assure...
_________________

Rouquine sévit au Boudoir des Sens.
Malycia
[Toujours au bar...malheureusement]

Sauvé par le gong, enfin par la blonde, elle soupira longuement à la réponse du ptit comte qui jouait avec ses nerfs.
Elle n'allait tout de même pas faire comme à leur arrivée devant la porte et le tirer par le bras pour le forcer à venir en sa compagnie s'enfoncer dans le moelleux des coussins des banquettes qui lui faisaient de l'oeil depuis tout à l'heure au moins auraient ils attendu l'improbable venue d'une jeune compagnie compatissante à leur isolement.
Ben non, trouillard qu'il était il préférait resté installé là se croyant à l'abri d' éventuels attouchements.
Dire qu'elle aurait pu pendant ce temps le chatouiller..enfin à finalement s'occuper de son cas personnellement.

Regard qui se porte alors sur la jeune femme qui enfin s'intéresse à eux, bien que pour son cas personnel elle n'était nullement intéressée par les charmes de celle ci, mais pour son jeune ami, ça ferait finalement peut être l'affaire, un sourire malicieux vient orner ses lèvres toujours ornées de ce postiche qui masque de plus en plus difficilement sa féminité que trahissait ses mains délicates.


Puis on n'a pas encore rencontré les pensionnaires. Je ne voudrais pas paraître malpoli en partant avant d'avoir au moins jeté un œil à ce que nous propose notre hôtesse.

Il allait être comblé.

Je ne t'ai pas proposé de partir mais juste d'aller nous installer dans un endroit plus..retiré afin de profiter mieux encore de la vue et du spectacle, mais...vu que tu insistes tellement pour ne pas bouger de là et faire connaissance, je crois que ton voeu vient d'être exaucé.

Désignant alors du menton la charmante jeune fille qui s'est rapprochée.

Bonjour demoiselle...justement nous commencions à trouver le temps long et mon jeune ami désespérait de découvrir enfin les charmes tant vantés de cet établissement.

Et maintenant il comptait s'en tirer comment? Elle avait hâte de voir si la demoiselle serait entreprenante.
_________________
--Dante.


[ SAS DE LA ROSE ]

" Possible en effet.. " Voilà bien le genre de mot qu'il lui plaisait d'entendre.
Le balafré qui venait de lui répondre à l'entrée sentait la force tranquille.
Pas de parlote inutile, droit au but. Un de ceux qui ne se laissait pas compter.
Quelque soit l'issue de son entrevue ou non avec la Rouge, Dante avait décidé de procéder comme à son habitude. Une évaluation du terrain, une analyse de chaque intervenant.

Le jeune homme avait une attitude particulière, entre élégance naturelle et charme latin avec ce petit côté ironique qui en agaçait plus d'un.
Les questions du gardien lui amenèrent un sourire en coin.


- Mes références ?... Elles sont bien au chaud au fond de mes braies. Personne ne m'envoie nulle part, mais le sourire des belles que j'ai contenté devrait faire l'affaire.

Sans lâcher du regard l'homme qui lui parlait, Dante le suivait dans ses mouvements pour ne pas avoir à lui tourner le dos et pendant que la porte se refermait la scène à laquelle il assista lui fit froncer les sourcils. Avant que la porte ne se referme il la bloqua du pied.

- Je crois bien qu'on a un petit problème vous et moi.

Sans un mot de plus il repoussa la porte et sortit à grande enjambée pour se pencher vers le corps d'une femme qui venait d'être largué devant la Rose comme un vulgaire paquet.

- Elle ! On dirait bien qu'un oisillon est tombé du nid.
Il regarda la carriole qui prenait le large.

- Nid de rapace ou de vipères j'dirais.

Délicatement il souleva le corps de celle qui s'avérait être une jeune fille et se tourna vers le balafré.

-Pas épaisse la drôlesse. Alors on fait quoi ? Il faudrait peut-être s'occuper de son état avant de voir d'où elle vient non? Le gredin qui la laissée là a crié " Cadeau" avant de s'enfuir.

La fille inconsciente dans les bras, Dante fixait le gardien. Après tout c'était à lui de prendre la décision de la faire entrer ou non dans le bordel.
Baudouin.
[Porte: la ferme!]

Le gardien était satisfait, jusque là, des réponses du jeune homme. Il avait bien l'air d'un courtisan, du moins, il ferait l'affaire si la Rouge l'estampillait Rose Noire.

Un grognement sourd sortit de sa gorge lorsqu'il vit le garçon faire. Ils avaient effectivement un problème. Il s'avança dans la rue, regardant au fond de la ruelle, la carriole détaller. Quelle chienlit...


Entre...

Porte à nouveau close, il indiqua au latino la banquette du sas.

Allonge là ici, d'abord pour que je vois si elle est blessée, ensuite pour que je vérifie que ce n'est pas une farce de mauvais aloi. On ne peut décemment pas entrer dans le salon ainsi, on va faire fuir tous les clients.

Une fois le paquet déposé sur la banquette, il inspecta rapidement la jeune fille. Froncement de sourcils.

Hum... On a un problème... Elle n'est pas blessée, enfin pas en apparence, groggy, peut-être saoule, évanouie certainement....

Il jette un coup d'oeil derrière la tenture et regarde à nouveau le latino.

Bon écoute moi bien. Tu veux voir la Rouge? Tu me files ta cape pour enrouler la damoiselle au bois dormant. Je la porte et tu me suis jusqu'au bureau de la Rouge, compris?

La phrase était dite fermement, il n'y avait pas à tergiverser. Si tôt dit, si tôt fait. La fille n'avait pas d'armes, juste sa légère vêture, il l'enroula dans la cape du jeune homme, lui accorda un signe de tête complice et prenant l'air le plus naturel possible, se dirigea les bras chargés vers le bureau de la Rouge, s'assurant que l'homme le suivait bien, il toqua trois fois, comme il faisait toujours.
--Dante.


[ UN PIED DANS LA ROSE.... RESTE À SAVOIR SI LE DEUXIÈME SUIVRA ]

Soupir de soulagement quand le gardien le tutoya. C'était un peu comme si il avait donné son accord en introduisant plus de familiarité entre eux. Et cette approche direct le mettait plus à l'aise.
Son aîné prit les choses en main avec sagesse et perspicacité. Se trimbaler la môme comme ça dans les vapes risquait d'engendrer trop de questionnement.
Dante déposa la jeune fille sur la banquette du sas et écarta une mèche de cheveux qui barrait son visage fin en appréciant la beauté de ses traits.


- Joli minois.

La cape passa de ses épaules aux mains du gardien qui enroula la fille dedans avant de la porter discrètement à travers le lupanar, talonné par le jeune homme qui n'eut guère le temps d'apprécier le décor .
Pour ne pas attirer plus d'attention qu'il n'en fallait, le jeune gars afficha un sourire rassurant à la cantonade, comme si leur passage était la chose la plus naturelle du monde.
Devant la porte de la Rouge, il chuchota tout de même une attitude dans cette histoire qui lui paraissait suspecte.


- C'est bizarre cette façon de procéder.... ça ressemble à un avertissement. Elle a des ennemis la Rouge ?

Il n'attendait pas vraiment de réponse. La porte pouvait s'ouvrir d'une seconde à l'autre. Mais au moins, sa question ferait son chemin dans la tête du gardien.
--La_dame_rouge


[Bureau]

Trois coups. L’ombre d’un sourire effleure le sévère visage.
Rouge était dans son bureau. Un bref récapitulatif de la soirée de la veille, l’oreille tendue au brouhaha de la salle. La soirée s’avançait lentement, et s’annonçait bien.

Trois coups. Le cerbère lui réservait il une surprise, ou s’agissait-il simplement d’une visite de courtoisie qu’il rendait à la Dame ?


Entrez.
____________
Fleur_de_jade
[Qui vole un oeuf...]

La fleur marchait , des jours et des jours qu'elle marchait, d’où était-elle partie? De Bertincourt ma fois jusqu’à Paris ça fait une trotte, il était tard el soir maintenant la lune éclairait les routes pavées de son sublime halo lumineux...la brunette marchait...ou, elle ne le savait pas encore, elle suivait les chemins tortueux de Paris, les murs s'assombrissait, elle avait besoin de marcher, trouver une étale , peu être de quoi manger dans une ruelle, par terre on ne sait jamais...mais avec tous els rats qui courrait c'etait presque utopique de croire une telle chose possible...

[Aux portes de la rose noire]


Soudain les pas s'arrêtèrent, elle se retrouva devant une bâtisse, il y avait de la lumière, des hommes à l’allure pas très nette étaient présents devant l'entrée devant l'entrée, deux discutaient pendant qu'un autre semblait endormis, la petite bourse de cuir à la ceinture de celui-ci attira la jolie fleur, ses prunelles de jade détaillant l'homme, vérifier qu'il dort vraiment...jamais elle ne se serrait crue capable de voler, mais la faim fait faire bien nombre de choses, il en allait de sa propre survie...

Emmitouflée dans sa cape sombre, capuche relevée sur son visage elle s'approche, elle longe les murs telle une ombre maléfique, ça en serait presque risible, la gamine de plus introvertie n'a absolument rien de maléfique si ce n'est al faim qui lui tiraille les entrailles...elle s'approche un peu plus, il n'est plus qu'a quelques mètres, ne pas faire de bruit, glisser doucement, lentement...sa beauté bien voilée par son étoffe elle avance encore, plus que quelques centimètres, il ronfle VICTOIRE!

Une main fine et délicate s 'échappe de la cape noire, elle avance lentement, calmement les doigts fins glisse sur la lanière de cuir quand soudain un bruit de verre brisé raisonne dans la ruelle, un des deux soulard qui discutait à côté viens de jeter sa bouteille, le brun se réveille, la gamine tente de récupérer sa main, mais les gestes de celui-ci sont vif il lui tient déjà le poignet, elle se met alors à pousser un cris effrayé..

- Ahhh lachez moi!!!!
--Samesarha



[La porte close]


L’esprit toujours en veille malgré son état, droguée par a la Belladone…
Samesarha servait de divertissement à un Baron qui n’avait pas la sensation d’assiettée en matière de luxure et d’amusement lubriques.

Elle sentait bien qu’on la manipulait, par des sensations tièdes sur sa peau et des souffles chauds… des murmures des sons… mais dans son désarroi elle se sentie protégée quand une chaleur textile l enveloppa. La douceur de l intérieur envahi son corps si froid…
Elle sentait doucement sa raison revenir, sa force reprendre possession de son âme… enlacée par la mort et la vie, bercée par ces deux extrêmes et vacille.

L’odeur masculine enivrait ses sens… odeur plaisante d’être vivante… odeur inconnue mais tellement rassurante… Douce héroïne qui petit à petit l’éveille du bout de ses pieds, remontant tel un serpent le long de ses organes.
Mais pas assez forte encore pour revenir à elle… savoir ou elle se trouvait et si ce n’était pas là… la destination finale de l enfer ou elle se trouvait.

Mais ces murmures devenaient au gré des respirations, plus perceptibles. A cet instant se mêla aux sons harmonieux, une voix féminine… oui c’était ça.
Baudouin.
[Bureau de la Rouge, entre deux eaux]

La phrase du jeune homme fait son chemin en effet. Il lui jette à nouveau un coup d'oeil. Bien sûr qu'elle en a des ennemis la Rouge! Avec une maison florissante comme la Rose Noire, elle fait des envieux et pourquoi croit-il qu'on le paie, juste pour faire le portier. La Rouge, c'est le coeur de la Rose, son âme, il préférerait crever comme un chien plutôt que de laisser qui que ce soit toucher à un cheveu de SA Rouge.

A l'injonction de la maquerelle, il pousse la porte et pénètre dans le lieu saint. Nouveau coup d'oeil à celui qui l'accompagne.


Toi, tu restes là, ne bouge pas.

Il s'avance vers la Dame et lui lance un léger sourire, le regard brillant, se penchant vers elle, son paquet toujours dans ses bras.

Ma Rouge... J'ai un cadeau pour vous, le jeune homme là, il veut être courtisan, il semble avoir le profil.

En revanche, cette jeune fille a été balancée sur le pas de notre porte et je ne pouvait décemment pas l'y laisser, elle aurait fait fuir tous les clients.
Elle ne semble pas blessée à première vue, mais... la connaissez-vous? Que désirez-vous que j'en fasse?


Tendant le corps léger pour que la Rouge puisse observer le visage juvénile, il ne quitte pas des yeux la maquerelle. Au coeur du travail, il la vouvoie toujours, contrairement à leurs rares instants d'intimité, où ils sont plus proches, moins tendus.
Elisabeth_stilton
[Salle des bains à l'étage]

Ah si son âme n'était pas aussi souillée ... seulement Tibère est passé par là et il a brisé les derniers remparts de sa retenue. Jules a permis à la blonde de l'accepter. Il s'occupait d'elle à présent après avoir avoué qu'il avait partagé le même plaisir qu'elle. Elle se sentait soulagée et propre grâce à ses bons soins. Fini ? Oui c'est fini. Effectivement. Il n'imagine pas tout ce qui peut être fini à ce moment là. Elle pose alors une main sur son bras, rassurante.


Jules, bien que j'aimerai passer du temps avec vous ici car les bains sont très agréables, je pense que je vais finir seule. J'ai ... j'ai besoin de ... de réfléchir à tout ça ... seule. Et puis je pense que vous avez des clientes qui vous attendent, je m'en voudrais de vous faire perdre votre chiffre.
_________________
Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

--Jules.


[bains à l'étage, puis salon]

Elle le congédiait...Légèrement surpris il se garda pourtant de hausser un sourcil. Mais qu'elle ait besoin de demander pardon à Dieu pour ses pêchés lui semblait logique et naturel, après tout il en avait lui-même besoin. Ce plaisir graveleux qu'il avait éprouvé à humilier la jeune nobliote... Cette envie sourde de recommencer bientôt...

Et puis je pense que vous avez des clientes qui vous attendent...

Mais elle avait raison, il n'en aurait pas le temps. Pas ce soir que la Rose Noire était pleine. Hochant gravement la tête, il déposa un baiser sur la tempe de la blondine avant de se relever, laissant l'éponge glisser dans l'eau du bain le long de cette croupe qu'il avait si sauvagement possédé.

Bien, Ma Dame.

Le jeu était fini et l'heure n'était plus au tutoiement. S'inclinant légèrement, il sortit en rattachant ses braies, dévala l'escalier en réajustant la chemise à laquelle la belle anglaise s'était cramponée, et se retrouva dans le salon. Dieu, il y avait encore plus de monde que lorsqu'il était monté.

Du regard il inspecta la salle, cherchant qui pourrait avoir besoin de ses services.


--La_dame_rouge


[Bureau]

Les lèvres purpurines s’incurvent dans une moue dubitative. D’une main baguée, elle écarte les pans de la cape et observe le visage. Rouge détient en son bureau les coffrets qu’une italienne y avait laissé. Elle connaissait certains effets.

Emporte la dans une chambre, referme derrière toi. A clé. Et va voir ce qui fait ce rafus dehors.

Le sous entendu était clair. Où étaient les deux autres gardiens ? Pourquoi Geoffroi ne dégageait-il pas les cris de devant la porte ? L’éclair d’inquiétude dans ses yeux fut si fugace que seul Baudouin, peut être, l’aurait repéré.
Elle se tourna vers le postulant, recouvrant son calme olympien.


Entre. Assieds toi.

Les doigts bagués se rejoignent par leurs bouts, la Rouge dévisage celui qui veut se faire courtisan. Que vaut-il ? Que veut-il ?
Silencieuse, elle attend.

____________
Baudouin.
[Bureau de la Rouge, chambre, salon, porte: ubiquité...]

Un parfum de Rouge au bord des lèvres, il hoche la tête, acquiesçant aux dires de la maquerelle. Son regard intense sonde la Rouge. Si belle dans sa retenue et sa volupté discrète. Tout un paradoxe Sa Rouge.

Il resserre la fille contre lui et quitte le bureau, sans un regard pour le peut-être futur courtisan. En quelques pas, il traverse le salon et grimpe à l'étage. Une chambre libre. Il dépose le corps fin sur le lit, la respiration est régulière, vérifie qu'une cruche et un baquet d'eau reposent, prêt à servir. La fenêtre est fermée, volet clos. Il passe une main paternelle sur le visage de la jeune fille. Joli minois...

Derrière lui, la porte est close, à double tour. Il glisse la clé dans son pourpoint, elle ne pourra s'en échapper.

A nouveau, il repart, direction la porte, profitant de son escapade pour chercher Geoffroi.

Il retrouve sa place à la porte. L'ouvre et grogne, tel l'ours qu'il fut et qu'il est encore parfois.


Et alors! Qu'est-ce que c'est que ce raffut! On n'est pas à la foire ici!

Il regarde la jeune femme et l'homme qui lui maintient le bras. Bientôt, il faudra faire la police dans les rues de Paris... Désespérant.
--Samesarha


[Du bureau à la Chambre…]


Tout était encore très flou, ce qui se disait, se qu’elle ressentait… puis elle se sentit resserrée contre un mur de muscles chauds et virils pour être déposer sur du coton.
Une caresse sur son visage comme un souffle tiède et quelque instant après un cliquetis puis plus rien…
Simplement des bruissements lointains sans rien de vraiment perceptible.

Lourdement ses yeux bruns, oscillant, s’ouvrent pour ne percevoir que de la brume qui a mesure des clignements oculaires s’estompent pour laisser la vue d’une chambre inconnue… Droite gauche, de plus en plus rapide… la respiration s’accélère … panique… Où était-elle ?

Elle était sur un lit, la caresse des draps étaient agréable… caresse ? Lui avait on enlevé sa robe ? Léger effleurement sur son corps… ouf elle n’était pas nue. La jeunette se hissa sur ses mains pour se redresser, la tête lui tourne mais elle garde l’équilibre et arrive a s’assoir.
Visualisation rapide de la pièce… cruche, baquet… porte fenêtre et volet clos…

Samsarha passe une main sur son visage, la bouche pâteuse, elle avait l’air de rien… mais pas le temps de penser à la coquetterie. La douce déroule une jambe fine et pose le pied sur le sol… puis fait de même pour la seconde. Comme une marionnette, se lève et bouge ses orteils prête a avancer un pied… c’est ainsi que la douce avance vers la porte, en chancelant quelque peu…

Arrivée à la poignée, on pouvait s’apercevoir que la porte était verrouillée… elle tire dessus en vain. La pauvre était enfermée, panique à bord, la Douce tambourina sur le bois pour qu’on l entende, Car aucuns sons ne sortaient de sa bouche…
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