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[RP] Maison close de la rose noire

Anaon
[ Comptoir: Plus pour longtemps ]

    Au bar, l’absinthe fait son office. L’alcool est un breuvage bien surprenant. Bien que frais, il brûle les palets qui se risquent à son vice. Liquide, il est pareil à un gaz dont les fumeroles s’agrippent à chaque parcelles de cerveau à sa porté et qui font la pensée en amas de coton. En cela, la Fée Verte est Reine.

    L’Anaon quitte l’appui de son bar pour trouver l’équilibre sur ses deux pieds. L’allure droite, les azurites se voilent un instant. Deux verres seulement et voilà que son cerveau semble déjà baigner dans son habituel cocon verdâtre et maintenant, il proteste de ce mouvement un peu trop brusque pour lui. Chauffée du palet jusqu’aux oreilles, la balafrée accuse du précédent cul sec un peu trop brutal. Prémices d’une sensation coutumière. L’ivresse lui est une consœur. Encore que l’ivresse, l’Anaon l’a bien particulière.

    Le temps d’un hochement de tête et les yeux s’ouvrent de nouveau pour se poser sur le bras qui lui est tendu. Avec l’expression d’une poule qui a trouver un couteau, elle darde la main d’un air étrange. Puis une dextre hésitante vient se poser sur la senestre de l’homme. A peine la paume effleure t’elle le courtisan, rebutante au contact. Les mains des hommes, voilà des lustres qu’elle ne leur reconnus plus aucune tendresse.

    A la proposition du courtisan, les prunelles féminines parcourent la rambarde qui borde l’escalier menant à l’étage.

    _ Votre chambrée… m’ira parfaitement.

    A peine les pupilles effleurent-elles leur homologue d’un regard, une moue boudeuse vient se tourner vers le comptoir où le troisième verre n’a pas été servit. Tant pis.

    _ Je vous laisse m’y mener.

    Autrement dit, je ne veux pas m’éterniser ici. La foule. Une chose que la balafrée redoute plus qu’un homme seul. Le monde la rend nerveuse un mal-être, qu’elle prend grand soin de voiler derrière son expression qui suinte l’assurance. La main opiniâtre quand à elle trahit une autre gêne. Celui d’un contact qu’elle a oublier depuis longtemps.

    Si l’Anaon savait faire preuve d’une auto-dérision plus…" légère ", pour sûr, la situation dans laquelle elle se trouve l’aurait fait sourire. Elle, la mercenaire, reléguée dans la catégorie de ces clientes opulentes qui transpirent l’aisance et la concupiscence. Elles ont les robes et les bijoux, elle, un manteau pour seule soierie.

    Dans un calme tout relatif, la balafrée se laisse guider par sa pandore.


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Images originales: Victoria Francès, concept art Diablo III - Montage LJD ANAON----[Clik]
--Samesarha




[En compagnie de La Dame Rouge]

Le minois entre ses deux doigts, le regard levé vers la noble rouge, intimidée par cette femme si sur d’elle… Oui apparemment le Baron avait eu d’autres projets pour elle, ne sachant pas vraiment qu’était cet endroit… mais venant du baron ça ne devait pas être un couvent.
A la Merci de ses deux doigts Samesarha lui devait une réponse.


Je viens de l Est de ce royaume, offerte au Baron par sa mère… je suis sa « batarde ».

Son regard se troubla, en repensant à tout ce qu’elle avait vécu là-bas… tout ce qu’elle avait entendu…
Elle ne savait plus trop où aller à vrai dire… espérant qu’ici on ne la mette pas dehors. Au moins pour cette nuit. Elle reprenait doucement possession de son mental.
Baudouin.
[Porte: dernières entrées]

Il sourit à Jade, lui intimant d'avancer un peu plus avant vers le salon tout en lui murmurant doucement à l'oreille.

Attends moi là, et n'aie pas peur, tu ne crains rien. Ici, on prend soin des filles.

Rouvrant la porte, esquissant un sourire aux mots qu'il vient d'entendre, il pose alors son regard sur les jeunes filles qui se présentent à lui. Décidément, la nuit regorge de jeunes filles seules! Pas prudentes les damoiselles.

Il les observe et grogne sourdement, s'inclinant pour les saluer.

Le bonsoir Dames, entrez donc et bienvenue à la Rose... Veuillez me remettre toutes les armes en votre possession, je vous prie.

Son regard fuit à l'horizon, scrutant le bout de la rue et ce qui peut en surgir. Veillant à des derniers clients retardataires qui pourraient trouver porte close. Il songe, le vieux cerbère. Viendra-t-elle? Ne viendra-t-elle pas? Il est déjà bien tard, la nuit est avancée. Il ne se fait pas d'illusion, quoiqu'avec elle... on ne sait jamais. Il sourit légèrement de son désir de la revoir, de l'espérance qu'elle vienne, de l'angoisse qu'elle ne vienne pas. Elle est comme la mer, comme le vent... elle reviendra... elle revient toujours.

Il regarde à nouveau les donzelles et leur sourit, encore habité qu'il est par le regard d'un petit chardon provençal. Sont-elles soeurs? Une jolie paire!

Hé bien, vous arrivez tout juste, belles Dames, un peu plus et vous auriez trouvé la porte close! Et si je puis me permettre... Je vous conseille un petit vin de Bordeaux ou un Bourgogne, notre gardienne des boissons saura vous guider comme personne. Mais nous avons aussi de la vodka...

Le sourire est un peu charmeur et se veut légèrement taquin, puis il les laisse passer vers l'antre de la luxure, tout à leur causette, laissant encore la porte ouverte quelques instants, au cas où...
Malycia
[Toujours au bar, à se faire ch....]

Et voilà, la nouvelle venait de tomber, les femmes étaient autorisées en tant que clientes dans les bordel..si elle avait pu savoir ça avant, sans doute n'aurait elle pas eut cette idée saugrenue de se déguiser en garçon d'autant qu'elle faisait fuir le seul courtisan disponible.
Elle n'ajoutera donc rien en guise de réponse, l'homme semblait plus vouloir la fuir que de savoir excatement ce qu'elle pouvait chercher en venant ici, d'ailleurs il ne tarde pas à la délaisser pour une "vraie" femme, et pas une moitié de traverstie, qui ne ressemblait ni à un homme ni à une femme.

Elle le regarde donc solliciter la balafrée sans pour autant se sentir frustrée ou vexée, et détourne alors son regard pour de nouveau s'intéresser à Gailen.
Elle n'en croit d'ailleurs pas ses oreilles, le voilà qui questionne la blonde catin pour lui trouver un courtisan, il se ficherait d'elle qu'elle n'en serai pas étonnée, d'un autre côté il n'a pas tout à fait tort, elle est ridicule dans cet accoutrement, mais maintenant qu'elle y est autant assumer jusqu'au bout, et entrer dans son jeu, de toute façon pour l'heure il n'y avait aucun courtisan de disponible, elle ne prenait donc aucun risque d'en voir un s'approcher et devenir trop entreprenant.


Oui, dites nous tout jolie demoiselle.....

Lui faisant son plus beau sourire afin de connaitre la réponse à sa précédente question...les accepterait elle tous les deux...
Gailen cherchait à gagner du temps, il n'allait pas être déçu.


Un courtisan pour se joindre à nous? plus on est de fous plus on rit parait il.
A moins que....une autre pensionnaire pour vous aider à vous charger de mon jeune ami.

Son regard voyageait autour d'eux, entre Jules qui quitterait bientot le bar, Désirée si bien nommée et désirable.
Elle ne manque pas de remarquer aussi la rouquine en compagnie d'un jeune homme qui traversent tous deux la salle pour rejoindre ce couple dans l'Alcove, oui il se passait des choses plus qu'intéressantes autour d'eux, et de ça elle n'en perdait une miette.

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--Emilla_kair_d_ancle


[Alcôve, Comptoir, alcôve : ça s'en va et ça revient]


Emilla écoute avec soin les commandes. Le nouveau semble pour le moment amical, et elle fait confiance à Rouquine pour le jauger. Elle prend donc les commandes avec soin en se tenant un peu à l'écart. Revenant au comptoir, elle sourit à la balafrée qui semble jouer nerveusement avec son verre vide en parlant à Jules et lui tend d'instinct une nouvelle petite fée émeraude comme son regard. Elle prépare enfin rapidement la commande, de nouvelles arrivées encore, il va lui falloir revenir rapidement au comptoir.

Chemin du retour vers l’alcôve, Emilla dépose d'abord rapidement la commande des deux clients étranges, puis tend sa liqueur de fraise à la menthe à Rouquine et se tourne vers Dante.

Je vous ai sélectionné un Saint Emilion. Rond en bouche, il reste malgré le tanin qui le fait velouté des saveurs de noix et de mûres qui devraient vous convenir.

Les jades scrutent plus franchement le nouveau, inspection en règle du petit caméléon.


--Jules.


[Chambre de Jules]

Enchanté, soulagé, reconnaissant. De mémoire, l'ancien soldat, d'ordinaire plutôt calme et taciturne, ne s'était pas senti si... joyeux, pas depuis qu'il était puceau. Impression étrange, qu'il tenta de chasser de son esprit pour rester digne aux yeux de sa cliente.

Tout à son soulagement enivrant, il n'avait pas prêté grande attention à sa cliente, et ce n'est qu'en s'eloignant du comptoir et donc, du danger, qu'il remarqua enfin qu'elle semblait un peu absente, le pas parfois hésitant. L'alcool, sûrement... Il connaissait mal les effets de la "fée verte" que la balafrée buvait... Normalement, il l'eût soutenue pour monter les escaliers, mais cette main, à peine posée sur son bras quand d'autres s'y seraient accrochées avec délices... Fichtre, elle fuyait son contact ! Il retint la main toute prête à lui soutenir la taille, se contentant de la suivre dans l'escalier, une main planant à quelques centimètres de ses reins pour mieux la saisir si d'aventure elle perdait pied.

Le chemin jusqu'à la chambrée se fit en silence. Le soldat réfléchissait. Il lui faudrait se montrer prévenant sans la toucher trop pour autant. Habitué à séduire par ses mains et son regard, il se retrouvait à présent dans de beaux draps. D'autres eurent utilisé leurs mots, doux, caressants, flatteurs. Lui, ne savait pas.

La chandelle fut allumée, la porte ouverte puis refermée derrière eux. Deux choix : les fauteuils devant la cheminée, ou le lit qui trônait là.... Elle avait dit vouloir parler, mais lui ne savait pas. Et choisir les fauteuils risquait de lui donner l'impression qu'il ne la désirat pas. S'approchant du lit, il en gonfla les oreillers, en fit une pile pour servir de dossier, et s'écarta, laissant la jeune femme s'installer si elle le voulait, tandis qu'il choisissait de s'asseoir au pied du lit.


Vous serez plus comfortable....

Et maintenant ? L'entretenir de la pluie et du beau temps ? Si elle ne le désirait pas, que voulait-elle ? Et surtout comment la retenir, Bon Dieu, jusqu'à ce que le danger soit écarté en bas ?

--Dante.


[ ALCÔVE, DÉGUSTATION ]

Dante avait remarqué la légère rougeur colorant le blanc laiteux du visage de la jeune femme dans l'Alcôve. Etait-ce de la timidité, pudeur ?
Un coup d'oeil vers son compagnon et il se dit que ça pouvait aussi être de la réserve. Il avait plutôt intérêt à les observer un peu, histoire de voir comment était leur relation.
Maître et soumise, voilà une situation qu'il n'avait pas encore abordé durant ses nuits d'ivresse à se vautrer dans le luxe et la débauche.
Il saurait bien s'adapter et ne pas commettre d'impairs.... du moins essayer.

Machinalement il prit la main de Rouquine dans la sienne, caressant lentement le dos de la menotte de son pouce. Puisqu'elle allait être sa compagne de nuit, autant commencer à se familiariser.
La petite serveuse revint avec leur commande et les servit tous.


Je vous ai sélectionné un Saint Emilion. Rond en bouche, il reste malgré le tanin qui le fait velouté des saveurs de noix et de mûres qui devraient vous convenir.

Sans faire de commentaire mais pour le moins étonné, le latino prit le verre en faisant doucement rouler son contenu sur les parois .
Lentement il le porta à ses lèvres, en dégusta une gorgée avant de la laisser couler avec délectation dans sa gorge.
Sans lâcher la main de la rousse, il déposa le verre sur la table et tête légèrement inclinée vers l'avant, il se mit à rire doucement.

Après avoir fait claquer sa langue contre son palais, il regarda la petite serveuse avec un sourire en coin.


- He bien gamine, tu m'as bluffé . Excellent choix ! Je t'ai un peu testé, mais tu as toute ma confiance pour t'occuper désormais de mon palais.


Penchant la tête de côté, il scruta son petit air, amusé ,et lui tapa un clin d'oeil


- Il semble que je ne sois pas le seul à tester l'autre.
--Emilla_kair_d_ancle



[Alcôve : qui est le chat et qui la souris?]


Emilla lève ses jades dans les prunelles du latino, regard doux et d'une fragile innocence qui la rend toujours si incongrue dans le paysage. Elle jauge un moment cet homme qui va visiblement monter avec Rouquine. Il n'est clairement pas un client mais un nouveau courtisan. Pas de mots à ce sujet mais le message est clair quand Emilla regarde un instant sa grande "soeur" : prends soin à elle ou gare! Emilla n'est capable de se mettre en danger que pour une personne et c'est Roxanne : elle lui doit sa vie et elle tient trop à elle après avoir perdu sa présence durant de longues semaines.

Personne ne vient en ces lieux sans tester un peu les autres. Je vous confie ma soeur, prenez en soin.

Rien de plus si ce n'est le regard qui se refait humble et fuyant attendant de pouvoir partir pour s'occuper des nouvelles arrivantes.


--Desiree


[Bar]

Elle sourit, écoute, discrètement. Le regard aux aguets. Elle avait repéré l’homme à la cuillère. Mais la question de la femme à Marie l’avaient fait tiquer.
Elle tourna la tête vers eux, tous sourires, aux aguets. Et fronça légèrement le nez. Marie était trop pâle.
La blondine sourit, remarquant que l’éphèbe l’avait remarquée, et descendit de son tabouret pour aller enlacer Marie, restant derrière elle le temps de chuchoter un faible « est-ce que tout va bien ? ». Une fraction de seconde et une réponse murmurée plus tard, elle s’exclama à l’attention des deux jeunes gens :


Et pourquoi pas une seule blonde pour s’occuper de vous deux, hum ? Allons, venez, laissons mon amie à ses obligations et montons !

Et de placer d’autorité un jeune homme à chacun de ses bras pour les entrainer vers les marches.
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Rouquine
[alcôve: remettre les pendules à l'heure....]

Les yeux bleus observent. Judas, pour savoir s'il apprécie le comportement du courtisan. Iris, qui semble sous le charme, mais reste en retrait, de peur sans doute de contrarier son compagnon.

Elle sourit au compliment de l'idalgo, le laisse prendre sa main, goûtant le plaisir rare d'une approche plus lente qu'un bordel ne le permet d'ordinaire.

La jeune rousse reste tournée vers les clients, mais rien de l'échange entre l'idalgo et Emilla ne lui échappe. Elle n'apprécie pas énormément qu'il lui parle autant quand il devrait donner toute son attention au couple. Oublie-t-il que c'est lui qui est "testé" ce soir ? Et Emilla qui se pose en protectrice, devant les clients ! Mais ce n'est ni l'heure ni le lieu de parler de cela. Aussi un sourcil s'arque-t-il à peine vers la soeurette, lui enjoignant de retourner au bar. Puis, sous couvert de mordiller le cou de son futur "amant", elle lui glisse à l'oreille.


N'oublie pas qui teste qui, ce soir, bel étranger, et oeuvre plutôt à plaire à la clientèle....

Et, avec un clin d'oeil malicieux, d'entreprendre quelques baisers et caresses au jeune homme à l'essai, donnant au couple de voyeurs un avant goût de leur "spectacle".
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Rouquine sévit au Boudoir des Sens.
Anaon
[ Chambrée de Jules ]

    Il a suffit d’un regard pour que la petite serveuse comprenne et s’active, et avant que le courtisan ne l’embarque, la balafrée attrape à la volée le verre fraichement posé. Arf! On payera plus tard.

    Le " couple " entame alors l’ascension de l’escalier. La montée s’accompagne de frémissement incontrôlable. Elle la sent, cette main, qui plane près de ses reins qui la picotent. Sensation qui ébranle la paranoïaque. L’impression d’un champ électrique qui grésillerait entre les chairs distantes.

    Le couloir se dévoile et les azurites ne manque pas d’analyser rapidement chaque porte qui parcoure les murs. Prudence exacerbée. En terrain inconnu tout est possible. Le courtisant se fige, brisant l’examen l’Anaon puis il l’invite à s’engouffrer dans sa chambre. En silence elle s’y engage.

    Le son de la porte qui se referme lui fait un effet étrange. On entend plus rien, pas un murmure, pas une complainte, pas un soupire. Seuls les pas de l’homme brise le silence. Court instant d’immobilité. Elle le laisse à ses affaires, profitant de son délaissement pour embrasser la pièce d’un regard. D’une marche précautionneuse, elle avance vers les fauteuils. Moment d’hésitation. Elle se tâte, à ôter son manteau, lui qui ne la quitte que rarement… avant de souvenir qu’elle a abandonner à l’entré dague et poignard et que par conséquent, il ne lui laisse plus grand-chose à cacher. L’absinthe est abandonnée sur un guéridon et lentement la mercenaire se défait du cuir qui trouve appuie sur le dossier d’un fauteuil.

    D’un geste strict, elle réajuste le col de sa chemise avant de tirer sur ses manches noires. Le regard ne se pose pas sur le courtisant qui à prit place sur le lit, mais le désintérêt qu’elle lui offre est tout feint. Le moindre de ses sens est braquée sur l’être qui l’observe.

    Vous serez plus confortable...


    Le frémissement d’un sourire s’abat sur son visage. Inattendu. L’Anaon a un caractère exécrable. Ce n’est pas la providence qui conduit une femme au mercenariat. Les causes sont souvent bien plus noires et c’est pourquoi nombre de mercenaire sont acariâtre et cinglant. L’Anaon n’est pas en reste, mais elle n’est pourtant pas dénudé d’un certain humour que l’alcool ne manquera pas de rendre - bien souvent - sarcastique.

    _ C’est moi qui vous serai plus confortable installée sur le lit?

    Ton amusé qui répond à cette formule qui la ferait presque sourire. L’absinthe trouve enfin grâce à ses yeux et voilà qu’elle love de nouveau la coupe dans sa paume. Lentement, la mercenaire contourne le lit qu’elle préfère bouder, venant s’immobiliser près de la tête de ce dernier. La femme s’appuie alors doucement contre le mur, une jambe se croisant sur l’autre. Puis les azurites viennent enfin trouver le visage du courtisant qu’elle détaille une fois encore.

    Hum. Pourquoi était-elle là déjà?

    _ Je suis initialement venue pour rencontrer une dame. Noble. Une blonde au yeux d’argent. La Red qu’elle s’appelle. Peu a-t-elle déjà profitée de vos faveur?

    Cash. La balafrée ne perd pas son nord. Les azurites ne perdent pas une miette de l’expression qui nait sur le visage masculin. Fouille Anaon, fouille. Ce visage ne rappelle donc personne? Si. Une très vieille connaissance. Lointaine. Un ami. Les pupilles s’animent d’une lueur indéfinissable. Oui. C’est bien les traits de son cher Licorneux, à l’époque où il avait oublier l’existence des barbiers. Ce constat semble détendre la femme qui se radoucit face à ce visage inconnu qui lui semble pourtant familier.

    _ Vous m’avez tout l’air d’avoir passer plus de temps près des lames que des femmes. Ce n’est pas sous les draps que l’on se forge pareil carrure.

    Une question sans prévenir. Une réponse à venir?

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Images originales: Victoria Francès, concept art Diablo III - Montage LJD ANAON----[Clik]
Gailen_d_arduilet
[Bar : Serrez les rangs l'ennemi s'engouffre dans la brêche]

Alors que le petit pensait avoir les choses en main. Enfin quand je dis les choses, vous m'avez compris hein ! On parle bien du contrôle de la situation, parce que les choses auxquelles vous pensez gros dégueulasses, lui n'y pense pas ! Pas en main et encore moins ailleurs ....BREF
Nous disions donc que l'arroseur était occupé à se faire arroser. Il savait déjà que la malicieuse avait plus d'un tour dans son sac, mais en ce lieu de perversion il allait apprendre que bien des femmes étaient expertes dans l'art de manipuler les hommes. Alors que sa vierge attention était occupée par marie, il se retrouva sans rien voir venir bras-dessus, bras-dessous avec la désirée (oh ouiiiiiii désiréeeee ....oups je m’égare) en route pour l'étage.


*Hein ? Quoi ? L'étage ? Y'a quoi a l'étage ? Mamaaaannnnn!!!!!

Euh, ou nous emmenez vous ? Les autres hôtes avaient l'air de préférer les alcôves du bas .
Puis...


*Non ne lui demande pas si elle se sent capable de s'occupper de deux clients seuls, tu ne vas pas aimer la réponse.

Puis...mon ami fait le timide, mais en fait il préfèrerait un homme pour s'occuper de lui
Puis....


*Bon quoi, comment je m'en débarrasse ?

Puis...moi je ne suis pas partageur et encore moins pour ce genre de choses avec un ami .

*Tu penses qu'elle remarque que je suis en panique ?
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--Jules.


[Chambre de Jules : l'épreuve des mots]

Etait-ce un sourire ? Il aurait été incapable de le dire, mais la voix lui sembla clairement amusée, peut-être un brin moqueuse.

_ C’est moi qui vous serai plus confortable installée sur le lit?

Il ne répondit pas, observant chacun de ses gestes, le visage impassible. Il eut été bien incapable de répondre à cette question qu'il ne comprenait guère, et se prit à souhaiter une fois de plus avoir cet esprit fin et taquin des autres courtisans. Il la regarda simplement, contourner le lit et venir s'adosser au mur, soutenant le regard qui semblait le fouiller avec curiosité. Nul désir dans les yeux azurs posés sur lui.

_ Je suis initialement venue pour rencontrer une dame. Noble. Une blonde au yeux d’argent. La Red qu’elle s’appelle. Peu a-t-elle déjà profitée de vos faveur?

Jules se contenta de faire non de la tête. Il avait entrapercu la femme aux yeux d'argent lors de son premier soir à la Rose, et avait entendu Tadzio plaisanter le lendemain que c'etait bien la premiere fois qu'une cliente ne voulait que parler... Il ne put s'empêcher de penser que c'etait son tour...

_ Vous m’avez tout l’air d’avoir passer plus de temps près des lames que des femmes. Ce n’est pas sous les draps que l’on se forge pareil carrure.

Se forcer a articuler une réponse plus explicite qu'un hochement de tête.

J'étais soldat, ma dame. Mais... .

il désigna sa jambe raide d'un signe du menton avant de reporter sur elle son regard perçant. Nulle émotion dans sa voix lorsqu'il ajouta laconiquement

J'ai eu mon lot de femmes. Mais rarement sous des draps, oui.

Les yeux noirs pétillèrent une seconde de malice, pour s'assombrir à nouveau alors que le silence s'installait. Comment amuser cette étrange cliente suffisamment longtemps pour que le jouveanceau du salon fut parti à son retour... Que lui dire...? Ah oui, la femme aux yeux d'argent.

Je ne l'ai qu'apercue, cette "Red". Elle ne voyait que Tadzio, je crois.

Malycia
[Bar- L'étau se resserre]

Ou comment une blonde peut en cacher une autre pour prendre en main nos deux compères.
Celle ci semblait plus décidée, peut être plus expérimentée pour les embarquer tous deux sans plus attendre, elle avait un commerce à faire tourner, et pas de temps à perdre avec deux pigeonneaux égarés dans ce lieu de perdition, ni palabrer pendant des heures.
La malicieuse ne laisse pas passer l'occasion, sinon son chaton va lui filer entre les pattes, elle a reperé son regard hagard qui cherche une issue pour prendre la fuite, mais la blonde l'a bien accroché à son bras, plus quà espérer qu'elle lui plante ses griffes pour qu'il ne s'en ecarte pas.

Elle pose sa main sur le bras de Désirée, un large sourire aux lèvres répondant à son invitation.


Hummmm oui pourquoi pas, voilà une proposition plus qu'indécente qui me va à ravir.

Sauf que c'était sans compter sur la couardise de Gailen qui cherchait décidément pas tous les moyens à se défiler, pourtant sincèrement vous seriez à sa place, vous n'en rêveriez pas?
Une brune, une blonde, rien que pour vous, c'est pas un beau dépucelage ça? Faut croire que non vu que notre puceau ne rêve lui que de filer à l'anglaise.

Elle se penche légèrement vers Gailen, son sourire toujours aussi malicieux au coin des lèvres.


Mon jeune ami, allons, tu ne vas pas faire de manières avec moi......même si je n'apprécie guère les courbes féminines il ne m'est pas interdit de m'y laisser tenter, qui sait si je ne viendrais pas à y prendre goût.

Regard gourmand qui se pose sur lui.

D'autant que tu es un garçon....et que, l'envie pourrait me prendre aussi de profiter un peu de toi.

Mais il a une parade à tout ce coquin, c'est qu'il deviendrait bientôt aussi fourbe que sa fourbe

Si la Dez n'a pas remarqué le vent de panique qui souffle sur le jeune niais, son amie n'en loupe quant à elle pas une miette et profite de la faille qu'elle pénètre sans aucune gêne.
Caressant le dos de la main de la belle catin, elle lui glisse sur le ton de la confidence.


Celà vous gênerait il dans ce cas que j'assiste à votre performance, vu qu'il ne semble pas décidé à vous partager...comment lui en vouloir, n'importe quel homme n'aurait qu'une envie celle de vous déguster sans concession.
Mais....je serai votre obligé si vous acceptiez que nous restions en ce cas dans les acloves.....

comprendre qu'elle pourra ainsi continuer d'observer ce qui se passe dans les autres
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--Muse..


Muse avait suivie son instinct pour trouver cette endroit qu'elle recherchait secrètement , elle vit la porte semi ouverte , elle entendit du bruit derrière la porte , son coeur battait fort dans sa poitrine se serait 'elle trompée sur ses envies , non elle fit le pas de plus en avant posant sa main sur la porte légèrement entrouverte ne pouvant plus faire demi tour a présent.

Elle espérait être reçu par quelqu'un qui arriverait a la mette en confiance , elle voulait trouvez un endroit ou elle se sente bien et en sécurité .

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