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[RP] Maison close de la rose noire

--Jules.


[ comptoir : Un espoir ? ]

Et alors que son regard scrutait à nouveau la salle, désespérément... Unverre claqua sur le comptoir, à sa gauche.

Ou est.... Tadzio ?

Il tourna la tête. Emilla au salon, Marie auprès du puceau à l'air terrifié, Lucrèce dans les nuages... Ne restait que lui.

Tadzio n'est plus parmi nous, Dame.

Il s'apprêtait à tourner le visage vers le jeune efféminé quand la pensée lui vint qu'il était le plus bête des soldats ayant jamais foulé cette terre. Bougre d'idiot, c'etait une femme ! Une femme qui lui parlait et cherchait un courtisan qui n'était plus là ! Sa porte de sortie, son issue de secours ! N'avait-il pas répondu au jouvenceau de toutes façons ? Et puis quand bien même, il pouvait bien tenir deux conversations à la fois, personne ne le blâmerait et surtout pas la maquerelle, de répondre à la clientèle !

Tournant à nouveau la tête vers la femme, il ajouta à voix basse, lui qui jamais de sa vie n'avait démarché ouvertment une femme, pas même ici...


Moi, je suis libre.

Il étudia sa sauveuse. Elle avait été belle avant la balafre qui lui abimait le visage. Et surtout elle était femme, femme, et elle le sauverait peut-être... Trop crispé pour sourire, il la regardait pourtant avec une envie impossible à ignorer. Une envie mue du desespoir, mais une envie tout de même.

--Dante.


[ PETIT JEU OBLIGE, DROIT DE REGARD SUR LA MARCHANDISE ]


Le coup suivant est pour la Rouge. La Reine elle même se déplace pour poser son pion.
Dante en profite pour la détailler, tandis que belle et fière elle s'avance.
Bien qu'assit, il sent sous ses pieds le sol mouvant se raffermir quand elle lui assure un essai pour la soirée, mais... retournement de situation, au grand amusement du joueur qu'il est.
La Reine lui dame le pion un peu trop vite .

Sa réplique n'est pas une question. La Rouge demande, la femme obtient.
Sans la quitter des yeux, le latino vire ses bottes, se lève de toute sa hauteur et ôte sa chemise avec naturel, puis la lance sur le bureau .


- Besoin de me voir nu donc?

Un léger sourire relève le coin gauche de sa bouche. Il s'approche de la femme en plongeant son regard sombre dans ses prunelles.
- Entièrement, je suppose.

Avec aisance, Dante délace lentement les liens qui retiennent ses braies, les laisse tomber à terre et les repousse du pied. Chaque mouvement fait saillir les muscles de son torse.
Puis il lève légèrement les mains.


- Nu comme l'agneau qui vient de naître.

Visiblement à l'aise avec sa nudité, le jeune gars penche un peu la tête, ses cheveux caressant le haut de ses épaules. Le cavalier observe la dame en se demandant ce qu'elle pense à cet instant précis.
Gailen_d_arduilet
[Comptoir : 3 pas en avant ...trois pas en arrière....]

Ça y est le grand départ, celui que Gaïlen redoutait, était donné. La Malicieuse de Renaix avait trouvé une candidate pour accomplir la fichue tâche qu’elle s’était fourrée dans la caboche d’accomplir et elle passait à la vitesse supérieure.


Oui..euh enfin ça serait avec plaisir mais...je n'ai besoin de rien de particulier me concernant, d'autant que....je n'éprouve absolument aucune attirance pour le sexe faible!
Mais lui par contre il aurait besoin d'un cours particulier d'anatomie.
Une leçon de choses si vous voyez ce que je veux dire...après..à voir si vous êtes à son goût.


Qu’elle enchaîna par un murmure à l’oreille de la blondinette de service.

*Ah bon il y a encore des secrets ? Que peut elle lui demander de plus ?

Mais très vite notre jeune comte se remit en mode « réflexion »,juste le temps d’essayer de faire le point. Malgré son innocence, le « niais » avait du mal à se concentrer. L’ambiance de l’endroit, cette courtisane qui se tenait si près de lui et les propos de Malycia . Le tout arrosé d’un peu de vin, lui perturbaient l’esprit et sans comprendre ce qui lui arrivait, il commençait à se demander si la Marie pourrait être à son goût et même l’imaginer dévêtue
.

*Eho !Gaïlen ! Tu me fais quoi là ? Reprend toi mon petit !

Il y a comme çà des voix qui vous raisonnent dans la tête, on ne sait d’où elles viennent mais c’est ainsi. Et alors que Malycia s’attelait maintenant a se trouver un courtisan pour son plaisir personnel le petit reprit ses esprits.

*Rusons, rusons, le bateau prend l’eau mais on ne coule pas encore.

Oui, c’est de moi qu’il faut s’occuper damoiselle Marie.
Mon…..ami…a des mœurs spéciales qui l’empêchent d’apprécier le charme de vos courbes.


*Voilà c’est bien Gaïlen, charme un peu la blonde, ça l’occupera. Puis tant qu’à faire, testons un peu la détermination de la Flamande.

Alors que le Jules d’un soir qu’elle s’était choisie se tentait de se débiner devant son côté trop masculin, il enchaîna :


Mais, je ne serais pas un vrai ami si je m’amusais de vos services alors que mon…ami…ne trouve pas chausse à son pied. Pensez vous qu’un autre de vos …collègues…sera bientôt disponible pour lui ?

Rapide sourire d’ange vers sa fourbe
.

On peut très bien discuter ici et faire mieux connaissance autour d’un verre en attendant.

*Bon, c’est pas gagné mais ça laisse du temps et comme dirait l’autre tant qu’il y a de la vie y’a de l’espoir.
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--La_dame_rouge


[Bureau]

Il agit, tranquillement, sans se démonter.
Elle l’observe, tranquillement, sans se démonter. Les gestes sont fluides. Le corps est souple. Il semble relativement sain. Elle hoche la tête, approbatrice. Un index s’en vient relever le menton, un sourire effleure les lèvres ourlées. Elle le contourne lentement, scrutant chaque détail. Et valide.


Bien. Ta première soirée ici sera donc une manière de voir comment tu t’en sors. Rhabille toi.

Elle ouvre la porte, souhaitant observer la salle, et monter voir de plus près ce « cadeau » qu’on leur a fait. Son regard se pose sur Rouquine.

Tu me cherches ?

Car sinon, pourquoi serait-elle là, devant son bureau, au lieu de lutiner le client ?
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Anaon
[ Comptoir: Bilan de marde ]

    Tadzio n'est plus parmi nous, Dame.

    Ô rage Ô désespoir! C’est plus de la poisse, c’est de l’acharnement du destin. L’envie subite de se claquer le front contre le bois du comptoir lui traverse l’esprit, mais que diable, un peu de tenue! Il n’en sera rien fait.

    La dèche. Vraiment. La soirée est des plus frustrante. Un brin de piste pour une prairie de déception. Une avancée tout de même dans sa traque macabre, mais l’espoir lui avait fait tant croire qu’elle ne peut se réjouir de si peu d’information. Ma foi, il faudra rattraper cette soirée du mieux que possible. Pour cela la solution est toute trouvée. Blasée au possible, une main se tend pour capter l’attention de la serveuse.

    _ Petite, une troisième pour moi….

    Moi, je suis libre.

    Bug. La main reste en suspend, mais les azurites se tournent vers l’homme. Les prunelles intriguées dévisagent le courtisan, le décortiquant de long en large, en diagonale et en travers. Courtisan, lui? Ainsi ce ne sont pas que des minets aux minois de poupée? Pour sûr, celui-là elle l’aurait jurer forgeron ou bien homme de guerre.

    Libre? Libre comme… libre? Euh, Vous savez je suis plutôt du genre à accumuler les passes d’armes que payer des passes tout court, hein. Pas que j’aime pas les hommes.. Fin si… fin c’est pas çà, mais voyez, là c’était pas le programme de la soirée et… pis après une décennie à rouillé j’peux encore attendre hein. Un an de plus, je suis plus à çà près, voyez? Pis l’absinthe çà coute cher. J’suis presque pauvre moi!

    Et de cette longue réflexion il n’en sort qu’un:



    Echec de la connexion parole/ Pensée. La bouche reste entrouverte , prête à gober les mouche et les joues se teintent de pivoine. Ces année d’abstinence lui aurait elle rendu sa pudeur? La pensée soudain s’anime. Peut être la blonde a-t-elle déjà connue l’homme dans sa couche? Il y aura certainement quelque chose à tirer d’éventuel confidence d’oreiller.

    _ Et bien… Peut être que nous pourrions… discuter?

    Une chance d’en savoir plus. L’Anaon ne le laissera pas filer!

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Images originales: Victoria Francès, concept art Diablo III - Montage LJD ANAON----[Clik]
Rouquine
[Devant le Bureau]

La porte s'ouvre, Rouquine se redresse, cherchant du regard l'homme qu'on lui a désigné. Mais c'est la Dame Rouge qui apparait... Se levant, elle s'approche et parle à voix basse.

J'attends l'homme qui s'entretenait avec vous sur l'heure, ma Dame. Un client me l'a désigné pour un souhait... particulier qu'il a.

L'espace d'une seconde son regard glisse par delà la maquerelle, vers l'intérieur du bureau.

Est il courtisan...? Cela faciliterait grandement ma mission je l'avoue.
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Rouquine sévit au Boudoir des Sens.
--La_dame_rouge


[Porte du bureau]

Hochement imperceptible de tête. Un client, des attentes particulières. Un défi pour le Dante, une aubaine pour la Rouge. Des courtisans, elle en a. Du mâle, du viril, de l’homme à femme. De l’homme à homme, moins. Intéressant, donc.

Bien.

Se tournant vers le bureau, et l’homme.

Tu iras avec Rouquine. Tu feras ce que l’on attend de toi. Si elle n’a pas de critique à faire sur toi demain, tu seras engagé.

Problème réglé. Rouquine ferait une bonne « testeuse ». Rouge hocha brièvement la tête et se lança à la recherche de Baudouin.
Altière, elle traverse la salle, jusqu’au bar. Emilla saura lui dire où est son Gardien sans qu’elle n’ait besoin de fureter. Elle se hisse sur un tabouret, et croise les jambes sous son jupon rouge. Elle attend que la petite vienne à elle.

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--Emilla_kair_d_ancle




Emilla attend avec sérieux une réaction de l'étrange client mais celui ci ne semblant pas vouloir répondre, elle lui adresse un doux sourire.

Vous semblez indécis Messire. Je dois retourner à mon travail, mais si vous avez un besoin particulier, n'hésitez surtout pas à venir au comptoir. Je ferai tout mon possible pour vous aider.

Petite révérence polie et respectueuse et Emilla rejoint le comptoir pour s'assurer que nul ne manque de rien. Voyant que la Rouge est sortie de son bureau et patiente sur son tabouret, Emilla s'empresse avant même que demande ne se fasse de préparer un breuvage à sa Dame.



--La_dame_rouge


[bar]

Elle retient de ses doigts fins le poignet de l’infante.

Baudouin ?

Un demi sourire ourle les lèvres purpurines, elle observe la salle, son verre à la main. Tout semble relativement calme, et se dérouler bien. Hormis le rafus dehors quelques instants plus tôt.
Impassible, elle boit une gorgée.

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Baudouin.
[Porte, rue, à l'affût]

Baudouin n'est pas loin, il regarde le soûlard s'en aller en bougonnant, abandonnant sa proie et le vieux bougre se trouve face à un dilemme. Lui, l'impassible se trouve divisé entre l'envie d'aider la jeunette qui se trouve devant lui et le fait qu'il se doit de la virer à grand coup de pieds dans le fondement. Il fronce les sourcils, perplexe, sans la quitter des yeux.

Ma jolie... ici, c'est pas l'Hôtel Dieu... les mendiants, les voleurs, on n'en veut pas! C'est un bordel, tudieu, et pas des moindres!

Alors, soit tu rentres, tu te paies un verre, si tu as de quoi payer... soit tu prends tes gambettes et tu vas à l'Hôtel Dieu! A moins que tu ne sois fille de joie, dans un bordel, ça peut toujours servir et tu te feras des sous... pas besoin de voler... Surtout que...


Il s'approche lentement et relève le menton de la jeune fille, doucement pour ne pas l'effaroucher.

Tu n'es pas vilaine et tu sembles bien faite, peut-être que la maquerelle te donnerait une chance!

Relâchant le menton joli, il grogne.

Alors bon, ma belle, tu te décides et on agit, j'ai pas toute la nuit pour toi! Et si tu décides de rentrer, oublie toute envie de voler, je te châtierai moi-même et tu t'en rappelleras!

Pas toujours facile d'être gardien d'une maison close, mais l'offre était faite. Et puis, n'était-ce pas aussi un peu dans ses attributions que de recruter pour sa Rouge?

Il tourna les talons et retourna à la porte, sans bouger, gardant la fille dans le coin de son oeil, attendant sa réaction.
--Emilla_kair_d_ancle



Emilla lève ses jades vers la Rouge et avec un sourire doux, répond tout aussi prolixe.

De retour à l'entrée.

Puis récupérant sa main, elle s'attelle à nettoyer avec soin les verres qui se sont accumulés. Un comptoir net et propre incite à la consommation, la consommation incite à la détente et la détente incite à monter. Ainsi tourne la Rose et Emilla sait qu'elle a sa part à faire dans cet engrenage bien huilé.


--Sydrin
Devant l' entrée de La Rose Noire

La Neige se fait jour à l' entrée de "La Rose Noire", non ce n' est pas encore l' hiver, ce n' est pas encore le temps des manteaux neigeux recouvrant les anciens champs de batailles ou du moins les actuels, tant la guerre empeste chaque recoin du Royaume de France. Non, la Neige c' est cette jeune femme qui se trouve devant ce lieu de perdition, c' est cette noble dont le regard est aussi bleu que la mer par une journée d' été et dont les cheveux sont la continuation d' un rayon de l' astre bien-nommé "Soleil". Une autre vision d' elle, celle de sa peau aussi pâle que l' éclat de son amie la Lune, la noblesse de sang faisant son office, elle n' est que peau de porcelaine fragile à l' extrême. Tout semble si pure et en toute vérité, elle l' est : de cette délicate fleur dont la lance du légitime possesseur n' a si peu goûtée et ses lèvres roses qu' on imagine douces et
froides mais qui sont aussi sucrées qu' un fruit, pour
peu qu' on se jette à l' eau et décide d' y goûter.

La Neige est face à cette porte des lieux et elle, si petite dans sa robe de soie bleu, est légèrement apeurée devant cette masse qui se dresse entre elle et ce bordel où surement elle perdrait sa vertu dans les bras d' un homme compétant. Délicatement, elle frappe à cette porte la séparant des pêchés et vices en tout genre.
--Dante.


[BON POUR LE SERVICE ]


Pendant un moment, alors que sa future éventuelle patronne lui tournait autour comme un chat jouant avec une souris, il pensa un bref instant qu'il était le gruyère dans lequel elle allait mordre à pleine dent.
Dante baissa les yeux sur les lèvres cerises qui se fendirent d'un sourire. Le test ne s'arrêterait pas là mais le défi était lancé. Elle voulait voir de quoi il était capable.
Ce qui fit sourire le brun tandis qu'il se rhabillait tranquillement.
Il n'avait pas encore enfilé sa chemise que déjà la porte s'ouvrait. La Dame se retirait comme une reine.
Le Cavalier, lui, se préparait à rentrer dans l'arène... avec plaisir.
Botté, encore torse nu, il se pencha sur le bureau pour récupérer sa chemise et se retourna au moment où la Rouge lui lançait.


Tu iras avec Rouquine. Tu feras ce que l’on attend de toi. Si elle n’a pas de critique à faire sur toi demain, tu seras engagé.

" Un chaperon. Comme c'est.... mignon"

Chemise dans la pogne, braies délacées sur son ventre plat, Dante s'approcha de la porte sur laquelle il appuya son épaule nonchalamment .
Regard direct sur la dite Rouquine qu'il promena ensuite sur le prometteur décolleté avant de revenir sur son charmant visage.


- Pour garde du corps, je n'aurais pu rêver mieux.

Le jeune homme lui fit un clin d'oeil amical puis enfila sa chemise qu'il rentra dans ses braies. Tout en les laçant pour finir de s'habiller , il se présenta de la plus simple façon.

- Dante.

Sans sortir du bureau , le latino se pencha vers l'oreille de la petite rousse et murmura:- Tu peux m'expliquer ce qu " on" attend de moi ? et peut-être commencer par me donner ton petit nom.
Rouquine
[devant le bureau de la rouge, puis dans un coin du salon]

La flamboyante écoute attentivement l'ordre de la Rouge et y sourit doublement. Tout d'abord de soulagement: il est courtisan ! Pas de tatônnements nerveux, de sous entendus hasardeux... Judas sera content, et la rouge aussi....

Elle sourit aussi de fierté et de plaisir. La Rouge ne vient-elle pas de lui donner la responsabilité de mettre un nouveau à l'épreuve ? Preuve de confiance, mais surtout, preuve qu'elle est acceptée...

Aussi offre-t-elle un grand sourire reconnaissant à la maquerelle avant de se tourner vers Dante. Il est courtois, flatteur comme tout courtisan, enfin sauf Jules... beau de visage et bien fait de corps, ça ne devrait pas être une nuit trop déplaisante, songe-t-elle. A moins que le client n'ait des exigences...

S'avancant vers l'homme elle lui prend le bras en souriant pour l'entrainer vers l'alcôve, quand....


Tu peux m'expliquer ce qu " on" attend de moi ? et peut-être commencer par me donner ton petit nom.

Et de bifurquer dans un coin sombre du salon pour parler à voix basse.

Tu vois le couple dans l'alcôve, la bas ? La femme est silencieuse et soumise. L'homme décide. Et il attend de toi que tu couches avec moi. Devant eux.

Le regard bleu de la jolie catin sonde celui de l'idalgo. Va-t-il avoir une grimace de dégoût, non pas à l'idée de la toucher - impossible voyons- mais à celle de se donner en spectacle...?

Quant à mon petit nom, je ne le donne qu'à mes proches. Tout le monde m'appelle comme tu as entendu la Dame Rouge le faire : la rouquine.

Si tu as d'autres questions, pose le moi maintenant avant que nous ne les rejoignons....

_________________

Rouquine sévit au Boudoir des Sens.
--Dante.


[ A l' ÉCART, DANS UN COIN DU SALON ]

Tandis que la petite rousse lui donnait des explications vite fait, Dante scruta l'alcôve qu'elle lui désigna.
Effectivement, un couple s'y trouvait, mais dans la douce pénombre il ne pouvait distinguer nettement leurs traits.
Il lui aurait ainsi été plus facile de lui donner une première impression. Néanmoins aux dires de la courtisane il lui répondit en murmurant aussi.


- Il m'est arrivé, après une nuit bien arrosée, de me retrouver dans quelques demeures avec comme partenaire toute autre que celle choisie au départ.Et un peu de monde autour...
S'ils ont envie de regarder, ça ne me pose pas de problème. Par contre...
Ses sourcils se froncèrent. ... une femme soumise dis-tu ? Mnnnh, je ne pense pas qu'il ne s'en tiendra qu'à mater.
Il se tourna vers sa partenaire-chaperon en souriant légèrement.

- Quoiqu'il puisse se passer, je ne laisserais rien de dommageable t'arriver, Rouqine.

D'une geste protecteur, il entoura de son bras les épaules de la jeunette qu'il dépassait largement de toute sa hauteur.

- Pas d'autres questions pour l'instant. Allons-y.

En se dirigeant vers l'Alcôve, son regard découvrait enfin l'antre de la Rose.
Un petit regret quand même en passant près du comptoir, il se serait bien envoyé une rincette. Premier petit tic contrarié en mouillant ses lèvres.
Commencer une soirée sans boire c'est comme passer directement au dessert. Le grand brun se promit de trouver une ouverture pour satisfaire cette première envie vitale.
Il y avait du beau monde dans le salon douillet. S'il devait rester, il lui faudra faire plus amples connaissance avec les autres pensionnaires. Tout en s'approchant du couple dans l'alcôve, le bras toujours entourant les épaules de la rousse, Dante détailla ceux avec qui il allait passer la soirée... ou peut-être la nuit.
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